Et vive le camping !

- Par l'auteur HDS PLUME77 -
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Récit libertin : Et vive le camping ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Et vive le camping !
A chaque fois que j’allais chercher papa à la sortie de l’usine, c’était pareil. Il fallait qu’il me pince les nichons ou les fesses. Ses copains faisaient pareil avec des rires gras. Je me mettais à coté de la pointeuse comme ça je les voyais tous. Même son patron y allait d’un « Dis donc sa pousse les tétés ». Il joignait le geste à la parole et écrasait mon seins entre son pouce et son index.

J ‘avais doit également à l’éternel :
« Camion, camion» et bien sur venait tous en cœur le « Pouet, Pouet » , en posant les mains sur mes deux seins pour en faire sortir le son du klaxon du fameux camion imaginaire.

Mon oncle qui venait chaque Noël passer le réveillon en famille, le faisait égalent en me poursuivant dans ma chambre pour me chatouiller sur mon lit. C’était un truc de mec adulte.

Bien sur rien ne m’obligeait à venir chercher mon père à la sortie de son travail, si ce n’était l’habitude, je le faisais depuis toute petite, ses copains m’avaient tous prise dans leurs bras quand j’étais bébé. J ‘étais un peu leur fille à tous. Les plus jeunes avaient pris les habitudes, je dirais la culture de l’usine et avaient les mêmes gestes affectueux.

En fait, je crois que j’aimais ça, j’étais une sorte d’idole pour eux et puis j’étais en âge d’apprécier une main bien placée, un pincement de téton plus appuyé que les autres, voir une main au cul discrète, mais efficace qui passait derrière et remontait sur ma fente directement sur ma culotte en lin. J’y repensais en me faisant dormir. Du coup mes robes d’été étaient de plus en plus légère et j’oubliais souvent de mettre des sous vêtements, ce qui devait laisser perplexe lus d’une main égarée sous ma robe.

Personnes n’y voyait de mal et quoi de plus normal qu’une fille de 18 ans passé soit féminine et élégante.

Le jour des vacances était bien sur très attendu et chacun s’en réjouissait, moi je me demandais ou j’allais trouver une douzaine d’homme qui me procuraient autant de plaisir inaboutis.

Pas très douée pour l’école, j’avais arrêtée à 16 ans et j’avais traînée chez un boulanger, chez un primeur et même chez le curé pour le ménage. Mais vraiment ce n’étais pas mon truc. Je me laissais vivre et mes parents revenaient à la charge de temps en temps, mais le plis était pris et le temps passait sans trop de problème. De nature confiante, je me disais que l’avenir pourvoira à mes besoins.

Je n’avais donc que peu de distraction à part la sortie de l’usine et une copine un peu cochonne qui avait des frères et qui me racontait des trucs sur le sexe et les mecs.

Papa mettait le matériel dans le break et maman était toute énervée, je préparais ma valise et faisait exprès d’oublier certaines affaires, pour m’en faire offrir arriver à destination. Cette année j’oubliais carrément tous mes soutiens gorges ! Mais ce n’était pas pour m’en faire acheter de nouveaux, non je voulais montrer à tous, les opus hauts placés, bien rigide et pointu qui pointaient sur mon buste que je balançais en avant.

A oui, je ne vous ai pas dit, nous partons tout les ans en camping sous la tente. Grande innovation, comme je devenais grande, je dirais plutôt, encombrante pour mes parents, j’avais droit à une petite tente avec arceaux qui se monte toute seule et mes parents la grande trois places avec cuisine intégrée. D’un autre coté ,j’étais tranquille et pouvais regarder des vidéos sur mon smartphone tout le temps que je voulais. A écouter les gens , seuls les garçons regardent des films porno, moi j’adore ça, des fois c’est drôle, mais le plus souvent excitant.

Il y avait toujours trop de chose a prendre et maman disputait papa qui rangeait mal la voiture et papa râlait après maman qui prenait toujours trop de choses dont on ne se servirait pas.

« On vivre à poil et puis c ‘est tout, pas vrai ma Satine -Rose ».Le geste affirmait la parole et j’avais droit à une main aux fesses. Il n’était pourtant pas Italien.

Je sais, la première fois ça fait drôle, mais bon je me suis habituée, les autres non. Pourquoi un prénom aussi nul, j’avais demandée a mes géniteurs mais je n’avais pas de réponse satisfaisante, mis à part peut être une petite fille dans feuilleton Américain. Moi j’y entrevoyais avec l’âge, une signification sexuelle.

C’était l’océan Atlantique qui nous voyait débarquer chaque été en août. Mon père avait décidé de limiter nos destinations entre Nantes et Bayonne. Les revenus modestes ne permettaient pas la cote d’azur. Pour les mêmes raisons , nous ne prenions pas l’autoroute, mon père justifiait son choix pour la beauté des paysages, maman ne disait rien. De Noisy-le-Sec à Mimizan il fallait près de 10 heures avec les embouteillage. Je m’ennuyais et bercée par la route je me réveillais pour le déjeuner.

Picnic sur le bord de la route, je trouvais ça un peu beauf, mais lorsque que je l’avais dis, ma mère m’en a mis une . Du coup je n’en parlais plus. C’était le moment ou je me changeais dans la voiture pour me mettre en maillot de bains. J’avais repérée une voiture non loin de la notre et l’homme me suivait du regard .Mes parents devant la voiture n’avaient pas compris ce qui se passait.

Je me suis mise nue et protéger par la portière je laissais mes charmes reluqués par repère de famille. Manque de chance un des gamins m’avait repéré et ne pouvait pas garder sa langue dans sa poche. Je me changeais et apparaissait dans le maillot de bains d’y il avait deux ans. Bien sur mes seins débordaient de partout et les lèvres de ma chatte passaient de chaque coté du tissus supposer les dissimuler. Mon papa trouvait ça plutôt mignon, alors que maman faisait la tronche. J’adorais les sandwichs que maman faisait.

Je me soulageais d’une envie d’uriner derrière les buissons et me baladais en roulant des fesses pour faire hurler ma mère et faisais la bise à mon père ravi de l’incident..

Nous arrivions en fin d’après midi au camp de camping , une des filles que j’avais eu das ma classe aurait dit que ça faisait congés payés, mais c’était exactement ça .

Le patron du petit terrain de camping que mon père avait réservé, était réputé pour être un blagueur. Le beau-frère d’un collègue à papa était déjà venu. Il faisait le compte à papa et me regardait de haut en bas « Pour la petite ,c’est moitié prix jusqu’à 18 ans ». Maman me faisait les gros yeux contente de pouvoir économiser sur le prix de ma pension. J’en était donc réduite a être encore une enfant. Sûrement mes couettes qui avaient l’avantage de me tenir moins chaud, mais qui avaient tendance à me rajeunir. Maman me faisais jurer de ne jamais avouer mon âge, je devais dire 17 ans, elle avait peur que le patron du camping lui réclame la différence. Alors il ne fallait pas dire le patron, mais Sylvain, tout le monde s’appelait par son prénom. Sylvain voulait parier sur mon prénom et optait pour Chloé. Il avait perdu haut la main et trouvait le mien compliqué me baptisait tout simplement « Satine ».

Nous avions un double emplacement sur le sable entouré de petits arbustes. Le problème avec les campings pas haut de gamme, c ‘est que le matin tu te laves les dents, alors que ta voisine fait sa vaisselle. Les douches sont communes et les toilettes aussi. Mais l’emplacement était formidable, nous traversions la route et 50 mètres plus loin nous étions dans la grande bleue.

Ma tente était installée en 2 minute et j ‘arrangeait mon petit intérieur. Je faisais en sorte pour être en vue d’une famille en face pour voir comment les autres famille vive et pas collée a la tente de mes parents. Mon père et ma mère se crêpaient le chignons pour des histoires de piquets, c ‘est vrai que dans le sable ce n’est pas évident de les faire tenir.J’en profitais pour faire le tour du camp,je croisais une grosse qui me disait bonjour, elle avait un rouleau de papier à la main.C’était pas compliqué de savoir ce qu’elle allait faire. Il faisait chaud et en passant devant le bloc sanitaire, j’en profitais pour rentrer dans une cabine pour prendre une douche. J e me mettais à poil et laissais l’eau fraîche couler sur mon corps. La porte s’ouvrait et Sylvain dit.

« Alors cucul, tu ne sais pas lire,le porte ne ferme pas!Mais tu es bien carrossée dis donc, je sais que tu es majeure,je ne suis pas né de la dernière pluie ».

Dans une ultime manœuvre j’essayais de cacher mes tétons, mais c’était ma chatte tout juste épilée qui était visible. A cette heure les campeurs sont plutôt à l’apéro qu’a la douche. Sylvain pas gêné pour un sous tirait la porte derrière lui, mais il avait un tournevis qui la condamnait. Il écartait délicatement mes bras pour se saisir avec empressement de mes petits seins rebondis.Il les malaxait un moment ce qui me faisait perdre la tête.Il était forcé de mettre sa main sur ma bouche.

« Tu es une chaude cucul, ta chatte est trempée et c’est pas de l’eau pluie celle là ! ».

Il était un peu, comment dirais-je : rustre.

Il devait avoir plus de deux mains, car je le sentais partout à la fois, il avait enfoncé sa langue dans ma bouche, ses doigts dans ma chatte et dans mon cul et tiraillait mes tétons si durs, dans le but de les allonger propablement. Son slip sur ses pieds, je découvrais une bite a l’image du bonhomme, large , mais pas longue ? Il me couvrait d’autorité sur le siège en pierre et me baisait sans fioriture. Ce n’était pas mon premier homme, j’avais eu un petit copain, qui n’avait pas su y faire, manque d’expérience. La pour le coup avec Sylvain, il en avait trop .Il me faisait jouir avant lui et m’envoyait son sperme au fond de mon ventre. Il ne perdait pas le sens des réalités, avec une claque sur les fesses :
« N’éttoie moi tout ça et pas un mot à papa et maman , sinon c’est plein tarif ».

Il ponctuait sa phrase par un clin d’œil et pouet pouet sur mes seins. Je restais abasourdis, Si vite, si rapide, je venais d’arriver. Je me lavais bien à fond la chatte, surtout que je ne prenais pas la pilule, la porte se rouvrait et j’étais une main dans la chatte penchée a faire ma toilette intime. Un boutonneux s’excusait, reculait, ma ne fermait pas la porte. Il fallait que je sorte ma main d’où elle était pour la fermer. Décidément , je ne choisirais plus cette cabine.

Après cette aventure j’étais chaude et me sentais pousser des ailes,les vacances s’annonçaient sous de bons hospices. Dans le camp il y avait une espèce d’épicerie ou un grand panneau annonçait qu’il fallait être habillé pour entrer. Mes les clients à l’intérieur étaient en maillots de bains.J’y allais faire un tour.Mon maillot hyper serrée ne laissais personne de marbre et je pouvais constater certaines raideurs spontanées dans les slips des messieurs et des regards qui me fusillaient des yeux dans le regard des dames, sauf une qui me surveillait, peut être une lesbienne.

Il vendaient plein de chose et surtout des glaces , des merguez et des frites grillées devant nous .C’était l’odeur des vacances, ça changeait du HLM de Noisy-le-Sec.

Je poussais mon exploration jusqu’à la mer :
« Hé cucul, tu vas te baigner, attention la mer est basse, tu va devoir faire un kilomètre ».

Bon ,j’avais oubliée la marée, du coup appuyé à la barrière je discutais avec Sylvain, il me faisait des compliment sur mes seins et ma chatte et me proposais un plan a trois. Il était vraiment pas gène, mais le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il était cache. Il me racontait des histoires cochonnes et je dois dire que ça m’excitait gravement au point d’humidifier mon mini slip de bain, il me faisait remarquer que mes lèvres dépassaient du maillot et étaient trempées. Je repassais aux douches, autant pour me calmer, que pour mouiller de façon uniforme mon maillot. Je voulais éviter les histoires avec maman.

Arrivée aux tentes , la table était couverte d’amuse gueule et il y avait déjà un couple attablé en train de boire un Ricard en mangeant des cacahuètes.

« Et voila Satine-Rose, comme vous pouvez le voir sa peau est de satin et toute rosée » .

Mon père ne devais pas en être a son premier apéro, il était très fière de moi et me faisait tourner pour que tout le monde puisse m’admirer.

La tradition oblige je faisais la bise au couple et à la petite fille qui les accompagnait. Faute de place je m’asseyais sur les genoux de mon papa. J’avais déjà repérer l’homme qui avait sa tente face à la mienne. Il s’agissait d’un couple Hollandais. Quarante ans, un poil plus jeune que mon père, mes le cheveux plus rare, maigrichons avec des lunettes cerclés de fer, il devait avoir une bite longue et fine. C’était un de mes jeux préféré, j’essayais de deviner les mensurations des bites des hommes que je croisais,j’avais toujours la tête un peu pencher pour voir la braguette avant la tête. Mais je crois que toutes les filles font plus ou moins ça en vérité.

Tout le monde papotait et échangeait ses impressions sur le camp et sur Sylvain. Le voisin Aike, reluquait mon entre jambe qui était tourné vers lui et comme je bougeais sur les genoux de papa , il avait droit à un spectacle de chatte bien fraîche.

Je déclarais que je devais me changer car j’avais pris une douche, d’ailleurs les jambes de mon père étaient mouillées et je filais me déshabiller dans ma tente. Je faisais express de laisser dépasser mes jambes et de sortir mon slip dehors. Je passais un tee shirt taille XXL, sans emmanchures et avec un décolleté plus que plongeant et bien sur rien dessous. Je ramassais mon slip de bain et le déposait avec le petit haut sur la tente pour qu’il sèche.

Marja, la femme de Aike ne semblait pas gênée du tôt, seule maman me faisait les gros yeux. Je reprenais mas place et papa disait :
« Mais tu es cul nu la dessous, tu as raison il fait vraiment trop chaud » .

Et comme il avait l’habitude de faire il passait sa main sous mon tee shirt pour vérifier. Je crois que ce n’était pas le soleil qui avait donné cette couleur rouge à Aike, mais bien les gestes de mon père. Mes tétons se dessinaient bien sous le tissus fin du tee shirt , de plus j’étais encore un peu humide. Maman ne disait rien, car elle savait qu’avec mon père j’avais toujours le dernier mot. Je repensais à Sylvain, il fallait absolument que je prenne la pilule, ce cochon n’avait pas de capote.

L’apéro s’éternisait et Aike n’arrêtait plus de parle avec mon père,je crois que le Ricard faisait de l’effet , ils décidaient que nous dînerions ensemble , maman accompagnait Marja jusqu’à sa tente chercher e qu’elle avait préparée pour leur dîner. C’était très exotique pour nous, poissons séché, jus de groseilles, fromage fermenté. On mélangeaient tous et on se régalaient.

Sylvain passait pour dire bonsoir et discuter deux minutes et voir si tout allait bien, le camp devait contenir une vingtaines d’emplacement et pas de caravane, mon père râlait qu’en il en voyait sur la route. Il avait un factotum qui faisait tout et rien dans le camp , ce qui lui laissait le temps pour ses loisirs.

Sylvain ne pouvait s’empêcher e me faire un clin d’œil.

Le couple avait un fort accent et ça créaient quelques quiproquos rigollots. Je jouais le jeu à fond et buvais du rosé bien frais, du coup je me retrouvais sur les genoux de Aike, il pouvait sentir ma chair nue sur sa cuisse et je remuais suffisamment pour qu’il comprenne que l’humidité n’était pas de la transpiration.

Bref leur fille dormait quand à une heure passée du matin nous décidions de nous coucher.

Petit déjeuner avec un léger mal de tête et coucou a nos voisins Hollandais.Je n’étais plus obligée d’aller avec mes parents faire la visite de tout les lieux, églises et sites historiques comme mon père aimait faire et que j’avais du subir pendant toutes nos vacances.J’étais livrée à moi même. J’allais prendre ma douche et choisissais celle qui ne fermait pas , malheureusement personne ne poussait la porte, pourtant j’y passais un moment .

« Tu croyais que j’allais venir, cucul ? » ;
La vois de Sylvain résonnait dans mes oreilles, il m’avait vue entrer dans la fameuse cabine. Ne sachant quoi répondre,je faisais comme toutes les femmes, je riais.

Il voulait discuter avec moi et surtout savoir quand il pourrait me baiser, un éclair de génie me traversait l’esprit et je lui répondait ;
« Quand vous me fournirez la pilule contraceptive ».

Je crois qu’il ne s’attendait pas à celle la. Pour être honnête, moi non plus.

Il en fallait plus pour l’impressionner et jurais qu’il en aurait le lendemain et que ça tombait bien car il allait en mer pour faire de la plongée.

Il m’entraînait dans l’espace derrière la réception pour pouvoir me défaire de mon tee shirt et me mettre ainsi a poil et me tripoter et surtout se faire faire une pipe.

Sa bite grasse était un délice dans ma bouche, elle la remplissait et il pouvait la faire bouger sur commande, elle était chaude et ses couilles poilues roulaient dans le creux de ma main. Il m’autorisait a mordre son sexe assez fort, j’avais mal pour lui, mais il disait qu’il aimait ça et que ça lui faisait plus de sperme à éjaculer. Moi je n’y connaissais rien et le croyais sur parole.

Le soir même nous avions déménagés, nous étions attablés chez les Hollandais et nous piquions une crise de rire quand nous nous essayons à parler leur langue. J’avais les fesses en feu, mes hormones jouaient à fond. Mon tee shirt blanc parfaitement transparent ne cachait pas grand-chose et l’on pouvait voir que ma chatte était lisse comme le dos de la main. A un moment après quelques apéros, Marja me proposait, alors que je me plaignais de la chaleur, de l’ôter , ils avaient l’habitude en Hollande ou être naturistes est très normal. Je sautais sur l’occasion et me débarrassait de mon vêtement. Leur fille était constamment nue et personne n’y trouvait à redire. C’était hyper agréable et mon père en profitait pour jouer avec mes tétons alors que j’étais assise sur se genoux.

Nous dînions ensembles et maman avait faite des moules , je lui sautais au cou car c’était mon plat préféré. En fin de repas Sylvain passait comme à l’accoutumé pour voir si tout allait bien et proposait une balade en mer pour voir des poissons, mes parents avaient prévus une visite incontournable et avaient réservés les billets . Marja devait garder sa fille, c’est donc Aike et moi qui irions passer la journée en mer. Sylvain profitais pour me complimenter sur mon physique, il avait dans la main une plaquette de pilule qu’il me laissait apercevoir discrètement.

Le lendemain matin nous embarquions tout les trois sur un vieux bateau à moteur avec une cabine vétuste, visiblement un bateau de pécheur, avec tout l’équipement qui va à bord. C’est Sylvain qui avait prévu le déjeuner et nous arrivions sur la patate de corail,c’est le nom consacré, pour le repas.J’avais quitter mon haut de maillot dés que nous étions en mer et j’avais la permission du capitaine pour Ôter mon gilet de sauvetage. Aike était un peu moins coincé , en short, avec des chaussettes dans ses sandalettes ,il valait le coup.

Je plongeais une tête avant déjeuner pour me rafraîchir et ôtait définitivement mon maillot pour passer à table. Sylvain me donnait la plaquette et m’expliquait de quelle façon les prendre. Notre Hollandais de service voulait prendre des photos de nous , mais Sylvain lui faisait comprendre que seules les poissons devaient être photographier.

Nous nous régalions et nous buvons du rosé bien frais. De fait ils m’embrassaient tout les deux sur la bouche et me tripotaient avant la fin du repas. J’étais aux anges , deux hommes pour moi toute seule. Je ne mettais pas trompée, la bite du Hollandais était aussi longue et fine que celle de Sylvain était épaisse et courte .

C’était la première fois que l’on me faisait une sodomie, Aike était allongé sur le pont du bateau et m’enculait en soulevant mes jambes tandis que Sylvain me baisait à grand coup de reins. C’était dément, j’avais des papillons dans le ventre et le cul en feu, les quatre mains se mélangeaient pour me trifouiller partout, je suçait deux bites à la fois je ne croyais pas ma bouche assez grande pour ça. Il y avait juste le moment ou ils voulaient rentrer leur bite ensemble dans ma chatte, que ça ne marchait pas.

J’étais baptisée au sperme, je les léchais tour à tour, pas une goutte du précieux liquide ne m’échappait. Après une petite sieste nous sommes allés nous baigner et Aike faisait des photos de beaux spécimens de poissons et de coteaux. j’étais à peu près sur qu’il prenait ma chatte en photo sous l’eau.

Les fonds étaient magnifiques et les hommes me caressaient dans l’eau, Sylvain se faisait même sucer par le Hollandais un petit moment. Quand nous remontions sur le pont du bateau sylvain voulait qu’il recommence, mais je crois qu’il avait un peu honte. Je me suis agenouillé et j’ai sucé Sylvain en entraînant Aike pour qu’il fasse comme moi. Je partageais un homme avec un autre. Nous avons partagés avec Aike le sperme de Sylvain, je n’en croyais pas mes yeux .Sylvain enculait Aike et il se comportait comme une femme, je masturbais et suçais Aike, c’était fabuleux. Nous nous sommes baignés plein de fois et avons fait l’amour jusqu’a épuisement. Notre rentrée tardive avait un peu inquiété mes parents ,mais avec la radio de bord Sylvain avait prévenu la capitainerie.

Ils étaient loin les copains de papa qui profitaient pour me tripoter, j’avais connu le vrai amour avec deux hommes. C’était l’expérience de ma vie et je n’avais qu’un peu plus de 18 ans quand je l’ai vécue.

Et vive le camping !

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