Etre femme

- Par l'auteur HDS Philly -
Récit érotique écrit par Philly [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Philly ont reçu un total de 1 650 visites.
Récit libertin : Etre femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-05-2005 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 650 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Etre femme
J’ai 42 ans, bien physiquement , 1 m 79 et 69 kg, marié, un enfant.
Je viens de réaliser un fantasme qui m’a plu et donné l’envie de recommencer.
Mon fantasme était de me travestir et de me sentir femme devant le sexe d’un homme.
Il y a quelque jours, ma femme a dû partir en voyage avec sa société et ma fille était chez sa tante. J’ en ai profité pour mener à bien mon projet, de tenter l’expérience. Je voulais juste m’habiller en femme, pas passer pour une femme. Dans divers magasins, j’ai acheté
(sois-disant pour ma femme) une robe d’été venant à mi-genoux, un porte-jarretelles, des bas et un soutien. Egalement une culotte en coton assez serrante pour bien garder mon sexe coincé entre mes cuisses. Le soir je me suis habillé dans un état d’excitation indescriptible. Quand je me suis vue dans le miroir de la garde-robe, j’ai dû me retenir pour ne pas décoincer mon sexe de sa cache et me branler. Pour plus de discrétion, j’ai chaussé des basket et mis un imper par dessus tout. Je suis partie en voiture à quelques km de chez moi et je l’ai garée près d’un sex-shop avec cabines vidéo au sous sol. Je suis rapidement rentrée dans le sex-shop et
suis descendue aux cabines. J’ai choisi la cabine du fond qui était libre et j’y suis rentré. J’ai enlevé mon imper et me suis installée en laissant la porte entrouverte. Peu de temps et quelques curieux après, un homme dans la soixantaine, bien conservé, a passé la tête et m’a
demandé : « tu cherches quelque chose ma petite ?». Sa voix était chaude et paternelle.
Je lui ai fait signe de rentrer. Il a pénétré dans la cabine en refermant derrière lui avec la verrou. « Le patron ne dit rien à condition que sa vidéo fonctionne » m’a-t-il dit en glissant un billet dans le monnayeur.
Je sentais mon sexe gonflé à mort dans ma culotte . Il s’est approché de moi, j’étais assise, lui debout, je l’ai attiré vers moi et j’ai posé ma joue sur la bosse de son pantalon. Ca me faisait quelque chose de sentir vivre ce sexe à travers le tissus. Je me suis reculée, j’ai remonté le bas de ma robe dévoilant mes bas et mes jarretelles. Ensuite, j’ai fait glisser sa braguette, défait sa ceinture et le bouton f de son pantalon qui a glissé sur ses chevilles. Il respirait fortement et se laissait faire en me caressant la tête. J’ai embrassé son sexe par dessus son slip tout en glissant une main par l’ouverture de celui-ci. C’était chaud et doux et je ne pus m’empêcher plus longtemps d’abaisser son slip pour voir apparaître un beau sexe tendu, ni trop grand, ni trop petit, juste comme je le désirais.
J’ai approché ma tête et donné un délicat baisé sur le bout ? Je sentais son ventre qui s’avançait pour une invite et ses mains qui tiraient doucement ma tête vers lui. J’ai suçoté le gland encore couvert de prépuce et d’où sortait un liquide au goût exquis. J’ai ensuite entrouvert la bouche et lentement il a fait pénétrer cette belle bite. Je l’ai bien humidifiée et j’ai commencé des va-et-vient en faisant tourner ma langue dans tous les sens. Je me foutais de ma jouissance, je ne pensais plus à moi, je me sentais femme en train de donner du plaisir à un homme. Ses mains aidant, j’ai accéléré le rythme tout en lui malaxant les couilles douces et gonflées. Tout à coup, il a poussé un râle en s’enfonçant au fond de ma gorge. J’ai sentis des soubresauts et de longues giclées de spermes dans ma bouche. J’ai tout avalé et c’était délicieux.
Il voulut se rhabiller pour partir mais je lui ai tendrement demandé de rester. J’avais amené des préservatifs et du gel anal et je voulais lui en faire profiter. Je l’ai fait asseoir sur mes genoux et en regardant sur l’écran une belle femme mûre se faisant prendre en levrette, je le caressait. Il reprenait petit à petit de la vigueur. Quelle joie de le sentir se gonfler entre mes doigts. Le sentant à nouveau bien dur, je l’ai fait asseoir à ma place, j’ai enlevé ma culotte, je me suis mis du lubrifiant et tendrement j’ai déballé la capote pour la déroulé sur ce sexe que j’aimais.
J’ai levé l’arrière de la robe, je me suis assise dos à lui et il a guidé son sexe à l’entrée de mon petit trou. Mon clito pointait vers l’avant en soulevant le bas de ma robe. J’ai écarté mes fesses des deux mains et j’ai poussé jusqu’à ce que je sente le gland entrer.Ensuite je me suis laisser descendre jusqu’à ce que tout son membre soit en moi. Je n’ai pas ressentis de douleur mais juste un profond bien être de satisfaction. je m’appuyait sur ses cuisse pour me faire monter et descendre. Il m’a attrapée par les hanches et a accéléré dans de long allez-retours.
Il me faisait aller et venir comme une poupée et nous a amené à l’orgasme. J’ai joui sans qu’il me touche en m’asseyant plus fort sur lui et en sentant les soubresauts de sa jouissance dans mon cul malgré la capote. J’ai attendu un petit peu pour me remettre et je me suis levée.
Mon sperme coulait le long de mes jambes. Il s’est ensuite levé, je me suis agenouillée, je lui ai ôté le préservatif et englouti dans ma bouche ce membre encore à moitié dur pour le remercier une dernière fois de m’avoir donné tant de plaisir. Il m’a embrassée sur la bouche
en forçant ma langue avec la sienne, s’est rhabillé et est parti. Je me suis rajustée et j’ai quitté le sex-shop en me promettant d’y revenir.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Etre femme
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Philly

Etre femme - Récit érotique publié le 14-05-2005