Est- ce possible d'aimer être cocu ? - histoire érotique

Salut à tous. Je me nomme Johan, 23 ans au moment des faits. Etudiant dans la région de Charleroi, je partage ma vie depuis maintenant 3 ans avec Magdalena. Même âge que moi. Franchement belle fille, sympathique, souriante,… Franchement nous nous aimons ! Je fus son premier vrai mec et depuis nous nous partageons entre amour et fidélité. Un vrai bonheur ! Elle, étudie à Mons. Nous nous voyons donc que le week- end. Mais là ce n’est plus que du sexe et du plaisir. C’est 4,5 fois sur le week- end.

Ce samedi, nous sommes invités au mariage du frère d’une de ses copines de Mons. Le gentil frère a permis à sa sœur d’inviter une dizaine d’amis à elle et nous en faisons partie. Je ne connais pas beaucoup ce groupe, étant donné que je ne les ai vu que quelques fois à l’occasion de soirées. Mais d’un naturel très sociable, je m’entends bien avec tous et les trouve assez sympathique.

Mariage obligé, nous sortons les belles tenus : moi un superbe costume noir et, elle, une jolie robe noire avec des bas résilles dessous et des talons. Bien coiffée, bien maquillée, la jupe fendue sur le côté, je la trouve irrésistible.

Comme malheureusement, j’en ai l’habitude, nous arrivons un peu en retard au mariage. Nous allons bien sûr saluer les mariés que nous ne connaissons ni d’Eve, ni d’Adam puis nous installons à table avec ses copains. Je me retrouve en face de Julien, celui avec qui je m’entends le mieux. Très vite, nous commençons à enfiler les verres de rosé. A côté de moi, Magda (nous l’appellerons ainsi) est entre moi (évidemment !) et Xavier, un des copains de classe.

La soirée se passe très bien. Nous mangeons, buvons beaucoup, rigolons et Magda danse avec les autres. Moi je déteste cela et reste avec Julien à table. Quand vient le moment des slows, j’espère voir Magda m’appeler mais elle préfère danser avec Xavier. Je ne suis pas vraiment jaloux et je laisse donc passer. Le problème c’est que les slows se succèdent et ils ne se lâchent plus. Je les trouve même fort serrés. Mais soit… Je continue à boire et regarder les filles avec Julien.

Quelques minutes plus tard quand je désire voir ma petite femme… plus aucune trace d’elle… ni de Xavier. Je vois tous ses amis mais pas elle. J’hésite à demander à Julien mais il ne me dirait rien. Je prétexte donc les toilettes et vais faire un petit tour. Au moment où j’arrive à la porte d’entrée, je la vois pénétrer dans le bâtiment, grand sourire avec Xavier. Je l’attrape et l’emmène dehors.
Je fais mon jaloux, lui demandant où elle était. Elle prétend qu’elle a accompagné Xavier qui fumait une cigarette mais qu’ils étaient restés devant la porte. Bien sûr, je prétends être sorti et ne pas l’avoir trouvé. A force de la pousser dans ses derniers retranchements, elle craque et avoue qu’ils s’embrassaient dehors mais jure qu’elle m’aime.
Elle avoue tout : c’est son copain la semaine, il dort souvent à son kot, ils s’embrassent souvent, elle l’a sucé de nombreuses fois mais n’ont fait l’amour qu’une fois. Bien sûr, elle n’a pas tout lâché ainsi. Il fallut ¾ d’heure de discussion pour lui faire cracher le morceau.
Moi, de mon côté, j’avoue que l’énervement fait parfois place à l’excitation. Ma copine aime ça, c’est excitant quand même. Et c’est vrai que je l’imagine bite en bouche ou en train de se faire baiser. Je bande mais le cache.
Elle, pleure. Mais bon il faut bien rentrer. Et là je propose quelque chose :
On rentre, on fait semblant de rien mais en échange, je te veux encore plus proche de lui mais de façon discrète, je dois être le seul à voir votre jeu..
Magda croit rêver mais j’arrive à lui prouver que je suis sincère.
Elle me rappelle qu’elle m’aime et nous rentrons.

A peine assise, elle prend la main de Xavier. Ils sont vraiment proches. Ca sent l’habitude. Mais je n’en peux plus, j’en veux plus. J’envoie un message à Magda.
« Demande lui pour aller à ton kot. Trouve un prétexte, j’accepterai mais laisse la porte ouverte. Et là, amusez- vous aucun tabou. »

Je ne reçois comme réponse qu’un « Je t’aime »
Dix minutes plus tard, elle est partie. Je suis deux minutes plus tard.

J’arrive à son kot. Les lumières sont allumées, ils sont là.
Je monte les escaliers, la porte est bien entrouverte.
Je les vois sur le lit, nus tous les deux. Il bande déjà et ils s’embrassent.
D’elle- même, sa main prend le sexe tout dur et le branle puis elle le couche sur le dos, s’agenouille entre ses cuisses ouvertes et le suce. Je n’ai jamais vu ma copine aussi chienne : elle joue avec le sexe : le branle, le lèche, le pompe,… tout y passe. Mais le pire c’est que ce salaud éjacule dans sa bouche et elle avale tout. Sale pute, elle n’a jamais voulu le faire avec moi, elle trouvait ça dégoûtant. Et avec lui, elle semble avoir l’habitude. Sale pute !
- Bon, on retourne vite au mariage ? demande- t- il.
- Tu es fou ! Viens.

Elle se couche sur le ventre, lui se met sur elle et la pénètre. Ca rentre assez facilement. Elle met ses jambes sur lui. Ils sont vraiment enlacés. Il commence ses aller- retour et elle jouit ! Il semble tout concentré mais elle dans un autre monde. Elle a les yeux fermés et gémit profondément. Il plonge parfois ses doigts dans sa chatte et lui fait lécher. Avec moi aussi elle refusait d’avaler sa mouille.
Il jouit dans cette position, dans on bas ventre.

Il ne me reste plus qu’à vite rentrer.

Ils arrivent à la salle dix minutes après.
Magda me prend par la main et m’emmène aux toilettes.
- je veux te montrer quelque chose !

Elle ouvre sa robe, écarte son string. Celui- ci et sa chatte sont plein de sperme. Elle plonge ses doigts sur ma braguette, l’ouvre et me branle. Elle prend alors son autre main, la met sur sa chatte. Je vois bien le liquide blanc sur ses doigts. Elle me fixe et les met en bouche. Elle refait la même scène mais oriente ses doigts vers ma bouche. Comme un con, je l’ouvre et avale la semence de l’autre. Ca un goût dégoûtant pourtant, elle recommence et je m’exécute encore.
Je bande à fond, je vais spermer.
- Je vais spermer, avale bébé !
- Non, pas ton sperme.
- Mais le sien, tu l‘avales…

Elle me fixe :
- Et je ne suis pas prête d’arrêter.

A cet instant je jouis, en criant comme un sot !

Quand tout fut nettoyé, nous sortons, faisons semblant de rien.
La soirée fut impeccable après. Il y a deux heures, elle pleurait dans mes bras, maintenant elle faisait ce quelle voulait avec moi.

Depuis elle fait toujours l’amour avec xavier mais là aussi fait avec Julien. Je ne vois rien mais elle raconte tout dans les détails.
Franchement nous nous aimons.