Essayage intime
Récit érotique écrit par AmantDesSens [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Essayage intime
Une main à droite, une main à gauche, pas forcément l’idéal pour pousser un caddie. La
conduite à deux... Mais au moins, je sais que je ne te perdrai pas ! Quelques courses
pour une soirée avec toi. Tout ces gens que nous croisons, vieux ou jeunes couples,
célibataires, mère avec ses enfants....savent-ils ce que nous sommes l’un pour l’autre
? Amis, parents, couples... amants ? Nous faignons le naturel, la situation m’excite,
mais je pense qu’elle te met peut-être mal à l’aise. Peur d’être reconnue, vue,... Il
faut que je balaie toutes ces craintes.
Mais que prendre ? J’ai envie de te faire plaisir, que tu savoures cette soirée, par
tous les sens... Commençons par les fruits et légumes... De jolis fruits, bien ronds,
bien en chair, délicieusement frais. Je me tenterai bien par une petite salade pour
finir notre repas. Mais j’ai envie de te titiller... Tu traines, indécise, à regarder
là quelques fruits, ici quelques légumes. Je suis juste devant quelques jolies raisins
blancs, gorgés de jus... Alterner le plaisir d’un grain dans ma bouche et le gout de
tes lèvres en complément... Je suis en train de choisir une grappe lorsque tu me
rejoins. Ta main passe le long de mes hanches, suave, juste pour me rappeler que tu es
là. Comment pourrais-je l’oublier ? Sans m’en rendre compte, je suis juste à côté des
légumes et fruits secs... Tiens, une racine de gingembre... Je l’inspecte en espérant
que tu me vois. Tu t’approches alors de moi, le sourire aux lèvres, moqueuse. Réalité
ou mythe, je ne le saurais jamais...
Le rayon frais... Pas forcément intéressant pour une chambre d'hôtel... Quoi que... Je
trouve deux bombes de chantilly, les dernières ! Par contre, je m’empresse de les
cacher au fond du caddie : j’ai bien le droit de te préparer quelques surprises... Il
faudra croire que tu auras eu une idée identique... Tu me rejoins avec une belle
barquette de fraises... Je feins la surprise, mais n’en pense pas moins....
Quelques fraises, un peu de chantilly,... quoi d’autres... Boire bien sûr ! L’idée te
fait sourire, ce sourire qui me manque si souvent... Alors je ne veux pas te
décevoir... une bonne bouteille de vin rouge ou bien de champagne... Tu dis que le vin
te rend amoureuse... Le champagne me donne encore plus d’idées... Un peu des deux
alors.... Nous remontons l’allée centrale, le regard furetant ça et là pour trouver
quelques idées de plus à mettre dans notre caddie. Nous passons juste au milieu du
rayon des vêtements. Je ne sais pas pourquoi, mais irrésistiblement, je tourne dans
l’allée. Quelques chemisiers, un jean noir, une ceinture large, une veste au col de
fourrure, autant de vêtement que j’imaginerais fort bien sur toi. Puis, un ensemble
coordonnée en dentelle noire et blanche, un tonga rouge,... hum, là, je t’imaginerais
bien avec … et moi en train de te les enlever... L’idée devient obsédante... Je te
sais joueuse, alors, je vais essayer de parier... auras-tu la même ?
Je reviens sur mes pas. J’examine deux jeans, un pull over. Je te guette. Tu ne tardes
pas à me retrouver. Je décroche les vêtements et je te propose d’aller les essayer. Tu
me regardes, très étonnée. Que nous fassions comme tout couple est une chose, mais au
point d’aller essayer des vêtements.... tu m’interroges du regard. Je ne manque pas de
le soutenir, avec un petit sourire en coin. Le message semble passer, du moins, les
grandes lignes. Maintenant, nous voilà en quête des cabines d’essayage. Nous arpentons
les rayons et au bout de l’allée des hommes, un kiosque nous y attend. Mais
visiblement, le jeu semble se faire à deux. Tu en profites pour prendre au passage une
chemise et un pantalon pour moi. Je ne dis rien et je continue d’avancer.
Arrivé aux cabines, je prends l’initiative de demander celle qui était libre à
l'hôtesse. Je te présente les vêtements que j’ai pris et je t’invite délicatement à
les essayer. Le rideau est tiré, et j’examine que la cabine est bien vide. Mais avant
de t’y abandonner, je ne manque pas de te prendre par la hanche en passant mon bras
derrière toi. Je n’ai qu’à baisser légèrement la tête pour poser mes lèvres sur ton
cou. Je te libère et referme le rideau sur toi. Je reste dehors, adosser à la
séparation des deux cabines. J’observe le passage des gens... en apparence. Mon
oreille tente de décrypter les bruits qui filtrent à tarvers les rideaux et la musique
d’ambiance. Rien. Je décide alors de changer de position. Je me retourne pour
m’écarter un peu. Le rideau est juste écarté pour que je puisse entrevoir ce qui s’y
passe. Tu es presque nue, ne gardant sur toi que tes sous vêtements, toujours aussi
délicieux à admirer.
- tu veux que je vienne te donner mon avis ?
Tu sursautes au son de ma voix et tu te retournes. A travers cette meurtrière de
tissu, tu me découvres. Innocemment, tu me réponds :
- oui, j’ai besoin d’aide, je n’arrive pas à défaire ma jupe.
Je ne me fais pas prier et je m'engouffre dans la cabine. Tu es là, les bras le long
du corps, quasiment nue, à ma portée, à ma merci. Je te prends dans les bras, pour
t’embrasser. Mes mains remontent le long de ton dos pour atteindre l’agraffe du
soutien gorge. Elle ne me résistera pas longtemps. Je me recule, et pudiquement, tu
barres la vue à ta poitrine que je chérie tant par ton bras. De l’autre, sans un mot,
tu me fais signe de ressortir. Je comprends que notre jeu doit se caler sur celui d’un
“gentil” couple essayant des vêtements. Je m’exécute, non sans frustration.
Je reprends mon poste d’observation. Mais cette fois, tu joues avec moi. Tu otes ton
bras, me laissant entrevoir ta poitrine quelques instants. Je meurs d’envie de la
saisir, de l’embrasser. Elle est là, à quelques centimètres de moi. Tu décides
d’essayer le pull. Tu tends les bras vers le haut pour l’enfiler, dévoilant ainsi à
mon désir tout le haut de ton corps. Sitôt descendu, tu m’interpelles pour me demander
mon avis. A nouveau, j’entre. Je passe la main sous le pull pour caresser ces seins
tout en t’embrassant. Je m’abandonne à le soulever pour passer ma langue sur le bout
de tes seins, m’abandonner entre eux. Mais le temps m’est compté et je dois me
résoudre encore à t’abandonner.
- hum, essaye pour voir avec le jean
Et je ressors. Langoureusement, tu te tournes. Tu descends tes mains le long de tes
hanches, tu passes doucement tes doigts sous le bord du pull pour en saisir les bord
de ton string... Pourtant, je ne me rappelle pas t’avoir choisi de string.... Tu te
baisses, coquine, et sans te retourner, tu saisis le jean que j’ai posé à côté de toi.
Tu l’enfiles, puis faisant face au miroir qui nous unit, tu demande mon avis. Je ne
peux décemment pas m’impliquer dans une telle décision sans avoir un avis plus précis.
A nouveau, sans te quitter des yeux, je te rejoins. Je te saisis par les hanches. Je
crois mes bras autour de ton corps, quelques doigts dans la ceinture de ce pantalon
dont le choix n’est plus à discuter... Tu penches la tête pour m’offrir ton cou.
J’embrasse doucement sa base, remonte le long jusqu’au lobe de ton oreille. Nos
regards tentent de se croiser dans le miroir, mes tes yeux sont clos. Je remonte la
main sous le pull pour effleurer un sein... Le résultat escompté se produit et tu
entrouves les yeux. Tu n’as que ton jean et ce pull pour convrir ce corps que je chéri
tant. Qui plus est, deux vêtements que j’ai choisi pour toi, en pensant à toi. Mes
mains s’aventurent sur ces formes, essayent de les dessiner, de les deviner à travers
ces vêtements que j’aurais finalement du choisir plus moulant ! Mais qu’importe, je
sais quelle beauté se cache dessous... Je voudrais simplement l’avoir à moi, là,
maintenant. Je me presse contre toi, tout contre toi. Le temps passe, trop vite, et tu
me rappelles que je dois ressortir. Mais cette fois, je ne partirai pas comme un
voleur... ou alors en t’ayant volé justement un baiser, long, chaud, intense...
- Files, me chuchotes-tu à l’oreille, tout en me repoussant vers la sortie.
- Attends, pendant que tu te rhabilles, tu vas voir comment tombe le jean que tu m’as
pris. Le ton est suffisamment fort pour que les personnes autour entendent... Je tends
le bras hors de la cabine pour saisir les deux jeans que j’ai laissé sur le bord du
caddie. Tu restes là, surprise. J’enlève doucement ma chemise, sans perdre tes yeux du
regard. Tu me souris, et alors que je commence à la retirer, tu t’approches pour la
saisir par les manches. Je sens la chaleur et le picotement de ton pull tout contre ma
peau. Tu te colles à moi pour m’embrasser sous le menton. Tu descens le long du cou,
sur ma poitrine. Tes baisers se font plus gouteux. Mais alors que tu arrives au haut
du pantalon, la chemise est quasiment retirée. D’un coup sec tu l’enlèves de mes
poignets et tu te redresses, le sourire toujours aux lèvres. A nouveau, corps contre
corps, je plonge mes yeux dans ton regard. Cette fois, tu croises les bras pour saisir
ton pull. Tu l’enlèves délicatement, et la douceur de ta peau vient la sensualité de
la scène. Nous sommes à égalité. Je pose mes mains sur tes hanches pour te serrer tout
contre moi. Je caresse le bas de tes reins. Je m’apprète à glisser mes doigts dans ton
pantalon lorsque tu me saisis par les poignets. Tu te dégages de cette douce entrave,
et c’est toi qui reprend le jeu. Tu déboutonnes mon pantalon, puis tu défaits la
ceinture. Tes doigts saisissent aussi mon boxer et doucement tu t’agenouilles. Je me
retrouve finalement nu, offert à tes yeux, à tes mains, à ton corps... Moi qui voulait
te faire une surprise... je crois que je suis le cadeau...
Tu me regardes, le sourire aux lèvres, tendrement...
- il y a encore quelque chose de trop m’affirmes-tu
Aussitôt, tu enlèves ton jean... Nous voici ainsi dans le même état, physique et
d’excitation... Je peux à loisir t’admirer, sous tous les angles. Le miroir m’est un
allier précieux je dois le reconnaitre. Spontanément, nous nous approchons l’un de
l’autre... Nos corps sont brulants, l’envie est là, dévorante. Je ne peux plus tenir,
mais je dois me contenter de t’embrasser, de lécher ton corps, de sucer tes lèvres. Je
m’agenouille pour mieux te savourer, pour embrasser tes fesses... Tu fermes les yeux,
abandonnant ton corps à mes explorations. Je me redresse tout en m’agrippant à ton
corps... Je suis derrière toi, tout contre toi... Tu sens au combien mon excitation
est à son comble... Tiraillé entre ton plaisir et le mien... J’embrasse tes épaules,
je saisis ta poitrine, je te plaque tout contre moi. Tu caresses ton ventre,
entrouvres tes jambes, te baisses... tu rejoins mon désir, comprends que j’ai toujours
cruellement envie de toi. Ta main se fait plus directive et presse l’un contre l’autre
ces deux parties de nos corps qui se réclament... Tes doigts passent de ta bouche à
nous... ils nous caressent, nous accompagnent... Tu te cambres de plus en plus... Je
suis là, derrière toi, n’attendant qu’un signe....
Le rideau bouge légèrement... Dehors, les gens attendent, les cabines sont prises.
Nous nous figeons un instant. Notre étreinte est interrompu par la dure réalité. Nous
nous rhabillons rapidement, en faignant de raler un peu contre ces clients pressant...
J’ajoute quelques commentaires sur les vêtements prétextes à notre présence... Nous
nous posons quelques secondes devant le rideau. Puis ma main le saisit pour nous faire
plonger dans le magasin. Je pose les vêtements sur le comptoir. Tu prends alors la
parole :
- Finalement, nous reviendrons un autre jour, lorsqu’il y aura moins de monde.
Et tout en me regardant, tu conclues :
- … pour prendre plus notre temps.
conduite à deux... Mais au moins, je sais que je ne te perdrai pas ! Quelques courses
pour une soirée avec toi. Tout ces gens que nous croisons, vieux ou jeunes couples,
célibataires, mère avec ses enfants....savent-ils ce que nous sommes l’un pour l’autre
? Amis, parents, couples... amants ? Nous faignons le naturel, la situation m’excite,
mais je pense qu’elle te met peut-être mal à l’aise. Peur d’être reconnue, vue,... Il
faut que je balaie toutes ces craintes.
Mais que prendre ? J’ai envie de te faire plaisir, que tu savoures cette soirée, par
tous les sens... Commençons par les fruits et légumes... De jolis fruits, bien ronds,
bien en chair, délicieusement frais. Je me tenterai bien par une petite salade pour
finir notre repas. Mais j’ai envie de te titiller... Tu traines, indécise, à regarder
là quelques fruits, ici quelques légumes. Je suis juste devant quelques jolies raisins
blancs, gorgés de jus... Alterner le plaisir d’un grain dans ma bouche et le gout de
tes lèvres en complément... Je suis en train de choisir une grappe lorsque tu me
rejoins. Ta main passe le long de mes hanches, suave, juste pour me rappeler que tu es
là. Comment pourrais-je l’oublier ? Sans m’en rendre compte, je suis juste à côté des
légumes et fruits secs... Tiens, une racine de gingembre... Je l’inspecte en espérant
que tu me vois. Tu t’approches alors de moi, le sourire aux lèvres, moqueuse. Réalité
ou mythe, je ne le saurais jamais...
Le rayon frais... Pas forcément intéressant pour une chambre d'hôtel... Quoi que... Je
trouve deux bombes de chantilly, les dernières ! Par contre, je m’empresse de les
cacher au fond du caddie : j’ai bien le droit de te préparer quelques surprises... Il
faudra croire que tu auras eu une idée identique... Tu me rejoins avec une belle
barquette de fraises... Je feins la surprise, mais n’en pense pas moins....
Quelques fraises, un peu de chantilly,... quoi d’autres... Boire bien sûr ! L’idée te
fait sourire, ce sourire qui me manque si souvent... Alors je ne veux pas te
décevoir... une bonne bouteille de vin rouge ou bien de champagne... Tu dis que le vin
te rend amoureuse... Le champagne me donne encore plus d’idées... Un peu des deux
alors.... Nous remontons l’allée centrale, le regard furetant ça et là pour trouver
quelques idées de plus à mettre dans notre caddie. Nous passons juste au milieu du
rayon des vêtements. Je ne sais pas pourquoi, mais irrésistiblement, je tourne dans
l’allée. Quelques chemisiers, un jean noir, une ceinture large, une veste au col de
fourrure, autant de vêtement que j’imaginerais fort bien sur toi. Puis, un ensemble
coordonnée en dentelle noire et blanche, un tonga rouge,... hum, là, je t’imaginerais
bien avec … et moi en train de te les enlever... L’idée devient obsédante... Je te
sais joueuse, alors, je vais essayer de parier... auras-tu la même ?
Je reviens sur mes pas. J’examine deux jeans, un pull over. Je te guette. Tu ne tardes
pas à me retrouver. Je décroche les vêtements et je te propose d’aller les essayer. Tu
me regardes, très étonnée. Que nous fassions comme tout couple est une chose, mais au
point d’aller essayer des vêtements.... tu m’interroges du regard. Je ne manque pas de
le soutenir, avec un petit sourire en coin. Le message semble passer, du moins, les
grandes lignes. Maintenant, nous voilà en quête des cabines d’essayage. Nous arpentons
les rayons et au bout de l’allée des hommes, un kiosque nous y attend. Mais
visiblement, le jeu semble se faire à deux. Tu en profites pour prendre au passage une
chemise et un pantalon pour moi. Je ne dis rien et je continue d’avancer.
Arrivé aux cabines, je prends l’initiative de demander celle qui était libre à
l'hôtesse. Je te présente les vêtements que j’ai pris et je t’invite délicatement à
les essayer. Le rideau est tiré, et j’examine que la cabine est bien vide. Mais avant
de t’y abandonner, je ne manque pas de te prendre par la hanche en passant mon bras
derrière toi. Je n’ai qu’à baisser légèrement la tête pour poser mes lèvres sur ton
cou. Je te libère et referme le rideau sur toi. Je reste dehors, adosser à la
séparation des deux cabines. J’observe le passage des gens... en apparence. Mon
oreille tente de décrypter les bruits qui filtrent à tarvers les rideaux et la musique
d’ambiance. Rien. Je décide alors de changer de position. Je me retourne pour
m’écarter un peu. Le rideau est juste écarté pour que je puisse entrevoir ce qui s’y
passe. Tu es presque nue, ne gardant sur toi que tes sous vêtements, toujours aussi
délicieux à admirer.
- tu veux que je vienne te donner mon avis ?
Tu sursautes au son de ma voix et tu te retournes. A travers cette meurtrière de
tissu, tu me découvres. Innocemment, tu me réponds :
- oui, j’ai besoin d’aide, je n’arrive pas à défaire ma jupe.
Je ne me fais pas prier et je m'engouffre dans la cabine. Tu es là, les bras le long
du corps, quasiment nue, à ma portée, à ma merci. Je te prends dans les bras, pour
t’embrasser. Mes mains remontent le long de ton dos pour atteindre l’agraffe du
soutien gorge. Elle ne me résistera pas longtemps. Je me recule, et pudiquement, tu
barres la vue à ta poitrine que je chérie tant par ton bras. De l’autre, sans un mot,
tu me fais signe de ressortir. Je comprends que notre jeu doit se caler sur celui d’un
“gentil” couple essayant des vêtements. Je m’exécute, non sans frustration.
Je reprends mon poste d’observation. Mais cette fois, tu joues avec moi. Tu otes ton
bras, me laissant entrevoir ta poitrine quelques instants. Je meurs d’envie de la
saisir, de l’embrasser. Elle est là, à quelques centimètres de moi. Tu décides
d’essayer le pull. Tu tends les bras vers le haut pour l’enfiler, dévoilant ainsi à
mon désir tout le haut de ton corps. Sitôt descendu, tu m’interpelles pour me demander
mon avis. A nouveau, j’entre. Je passe la main sous le pull pour caresser ces seins
tout en t’embrassant. Je m’abandonne à le soulever pour passer ma langue sur le bout
de tes seins, m’abandonner entre eux. Mais le temps m’est compté et je dois me
résoudre encore à t’abandonner.
- hum, essaye pour voir avec le jean
Et je ressors. Langoureusement, tu te tournes. Tu descends tes mains le long de tes
hanches, tu passes doucement tes doigts sous le bord du pull pour en saisir les bord
de ton string... Pourtant, je ne me rappelle pas t’avoir choisi de string.... Tu te
baisses, coquine, et sans te retourner, tu saisis le jean que j’ai posé à côté de toi.
Tu l’enfiles, puis faisant face au miroir qui nous unit, tu demande mon avis. Je ne
peux décemment pas m’impliquer dans une telle décision sans avoir un avis plus précis.
A nouveau, sans te quitter des yeux, je te rejoins. Je te saisis par les hanches. Je
crois mes bras autour de ton corps, quelques doigts dans la ceinture de ce pantalon
dont le choix n’est plus à discuter... Tu penches la tête pour m’offrir ton cou.
J’embrasse doucement sa base, remonte le long jusqu’au lobe de ton oreille. Nos
regards tentent de se croiser dans le miroir, mes tes yeux sont clos. Je remonte la
main sous le pull pour effleurer un sein... Le résultat escompté se produit et tu
entrouves les yeux. Tu n’as que ton jean et ce pull pour convrir ce corps que je chéri
tant. Qui plus est, deux vêtements que j’ai choisi pour toi, en pensant à toi. Mes
mains s’aventurent sur ces formes, essayent de les dessiner, de les deviner à travers
ces vêtements que j’aurais finalement du choisir plus moulant ! Mais qu’importe, je
sais quelle beauté se cache dessous... Je voudrais simplement l’avoir à moi, là,
maintenant. Je me presse contre toi, tout contre toi. Le temps passe, trop vite, et tu
me rappelles que je dois ressortir. Mais cette fois, je ne partirai pas comme un
voleur... ou alors en t’ayant volé justement un baiser, long, chaud, intense...
- Files, me chuchotes-tu à l’oreille, tout en me repoussant vers la sortie.
- Attends, pendant que tu te rhabilles, tu vas voir comment tombe le jean que tu m’as
pris. Le ton est suffisamment fort pour que les personnes autour entendent... Je tends
le bras hors de la cabine pour saisir les deux jeans que j’ai laissé sur le bord du
caddie. Tu restes là, surprise. J’enlève doucement ma chemise, sans perdre tes yeux du
regard. Tu me souris, et alors que je commence à la retirer, tu t’approches pour la
saisir par les manches. Je sens la chaleur et le picotement de ton pull tout contre ma
peau. Tu te colles à moi pour m’embrasser sous le menton. Tu descens le long du cou,
sur ma poitrine. Tes baisers se font plus gouteux. Mais alors que tu arrives au haut
du pantalon, la chemise est quasiment retirée. D’un coup sec tu l’enlèves de mes
poignets et tu te redresses, le sourire toujours aux lèvres. A nouveau, corps contre
corps, je plonge mes yeux dans ton regard. Cette fois, tu croises les bras pour saisir
ton pull. Tu l’enlèves délicatement, et la douceur de ta peau vient la sensualité de
la scène. Nous sommes à égalité. Je pose mes mains sur tes hanches pour te serrer tout
contre moi. Je caresse le bas de tes reins. Je m’apprète à glisser mes doigts dans ton
pantalon lorsque tu me saisis par les poignets. Tu te dégages de cette douce entrave,
et c’est toi qui reprend le jeu. Tu déboutonnes mon pantalon, puis tu défaits la
ceinture. Tes doigts saisissent aussi mon boxer et doucement tu t’agenouilles. Je me
retrouve finalement nu, offert à tes yeux, à tes mains, à ton corps... Moi qui voulait
te faire une surprise... je crois que je suis le cadeau...
Tu me regardes, le sourire aux lèvres, tendrement...
- il y a encore quelque chose de trop m’affirmes-tu
Aussitôt, tu enlèves ton jean... Nous voici ainsi dans le même état, physique et
d’excitation... Je peux à loisir t’admirer, sous tous les angles. Le miroir m’est un
allier précieux je dois le reconnaitre. Spontanément, nous nous approchons l’un de
l’autre... Nos corps sont brulants, l’envie est là, dévorante. Je ne peux plus tenir,
mais je dois me contenter de t’embrasser, de lécher ton corps, de sucer tes lèvres. Je
m’agenouille pour mieux te savourer, pour embrasser tes fesses... Tu fermes les yeux,
abandonnant ton corps à mes explorations. Je me redresse tout en m’agrippant à ton
corps... Je suis derrière toi, tout contre toi... Tu sens au combien mon excitation
est à son comble... Tiraillé entre ton plaisir et le mien... J’embrasse tes épaules,
je saisis ta poitrine, je te plaque tout contre moi. Tu caresses ton ventre,
entrouvres tes jambes, te baisses... tu rejoins mon désir, comprends que j’ai toujours
cruellement envie de toi. Ta main se fait plus directive et presse l’un contre l’autre
ces deux parties de nos corps qui se réclament... Tes doigts passent de ta bouche à
nous... ils nous caressent, nous accompagnent... Tu te cambres de plus en plus... Je
suis là, derrière toi, n’attendant qu’un signe....
Le rideau bouge légèrement... Dehors, les gens attendent, les cabines sont prises.
Nous nous figeons un instant. Notre étreinte est interrompu par la dure réalité. Nous
nous rhabillons rapidement, en faignant de raler un peu contre ces clients pressant...
J’ajoute quelques commentaires sur les vêtements prétextes à notre présence... Nous
nous posons quelques secondes devant le rideau. Puis ma main le saisit pour nous faire
plonger dans le magasin. Je pose les vêtements sur le comptoir. Tu prends alors la
parole :
- Finalement, nous reviendrons un autre jour, lorsqu’il y aura moins de monde.
Et tout en me regardant, tu conclues :
- … pour prendre plus notre temps.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
L'histoire commence par évoquer le syndrome de Stockholm avec, en vedette américaine...
UN CADDIE !
La poésie de cet auteur est bluffante... Merci d'écrire ces textes à nuls autres
pareils... On ne s'en lasse pas !
UN CADDIE !
La poésie de cet auteur est bluffante... Merci d'écrire ces textes à nuls autres
pareils... On ne s'en lasse pas !