Eve soirée SM La suite..
Récit érotique écrit par VieuxMachin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Eve soirée SM La suite..
Avant de lire ce texte allez lire la partie 1 :https://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=42022
L’arrivée de Marie dans notre moment de détente me fait vraiment plaisir. Depuis que la gamine (Eve) est entrée dans nos vies, Marie qui avait pris ses distances avec la bagatelle et surtout les aventures à plusieurs, Marie semble y prendre goût. à nouveau. Certes nous vieillissons, nous n’avons plus 20 ans, Marie qui en compte 10 de plus que moi est fort perturbée par le chiffre des années.Elle a 76 ans certes, mais elle en parait 10 ou 15 de moins, elle est en forme, moins souple qu’avant bien sûr, moi de même. Mais c’est sa prise de poids qui lui brouille la tête. Elle a toujours été bien en chair, maintenant l’âge, la gourmandise, la vie font qu’elle a pris de l’avance.Il n’en reste pas moins que beaucoup d’hommes même jeunes adoreraient coucher avec elle. Togolaise de naissance, comme souvent les femmes de son ethnie en prenant de l’âge sont des mamans. Marie est une mama, avec une paire de seins magnifiques, avec un cul de jument. Mais une bouche de velours, et une envie de s’éclater toujours présente.
Heureux car Marie depuis quelque temps arbore de nouveau ses bijoux intimes qui surprennent tant le corps médical en général. Ma chère et tendre moitié, porte des anneaux aux tétons, un anneau au nombril, Deux gros anneaux aux grandes lèvres et 4 sur les petites lèvres, elle a également un anneau qui traverse son clitoris qui est d’une taille peu commune. Rien que la voir ainsi parée, fait bander pas mal d’hommes et j’en fait partie. Inutile de cacher que depuis des années nous avons pratiqué le SM assidûment et avec un énorme plaisir.
Ma petite Eve est également soumise, Marie est soumise ou dominatrice. Avec moi le plus souvent soumise, mais je ne déteste pas être son jouet et elle aime jouer avec moi. Eve est une vraie petite esclave qui adore toutes les punitions et sévices qu’on peut inventer pour elle. Je précise que rien n'est jamais imposé, tout est consenti. Je ne conçois pas prendre du plaisir en forçant ma ou mon partenaire à des choses qu’il n’aime pas. Fouetter la petite n'aurait aucun sens si elle n’y puisait pas du plaisir ou au moins de l’excitation.
Marie était entrée, s’approchant de moi, elle avait un chemisier noir en voile trasnparent, qui ne cachait rien de ses grosses mamelles aux tétons noirs et granuleux, les anneauc en or réhaussant le tableau. Sa peau est très sombre et luisante, sa bouche maquillée d’un rouge virant, sa langue rose sur ses lèvres, ses dents si blanches. J’aime ce sourire, cet œil narquois. Elle ne porte que ce chemisier, ses bas, des escarpins célèbres pour leur semelle rouge, ma femme a des goûts de luxe, heureusement on en a les moyens. Elle passe sa main dans les cheveux de Eve toujours agenouillée en face de moi. Sa main prend ma queue, toujours raide. Elle glisse le long de mon sexe bandé, sa paume claire, frotte sous mon gland, ses doigts descendent vers mes couilles. Elle décalotte mon gland, je frissonne. Cette caresse me fait bander encore plus.
Hmm Gui mon chéri, tu bandes bien pour un vieillard. Et moi ta vieille salope j'aime quand tu bandes comme ça. Tu vas dire à ta petite pute de me bouffer la chatte. Ne bouge pas je sais ce que tu aimerais.
Marie se penche vers moi, sa bouche se pose sur mon sein gauche, ses dents trouvent mon téton qu’elle mordit cruellement, tandis que sa main droite s’empare de l’autre téton, le pince le fait rouler. Ma femme me connais bien, elle sait que cette caresse est suffisante pour me faire bander.
Ma queue, mes couilles se contractent, mon chibre colle à mon ventre. J’ai la chance d’avoir une belle queue de 20 cm très épaisse et noueuse. Comme je le faisais à Eve il y a peu Marie écrase les couilles. Je bande de plus en plus, mes testicules roulent sous ses doigts. Putain j’adore ce qu’elle me fait.
Eve petite chienne, allez bouffe la chatte de Maîtresse Marie.
Hooo dit Marie, ta pute me met son nez dans la chatte. Elle me mange bien, Lape moi petite salope, bois ma mouille.
Marie me sourit avant de me donner un baiser, bien profond, elle me mord les lèvres et la langue. Elle pince alternativement mes tétons.
Mes mains caressent ses flancs remontant vers ses nibards que je remonte avec mes paumes.
Je passe mes pouces dans les anneaux, et j’étire les mamelles de ma négresse soumise. Je l’appelle souvent négresse, elle n’en prend pas ombrage elle adore çà même.
Tu me fais mal, salaud tu va me déchirer les tétons. Et ça te fait bander mon chéri.
Tais toi ma pute, tu adores ça! Tu adorerais que je te les déchire non?
Marie fait oui de la tête, avant de geindre car je sais que je lui fais mal. Jamais de la vie je ne ferais ce dont nous parlons, mais on fantasme sur ce genre de choses. Oh dans l’absolu si je le voulais elle me laisserais faire, mais c’est ainsi dans ce genre de relations. On évoque beaucoup plus que l’on n’agit. Je me garderais bien de lui faire ce genre de choses. C’est le risque des jeux SM poussés au paroxysme, la perte de repères. Que l’un ou l’autre ait envie d’aller trop loin. Il y a toujours l’amour, l’envie de complaire à l’autre qui nous pousse parfois au-delà de nos limites. J’en sais quelque chose, je pense que je le raconterais un jour.
Marie se laisse bouffer le sexe , tandis qu’elle caresse ma queue bandée avec ses deux mains. Me décalottant à l’extrême. Mon gland gonflé est rouge sombre et luisant de liqueur que Marie étale le long de ma tige, avant d’en faire couler une autre rasade en remontant avec son pouce serré le long de mon urêtre. Chaque fois une énorme goutte transparente naît et coule de mon sexe. Je mouille comme une salope.
Eve petite chienne, allez, avale la queue de mon homme, Moi je vais m’occuper de ton petit cul.
Oui Maîtresse Marie.
Eve ne proteste pas, pourtant je viens de passer un long moment dans sa bouche avant l’arrivée de Marie. Ses grands yeux rieurs me contemple, elle me sourit. Et elle empale sa bouche sur ma queue. Elle m’avale a fond, elle a posé ses mains sur mes fesses et s’oblige à m’avaler totalement. Elle pousse pour que mon gland entre dans sa gorge. C’est intenable, je dois me retenir de pas gicler alors que je sens mes muscles de sa bouche, de sa gorge s’agiter autour de ma queue. Les yeux ouverts , pleins de larmes qui coulent sur ses joues elle s’étouffe sur mon sexe. Pervers je lui pince le nez, l’empêchant de respirer. Elle ne cherche pas à se retirer, je relâche mon pincement, je sens qu’elle respire à nouveau. Marie agenouillée derrière Eve, est occupée à fouiller l’anus béant de la gamine. Eve est tellement sollicitée par Marie, nos amis et amies plus moi même naturellement. Que son cul est très très marqué et ouvert. Je retire ma queue de sa bouche, un flot de salive coule de sa bouche distendue, mon sexe est brillant luisant de sécrétions, çà fait de longs fils gluants qui coulent sur son menton.
Elle est en train de te fister ma chérie?
Ouii c’est bon Maîtresse Marie met sa main en moi.
Pour le moment il n'y a qu’une main, petite salope, l’autre va venir!!
Eve a les reins creusés, elle s’offre aux pénétrations de Marie. Son petit sese est dur plaqué contre son pubis, un long fil de mouille parcouru de gouttelettes pend au bout de ce gros clito. Maintenant Eve avec son traitement hormonal ne laisse plus échapper qu’un fluide transparent comme de l’eau. A peu près aussi abondant que son sperme avant. Ses seins se sont bien développés, ses pointes assez grosses sont hypersensibles.. Au passage je les fait rouler dans mes doigts, lui tirant un gémissement. Je serre et les écrase jusqu’au cri qui m’indique qu’elle ne peut plus supporter plus.
Je suis trop tendu, ma queue me fait presque mal. Je me déplace et passe derrière Marie. Une claque sonore sur son gros cul.. J’écarte ses fesses, son anus est sombre mais le rose transparaît quand j’écarte plus ses grosses fesses. les anneaux pendent et allongent les lèvres, ouvertes de son con. Elle mouille énormément même si l’âge à un peu diminué le phénomène. Il y a quelques années, sa chatte avait goutté sur le carrelage. J’ai si souvent vu sa mouille ruisseler le long de ses cuisses et de ses jambes jusqu'à ses chevilles en petit ruisseau brillants sur sa peau noire. Malgré ses 76 ans ma femme est toujours aussi désirable, salope et jouisseuse.
Maintenant je vois sa main qui entre et sort du cul dilaté de Eve, qui reste ouverte quand la main la quitte avant de s’enfoncer à nouveau en elle, lui tirant un spasme et un cri. La voir ainsi ouverte me fait bander plus fort si c’est possible. Les mains posées sur la croupe de Marie, je pousse mon gland dans son anus qui cède sous la poussée. Marie à depuis toujours aimé la sodomie, surtout avec ma grosse queue comme elle le dit. Je dois garder le self contrôle nécessaire pour ne pas gicler rapidement en elle. Même si je peux la fister à deux mains ou la prendre jusqu’au coude et même plus loin. Marie serre ma queue convulsivement.
Oh oui chéri !! Encule moi fort, je te sens bien.. Regarde la petite !! Elle va nous montrer sa rose.
Marie sors lentement son poing de l’anus de Eve, qui en fait pousse en même temps, les chairs intérieures de son anus forment un bourrelet qui sort à l’extérieur. Les tons du rose aux rouge sombre sont trempés, luisants le lubrifiant accumulé dans les replis de son anus en prolapse est laiteux. Marie caresse doucement cette rose de chair (rosebud), se penche en avant lèche et même prend dans sa bouche cette excroissance tout en glissant sa langue au centre. Excité par cette vision je dois me concentrer pour stopper la montée de l’orgasme qui me fait frissonner.
Humm ça me donne envie de lui bouffer le cul , dis-je.
Laisse-moi faire dit Marie, regarde elle adore çà !!
Oui maîtresse Marie mangez moi, je peux jouir ?
Ah non tu te retiens salope, tu mouilles déjà assez comme çà !! Ne lâche pas tout sur le carrelage sinon je te fouette pendant une heure !
Marie exagère toujours. Si elle fouettait comme elle le fait habituellement Eve pendant 20 minutes sans s'arrêter, la petite sera vite inconsciente. Eve adore le fouet, la canne, la cravache mais la tension nerveuse que ça provoque ainsi que la douleur ont raison de sa résistance et elle nous fait une syncope au moment de l’orgasme. C’est si fort, si violent qu’elle perd connaissance quelque temps. Impressionnant quand on n'est pas habitué, mais sans conséquences. J’ai l’expérience moi-même de ces pertes de conscience quand on se donne a fond. Je connais çà surtout entre mecs ou avec quelques dominatrices très hard. Marie en fait partie et elle m’a plus d’une fois emmené à cette extrémité pour mon plus grand plaisir. On ne recherche plus cet effet désormais, avec 3 infarctus ce ne serait pas raisonnable. Eve du haut de ses vingts printemps peut se le permettre.
Je mesure à cet instant ma chance, tant d’hommes rêvent de cette situation que je peux renouveler tous les soirs si je le désire. D’ailleurs rares sont les jours où je n’honore pas mes deux femelles. Souvent elles sont demandeuses il faut l’avouer. Eve surtout est une libido sur patte et je suis faible et cède à ses caprices bien souvent!!
Eve apprécie, de se sentir totalement exposée, son anus sorti d’elle. C’est impressionnant quand on le voit pour la première fois, on est même inquiet. Je me retire du cul de Marie, je ne veux pas jouir tout de suite. Elle me prend la queue en main puis me suce un instant. Marie crache sur le rosebud d’Eve et me dit.
Aller mon chéri, remet lui son trou du cul en place.
Agenouillé derrière Eve, je place ma queue au centre de l’amas de chairs roses palpitantes, mon gland est au centre, je m’enfonce lentement. Ma queue pénétre, pour l’instant je m’enfonce dans l’excroissance. Marie derrière moi, agenouillée, passe ses mains sur ma poitrine, je sens ses gros seins plaqués contre mon dos, son ventre rond pousse sur mes reins. Ses doigts s’emparent de mes tétines et les pince, les tourne. J’adore qu’on me travaille les tétons. Je continue à m'enfoncer en Eve qui gémit, lentement les chairs exposées se remettent en place, l’anus reprend son aspect initial. Je m’enfonce totalement en elle, mon pubis contre ses fesses, le ressort lentement, un instant les chairs roses suivent ma queue et ressortent doucement avant de reprendre leur place. tout ce temps je sens les intenses palpitations de l’anus de ma petite salope. J’ai de plus en plus de mal à me contrôler.
Chérie, si tu continues tu vas me faire gicler.Dis-je à MarieEt tu ne veux pas encore, gros salaud !! Cela te plaît de nous baiserNon pas tout de suite ma salope !
Alors allonge toi, je vais montrer à Eve que tu es un putain de pervers. Viens gamine tu vas voir ce qu’il aime mon petit mari.
Je m’allonge sur le carrelage froid, c’est salutaire, la fraîcheur fait baiser la tension de mon sexe, mais je conserve une érection bien plus que satisfaisante. Marie qui s’était éclipsée un instant revient avec une boite que je connais bien. Elle contient un assortiment d’aiguilles diverses , à usage unique bien sûr. Marie est experte dans le maniement de ces aiguilles, elle aime également les recevoir.
Eve tu va m’aider, gamine dit Marie. Prend sa queue à la base, serre bien fort avec 2 doigts autour. Fais le gonfler.
Eve se saisit de mon sexe et formant un anneau avec le pouce et l’index, elle me serre très fort. Marie place alors un garrot en caoutchouc qui me serre bien plus que les doigts. Mon sexe est gonflé, les veines sont saillantes, le gland totalement décalotté prend rapidement une teinte violacée. A portée de ma main gauche le petit sexe de Eve. je le caresse, fait rouler ses petites couilles, petit mais durci en diable, elle mouille toujours abondamment. De ma main droite, j’ai pénétré trois doigts dans la chatte trempée de Marie, son con est bouillant, large j’agace son gros clito. Comment trouver une meilleure position? Je vais payer de ma personne, ce plaisir. Eve n’a encore jamais assisté à ce genre de jeu entre Marie et moi. Elle attrape mon paquet, le tire vers le haut, mes couilles sont tendues le sac étiré, je gémis car elle me fait mal vraiment, ce n’est rien. Elle prend une longue aiguille dans la boîte. Marie serre encore plus fort, la peau tendue devient lisse, les petites veines capillaires rouge sombre se distinguent bien sous la peau. Marie me regarde, un hochement de tête lui indique que je suis prêt. Eve regarde ce manège, elle comprend à moitié ce qui va se passer.
Allez mon chéri, la première pour mon plaisir.
Elle pose la pointe de l’aiguille sur le testicule droit, par le dessous, longue de 15 cm a peu prés, utilisée pour des ponctions par exemple. Eve a les yeux ecarquillés, regarde alternativement mon sexe et Marie
Tu ne vas pas…??
Oh si ma belle, je vais le faire et il aime cette salope!!
En disant ces mots, Marie se met à pousser lentement l’aiguille qui entre dans ma chair. A dessein elle va lentement pour que je profite de cette douleur qui me fait hurler quand même. J’ai vraiment la sensation qu’on me met une aiguille chauffée à blanc dans la couille, Je sens le crissement de l’acier dans le testicule. La peau qui se tend, poussée par la pointe, sorte de volcan né dans ma chair. La pointe qui crève la peau. Elle a totalement transpercé ma couille droite. J’ai le souffle court, la douleur est passée, enfin presque je sens nettement le métal en moi. Contrairement à ce que vous devez penser, mon érection loin d’être tombée a repris une plus grande vigueur. Je suis excité comme un malade, Eve caresse ma peau, me regarde, je lis sur son visage un mélange de commisération, mais également une sorte d’admiration. Sous ma main j’ai senti son sexe durcir également. Cette vision l’excite.
Eve ma chérie, tu bandes en voyant çà ?
Elle hoche la tête, ne dit pas un mot, elle se penche vers moi et pose ses lèvres sur ma bouche. Au long du baiser, son sexe qui est dans ma main palpite bien fort, se dresse, l’humidité se fait plus grande.
Allez Eve à toi dit Marie en tendant une aiguilles à Eve.
Non, non pas moi je ne saurais pas faire ça. Dit Eve
Fais le ma chérie, pour moi s’il te plait. Dis-je
Il ne faut pas qu’elle tarde car si elle laisse retomber la tension, je ne pourrais plus supporter ce traitement. Marie le sais, elle attrappe mon autre couille l’étire tout en disant à Eve.
Prépare toi pour la prochaine ma belle, on peut pas la laisser comme ça cette belle queue. regarde comme il bande et comme il mouille ce cochon.
Effectivement, mon érection est quasi au maximum, le méat ouvert laisse couler un long fil de liqueur qui s’étale sur mon ventre. Je sens la douleur intense de l’aiguille traversant le testicule. Cette fois c’est plus douloureux, je me met à trembler, à crier, à hurler même quand enfin la pointe émerge au travers de la peau, avec une minuscule goutte de sang. Cela peut paraitre, incompréhensible ou idiot, mais j’aime ces douleurs, j’aime voir ce metal qui me transperce, c’est dans la tête que tout se passe. La douleur n’est que le bouton sur lequel on appuie pour générer ce court circuit qui transforme ma douleur en excitations et plaisirs. Ne cherchez pas, n’essayez pas surtout il faut une motivation, une acceptation et surtout des partenaires expérimentés. Même si Eve est novice, guidée par ma femme, elle fera bien les choses qu’on lui demande.
L'excitation de la tension est montée d’un cran, je réclame d’autres aiguilles. Marie temporise un instant, choisit une aiguille plus petite, donne la même à Eve. La gamine est presque apeurée, mais je vois que elle aussi est excitée, son petit sexe ou gros clito est dur et mouillé, plaqué contre son ventre il laisse une longue trave humide sur sa peau. Se petites couilles ont disparu, remontées a la base de ce sexe elle se sont cachées dans son ventre. Qu’elle est belle comme çà. Ces images s’impriment dans mon cerveau. Je pourrais redessiner la scène si j’avais un bon coup de crayon. Je revois nettement tout, la mouille qui coule le long de son sexe, cette petite fibre foncée collée sur la peau de sa cuisse, ses lévres mouillées qu’elle mordille. Ses yeux qui me dévorent, me supplient d’arrêter, me demandent de continuer, ses yeux qui me disent qu’elle m’aime.
Eve, attrape son téton comme çà, regarde tu pose la pointe là et tu pousse doucement. dit Marie
Les aiguilles pénètrent mes tétons simultanément. La différence est saisissante, à ma droite, Marie la main sûre pousse doucement. A gauche Eve, je sens les frémissements de sa main, elle pique mais hésite à pousser, puis elle se décide. Les aiguilles dans les tétons, c'est totalement bénin. Quand on augmente le nombre cela devient intéressant, avec une bonne douzaine par téton on a de bonnes sensations. Pour débuter, c’est une bonne option. Là c’est juste pour me laisser le temps de souffler avant de passer a autre chose.
D’une pression de la main sur la cuisse de Marie je lui indique qu’elle doit poursuivre. Elle empoigne mon sexe a pleine main. Mes 20 cm dépassent allégrement la taille de sa menotte. Elle me serre fortement, mon gland trempé, gonfle un peu plus si c’est possible. Elle pose la pointe de l’aiguille à gauche du frein sous le gland, elle enfonce le métal dans ma chair. Le gland est sensible, plein de terminaisons nerveuses. Je crie, j’essaie de ne pas m’agiter, Je serais tenté de me tordre sur le sol, mais Marie pourrait me faire plus mal. La pointe perce le gland sur le dessus à gauche. Eve a la bouche ouverte, la main posée sur ses lèvres. Elle ne peut détacher son regard de mon sexe torturé. Cette fois encore un peu de sang glisse sur la peau fine du gland. Ce petit saignement cesse quand Marie lâche ma tige. Sans me laisser le temps de souffler elle prend une autre aiguille et la place à droite du frein et perce le gland à nouveau. En fait, les aiguilles se croisent et traversent le gland en diagonale. Ma queue est dure comme de l’acier, mon gland coule abondamment. Mes couilles se contractent malgré les aiguilles qui les transpercent. La douleur augmente un peu. Marie me branle un court instant. Si elle continuait un peu plus j’atteignais l’orgasme. Au lieu de ça une grosse goutte blanchâtre coule de mon méat et glisse sur mon ventre. Elle a donné à Eve une autre longue aiguille, Marie lui fait prendre ma queue en main.
Tu vas le traverser de gauche à droite tout droit, sur le côté du gland. Si il commence à jouir tu pousse fort traverse vite et branle le très fort. Allez ma chérie, tu vas y arriver.
La main de Eve se serre sur ma tige, Elle me regarde me souris, Je sens que rien que la pression sur ma queue est sur le point de me faire jouir. Elle pousse, je gueules, L’aiguille entre, je sens monter la jouissance, mes couilles remontent se serrant contre la base de ma queue, me faisant souffrir. Eve réagit bien, elle traverse le gland, À peine l’aiguille ressortie de l’autre côté. Je me mets à jouir, le sperme gicle en grosses saccades et retombe sur mon visage et ma poitrine. Eve me branle du plus fort qu’elle le peut sans toucher les aiguilles qui s’agitent en tous sens.
Ouiiii Ouiii fais moi gicler salope !! Encore !! Encore..
Marie prête main forte à Eve, elle l’aide a me branler, puis elle dit.
- Ne t'arrête pas continue tant que je ne te le dis pas.
Eve me secoue le braquemard qui crache abondamment, Marie d’une main rapide retire les aiguilles de mon gland. De petits geyser de sang naissent et se tarissent rapidement mais rougissent ma queue Eve n'arrête pas pourtant ses mains deviennent rouges. Marie retire les deux aiguilles de mes testicules, je me cambre, la douleur est forte mais combinée à la branlette que me procure Eve, je crache à nouveau de longs jets de sperme, plus léger mais très abondant également. Il est dur d’expliquer ce qu’on ressent exactement, c’est plus fort que le banal orgasme, bien plus fort. La jouissance me laisse pantelant, hors du temps. Cela c’est passé en une minute ou un peu plus. Mais pour moi c’était comme un ralenti. Chaque fois que j’ai pratiqué ça, j’ai eu des orgasmes terribles. Bien sûr on ne le fait pas deux soir de suite.. Encore que je me souviens avoir subit ce traitement à trois reprise dans une folle soirée SM il y a quelques années.
Eve cesse de me branler, se couche sur moi pour m’embrasser et me susurre.
Oh çà avait l’air d’être fort, tu a joui comme un fou.
Tu a été géniale ma chérie et Marie aussi comme toujours.
Marie s'est rapprochée de moi, m’embrasse à son tour. Sa main a repris mon sexe et me caresse doucement. Je suis toujours dur, pas autant qu’au summum de l’action.. mais toujours bien dur.
Regarde, Eve il est prêt à continuer si on veut.
Mais c’est dingue dit la gamine, comment fais- tu fais? Quand ce sera mon tour les aiguilles? Bientôt?
Tu aimerais ça ma belle? dis je
Oui; j’ai les jetons mais j’aimerais savoir ce que çà fait, ça m'a excitée. J’ai jouis en même temps que toi, sans me toucher ajoute t-elle en me montrant une petit flaque de sperme à l’endroit ou elle se trouvait qui miroite sur le carrelage.
Quelle salope tu fais ma petite chérie, dit Marie, tu pourrais être ma fille, au fond tu l'es déjà.
Toutes deux se penchent au dessus de moi pour échanger un long baiser tandis que je caresse leurs croupes, ma femme, ma maitresse transexuelle. Qui veut ma place? Il faudra du courage je n’ai pas envie de la perdre..Partager ça peut arriver soit mais pas plus.
L’arrivée de Marie dans notre moment de détente me fait vraiment plaisir. Depuis que la gamine (Eve) est entrée dans nos vies, Marie qui avait pris ses distances avec la bagatelle et surtout les aventures à plusieurs, Marie semble y prendre goût. à nouveau. Certes nous vieillissons, nous n’avons plus 20 ans, Marie qui en compte 10 de plus que moi est fort perturbée par le chiffre des années.Elle a 76 ans certes, mais elle en parait 10 ou 15 de moins, elle est en forme, moins souple qu’avant bien sûr, moi de même. Mais c’est sa prise de poids qui lui brouille la tête. Elle a toujours été bien en chair, maintenant l’âge, la gourmandise, la vie font qu’elle a pris de l’avance.Il n’en reste pas moins que beaucoup d’hommes même jeunes adoreraient coucher avec elle. Togolaise de naissance, comme souvent les femmes de son ethnie en prenant de l’âge sont des mamans. Marie est une mama, avec une paire de seins magnifiques, avec un cul de jument. Mais une bouche de velours, et une envie de s’éclater toujours présente.
Heureux car Marie depuis quelque temps arbore de nouveau ses bijoux intimes qui surprennent tant le corps médical en général. Ma chère et tendre moitié, porte des anneaux aux tétons, un anneau au nombril, Deux gros anneaux aux grandes lèvres et 4 sur les petites lèvres, elle a également un anneau qui traverse son clitoris qui est d’une taille peu commune. Rien que la voir ainsi parée, fait bander pas mal d’hommes et j’en fait partie. Inutile de cacher que depuis des années nous avons pratiqué le SM assidûment et avec un énorme plaisir.
Ma petite Eve est également soumise, Marie est soumise ou dominatrice. Avec moi le plus souvent soumise, mais je ne déteste pas être son jouet et elle aime jouer avec moi. Eve est une vraie petite esclave qui adore toutes les punitions et sévices qu’on peut inventer pour elle. Je précise que rien n'est jamais imposé, tout est consenti. Je ne conçois pas prendre du plaisir en forçant ma ou mon partenaire à des choses qu’il n’aime pas. Fouetter la petite n'aurait aucun sens si elle n’y puisait pas du plaisir ou au moins de l’excitation.
Marie était entrée, s’approchant de moi, elle avait un chemisier noir en voile trasnparent, qui ne cachait rien de ses grosses mamelles aux tétons noirs et granuleux, les anneauc en or réhaussant le tableau. Sa peau est très sombre et luisante, sa bouche maquillée d’un rouge virant, sa langue rose sur ses lèvres, ses dents si blanches. J’aime ce sourire, cet œil narquois. Elle ne porte que ce chemisier, ses bas, des escarpins célèbres pour leur semelle rouge, ma femme a des goûts de luxe, heureusement on en a les moyens. Elle passe sa main dans les cheveux de Eve toujours agenouillée en face de moi. Sa main prend ma queue, toujours raide. Elle glisse le long de mon sexe bandé, sa paume claire, frotte sous mon gland, ses doigts descendent vers mes couilles. Elle décalotte mon gland, je frissonne. Cette caresse me fait bander encore plus.
Hmm Gui mon chéri, tu bandes bien pour un vieillard. Et moi ta vieille salope j'aime quand tu bandes comme ça. Tu vas dire à ta petite pute de me bouffer la chatte. Ne bouge pas je sais ce que tu aimerais.
Marie se penche vers moi, sa bouche se pose sur mon sein gauche, ses dents trouvent mon téton qu’elle mordit cruellement, tandis que sa main droite s’empare de l’autre téton, le pince le fait rouler. Ma femme me connais bien, elle sait que cette caresse est suffisante pour me faire bander.
Ma queue, mes couilles se contractent, mon chibre colle à mon ventre. J’ai la chance d’avoir une belle queue de 20 cm très épaisse et noueuse. Comme je le faisais à Eve il y a peu Marie écrase les couilles. Je bande de plus en plus, mes testicules roulent sous ses doigts. Putain j’adore ce qu’elle me fait.
Eve petite chienne, allez bouffe la chatte de Maîtresse Marie.
Hooo dit Marie, ta pute me met son nez dans la chatte. Elle me mange bien, Lape moi petite salope, bois ma mouille.
Marie me sourit avant de me donner un baiser, bien profond, elle me mord les lèvres et la langue. Elle pince alternativement mes tétons.
Mes mains caressent ses flancs remontant vers ses nibards que je remonte avec mes paumes.
Je passe mes pouces dans les anneaux, et j’étire les mamelles de ma négresse soumise. Je l’appelle souvent négresse, elle n’en prend pas ombrage elle adore çà même.
Tu me fais mal, salaud tu va me déchirer les tétons. Et ça te fait bander mon chéri.
Tais toi ma pute, tu adores ça! Tu adorerais que je te les déchire non?
Marie fait oui de la tête, avant de geindre car je sais que je lui fais mal. Jamais de la vie je ne ferais ce dont nous parlons, mais on fantasme sur ce genre de choses. Oh dans l’absolu si je le voulais elle me laisserais faire, mais c’est ainsi dans ce genre de relations. On évoque beaucoup plus que l’on n’agit. Je me garderais bien de lui faire ce genre de choses. C’est le risque des jeux SM poussés au paroxysme, la perte de repères. Que l’un ou l’autre ait envie d’aller trop loin. Il y a toujours l’amour, l’envie de complaire à l’autre qui nous pousse parfois au-delà de nos limites. J’en sais quelque chose, je pense que je le raconterais un jour.
Marie se laisse bouffer le sexe , tandis qu’elle caresse ma queue bandée avec ses deux mains. Me décalottant à l’extrême. Mon gland gonflé est rouge sombre et luisant de liqueur que Marie étale le long de ma tige, avant d’en faire couler une autre rasade en remontant avec son pouce serré le long de mon urêtre. Chaque fois une énorme goutte transparente naît et coule de mon sexe. Je mouille comme une salope.
Eve petite chienne, allez, avale la queue de mon homme, Moi je vais m’occuper de ton petit cul.
Oui Maîtresse Marie.
Eve ne proteste pas, pourtant je viens de passer un long moment dans sa bouche avant l’arrivée de Marie. Ses grands yeux rieurs me contemple, elle me sourit. Et elle empale sa bouche sur ma queue. Elle m’avale a fond, elle a posé ses mains sur mes fesses et s’oblige à m’avaler totalement. Elle pousse pour que mon gland entre dans sa gorge. C’est intenable, je dois me retenir de pas gicler alors que je sens mes muscles de sa bouche, de sa gorge s’agiter autour de ma queue. Les yeux ouverts , pleins de larmes qui coulent sur ses joues elle s’étouffe sur mon sexe. Pervers je lui pince le nez, l’empêchant de respirer. Elle ne cherche pas à se retirer, je relâche mon pincement, je sens qu’elle respire à nouveau. Marie agenouillée derrière Eve, est occupée à fouiller l’anus béant de la gamine. Eve est tellement sollicitée par Marie, nos amis et amies plus moi même naturellement. Que son cul est très très marqué et ouvert. Je retire ma queue de sa bouche, un flot de salive coule de sa bouche distendue, mon sexe est brillant luisant de sécrétions, çà fait de longs fils gluants qui coulent sur son menton.
Elle est en train de te fister ma chérie?
Ouii c’est bon Maîtresse Marie met sa main en moi.
Pour le moment il n'y a qu’une main, petite salope, l’autre va venir!!
Eve a les reins creusés, elle s’offre aux pénétrations de Marie. Son petit sese est dur plaqué contre son pubis, un long fil de mouille parcouru de gouttelettes pend au bout de ce gros clito. Maintenant Eve avec son traitement hormonal ne laisse plus échapper qu’un fluide transparent comme de l’eau. A peu près aussi abondant que son sperme avant. Ses seins se sont bien développés, ses pointes assez grosses sont hypersensibles.. Au passage je les fait rouler dans mes doigts, lui tirant un gémissement. Je serre et les écrase jusqu’au cri qui m’indique qu’elle ne peut plus supporter plus.
Je suis trop tendu, ma queue me fait presque mal. Je me déplace et passe derrière Marie. Une claque sonore sur son gros cul.. J’écarte ses fesses, son anus est sombre mais le rose transparaît quand j’écarte plus ses grosses fesses. les anneaux pendent et allongent les lèvres, ouvertes de son con. Elle mouille énormément même si l’âge à un peu diminué le phénomène. Il y a quelques années, sa chatte avait goutté sur le carrelage. J’ai si souvent vu sa mouille ruisseler le long de ses cuisses et de ses jambes jusqu'à ses chevilles en petit ruisseau brillants sur sa peau noire. Malgré ses 76 ans ma femme est toujours aussi désirable, salope et jouisseuse.
Maintenant je vois sa main qui entre et sort du cul dilaté de Eve, qui reste ouverte quand la main la quitte avant de s’enfoncer à nouveau en elle, lui tirant un spasme et un cri. La voir ainsi ouverte me fait bander plus fort si c’est possible. Les mains posées sur la croupe de Marie, je pousse mon gland dans son anus qui cède sous la poussée. Marie à depuis toujours aimé la sodomie, surtout avec ma grosse queue comme elle le dit. Je dois garder le self contrôle nécessaire pour ne pas gicler rapidement en elle. Même si je peux la fister à deux mains ou la prendre jusqu’au coude et même plus loin. Marie serre ma queue convulsivement.
Oh oui chéri !! Encule moi fort, je te sens bien.. Regarde la petite !! Elle va nous montrer sa rose.
Marie sors lentement son poing de l’anus de Eve, qui en fait pousse en même temps, les chairs intérieures de son anus forment un bourrelet qui sort à l’extérieur. Les tons du rose aux rouge sombre sont trempés, luisants le lubrifiant accumulé dans les replis de son anus en prolapse est laiteux. Marie caresse doucement cette rose de chair (rosebud), se penche en avant lèche et même prend dans sa bouche cette excroissance tout en glissant sa langue au centre. Excité par cette vision je dois me concentrer pour stopper la montée de l’orgasme qui me fait frissonner.
Humm ça me donne envie de lui bouffer le cul , dis-je.
Laisse-moi faire dit Marie, regarde elle adore çà !!
Oui maîtresse Marie mangez moi, je peux jouir ?
Ah non tu te retiens salope, tu mouilles déjà assez comme çà !! Ne lâche pas tout sur le carrelage sinon je te fouette pendant une heure !
Marie exagère toujours. Si elle fouettait comme elle le fait habituellement Eve pendant 20 minutes sans s'arrêter, la petite sera vite inconsciente. Eve adore le fouet, la canne, la cravache mais la tension nerveuse que ça provoque ainsi que la douleur ont raison de sa résistance et elle nous fait une syncope au moment de l’orgasme. C’est si fort, si violent qu’elle perd connaissance quelque temps. Impressionnant quand on n'est pas habitué, mais sans conséquences. J’ai l’expérience moi-même de ces pertes de conscience quand on se donne a fond. Je connais çà surtout entre mecs ou avec quelques dominatrices très hard. Marie en fait partie et elle m’a plus d’une fois emmené à cette extrémité pour mon plus grand plaisir. On ne recherche plus cet effet désormais, avec 3 infarctus ce ne serait pas raisonnable. Eve du haut de ses vingts printemps peut se le permettre.
Je mesure à cet instant ma chance, tant d’hommes rêvent de cette situation que je peux renouveler tous les soirs si je le désire. D’ailleurs rares sont les jours où je n’honore pas mes deux femelles. Souvent elles sont demandeuses il faut l’avouer. Eve surtout est une libido sur patte et je suis faible et cède à ses caprices bien souvent!!
Eve apprécie, de se sentir totalement exposée, son anus sorti d’elle. C’est impressionnant quand on le voit pour la première fois, on est même inquiet. Je me retire du cul de Marie, je ne veux pas jouir tout de suite. Elle me prend la queue en main puis me suce un instant. Marie crache sur le rosebud d’Eve et me dit.
Aller mon chéri, remet lui son trou du cul en place.
Agenouillé derrière Eve, je place ma queue au centre de l’amas de chairs roses palpitantes, mon gland est au centre, je m’enfonce lentement. Ma queue pénétre, pour l’instant je m’enfonce dans l’excroissance. Marie derrière moi, agenouillée, passe ses mains sur ma poitrine, je sens ses gros seins plaqués contre mon dos, son ventre rond pousse sur mes reins. Ses doigts s’emparent de mes tétines et les pince, les tourne. J’adore qu’on me travaille les tétons. Je continue à m'enfoncer en Eve qui gémit, lentement les chairs exposées se remettent en place, l’anus reprend son aspect initial. Je m’enfonce totalement en elle, mon pubis contre ses fesses, le ressort lentement, un instant les chairs roses suivent ma queue et ressortent doucement avant de reprendre leur place. tout ce temps je sens les intenses palpitations de l’anus de ma petite salope. J’ai de plus en plus de mal à me contrôler.
Chérie, si tu continues tu vas me faire gicler.Dis-je à MarieEt tu ne veux pas encore, gros salaud !! Cela te plaît de nous baiserNon pas tout de suite ma salope !
Alors allonge toi, je vais montrer à Eve que tu es un putain de pervers. Viens gamine tu vas voir ce qu’il aime mon petit mari.
Je m’allonge sur le carrelage froid, c’est salutaire, la fraîcheur fait baiser la tension de mon sexe, mais je conserve une érection bien plus que satisfaisante. Marie qui s’était éclipsée un instant revient avec une boite que je connais bien. Elle contient un assortiment d’aiguilles diverses , à usage unique bien sûr. Marie est experte dans le maniement de ces aiguilles, elle aime également les recevoir.
Eve tu va m’aider, gamine dit Marie. Prend sa queue à la base, serre bien fort avec 2 doigts autour. Fais le gonfler.
Eve se saisit de mon sexe et formant un anneau avec le pouce et l’index, elle me serre très fort. Marie place alors un garrot en caoutchouc qui me serre bien plus que les doigts. Mon sexe est gonflé, les veines sont saillantes, le gland totalement décalotté prend rapidement une teinte violacée. A portée de ma main gauche le petit sexe de Eve. je le caresse, fait rouler ses petites couilles, petit mais durci en diable, elle mouille toujours abondamment. De ma main droite, j’ai pénétré trois doigts dans la chatte trempée de Marie, son con est bouillant, large j’agace son gros clito. Comment trouver une meilleure position? Je vais payer de ma personne, ce plaisir. Eve n’a encore jamais assisté à ce genre de jeu entre Marie et moi. Elle attrape mon paquet, le tire vers le haut, mes couilles sont tendues le sac étiré, je gémis car elle me fait mal vraiment, ce n’est rien. Elle prend une longue aiguille dans la boîte. Marie serre encore plus fort, la peau tendue devient lisse, les petites veines capillaires rouge sombre se distinguent bien sous la peau. Marie me regarde, un hochement de tête lui indique que je suis prêt. Eve regarde ce manège, elle comprend à moitié ce qui va se passer.
Allez mon chéri, la première pour mon plaisir.
Elle pose la pointe de l’aiguille sur le testicule droit, par le dessous, longue de 15 cm a peu prés, utilisée pour des ponctions par exemple. Eve a les yeux ecarquillés, regarde alternativement mon sexe et Marie
Tu ne vas pas…??
Oh si ma belle, je vais le faire et il aime cette salope!!
En disant ces mots, Marie se met à pousser lentement l’aiguille qui entre dans ma chair. A dessein elle va lentement pour que je profite de cette douleur qui me fait hurler quand même. J’ai vraiment la sensation qu’on me met une aiguille chauffée à blanc dans la couille, Je sens le crissement de l’acier dans le testicule. La peau qui se tend, poussée par la pointe, sorte de volcan né dans ma chair. La pointe qui crève la peau. Elle a totalement transpercé ma couille droite. J’ai le souffle court, la douleur est passée, enfin presque je sens nettement le métal en moi. Contrairement à ce que vous devez penser, mon érection loin d’être tombée a repris une plus grande vigueur. Je suis excité comme un malade, Eve caresse ma peau, me regarde, je lis sur son visage un mélange de commisération, mais également une sorte d’admiration. Sous ma main j’ai senti son sexe durcir également. Cette vision l’excite.
Eve ma chérie, tu bandes en voyant çà ?
Elle hoche la tête, ne dit pas un mot, elle se penche vers moi et pose ses lèvres sur ma bouche. Au long du baiser, son sexe qui est dans ma main palpite bien fort, se dresse, l’humidité se fait plus grande.
Allez Eve à toi dit Marie en tendant une aiguilles à Eve.
Non, non pas moi je ne saurais pas faire ça. Dit Eve
Fais le ma chérie, pour moi s’il te plait. Dis-je
Il ne faut pas qu’elle tarde car si elle laisse retomber la tension, je ne pourrais plus supporter ce traitement. Marie le sais, elle attrappe mon autre couille l’étire tout en disant à Eve.
Prépare toi pour la prochaine ma belle, on peut pas la laisser comme ça cette belle queue. regarde comme il bande et comme il mouille ce cochon.
Effectivement, mon érection est quasi au maximum, le méat ouvert laisse couler un long fil de liqueur qui s’étale sur mon ventre. Je sens la douleur intense de l’aiguille traversant le testicule. Cette fois c’est plus douloureux, je me met à trembler, à crier, à hurler même quand enfin la pointe émerge au travers de la peau, avec une minuscule goutte de sang. Cela peut paraitre, incompréhensible ou idiot, mais j’aime ces douleurs, j’aime voir ce metal qui me transperce, c’est dans la tête que tout se passe. La douleur n’est que le bouton sur lequel on appuie pour générer ce court circuit qui transforme ma douleur en excitations et plaisirs. Ne cherchez pas, n’essayez pas surtout il faut une motivation, une acceptation et surtout des partenaires expérimentés. Même si Eve est novice, guidée par ma femme, elle fera bien les choses qu’on lui demande.
L'excitation de la tension est montée d’un cran, je réclame d’autres aiguilles. Marie temporise un instant, choisit une aiguille plus petite, donne la même à Eve. La gamine est presque apeurée, mais je vois que elle aussi est excitée, son petit sexe ou gros clito est dur et mouillé, plaqué contre son ventre il laisse une longue trave humide sur sa peau. Se petites couilles ont disparu, remontées a la base de ce sexe elle se sont cachées dans son ventre. Qu’elle est belle comme çà. Ces images s’impriment dans mon cerveau. Je pourrais redessiner la scène si j’avais un bon coup de crayon. Je revois nettement tout, la mouille qui coule le long de son sexe, cette petite fibre foncée collée sur la peau de sa cuisse, ses lévres mouillées qu’elle mordille. Ses yeux qui me dévorent, me supplient d’arrêter, me demandent de continuer, ses yeux qui me disent qu’elle m’aime.
Eve, attrape son téton comme çà, regarde tu pose la pointe là et tu pousse doucement. dit Marie
Les aiguilles pénètrent mes tétons simultanément. La différence est saisissante, à ma droite, Marie la main sûre pousse doucement. A gauche Eve, je sens les frémissements de sa main, elle pique mais hésite à pousser, puis elle se décide. Les aiguilles dans les tétons, c'est totalement bénin. Quand on augmente le nombre cela devient intéressant, avec une bonne douzaine par téton on a de bonnes sensations. Pour débuter, c’est une bonne option. Là c’est juste pour me laisser le temps de souffler avant de passer a autre chose.
D’une pression de la main sur la cuisse de Marie je lui indique qu’elle doit poursuivre. Elle empoigne mon sexe a pleine main. Mes 20 cm dépassent allégrement la taille de sa menotte. Elle me serre fortement, mon gland trempé, gonfle un peu plus si c’est possible. Elle pose la pointe de l’aiguille à gauche du frein sous le gland, elle enfonce le métal dans ma chair. Le gland est sensible, plein de terminaisons nerveuses. Je crie, j’essaie de ne pas m’agiter, Je serais tenté de me tordre sur le sol, mais Marie pourrait me faire plus mal. La pointe perce le gland sur le dessus à gauche. Eve a la bouche ouverte, la main posée sur ses lèvres. Elle ne peut détacher son regard de mon sexe torturé. Cette fois encore un peu de sang glisse sur la peau fine du gland. Ce petit saignement cesse quand Marie lâche ma tige. Sans me laisser le temps de souffler elle prend une autre aiguille et la place à droite du frein et perce le gland à nouveau. En fait, les aiguilles se croisent et traversent le gland en diagonale. Ma queue est dure comme de l’acier, mon gland coule abondamment. Mes couilles se contractent malgré les aiguilles qui les transpercent. La douleur augmente un peu. Marie me branle un court instant. Si elle continuait un peu plus j’atteignais l’orgasme. Au lieu de ça une grosse goutte blanchâtre coule de mon méat et glisse sur mon ventre. Elle a donné à Eve une autre longue aiguille, Marie lui fait prendre ma queue en main.
Tu vas le traverser de gauche à droite tout droit, sur le côté du gland. Si il commence à jouir tu pousse fort traverse vite et branle le très fort. Allez ma chérie, tu vas y arriver.
La main de Eve se serre sur ma tige, Elle me regarde me souris, Je sens que rien que la pression sur ma queue est sur le point de me faire jouir. Elle pousse, je gueules, L’aiguille entre, je sens monter la jouissance, mes couilles remontent se serrant contre la base de ma queue, me faisant souffrir. Eve réagit bien, elle traverse le gland, À peine l’aiguille ressortie de l’autre côté. Je me mets à jouir, le sperme gicle en grosses saccades et retombe sur mon visage et ma poitrine. Eve me branle du plus fort qu’elle le peut sans toucher les aiguilles qui s’agitent en tous sens.
Ouiiii Ouiii fais moi gicler salope !! Encore !! Encore..
Marie prête main forte à Eve, elle l’aide a me branler, puis elle dit.
- Ne t'arrête pas continue tant que je ne te le dis pas.
Eve me secoue le braquemard qui crache abondamment, Marie d’une main rapide retire les aiguilles de mon gland. De petits geyser de sang naissent et se tarissent rapidement mais rougissent ma queue Eve n'arrête pas pourtant ses mains deviennent rouges. Marie retire les deux aiguilles de mes testicules, je me cambre, la douleur est forte mais combinée à la branlette que me procure Eve, je crache à nouveau de longs jets de sperme, plus léger mais très abondant également. Il est dur d’expliquer ce qu’on ressent exactement, c’est plus fort que le banal orgasme, bien plus fort. La jouissance me laisse pantelant, hors du temps. Cela c’est passé en une minute ou un peu plus. Mais pour moi c’était comme un ralenti. Chaque fois que j’ai pratiqué ça, j’ai eu des orgasmes terribles. Bien sûr on ne le fait pas deux soir de suite.. Encore que je me souviens avoir subit ce traitement à trois reprise dans une folle soirée SM il y a quelques années.
Eve cesse de me branler, se couche sur moi pour m’embrasser et me susurre.
Oh çà avait l’air d’être fort, tu a joui comme un fou.
Tu a été géniale ma chérie et Marie aussi comme toujours.
Marie s'est rapprochée de moi, m’embrasse à son tour. Sa main a repris mon sexe et me caresse doucement. Je suis toujours dur, pas autant qu’au summum de l’action.. mais toujours bien dur.
Regarde, Eve il est prêt à continuer si on veut.
Mais c’est dingue dit la gamine, comment fais- tu fais? Quand ce sera mon tour les aiguilles? Bientôt?
Tu aimerais ça ma belle? dis je
Oui; j’ai les jetons mais j’aimerais savoir ce que çà fait, ça m'a excitée. J’ai jouis en même temps que toi, sans me toucher ajoute t-elle en me montrant une petit flaque de sperme à l’endroit ou elle se trouvait qui miroite sur le carrelage.
Quelle salope tu fais ma petite chérie, dit Marie, tu pourrais être ma fille, au fond tu l'es déjà.
Toutes deux se penchent au dessus de moi pour échanger un long baiser tandis que je caresse leurs croupes, ma femme, ma maitresse transexuelle. Qui veut ma place? Il faudra du courage je n’ai pas envie de la perdre..Partager ça peut arriver soit mais pas plus.
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