Esclave pour salauds - Zoran
Récit érotique écrit par Steph24a [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Esclave pour salauds - Zoran
3 heures du mat.
Le quartier du 93 où le mec m'avait filé rancard était carrément craignos. J'ai failli faire demi tour. Mais j'étais trop en manque, excité grave.
Il m’avait levé sur un site spécialisé. Ce qu’il cherchait c'était un minet céfran, maso, pour le loper, l'utiliser comme défouloir, en faire sa pute, son esclave.
A 24 ans, ça faisait déjà des années que je pratiquais le sm.
Ado déjà, j'étais attiré par les Mâles, la soumission.
J'ai commencé à me faire loper à 16 ans. De la soumission je suis passé au sm, avec des plans de plus en plus hard.
Je me suis fait démolir par tous types de mecs, des jeunes, des vieux, des blacks, des rebeus.
Mais jamais par un manouche.
Zoran, il m'avait chauffé grave.
Un rom, 25 ans, super bandant, avec une teub de 24 cm.
Il m'avait prévenu que j'allais morfler, qu'il allait me foutre la misère.
C'est ce que je voulais.
J'ai appelé le 06 qu'il m'avait filé.
Le squat où il m'attendait était au 5è étage. L'immeuble était délabré.
Evidemment pas d'ascenseur. C'était encore plus glauque que le quartier lui-même.
Au 5è , toutes les portes étaient défoncées, sauf une, entrouverte, d'où filait un rais de lumière.
Je me suis foutu à oilp, comme il l'avait demandé. Il voulait que m'offre total nu dès mon arrivée.
J'en ai profité pour me gazer à donf au poppers.
La porte du squatt était solide, avec 4 verrous. Je les ai mis et j’ai rejoins Zoran, dans la seule pièce éclairée.
Elle était comme le reste, des planches clouées qui masquaient les fenêtres, une vielle moquette tachée, trouée par endroits, le papier peint qui se décollait, une ampoule nue qui pendait du plafond. J’avais déjà fait des plans dans des endroits sordides, mais jamais à ce point.
Zoran lui était encore plus bandant que sur ses tofs.
Il m’attendait, en boxer, vautré sur un canapé, les jambes écartées.
J’ai été direct m’agenouiller entre ses cuisses, pour embrasser, sniffer, lécher l’emplacement de son sexe.
Il avait pas raconté de craques sur ce qu’il avait entre les jambes : le boxer suffisait à peine à contenir son pacson.
Et son slob puait grave le Mâle, un mélange d’odeur de sueur, de pisse, de foutre.
J’avais la queue raide.
Très vite, j’ai senti la sienne durcir, gonfler, se tendre.
Jusqu’à ce qu’elle jaillisse hors du slip, dressée, raide.
J’ai voulu le prendre en bouche. Ça m’a valu une gifle.
« J’t ai pas permis de sucer. Avant de goûter mon zob, va falloir que tu l’mérite, t’as pigé, la pute ? »« Oui, pardon »Nouvelle baffe, encore plus violente.
« Et quand tu parles, tu dis Boss ou Maitre. Je sens que je vais devoir t’apprendre où est ta place. Les p’ti pédés comme toi, j’en ai maté d’autres. J’vais t’apprendre à ramper, tu vas morfler grave. J’suis pas une lopette comme les céfran qui te baisent d’habitude. Tu vas enfin savoir ce que c’est un Mâle. Et tu diras merci quand j’t’aurai cassé, compris ? »« Oui, Boss, pardon, Boss »
Il s’est levé, en me tirant par les cheveux pour me mettre debout.
« Tiens toi droit, mains sur la tête, écarte les jambes, que j’examine la marchandise »
J’ai obéi, il a enlevé son boxer, qui de toute manière ne servait plus à rien.
Son chibre était monstrueux, raide, 24 cm au moins, épais.
Le mien, même en rut, avec ses 18 cm était carrément ridicule.
Il m’a pris les couilles en mains et à commencé à les malaxer, tirant dessus, les tordant, les serrant.
J’ai l’habitude de me faire travailler le pacson, mais les autres mecs généralement ils y vont plus soft, au moins au début.
J’ai pigé qu’avec lui, ça allait être du hard et que j’allais vraiment dérouiller.
Ca m’excitait encore plus mais j’ai pas pu m’empêcher de couiner.
« Tu peux gueuler autant que tu veux, j’m’en tape. Personne t’entendra, l’immeuble est vide. Mais ça m'énerve, et quand j’m’énerve, je deviens carrément violent. T’as pigé, batard? »« Oui, Maitre, pardon, Maitre »
Après mes couilles, ça a été le tour de mes tits. Il les a pincés, tirés, mordus sévère. Je bombais le torse pour lui faciliter le travail, tout en serrant les dents.
« Retourne toi, pédé, que je vois maintenant ce que vaut ton trou. »J’ai obéi, écarté les jambes, pour lui présenter mon cul.
Ma chatte était propre, avant me venir je m'étais fait un lavement pour qu’elle soit bien clean. Je sais que les mecs, généralement, ça les branche pas de défoncer un cul merdeux.
Il m’a rentré d’abord un doigt, puis deux, puis trois, en me fouillant bien profond avant de les ressortir et de les sniffer.
« C’est bien, c’est propre. Et en plus t’es bien serré, comme j’aime. Quand je vais t’enfiler tu va le sentir »
« Reste à voir comment tu te comportes sous les coups. Tu prends quoi, ceinturon, cravache, fouet? »« Tout ce que le Maitre veut, Boss. C’est pas l’esclave qui décide. Mais le fouet, j’ai pas trop l’habitude »« Bien répondu. Et le fouet, tu t’y feras. Ça m’excite grave. Mais la c’est juste pour te tester. On va commencer à la ceinture. A genoux, face contre terre »
J’ai obéi, présentant ma croupe.
Zoran, son truc, c'était pas sur les fesses, mais sur le dos.
Les coups ont commencé à pleuvoir. Je serrais les dents, parce qu’il cognait fort.
Après une vingtaine de coups, il m’a ordonné de me retourner et de me coucher sur le dos.
Il se tenait au dessus de moi, le ceinturon à la main, sa bite raide.
A nouveau je me suis pris une vingtaine de coups sur les pecs, le ventre.
Je voyais à son regard que ça l’excitait grave.
Pour finir, ça a été le tour de mon sexe. 10 coups sur le zob, les couilles. J’avais le visage en larmes. J’ai pas pu m’empêcher de gueuler.
A son rictus, j’ai compris que c’était ce qu’il espérait.
« Je t’avais prévenu. Faut pas m'énerver. Du coup, t’en auras 10 de plus »Quand enfin il m’a ordonné de me remettre à genoux, j’avais des marques rouges sur tout le corps.
Mais j'étais toujours en rut.
« Bon. On sent qu’y a du potentiel. La marchandise est de bonne qualité. Mais pour être au niveau, va falloir un peu de temps pour te casser complètement. Suis moi. »
Il m’a entraîné dans la pièce à côté. Elle faisait dans le 35/40 m2. Avant, ça devait être le living. Désormais, c’était une playroom pour plans sado maso, avec tout l'équipement pour démolir les lopes.
Il y avait un grand lit en métal, avec juste un matelas, un sling, un colt de tortures, une barre de suspension fixée au plafond, un carcan, une croix de saint André, une machine à baiser et tout le matos pour s’amuser avec un mec, chaînes, cordes, ballstretechers, bougies, chasteté, pinces diverses, sondes, matos pour electro, cravache, badine, y compris un fouet.
Pas le genre matos de sex shop, un vrai fouet, qui devait marquer grave quand on le subissait.
J’ai compris qu’il était sérieux quand il parlait de me casser total.
Le quartier du 93 où le mec m'avait filé rancard était carrément craignos. J'ai failli faire demi tour. Mais j'étais trop en manque, excité grave.
Il m’avait levé sur un site spécialisé. Ce qu’il cherchait c'était un minet céfran, maso, pour le loper, l'utiliser comme défouloir, en faire sa pute, son esclave.
A 24 ans, ça faisait déjà des années que je pratiquais le sm.
Ado déjà, j'étais attiré par les Mâles, la soumission.
J'ai commencé à me faire loper à 16 ans. De la soumission je suis passé au sm, avec des plans de plus en plus hard.
Je me suis fait démolir par tous types de mecs, des jeunes, des vieux, des blacks, des rebeus.
Mais jamais par un manouche.
Zoran, il m'avait chauffé grave.
Un rom, 25 ans, super bandant, avec une teub de 24 cm.
Il m'avait prévenu que j'allais morfler, qu'il allait me foutre la misère.
C'est ce que je voulais.
J'ai appelé le 06 qu'il m'avait filé.
Le squat où il m'attendait était au 5è étage. L'immeuble était délabré.
Evidemment pas d'ascenseur. C'était encore plus glauque que le quartier lui-même.
Au 5è , toutes les portes étaient défoncées, sauf une, entrouverte, d'où filait un rais de lumière.
Je me suis foutu à oilp, comme il l'avait demandé. Il voulait que m'offre total nu dès mon arrivée.
J'en ai profité pour me gazer à donf au poppers.
La porte du squatt était solide, avec 4 verrous. Je les ai mis et j’ai rejoins Zoran, dans la seule pièce éclairée.
Elle était comme le reste, des planches clouées qui masquaient les fenêtres, une vielle moquette tachée, trouée par endroits, le papier peint qui se décollait, une ampoule nue qui pendait du plafond. J’avais déjà fait des plans dans des endroits sordides, mais jamais à ce point.
Zoran lui était encore plus bandant que sur ses tofs.
Il m’attendait, en boxer, vautré sur un canapé, les jambes écartées.
J’ai été direct m’agenouiller entre ses cuisses, pour embrasser, sniffer, lécher l’emplacement de son sexe.
Il avait pas raconté de craques sur ce qu’il avait entre les jambes : le boxer suffisait à peine à contenir son pacson.
Et son slob puait grave le Mâle, un mélange d’odeur de sueur, de pisse, de foutre.
J’avais la queue raide.
Très vite, j’ai senti la sienne durcir, gonfler, se tendre.
Jusqu’à ce qu’elle jaillisse hors du slip, dressée, raide.
J’ai voulu le prendre en bouche. Ça m’a valu une gifle.
« J’t ai pas permis de sucer. Avant de goûter mon zob, va falloir que tu l’mérite, t’as pigé, la pute ? »« Oui, pardon »Nouvelle baffe, encore plus violente.
« Et quand tu parles, tu dis Boss ou Maitre. Je sens que je vais devoir t’apprendre où est ta place. Les p’ti pédés comme toi, j’en ai maté d’autres. J’vais t’apprendre à ramper, tu vas morfler grave. J’suis pas une lopette comme les céfran qui te baisent d’habitude. Tu vas enfin savoir ce que c’est un Mâle. Et tu diras merci quand j’t’aurai cassé, compris ? »« Oui, Boss, pardon, Boss »
Il s’est levé, en me tirant par les cheveux pour me mettre debout.
« Tiens toi droit, mains sur la tête, écarte les jambes, que j’examine la marchandise »
J’ai obéi, il a enlevé son boxer, qui de toute manière ne servait plus à rien.
Son chibre était monstrueux, raide, 24 cm au moins, épais.
Le mien, même en rut, avec ses 18 cm était carrément ridicule.
Il m’a pris les couilles en mains et à commencé à les malaxer, tirant dessus, les tordant, les serrant.
J’ai l’habitude de me faire travailler le pacson, mais les autres mecs généralement ils y vont plus soft, au moins au début.
J’ai pigé qu’avec lui, ça allait être du hard et que j’allais vraiment dérouiller.
Ca m’excitait encore plus mais j’ai pas pu m’empêcher de couiner.
« Tu peux gueuler autant que tu veux, j’m’en tape. Personne t’entendra, l’immeuble est vide. Mais ça m'énerve, et quand j’m’énerve, je deviens carrément violent. T’as pigé, batard? »« Oui, Maitre, pardon, Maitre »
Après mes couilles, ça a été le tour de mes tits. Il les a pincés, tirés, mordus sévère. Je bombais le torse pour lui faciliter le travail, tout en serrant les dents.
« Retourne toi, pédé, que je vois maintenant ce que vaut ton trou. »J’ai obéi, écarté les jambes, pour lui présenter mon cul.
Ma chatte était propre, avant me venir je m'étais fait un lavement pour qu’elle soit bien clean. Je sais que les mecs, généralement, ça les branche pas de défoncer un cul merdeux.
Il m’a rentré d’abord un doigt, puis deux, puis trois, en me fouillant bien profond avant de les ressortir et de les sniffer.
« C’est bien, c’est propre. Et en plus t’es bien serré, comme j’aime. Quand je vais t’enfiler tu va le sentir »
« Reste à voir comment tu te comportes sous les coups. Tu prends quoi, ceinturon, cravache, fouet? »« Tout ce que le Maitre veut, Boss. C’est pas l’esclave qui décide. Mais le fouet, j’ai pas trop l’habitude »« Bien répondu. Et le fouet, tu t’y feras. Ça m’excite grave. Mais la c’est juste pour te tester. On va commencer à la ceinture. A genoux, face contre terre »
J’ai obéi, présentant ma croupe.
Zoran, son truc, c'était pas sur les fesses, mais sur le dos.
Les coups ont commencé à pleuvoir. Je serrais les dents, parce qu’il cognait fort.
Après une vingtaine de coups, il m’a ordonné de me retourner et de me coucher sur le dos.
Il se tenait au dessus de moi, le ceinturon à la main, sa bite raide.
A nouveau je me suis pris une vingtaine de coups sur les pecs, le ventre.
Je voyais à son regard que ça l’excitait grave.
Pour finir, ça a été le tour de mon sexe. 10 coups sur le zob, les couilles. J’avais le visage en larmes. J’ai pas pu m’empêcher de gueuler.
A son rictus, j’ai compris que c’était ce qu’il espérait.
« Je t’avais prévenu. Faut pas m'énerver. Du coup, t’en auras 10 de plus »Quand enfin il m’a ordonné de me remettre à genoux, j’avais des marques rouges sur tout le corps.
Mais j'étais toujours en rut.
« Bon. On sent qu’y a du potentiel. La marchandise est de bonne qualité. Mais pour être au niveau, va falloir un peu de temps pour te casser complètement. Suis moi. »
Il m’a entraîné dans la pièce à côté. Elle faisait dans le 35/40 m2. Avant, ça devait être le living. Désormais, c’était une playroom pour plans sado maso, avec tout l'équipement pour démolir les lopes.
Il y avait un grand lit en métal, avec juste un matelas, un sling, un colt de tortures, une barre de suspension fixée au plafond, un carcan, une croix de saint André, une machine à baiser et tout le matos pour s’amuser avec un mec, chaînes, cordes, ballstretechers, bougies, chasteté, pinces diverses, sondes, matos pour electro, cravache, badine, y compris un fouet.
Pas le genre matos de sex shop, un vrai fouet, qui devait marquer grave quand on le subissait.
J’ai compris qu’il était sérieux quand il parlait de me casser total.
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