Enzo, mon amant d'un jour
Récit érotique écrit par wladimirtsar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de wladimirtsar ont reçu un total de 7 242 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 661 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Enzo, mon amant d'un jour
« Ce serait dommage, tu vas louper le meilleur » dis je à Enzo
Je passe devant lui le frôlant à dessein. Enzo sentit le savon parfumé coco qui émanait de mon corps. J’ouvre la porte de ma chambre et attend. Enzo entre comme à regret, hésitant. Je ferme la porte. Il reste planté là, ne sachant que faire, incapable de prendre une initiative. Je m’en charge. Je me débarrasse des mes vêtements (t-shirt, chaussettes, slip) mon corps hâlé resplendissant dans la pénombre, reflet d’une beauté quasi animale. Je m’avance vers lui, plante mon regard dans le sien, gêné. J’entreprends de le déshabiller. Au fur et à mesure que je lui ôte ses vêtements, Enzo sent croître sa gêne en même temps que son membre se dresse dans son boxer. Une douloureuse érection.
Je fais glisser le boxer qui s’accroche au sexe tendu comme un arc fortement bandé. Je tire un peu plus sur le sous vêtement et libère le sexe qui vient frapper son bas ventre avec un bruit mat. Je souris, lui aussi. Agenouillé devant lui, j’engloutis son mandrin tendu et entame une savante et humide succion. Les yeux d’Enzo se révulsent de plaisir. Il s’abandonne complètement au suave mouvement de va et vient de ma bouche. Mes lèvres glissent le long de son sexe dur et érigé. Enzo sent bientôt venir l’orgasme et doit me repousser doucement afin de ne pas céder trop vite à une vague de volupté.
Il me couche sur le lit, m’embrasse sur le front, le nez, la bouche, le cou. Nos dents s’entrechoquent. De sa bouche il descend et fait glisser sa langue dans le chemin sinueux qui part du cou, escalade mes tétons qui durcissent au contact de sa langue, redescend dans la douce vallée de mon ventre, lèche ma hampe de chair droite et fière et achève son périple entre mes fesses soyeuses. Il s’attarde son mon auréole couronnée de poils noirs, fins. Je me cambre en haletant.
Enzo sent les muscles de mon ventre et de mes cuisses se crisper à chaque fois que sa langue passe sur mon bouton de rose qui se dilate doucement au contact de son muscle humide. A mon tour, je le repousse. Il se redresse, m’écarte les cuisses d’un mouvement doux mais ferme et s’introduit en moi, au plus profond de mon intimité. Mes sphincters s’écartent, offrant ainsi le passage à ce membre dur et épais dans ma grotte intime. Enzo entame un lent mouvement de va et vient, sentant monter en lui une houle de plaisir, lente et puissante à la fois. Je l’accompagne d’un mouvement exquis du bassin en m’agrippant à lui.
Je le fixe de mes yeux clairs plantés dans les siens, sombres et brillants comme deux diamants noirs . . . Je le repousse à nouveau et me retourne, à quatre pattes comme une chienne prête à être fécondée. J’écarte les jambes et lui offre une vue délicieuse sur mon anus fortement ouvert, dilaté. Il m’attrape par les hanches, entre en moi d’un coup de boutoir qui me fait gémir, et me possède comme un damné, comme si, après cet assaut, les ténèbres allaient se refermer sur lui. Ses grosses couilles claquent contre mes fesses, et cela m’excite tellement que mon sexe expulse, sans me toucher, des jets de sperme puissants sur le drap, de longs jets de lave tiède . . . Je prends mon plaisir, libérant un cri rauque de volupté. Je mords dans l’oreiller comme une louve déchiquette sa proie. Enzo libère la vague qu’il contenait.
Il jouit à son tour, grognant comme un animal, respirant très fort et vite et s’abat sur moi, à demi mort. Je me tortille dans tous les sens pour me dégager et vient me lover contre son corps couvert d’une fine pellicule de sueur.
Quoi, me demande t il ???
Je regarde son corps qui est séduisant et pour un mec qui soit disant n’a jamais offert le sien à d'autres mecs, il est plutôt un bon amant. Je glisse mes doigts dans mon fondement et constate que sa semence s’écoule . . . Je les porte à ma bouche et me délecte de sa crème onctueuse.
Enzo et moi avions fait l’amour comme on fait la guerre, se mordant, se déchirant, râlant comme on expire, mordant de rage et de plaisir. Nous nous sommes consumés dans une étreinte moite. Nous sommes comme deux êtres inertes, respirant fort, dans mon lit qui a connu quelques moments d’extase avec d’autres mecs, mais Enzo fut le top des mes aventures.
Je me couche sur le côté, admirant son corps fin, musclé et ferme et pose mes doigts sur son torse musclé et légèrement velu. Je lui caresse les tétons bien durs, les embrasse pendant que ma main glisse sur son ventre plat, à la rencontre de son pubis noir et fourni. Je lui saisit le membre reposé, gluant de sa crème grasse et malaxe ses couilles vides. Ma langue glisse de ses tétons à cette queue rabougrie que je porte à ma bouche. En quelques secondes, ses quelques centimètres au repos se mutent en une hampe de chair d’une vingtaine de centimètres et j'entreprends de le sucer comme un gourmand. Il gémit, respire fort, vite et plaque une main sur ma nuque, m’obligeant ainsi à poursuivre mon œuvre….
Plusieurs minutes plus tard, des gerbes de lave gluante et tiède inondent ma bouche, maculent l’intérieur de mes joues. J’avale ce nectar comme un sirop liquoreux . . . .
Je passe devant lui le frôlant à dessein. Enzo sentit le savon parfumé coco qui émanait de mon corps. J’ouvre la porte de ma chambre et attend. Enzo entre comme à regret, hésitant. Je ferme la porte. Il reste planté là, ne sachant que faire, incapable de prendre une initiative. Je m’en charge. Je me débarrasse des mes vêtements (t-shirt, chaussettes, slip) mon corps hâlé resplendissant dans la pénombre, reflet d’une beauté quasi animale. Je m’avance vers lui, plante mon regard dans le sien, gêné. J’entreprends de le déshabiller. Au fur et à mesure que je lui ôte ses vêtements, Enzo sent croître sa gêne en même temps que son membre se dresse dans son boxer. Une douloureuse érection.
Je fais glisser le boxer qui s’accroche au sexe tendu comme un arc fortement bandé. Je tire un peu plus sur le sous vêtement et libère le sexe qui vient frapper son bas ventre avec un bruit mat. Je souris, lui aussi. Agenouillé devant lui, j’engloutis son mandrin tendu et entame une savante et humide succion. Les yeux d’Enzo se révulsent de plaisir. Il s’abandonne complètement au suave mouvement de va et vient de ma bouche. Mes lèvres glissent le long de son sexe dur et érigé. Enzo sent bientôt venir l’orgasme et doit me repousser doucement afin de ne pas céder trop vite à une vague de volupté.
Il me couche sur le lit, m’embrasse sur le front, le nez, la bouche, le cou. Nos dents s’entrechoquent. De sa bouche il descend et fait glisser sa langue dans le chemin sinueux qui part du cou, escalade mes tétons qui durcissent au contact de sa langue, redescend dans la douce vallée de mon ventre, lèche ma hampe de chair droite et fière et achève son périple entre mes fesses soyeuses. Il s’attarde son mon auréole couronnée de poils noirs, fins. Je me cambre en haletant.
Enzo sent les muscles de mon ventre et de mes cuisses se crisper à chaque fois que sa langue passe sur mon bouton de rose qui se dilate doucement au contact de son muscle humide. A mon tour, je le repousse. Il se redresse, m’écarte les cuisses d’un mouvement doux mais ferme et s’introduit en moi, au plus profond de mon intimité. Mes sphincters s’écartent, offrant ainsi le passage à ce membre dur et épais dans ma grotte intime. Enzo entame un lent mouvement de va et vient, sentant monter en lui une houle de plaisir, lente et puissante à la fois. Je l’accompagne d’un mouvement exquis du bassin en m’agrippant à lui.
Je le fixe de mes yeux clairs plantés dans les siens, sombres et brillants comme deux diamants noirs . . . Je le repousse à nouveau et me retourne, à quatre pattes comme une chienne prête à être fécondée. J’écarte les jambes et lui offre une vue délicieuse sur mon anus fortement ouvert, dilaté. Il m’attrape par les hanches, entre en moi d’un coup de boutoir qui me fait gémir, et me possède comme un damné, comme si, après cet assaut, les ténèbres allaient se refermer sur lui. Ses grosses couilles claquent contre mes fesses, et cela m’excite tellement que mon sexe expulse, sans me toucher, des jets de sperme puissants sur le drap, de longs jets de lave tiède . . . Je prends mon plaisir, libérant un cri rauque de volupté. Je mords dans l’oreiller comme une louve déchiquette sa proie. Enzo libère la vague qu’il contenait.
Il jouit à son tour, grognant comme un animal, respirant très fort et vite et s’abat sur moi, à demi mort. Je me tortille dans tous les sens pour me dégager et vient me lover contre son corps couvert d’une fine pellicule de sueur.
Quoi, me demande t il ???
Je regarde son corps qui est séduisant et pour un mec qui soit disant n’a jamais offert le sien à d'autres mecs, il est plutôt un bon amant. Je glisse mes doigts dans mon fondement et constate que sa semence s’écoule . . . Je les porte à ma bouche et me délecte de sa crème onctueuse.
Enzo et moi avions fait l’amour comme on fait la guerre, se mordant, se déchirant, râlant comme on expire, mordant de rage et de plaisir. Nous nous sommes consumés dans une étreinte moite. Nous sommes comme deux êtres inertes, respirant fort, dans mon lit qui a connu quelques moments d’extase avec d’autres mecs, mais Enzo fut le top des mes aventures.
Je me couche sur le côté, admirant son corps fin, musclé et ferme et pose mes doigts sur son torse musclé et légèrement velu. Je lui caresse les tétons bien durs, les embrasse pendant que ma main glisse sur son ventre plat, à la rencontre de son pubis noir et fourni. Je lui saisit le membre reposé, gluant de sa crème grasse et malaxe ses couilles vides. Ma langue glisse de ses tétons à cette queue rabougrie que je porte à ma bouche. En quelques secondes, ses quelques centimètres au repos se mutent en une hampe de chair d’une vingtaine de centimètres et j'entreprends de le sucer comme un gourmand. Il gémit, respire fort, vite et plaque une main sur ma nuque, m’obligeant ainsi à poursuivre mon œuvre….
Plusieurs minutes plus tard, des gerbes de lave gluante et tiède inondent ma bouche, maculent l’intérieur de mes joues. J’avale ce nectar comme un sirop liquoreux . . . .
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par wladimirtsar
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...