Erwann (1) - histoire érotique

Nous avions passé la nuit ensemble chez Emilie. Chez son père mais ce dernier était rarement là. Emilie était partie a la fac me laissant seul. Du moins le croyais-je. Je trainais au lit en bouquinant avant d'aller prendre une douche. Je me savonnais, laissais l'eau chaude laver mon corps et finir de me réveiller quand j'entendis une voix.
- Tu sais que ma soeur se fait bouffer la chatte par une nana.
Erwann était adossé au mur face a la cabine de douche. Une lueur de défi dans le regard, bras croisés. Me détaillant de la tête au pied dans ma nudité. Je coupais l'eau. Attrapais un serviette que je m'enroulais autour de la taille et sortis de la douche.
-Alors tu le sais ou pas ?
Je lui repondis que je le savais. Depuis longtemps.
- Et ça te fais pas chier que ce soit une gouine ?
- Non. Ça ne me fait pas chier comme tu dis. Ta soeur est libre sexuellement. Elle n'a pas de tabou.
- Mais enfin c'est ta nana et quand t'es pas là elle baise avec une autre. C'est dégueulasse.
- Qu'est ce que tu trouves dégueulasse. Qu'elle fasse ça quand je suis ailleurs ou que ce soit avec une fille ?
- Je sais pas les deux. Enfin merde. C'est dingue que tu t'en foutes.
- Je ne m'en fout pas. Nous sommes d'accord tous les deux. Nous nous aimons mais le sexe pour nous c'est autre chose. On peut avoir envie d'un autre, d'une autre et si c'est transparent, si c'est clair entre nous où est le problème. Si tu veux tous savoir, pendant que ta soeur se tapait Sandra, de mon coté je ne suis pas resté chaste.
- T'as baisé d'autre filles que ma soeur pendant l'été ?
- Pas des filles.
- Quoi, tu veux dire des gars. T'es un pédé ? Tu bandes pour les mecs ? Tu suces des bite et te fait enculer ?
- Je ne sais pas si le mot de pédé est bien choisi mais pour le reste c'est exact. Je suce et je me fais sucer. J'encule et je me fais enculer. Et j'aime ça.

Il se tut. Me regarda longuement. Se mit a poil et toujours avec ce regard plein de défi me lança
- Alors ça te fait bander de voir ça ?
Je le regardais bien. Je faisais courir mon regard avec insistance sur son corps nu, tournant autour de lui. Objectivement il était pas mal. Musclé ce qu'il faut. Grand, élancé, de belles jambes avec un beau cul. Et une belle bite, longue et épaisse qui se gonflait à mesure que je l'inspectais sous toutes les coutures.
- Moi je ne bandes pas encore. Mais toi visiblement je te fais de l'effet.
Il tenta de se cacher le sexe de ses mains et voulu sortir de la salle d'eau. Je lui barrais le passage en me collant a la porte et laissais glisser ma serviette sur le sol.
- Tu crois que tu vas t'en sortir comme ça ? Tu viens me provoquer. Tu m'allumes et tu veux t'enfuir.
- Tu vas me violer. C'est ça. Tu vas abuser de moi. Je peux crier. Je peux tout dire à Emilie. Je peux..
- Tu peux quoi ? Tu crois quoi ? Tu veux quoi ? Tu penses que j'ai pas compris ? Tu as envie mais tu n'oses pas te l'avouer. Tu viens me chercher dans la douche alors que je suis à poil. Du te fous a ton tour à poil devant moi. Tu bandes comme un âne en me reluquant. Tu veux pas, et bien sort va te branler dans ta chambre. Je m'en fout. Mais doit honnête avec toi. Tu sais très bien que je suis bi. Emilie m'a dit qu'après l'incident avec Sandra elle t'avait parlé d'elle, de moi. De notre bisexualité à tous les deux. Alors va. Je ne vais pas te violer sur le carrelage.
Il ramassa ses fringues et sortit. Je restais dans la salle d'eau pour finir de me préparer. Quand je revint dans la chambre d'Emilie, Erwann était assis sur le lit. Il ne s'était pas rhabillé. Les yeux rouge. Il avait pleuré. Il s'approcha de moi. Déposa un baiser sur mes lèvres. Me prit dans ses bras. Je sentis son sexe durcir contre ma cuisse. Je posais mes mains sur ses épaules, le repoussais un peu. Il me regarda. Il n'y avait plus aucune trace de défi dans ses yeux.
- Je suis désolé, dit-il.

Nous allâmes nous asseoir sur le lit. Je suis fit enfiler un tee-shirt et attendit qu'il vide son sac.

- Quand Emilie m'a dit que tu étais aussi attiré par les hommes, et que tu avais déjà fait l'amour avec un mec j'ai pensé que tu pourrais m'aider. Mais je ne savais pas comment faire. Comment te le dire. J'ai joué la provoc. Et puis je me suis dit que si tu me voyais nu, peut-être.
Je le laissais parlé. Il m'avoua qu'il matait en douce ses copains dans les vestiaires après le sport. En prenant des douches froides pour calmer ses envies. Qu'il avait déjà fait l'amour avec une fille mais que c'était une catastrophe.
- On était comme deux cons. Nus face à face. Moi je bandais à peine. Elle avait froid je l'ai allongée sur le lit. Et je l'ai pénétrée direct avec ma demi molle. J'ai limé comme un malade jusqu'à lâcher la purée sans plaisir. Elle a pleuré. Je me suis enfuis honteux.
Il avait été excité de voir sa soeur faire m'amour avec Sandra mais plus parce qu'il était dans une position de voyeur que parce que c'était deux filles.
- Par contre j'ai bien aimé qu'elle me branle. Elle a fait sans douceur, sans ménagement.
Il avait envie que je fasse la même chose
- Et je te sucerais si tu veux, ajouta-t-il
- Je ne crois pas que ça va être possible. Tu es très mignon. Et si tu n'étais pas le frère d'Emilie j'aurais dit oui sans hésitation. Mais là non. Tu vas trouver un mec sympa a qui tu plairas. Un beau gars et tu découvriras tous les plaisirs du sexe avec lui.
Il se leva. Il bandais encore. Sa belle queue se dressait fièrement devant moi. Je résistais a l'envie de la prendre dans ma main. De la guider jusque vers ma bouche. Il me remercia et s'en alla quittant la pièce en me laissant voir son petit cul blanc fait pour être enculé. Sur le pas de la porte il se retourna.
- Tu peux tout dire à ma soeur. Je m'en fous. Je sais qu'elle comprendra.