Eugénie
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Eugénie
On me trouve un peu enveloppée parce que je suis bien en chair, ce qui ne veut rien dire sur mon tempérament volcanique. J’aime l’amour, j’aime jouir longuement, souvent peu importe avec qui ou quoi. A regarder dans mes tiroirs on pourrait croire que je fais une collection particulière de jouets : ils me servent tous. Même le chapelet de billes que je mets dans mon petit trou souvent.
Un de mes ex trouva que je suis réellement fatigante pour un homme normal, comme si baiser était un passe temps ordinaire. Il est heureusement parti, sorti définitivement de ma vie. En plus en me traitant de toxicomane de la bite ! C’est vrai qu’il ne me suivant pas toujours dans mes délires de baise : je voulais faire l’amour devant lui avec d’autres, hommes ou femmes. Je voulais le voir aussi dans des bras masculins pendant qu’il se faisait mettre au cul. Pour moi c’était normal de prendre tous les plaisirs l’un devant l’autre. Lui s’en tenait à la position du missionnaire, à conditions que je ne lui demande pas de me sodomiser ou de le sucer en avalant sa semence.
J’avais une autre ressource, en cachette bien sur, une copine Eugénie, avec qui je m’éclatais quand nous étions nues dans un lit. Maintenant je n’ai plus qu’elle pour jouir à deux. Entre nous point de honte à dire des rêves oniriques ou même sadomasochistes. Une chose nous attirait : trouve un seul mec pour nous deux. C’est plus compliqué que dans les romans. Pour une femme seule, c’est soit passer pour une pute, soit une salope. Alors pour deux filles portées sur le lesbianisme sur les bords, là c’est la panique.
Nous avons mis au point une feinte pour trouver l’homme idéal : se faire lever normalement par n’importe qui, baiser avec et se faire surprendre par l’autre.
Je suis dans un bar, dégustant une liqueur, assise bien en vue. Je regarde autour de moi les « clients potentiels ». Je téléphone souvent à Eugénie pour la tenir informée. Je dois patienter une bonne ½ heure avant que je sois abordée par un homme d’une quarantaine d’année, semblant bien fait. Je fais le numéro de ma copine, sans prendre la parole ; elle n’a qu’à écouter. Je ne fais que jouer le rôle d’une femme en mal de baise, ça m’est facile. L’affaire est vite conclue. Il vient près de moi, essaie de m’embrasser sur la bouche, ce que je refuse deux fois avant de céder. Sa langue entre dans ma bouche. Je commence à mouiller. Il continue son baratin dont je me fous totalement, j’ai envie de sa queue pas de son cœur.
J’entends vaguement un soupir au téléphone, Eugénie doit se branler. Elle au moins peut se soulager sans crainte. Enfin il me caresse vite fait la poitrine avant de passer sa main sur mon jean. Je le sens à peine. S’il pouvait passer sa main directement sur ma chatte…
- Où allons-nous ? me demande-t-il,
- Chez moi, c’est le plus simple.
- Tu veux bien que je te baise.
- Bien sur c’est bien pour ça que tu viens ?
J’entends le déclic de l’appareil qui raccroche : Eugénie attend dans une pièce que je sois en bonne position.
Le retour chez moi se fait comme si nous étions de véritables amoureux : il me fait entrer dans des entrées d’immeubles pour m’embrasser, ce qu’il fait très bien. Il en profite toujours pour me mettre la main au panier, ce qui ne peut que m’exciter. Enfin nous entrons dans l’appartement : pas de trace de ma copine. Je me demande où elle peut être, dans la cuisine peut-être ?
Direction la chambre à coucher. C’est lui qui dirige, ce que j’accepte avec plaisir, j’ai envie de sa bite n’importe où. Sa bouche dérape vite vers le cou puis vers mes seins qu’il découvre :
- Tu es sacrément sexy avec ta poitrine florissante.
Il me déshabille trop lentement ; je commence à avoir sérieusement besoin de sa queue n’importe où. J’arrive à lui faire enlever sa chemise puis en forçant à peine son pantalon et son slip. Bonne pioche, sa bite est grosse, pas trop, juste dans les dimensions qui me vont. Sans autre forme de procès il vient sur moi qui écarte bien les cuisses. Il ne me pelote pas un seul instant et pourtant je me laisse faire comme une jeune vierge innocente. Je reçois son pal en pleine figue. Mouillée comme je suis, il entre trop facilement. Il va me faire jouir vite.
Je me crispe quand je jouis en criant. Eugénie profite de cet instant pour entrer dans la chambre.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Je baise, ce n’est pas interdit.
- Tu nous gêne.
- J’ai envie de ton type.
- Demande-le-lui.
Mon type se demande si c’est du réel. Il commence à débander en sortant de moi. Elle le prend dans sa main pour le remettre droit. Surpris il se laisse faire. Maintenant c’est mon amie qui s’occupe de lui.
Elle l’embrasse sans cesse jusqu’au moment où elle se couche contre moi pour se faire mettre. L’excitation de se voir avec deux filles le fait bander encore plus. Il satisfait les premiers besoins d’Eugénie, qui jouit en me tenant la main.
Il ne la lâche pas, sa queue dans le con de ma copine. C’est bien pour elle, et moi ? Je vais m’assoir sur sa bouche. Elle connaît assez ma chatte pour savoir où mettre sa bouche. Je fais face à notre amant, je regarde l’accouplement ce qui bien sur m’excite encore plus. Je peux quand même me pencher en avant pour que je puisse la branler. Lui regarde le tableau de la bouche de celle qu’il baise me lécher. Il accélère son allure jusqu’au moment où Eugénie jouit.
Je le veux pour moi maintenant. Je me mets en levrette pour la suite. Je n’ai pas besoin de faire un dessin : il me barbouille le cul de cyprine avant de me la mettre dans le cul. Ouf, il y a tellement longtemps que je ne me suis pas faite enculer que je désespérais. J’allais me branler comme normalement je fais quand j’ai une bite dans le cul. Eugénie devine mon besoin et se met en 69 pour me sucer. Je n’ai qu’à me baisser un peu pour avoir sa foufoune dans le bouche ;
Lui continu à me limer : c’est sacrément bon de le sentir aller et venir dans ma gaine. En plus il me semble que mon amie me suce mieux que les autres fois. Je suis vernie. Pourvu qu’on ne le perde pas : il est un amant précieux. Je ne peux dire combien de fois je suis partie. J’étais dans un autre monde plus riant.
Il se laisse aller en jouissant au fond de mon anus. J’ai pris un pied pas possible. Mais si j’ai bien joui, Eugénie en veut encore.
Nous restons en 69, nous suçant, nous mettant les doigts dans tous les trous pour bien jouir devant lui qui redresse sa queue. Eugénie l’embrasse sur la bouche avant de lui donner aussi son cul en restant couchée sur le dos. Je ne suis que spectatrice, je ne peux que me masturber en les voyant baiser.
Il la lui met bien profond, comme à moi sans doute. Je ne vais pas en 69, je me contente de branler Eugénie. Je suis vicieuse en entrant deux doigts dans le cul de notre amant : il aime assez puisqu’il en redemande après coup.
Il s’appelle Saturnin, comme le canard dont je me sers pendant le bain pour me branler.
Un de mes ex trouva que je suis réellement fatigante pour un homme normal, comme si baiser était un passe temps ordinaire. Il est heureusement parti, sorti définitivement de ma vie. En plus en me traitant de toxicomane de la bite ! C’est vrai qu’il ne me suivant pas toujours dans mes délires de baise : je voulais faire l’amour devant lui avec d’autres, hommes ou femmes. Je voulais le voir aussi dans des bras masculins pendant qu’il se faisait mettre au cul. Pour moi c’était normal de prendre tous les plaisirs l’un devant l’autre. Lui s’en tenait à la position du missionnaire, à conditions que je ne lui demande pas de me sodomiser ou de le sucer en avalant sa semence.
J’avais une autre ressource, en cachette bien sur, une copine Eugénie, avec qui je m’éclatais quand nous étions nues dans un lit. Maintenant je n’ai plus qu’elle pour jouir à deux. Entre nous point de honte à dire des rêves oniriques ou même sadomasochistes. Une chose nous attirait : trouve un seul mec pour nous deux. C’est plus compliqué que dans les romans. Pour une femme seule, c’est soit passer pour une pute, soit une salope. Alors pour deux filles portées sur le lesbianisme sur les bords, là c’est la panique.
Nous avons mis au point une feinte pour trouver l’homme idéal : se faire lever normalement par n’importe qui, baiser avec et se faire surprendre par l’autre.
Je suis dans un bar, dégustant une liqueur, assise bien en vue. Je regarde autour de moi les « clients potentiels ». Je téléphone souvent à Eugénie pour la tenir informée. Je dois patienter une bonne ½ heure avant que je sois abordée par un homme d’une quarantaine d’année, semblant bien fait. Je fais le numéro de ma copine, sans prendre la parole ; elle n’a qu’à écouter. Je ne fais que jouer le rôle d’une femme en mal de baise, ça m’est facile. L’affaire est vite conclue. Il vient près de moi, essaie de m’embrasser sur la bouche, ce que je refuse deux fois avant de céder. Sa langue entre dans ma bouche. Je commence à mouiller. Il continue son baratin dont je me fous totalement, j’ai envie de sa queue pas de son cœur.
J’entends vaguement un soupir au téléphone, Eugénie doit se branler. Elle au moins peut se soulager sans crainte. Enfin il me caresse vite fait la poitrine avant de passer sa main sur mon jean. Je le sens à peine. S’il pouvait passer sa main directement sur ma chatte…
- Où allons-nous ? me demande-t-il,
- Chez moi, c’est le plus simple.
- Tu veux bien que je te baise.
- Bien sur c’est bien pour ça que tu viens ?
J’entends le déclic de l’appareil qui raccroche : Eugénie attend dans une pièce que je sois en bonne position.
Le retour chez moi se fait comme si nous étions de véritables amoureux : il me fait entrer dans des entrées d’immeubles pour m’embrasser, ce qu’il fait très bien. Il en profite toujours pour me mettre la main au panier, ce qui ne peut que m’exciter. Enfin nous entrons dans l’appartement : pas de trace de ma copine. Je me demande où elle peut être, dans la cuisine peut-être ?
Direction la chambre à coucher. C’est lui qui dirige, ce que j’accepte avec plaisir, j’ai envie de sa bite n’importe où. Sa bouche dérape vite vers le cou puis vers mes seins qu’il découvre :
- Tu es sacrément sexy avec ta poitrine florissante.
Il me déshabille trop lentement ; je commence à avoir sérieusement besoin de sa queue n’importe où. J’arrive à lui faire enlever sa chemise puis en forçant à peine son pantalon et son slip. Bonne pioche, sa bite est grosse, pas trop, juste dans les dimensions qui me vont. Sans autre forme de procès il vient sur moi qui écarte bien les cuisses. Il ne me pelote pas un seul instant et pourtant je me laisse faire comme une jeune vierge innocente. Je reçois son pal en pleine figue. Mouillée comme je suis, il entre trop facilement. Il va me faire jouir vite.
Je me crispe quand je jouis en criant. Eugénie profite de cet instant pour entrer dans la chambre.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- Je baise, ce n’est pas interdit.
- Tu nous gêne.
- J’ai envie de ton type.
- Demande-le-lui.
Mon type se demande si c’est du réel. Il commence à débander en sortant de moi. Elle le prend dans sa main pour le remettre droit. Surpris il se laisse faire. Maintenant c’est mon amie qui s’occupe de lui.
Elle l’embrasse sans cesse jusqu’au moment où elle se couche contre moi pour se faire mettre. L’excitation de se voir avec deux filles le fait bander encore plus. Il satisfait les premiers besoins d’Eugénie, qui jouit en me tenant la main.
Il ne la lâche pas, sa queue dans le con de ma copine. C’est bien pour elle, et moi ? Je vais m’assoir sur sa bouche. Elle connaît assez ma chatte pour savoir où mettre sa bouche. Je fais face à notre amant, je regarde l’accouplement ce qui bien sur m’excite encore plus. Je peux quand même me pencher en avant pour que je puisse la branler. Lui regarde le tableau de la bouche de celle qu’il baise me lécher. Il accélère son allure jusqu’au moment où Eugénie jouit.
Je le veux pour moi maintenant. Je me mets en levrette pour la suite. Je n’ai pas besoin de faire un dessin : il me barbouille le cul de cyprine avant de me la mettre dans le cul. Ouf, il y a tellement longtemps que je ne me suis pas faite enculer que je désespérais. J’allais me branler comme normalement je fais quand j’ai une bite dans le cul. Eugénie devine mon besoin et se met en 69 pour me sucer. Je n’ai qu’à me baisser un peu pour avoir sa foufoune dans le bouche ;
Lui continu à me limer : c’est sacrément bon de le sentir aller et venir dans ma gaine. En plus il me semble que mon amie me suce mieux que les autres fois. Je suis vernie. Pourvu qu’on ne le perde pas : il est un amant précieux. Je ne peux dire combien de fois je suis partie. J’étais dans un autre monde plus riant.
Il se laisse aller en jouissant au fond de mon anus. J’ai pris un pied pas possible. Mais si j’ai bien joui, Eugénie en veut encore.
Nous restons en 69, nous suçant, nous mettant les doigts dans tous les trous pour bien jouir devant lui qui redresse sa queue. Eugénie l’embrasse sur la bouche avant de lui donner aussi son cul en restant couchée sur le dos. Je ne suis que spectatrice, je ne peux que me masturber en les voyant baiser.
Il la lui met bien profond, comme à moi sans doute. Je ne vais pas en 69, je me contente de branler Eugénie. Je suis vicieuse en entrant deux doigts dans le cul de notre amant : il aime assez puisqu’il en redemande après coup.
Il s’appelle Saturnin, comme le canard dont je me sers pendant le bain pour me branler.
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