Escapade automnale
Récit érotique écrit par Belatucardus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Belatucardus ont reçu un total de 9 311 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 3 810 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Escapade automnale
En cette fin octobre, les couleurs de l'automne tardait à apparaître. Il faisait encore chaud, et une balade en forêt n'aurait pas été pour te déplaire. Mais ton programme était bien différent. Tu partais en séminaire au Mans pour trois jours. Optimiser son accueil téléphonique. Vaste programme... Comment un formateur qui n'avait pas mit les pieds dans une entreprise depuis quinze ans pouvait vous donner des conseils utiles ? Mais bon. Ce séminaire était obligatoire, tous frais payés, et te permettrait de te reposer un peu, loin des obligations du quotidien. Ton sac était prêt depuis la veille, à l'arrière de ta voiture, tu irais le chercher tout à l'heure, avant d'embarquer avec tes collègues dans ce minibus au bord de la ruine. Il avait bien le même âge que la société, on ne s'en servait d'ailleurs plus ou presque, à part quand le nouveau était en révision ou en panne. Ce qui n'était pas le cas d'ailleurs. C'était pire... Un stagiaire avait oublié de tirer le frein à main et il avait dévalé la route en marche arrière avant de finir contre une maison en contrebas... Le directeur était dans tous ses états ce jour là, tu en riais encore parfois...
Enfin, l'heure approche. Tu ranges tes affaires et laisse place nette. Les clés à la main, tu pars tranquillement vers ta voiture. En ouvrant le coffre pour prendre ton sac, tu ressens comme une présence. Pourtant, il n'y a personne. Ce parking est réservé au personnel, et à cette heure ci, ils sont tous au travail. Bizarre cette sensation... Tu récupères ce que tu es venue chercher et rebrousses ton chemin. En te rendant devant l'agence, tu désespères à la vue du minibus miteux. On va avoir un accident, penses tu. Ou pire. Tu aperçois tes collègues, déjà regroupés auprès du véhicule et te dirige vers eux. Ce ne va pas être si sympa en fait. Trois jours loin du quotidien, oui, mais pas avec les personnes que tu vois tous les jours !!!
A nouveau, tu ressens cette présence. Comme une sensation d'être épiée. Tu n'aimes pas vraiment ça... Jusqu'à ce que tu en comprennes la raison ! De l'autre coté de la route, tranquillement adossé à sa voiture, il est là. Les Ray-Bans toujours sur les yeux, la barbe naissante, il n'a pas changé d'allure. Tu es plus habituée à le voir en maillot sur la plage, et pas habillé de la tête au pied, mais il a fière allure. Tu traverses rapidement la route, évitant de justesse un fou au volant d'un cabriolet. Un léger baiser sur la joue, un peu étrange au vu de vos aventures torrides, mais votre relation doit rester discrète, plus encore, secrète. Tu l'interroges sur la raison de sa présence, si surprenante. Il te répond qu'il part pour quelques jours en escapade dans les montagnes au Pays Basque et qu'il ne faut donc pas que tu t'étonnes de ne pas le voir sur votre plage habituelle. Vu que ton week-end va se passer loin de cet endroit paradisiaque, ce n'est pas trop grave. Mais bon. Tu l'aurais bien accompagné plutôt que de suivre tes collègues dans un hôtel borgne du centre du Mans, où le seul horizon sera celui dessiné sur le papier peint. En parlant de tes collègues... Tu as un bus à prendre, ou plutôt un minibus... Tu te retournes pour estimer qu'il ce qu'il te reste comme temps avant le départ. Mais, il ne t'en reste pas beaucoup, voire même pas du tout. En effet, ils sont tous à bord et le moteur tourne. Tu te dépêches de voler un baiser à ton amant et cours vers le parking, mais il est déjà trop tard. Tu observes impuissante le véhicule s'éloigner dans un nuage de fumée, et tes mouvements de bras ne peuvent rien y faire. Ils t'ont oublié.
Ni une ni deux, tu prends ton téléphone et appelles la seule personne à bord dont tu aies le numéro. Et tu tombes sur le répondeur... Tu lui laisses un message, lui demandant de faire demi tour pour venir te chercher, un peu perdue par ce retournement de situation. De l'autre côté de la route, ton amant sourit de toutes ses dents, et entreprends de te rejoindre. Tu fais la tête, mécontente qu'il te voit en si fâcheuse posture. Ton week-end ne se passe pas vraiment comme prévu. Et c'est de sa faute en plus. Tu lui demandes aussitôt de monter en voiture pour rattraper le minibus. Il s’exécute en riant. Vous prenez la route, sans un mot. Il est gonflé quand même. C'est de sa faute, il ne s'excuse même pas, et en plus il se moque de toi. C'en est trop. Tu lui en fais la remarque, et il s'excuse alors, mais son sourire ne trompe pas sur sa sincérité. Oui, effectivement, la tête que tu avais quand tu as vu le minibus partir pouvait faire sourire. Et tes bras faisant des moulins en l'air aussi. Et ta mine déconfite actuelle n'arrange rien. Tu éclates alors de rire et lui pardonnes aussitôt. Mais tu te vengeras, c'est certain. Tu trouveras bien quelque chose. En cherchant des yeux le fossile de la route qui transporte le personnel de la résidence, tu l'interroges sur son week-end. Une excursion dans les montagnes du Pays Basque sur trois jours. En 4x4. Le rêve. Rien à voir avec le tien. Décidément la vie est mal foutue. Encore que... Au lieu d'être dans un minibus pourri direction Le Mans avec tes collègues, tu es avec lui... Tu as tes affaires avec toi... Et ils ne répondent toujours pas au téléphone... Songeuse, une idée commence à poindre dans ton esprit. Et si tu partais avec lui ? C'est alors qu'il te fait remarquer qu'il y a un problème. Sa voiture va plus vite que le minibus, et depuis le temps, vous auriez déjà du le rattraper. C'est un signe. Oui, c'est décidé. Tu changes tes plans. Direction le Pays Basque ! Et va pour l'escapade en 4x4 avec lui !
Assise à l'arrière du le 4x4, à ses cotés, tu repenses au déroulement de ce qui vient de se passer. Le départ avorté pour le séminaire, la vaine recherche du minibus, le silence radio de tes collègues, les plaisanteries échangées sur la route qui vous a mené vers la montagne, le regard ahuri de votre chauffeur en t’apercevant. A sa décharge, l'uniforme tailleur-talons n'est pas la tenue habituelle des baroudeuses. Une main sur ta jambe te sors de tes pensées. Tout en dialoguant avec le chauffeur, ton amant entreprend de te caresser la cuisse. Une main plutôt baladeuse, il semblerait... Elle se glisse sous ta jupe, entre tes cuisses et remonte doucement, tout doucement. L'excitation te gagne déjà. Il faut dire que tu penses depuis tout à l'heure au prochain moment où vous serez seuls tous les deux. Ce soir, t'étais tu dit. L'attente te semblait longue. Pas aussi longue que pour lui, apparemment !
Ses doigts te caressent la chatte à travers ton string. Il te tarde de pouvoir répondre à ses assauts. Lui en profite encore. Tu te décales légèrement sur ton siège, vers lui, afin de lui laisser plus d'espace entre tes cuisses. Il ne se fait pas prier et glisse ton string sur le coté, titillant ton clito de ses doigts experts. Tu te retiens de gémir. C'en est même très difficile. Il te regarde intensément depuis le début et tu lis sur son visage le désir qui est en lui. Tu as le même. Vivement que vous arriviez au gîte pour la nuit. Lui continue. Encore et encore. Tu commences à être très excitée. Si ce chauffeur n'était pas là... Lorsqu'il met un premier doigt en toi, tu réponds de la même manière. Prétextant une position inconfortable, tu te colles à lui encore plus et en profite pour faire sauter le premier bouton de sa braguette et mettre ta main dans son pantalon. Il est déjà dur. Très dur. Sa queue est à l'étroit dans ce jean. Il ne doit pas être à l'aise. Du coup, tu la tiens ta vengeance... Tu vas le faire bander comme jamais, jusqu'à ce qu'il soit impossible que l'on ne remarque pas son érection à travers son pantalon. Tu prends alors sa queue à pleine main et commence un va et vient. Pas facile avec ses vêtements... Pas grave, il faut qu'il bande au max. De son coté, il ne baisse pas les bras. Un deuxième doigt à rejoint le premier. Et ils vont plus profondément que tout à l'heure. Ta chatte est bien lubrifiée maintenant. Tu mouilles même abondamment.
La route change d'un coup, passant du roulis monotone de l'asphalte aux cahots anarchiques d'un chemin de terre. La surprise est totale. Mais pour le coup, il devient impossible de vous masturber mutuellement. Vous arrêtez en même temps. Ta mission est remplie en tout cas, on ne peut pas faire autrement que de le voir bander. Lui retire ses doigts, qu'il lèche sensuellement en te regardant. Tu remets tant bien que mal ton string en place, pas aidée une seconde par ce chemin caillouteux. Puis votre chauffeur vous annonce que le gîte est en vue. En effet, une longue masure se dresse tout près, perdue dans la végétation. Vous dormirez donc là. Il se gare, vous aide à sortir vos sacs et vous annonce que les clés sont sous le seau, près du puits. Il vous rejoindra demain à 8h, avec le petit déjeuner. Surprise par cet abandon non prévu, tu te retourne vers ton amant et le questionne du regard. Il attend que le chauffeur soit remonté dans le 4x4 pour te répondre. Sa mère est à l'hôpital, rien de grave, mais comme elle est vieille, il préfère passer la nuit avec elle. Il en a parlé tout à l'heure dans le 4x4. Tu devais rêver, à ce moment là... D'un coup tu réalises. Vous êtes enfin seuls. Perdus dans la montagne. Sans personne à des kilomètres à la ronde. Si cela aurait pu en effrayer certains, c'est un tout autre sentiment qui vient en toi. Tu sautes sur ton amant sans le prévenir et l'embrasse avec fougue. Viens, lui dis tu. Laissons nos affaires là. Et prends moi. Ici. Maintenant.
Il ne se fait pas prier et t'allonges dans les herbes hautes. Il t'avoue être très excité par ton tailleur, en particulier par ton décolleté. Ok, pas de problème, je le garde pendant que tu me baises, lui réponds tu tout de go. Il remonte ta jupe te retire ton string et commence à te lécher avec passion. Tu nages dans le bonheur. La nuit est tombée vite et tu es là, regardant les étoiles qu'aucune lumière de la ville ne vient masquer, avec ton amant entre les cuisses qui te mordille le clito. Tout en gémissant de plaisir, tu passes tes mains dans ses cheveux et lui caresse la tête, maintenant fermement cette dernière contre ton sexe. Il continue à te lécher, ses mains sur tes hanches, ne s’arrêtant que pour reprendre son souffle. Enfin tu relâches la pression. Tu le libères et lui dit dans un souffle de te prendre.
Il se redresse et descend son jean et son caleçon. Sa bite est dure, elle se dresse fièrement devant toi. Alors qu'il s'agenouille, tu lui saisis le sexe et le branles vigoureusement. Mets la moi, maintenant. Ne t'écoutant pas, il te prend par les hanches et te retourne. Tu te retrouve sur le ventre, allongée dans ces herbes hautes. Mets toi à genoux te demande t'il. Tu obéis sans mot dire.Il prend alors son sexe et le frotte contre le tien, de haut en bas, étalant ta mouille jusque sur ton cul. Resserrant tes cuisses de ses mains, il te glisse sa queue dans ta petite chatte étroite et entreprend un premier va et vient lent et peu profond. Tu gémis à nouveau, plus fort cette fois ci. Puis il accélère la cadence, tout en te prenant de plus en plus. Dans un mouvement de rein plus brusque que les autres, il arrive au fond de toi et redouble alors ses coups de butoirs. Tu ne gémis plus, tu cries. Personne ne peut vous entendre, pourquoi se priver ?Ses mains sont toujours sur tes hanches. Elles agrippent ta jupe retroussée et amplifient son mouvement. Tu te cambres de plus en plus. La tension de tes muscles est à son maximum. L'orgasme arrive, tu le sens. Mais pas encore. Tu en veux plus, toujours plus.
Alors qu'il commence à baisser la cadence, tu lui suggère de changer de position. Il te montre alors un arbre non loin de là. Vous vous y rendez, et, à peine arrivés, il te plaque contre le tronc, te soulève une jambe, et te pénètre à nouveau. C'est si bon. Tu halètes à présent, le plaisir arrivant par vagues successives. Il t'annonce qu'il va jouir, là bientôt. Tu le repousses alors et t'agenouilles, prenant son sexe entre tes mains. Oui tu va jouir, mais dans ma bouche. Tu le suces alors avec fougue le branlant d'une main en même temps. Tu le sens résister, faisant durer le plaisir. Mais il va venir, très vite. Tu redouble alors la cadence et resserre l'étreinte de ta bouche sur sa queue. Tes lèvres appuient maintenant, de toutes parts, augmentant la pression. Puis il vient. Le liquide chaud jaillit dans ta bouche. Une fois, puis deux, puis encore, et encore. Combien de fois a t'il giclé, tu le sais même pas. Mais il a finit, c'est sur. Tu le regardes d'en bas un moment, son sexe encore entre tes doigts. Il a le visage de l'extase. Tu te lèves et l'embrasses sans attendre. Il te rends ton baiser avec passion. Vous retournez ensuite vers la maison, prenant vos affaires au passage. C'est alors que tu lui fait remarquer avec malice qu'il te doit un orgasme, vu qu'il a jouit sans toi. Et que tu exiges de l'avoir ce soir. Au moins une fois.
La chaleur du soleil sur ton visage t'offre ta première caresse matinale. Regardant tendrement ton amant dormant dans le lit à tes cotés, tu repenses à la nuit qui vient de s'achever. Après un frugal repas composé de charcuteries, fromages et fruits de la vallée, vous êtes sortis admirer les étoiles. Les nuits commençaient à être fraîches, vous aviez donc pris une couverture sur le seul grand lit de la maison. Emmitouflés dedans, vous vous réchauffiez l'un l'autre. Cassiopée, la Ceinture d'Orion, sans oublier les Grande et Petite Ourses, il t'apprenait à reconnaître les principales constellations. Un fou rire suivit lorsqu'un bruit vous surpris. Croyant à une bête sauvage, tu serras fort le bras de ton amant, si fort qu'il gardât la trace de tes doigts un moment sur sa peau. Sanglier ou chien sauvage, tu avais un peu peur de ce que vous alliez voir. Il n'en fut rien. Un modeste lapin détala dès que ton chevalier servant pris les armes pour te défendre, à savoir un caillou et un long bâton qui traînaient à coté. Il vous fallut bien dix minutes pour vous en remettre, tellement vos réactions étaient disproportionnées. C'était peut être un lapin ninja, ou l'éclaireur d'un groupe de commando, il était sûrement venu poser des pièges à loups, vous trouviez de nombreuses raisons pour justifier cette frousse passagère. Chacune d'entre elles vous faisait rire de bon cœur, rires qui se répercutaient sur les parois des montagnes environnantes et devaient à coup sûr éloigner tous les animaux présents à un kilomètre à la ronde !
Puis, le froid se faisant sentir malgré la couverture, vous aviez décidé de rentrer dans la longère. Une cheminée ne demandait qu'à être allumée, ce que ton complice fit rapidement. Déjà, de hautes flammes dansaient dans l'âtre. La couverture fut étendue sur les tommettes glaciales, prête à vous accueillir. Tu t'y allongeas sans attendre, ravie de pouvoir te réchauffer devant le foyer. Sa chaleur était vive, le bois parfaitement sec projetait des éclats incandescent contre le pare-feu. Vous partagiez un sentiment de plénitude, l'un contre l'autre, ta tête sur son torse, sa main caressant tes cheveux. Le silence était de mise, seulement troublé par les crépitements du feu. Mais ce n'était pas un silence gênant, comme ceux que l'on connaît parfois, mettant mal à l'aise tous ceux qui le subissait. Non, c'était un silence envoûtant, pénétrant, impérial. Vous communiquiez sans vous parler, sans vous regarder, seulement par les mouvements de vos mains sur le corps de l'autre. De tendres caresses, entières et sincères.
Puis, relevant la tête, tu l'embrassas. Un long baiser. Plus long que ceux que vous aviez partagé jusqu'à présent. Vos langues de rencontraient avec douceur, dansant l'une contre l'autre avec passion. Tu lui enlevas sa chemise, et entrepris de lui couvrir le torse de baisers. Il se releva légèrement et te prenant entre ses bras, t'allongeas sur le dos. Il prenait les choses en main, se souvenant de ta remarque malicieuse d'avant le repas. Un à un, il ôta chaque bouton de ton chemisier, embrassant avec tendresse les parties de ton corps qui se dévoilaient au fur et à mesure. Lorsqu'il ne restât plus de boutons à défaire, il te relevât et, tout en te volant un fougueux baiser, retira ton chemisier. Te gardant contre lui, il fit glisser doucement les bretelles de ton soutien gorge en dentelle, puis dégrafa délicatement ce dernier, délivrant ta poitrine. Il te rallongea alors et posa sa bouche sur un de tes seins. Avant de jouer avec sa langue sur la pointe de celui ci, il prit son temps, ses baisers décrivant des cercles concentriques se dirigeant vers ton téton durcissant. Il y resta un moment, se plaisant à te faire gémir, avant de passer au second. Il recommença les mêmes baisers, avec autant de tendresse que sur le premier. Le feu couvait en toi, ne demandant qu'à s'exprimer comme celui de la cheminée, toujours très actif grâce aux nombreuses grosses bûches qui s'y trouvaient.
Puis il descendit vers ton nombril, accompagnant ses baisers de caresses voluptueuses. Ses mains atteignirent tes hanches, il dézippa alors ta jupe qu'il fit glisser le long de tes jambes, tout doucement. Tu les relevas en pliant les genoux afin de faciliter son geste. Il se plaça devant toi, et délicatement, écarta tes jambes. S'agenouillant alors, il vint t'embrasser l'intérieur des cuisses, s'approchant lentement de ton entrejambe. Seul ton string protégeait encore ton intimité. Mais plus pour longtemps... Après l'avoir caressé de sa langue, il te le retira sans précipitation. Depuis le début, ses gestes étaient délicats, doux, langoureux. Il ne changea rien et vint poser sa bouche sur ton sexe. Sa langue vint tout d'abord effleurer tes lèvres, avec sensualité, avant de se glisser entre ces dernières. De petits mouvements répétés sans s’arrêter, il réussit à t'arracher tes premiers gémissements. Tu te laissais faire jusqu'à présent. Tu décidas donc de mettre tes mains dans ses cheveux et commença à les lui caresser. De cette manière, tu t'assurais qu'il resterait aussi longtemps que tu le souhaitais à te lécher. Il n'en pris pas ombrage, loin de là. Au contraire, il mit ses mains sur tes hanches et redoubla d'ardeur avec sa langue. Tes gémissements se rapprochaient, se faisaient plus longs, plus profonds. Tu basculas ta tête en arrière, t'abandonnant au plaisir qui montait en toi.
Tu étais prête à le recevoir. Mais ce cunnilingus était si bon que tu ne souhaitais pas qu'il s'arrête. D'ailleurs, il semblait que lui non plus n'avait pas prévu de changer de position. Il continuait à jouer des coups de langues, y ajoutant parfois quelques caresses de ses doigts, chacune d'entre elles faisant monter le désir d'un cran supplémentaire. Tu ressentais ce désir travers tout ton corps, chaque parcelle de ta peau devenant une zone érogène. Le moindre contact de ses mains sur toi augmentait le plaisir. Tes gémissements laissèrent place à de petits cris, devenant plus sonores au fur et à mesure que tes muscles se tendaient. Tu avais relâché l'étreinte de tes mains sur sa tête mais il restait toujours là, le visage contre ton sexe, ses bras enroulant tes cuisses, ses mains sur tes hanches. Il devint impossible de résister à la vague de plaisir qui cherchait à te submerger. Tu t'y résignas enfin, abandonnant le reste de volonté qui te faisait reculer ce moment. L'orgasme arriva. Puissant. Soudain. Intégral. Il dura un long moment, ton amant n’arrêtant pas pour autant de te lécher. C'en était presque douloureux. Un dernier cri de jouissance s'échappa de ta bouche et il releva alors la tête, te regardant avec un sourire. Il se releva, vint s'allonger près de toi, et t'embrassa tendrement. Tu te serras contre lui, vidée de ton énergie. Il devra attendre avant que vous puissiez continuer vos ébats. Tu n'avais plus la force de faire quoique ce soit. Il passa un bras autour de tes épaules et tu te lovas contre son torse. Tu t 'endormis rapidement, un sourire d'ange illuminant ton visage. Il avait du te porter dans le lit par la suite, car c'était ton dernier souvenir de cette soirée.
Tu regardes alors ton amant, dormant toujours à tes cotés. Lui caressant les cheveux, tu t'approches pour l'embrasser. C'est alors qu'il ouvre les yeux, te sourit, et s'approche lui aussi. Après ce premier baiser de la journée, vous vous regardez et d'une seule voix, vous vous enquérez l'un l'autre de la nuit passée.
Une fois avalé le petit-déjeuner apporté par à votre chauffeur, vous lui demandez le déroulement de votre journée. Il vous explique qu'il doit à nouveau modifier ses plans, l'état de santé de sa mère ne s'améliorant pas. Du coup, au lieu de vadrouiller en 4x4 toute la journée, il vous propose de vous laisser au début d'un chemin de randonnée avec des provisions et de vous récupérer à la fin de celui ci en début de soirée, pour vous amener dans un nouveau gîte. Il se chargera de garder vos affaires dans son véhicule afin que vous ne soyez pas trop encombré. Le programme vous plaît, l'idée de passer la journée ensemble avec pour seule compagnie la nature et ses grands espaces n'y est pas pour rien. Le temps que vous vous prépariez, il va aller vous acheter de quoi boire et manger au village le plus près. Son 4x4 repart sur le chemin caillouteux, et vous le regardez s'éloigner, ravis de la journée qui s'annonce. Le soleil est déjà maître du ciel , et pas un nuage ne vient lui faire concurrence. La météo annonçait un beau week-end, il semble qu'il va être chaud aussi.
Après avoir allumé l'eau de la douche afin qu'elle soit bien chaude quand tu t'y réfugieras, tu te déshabilles en pensant à ce que tu vas mettre pour cette randonnée. Vu la chaleur, le petit short, la paire de basket et le haut sans manche blanc que tu avais prévu pour le séminaire devraient faire l'affaire. La vapeur d'eau s'échappe enfin de la cabine de douche, étonnamment moderne comparée au reste des équipements du gîte. Après avoir testé la température de l'eau, tu y entres en faisant attention de ne pas glisser. Alors que tu coupes l'eau pour commencer à te savonner, une main te surprend en ce posant sur ton épaule. Tu pousses un petit cri malgré toi. Ton amant te rassure aussitôt, ce n'est que lui. Ce n'est pas une raison pour te faire peur. Tu rallumes l'eau et l'asperges de haut en bas, le surprenant à ton tour. Il cherche alors à te prendre le pommeau des mains, mais il glisse. Il se retrouve sur le sol, et toi sur lui, vous deux tenant encore le pommeau de douche. Un éclat de rire plus tard, vous vous embrassez tendrement.
Puis il commence à te savonner tout en te massant, en commençant par le dos. Il descend lentement vers tes lombaires et, en se baissant se met à te caresser les fesses. Une de ses mains passe alors entre tes cuisses et vient te caresser doucement. Tu te cambres aussitôt, lui offrant ton corps. Après quelques caresses, il se relève, son sexe se positionnant tout contre le tien. Un léger va et vient suffit à te lubrifier et il te pénètre ensuite. Afin de ne pas glisser à nouveau, tu t'agrippes au robinet de la douche, accentuant par là la cambrure de tes reins. Il entre de plus en plus profondément en toi, accélérant la cadence, augmentant la puissance de ses coups de reins. Après plusieurs gémissements de l'un comme de l'autre, vous changez de position.
Te faisant face, il te soulève par la taille, et passe ses bras sous tes cuisses. Tu passes les tiens autour de son cou, le regardant intensément dans les yeux. Ces yeux d'une couleur si particulière te feront toujours craquer. Tu aimes quand ils se posent sur toi, lorsque tu es la seule chose qu'ils regardent. Comme actuellement. D'un mouvement de rein, il te pénètre à nouveau. Adossée contre le mur, prisonnière de ses bras, tu n'as aucun contrôle. Mais ça ne te déplaît pas pour autant. Puis, faiblissant, il relâche son étreinte et laisse mettre pied à terre. Tu le forces à s’asseoir sur le sol, le dos collé à la paroi, et tu te place devant lui, à califourchon. Avant d'avoir pu prendre place sur sa queue, il embrasse ta poitrine avec fougue. Il la couvre de baisers, lèche la pointe de tes seins, les mordillent même, puis te laisse faire. Tu t'imbriques sur lui, collant vos corps pleins de mousse. Le savon aidant, vos peaux glissent l'une sur l'autre. Tu enchaînes les mouvements de bassin, cette position assise amplifiant le contact de sa queue à l'intérieur de toi. Tu sens qu'il ne va pas tenir encore très longtemps. Il se retient pour te faire profiter un maximum de ce corps à corps, mais cela ne durera pas. Plutôt que de calmer tes mouvements pour lui permettre de souffler, tu redoubles d'ardeur afin qu'il jouisse sans attendre. Il s'abandonne. Tu lis sur son visage tout le plaisir que vous partagez. Tu te blottis contre lui, son sexe encore en toi, et prolonges votre peau à peau.
Vous vous rincez, finissez de vous préparer, et partez attendre votre chauffeur devant le gîte. Lorsqu'il arrive, vous grimpez rapidement dans le 4x4 et regardez une dernière fois ce lieu dont vous vous souviendrez longtemps. Celui de votre première nuit ensemble.
Le soleil est déjà haut dans le ciel lorsque votre chauffeur vous dépose au début du chemin de randonnée. La chaleur est elle aussi très présente. Vous prenez vos sacs à dos et commencez à gravir le chemin. Un peu escarpé au début, il devient rapidement plus praticable. Plus large aussi. Vous pouvez donc marcher côte à côte, admirant les magnifiques paysages qui vous entourent. Droit devant, les montagnes. Un peu à l'ouest, un village typique de la région qui vous semble abandonné. De nombreux villages donnent cette impression au premier abord, mais en fait les familles qui en sont originaires continuent à y venir dès qu'elles le peuvent, entretenant les traditions et la mémoire de leurs ancêtres. Au loin, on distingue même la mer, faisant de ce paysage un vrai paradis. La nature n'est pas en reste. A perte de vue, la forêt est encore d'un vert éclatant. Pas étonnant vu le temps, on se croirait plus en plein été qu'au milieu de l'automne. Il faudra attendre encore un peu avant que les arbres ne se couvrent de leurs couleurs chatoyantes. Peu d'animaux par contre. Quelques oiseaux volent d'arbres en arbres, cherchant des insectes avant qu'il ne fassent trop chaud. Mais pas de moutons, chèvres ou autres chevaux que l'on aperçoit dans les pâtures d'habitude. Cet endroit est véritablement isolé. A nouveau, vous vous retrouvez seuls au monde.
Au bout de quelques kilomètres, entrecoupés de pauses pour prendre quelques photos du paysage et d'autres de vous ensemble, parfois souriant, d'autre fois riant, souvent s'embrassant, vous vous arrêtez pour vous rafraîchir. A l'ombre d'un grand chêne, vous profitez de ce spectacle idyllique. Quelques gorgées d'eau plus tard, vous vous remettez en route vers les montagnes,en espérant y trouver un lieux accueillant pour votre repas du midi. Le chemin devient rapidement plus caillouteux, et plus difficile à gravir. Ouvrant la marche, tu as parfois quelques difficultés à franchir un obstacle. Ton amant t'aide à chaque fois, te soutenant pour que tu aies un appui supplémentaire. Dès qu'il le peut, il s'arrange pour que ce soit sur tes fesses qu'il pause ses mains, joignant l'utile à l'agréable. Ce la ne te dérange pas le moins du monde, au contraire. Peut-être est ce même pour cela que tu lui demandes de plus en plus souvent de l'aide, car tu t'en sortirais aisément toute seule...
La chaleur se fait à présent écrasante. Bien que vous montiez en altitude, l'air frais est rare. Pas de vent, pas de nuage, pas d'ombre... Vous commencez en plus à avoir faim. Si seulement vous trouviez un endroit un peu à l'ombre, rien que ça... Mais décidément la chance n'est pas ce votre côté. Passé une petite crête, vous espériez trouver votre bonheur. Hélas, le paysage est encore plus désertique. Et devant, une autre ligne de crête annonce sûrement la même chose. D'un commun accord, vous décidez de continuer jusqu'à cette dernière, histoire de voir si ce qu'elle cache sera plus accueillant. Sinon, vous trouverez un rocher pour vous asseoir et y mangerez.
La descente vers le contrebas est assez aisée. Par contre, arrivés en bas, vous remarquez que le chemin pour rejoindre l'autre ligne de crête est plus compliqué. Tu risques de solliciter de l'aide encore, et pas seulement pour le plaisir de sentir ses mains sur tes fesses. Effectivement, il t'aide plusieurs fois. Et lui aussi peine à gravir la pente. Tu l'entends pester contre le chauffeur qui avait décrit le sentier de randonné comme peu parcouru mais magnifique. Oui c'était magnifique, oui c'était peu fréquenté, mais on comprenait aisément pourquoi ! La seule certitude était que la randonnée se terminait près d'une cascade, où le chauffeur viendrait vous chercher en fin de journée. Vivement que vous y soyez !
Arrivés en haut de la seconde ligne de crête, vous découvrez un paysage tout à fait différent. La nature y a repris ses droits. Les arbres foisonnent, les oiseaux aussi. Cela contrastait énormément avec la vallée que vous veniez de traverser. Peut-être était ce un ancien glacier ou quelque chose comme ça. D'un coup plus enjoués, vous descendez rapidement vers l'ombre tant espérée. Manquant même de tomber à plusieurs reprises, l'un comme l'autre, vous y arrivez très vite. Le premier arbre croisé vous offre sa fraîcheur. Vous vous y asseyez et sortez vos bouteilles d'eau. Après avoir englouti vos sandwichs, Vous vous allongez l'un contre l'autre, vous accordant un repos bien mérité. Le sommeil te gagne rapidement. Une sieste réparatrice, lovée contre ton amant, à l'ombre d'un chêne centenaire, quoi de mieux ?
A ton réveil, ton amant te regarde avec un grand sourire. Après l'avoir embrassé et questionné sur la durée de ta sieste, qui ne fût pas si longue, tu l'interroges sur cet énigmatique sourire qui ne quitte pas son visage. Il se lève et t'invite à le suivre. Intriguée, tu le suis à travers un gros bosquet d'arbres. Dès que vous en sortez, s'offre à toi une vision irréelle. Droit devant, à quelques dizaines de mètres, une cascade. La cascade. Se déversant dans une petite retenue d'eau, elle vous semble être un Graal à porté de main. Te lâchant la main, ton complice retourne dans le bosquet, partant chercher vos affaires restées près du vieux chêne. Tu en profites pour aller vers la cascade et son petit lac. L'eau est claire, on voit le fond sans problème. Ce n'est pas très profond d'ailleurs, un mètre sûrement, pas beaucoup plus. Trempant ta main dans l'onde pure, tu la trouves un peu fraîche, normal pour la saison, et insolemment accueillante par cette chaleur. Le soleil est à présent à son zénith. Tu enlèves tes chaussures, ton short et ton débardeur et entre dans l'eau, seulement vêtue de tes dessous. Bien qu'un peu froide au début, tu t’accommodes facilement à cette température et avance vers le milieu de cet havre de paix. Quel plaisir ! Tu ne regrettes pas d'y être entrée !
D'un coup d’œil par dessus ton épaule, tu cherches ton amant. Il est sûrement revenu avec les affaires maintenant. Oui il est là. Avec son appareil photo. Et il te mitraille. Tu te laisses prendre au jeu et choisis des poses de plus en plus lascives, telle une nymphe antique cherchant à séduire sa proie. Toujours à son appareil, il t'encourage dans ton entreprise. Tu décides de l'exciter davantage, commence à retirer ton soutien gorge, dévoilant ta poitrine à son objectif, et le lance sur la berge, à quelques centimètre du photographe. L'eau fraîche a eu raison de ta poitrine, tes seins pointent allègrement. Continuant à poser de façon suggestive, tu te retournes et te cambres, tout en mettant tes mains sur tes hanches. Tout doucement, tu fais glisser ton string vers le bas, l'envoyant ensuite rejoindre ton soutien gorge. Tu t'amuses à l'imaginer tout excité, à l'étroit dans son jean. Tu le vois poser son appareil, se déshabiller à son tour et te rejoindre dans l'eau.
A peine est il entré que tu l’asperges vivement. Il court vers toi, mais glisse au fond de l'étendue d'eau. Il s'étale de tout son long et coule comme une pierre, pour réapparaître un moment plus tard juste devant toi. En se relevant, il t'attrape les jambes et te pousse en arrière. A ton tour d'avoir la tête sous l'eau. Tu émerges, lisses tes cheveux vers l'arrière et passes tes bras autour de son cou. Vous vous embrassez longuement, ne vous souciant de rien d'autre. Au baiser viennent s'ajouter des caresses mutuelles. Ses mains parcourent ton dos de haut en bas plusieurs fois. Elles terminent leur course sur tes fesses. Il t'avoue alors avoir été subjugué par la vision que tu lui avais offert un peu plus tôt, lorsque tu t'es cambré, lui tournant le dos, et que tu as retiré ton string. Il avait envie de te prendre à l'instant même, en levrette. jamais il n'avait ressenti une telle pulsion. Puis il se met à te chatouiller. Sans prévenir. Tu pousses un cri et t'enfuies vers le rivage.
Il te poursuit et te rattrape dès que tu as posé un pied sur la berge. Te serrant dans ses bras, il roule sur le côté et vous vous retrouvez tous les deux au sol, encore enlacés. Un baiser passionné plus tard, Il entame une série de caresse, directement centrée sur ta petite chatte. Tu remarques que sa queue est déjà toute dure, une fois de plus. Ses gestes sont plus appuyés, plus puissants. Une de ses mains rejoint ta poitrine et s'attaque à un de tes seins. Tu es surprise par l'intensité de ses caresses, il t'avait habitué à plus de douceur. Cette fois ci, c'est plus bestial. Mais cela te convient parfaitement. Tu l'encourages alors en poussant de profonds gémissements. Tu souhaites ardemment qu'il continue de cette façon, plus brut, plus primaire.
Soudain, il te tourne sans ménagement et tu te retrouves allongée sur le ventre. Il glisse alors sa queue entre tes jambes et te pénètre d'un coup, au plus profond. Tu ressens une légère douleur, mais elle se mêle aux plaisir et désir, et devient du coup plus supportable. Ses va-et-vient sont rapides et profonds. Il sort presque de toi à chaque foi, avant de replonger entièrement. Il halète. Toi aussi. Tu écartes enfin les jambes, relevant par la même occasion tes hanches, lui offrant la même cambrure de reins que celle qu'il l'avait tant excité. Un long gémissement sort de sa bouche. Guttural. L'expression de son plaisir. Il accélère encore la cadence, amplifiant encore son mouvement. Plusieurs fois, il sort complètement sa queue de ta chatte avant de te pénétrer à nouveau de tout son long. Tu cries à chaque fois. Plus de désir que de douleur, qui elle s'est atténuée pour n'être presque plus présente. Lors d'un dernier assaut, il jouit sans pouvoir se retenir, et le liquide chaud gicle sur tes fesses. Il s'allonge alors à tes cotés et pousse un soupir d'épuisement. Tu te blottis contre lui, et lui fait remarquer qu'il n'avait pas encore montré cette facette de sa personnalité. Avant qu'il ne puisse répondre, tu lui glisses que tu as adoré, et l'embrasses sans attendre. Une fois que vous avez repris quelque peu votre souffle, vous retournez vers vos affaires et mangez un morceau. Persuadés d'être arrivé au terme de votre randonnée, au vu de la description de la cascade et de son environnement, vous avez encore un peu de temps devant vous, le chauffeur ne devant pas arriver avant deux bonnes heures.
Tu prends la main de ton amant, et le force à se lever. Tu l'emmènes vers la berge et vous entrez à nouveau dans l'eau. Tu lui susurres à l'oreille le désir que tu as qu'il te prenne sous la cascade. L'entraînant de l'autre coté du petit lac, tu t'échappes et te précipite vers la cascade. Une fois arrivée, tu te glisses dessous, face à la paroi, et te cambres à nouveau, la chute d'eau tombant sur ta chute de rein. Tu lui offres à nouveau cette vision qui l'a troublé précédemment. Il ne se fait pas prier pour te rejoindre, se colle à toi et commence par t'embrasser le cou. Tu le laisses faire un moment avant de te retourner en te baissant, prenant son sexe entre tes mains. Tu le caresses, le masses, le lèches avant de le sucer. Tu y prends autant de plaisir que lui, avalant sa queue jusqu'au bout, pressant dessus avec tes lèvres, l'aspirant prestement. Lorsqu'elle est bien gonflée, tu te relèves et embrasses ton amant.
Tu te retournes à nouveau, agrippant à la paroi. L'intimant à te rendre la pareille, il s’exécute. Sa langue vient fouiller entre tes lèvres, à la recherche de ce divin bonbon. Malicieusement, tu accentues la cambrure de tes reins. Sa langue remonte alors de ta chatte vers ton cul. Une fois qu'elle y est, tu fais quelques mouvements du bassin pour qu'elle te titille ton autre trou. Tu t'arrêtes ensuite, voulant voir sa réaction. Lui ne s'arrête pas, et continue de te lécher. Doucement, un doigt vient remplacer sa langue. Très lentement, il commence à entrer et sortir peu profondément. Tu aimes cette sensation, et ses mouvements très doux. Tu n'aurais pas apprécié qu'il soit bestial comme tout à l'heure, pas à cet endroit. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, tout aussi délicatement. Le laissant te titiller encore un peu,tu l'invites par la suite à se relever et à te prendre sur le champ, lui demandant d'être aussi doux et délicat qu'il l'était avec ses doigts.
Conscient de la douleur que cela pourrait te procurer, il suit tes conseils à la lettre. Il commence par frotter sa queue contre ton cul, avant de la mettre doucement dans l'axe. Très lentement, il entre en toi, s'enfonçant en toi un peu plus profondément à chaque fois. Il prend son temps et tu lui en es reconnaissante. La sensation n'est pas aussi désagréable que dans ton souvenir. Enfin il arrive au fond, mais n'accélère pas pour autant la cadence, ajustant la puissance de ses coups de reins à celle de tes gémissements. Peu à peu, la vitesse augmente. Le plaisir aussi. Le désir surtout. Puis, sentant à son souffle qu'il est sur le point d'avoir un orgasme, tu fais en sorte qu'il se retire, et lui déclare avoir envie de le voir jouir. Tu prends à nouveau sa queue entre tes mains et, tout en l'embrassant, le masturbe rapidement. Lorsqu'elle atteint son paroxysme, tu te baisses et oriente son sexe vers ta poitrine. Tu veux le voir gicler sur tes seins. Et tu es rapidement comblée, tes seins sont vite aspergés. Te rinçant sous la cascade, tu échanges un sourire complice avec ton amant et vous retourner vers le rivage. Il est temps de vous rhabiller et de rassembler vos affaires, votre chauffeur ne devrait plus tarder à arriver.
Une nouvelle fois, votre guide vous laisse seuls. Il reviendra vous chercher demain matin, pour vous ramener à votre point de départ. L'escapade touche à sa fin. Mais il vous reste encore une nuit à passer ensemble, et vous êtes bien décider à en profiter au maximum. La randonnée faite ce jour avait été un vrai moment de bonheur pour tous les deux, vous en garderez de magnifiques souvenirs. Le guide vous avait appris que vous n'aviez pas suivi le bon itinéraire. Il aurait fallu contourner par la vallée l'ancien glacier. Il y avait une aire d'accueil pour pique niquer à mi-chemin du parcours. Du coup, vous n'avez fait qu'une partie de la randonnée. Mais ce n'était pas plus mal, vous avez pu en profiter autrement. Vous entrez dans le gîte, plus petit que celui de la nuit dernière, mais plus cosy, si on excepte l'absence de cheminée. La décoration y est soignée, le mobilier plus moderne. Une pièce pour vivre, une pour dormir. Ce devait être une ancienne bergerie reconvertie en gîte pour les randonneurs assez récemment. Le seul point commun qu'ont les deux gîtes est l'isolement. Décidément, vous aurez passé tout votre week-end coupés du monde. Toujours pas âme qui vive à l'horizon, pas de réseau téléphonique non plus. En vérifiant ton téléphone, tu repenses au séminaire du Mans et à tes collègues qui s'y trouvent encore. Tu es ravie de ne pas être avec eux. Par contre, il va falloir ruser pour justifier ton absence. Le fait qu'ils t'aient oublier en partant est un bon début, reste à trouver une excuse pour ne pas les avoir rejoint.
Perdue dans tes pensées, tu ne remarques pas ton complice s'affairant en cuisine. C'est l'odeur des champignons cuisant dans la poêle qui te ramènes à la réalité. Un bol d’œufs battus les rejoignent, une omelette prend forme peu à peu. Tu réalises alors que tu meurs de faim. Une fois le repas englouti et la vaisselle faite, vous vous asseyez sur le banc de bois trônant devant l'ancienne bergerie. Lovée dans les bras de ton amant, une grosse couverture vous enveloppant comme le premier soir, vous admirez à nouveau le paysage. Cette fois ci il est plus tôt, ce n'est pas la voûte céleste et ses myriades d'étoiles qui vous absorbent, mais un superbe couché de soleil. Il descend pile entre deux à-pics, semblant vouloir rejoindre la mer que vous apercevez au loin. Ce coucher de soleil entre les deux falaises doit être visible depuis ce banc seulement une fois par an, et vous avez la chance de pouvoir en profiter. Ce rare phénomène renforce le romantisme de l'instant partagé. Vous vous sentez bien, si bien l'un contre l'autre, que vous aimeriez que cela ne finissent jamais. Mais il va bien falloir reprendre le cours de vos vies respectives. Vous réussirez à vous revoir souvent, peut-être pas sur votre plage, les températures risquant de chuter bientôt, mais vous trouverez autre chose en temps voulu. La nuit tombe soudainement, le soleil ayant fini sa course. Vous observez les premières étoiles de la nuit et rentrez vous mettre au chaud.
N'ayant pour seul chauffage qu'un radiateur d'appoint dans la salle d'eau, le gîte est vite glacial. Vous décidez donc de mettre le petit convecteur dans la chambre et vous vous glissez sous la couette. A peine tu es installée que les mains de ton amant se font baladeuses. Elles courent sur ton corps, en caressant chaque parcelle. Il est décidément joueur ce soir. Mais tu as un autre programme de prévu. Tu as décidé de mener la danse cette nuit. Tu l'enjambes, t'asseyant sur lui, et le regardes. Il est à toi, rien qu'à toi. Il amène ses mains à hauteur de ton soutien gorge, comme pour le retirer, mais tu l'en empêches. Ce sera quand tu l'auras décidé. Tu te frottes contre lui, vos sexes l'un contre l'autre, seulement séparés par le tissus de vos sous-vêtements. Lentement, tu sens sa queue grossir à ton contact. Tu souris de malice. Tu aimes cette sensation, savoir que tu l'excites comme tu veux, à l'instant où te le choisis. Tu accélères ton mouvement, pressant plus fort ta chatte sur lui. Même à travers ton string, ton clito est très sollicité. Tu commences à mouiller, c'est le moment que tu attendais.
Tu te retournes alors, te positionnant pour un 69. Dans le même mouvement, tu poses ta chatte sur sa bouche et glisses tes mains dans son boxer. Sa queue et chaude et dure. Elle est déjà prête à t'honorer. Mais pour le moment, tu as autre chose en tête. Lui n'est pas en reste. Il a placé ses mains sur tes hanches et te donne quelques coups de langues bien placés. Entre lui qui te lèches et toi qui mouilles, ton string colle entièrement contre ta chatte. Tu l'autorises à te le retirer, ce qu'il fait sans attendre. Un jeu de jambes plus tard, tu reprends ta position initiale. Cette fois ci, tu t’assoies quasiment sur son visage. Il te mange littéralement le sexe, ses lèvres ne quittant plus les tiennes. Sa langue fouille en toi sans ménagement. De ton côté, tu t'amuses avec sa queue comme avec une glace. Tu la lèches de bas en haut, la tenant dressée entre tes mains. Enfin tu la prends dans ta bouche. D'abord douce, tu deviens rapidement plus bestiale, comme si tu souhaitais qu'il jouisse tout de suite. Lorsque tu sens qu'il commence à tendre ses muscles, tu ralentis d'un coup, redevenant d'une douceur et d'une délicatesse extrême. Tu joues à ce jeu encore un peu, devenant plus précise, te rapprochant à chaque fois un peu plus du moment fatidique. Mais tu sens ce moment plus facilement, décryptant en même temps la cadence et la puissance des coups de langues que tu reçois.
Puis tu te redresses, abandonnant son sexe, pour lui permettre de souffler. Par contre, tu ne bouges pas de son visage, accentuant même le contact. De quelques mouvement de bassin, tu te frottes contre lui, faisant de ton amant ta chose. Lorsque le désir qu'il soit en toi l'emporte, tu te relèves complètement, te retournes et t'allonges sur lui. Vos sexes, vos poitrines, vos corps tous l'un contre l'autre, tu l'embrasses avec passion. Ses mains recommences à te caresser, mais tu les repousses. Te redressant en même temps, tu places sa queue à l'entrée de ta chatte. Tu la fais entrer tout doucement, très lentement, de quelques millimètres de plus à chaque mouvement de reins, mais pas plus. Sans prévenir, tu t'empales d'un coup jusqu'au plus profond de toi. Tu entames alors une série de va-et-vient torrides, modulant la vitesse en fonction des réactions de ton amant. Tu fais durer le plaisir ainsi pendant de longues minutes, comme tu l'as fait juste avant en le suçant. Il est à ta merci, te laissant faire, voyant quel plaisir te procure ce sentiment de le dominer. Il est certes un peu frustré de ne pouvoir te caresser pendant ce temps, admirant ta poitrine qui se soulève à chacun de tes coups de rein. Tu l'autorises alors à se servir de ses mains qu'il vient placer aussitôt sur tes seins. Cette nuit, c'est toi qui as les commandes. Tu jubiles à cette idée. Tu en profites pour faire durer le plaisir au maximum. Mais arrive le moment fatidique. Celui ou c'est toi qui est au bord de l'explosion. Tu te retiens autant que tu peux, mais l'orgasme est là, de plus en plus présent. Et il l'a remarqué. Entre l'expression de ton visage, la tension de tes muscles et la cadence de tes coups de reins, il l'a remarqué. Et il en profite pour changer le cours de la situation. Il te saisis par les épaules et se retire. T'allongeant sur le ventre à la place qu'il occupait jusqu'à présent, il vient se placer derrière toi, te prenant les hanches entre ses mains. Il te met force à te cambrer et te pénètre directement, entamant une levrette puissante. Vous ne tardez pas à ne plus pouvoir vous retenir, l'un comme l'autre. Vos orgasmes arrivent en même temps, vos cris de plaisir s'unissant. S'allongeant ensuite à tes côtés, il t'ouvre ses bras et tu viens t'y blottir. Vous vous endormez ainsi, ne faisant qu'un.
Le réveil est dur ce matin, la nuit fut courte. Il est déjà tard et votre guide arrivera bientôt pour vous ramener à la voiture de ton amant. Vous vous préparez à la hâte, avalant votre petit déjeuner et rangeant le gîte en même temps. Au moment même où vous essuyez le dernier bol, un coup de klaxon retentit. Votre chauffeur est arrivé. Vous prenez vos sacs, grimpez dans le 4x4, et retournez vers la civilisation, regrettant déjà que cette escapade ne fût pas plus longue. Vous en referez d'autre, sans aucun doute.
Enfin, l'heure approche. Tu ranges tes affaires et laisse place nette. Les clés à la main, tu pars tranquillement vers ta voiture. En ouvrant le coffre pour prendre ton sac, tu ressens comme une présence. Pourtant, il n'y a personne. Ce parking est réservé au personnel, et à cette heure ci, ils sont tous au travail. Bizarre cette sensation... Tu récupères ce que tu es venue chercher et rebrousses ton chemin. En te rendant devant l'agence, tu désespères à la vue du minibus miteux. On va avoir un accident, penses tu. Ou pire. Tu aperçois tes collègues, déjà regroupés auprès du véhicule et te dirige vers eux. Ce ne va pas être si sympa en fait. Trois jours loin du quotidien, oui, mais pas avec les personnes que tu vois tous les jours !!!
A nouveau, tu ressens cette présence. Comme une sensation d'être épiée. Tu n'aimes pas vraiment ça... Jusqu'à ce que tu en comprennes la raison ! De l'autre coté de la route, tranquillement adossé à sa voiture, il est là. Les Ray-Bans toujours sur les yeux, la barbe naissante, il n'a pas changé d'allure. Tu es plus habituée à le voir en maillot sur la plage, et pas habillé de la tête au pied, mais il a fière allure. Tu traverses rapidement la route, évitant de justesse un fou au volant d'un cabriolet. Un léger baiser sur la joue, un peu étrange au vu de vos aventures torrides, mais votre relation doit rester discrète, plus encore, secrète. Tu l'interroges sur la raison de sa présence, si surprenante. Il te répond qu'il part pour quelques jours en escapade dans les montagnes au Pays Basque et qu'il ne faut donc pas que tu t'étonnes de ne pas le voir sur votre plage habituelle. Vu que ton week-end va se passer loin de cet endroit paradisiaque, ce n'est pas trop grave. Mais bon. Tu l'aurais bien accompagné plutôt que de suivre tes collègues dans un hôtel borgne du centre du Mans, où le seul horizon sera celui dessiné sur le papier peint. En parlant de tes collègues... Tu as un bus à prendre, ou plutôt un minibus... Tu te retournes pour estimer qu'il ce qu'il te reste comme temps avant le départ. Mais, il ne t'en reste pas beaucoup, voire même pas du tout. En effet, ils sont tous à bord et le moteur tourne. Tu te dépêches de voler un baiser à ton amant et cours vers le parking, mais il est déjà trop tard. Tu observes impuissante le véhicule s'éloigner dans un nuage de fumée, et tes mouvements de bras ne peuvent rien y faire. Ils t'ont oublié.
Ni une ni deux, tu prends ton téléphone et appelles la seule personne à bord dont tu aies le numéro. Et tu tombes sur le répondeur... Tu lui laisses un message, lui demandant de faire demi tour pour venir te chercher, un peu perdue par ce retournement de situation. De l'autre côté de la route, ton amant sourit de toutes ses dents, et entreprends de te rejoindre. Tu fais la tête, mécontente qu'il te voit en si fâcheuse posture. Ton week-end ne se passe pas vraiment comme prévu. Et c'est de sa faute en plus. Tu lui demandes aussitôt de monter en voiture pour rattraper le minibus. Il s’exécute en riant. Vous prenez la route, sans un mot. Il est gonflé quand même. C'est de sa faute, il ne s'excuse même pas, et en plus il se moque de toi. C'en est trop. Tu lui en fais la remarque, et il s'excuse alors, mais son sourire ne trompe pas sur sa sincérité. Oui, effectivement, la tête que tu avais quand tu as vu le minibus partir pouvait faire sourire. Et tes bras faisant des moulins en l'air aussi. Et ta mine déconfite actuelle n'arrange rien. Tu éclates alors de rire et lui pardonnes aussitôt. Mais tu te vengeras, c'est certain. Tu trouveras bien quelque chose. En cherchant des yeux le fossile de la route qui transporte le personnel de la résidence, tu l'interroges sur son week-end. Une excursion dans les montagnes du Pays Basque sur trois jours. En 4x4. Le rêve. Rien à voir avec le tien. Décidément la vie est mal foutue. Encore que... Au lieu d'être dans un minibus pourri direction Le Mans avec tes collègues, tu es avec lui... Tu as tes affaires avec toi... Et ils ne répondent toujours pas au téléphone... Songeuse, une idée commence à poindre dans ton esprit. Et si tu partais avec lui ? C'est alors qu'il te fait remarquer qu'il y a un problème. Sa voiture va plus vite que le minibus, et depuis le temps, vous auriez déjà du le rattraper. C'est un signe. Oui, c'est décidé. Tu changes tes plans. Direction le Pays Basque ! Et va pour l'escapade en 4x4 avec lui !
Assise à l'arrière du le 4x4, à ses cotés, tu repenses au déroulement de ce qui vient de se passer. Le départ avorté pour le séminaire, la vaine recherche du minibus, le silence radio de tes collègues, les plaisanteries échangées sur la route qui vous a mené vers la montagne, le regard ahuri de votre chauffeur en t’apercevant. A sa décharge, l'uniforme tailleur-talons n'est pas la tenue habituelle des baroudeuses. Une main sur ta jambe te sors de tes pensées. Tout en dialoguant avec le chauffeur, ton amant entreprend de te caresser la cuisse. Une main plutôt baladeuse, il semblerait... Elle se glisse sous ta jupe, entre tes cuisses et remonte doucement, tout doucement. L'excitation te gagne déjà. Il faut dire que tu penses depuis tout à l'heure au prochain moment où vous serez seuls tous les deux. Ce soir, t'étais tu dit. L'attente te semblait longue. Pas aussi longue que pour lui, apparemment !
Ses doigts te caressent la chatte à travers ton string. Il te tarde de pouvoir répondre à ses assauts. Lui en profite encore. Tu te décales légèrement sur ton siège, vers lui, afin de lui laisser plus d'espace entre tes cuisses. Il ne se fait pas prier et glisse ton string sur le coté, titillant ton clito de ses doigts experts. Tu te retiens de gémir. C'en est même très difficile. Il te regarde intensément depuis le début et tu lis sur son visage le désir qui est en lui. Tu as le même. Vivement que vous arriviez au gîte pour la nuit. Lui continue. Encore et encore. Tu commences à être très excitée. Si ce chauffeur n'était pas là... Lorsqu'il met un premier doigt en toi, tu réponds de la même manière. Prétextant une position inconfortable, tu te colles à lui encore plus et en profite pour faire sauter le premier bouton de sa braguette et mettre ta main dans son pantalon. Il est déjà dur. Très dur. Sa queue est à l'étroit dans ce jean. Il ne doit pas être à l'aise. Du coup, tu la tiens ta vengeance... Tu vas le faire bander comme jamais, jusqu'à ce qu'il soit impossible que l'on ne remarque pas son érection à travers son pantalon. Tu prends alors sa queue à pleine main et commence un va et vient. Pas facile avec ses vêtements... Pas grave, il faut qu'il bande au max. De son coté, il ne baisse pas les bras. Un deuxième doigt à rejoint le premier. Et ils vont plus profondément que tout à l'heure. Ta chatte est bien lubrifiée maintenant. Tu mouilles même abondamment.
La route change d'un coup, passant du roulis monotone de l'asphalte aux cahots anarchiques d'un chemin de terre. La surprise est totale. Mais pour le coup, il devient impossible de vous masturber mutuellement. Vous arrêtez en même temps. Ta mission est remplie en tout cas, on ne peut pas faire autrement que de le voir bander. Lui retire ses doigts, qu'il lèche sensuellement en te regardant. Tu remets tant bien que mal ton string en place, pas aidée une seconde par ce chemin caillouteux. Puis votre chauffeur vous annonce que le gîte est en vue. En effet, une longue masure se dresse tout près, perdue dans la végétation. Vous dormirez donc là. Il se gare, vous aide à sortir vos sacs et vous annonce que les clés sont sous le seau, près du puits. Il vous rejoindra demain à 8h, avec le petit déjeuner. Surprise par cet abandon non prévu, tu te retourne vers ton amant et le questionne du regard. Il attend que le chauffeur soit remonté dans le 4x4 pour te répondre. Sa mère est à l'hôpital, rien de grave, mais comme elle est vieille, il préfère passer la nuit avec elle. Il en a parlé tout à l'heure dans le 4x4. Tu devais rêver, à ce moment là... D'un coup tu réalises. Vous êtes enfin seuls. Perdus dans la montagne. Sans personne à des kilomètres à la ronde. Si cela aurait pu en effrayer certains, c'est un tout autre sentiment qui vient en toi. Tu sautes sur ton amant sans le prévenir et l'embrasse avec fougue. Viens, lui dis tu. Laissons nos affaires là. Et prends moi. Ici. Maintenant.
Il ne se fait pas prier et t'allonges dans les herbes hautes. Il t'avoue être très excité par ton tailleur, en particulier par ton décolleté. Ok, pas de problème, je le garde pendant que tu me baises, lui réponds tu tout de go. Il remonte ta jupe te retire ton string et commence à te lécher avec passion. Tu nages dans le bonheur. La nuit est tombée vite et tu es là, regardant les étoiles qu'aucune lumière de la ville ne vient masquer, avec ton amant entre les cuisses qui te mordille le clito. Tout en gémissant de plaisir, tu passes tes mains dans ses cheveux et lui caresse la tête, maintenant fermement cette dernière contre ton sexe. Il continue à te lécher, ses mains sur tes hanches, ne s’arrêtant que pour reprendre son souffle. Enfin tu relâches la pression. Tu le libères et lui dit dans un souffle de te prendre.
Il se redresse et descend son jean et son caleçon. Sa bite est dure, elle se dresse fièrement devant toi. Alors qu'il s'agenouille, tu lui saisis le sexe et le branles vigoureusement. Mets la moi, maintenant. Ne t'écoutant pas, il te prend par les hanches et te retourne. Tu te retrouve sur le ventre, allongée dans ces herbes hautes. Mets toi à genoux te demande t'il. Tu obéis sans mot dire.Il prend alors son sexe et le frotte contre le tien, de haut en bas, étalant ta mouille jusque sur ton cul. Resserrant tes cuisses de ses mains, il te glisse sa queue dans ta petite chatte étroite et entreprend un premier va et vient lent et peu profond. Tu gémis à nouveau, plus fort cette fois ci. Puis il accélère la cadence, tout en te prenant de plus en plus. Dans un mouvement de rein plus brusque que les autres, il arrive au fond de toi et redouble alors ses coups de butoirs. Tu ne gémis plus, tu cries. Personne ne peut vous entendre, pourquoi se priver ?Ses mains sont toujours sur tes hanches. Elles agrippent ta jupe retroussée et amplifient son mouvement. Tu te cambres de plus en plus. La tension de tes muscles est à son maximum. L'orgasme arrive, tu le sens. Mais pas encore. Tu en veux plus, toujours plus.
Alors qu'il commence à baisser la cadence, tu lui suggère de changer de position. Il te montre alors un arbre non loin de là. Vous vous y rendez, et, à peine arrivés, il te plaque contre le tronc, te soulève une jambe, et te pénètre à nouveau. C'est si bon. Tu halètes à présent, le plaisir arrivant par vagues successives. Il t'annonce qu'il va jouir, là bientôt. Tu le repousses alors et t'agenouilles, prenant son sexe entre tes mains. Oui tu va jouir, mais dans ma bouche. Tu le suces alors avec fougue le branlant d'une main en même temps. Tu le sens résister, faisant durer le plaisir. Mais il va venir, très vite. Tu redouble alors la cadence et resserre l'étreinte de ta bouche sur sa queue. Tes lèvres appuient maintenant, de toutes parts, augmentant la pression. Puis il vient. Le liquide chaud jaillit dans ta bouche. Une fois, puis deux, puis encore, et encore. Combien de fois a t'il giclé, tu le sais même pas. Mais il a finit, c'est sur. Tu le regardes d'en bas un moment, son sexe encore entre tes doigts. Il a le visage de l'extase. Tu te lèves et l'embrasses sans attendre. Il te rends ton baiser avec passion. Vous retournez ensuite vers la maison, prenant vos affaires au passage. C'est alors que tu lui fait remarquer avec malice qu'il te doit un orgasme, vu qu'il a jouit sans toi. Et que tu exiges de l'avoir ce soir. Au moins une fois.
La chaleur du soleil sur ton visage t'offre ta première caresse matinale. Regardant tendrement ton amant dormant dans le lit à tes cotés, tu repenses à la nuit qui vient de s'achever. Après un frugal repas composé de charcuteries, fromages et fruits de la vallée, vous êtes sortis admirer les étoiles. Les nuits commençaient à être fraîches, vous aviez donc pris une couverture sur le seul grand lit de la maison. Emmitouflés dedans, vous vous réchauffiez l'un l'autre. Cassiopée, la Ceinture d'Orion, sans oublier les Grande et Petite Ourses, il t'apprenait à reconnaître les principales constellations. Un fou rire suivit lorsqu'un bruit vous surpris. Croyant à une bête sauvage, tu serras fort le bras de ton amant, si fort qu'il gardât la trace de tes doigts un moment sur sa peau. Sanglier ou chien sauvage, tu avais un peu peur de ce que vous alliez voir. Il n'en fut rien. Un modeste lapin détala dès que ton chevalier servant pris les armes pour te défendre, à savoir un caillou et un long bâton qui traînaient à coté. Il vous fallut bien dix minutes pour vous en remettre, tellement vos réactions étaient disproportionnées. C'était peut être un lapin ninja, ou l'éclaireur d'un groupe de commando, il était sûrement venu poser des pièges à loups, vous trouviez de nombreuses raisons pour justifier cette frousse passagère. Chacune d'entre elles vous faisait rire de bon cœur, rires qui se répercutaient sur les parois des montagnes environnantes et devaient à coup sûr éloigner tous les animaux présents à un kilomètre à la ronde !
Puis, le froid se faisant sentir malgré la couverture, vous aviez décidé de rentrer dans la longère. Une cheminée ne demandait qu'à être allumée, ce que ton complice fit rapidement. Déjà, de hautes flammes dansaient dans l'âtre. La couverture fut étendue sur les tommettes glaciales, prête à vous accueillir. Tu t'y allongeas sans attendre, ravie de pouvoir te réchauffer devant le foyer. Sa chaleur était vive, le bois parfaitement sec projetait des éclats incandescent contre le pare-feu. Vous partagiez un sentiment de plénitude, l'un contre l'autre, ta tête sur son torse, sa main caressant tes cheveux. Le silence était de mise, seulement troublé par les crépitements du feu. Mais ce n'était pas un silence gênant, comme ceux que l'on connaît parfois, mettant mal à l'aise tous ceux qui le subissait. Non, c'était un silence envoûtant, pénétrant, impérial. Vous communiquiez sans vous parler, sans vous regarder, seulement par les mouvements de vos mains sur le corps de l'autre. De tendres caresses, entières et sincères.
Puis, relevant la tête, tu l'embrassas. Un long baiser. Plus long que ceux que vous aviez partagé jusqu'à présent. Vos langues de rencontraient avec douceur, dansant l'une contre l'autre avec passion. Tu lui enlevas sa chemise, et entrepris de lui couvrir le torse de baisers. Il se releva légèrement et te prenant entre ses bras, t'allongeas sur le dos. Il prenait les choses en main, se souvenant de ta remarque malicieuse d'avant le repas. Un à un, il ôta chaque bouton de ton chemisier, embrassant avec tendresse les parties de ton corps qui se dévoilaient au fur et à mesure. Lorsqu'il ne restât plus de boutons à défaire, il te relevât et, tout en te volant un fougueux baiser, retira ton chemisier. Te gardant contre lui, il fit glisser doucement les bretelles de ton soutien gorge en dentelle, puis dégrafa délicatement ce dernier, délivrant ta poitrine. Il te rallongea alors et posa sa bouche sur un de tes seins. Avant de jouer avec sa langue sur la pointe de celui ci, il prit son temps, ses baisers décrivant des cercles concentriques se dirigeant vers ton téton durcissant. Il y resta un moment, se plaisant à te faire gémir, avant de passer au second. Il recommença les mêmes baisers, avec autant de tendresse que sur le premier. Le feu couvait en toi, ne demandant qu'à s'exprimer comme celui de la cheminée, toujours très actif grâce aux nombreuses grosses bûches qui s'y trouvaient.
Puis il descendit vers ton nombril, accompagnant ses baisers de caresses voluptueuses. Ses mains atteignirent tes hanches, il dézippa alors ta jupe qu'il fit glisser le long de tes jambes, tout doucement. Tu les relevas en pliant les genoux afin de faciliter son geste. Il se plaça devant toi, et délicatement, écarta tes jambes. S'agenouillant alors, il vint t'embrasser l'intérieur des cuisses, s'approchant lentement de ton entrejambe. Seul ton string protégeait encore ton intimité. Mais plus pour longtemps... Après l'avoir caressé de sa langue, il te le retira sans précipitation. Depuis le début, ses gestes étaient délicats, doux, langoureux. Il ne changea rien et vint poser sa bouche sur ton sexe. Sa langue vint tout d'abord effleurer tes lèvres, avec sensualité, avant de se glisser entre ces dernières. De petits mouvements répétés sans s’arrêter, il réussit à t'arracher tes premiers gémissements. Tu te laissais faire jusqu'à présent. Tu décidas donc de mettre tes mains dans ses cheveux et commença à les lui caresser. De cette manière, tu t'assurais qu'il resterait aussi longtemps que tu le souhaitais à te lécher. Il n'en pris pas ombrage, loin de là. Au contraire, il mit ses mains sur tes hanches et redoubla d'ardeur avec sa langue. Tes gémissements se rapprochaient, se faisaient plus longs, plus profonds. Tu basculas ta tête en arrière, t'abandonnant au plaisir qui montait en toi.
Tu étais prête à le recevoir. Mais ce cunnilingus était si bon que tu ne souhaitais pas qu'il s'arrête. D'ailleurs, il semblait que lui non plus n'avait pas prévu de changer de position. Il continuait à jouer des coups de langues, y ajoutant parfois quelques caresses de ses doigts, chacune d'entre elles faisant monter le désir d'un cran supplémentaire. Tu ressentais ce désir travers tout ton corps, chaque parcelle de ta peau devenant une zone érogène. Le moindre contact de ses mains sur toi augmentait le plaisir. Tes gémissements laissèrent place à de petits cris, devenant plus sonores au fur et à mesure que tes muscles se tendaient. Tu avais relâché l'étreinte de tes mains sur sa tête mais il restait toujours là, le visage contre ton sexe, ses bras enroulant tes cuisses, ses mains sur tes hanches. Il devint impossible de résister à la vague de plaisir qui cherchait à te submerger. Tu t'y résignas enfin, abandonnant le reste de volonté qui te faisait reculer ce moment. L'orgasme arriva. Puissant. Soudain. Intégral. Il dura un long moment, ton amant n’arrêtant pas pour autant de te lécher. C'en était presque douloureux. Un dernier cri de jouissance s'échappa de ta bouche et il releva alors la tête, te regardant avec un sourire. Il se releva, vint s'allonger près de toi, et t'embrassa tendrement. Tu te serras contre lui, vidée de ton énergie. Il devra attendre avant que vous puissiez continuer vos ébats. Tu n'avais plus la force de faire quoique ce soit. Il passa un bras autour de tes épaules et tu te lovas contre son torse. Tu t 'endormis rapidement, un sourire d'ange illuminant ton visage. Il avait du te porter dans le lit par la suite, car c'était ton dernier souvenir de cette soirée.
Tu regardes alors ton amant, dormant toujours à tes cotés. Lui caressant les cheveux, tu t'approches pour l'embrasser. C'est alors qu'il ouvre les yeux, te sourit, et s'approche lui aussi. Après ce premier baiser de la journée, vous vous regardez et d'une seule voix, vous vous enquérez l'un l'autre de la nuit passée.
Une fois avalé le petit-déjeuner apporté par à votre chauffeur, vous lui demandez le déroulement de votre journée. Il vous explique qu'il doit à nouveau modifier ses plans, l'état de santé de sa mère ne s'améliorant pas. Du coup, au lieu de vadrouiller en 4x4 toute la journée, il vous propose de vous laisser au début d'un chemin de randonnée avec des provisions et de vous récupérer à la fin de celui ci en début de soirée, pour vous amener dans un nouveau gîte. Il se chargera de garder vos affaires dans son véhicule afin que vous ne soyez pas trop encombré. Le programme vous plaît, l'idée de passer la journée ensemble avec pour seule compagnie la nature et ses grands espaces n'y est pas pour rien. Le temps que vous vous prépariez, il va aller vous acheter de quoi boire et manger au village le plus près. Son 4x4 repart sur le chemin caillouteux, et vous le regardez s'éloigner, ravis de la journée qui s'annonce. Le soleil est déjà maître du ciel , et pas un nuage ne vient lui faire concurrence. La météo annonçait un beau week-end, il semble qu'il va être chaud aussi.
Après avoir allumé l'eau de la douche afin qu'elle soit bien chaude quand tu t'y réfugieras, tu te déshabilles en pensant à ce que tu vas mettre pour cette randonnée. Vu la chaleur, le petit short, la paire de basket et le haut sans manche blanc que tu avais prévu pour le séminaire devraient faire l'affaire. La vapeur d'eau s'échappe enfin de la cabine de douche, étonnamment moderne comparée au reste des équipements du gîte. Après avoir testé la température de l'eau, tu y entres en faisant attention de ne pas glisser. Alors que tu coupes l'eau pour commencer à te savonner, une main te surprend en ce posant sur ton épaule. Tu pousses un petit cri malgré toi. Ton amant te rassure aussitôt, ce n'est que lui. Ce n'est pas une raison pour te faire peur. Tu rallumes l'eau et l'asperges de haut en bas, le surprenant à ton tour. Il cherche alors à te prendre le pommeau des mains, mais il glisse. Il se retrouve sur le sol, et toi sur lui, vous deux tenant encore le pommeau de douche. Un éclat de rire plus tard, vous vous embrassez tendrement.
Puis il commence à te savonner tout en te massant, en commençant par le dos. Il descend lentement vers tes lombaires et, en se baissant se met à te caresser les fesses. Une de ses mains passe alors entre tes cuisses et vient te caresser doucement. Tu te cambres aussitôt, lui offrant ton corps. Après quelques caresses, il se relève, son sexe se positionnant tout contre le tien. Un léger va et vient suffit à te lubrifier et il te pénètre ensuite. Afin de ne pas glisser à nouveau, tu t'agrippes au robinet de la douche, accentuant par là la cambrure de tes reins. Il entre de plus en plus profondément en toi, accélérant la cadence, augmentant la puissance de ses coups de reins. Après plusieurs gémissements de l'un comme de l'autre, vous changez de position.
Te faisant face, il te soulève par la taille, et passe ses bras sous tes cuisses. Tu passes les tiens autour de son cou, le regardant intensément dans les yeux. Ces yeux d'une couleur si particulière te feront toujours craquer. Tu aimes quand ils se posent sur toi, lorsque tu es la seule chose qu'ils regardent. Comme actuellement. D'un mouvement de rein, il te pénètre à nouveau. Adossée contre le mur, prisonnière de ses bras, tu n'as aucun contrôle. Mais ça ne te déplaît pas pour autant. Puis, faiblissant, il relâche son étreinte et laisse mettre pied à terre. Tu le forces à s’asseoir sur le sol, le dos collé à la paroi, et tu te place devant lui, à califourchon. Avant d'avoir pu prendre place sur sa queue, il embrasse ta poitrine avec fougue. Il la couvre de baisers, lèche la pointe de tes seins, les mordillent même, puis te laisse faire. Tu t'imbriques sur lui, collant vos corps pleins de mousse. Le savon aidant, vos peaux glissent l'une sur l'autre. Tu enchaînes les mouvements de bassin, cette position assise amplifiant le contact de sa queue à l'intérieur de toi. Tu sens qu'il ne va pas tenir encore très longtemps. Il se retient pour te faire profiter un maximum de ce corps à corps, mais cela ne durera pas. Plutôt que de calmer tes mouvements pour lui permettre de souffler, tu redoubles d'ardeur afin qu'il jouisse sans attendre. Il s'abandonne. Tu lis sur son visage tout le plaisir que vous partagez. Tu te blottis contre lui, son sexe encore en toi, et prolonges votre peau à peau.
Vous vous rincez, finissez de vous préparer, et partez attendre votre chauffeur devant le gîte. Lorsqu'il arrive, vous grimpez rapidement dans le 4x4 et regardez une dernière fois ce lieu dont vous vous souviendrez longtemps. Celui de votre première nuit ensemble.
Le soleil est déjà haut dans le ciel lorsque votre chauffeur vous dépose au début du chemin de randonnée. La chaleur est elle aussi très présente. Vous prenez vos sacs à dos et commencez à gravir le chemin. Un peu escarpé au début, il devient rapidement plus praticable. Plus large aussi. Vous pouvez donc marcher côte à côte, admirant les magnifiques paysages qui vous entourent. Droit devant, les montagnes. Un peu à l'ouest, un village typique de la région qui vous semble abandonné. De nombreux villages donnent cette impression au premier abord, mais en fait les familles qui en sont originaires continuent à y venir dès qu'elles le peuvent, entretenant les traditions et la mémoire de leurs ancêtres. Au loin, on distingue même la mer, faisant de ce paysage un vrai paradis. La nature n'est pas en reste. A perte de vue, la forêt est encore d'un vert éclatant. Pas étonnant vu le temps, on se croirait plus en plein été qu'au milieu de l'automne. Il faudra attendre encore un peu avant que les arbres ne se couvrent de leurs couleurs chatoyantes. Peu d'animaux par contre. Quelques oiseaux volent d'arbres en arbres, cherchant des insectes avant qu'il ne fassent trop chaud. Mais pas de moutons, chèvres ou autres chevaux que l'on aperçoit dans les pâtures d'habitude. Cet endroit est véritablement isolé. A nouveau, vous vous retrouvez seuls au monde.
Au bout de quelques kilomètres, entrecoupés de pauses pour prendre quelques photos du paysage et d'autres de vous ensemble, parfois souriant, d'autre fois riant, souvent s'embrassant, vous vous arrêtez pour vous rafraîchir. A l'ombre d'un grand chêne, vous profitez de ce spectacle idyllique. Quelques gorgées d'eau plus tard, vous vous remettez en route vers les montagnes,en espérant y trouver un lieux accueillant pour votre repas du midi. Le chemin devient rapidement plus caillouteux, et plus difficile à gravir. Ouvrant la marche, tu as parfois quelques difficultés à franchir un obstacle. Ton amant t'aide à chaque fois, te soutenant pour que tu aies un appui supplémentaire. Dès qu'il le peut, il s'arrange pour que ce soit sur tes fesses qu'il pause ses mains, joignant l'utile à l'agréable. Ce la ne te dérange pas le moins du monde, au contraire. Peut-être est ce même pour cela que tu lui demandes de plus en plus souvent de l'aide, car tu t'en sortirais aisément toute seule...
La chaleur se fait à présent écrasante. Bien que vous montiez en altitude, l'air frais est rare. Pas de vent, pas de nuage, pas d'ombre... Vous commencez en plus à avoir faim. Si seulement vous trouviez un endroit un peu à l'ombre, rien que ça... Mais décidément la chance n'est pas ce votre côté. Passé une petite crête, vous espériez trouver votre bonheur. Hélas, le paysage est encore plus désertique. Et devant, une autre ligne de crête annonce sûrement la même chose. D'un commun accord, vous décidez de continuer jusqu'à cette dernière, histoire de voir si ce qu'elle cache sera plus accueillant. Sinon, vous trouverez un rocher pour vous asseoir et y mangerez.
La descente vers le contrebas est assez aisée. Par contre, arrivés en bas, vous remarquez que le chemin pour rejoindre l'autre ligne de crête est plus compliqué. Tu risques de solliciter de l'aide encore, et pas seulement pour le plaisir de sentir ses mains sur tes fesses. Effectivement, il t'aide plusieurs fois. Et lui aussi peine à gravir la pente. Tu l'entends pester contre le chauffeur qui avait décrit le sentier de randonné comme peu parcouru mais magnifique. Oui c'était magnifique, oui c'était peu fréquenté, mais on comprenait aisément pourquoi ! La seule certitude était que la randonnée se terminait près d'une cascade, où le chauffeur viendrait vous chercher en fin de journée. Vivement que vous y soyez !
Arrivés en haut de la seconde ligne de crête, vous découvrez un paysage tout à fait différent. La nature y a repris ses droits. Les arbres foisonnent, les oiseaux aussi. Cela contrastait énormément avec la vallée que vous veniez de traverser. Peut-être était ce un ancien glacier ou quelque chose comme ça. D'un coup plus enjoués, vous descendez rapidement vers l'ombre tant espérée. Manquant même de tomber à plusieurs reprises, l'un comme l'autre, vous y arrivez très vite. Le premier arbre croisé vous offre sa fraîcheur. Vous vous y asseyez et sortez vos bouteilles d'eau. Après avoir englouti vos sandwichs, Vous vous allongez l'un contre l'autre, vous accordant un repos bien mérité. Le sommeil te gagne rapidement. Une sieste réparatrice, lovée contre ton amant, à l'ombre d'un chêne centenaire, quoi de mieux ?
A ton réveil, ton amant te regarde avec un grand sourire. Après l'avoir embrassé et questionné sur la durée de ta sieste, qui ne fût pas si longue, tu l'interroges sur cet énigmatique sourire qui ne quitte pas son visage. Il se lève et t'invite à le suivre. Intriguée, tu le suis à travers un gros bosquet d'arbres. Dès que vous en sortez, s'offre à toi une vision irréelle. Droit devant, à quelques dizaines de mètres, une cascade. La cascade. Se déversant dans une petite retenue d'eau, elle vous semble être un Graal à porté de main. Te lâchant la main, ton complice retourne dans le bosquet, partant chercher vos affaires restées près du vieux chêne. Tu en profites pour aller vers la cascade et son petit lac. L'eau est claire, on voit le fond sans problème. Ce n'est pas très profond d'ailleurs, un mètre sûrement, pas beaucoup plus. Trempant ta main dans l'onde pure, tu la trouves un peu fraîche, normal pour la saison, et insolemment accueillante par cette chaleur. Le soleil est à présent à son zénith. Tu enlèves tes chaussures, ton short et ton débardeur et entre dans l'eau, seulement vêtue de tes dessous. Bien qu'un peu froide au début, tu t’accommodes facilement à cette température et avance vers le milieu de cet havre de paix. Quel plaisir ! Tu ne regrettes pas d'y être entrée !
D'un coup d’œil par dessus ton épaule, tu cherches ton amant. Il est sûrement revenu avec les affaires maintenant. Oui il est là. Avec son appareil photo. Et il te mitraille. Tu te laisses prendre au jeu et choisis des poses de plus en plus lascives, telle une nymphe antique cherchant à séduire sa proie. Toujours à son appareil, il t'encourage dans ton entreprise. Tu décides de l'exciter davantage, commence à retirer ton soutien gorge, dévoilant ta poitrine à son objectif, et le lance sur la berge, à quelques centimètre du photographe. L'eau fraîche a eu raison de ta poitrine, tes seins pointent allègrement. Continuant à poser de façon suggestive, tu te retournes et te cambres, tout en mettant tes mains sur tes hanches. Tout doucement, tu fais glisser ton string vers le bas, l'envoyant ensuite rejoindre ton soutien gorge. Tu t'amuses à l'imaginer tout excité, à l'étroit dans son jean. Tu le vois poser son appareil, se déshabiller à son tour et te rejoindre dans l'eau.
A peine est il entré que tu l’asperges vivement. Il court vers toi, mais glisse au fond de l'étendue d'eau. Il s'étale de tout son long et coule comme une pierre, pour réapparaître un moment plus tard juste devant toi. En se relevant, il t'attrape les jambes et te pousse en arrière. A ton tour d'avoir la tête sous l'eau. Tu émerges, lisses tes cheveux vers l'arrière et passes tes bras autour de son cou. Vous vous embrassez longuement, ne vous souciant de rien d'autre. Au baiser viennent s'ajouter des caresses mutuelles. Ses mains parcourent ton dos de haut en bas plusieurs fois. Elles terminent leur course sur tes fesses. Il t'avoue alors avoir été subjugué par la vision que tu lui avais offert un peu plus tôt, lorsque tu t'es cambré, lui tournant le dos, et que tu as retiré ton string. Il avait envie de te prendre à l'instant même, en levrette. jamais il n'avait ressenti une telle pulsion. Puis il se met à te chatouiller. Sans prévenir. Tu pousses un cri et t'enfuies vers le rivage.
Il te poursuit et te rattrape dès que tu as posé un pied sur la berge. Te serrant dans ses bras, il roule sur le côté et vous vous retrouvez tous les deux au sol, encore enlacés. Un baiser passionné plus tard, Il entame une série de caresse, directement centrée sur ta petite chatte. Tu remarques que sa queue est déjà toute dure, une fois de plus. Ses gestes sont plus appuyés, plus puissants. Une de ses mains rejoint ta poitrine et s'attaque à un de tes seins. Tu es surprise par l'intensité de ses caresses, il t'avait habitué à plus de douceur. Cette fois ci, c'est plus bestial. Mais cela te convient parfaitement. Tu l'encourages alors en poussant de profonds gémissements. Tu souhaites ardemment qu'il continue de cette façon, plus brut, plus primaire.
Soudain, il te tourne sans ménagement et tu te retrouves allongée sur le ventre. Il glisse alors sa queue entre tes jambes et te pénètre d'un coup, au plus profond. Tu ressens une légère douleur, mais elle se mêle aux plaisir et désir, et devient du coup plus supportable. Ses va-et-vient sont rapides et profonds. Il sort presque de toi à chaque foi, avant de replonger entièrement. Il halète. Toi aussi. Tu écartes enfin les jambes, relevant par la même occasion tes hanches, lui offrant la même cambrure de reins que celle qu'il l'avait tant excité. Un long gémissement sort de sa bouche. Guttural. L'expression de son plaisir. Il accélère encore la cadence, amplifiant encore son mouvement. Plusieurs fois, il sort complètement sa queue de ta chatte avant de te pénétrer à nouveau de tout son long. Tu cries à chaque fois. Plus de désir que de douleur, qui elle s'est atténuée pour n'être presque plus présente. Lors d'un dernier assaut, il jouit sans pouvoir se retenir, et le liquide chaud gicle sur tes fesses. Il s'allonge alors à tes cotés et pousse un soupir d'épuisement. Tu te blottis contre lui, et lui fait remarquer qu'il n'avait pas encore montré cette facette de sa personnalité. Avant qu'il ne puisse répondre, tu lui glisses que tu as adoré, et l'embrasses sans attendre. Une fois que vous avez repris quelque peu votre souffle, vous retournez vers vos affaires et mangez un morceau. Persuadés d'être arrivé au terme de votre randonnée, au vu de la description de la cascade et de son environnement, vous avez encore un peu de temps devant vous, le chauffeur ne devant pas arriver avant deux bonnes heures.
Tu prends la main de ton amant, et le force à se lever. Tu l'emmènes vers la berge et vous entrez à nouveau dans l'eau. Tu lui susurres à l'oreille le désir que tu as qu'il te prenne sous la cascade. L'entraînant de l'autre coté du petit lac, tu t'échappes et te précipite vers la cascade. Une fois arrivée, tu te glisses dessous, face à la paroi, et te cambres à nouveau, la chute d'eau tombant sur ta chute de rein. Tu lui offres à nouveau cette vision qui l'a troublé précédemment. Il ne se fait pas prier pour te rejoindre, se colle à toi et commence par t'embrasser le cou. Tu le laisses faire un moment avant de te retourner en te baissant, prenant son sexe entre tes mains. Tu le caresses, le masses, le lèches avant de le sucer. Tu y prends autant de plaisir que lui, avalant sa queue jusqu'au bout, pressant dessus avec tes lèvres, l'aspirant prestement. Lorsqu'elle est bien gonflée, tu te relèves et embrasses ton amant.
Tu te retournes à nouveau, agrippant à la paroi. L'intimant à te rendre la pareille, il s’exécute. Sa langue vient fouiller entre tes lèvres, à la recherche de ce divin bonbon. Malicieusement, tu accentues la cambrure de tes reins. Sa langue remonte alors de ta chatte vers ton cul. Une fois qu'elle y est, tu fais quelques mouvements du bassin pour qu'elle te titille ton autre trou. Tu t'arrêtes ensuite, voulant voir sa réaction. Lui ne s'arrête pas, et continue de te lécher. Doucement, un doigt vient remplacer sa langue. Très lentement, il commence à entrer et sortir peu profondément. Tu aimes cette sensation, et ses mouvements très doux. Tu n'aurais pas apprécié qu'il soit bestial comme tout à l'heure, pas à cet endroit. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, tout aussi délicatement. Le laissant te titiller encore un peu,tu l'invites par la suite à se relever et à te prendre sur le champ, lui demandant d'être aussi doux et délicat qu'il l'était avec ses doigts.
Conscient de la douleur que cela pourrait te procurer, il suit tes conseils à la lettre. Il commence par frotter sa queue contre ton cul, avant de la mettre doucement dans l'axe. Très lentement, il entre en toi, s'enfonçant en toi un peu plus profondément à chaque fois. Il prend son temps et tu lui en es reconnaissante. La sensation n'est pas aussi désagréable que dans ton souvenir. Enfin il arrive au fond, mais n'accélère pas pour autant la cadence, ajustant la puissance de ses coups de reins à celle de tes gémissements. Peu à peu, la vitesse augmente. Le plaisir aussi. Le désir surtout. Puis, sentant à son souffle qu'il est sur le point d'avoir un orgasme, tu fais en sorte qu'il se retire, et lui déclare avoir envie de le voir jouir. Tu prends à nouveau sa queue entre tes mains et, tout en l'embrassant, le masturbe rapidement. Lorsqu'elle atteint son paroxysme, tu te baisses et oriente son sexe vers ta poitrine. Tu veux le voir gicler sur tes seins. Et tu es rapidement comblée, tes seins sont vite aspergés. Te rinçant sous la cascade, tu échanges un sourire complice avec ton amant et vous retourner vers le rivage. Il est temps de vous rhabiller et de rassembler vos affaires, votre chauffeur ne devrait plus tarder à arriver.
Une nouvelle fois, votre guide vous laisse seuls. Il reviendra vous chercher demain matin, pour vous ramener à votre point de départ. L'escapade touche à sa fin. Mais il vous reste encore une nuit à passer ensemble, et vous êtes bien décider à en profiter au maximum. La randonnée faite ce jour avait été un vrai moment de bonheur pour tous les deux, vous en garderez de magnifiques souvenirs. Le guide vous avait appris que vous n'aviez pas suivi le bon itinéraire. Il aurait fallu contourner par la vallée l'ancien glacier. Il y avait une aire d'accueil pour pique niquer à mi-chemin du parcours. Du coup, vous n'avez fait qu'une partie de la randonnée. Mais ce n'était pas plus mal, vous avez pu en profiter autrement. Vous entrez dans le gîte, plus petit que celui de la nuit dernière, mais plus cosy, si on excepte l'absence de cheminée. La décoration y est soignée, le mobilier plus moderne. Une pièce pour vivre, une pour dormir. Ce devait être une ancienne bergerie reconvertie en gîte pour les randonneurs assez récemment. Le seul point commun qu'ont les deux gîtes est l'isolement. Décidément, vous aurez passé tout votre week-end coupés du monde. Toujours pas âme qui vive à l'horizon, pas de réseau téléphonique non plus. En vérifiant ton téléphone, tu repenses au séminaire du Mans et à tes collègues qui s'y trouvent encore. Tu es ravie de ne pas être avec eux. Par contre, il va falloir ruser pour justifier ton absence. Le fait qu'ils t'aient oublier en partant est un bon début, reste à trouver une excuse pour ne pas les avoir rejoint.
Perdue dans tes pensées, tu ne remarques pas ton complice s'affairant en cuisine. C'est l'odeur des champignons cuisant dans la poêle qui te ramènes à la réalité. Un bol d’œufs battus les rejoignent, une omelette prend forme peu à peu. Tu réalises alors que tu meurs de faim. Une fois le repas englouti et la vaisselle faite, vous vous asseyez sur le banc de bois trônant devant l'ancienne bergerie. Lovée dans les bras de ton amant, une grosse couverture vous enveloppant comme le premier soir, vous admirez à nouveau le paysage. Cette fois ci il est plus tôt, ce n'est pas la voûte céleste et ses myriades d'étoiles qui vous absorbent, mais un superbe couché de soleil. Il descend pile entre deux à-pics, semblant vouloir rejoindre la mer que vous apercevez au loin. Ce coucher de soleil entre les deux falaises doit être visible depuis ce banc seulement une fois par an, et vous avez la chance de pouvoir en profiter. Ce rare phénomène renforce le romantisme de l'instant partagé. Vous vous sentez bien, si bien l'un contre l'autre, que vous aimeriez que cela ne finissent jamais. Mais il va bien falloir reprendre le cours de vos vies respectives. Vous réussirez à vous revoir souvent, peut-être pas sur votre plage, les températures risquant de chuter bientôt, mais vous trouverez autre chose en temps voulu. La nuit tombe soudainement, le soleil ayant fini sa course. Vous observez les premières étoiles de la nuit et rentrez vous mettre au chaud.
N'ayant pour seul chauffage qu'un radiateur d'appoint dans la salle d'eau, le gîte est vite glacial. Vous décidez donc de mettre le petit convecteur dans la chambre et vous vous glissez sous la couette. A peine tu es installée que les mains de ton amant se font baladeuses. Elles courent sur ton corps, en caressant chaque parcelle. Il est décidément joueur ce soir. Mais tu as un autre programme de prévu. Tu as décidé de mener la danse cette nuit. Tu l'enjambes, t'asseyant sur lui, et le regardes. Il est à toi, rien qu'à toi. Il amène ses mains à hauteur de ton soutien gorge, comme pour le retirer, mais tu l'en empêches. Ce sera quand tu l'auras décidé. Tu te frottes contre lui, vos sexes l'un contre l'autre, seulement séparés par le tissus de vos sous-vêtements. Lentement, tu sens sa queue grossir à ton contact. Tu souris de malice. Tu aimes cette sensation, savoir que tu l'excites comme tu veux, à l'instant où te le choisis. Tu accélères ton mouvement, pressant plus fort ta chatte sur lui. Même à travers ton string, ton clito est très sollicité. Tu commences à mouiller, c'est le moment que tu attendais.
Tu te retournes alors, te positionnant pour un 69. Dans le même mouvement, tu poses ta chatte sur sa bouche et glisses tes mains dans son boxer. Sa queue et chaude et dure. Elle est déjà prête à t'honorer. Mais pour le moment, tu as autre chose en tête. Lui n'est pas en reste. Il a placé ses mains sur tes hanches et te donne quelques coups de langues bien placés. Entre lui qui te lèches et toi qui mouilles, ton string colle entièrement contre ta chatte. Tu l'autorises à te le retirer, ce qu'il fait sans attendre. Un jeu de jambes plus tard, tu reprends ta position initiale. Cette fois ci, tu t’assoies quasiment sur son visage. Il te mange littéralement le sexe, ses lèvres ne quittant plus les tiennes. Sa langue fouille en toi sans ménagement. De ton côté, tu t'amuses avec sa queue comme avec une glace. Tu la lèches de bas en haut, la tenant dressée entre tes mains. Enfin tu la prends dans ta bouche. D'abord douce, tu deviens rapidement plus bestiale, comme si tu souhaitais qu'il jouisse tout de suite. Lorsque tu sens qu'il commence à tendre ses muscles, tu ralentis d'un coup, redevenant d'une douceur et d'une délicatesse extrême. Tu joues à ce jeu encore un peu, devenant plus précise, te rapprochant à chaque fois un peu plus du moment fatidique. Mais tu sens ce moment plus facilement, décryptant en même temps la cadence et la puissance des coups de langues que tu reçois.
Puis tu te redresses, abandonnant son sexe, pour lui permettre de souffler. Par contre, tu ne bouges pas de son visage, accentuant même le contact. De quelques mouvement de bassin, tu te frottes contre lui, faisant de ton amant ta chose. Lorsque le désir qu'il soit en toi l'emporte, tu te relèves complètement, te retournes et t'allonges sur lui. Vos sexes, vos poitrines, vos corps tous l'un contre l'autre, tu l'embrasses avec passion. Ses mains recommences à te caresser, mais tu les repousses. Te redressant en même temps, tu places sa queue à l'entrée de ta chatte. Tu la fais entrer tout doucement, très lentement, de quelques millimètres de plus à chaque mouvement de reins, mais pas plus. Sans prévenir, tu t'empales d'un coup jusqu'au plus profond de toi. Tu entames alors une série de va-et-vient torrides, modulant la vitesse en fonction des réactions de ton amant. Tu fais durer le plaisir ainsi pendant de longues minutes, comme tu l'as fait juste avant en le suçant. Il est à ta merci, te laissant faire, voyant quel plaisir te procure ce sentiment de le dominer. Il est certes un peu frustré de ne pouvoir te caresser pendant ce temps, admirant ta poitrine qui se soulève à chacun de tes coups de rein. Tu l'autorises alors à se servir de ses mains qu'il vient placer aussitôt sur tes seins. Cette nuit, c'est toi qui as les commandes. Tu jubiles à cette idée. Tu en profites pour faire durer le plaisir au maximum. Mais arrive le moment fatidique. Celui ou c'est toi qui est au bord de l'explosion. Tu te retiens autant que tu peux, mais l'orgasme est là, de plus en plus présent. Et il l'a remarqué. Entre l'expression de ton visage, la tension de tes muscles et la cadence de tes coups de reins, il l'a remarqué. Et il en profite pour changer le cours de la situation. Il te saisis par les épaules et se retire. T'allongeant sur le ventre à la place qu'il occupait jusqu'à présent, il vient se placer derrière toi, te prenant les hanches entre ses mains. Il te met force à te cambrer et te pénètre directement, entamant une levrette puissante. Vous ne tardez pas à ne plus pouvoir vous retenir, l'un comme l'autre. Vos orgasmes arrivent en même temps, vos cris de plaisir s'unissant. S'allongeant ensuite à tes côtés, il t'ouvre ses bras et tu viens t'y blottir. Vous vous endormez ainsi, ne faisant qu'un.
Le réveil est dur ce matin, la nuit fut courte. Il est déjà tard et votre guide arrivera bientôt pour vous ramener à la voiture de ton amant. Vous vous préparez à la hâte, avalant votre petit déjeuner et rangeant le gîte en même temps. Au moment même où vous essuyez le dernier bol, un coup de klaxon retentit. Votre chauffeur est arrivé. Vous prenez vos sacs, grimpez dans le 4x4, et retournez vers la civilisation, regrettant déjà que cette escapade ne fût pas plus longue. Vous en referez d'autre, sans aucun doute.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Belatucardus
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...