Escapade polonaise (1/3) La découverte de chacun (histoire vraie)

- Par l'auteur HDS Band - Paul Band -
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Récit libertin : Escapade polonaise (1/3) La découverte de chacun (histoire vraie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Escapade polonaise (1/3) La découverte de chacun (histoire vraie)
Escapade polonaise (1/3) La découverte de chacun (histoire vraie)

Je m'appelle Paul, 22ans, 1m80 plutôt sportif et je vais vous raconter une aventure que j'ai vécue avec une merveuilleuse fille lors de mon passage de plusieurs mois en Pologne à Varsovie.

Nous nous sommes rencontré sur tinder, elle était dans la même université que moi et étudiait la même discipline. Sur ses photos elle avait l'air petite, des cheveux étincelants d'une teinture rouge orangée et un sublime sourrire contredisant les clichés polonais. Je la contacte en lui demandant si elle étudie bien ma faculté (j'avais un doute car sa bio était en polonais) et lui demande quels musées visiter à Varsovie car elle adore en visiter.

Par chance elle répond rapidement, on fait connaissance, puis je lui demande si elle serait partante pour être ma guide le lendemain car j'avais peu de cours ce jeudi. Elle me dis qu'elle sort en soirée le soir même et qu'elle doute d'être en bon état pour me rencontrer, mais qu'elle aimerait beaucoup me voir. Le lendemain vers midi, elle me contacte pour me dire qu'étrangement elle se sent bien malgré tout l'alcool de la veille. On se donne donc rendez-vous dans la vieille ville au coucher de soleil à 17h. Je n'avais pas encore eu le temps d'y aller me promener.

Lorsque je la vois au loin, je me dis qu'elle est petite (elle m'avait prévenu faire 1m50), j'aime sa tenue, une jolie robe d'hiver avec un long manteau élégant par dessus. Une fois les présentations faites, nous commençons à nous promener, puis commençant à avoir froid nous rentrons dans un petit café très cosy et romantique. Un thé pour elle et un chocolat chaud pour moi. Nous discutons l'un face à l'autre pendant près d'1h30, de nos hobbies, de voyage, de nos études.

Le feeling est présent et après cette discussion nous décidons de sortir du café. Nous marchons alors en quittant la vieille ville pour se diriger vers le nouveau centre. Nous continuons de discuter, il fait nuit, nous marchons 20 bonnes minutes ensemble. Nous décidons de nous asseoir sur un banc en face du batiment emblème de la ville. Nous y discutons, jusque 20h15 où elle me dit qu'elle a envie de nuggets en voyant le mcdo en face de nous. On commande, on s'installe au chaud, elle s'asseoit sur la banquette, je me place à côté d'elle et non en--face pour pouvoir être plus proche. C'est à ce moment là que j'aperçois une de mes collocataire sur une des tables en-face de nous.

Elle travaille sur son ordi car elle a déjà fini de manger. Elle ne nous a pas vu pour le moment et nous reprenons donc notre discussion tout en mangeant. Lorsque mon date part aux toilettes, ma collocataire arrive à ma table avec un grand sourrire pour discuter et dire bonjour, le même sourrire que quand elle me voit sortir de la salle de bain en peignoir. La polonaise revient à notre table, elles se saluent puis ma collocataire espagnolr repart à sa table. À ce moment là, nous parlons de nos passions / hobbies, principalement moi. Elle ne fait que m'écouter et me regarder avec des yeux dévorants et un sourrire radieu. Je passe mon bras sur le dossier de la banquette pour prendre une position plus confortable et me rapprocher.

Je vois dans la manière qu'elle me regarde qu'elle apprécie le moment. Ses yeux fixent régulièrement mes lèvres, ce qui me fait sourrire et m'interrompt dans mon récit. Je vois du coin de l'oeil que ma collocataire quitte la salle. Ma main qui se trouve derrière glisse dans ses cheveux, et les caresse tout en douceur. Petit à petit je parle de moins en moins et me rapproche de plus en plus jusqu'à ce que l'on s'embrasse. Nos lèvres et nos langues font connaissances. Tout se passe lentement, en douceur, le temps s'arrête, nous restons dans notre bulle et nous profitons du moment.

La discussion poursuit son cours, mais nous nous interrompons pojr nous embrasser de temps à autres. Vers 22h15, elle regarde l'horaire des tramways pour rentrer chez elle tant qu'il y en a encore. Quelques minutes plus tard, nos sortons dehors et allons prendre le tram. Je monte avec elle pour la raccompagner. Nous discutons et nous embrassons au fond du tram. Arrivés devant chez elle, elle me montre où prendre le tram pour rentrer chez moi. Nous l'attendons en disant que nous avons passés une bonne soirée, nous nous embrassons, puis nous quittons.

En rentrant à mon appartement, les filles de la collocation me harcèle de questions pour savoir qui elle est, comment c'était et ce que nous avons fait.

Nous nous donnons rendez-vous 3 jours après, le dimanche soir. Elle prend le tram jusque devant chez moi, puis nous allons nous promener dans le plus grand parc de la ville, avec un musée, des canaux, beaucoup d'écureuils, quelques paons, canards et corbeaux. Endroit très sympatiques pour se promener et discuter, cependant après 2heures nous décidons de s'en aller car il y a un match de foot pas très loin et que les supporters du club sont bruyants. Nous marchons vers le centre ville pour trouver un endroit où manger. Nous parlons de tout et de rien, des sujets auxquels je n'aurais pas pensé parler un jour, mais ce la restait une discussion très intéressante avec une superbe personne.

Après une longue hésitation, nous mangeons un pad thai thailandais assez chargé, nous avons tous les 2 du mal à le finir. Nous ne prenons pas de dessert à cet endroit, mais je lui propose que nous soyons chacun le dessert de l'autre. Ce qu'elle accepte avec plaisir. Nous sommes plus près de chez elle et nous nous y dirigeons. Elle habite un dortoire étudiant. Toutes les chambres sont des chambres doubles, avec 2 étudiants, les cuisines, les douches et les toilettes sont partagés par environ 40-50 étudiants. Elle me dit que sa colloc est avec sa copine pour la soirée.

Elle m'enregistre à l'accueil du dortoir ouis nous montons dans sa chambre. Le batiment est massif, les couloirs sont très larges et les étages sont hauts de plafond. Sa chambre est petite, rudimentaire, mais l'endroit est très bien vu le prix du loyer. Nous nous mettons a l'aise, retirons manteaux et chaussures. Je regarde tous les éléments de décors de sa chambre. Il y en a tellement c'est fascinant. Puis nous nous concentrons plus l'un sur l'autre. Nous nous embrassons debouts, puis je m'asseois sur sa chaise de bureau car plus pratique vu la différence de taille (1m80 et 1m50).

Je suis assis, elle est debout, nous nous calinons puis embrassons avant qu'elle s'asseoit également, sur moi, en me chevauchant. Je descends vers son cou, puis elle me dit qu'elle ne prend pas particulièrement de plaisir quand elle reçoit des bisous dans le cou. Je lui demande ce qu'est son truc, elle me répond "les mains". Au même moment elle me prend la main, puis commence à me lécher un doigt, avant de l'enfoncer dans sa bouche et de le sucer avec toute la tendresse et la dextérité qu'une bite mérite. Ma queue réagit de suite, elle le sent car elle est assise dessus. Nous commençons ensuite à retirer notre haut. Puis nous montons dans son lit.

Nous nous caressons nos torses, nous embrassons, puis retirons nos pantalons. Je lui retire ensuite sa culotte pour déguster sa vulve. Trempée, un peu salée, ma langue bouge sur son clito tandis que 2 doigts la pénètrent. Elle gémit très rapidement. Elle me guide en me demandant d'accélérer, en me disant que c'est bon, de garder le rythme, d'accélérer encore, de surtout ne pas m'arrêter. Elle gémit fort, je sens son vagin se serrer sur mes doigts. "Oh oui vas-y, t'arrêtes surtout pas". Mon bras me fait mal mais je continue en espérant la faire jouir, motivé par ses gémissements. Soudain elle me demande de m'arrêter, elle me dit qu'elle a une crampe... nous sommes tous les 2 déçus, je lui laisse le temps qu'elle veut pour s'en remettre.

Une fois prêts à nouveau, je l'embrasse en lui demandant si elle prête à passer à la suite, puis je retire mon caleçon et libère ma queue très dure. Je la vois regarder ma bite avec un air de surprise, elle la fixe. Elle me dira plus tard qu'à ce moment elle pensait que ça ne rentrerait pas. Elle s'allonge sur le dos, je m'allonge au dessus d'elle pour me préparer à la pénétrer. "Va doucement!" me précise-t-elle avant que je la touche. Je positionne ma bite sur son vagin. Elle est toujours trempée, je pousse légèrement, très doucement, seulement une partie du gland rentre. Je lui demande si ça va, je suis attentif à ses réactions, puis je m'enfonce encore d'un cm avant d'attendre à nouveau pour lui laisser le temps de s'adapter. Je continue à m'enfoncer très lentement, étape par étape jusqu'à ëtre rentré entièrement. Je reste enfoncé pendant 20secondes, l'embrasse, la questionne pour savoir comment elle se sent. Elle me dit qu'elle se sent remplie, et que je peux bouger. Je commence alors à me retirer puis re rentrer, tout en restant très lent. J'attends ses instructions, jusqu'à ce qu'elle me dise d'accélérer.

J'accélére un peu et prend un rythme assez lent, tout en l'embrassant. Au bout de quelques minutes elle me demande encore d'accélérer. Cette fois elle est complètement habituée à ma présence et je peux la baiser sans me soucier de lui faire mal. J'accélère donc franchement, mon bassin tape son entrejambe, son corps bouge sous mes coups, ses gémissements s'intensifient. Avec mes mains, je la bloque pour qu'elle ne bouge plus et qu'elle encaisse encore plus ma bite en elle. "Oh ouii, défonce moi, je suis ta pute" Aucune pitié pour elle, je donne tout, c'est le dernier sprint final. Nos corps fusionnent, ma queue fait le marteau-piqueur, puis je me sens venir. Je m'enfonce alors entièrement et gicle au fond de sa chatte.

Je suis épuisé, je m'écroule à côté d'elle. "C'était super bon" me dit-elle avant de m'embrasser. Nous restons quelques instants blottis l'un contre l'autre avant de se rhabiller et de se quitter car je n'étais pas autorisé à rester et devait partir avant 23h.

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Texte coquin : Escapade polonaise (1/3) La découverte de chacun (histoire vraie)
Histoire sexe : Une rose rouge
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