Episode forêstier.
Récit érotique écrit par Philippe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Episode forêstier.
Ballade en forêt.
Par un beau dimanche après midi, ma femme me proposa d’aller une faire petite promenade en forêt, prétextant me montrer un endroit, qu’elle avait découvert la veille.
Je ne me posais pas de question, car nous faisions souvent ensemble de longues marches à pied dans la forêt qui entoure notre maison.
- Bon je vais me changer !
- Pourquoi tu es bien comme ça ! et puis ce n’est pas bien loin !
J’étais nu à la maison, enfin nu, ce n’est pas tout à fait vrai, je n’étais vêtu que du petit string rose qu’elle m’avait acheté. Certes c’était un string de femme, d’un rose transparent, avec des petites décorations féminines, mais il était très confortable à porter, on pouvait parfaitement voir mon sexe au travers, et vu sa petitesse, il laissait apparaitre totalement mon pubis rasé.
J’enfilais donc un maillot, un bermuda en jean, mis une paire de basket !
- Voila je suis prêt !, mais tu à vu le temps est orageux, il risque de pleuvoir.
- Mais non, dit-elle en ajustant son petit sac à dos, viens.
Et comme dans la chanson, nous partîmes dans les bois, au bout de quinze minutes de marche à pied, elle s’arrêta !
- C’est par le bas, me dit-elle en désignant du doigt, un lieu dans cette forêt que je ne distinguais pas.
Nous quittons le chemin habituel, et rentrâmes dans la forêt.
Je pensais, mince mais qu’est ce qu’elle à pu trouver hier, c’est tellement près de chez nous, et je ne l’aurai pas vu !
Après avoir franchi quelques buissons, nous arrivâmes dans une minuscule clairière, je cherchais du regard, ce qu’il y avait de si extraordinaire à voir.
- Donne-moi ton jean, et ton maillot me dit-elle !
Je fus surpris par ces paroles, je m’exécutais, une pensée lubrique venait de traverser mon esprit. J’allais avoir une petite gâterie comme on dit.
- Tu vois cet arbre là bas, agenouille toi devant, dos au tronc.
Je vis un arbre, de taille moyenne qui bordait cette clairière, je m’agenouillai donc devant, mettais mes deux jambes de part et d’autre du tronc, et reculait jusqu’a ce que je sente son écorce me toucher le dos et les fesses.
Elle enlevât son petit sac à dos, en sortie nos cordes de bondage, je fus très surpris, mais compris immédiatement, que j’allais recevoir une séance de SM en extérieur.
- Ca t’excite hein, dit-elle en voyant ma verge qui commençait à gonfler.
- Oui, un peu, de toute manière je ne pouvais pas dire le contraire.
Elle attachât d’abord mes mains à la hauteur des poignets par un robuste lien, planquant ainsi mon dos à l’arbre. Puis elle me reliât les chevilles par un autre lien, je dus basculer mon bassin en arrière, afin de suivre l’écartement de mes jambes.
En cinq minutes, je me retrouvais attaché à cet arbre, la sensation était agréable le soleil baignait mon corps.
Elle reculât de quelques mètres, s’assit par terre, et fumât une cigarette.
Je scrutais sans arrêts les alentours, pour voir si quelqu’un pouvait me voir, je commençais à être inquiet, ce qui fit immédiatement retomber mon érection.
- Tu à peur me dit-elle ?
- Non, mais si quelqu’un viens, et me vois comme ça !
- T’aime bien être humilié, et être nu dehors, alors assume.
J’avoue que j’aimais bien m’exhiber nu dehors à la maison, sentir l’air sur mon corps, les rayons du soleil, un véritable bienfait, qui me mettais quasi systématiquement en érection.
Me faire bronzer nu, allongé sur un transat, est un pur moment de bonheur.
Un retour vers la nature, les multiples haies de notre maison, nous cachant des voisins, je les entendais, mais ils ne me voyaient pas, ce qui avait tendance, à me mettre dans une belle érection.
- Attends je vais régler ton problème.
Et elle me mit un foulard sur les yeux !
- Comme ça tu ne verras pas si l’on te voit, dit-elle en riant doucement.
- Et bien tu ne bande plus ?, je vais régler ça !
Elle connaissait très bien les réactions de mon corps, et ses points sensibles, et entrepris alors doucement un massage de mes tétons, puis commençât à tirer légèrement sur les pointes, les mordillant doucement de temps en temps.
La réaction, ne se fis pas attendre, je sentais ma verge grossir par le plaisir de ce traitement, elle grossissait de plus en plus, je sentais mon cockring m’enserrer le sexe, elle cherchait à s’allonger à son maximum, cherchant son chemin dans le string. Ce traitement de mes tétons, déclenche chez moi systématiquement, outre l’érection, une irrésistible envie de me masturber.
De temps à autre, je m’amuse à ce petit jeu, je titille mes tétons en regardant ma verge, et me demande en combien de minutes je vais bander, je n’ose pas vous dire le peu de temps qu’il me faut pour atteindre une érection complète.
Elle finit par sortir par le haut du string, se dressant fièrement, exhibant mon gland tendu.
-Voila c’est mieux ! Tu vois quand tu veux ! Et le traitement de mes tétons s’intensifiât, me tirant des gémissements de douleurs, accompagné de plaisir.
- Oui c’est ça, fait la grossir encore !
C’est sur elle grossissait se tendait, ma queue était devenu saillante, raide comme un bout de bois, je ne la voyais pas, mais savait, qu’elle avait atteint son maximum, elle attendait de se faire masturber.
Je suais légèrement sous les rayons du soleil, sous l’excitation, j’en oubliais l’humiliation ma situation, j’étais là, nu, en forêt attaché à un arbre, la queue en l’air.
J’attendais que ma femme me fasse jouir, rien d’autre ne comptait, on pouvait me voir, je m’en fichais, j’aurais été fier de montrer mon éjaculation.
Mais elle arrêta ce délicieux traitement, et me laissa là, complètement excité, attendant la masturbation salvatrice.
Je l’entendis fouiller dans son sac à dos, et reconnu le déclic de son appareil photos.
- Ca va te laisser des souvenirs me dit-elle en continuant ses photos !
- Allez bande bien, montre moi que tu aime ça !
Je n’avais pas beaucoup d’effort à faire, tellement j’étais excité par la situation.
- Bon allez soit sage, je vais allez développer les photos à la maison, et je reviens !
Je ne comprenais pas, c’était un appareil numérique, il n’y à pas de développement ?
- Ou vas-tu ? Tu ne vas pas me laisser là, dans cet état ?
- Mais si, mais si.
Puis elle parti, je l’entendais s’éloigner, puis plus rien, seul le bruit du vent dans les feuillages. J’en avais toujours rêver de cette scène, être nu dans une forêt, là !, je l’étais vraiment, et qui plus est, attaché à un arbre, le sexe en érection
Cinq minutes passèrent, puis dix, rien toujours rien, j’entendais bruits, j’entendais des voix, un véritable délire, j’essayais de me raisonner, de temps en temps une peur panique s’emparai de moi, me faisant débander totalement. Puis je me voyais, j’étais là debout devant moi. Curieusement je me voyais clairement, attaché à cet arbre, le sexe pendant. Et je recommençais à bander.
Je ne sais pas combien de temps, je suis resté là attaché à cet arbre, une demi-heure, une heure, je ne mesurais plus le temps.
Puis un bruit se fis plus distinct, mon dieu des bruits de pas. Je ne disais rien, retenait mon souffle pour pas que l’on m’entende et que l’on me découvre ainsi. Les pas s’approchait, la personne n’était plus qu’à quelques mètres, elle s’arrêta, me contemplant surement. Une peur panique m’envahie, elle était là toute proche, je senti une chaussure lever mon sexe, puis appuyer après sur mes testicules.
Qu’allait-il m’arriver ?
Si c’était un homme, allait-il m’enfourner son sexe dans bouche, en m’intimant l’ordre de le sucer ?
Si c’était une femme, allait-elle faire pareil, avec son sexe ?
N’importe qu’elle personne, qui serait arrivé aurait pu abuser de mon corps, ce sentiment étrange me plaisait, et me faisait extrêmement peur à la fois. Je restais silencieux.
Puis une main se mit à me caresser doucement, elle venait progressivement vers tétons, d’un seul coup deux mains se mirent à me tirer fortement les tétons.
- Râle de douleur s’échappa de ma bouche !
Je reconnus la méthode de ma femme, mais ne disait rien !
- T’a été sage, me dit-elle ?
- Oui, j’ai eu peur !
- J’espère bien !
Elle travailla mes seins et mes tétons, jusqu’à ce je retrouve mon érection, elle s’arrêta, jugeant que celle-ci était suffisante.
Elle me libéra une main, et me dit !
- Allez branle toi !
Je m’exécutais aussitôt, et entendis à nouveau le déclic de l’appareil photo.
- Tu me prends en photos lui dis je ?
- Bien sur, montre-moi comment tu éjacule !
Je continuai mon œuvre, excité par cette nouvelle situation.
- Moins vite me dit-elle les photos vont être floues, moins ou je te rattache et te laisse encore à nouveau.
- Oui, oui d’accord lui répondis je !
J’entrepris alors de me masturber lentement, très lentement, j’aimais ça je sentais des à-coups de plaisir dans ma verge, l’éjaculation allait être proche.
- Je vais éjaculer lui dis je.
- Oui montre moi, le vais prendre ça en photo.
Un premier râle de plaisir, fit apparaitre la première goutte de foutre, et j’arrêtai ma masturbation, serrant les fesses et mes sphincters, pour faire monter ma semence. Je redresse ma verge, en continuant mes efforts, et lui
- Regarde j’éjacule !
Je sentais mon sperme couler doucement, tandis que ma femme immortalisait cette éjaculation.
Une fois cette dernière arrivée à terme, elle me dit.
- On les publiera sur internet, comme ça tout le monde verra comment tu joui dit-elle en riant.
- Ah bon !
- Oui, il faut assumer.
Puis elle me détacha, me débanda les yeux, j’avais les poignets endoloris, et mes jambes me faisaient un peu mal, au niveau du bassin. Je me relevai péniblement, j’enlevais mon string trempé de sperme, et j’étais content de pouvoir me rhabiller, et de regagner notre maison toute proche, j’étais heureux, d’avoir assouvi ce fantasme. Mais mon bonheur fut de courte durée, je cherchais partout mes vêtements.
- Ou tu à mis mes vêtements ?, Ils sont dans ton sac à dos ?
- Non, je ne l’ais les pas, mince j’ai du les laisser à la maison, en déchargeant mon sac à dos !
- Bon tu va me les chercher !
- Ah non je ne refais pas le chemin encore une fois, tu te débrouille tout seul.
- Mais je ne peux pas te suivre, tu te rends compte, je ne vais marcher nu, le long de la route sur trois kilomètres, tout le monde va me voir.
- Cà ne devrait pas te gêner, t’aime bien être nu.
- Tu n’à qu’à faire le grand tour, par les champs, tu déboucheras sur le petit chemin, qui donne devant notre portail, tu n’auras que la route à traverser, je laisserai le portail ouvert.
- Mais les voisins, ils risquent de me voir, et puis il faudra que je traverse tout le jardin en courant !
Elle riait !
- Allez à tout à l’heure, et elle s’éloigna, en descendant le chemin !
J’étais là nu comme un ver, vêtu de mes seules baskettes, avec mon cockring qui luisait au soleil.
Je ne pouvais couper en traversant la forêt, parce que j’étais nu, et les multiples ronces m’auraient lacéré le corps. Le détour que je devais faire faisait bien cinq kilomètres.
Je pris mon courage à deux mains, et entrepris l’ascension du chemin, je marchais sur le bord de celui-ci les sens aux aguets, prêt à me jeter dans les fourrés à la moindre vision d’une forme humaine.
Un fois arrivé en haut de ce dernier, je m’accroupis dans les buissons, scrutant du regard la grande prairie. Je devais parcourir environ 200 mètres à découvert, pour regagner un autre chemin qui contournait la forêt, je décidais donc de parcourir cette distance dans les hautes herbes, tantôt accroupis, tantôt à quatre patte, dans cette progression, je sentais les herbes me balayer la poitrine et le ventre, fouetter légèrement ma verge molle et pendante, en fait je finis de parcourir la distance en courant, un chardon étant venu gentiment me caresser les testicules m’arrachant petit cri de douleur.
Je marchais lentement le long du chemin, essayant de me fondre avec la nature, pensant sans arrêt à des milliers de personnes m’observant à la jumelle, ces pensées m’on mit en érection et je n’y pouvais rien.
D’habitude je mettais 10 minutes à parcourir ce chemin, là j’avais mis au moins une demi-heure, j’étais comme une bête traquée !
Puis je suis arrivé la dernière moitié du trajet, celle qui me faisait traverser une ancienne carrière, il avait beaucoup d’endroit à découvert.
Ce que je redoutais arriva, j’entendis une moto, en effet des gens venaient faire ici un peu de moto-cross, le terrain s’y prêtant volontiers.
Je me jetais par terre sur ce chemin caillouteux, hélas j’avais oublié que j’étais nu, et en pleine érection, car je commençais à prendre du plaisir à mon périple.
Je sentis parfaitement les cailloux pénétrer dans mes chairs, particulièrement sur ma queue, écrasée par mon propre poids, je restais là attentif, cherchant à voir d’où allais venir la moto. Je dégageais alors ma verge de dessous mon ventre pour la mettre entre mes jambes, les petits cailloux acérés venant seulement martyriser mon pubis.
Je dus rester dans cette position au moins dix minutes, attendant que la moto passe, mais que faisait-il ?
Le soleil me cuisait, je le sentais bien, sur mon dos et mes fesses, je suais à grosses gouttes, je sentais mon corps se coller à ces cailloux et cette poussière de calcaire, finalement cette situation me plaisait, en s’allongeant ma verge poussait quelque petits cailloux, m’arrachant des couinements de plaisir.
Puis je vis la moto, elle passa en trombe, le pilote très concentré sur sa trajectoire ne me vis pas bien sur, puis elle s’éloigna dans le lointain.
Je me mis accroupis, entrepris de débarrasser mon corps de ces cailloux, de la poussière, seul subsistait de petite marques rouges. Et je repris mon chemin avec la même prudence qu’auparavant.
Enfin, j’arrivais dans les cinq cents derniers mètres, je devais emprunter ce chemin sur le flanc de la colline, je commençais à distinguer les maisons voisines, mince, là il y à une zone, ou je serais complètement à découvert !
Que devais faire ?
Attendre la nuit tombée, pour que personne ne me voie, je regardais ma montre, il était seize heures. Non c’est trop long, et j’allais bientôt prendre des coups de soleil monstrueux. J’entrepris de descendre le premier quart accroupis, pas facile, j’étais nerveux.
J’en oubliais totalement ma nudité !, je me maudissais d’avoir eu ce fantasme, quelle idée !
Et je vis là un peu en contrebas, une petite forme bleue. Ce n’est pas vrai me dit-je, on dirait mon jean.
Je descendis doucement, et oui !, mes affaires étaient bien là, pliées proprement, ma femme était certainement venu me les déposer,
Un profond sentiment de bonheur m’envahi, j’étais heureux comme jamais, j’oubliais d’un coup ce que je venais de traverser, j’en éprouvais plus que du plaisir, je venais d’assouvir un désir profond, et ma femme par ce geste, m’évitais la honte d’être vu.
Je m’allongeais alors, sur ce petit raidillon, les bars et les jambes en croix, j’offrais mon corps au soleil, je restais là de longue minutes jouissant de mon état, machinalement ma main droite est venue caresser mon sexe, je me masturbais lentement, je cambrai les reins afin de mieux exhiber ma verge, mais personne ne pouvait me voir, je poursuivais mes caresses, et éjaculait dans un râle de bonheur.
Je mis au moins cinq bonnes minutes à récupérer de cet orgasme, mon foutre séchait au soleil, j’entrepris alors de m’habiller, et continua ma descente vers la maison.
Arrivé à cette dernière, je vis ma femme qui m’attendait patiemment allongée sur un transat
Je m’agenouillais près d’elle, lui adressa un baiser, et lui dis un grand
MERCI
- Ca t’a plus ?
- Oui tu ne peux pas imaginer !
Puis je m’allongeais auprès d’elle dans l’autre transat, me remémorant mon équipée, espérant qu’elle se renouvellerait à nouveau. Mais cela est une autre histoire.
Par un beau dimanche après midi, ma femme me proposa d’aller une faire petite promenade en forêt, prétextant me montrer un endroit, qu’elle avait découvert la veille.
Je ne me posais pas de question, car nous faisions souvent ensemble de longues marches à pied dans la forêt qui entoure notre maison.
- Bon je vais me changer !
- Pourquoi tu es bien comme ça ! et puis ce n’est pas bien loin !
J’étais nu à la maison, enfin nu, ce n’est pas tout à fait vrai, je n’étais vêtu que du petit string rose qu’elle m’avait acheté. Certes c’était un string de femme, d’un rose transparent, avec des petites décorations féminines, mais il était très confortable à porter, on pouvait parfaitement voir mon sexe au travers, et vu sa petitesse, il laissait apparaitre totalement mon pubis rasé.
J’enfilais donc un maillot, un bermuda en jean, mis une paire de basket !
- Voila je suis prêt !, mais tu à vu le temps est orageux, il risque de pleuvoir.
- Mais non, dit-elle en ajustant son petit sac à dos, viens.
Et comme dans la chanson, nous partîmes dans les bois, au bout de quinze minutes de marche à pied, elle s’arrêta !
- C’est par le bas, me dit-elle en désignant du doigt, un lieu dans cette forêt que je ne distinguais pas.
Nous quittons le chemin habituel, et rentrâmes dans la forêt.
Je pensais, mince mais qu’est ce qu’elle à pu trouver hier, c’est tellement près de chez nous, et je ne l’aurai pas vu !
Après avoir franchi quelques buissons, nous arrivâmes dans une minuscule clairière, je cherchais du regard, ce qu’il y avait de si extraordinaire à voir.
- Donne-moi ton jean, et ton maillot me dit-elle !
Je fus surpris par ces paroles, je m’exécutais, une pensée lubrique venait de traverser mon esprit. J’allais avoir une petite gâterie comme on dit.
- Tu vois cet arbre là bas, agenouille toi devant, dos au tronc.
Je vis un arbre, de taille moyenne qui bordait cette clairière, je m’agenouillai donc devant, mettais mes deux jambes de part et d’autre du tronc, et reculait jusqu’a ce que je sente son écorce me toucher le dos et les fesses.
Elle enlevât son petit sac à dos, en sortie nos cordes de bondage, je fus très surpris, mais compris immédiatement, que j’allais recevoir une séance de SM en extérieur.
- Ca t’excite hein, dit-elle en voyant ma verge qui commençait à gonfler.
- Oui, un peu, de toute manière je ne pouvais pas dire le contraire.
Elle attachât d’abord mes mains à la hauteur des poignets par un robuste lien, planquant ainsi mon dos à l’arbre. Puis elle me reliât les chevilles par un autre lien, je dus basculer mon bassin en arrière, afin de suivre l’écartement de mes jambes.
En cinq minutes, je me retrouvais attaché à cet arbre, la sensation était agréable le soleil baignait mon corps.
Elle reculât de quelques mètres, s’assit par terre, et fumât une cigarette.
Je scrutais sans arrêts les alentours, pour voir si quelqu’un pouvait me voir, je commençais à être inquiet, ce qui fit immédiatement retomber mon érection.
- Tu à peur me dit-elle ?
- Non, mais si quelqu’un viens, et me vois comme ça !
- T’aime bien être humilié, et être nu dehors, alors assume.
J’avoue que j’aimais bien m’exhiber nu dehors à la maison, sentir l’air sur mon corps, les rayons du soleil, un véritable bienfait, qui me mettais quasi systématiquement en érection.
Me faire bronzer nu, allongé sur un transat, est un pur moment de bonheur.
Un retour vers la nature, les multiples haies de notre maison, nous cachant des voisins, je les entendais, mais ils ne me voyaient pas, ce qui avait tendance, à me mettre dans une belle érection.
- Attends je vais régler ton problème.
Et elle me mit un foulard sur les yeux !
- Comme ça tu ne verras pas si l’on te voit, dit-elle en riant doucement.
- Et bien tu ne bande plus ?, je vais régler ça !
Elle connaissait très bien les réactions de mon corps, et ses points sensibles, et entrepris alors doucement un massage de mes tétons, puis commençât à tirer légèrement sur les pointes, les mordillant doucement de temps en temps.
La réaction, ne se fis pas attendre, je sentais ma verge grossir par le plaisir de ce traitement, elle grossissait de plus en plus, je sentais mon cockring m’enserrer le sexe, elle cherchait à s’allonger à son maximum, cherchant son chemin dans le string. Ce traitement de mes tétons, déclenche chez moi systématiquement, outre l’érection, une irrésistible envie de me masturber.
De temps à autre, je m’amuse à ce petit jeu, je titille mes tétons en regardant ma verge, et me demande en combien de minutes je vais bander, je n’ose pas vous dire le peu de temps qu’il me faut pour atteindre une érection complète.
Elle finit par sortir par le haut du string, se dressant fièrement, exhibant mon gland tendu.
-Voila c’est mieux ! Tu vois quand tu veux ! Et le traitement de mes tétons s’intensifiât, me tirant des gémissements de douleurs, accompagné de plaisir.
- Oui c’est ça, fait la grossir encore !
C’est sur elle grossissait se tendait, ma queue était devenu saillante, raide comme un bout de bois, je ne la voyais pas, mais savait, qu’elle avait atteint son maximum, elle attendait de se faire masturber.
Je suais légèrement sous les rayons du soleil, sous l’excitation, j’en oubliais l’humiliation ma situation, j’étais là, nu, en forêt attaché à un arbre, la queue en l’air.
J’attendais que ma femme me fasse jouir, rien d’autre ne comptait, on pouvait me voir, je m’en fichais, j’aurais été fier de montrer mon éjaculation.
Mais elle arrêta ce délicieux traitement, et me laissa là, complètement excité, attendant la masturbation salvatrice.
Je l’entendis fouiller dans son sac à dos, et reconnu le déclic de son appareil photos.
- Ca va te laisser des souvenirs me dit-elle en continuant ses photos !
- Allez bande bien, montre moi que tu aime ça !
Je n’avais pas beaucoup d’effort à faire, tellement j’étais excité par la situation.
- Bon allez soit sage, je vais allez développer les photos à la maison, et je reviens !
Je ne comprenais pas, c’était un appareil numérique, il n’y à pas de développement ?
- Ou vas-tu ? Tu ne vas pas me laisser là, dans cet état ?
- Mais si, mais si.
Puis elle parti, je l’entendais s’éloigner, puis plus rien, seul le bruit du vent dans les feuillages. J’en avais toujours rêver de cette scène, être nu dans une forêt, là !, je l’étais vraiment, et qui plus est, attaché à un arbre, le sexe en érection
Cinq minutes passèrent, puis dix, rien toujours rien, j’entendais bruits, j’entendais des voix, un véritable délire, j’essayais de me raisonner, de temps en temps une peur panique s’emparai de moi, me faisant débander totalement. Puis je me voyais, j’étais là debout devant moi. Curieusement je me voyais clairement, attaché à cet arbre, le sexe pendant. Et je recommençais à bander.
Je ne sais pas combien de temps, je suis resté là attaché à cet arbre, une demi-heure, une heure, je ne mesurais plus le temps.
Puis un bruit se fis plus distinct, mon dieu des bruits de pas. Je ne disais rien, retenait mon souffle pour pas que l’on m’entende et que l’on me découvre ainsi. Les pas s’approchait, la personne n’était plus qu’à quelques mètres, elle s’arrêta, me contemplant surement. Une peur panique m’envahie, elle était là toute proche, je senti une chaussure lever mon sexe, puis appuyer après sur mes testicules.
Qu’allait-il m’arriver ?
Si c’était un homme, allait-il m’enfourner son sexe dans bouche, en m’intimant l’ordre de le sucer ?
Si c’était une femme, allait-elle faire pareil, avec son sexe ?
N’importe qu’elle personne, qui serait arrivé aurait pu abuser de mon corps, ce sentiment étrange me plaisait, et me faisait extrêmement peur à la fois. Je restais silencieux.
Puis une main se mit à me caresser doucement, elle venait progressivement vers tétons, d’un seul coup deux mains se mirent à me tirer fortement les tétons.
- Râle de douleur s’échappa de ma bouche !
Je reconnus la méthode de ma femme, mais ne disait rien !
- T’a été sage, me dit-elle ?
- Oui, j’ai eu peur !
- J’espère bien !
Elle travailla mes seins et mes tétons, jusqu’à ce je retrouve mon érection, elle s’arrêta, jugeant que celle-ci était suffisante.
Elle me libéra une main, et me dit !
- Allez branle toi !
Je m’exécutais aussitôt, et entendis à nouveau le déclic de l’appareil photo.
- Tu me prends en photos lui dis je ?
- Bien sur, montre-moi comment tu éjacule !
Je continuai mon œuvre, excité par cette nouvelle situation.
- Moins vite me dit-elle les photos vont être floues, moins ou je te rattache et te laisse encore à nouveau.
- Oui, oui d’accord lui répondis je !
J’entrepris alors de me masturber lentement, très lentement, j’aimais ça je sentais des à-coups de plaisir dans ma verge, l’éjaculation allait être proche.
- Je vais éjaculer lui dis je.
- Oui montre moi, le vais prendre ça en photo.
Un premier râle de plaisir, fit apparaitre la première goutte de foutre, et j’arrêtai ma masturbation, serrant les fesses et mes sphincters, pour faire monter ma semence. Je redresse ma verge, en continuant mes efforts, et lui
- Regarde j’éjacule !
Je sentais mon sperme couler doucement, tandis que ma femme immortalisait cette éjaculation.
Une fois cette dernière arrivée à terme, elle me dit.
- On les publiera sur internet, comme ça tout le monde verra comment tu joui dit-elle en riant.
- Ah bon !
- Oui, il faut assumer.
Puis elle me détacha, me débanda les yeux, j’avais les poignets endoloris, et mes jambes me faisaient un peu mal, au niveau du bassin. Je me relevai péniblement, j’enlevais mon string trempé de sperme, et j’étais content de pouvoir me rhabiller, et de regagner notre maison toute proche, j’étais heureux, d’avoir assouvi ce fantasme. Mais mon bonheur fut de courte durée, je cherchais partout mes vêtements.
- Ou tu à mis mes vêtements ?, Ils sont dans ton sac à dos ?
- Non, je ne l’ais les pas, mince j’ai du les laisser à la maison, en déchargeant mon sac à dos !
- Bon tu va me les chercher !
- Ah non je ne refais pas le chemin encore une fois, tu te débrouille tout seul.
- Mais je ne peux pas te suivre, tu te rends compte, je ne vais marcher nu, le long de la route sur trois kilomètres, tout le monde va me voir.
- Cà ne devrait pas te gêner, t’aime bien être nu.
- Tu n’à qu’à faire le grand tour, par les champs, tu déboucheras sur le petit chemin, qui donne devant notre portail, tu n’auras que la route à traverser, je laisserai le portail ouvert.
- Mais les voisins, ils risquent de me voir, et puis il faudra que je traverse tout le jardin en courant !
Elle riait !
- Allez à tout à l’heure, et elle s’éloigna, en descendant le chemin !
J’étais là nu comme un ver, vêtu de mes seules baskettes, avec mon cockring qui luisait au soleil.
Je ne pouvais couper en traversant la forêt, parce que j’étais nu, et les multiples ronces m’auraient lacéré le corps. Le détour que je devais faire faisait bien cinq kilomètres.
Je pris mon courage à deux mains, et entrepris l’ascension du chemin, je marchais sur le bord de celui-ci les sens aux aguets, prêt à me jeter dans les fourrés à la moindre vision d’une forme humaine.
Un fois arrivé en haut de ce dernier, je m’accroupis dans les buissons, scrutant du regard la grande prairie. Je devais parcourir environ 200 mètres à découvert, pour regagner un autre chemin qui contournait la forêt, je décidais donc de parcourir cette distance dans les hautes herbes, tantôt accroupis, tantôt à quatre patte, dans cette progression, je sentais les herbes me balayer la poitrine et le ventre, fouetter légèrement ma verge molle et pendante, en fait je finis de parcourir la distance en courant, un chardon étant venu gentiment me caresser les testicules m’arrachant petit cri de douleur.
Je marchais lentement le long du chemin, essayant de me fondre avec la nature, pensant sans arrêt à des milliers de personnes m’observant à la jumelle, ces pensées m’on mit en érection et je n’y pouvais rien.
D’habitude je mettais 10 minutes à parcourir ce chemin, là j’avais mis au moins une demi-heure, j’étais comme une bête traquée !
Puis je suis arrivé la dernière moitié du trajet, celle qui me faisait traverser une ancienne carrière, il avait beaucoup d’endroit à découvert.
Ce que je redoutais arriva, j’entendis une moto, en effet des gens venaient faire ici un peu de moto-cross, le terrain s’y prêtant volontiers.
Je me jetais par terre sur ce chemin caillouteux, hélas j’avais oublié que j’étais nu, et en pleine érection, car je commençais à prendre du plaisir à mon périple.
Je sentis parfaitement les cailloux pénétrer dans mes chairs, particulièrement sur ma queue, écrasée par mon propre poids, je restais là attentif, cherchant à voir d’où allais venir la moto. Je dégageais alors ma verge de dessous mon ventre pour la mettre entre mes jambes, les petits cailloux acérés venant seulement martyriser mon pubis.
Je dus rester dans cette position au moins dix minutes, attendant que la moto passe, mais que faisait-il ?
Le soleil me cuisait, je le sentais bien, sur mon dos et mes fesses, je suais à grosses gouttes, je sentais mon corps se coller à ces cailloux et cette poussière de calcaire, finalement cette situation me plaisait, en s’allongeant ma verge poussait quelque petits cailloux, m’arrachant des couinements de plaisir.
Puis je vis la moto, elle passa en trombe, le pilote très concentré sur sa trajectoire ne me vis pas bien sur, puis elle s’éloigna dans le lointain.
Je me mis accroupis, entrepris de débarrasser mon corps de ces cailloux, de la poussière, seul subsistait de petite marques rouges. Et je repris mon chemin avec la même prudence qu’auparavant.
Enfin, j’arrivais dans les cinq cents derniers mètres, je devais emprunter ce chemin sur le flanc de la colline, je commençais à distinguer les maisons voisines, mince, là il y à une zone, ou je serais complètement à découvert !
Que devais faire ?
Attendre la nuit tombée, pour que personne ne me voie, je regardais ma montre, il était seize heures. Non c’est trop long, et j’allais bientôt prendre des coups de soleil monstrueux. J’entrepris de descendre le premier quart accroupis, pas facile, j’étais nerveux.
J’en oubliais totalement ma nudité !, je me maudissais d’avoir eu ce fantasme, quelle idée !
Et je vis là un peu en contrebas, une petite forme bleue. Ce n’est pas vrai me dit-je, on dirait mon jean.
Je descendis doucement, et oui !, mes affaires étaient bien là, pliées proprement, ma femme était certainement venu me les déposer,
Un profond sentiment de bonheur m’envahi, j’étais heureux comme jamais, j’oubliais d’un coup ce que je venais de traverser, j’en éprouvais plus que du plaisir, je venais d’assouvir un désir profond, et ma femme par ce geste, m’évitais la honte d’être vu.
Je m’allongeais alors, sur ce petit raidillon, les bars et les jambes en croix, j’offrais mon corps au soleil, je restais là de longue minutes jouissant de mon état, machinalement ma main droite est venue caresser mon sexe, je me masturbais lentement, je cambrai les reins afin de mieux exhiber ma verge, mais personne ne pouvait me voir, je poursuivais mes caresses, et éjaculait dans un râle de bonheur.
Je mis au moins cinq bonnes minutes à récupérer de cet orgasme, mon foutre séchait au soleil, j’entrepris alors de m’habiller, et continua ma descente vers la maison.
Arrivé à cette dernière, je vis ma femme qui m’attendait patiemment allongée sur un transat
Je m’agenouillais près d’elle, lui adressa un baiser, et lui dis un grand
MERCI
- Ca t’a plus ?
- Oui tu ne peux pas imaginer !
Puis je m’allongeais auprès d’elle dans l’autre transat, me remémorant mon équipée, espérant qu’elle se renouvellerait à nouveau. Mais cela est une autre histoire.
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