Eté indien trés chaud (4)
Récit érotique écrit par Fontaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Eté indien trés chaud (4)
Arrivés à la plage, il décida que nous allions passer par la dune pour rejoindre le bord de mer. Etant très peu sportive, je m’essouffle vite. A mi-chemin, voyant que je peinais on fit une halte,et posait mon derrière sur le sable. Il était debout devant moi. Il sortit sa queue et me demanda d’ouvrir la bouche en tirant la langue. Il se masturba au dessus, après avoir jouit sur ma langue il me demanda de lui nettoyer sa queue avec ma langue.
Je m’excécutais, sachant que je n’avais pas le choix, et je prenais du plaisir à sucer ce beau membre, qui remplissait bien ma bouche, et tous mes orifices, qui me donnait du plaisir même si c’était des fois dans la souffrance, la honte d’être avilie, salie.
Nous avons fini de monter la dune, et nous nous sommes installés dans un endroit encore calme de la plage. Son ami dont j’avais connaissance le premier jour, arriva suivie de sa femme. Elle était charmante, bien faite, mais semblait effacée. Les présentations faites, chacun s’allongea sur sa serviette.
- hé les filles vous devriez vous passez de la crème, vous allez rougir. Et faites çà bien.
Elle comprit plus vite que moi ce que cela voulait dire. Je précise pour la suite du récit, que je ne suis pas bi, qu’à ce jour je n’avais jamais touché de femme et aucune femme ne m’avait encore touché.
Elsa commença à passer l’huile sur mon dos, massant délicatement mes fesses, insinuant ses doigts entre mes fesses. C’était trés agréable. Je me retournais et elle entreprit de passer l’huile sur mes seins, les massant délicatement, jouant avec mes tétons, se hasardant à les sucer. A ma grande surprise je sentais monter en moi le plaisir, ma chatte commençait à suinter. Elle descendit lentement sur le ventre, gagnant petit à petit mon sexe lisse, massant mon clito. Puis ce fut mon tour d’huiler Elsa. Bien qu’hésitante j’essayais de faire aussi bien qu’elle. Les hommes jubilaient.
- oh les filles vous n’allez pas nous laisser sur notre faim avec ce touche pipi, faites nous voir comment vous vous broutez
Elsa pris les choses en main, et plaça sa bouche contre mon sexe, lécha avec application mon clito, insinua sa langue dans ma chatte, fouilla l’intérieur de mon vagin avec ses doigts fins, elle aspirait tout mon jus, je voulais à mon tour lui donnait le même plaisir. Elle vint placer sa chatte au dessus de ma tête et nous fîmes un bon 69, je découvrais avec plaisir le goût de sa cyprine, le plaisir de lécher un sexe de femme, jouer avec un clito. Les hommes étaient aux anges, bien que nous traitant de gouines en chaleur. Elsa la croupe en l’air au dessus de moi, se fit prendre par les deux hommes. Elle ne broncha pas.
Nous sommes aller tous nous rafraîchir dans les vagues. Quelques voyeurs avaient assistés de loin à la scène en se branlant. La plage commençait à se peupler. Revenues sur nos serviettes, nous avons du chacune, introduire un œuf et un plug vibrant à télécommande, nous recommandant de nous maîtriser quand ils actionneraient les télécommandes. Et il s’amusèrent, passant les 10 sortes de vibrations en revue que ce soit dans l’œuf ou dans le plug, en alternance, ou en même temps. Nous subissions ce doux et subtil plaisir en essayant de ne pas broncher. Le plaisir montait crescendo, et restait en suspens quand les vibrations s’arrêtaient, parfois de longue minutes comme pour nous mettre en sensation d’abstinence, sans pouvoir aller au bout de notre jouissance. J’avais la chatte trempe, le clito dur et aurait voulu jouir.
Ils décidèrent d’arrêter et d’aller s’installer dans la dune pour manger. Elsa et son mari avait tout prévu, jusqu’au rosé bien frais. Ils installérent un parasol pour manger à l’ombre. Pendant le repas les télécommandes se remirent en action, nous faisant par l’effet de surprise échappée un bout de pain ou renverser notre verre. A chaque faute, nous avions un gage. C’est ainsi que nous avons du nous lécher les seins, sucer leur queue, manger une banane comme si c’était un sexe, se laisser mettre un doigt au cul, dans la chatte.
Le repas fini nous avons pu enlever œuf et gode, pour ma part j’étais trempe, Elsa reçu l’ordre de me lécher pour nettoyer la cyprine qui coulait de ma chatte.
Les voyeurs étaient plus nombreux et rôdaient. Mon Maître du we, alla accrocher une pancarte au parasol. Qu’est ce que cela pouvait être ? Tous les voyeurs s’approchèrent et certains discutèrent avec les 2 hommes.
ELSA en profita pour me dire ce qu’il y avait d’inscrit : ICI 2 CHIENNES A BAISER. Un frisson secoua mon corps, à moins que ce ne soit une onde de plaisir.
Le mari d’ELSA planta une bouteille à l’envers dans le sable, et me demanda de m’empaler la chatte dessus, et de me branler dessus tout en me mastrubant mon clito. J’étais face à Elsa qui se faisait prendre en double par les 2 hommes, et en branlait 2 autres. Tout cela m’excitait énormément, je montais et descendais sur la bouteille qui glissait toute seule dans ma chatte tellement je mouillais. J’arrivais au paroxisme du plaisir, quand je sentis une présence derrière moi, qui agrippa mes seins fortement, me pencha en avant et força mon anus, sa queue était très longue, et s’enfonçait jusqu’au plus profond de mes entrailles, me faisant crier de douleur et de plaisir. Le sable n’arrivait plus à pomper mon jus tellement je jouissais, la fontaine était intarrissable. L’homme me jouit sur mon dos, puis vint se faire nettoyer la queue de ma langue.
- nos chiennes sont exemplaires mais elles doivent avoir des choses à nous cacher….. approchez l’une de l’autre à 4 pattes, et mettez vous face à face
Une fois en position, nous nous sommes embrassées, tandis que tous les hommes présents venaient nous claquer les fesses, nous les pincer, tirer sur nos seins en les tordant, chacun y allait de bon cœur. Je sentais mes fesses rougir et commencer à cuire, mais cela m’excitait et me faisait mouiller. On nous redressa le buste en tirant sur nos cheveux. Toujours face à face on nous obligea de nous tirer mutuellement les seins, et de ne pas faire semblant. Je ne voulais pas faire mal à Elsa. Ma désobéissance m’en coûta. Les 2 hommes m’emmenèrent à l’écart,laissant ELSA aux mains des hommes qui s’étaient approchés. Une fois à l’écart, ils m’écartérent les jambes, je firent pencher en avant, liant les mains et les chevilles ensemble. Je devenais vulnérable, et soumise à souhait à leurs yeux. Ils trouvèrent un baillon de fortune, sachant que je risquais de crier.
- tu vas te souvenir que tu dois obéir chienne
Ila avaient trouvé de quoi faire une badine chacun, et ils frappèrent en cadence mes fesses , atteignant aussi ma chatte, j’ avais mal, le soleil avivait la morsure des coups, la position très inconfortable me faisait vaciller
Les cous s’arrêtèrent et ils purent constater que j’étais excitée
- salope, t’aimes çà
Et sur ces mots ils me détachèrent, mise à 4 pattes, et prise en double anale. J’avais mal, j’avais l’impression que mon anus allait se déchirer, mais j’adorais, j’aimais me sentir posséder ainsi. Ils jouirent ensemble sur mes fesses.
L’après midi arrivait à sa fin, et nous partirent tous les 4 à l’eau pour se laver avant de regagner nos voitures.
Après avoir regagné nos voitures et dit au revoir à Elsa et son mari, c’était à mon tour de dire au revoir à cet homme qui m’avait fait découvrir ce dont j’étais capable de faire.
Il me remercia d’avir joué le jeu pendant ces 3jours, prit mon mail au cas où, et en guise d’adieu, me plaqua contre la voiture pour m’embrasser, (ce qu’il n avait pas fait de 3 jours), tout en mettant habilement l’œuf et le plug dans mes orifices.
- c’est ma derniére demande, je vais enclencher les vibrations, mettre la télecommande dans ton coffre, et je compte sur toi pour les garder jusque chez toi, et tu les gardes en souvenir. Tu peux te faire jouir en arrivant chez toi.
Je rentrais chez moi comme il l’avait souhaité, roulant doucement, les vibrations me perturbant quelques peu. A peine arrivée j’ôtais ma robe, l’œuf et le plug et filais sous la douche, me carressant tout le corps, me masturbant le clito, et jouissant dans un grand cri de plaisir, mais aussi de regret de ne plus le revoir.
Je verrais la plage différemment maintenant
Je m’excécutais, sachant que je n’avais pas le choix, et je prenais du plaisir à sucer ce beau membre, qui remplissait bien ma bouche, et tous mes orifices, qui me donnait du plaisir même si c’était des fois dans la souffrance, la honte d’être avilie, salie.
Nous avons fini de monter la dune, et nous nous sommes installés dans un endroit encore calme de la plage. Son ami dont j’avais connaissance le premier jour, arriva suivie de sa femme. Elle était charmante, bien faite, mais semblait effacée. Les présentations faites, chacun s’allongea sur sa serviette.
- hé les filles vous devriez vous passez de la crème, vous allez rougir. Et faites çà bien.
Elle comprit plus vite que moi ce que cela voulait dire. Je précise pour la suite du récit, que je ne suis pas bi, qu’à ce jour je n’avais jamais touché de femme et aucune femme ne m’avait encore touché.
Elsa commença à passer l’huile sur mon dos, massant délicatement mes fesses, insinuant ses doigts entre mes fesses. C’était trés agréable. Je me retournais et elle entreprit de passer l’huile sur mes seins, les massant délicatement, jouant avec mes tétons, se hasardant à les sucer. A ma grande surprise je sentais monter en moi le plaisir, ma chatte commençait à suinter. Elle descendit lentement sur le ventre, gagnant petit à petit mon sexe lisse, massant mon clito. Puis ce fut mon tour d’huiler Elsa. Bien qu’hésitante j’essayais de faire aussi bien qu’elle. Les hommes jubilaient.
- oh les filles vous n’allez pas nous laisser sur notre faim avec ce touche pipi, faites nous voir comment vous vous broutez
Elsa pris les choses en main, et plaça sa bouche contre mon sexe, lécha avec application mon clito, insinua sa langue dans ma chatte, fouilla l’intérieur de mon vagin avec ses doigts fins, elle aspirait tout mon jus, je voulais à mon tour lui donnait le même plaisir. Elle vint placer sa chatte au dessus de ma tête et nous fîmes un bon 69, je découvrais avec plaisir le goût de sa cyprine, le plaisir de lécher un sexe de femme, jouer avec un clito. Les hommes étaient aux anges, bien que nous traitant de gouines en chaleur. Elsa la croupe en l’air au dessus de moi, se fit prendre par les deux hommes. Elle ne broncha pas.
Nous sommes aller tous nous rafraîchir dans les vagues. Quelques voyeurs avaient assistés de loin à la scène en se branlant. La plage commençait à se peupler. Revenues sur nos serviettes, nous avons du chacune, introduire un œuf et un plug vibrant à télécommande, nous recommandant de nous maîtriser quand ils actionneraient les télécommandes. Et il s’amusèrent, passant les 10 sortes de vibrations en revue que ce soit dans l’œuf ou dans le plug, en alternance, ou en même temps. Nous subissions ce doux et subtil plaisir en essayant de ne pas broncher. Le plaisir montait crescendo, et restait en suspens quand les vibrations s’arrêtaient, parfois de longue minutes comme pour nous mettre en sensation d’abstinence, sans pouvoir aller au bout de notre jouissance. J’avais la chatte trempe, le clito dur et aurait voulu jouir.
Ils décidèrent d’arrêter et d’aller s’installer dans la dune pour manger. Elsa et son mari avait tout prévu, jusqu’au rosé bien frais. Ils installérent un parasol pour manger à l’ombre. Pendant le repas les télécommandes se remirent en action, nous faisant par l’effet de surprise échappée un bout de pain ou renverser notre verre. A chaque faute, nous avions un gage. C’est ainsi que nous avons du nous lécher les seins, sucer leur queue, manger une banane comme si c’était un sexe, se laisser mettre un doigt au cul, dans la chatte.
Le repas fini nous avons pu enlever œuf et gode, pour ma part j’étais trempe, Elsa reçu l’ordre de me lécher pour nettoyer la cyprine qui coulait de ma chatte.
Les voyeurs étaient plus nombreux et rôdaient. Mon Maître du we, alla accrocher une pancarte au parasol. Qu’est ce que cela pouvait être ? Tous les voyeurs s’approchèrent et certains discutèrent avec les 2 hommes.
ELSA en profita pour me dire ce qu’il y avait d’inscrit : ICI 2 CHIENNES A BAISER. Un frisson secoua mon corps, à moins que ce ne soit une onde de plaisir.
Le mari d’ELSA planta une bouteille à l’envers dans le sable, et me demanda de m’empaler la chatte dessus, et de me branler dessus tout en me mastrubant mon clito. J’étais face à Elsa qui se faisait prendre en double par les 2 hommes, et en branlait 2 autres. Tout cela m’excitait énormément, je montais et descendais sur la bouteille qui glissait toute seule dans ma chatte tellement je mouillais. J’arrivais au paroxisme du plaisir, quand je sentis une présence derrière moi, qui agrippa mes seins fortement, me pencha en avant et força mon anus, sa queue était très longue, et s’enfonçait jusqu’au plus profond de mes entrailles, me faisant crier de douleur et de plaisir. Le sable n’arrivait plus à pomper mon jus tellement je jouissais, la fontaine était intarrissable. L’homme me jouit sur mon dos, puis vint se faire nettoyer la queue de ma langue.
- nos chiennes sont exemplaires mais elles doivent avoir des choses à nous cacher….. approchez l’une de l’autre à 4 pattes, et mettez vous face à face
Une fois en position, nous nous sommes embrassées, tandis que tous les hommes présents venaient nous claquer les fesses, nous les pincer, tirer sur nos seins en les tordant, chacun y allait de bon cœur. Je sentais mes fesses rougir et commencer à cuire, mais cela m’excitait et me faisait mouiller. On nous redressa le buste en tirant sur nos cheveux. Toujours face à face on nous obligea de nous tirer mutuellement les seins, et de ne pas faire semblant. Je ne voulais pas faire mal à Elsa. Ma désobéissance m’en coûta. Les 2 hommes m’emmenèrent à l’écart,laissant ELSA aux mains des hommes qui s’étaient approchés. Une fois à l’écart, ils m’écartérent les jambes, je firent pencher en avant, liant les mains et les chevilles ensemble. Je devenais vulnérable, et soumise à souhait à leurs yeux. Ils trouvèrent un baillon de fortune, sachant que je risquais de crier.
- tu vas te souvenir que tu dois obéir chienne
Ila avaient trouvé de quoi faire une badine chacun, et ils frappèrent en cadence mes fesses , atteignant aussi ma chatte, j’ avais mal, le soleil avivait la morsure des coups, la position très inconfortable me faisait vaciller
Les cous s’arrêtèrent et ils purent constater que j’étais excitée
- salope, t’aimes çà
Et sur ces mots ils me détachèrent, mise à 4 pattes, et prise en double anale. J’avais mal, j’avais l’impression que mon anus allait se déchirer, mais j’adorais, j’aimais me sentir posséder ainsi. Ils jouirent ensemble sur mes fesses.
L’après midi arrivait à sa fin, et nous partirent tous les 4 à l’eau pour se laver avant de regagner nos voitures.
Après avoir regagné nos voitures et dit au revoir à Elsa et son mari, c’était à mon tour de dire au revoir à cet homme qui m’avait fait découvrir ce dont j’étais capable de faire.
Il me remercia d’avir joué le jeu pendant ces 3jours, prit mon mail au cas où, et en guise d’adieu, me plaqua contre la voiture pour m’embrasser, (ce qu’il n avait pas fait de 3 jours), tout en mettant habilement l’œuf et le plug dans mes orifices.
- c’est ma derniére demande, je vais enclencher les vibrations, mettre la télecommande dans ton coffre, et je compte sur toi pour les garder jusque chez toi, et tu les gardes en souvenir. Tu peux te faire jouir en arrivant chez toi.
Je rentrais chez moi comme il l’avait souhaité, roulant doucement, les vibrations me perturbant quelques peu. A peine arrivée j’ôtais ma robe, l’œuf et le plug et filais sous la douche, me carressant tout le corps, me masturbant le clito, et jouissant dans un grand cri de plaisir, mais aussi de regret de ne plus le revoir.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour cette histoire qu j'ai lu la queue en l'air constamment