Etudiant j'aime les sexagénaire

- Par l'auteur HDS Auteur anonyme 017 -
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Récit libertin : Etudiant j'aime les sexagénaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Etudiant j'aime les sexagénaire
fleur de l'âge, 175 cm pour 70 kg, assez fin de trait, les cheveux longs, blonds et soyeux, et je suis,ce que'on appelle un minet. Je ressemble à une fille, je suis dépourvude poil, quelques uns en bataille sur le pubis et une queue petite et fine non circoncise et lisse. J'ai 20 ans !
J'aime me faire dragué par les hommes dits murs : la soixantaine. Leur allure propre m'inspire et je les choisis de corpulence moyenne voire petite.
Etudiant en droit, je flane dans les bars, le soir, et si je n'ai rien trouvé, je rentre dans mon studio où je me fais une petite masturbe.
Lundi dernier, je vois arriver un homme, environ 65 ans, qui sort d'une somptueuse limousine,une énorme Mercédès. En le croisant, je lui souris et il répond à mon sourire par un petit boujour, puis rentre dans un hôtel luxueux. J'oublie cette rencontre furtive et me dirige dans le bar non loin de là...
Quelques minutes après, je revois mon bonhomme qui passe devant la vitrine du bar et, me remarquant, rentre dans l'établissement et vient s'assoir devant moi. Il a peu de cheveux, il sent le parfum de marque, sa peau est bronzée, et son sourire est magnifique : dents bien alignées, bien blanches. Il parle doucement et le timbre de sa voix est douce et agréable.
Il me dit qu'il vien d'arriver de Paris et qu'il ne connait que très peu cette ville, mais reconnait que ce n'est pas le tourisme qui l'intéresse. Comme, si je ne l'avais pas remarqué, il me dit qu'il est "descendu" au "ROYALTY". Il me dit : "tu connais ?"
"Non, je n'y suis jamais entré" et il enchaîne aussitôt "Tu veux venir voir?"... J'hésite et finit par acquiesser.
Hall splendide, escalier majestueux en chrome doré, plafond très haut et un ascenseur très large et silencieux. Celui-ci monte lentement comme gracieux. Mon hôte me précède en arrivant à l'étage et je le suis dans le dédale de couloir où une moquette rouge écarlate et épaisse feutre nos pas.
Enfin, nous arrivâmes devant la porte de la chambre qu'il ouvrit immédiatement, le priant de la suivre. En arrivant, une grande entrée ouverte sur une plus grande pièce où prone un lit gigantesque. Contigu, un petit salon avec quatre fauteuil et un guéridon et deux chaises, et une grande glace où l'on peut se mirer de haut en bas. Dans un coin, un petit bar avec son réfrigérateur et une cafetière.
Il me prie de m'assoir et me demande ce que je veux boire, et me propose en l'ouvrant : alcool, jus de fruit, eau plate, gazeuse, coca etc... Je finis par me décider et choisis un jus de fruit à l'ananas. Il prit la même chose et vint s'assoir près de moi et au bout d'un certain temps posa sa main sur la mienne. Tenant le verre dans l'autre main, je le finis et un peu engourdi, il m'aida à le poser sur le guéridon... Sa main arriva sur ma cuisse et toujours en parlant et me regardant dans les yeux, il s'approchais de mon entrejambe. Sa main fine et douce arrivée sur le gras de ma cuisse me fit bander aussitôt. De temps en temps, il jetait un regard vers la bosse de mon pantalon. Ce n'est pas une très grosse bosse, mais mon érection montra une déformation significative de mon pantalon. Sa main arriva sur le paquet et très délicatement me le caressa, puis me le tâta. Il s'arrêta et me dit "Tu viens sur le lit?"
Il m'attira en me tenant par la main, me précèdant, il s'assit sur le lit et comme je me tenais debout devant lui, il commença, avec des gestes précis, à me déboutonner la fermeture de mon fute, qui tomba sur mes chevilles quand il eut baissé le zip. Il passa légèrement sa main sur ma bosse et baissa enfin mon sous-vêtement pour me mettre la queue à l'air. Il me recula légèrement pour mieux me voir et s'extasia sur mon appendice. Il me déboutonna ma chemise bouton par bouton avec lenteur et grâce, et tirant sur la manche il l'enleva et je me retrouvais nu comme un verre devant lui. Ma queue dressée, à moitié décalottée à hauteur de son visage, il la regardait et sans se précipiter il donna quelque coups de langue sur le bout. Son souffle chaud et sa petite caresse me mit dans un état extrème. Ses doigts fins vinrent caresser mes boules et ses coups de langue furtifs se firent de plus en plus nombreux. Délicatement, il dégagea mon prépuce et ses lèvres prirent possession de mon gland, puis comme atteint par une fièvre, il avala tout mon sexe jusqu'à la garde. Le plaisir montait et je faillis vasciller. Il s'en aperçut et me demanda de m'allonger sur le lit qu'il défit d'un tour de main. A quatre patte je rejoignais ce lit et il en profita pour passer la tranche de sa main dans ma raie.
Avec une rapidité extraordinaire, il se deshabilla et jeta ses fringues sur une chaise à côté de la table de nuit. Moi allongé, il resta un moment debout, comme pour se faire admirer, et je découvris un sexe long et fin, circoncis au gland allongé. Je matais ce nouvel arrivant et je tendis la main pour le caresser. Il se laissa faire un moment puis vint s'allonger contre moi. Ses mains m'envahissèrent et prenèrent possession de tout mon corps. Ses larges caresses accompagnaient un doux baiser sur la bouche qui se transforma par pelle magnifique.
Il me lèchait partout, puis sa langue descendit et ilprit ma queue et l'avala en aspirant.
avec ses mains ils me caressait les boules et commençait une approche sérieuse sur mon oeillet qui se dilatait dans l'excitation. Tout, ses caresses, sa lèche, ses gestes étaient délicats et légers... Sa langue dans mon anus était divine et sans forcer me pénètrait. J'étais aux anges... Il m'attira vers le bord du lit, me fit mette à quatre pattes et après m'avoir longuement lèché la raie et mon petit trou, il entreprit de poser mon gland sur ma rondelle et en appuyant lègèrement il pénètra aisément et peu à peu s'enfonça dans mon ventre. Pris par les hanches j'étais limé en douceur, de temps en temps il passais sa main sous mon ventre pour caresser mon sexe tendu, puis reprenait sa cadence. Je sentais qu'il allait jouir, et je priais pour qu'il vienne se finir dans ma bouche. Il se retira et debout à côté du lit il attendit que je vienne le prendre en bouche. Sans mettre les mains j'avalais sa queue pleine de mouille et il déchargea aussitôt un flot de sperme que j'avalais avec gourmandise. Je n'en perdis aucune goutte et prenait tout ce qi arrivait par saccades, je pinçais les lèvres pour ne rien perdre et pour bien le rincer. Il me caressa la tête, comme pour me remercier de ce palisir que je lui avait procuré.
Puis, il vint s'allonger sur le lit pour reprendre son souffle la main sur mon ventre.
Dix minutes après, il se redressa et vint me prendre en bouche. Ma queue toujours raide et non satisfaite lui était offerte. Une fois bien dressée, il vint se mettre accroupi sur moi et après avoir mouiller avec sa salive son petit trou, il s'empala sur mon membre. Face à moi je le voyais fermer les yeux et il commença à monter et descendre sur mon chibre turgescent. Ce chibre glissait bien, et mon jus montait et mes gémissements l'en averti. Il se dégagea à son tour et me pompa jusqu'à mon éjaculation. Il arrivait à prendre ma tige et les boules dans sa bouche et je trouvais ça divin. Il m'essora mon sexe toujours avec délicatesse.
Plusieurs fois dans la nuit, il me réveilla et me sodomisa. Le matin nous déjeunions dans la chambre, un groom à qui il avait téléphoné déposa un plateau couvert de café, lait, tartines grillées, confiture, jambon oeufs durs...
Quand je l'ai quitté, il m'embrassa longuement et il me donna sa carte de visite pour que je l'appelle. Marié, il m'avait demandé la discrétion et de temps en temps, il revien et nous nous éclatons.

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