EVEIL ET MATURITE (13) - Chapitre 13 - L'amitié s'épanouit
Récit érotique écrit par Midou32 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2007 dans la catégorie Plus on est
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EVEIL ET MATURITE (13) - Chapitre 13 - L'amitié s'épanouit
EVEIL ET MATURITE (13)
CHAPITRE 13 – L’AMITIE S’EPANOUIT
Le samedi suivant André et Sarah se pointèrent vers l'heure du déjeuner. Ils s'assirent dans le salon près de Clélia et je leur offris un verre de vin. Puis je les questionnai.
- Alors notre petit couple si aimé va bien ?
Toute rayonnante Sarah répondit :
- Oh oui !... On a couché tout le temps !... On est guéris !
- Plus aucune peur d'être vicieux l'un devant l'autre ?
- Oh non alors !... On est vicieux tous les deux et on est si bien comme ça ensemble !... Même que... qu'on parle souvent de vous en couchant à nous deux !
- Nous aussi !... De vos vices... De vos sexes... C'est bon de pouvoir se dire toutes nos folies hein ?
- Oui !... Mais encore plus de les vivre !... Et à force d’en parler ensemble on s’est dit que vous nous manquiez vraiment tous les deux !
On éclata tous les quatre d’un rire clair.
- L'appel du sexe à l'état brut !
- Des sexes !...
- C'est merveilleux !... Alors aujourd’hui vous venez accoupler vos deux corps aux nôtres ?
- Oui !... Sans réserves !... On veut vos deux culs complets !... On veut encore coucher avec vous deux !
- Ca va être le grand enlacement... Parce que nous aussi on a envie de coucher avec vous !.. Nous aussi on veut vos culs et de vos corps nus !
André caressait la face interne de la cuisse nue de Clélia à côté de lui, remontant jusqu'à sa petite culotte. Je sortis un sein de Sarah et en suçai le bout. Je regardai les doigts d'André écarter la culotte de Clélia et glisser sur son con nu. Clélia soupira de bien-être. Puis André dit tout à coup à voix plus basse :
- C’est bon de t’entendre dire que tu as vraiment envie de nos culs Pat !...
- Pourquoi ?
- Je... Je craignais que tu aies moins envie du mien que de celui de Sarah !... Ce serait normal !...
- Oh non André !... Tu es si beau !... J’adore ton cul !... Tes belles couilles... et cette belle grosse bite qui se dresse sous ton ventre !... Clélia ne peut pas me donner ça tu sais !... Tu es un beau mâle !... J’adore t’approcher sexuellement et faire l’amour avec toi !... C’est merveilleux que tu sois si vicieux !... Eh puis ça m'excite de savoir que tu as gardé tes bonnes dispositions bi André !... J’aime sentir tes envies vicieuses envers moi ! Mais j’aime aussi connaître tous tes désirs secrets. Tu es mon homme !
- Hhumm !... Ils se sont même encore bien affirmées grâce à Sarah !.. En couchant avec moi elle me pousse tout le temps à l’homosexualité la salope !
- Oh Chéri !... Et toi alors !... En me prenant il m’oblige à rêver tout haut de Clélia !... Et avec plein de détails cochons !...
- T’obliger, t’obliger !... Il ne faut pas te pousser fort pour t’entendre parler de ses seins et du goût de son con !
- Parce que tu me pines avec ta belle bite ! C’est normal !... Et toi alors beau mâle !... Qu’est ce que tu peux parler des fesses de Pat, de son anus, de ses couilles et de sa bite à ce moment là !... On est à égalité !... On a tous les deux envie de vous deux !... Mâle et femelle !
- Oh vous êtes vicieux !... C'est Vrai Sarah ?
- Oui !... J'en ai besoin !... Tant du mâle que de la femelle... Vous savez ce qu'on rêve André et moi ?... De nous quatre à poils... Vous deux côte à côte sur le divan... cuisses levées et grandes ouvertes... vos deux sexes différents bien offerts... et nous, à genoux entre vos cuisses on dévore vos deux culs... en passant tous deux de l'un à l'autre !
- Hhhhumm ! Ce serait exquis !... Tu ne trouves pas mon amour ?
Clélia ne répondit pas. Rouge d’excitation elle se leva et commença à se déshabiller. D'un bond on fut tous debout et les habits volèrent. Nous étions tous taraudés d’envie de faire l’amour à quatre, librement, sans interdits homosexuels ! On se regarda tous entièrement nus et, sans nous être consultés j'embrassai Sarah nue avec passion et Clélia se pendit au cou d'André. On échangea de longs baisers, nos ventres se frottant nus l'un à l'autre. Aahhh c'était bon cette petite Sarah nue et toute folle dans mes bras... et voir ma femme vissée à la bouche d'André et frottant son joli corps nu au mâle nu.
Quand on se lâcha il y eut un moment d'hésitation, puis André glissa sa main sur ma taille. Il se lova nu contre moi et les deux femmes s'enlacèrent. Nous connaissions tous nos tendances bi et les aimions. Alors pourquoi se gêner ? Nous pouvions en profiter pleinement. C'était d'ailleurs notre projet à tous ! Nos ventres furent tout heureux de rencontrer le même sexe et nos bouches se dévorèrent. Elles étaient belles nos deux femmes s'enlaçant à poils. Seins et ventres se frottaient l'un à l'autre. Leurs lèvres mêlées étaient belles. Elles étaient si féminines ! Et deux grosses bites chaudes, complètement épanouies, se frottaient l'une à l'autre entre nos ventres mâles. Clélia passa le bout des doigts sur le clitoris de Sarah qui sursauta et se donna. André glissa une main entre nos ventres, y réunissant nos deux bites raides et les masturbant ensemble.
La fougue du baiser d'André et sa bite nue longue et chaude le long de la mienne fouettaient ma sensualité. Je poussais mon ventre en avant contre lui pour y ajouter le doux contact de mes couilles contre les siennes. Il suçait ma langue et m'embrassait comme un amant. Ce baiser d'homme m'excitait terriblement, surtout devant nos femmes. J'en profitais bien et le lui rendais follement. Après un long baiser je m'écartai de lui, un peu essoufflé, le regardai dans les yeux et lui dis :
- Tu ne m'avais jamais embrassé comme ça André !... C'est merveilleux ! Surtout à poils !... C’est la première fois qu’un homme se montre si amoureux de moi !
- Je n'osais pas !... Ca me paraissait trop vicieux... mais j'en rêvais... depuis la première fois... Et en repensant à toutes les fois qu'on a fait l’amour entre hommes devant les femmes je me trouvais con de ne pas oser... Et puis cette semaine, en couchant avec Sarah j’ai osé lui dire mon envie de t'embrasser à pleine bouche... de faire vraiment l'amour avec toi... Elle m'a répondu qu’elle me comprenait si bien... Que c’était si bon avec quelqu’un du même sexe !.. Qu'elle aussi adorait embrasser Clélia bouche à bouche... Y a qu'à les regarder maintenant d'ailleurs... Elle m'a dit que ce devait être aussi bon entre hommes que ça l’est entre femmes et que je devais le faire avec toi... que je devais t'embrasser follement... Alors j'ai osé... J'avais quand même un peu peur de ta réaction. Mais j’ai tout de suite senti que tu aimais aussi...
- Que j’adorais même !...
- Oui !... Que tu adorais !...
- Oh oui !... C’était merveilleux !... J’aime tant sentir si fort ton désir mi-mâle mi-femelle pour moi !... Quand tu m’embrasses comme ça tu me rends fou !... Je sens tellement fort à la fois ton désir de m’enculer avec ta belle bite , et celui de te mettre sur le dos et de te soumettre à la mienne ! C’est merveilleux de s'embrasser à poils !... Je veux que tu le fasses encore autant que tu le veux !... Je suis ta pute !... Mais je te le ferai aussi !... Parce que tu es la mienne !... Je suis fou de toi !
- Oh Pat ! Moi aussi !... J'adore coucher avec toi ! ... Etre ton jouet sexuel et toi le mien !... Enlacés à poils tous les deux !... Sentir ton désir... Et t’exciter !
Je l'enlaçai à nouveau tout nu et repris sa bouche. A côté de nous on entendit Clélia dire :
- Tu les entends nos hommes ?
- Oui !... Ils sont merveilleusement salauds quand ils sont nus à deux !... Et c'est bon de se gouiner près d'eux !
- Oh oui !... Se gouiner et les voir homos !
Et les baisers reprirent de plus belle. Tous quatre nous avions été privés de l'amant du même sexe durant une semaine et étions tous tout heureux de retrouver son corps, son sexe, et de combler nos désirs homosexuels ou lesbiens. Nous avions tous une main courant entre les cuisses de l'autre, caressant follement le même sexe que le nôtre.
J'entendis subitement Sarah nous demander :
- Vous voulez bien réaliser notre rêve... Celui que j'ai dit tantôt ?
Clélia lui répondit:
- Bien sûr jolie pute ! Nos deux culs sont tout à vous !.. On en a envie aussi !
Elle me prit par le bras et me sépara d'André. Ils nous poussèrent alors amoureusement vers notre chambre. Ils nous assirent côte à côte sur le lit qui avait connu tous leurs débordements sensuels et nous poussèrent nus en arrière. J'ouvris les cuisses et regardai Clélia ouvrir les siennes à ce couple à poils. Je l'embrassai sur la bouche et lui pris un sein. Je la vis relever les jambes et vis le visage de Sarah s'y installer. Je sentis les grandes mains d'André relever mes cuisses et m'offris. L'instant d'après ses mains et sa bouche couraient sur tout mon cul. C'était exquis! Il me suçait divinement et me rentrait sa langue et ses doigts dans la rosette. Je donnais tout mon cul en embrassant Clélia. Je voyais le visage de Clélia se tordre de plaisir. Un peu plus tard je regardai à nouveau entre les cuisses de Clélia et y vis le visage d'André. La langue qui pointait dans mon anus était donc maintenant celle de Sarah. Ahhh qu'elle aimait mon cul !
Ils nous échangèrent ainsi tout un temps. C'était absolument extraordinaire d'offrir nos deux culs au couple qui les dévorait goulûment. Clélia jouissait. Moi-même, sur le point de gicler, je les arrêtai et les fis changer de place avec nous.
Le visage devant le cul d'André je regardai Clélia sur le point de poser la bouche sur les grosses lèvres béantes de con de Sarah. Ce fut le signal. Je me mis à dévorer tout le sexe et le cul d'André et à y entrer mes doigts et ma langue. Puis on changea de place et Clélia se mit à déguster le cul de son amant et moi celui de ma maîtresse. On s'échangeait sans cesse. C'était merveilleux de passer du cul mâle au cul femelle. Et ces deux culs se donnaient tellement complètement à nos désirs vicieux !
Tout à coup Clélia bondit sur ses pieds et entraîna Sarah plus loin sur le lit en disant:
- Viens mon amour ! On va se sucer à deux et jouir ensemble ! ... Les hommes ! Enculez vous l'un l'autre et changez de place dès que l'un va gicler ! Vos deux culs sont tous les deux bien ouverts et prêts pour vos grosses bites et vos amours homos ! Nous on va faire les petites lesbiennes hein ma Sarah ?
André glissa plus haut sur le lit et, ouvrant grand les cuisses, s'offrit à moi. Il était si beau, à poils, et s'offrant à ma bite mâle. Je montai à genoux sur le lit, la bite dressée sous mon ventre et le pris doucement jusqu'aux couilles. Notre coït commença. On regardait les femmes s'entre-dévorer. Elles nous regardaient du coin de l'oeil nous enculer. On changea de place plusieurs fois, l'enculé devenant l'enculeur. Les femmes glissaient ensemble d'orgasme en orgasme. Les deux hommes finirent par jouir à tour de rôle de ce merveilleux plaisir qu’une bite déclare dans un anus.
Tout à coup, alors que ma bite glissait exquisément dans le cul d’André et que j’étais proche de la jouissance, une petite main douce et féminine flatta mes couilles et j'entendis Clélia me dire :
- Ne jouis pas dans le cul d'André Chéri ! Gardes ton jus pour Sarah ! Fais toi enculer encore une fois !
Je sortis doucement ma grosse bite du cul d'André et me jetai à quatre pattes près des femmes. Je sentis André s'installer derrière moi et poussai un feulement de jouissance en sentant sa grosse bite écarter à nouveau mon anus et glisser en moi. Il m'enculait avec passion, et je me donnais avec passion à cette belle bite raide dans mon cul. J'adorais sentir ce rut du mâle en moi. Il me fouillait et caressait tout mon corps nu. La petite main de Sarah glissait sous mon ventre et flattait ma bite et mes couilles. Je lui plaisais visiblement enculé par son mari. Tout à coup Clélia dit :
- André! J’ai couché avec ta femme !... Maintenant je veux ta grosse bite et tes jets de sperme sur ma matrice !... Comme ça j’aurai fait l’amour avec votre couple !... Devant mon mari !
C'était Clélia ! La pute ! Elle voulait jouir avec lui ! Je m'arrachai de cette bite jouisseuse et plongeai sur Sarah. L'instant d'après j'étais dans son con jusqu'aux couilles et je voyais près de nos visages le ventre nu de Clélia, cuisses grandes ouvertes, la moule toute gonflée, et la grosse bite d'André y glisser et y disparaître. Sarah m’entoura de ses jolies jambes et m’attira passionnément au plus profond d’elle.
On jouit tous comme des bêtes. On resta dans le con de nos putes et on recommença. Après on s'effondra chacun sur la femme de l'autre,... notre maîtresse. Elles avaient toutes les deux joui plusieurs fois. On s'endormit à quatre, chacun enlace à la femme ou au mari de l'autre.
Au réveil elles étaient toutes roses. Clélia nous proposa de déjeuner, mais tous à poils. L'idée nous emballa. Durant le repas on les poussa à nous raconter leur semaine dans le détail, mais surtout tous ses épisodes amoureux et sensuels. C'était vrai qu'en couchant ensemble ils avaient souvent parlé de leurs désirs sexuels avec nous! Puis ils exigèrent que nous fassions de même. Nous adorions voir nos deux femmes aller et venir nues de la cuisine. Quand elles revenaient nous les tripotions et les prenions sur nos genoux.
Le dessert nous trouva très excités. Les deux moules et les bites étaient grosses. Sarah proposa de danser, mais à condition que les hommes dansent ensemble quand elles danseraient entre femmes. Pour nous les hommes ce ne fut pas facile d’accepter. Ca nous paraissait bizarre de danser entre hommes.
Mais elle mit des slows. Nous dansions nus. Ce fut vite le vrai bordel. Régulièrement nous soulevions nos danseuses pendues à notre cou, et les empalions sur nos bites tout en les embrassant. Au cours d'un slow nous changions parfois plusieurs fois de partenaire. Elles passaient de l'un à l'autre avec grâce et joie et se laissaient enconner avec ravissement. Elles n'étaient plus que deux putes qui jouissaient avec leurs deux mâles. Les deux couples nus évoluaient en se frottant constamment l'un à l'autre.
Sarah me quitta subitement avec un sourire vicieux et attrapa Clélia qu'elle arracha des bras d' André et enlaça. Elle continuait à me regarder avec le même sourire vicieux. Elle voulait me voir danser nu avec son mari ! J’hésitais un peu. Je n'avais jamais dansé avec un homme ! Les femmes, en dansant ensemble, nous regardaient avec un sourire excité. Il était clair qu'elles voulaient nous voir faire. Alors j'enlaçai André et l'embrassai sur la bouche, la main glissée entre ses jambes, lui malaxant la bite et les couilles on commença à danser. C'était bon aussi de sentir son corps nu onduler contre le mien en dansant. Je réunis nos deux bites dans ma main et les masturbai en dansant. Ce fut alors une révélation. Avec André, et à poils, j'adorais danser !
Il ne fallut pas longtemps pour que les deux femmes, dansant ensemble, voient avec ravissement se réaliser ce qu'elles avaient voulu vicieusement provoquer. André dansait avec moi près d'elles, m'enlaçant de dos et jouant avec tout mon sexe,... et toute sa bite glissait dans mon cul.
En dansant nues entre elles les femmes me caressaient et glissaient leurs mains entre nos deux corps pour surveiller du bout des doigts notre accouplement. Aimant tous deux le changement, on se retrouva un peu plus tard, dansant toujours enlacés, mais cette fois toute ma bite plantée dans le cul d'André. Les femmes étaient très excitées de danser entre elles toutes nues en assistant aux vices de leurs hommes. Elles adoraient ça !
Un moment je poussai André à quatre pattes par terre pour le posséder plus entièrement. Les femmes dansaient nues, enlacées ensemble en regardant avec passion nos deux culs de leurs hommes réunis et accouplés.
Nous avions maintenant tous les quatre envie de jouir. Les femmes nous donnaient les mêmes droits sur elles. Pourquoi ne pas en profiter pleinement ? D'un bond on les entraîna au lit et on grimpa sur elles, nous les échangeant sans cesse, Nos putes étaient aux anges et se donnaient pleinement quelque soit la bite et le mâle nu sur leur ventre. Puis, a deux, on posséda l'une, et puis l'autre. L'une se donnait aux deux bites et l'autre regardait en se caressant les seins et en s'enfonçant deux doigts dans la moule.
Elles jouirent comme des folles avec deux bites dans leur cul. Puis chacun reprit sa maîtresse, la femme de l'autre, et alla gicler en elle... avant de recommencer et d'aller nous vider les couilles une fois encore dans notre propre épouse... et dans le sperme de l'ami. J'adorais prendre Clélia toute chaude et pleine de sperme quand une bite sortait d'elle ! Elle sentait l'amour et le mâle quand elle venait de coucher et sa vulve était plus chaude et gonflée que jamais. Une vraie pute !
Nous avons passé tout l'après-midi à coucher ensemble à nous quatre et à parler de sexe en nous caressant l'un l'autre. Le soir nous étions éreintés et tous cernés. André et Sarah s'habillèrent et rentrèrent chez eux. Clélia et moi on dormit puissamment nus ensemble et étroitement enlacés.
Mais le lendemain matin vers dix heures, coup de sonnette... Clélia dormait encore. Je passai un peignoir sur mon corps nu et allai ouvrir. C'était eux ! Ils étaient revenus... un peu gênés de révéler ne pas en avoir encore assez mais bien décidés à coucher encore abondamment avec nous.
Ils ouvrirent mon peignoir et m'embrassèrent tous deux en me caressant tendrement tout le corps, puis ils tombèrent à genoux devant moi et se mirent à me sucer la pine à eux deux. C'était exquis! Un couple me suçait. Ma bite passait d'une bouche à l'autre. Ils se déshabillaient en me suçant. Je ne savais pas s'ils réveilleraient Clélia, mais je savais que j'allais coucher avec eux ! Et ils avaient l'air pressés. C'était merveilleux !
Un moment Sarah s'écarta de ma bite et me demanda :
- Et Clélia ? Elle dort toujours ?
- Oui !
- Je suis sûre qu'elle est nue ! On peut aller la réveiller ?
- Oui bien sûr !... Elle sera toute heureuse de s'éveiller entre vous tout nus !
Ils filèrent vers notre chambre et je les suivis, rejetant mon peignoir. Nos quatre corps allaient se retrouver pour le plaisir.
Ils entrèrent sur la pointe des pieds et la regardèrent un moment dormir nue sur le lit. Puis André fit signe à sa femme de se taire et montant tout doucement sur le lit. Il se glissa doucement entre les cuisses de Clélia, pris sa verge en mains et la dressa devant son con. Puis il se coucha sur elle et glissa toute sa bite dans le con. Clélia gémit, lui ouvrit les cuisses et l'entoura de ses bras. Puis elle ouvrit les yeux et le regarda avec stupeur.
- André !... Je croyais que c'était Pat !
- Je rêvais de t'éveiller comme ça petite maîtresse !
On vit tout le corps de Clélia accepter l'homme. Sarah, se masturbant légèrement du bout des doigts debout près du lit, regardait le couple se donner du plaisir. Je vins derrière elle et l'enlaçai, passant mes mains sous ses bras pour caresser sa jolie poitrine. Puis je la fis se plier en avant et s'appuyer des deux mains sur le lit, et pointai ma bite vers son con tout chaud. Je glissai en elle jusqu'aux couilles et elle geignit de plaisir. Nous nous possédions tout en regardant l'autre couple nu se payer du bon temps. On gicla ensemble et nos deux putes jouirent bien.
C'était un merveilleux réveil mais il nous avait creusé l'appétit. On alla déjeuner à quatre, bien sûr tous à poils comme nous aimions l'être.
A la fin du déjeuner, alors que nous devisions ensemble en finissant notre café Sarah nous surprit tout à coup :
- Il y a une chose que j'aimerais... C'est de vous voir vous sucer la rondelle les hommes !... Nous on fait ça souvent entre femmes et c'est tellement bon ! Vous n'aimez pas faire ça entre hommes ?
En coeur on répondit que nous aimions ça aussi. Elles rirent puis Sarah ajouta :
- Mais vous ne l'avez jamais fait devant moi en tout cas ! Faites le ! Nous on regarde !
Un peu estomaqués nous ne bougions aucun des deux. Sarah reprit :
- Mais allez-y ! Ca nous excite fort de vous voir ensemble... Et après aimez vous... la bite dans le cul !... Allez Pat ! Lèves toi et appuies toi à la table les jambes bien ouvertes !...
J'obtempérai et elle poussa André à genoux derrière moi. Elles regardaient toutes les deux en se masturbant. Je sentis les mains d'André prendre ma queue et mes couilles qui pendouillaient sous mon ventre et les malaxer avec délice. Puis sentis ses mains d’homme ouvrir mes fesses et sa bouche goulue se poser sur mon anus. Sa langue tourna autour, puis se pointa dedans. C'était délicieux.
Les femmes, tout en se masturbant, faisaient des commentaires très excitants. Je sentais mon cul s'ouvrir et rester ouvert. André se retirait de temps à autre pour qu'elles le voient aussi. André caressait d'une main ma queue et de l'autre la sienne.
Tout à coup André se releva. Je me redressai et le vis debout devant moi, la verge bien dressée sur le ventre. Il recula et alla s'asseoir sur une des chaises, le vit bien dressé entre les cuisses. Il me regarda et me dit :
- Viens !... Laisses ces gouines se régaler ! Montres leur comment on s’accouple nous deux !
J'approchai de lui, follement excité par cet accouplement entre hommes devant nos femmes captivées. Je montai à cheval sur ses cuisses, pris sa belle bite et la pointai vers mon cul. Nos deux femmes nues étaient à genoux derrière moi pour voir de tout près mon cul avaler la bite. Je me laissai descendre doucement et pris toute la bite en moi. Puis je me mis à cavaler tranquillement tout en embrassant André sur la bouche et en lui caressant les tétons. Elles nous laissèrent un peu nous faire du bien puis Clélia me demanda de me retourner pour qu'elles voient nos deux sexes. Je le fis.
Je découvrais le plaisir exhibitionniste en montant et descendant sur sa bite. Elles étaient nues à genoux entre nos cuisses, se caressant mutuellement, et découvraient très visiblement des plaisirs de voyeuses.
J'emmenai ainsi André jusqu'à l'orgasme. Je sentis ses flots de sperme passer dans sa bite et gicler dans mon cul. Alors je restai immobile, sa bite fichée amoureusement en moi et les deux femmes se penchèrent et se mirent à déguster la mienne. Aaahh c'était bon! Deux bouches suceuses et une bite qui venait de jouir en moi et qui s’y trouvait encore bien profondément fichée !
Quand ma bite fut bien raide elles m'arrachèrent à André qui sortit tout mou de moi. Elles nous entraînèrent vers la chambre et nous poussèrent vers le lit. Clélia ajouta :
- A toi chéri de lui lécher le cul ! On adore vous voir coucher ensemble !
André se mit à quatre pattes sur le lit et je me glissai à genoux derrière lui. Je m'amusai longuement à lui caresser les couilles et le sexe. Quel merveilleux fruit sexuel pendait sous son cul. Il recommençait à bander.
Alors, tout en me caressant d'une main et en flattant son beau sexe mâle de l'autre, je lui léchai les fesses, puis l'anus... Longuement... Puis je lui poussai ma langue dedans. Il geignait. Les femmes nous regardaient toujours avec deux doigts dans le con de l’autre.
Quand il resta bien ouvert je me redressai, pointai ma verge dressée de désir, et la poussai en lui. Il la reçut avec un feulement de bête qui fit gémir les deux femmes d'excitation. Elles se couchèrent toutes deux sur le dos entre nos cuisses pour voir de plus près les culs de leurs mâles accouplés et glissèrent chacune des doigts dans la moule de l'autre. Je fus à nouveau submergé par le plaisir d'exhibitionnisme. Etre vicieux et adoré vicieux ! Quel bonheur ! Je sentais sous moi André vivre la même chose, la bite balançant sur le visage de nos femmes et le cul dilaté par la mienne. Sous nos culs les femmes regardaient avec passion. Elles nous dirent par la suite avoir joui juste en même temps que nous, mais sur les doigts l'une de l'autre en plein plaisir de voyeuses.
Cet intermède homosexuel, et les jouissances qu'il nous avait donné, nous laissa tous les quatre effondrés nus sur le lit. Après quelques minutes de repos Sarah nous dit :
- Quel plaisir vous nous avez donné nos hommes !.. Vous êtes tellement beaux tous les deux en plein rut l'un pour l'autre ! Je ne l'avais jamais vraiment bien vu !.. Quel bonheur vous m'avez donné !..
André lui demanda :
- On ne t'a pas dégoûtée ?
- Oh non !... Vous voir m'a fait fort jouir !... Et puis... vous l'avez fait pour nous !... Vous vous êtes vraiment livrés à nous cette fois !... J'ai l'impression de vous posséder beaucoup plus... l'un comme l'autre !... Et quelles bites dans le cul de l'autre ! Hein Clélia ?
- Oui! C'est vrai !... Leurs bites paraissent énormes dans le cul de l'autre !... C'est si beau cette puissance mâle !
Sarah reprit :
- Oh André ! Et tu voulais me cacher ton désir de l'homme !... Je me sens vraiment beaucoup plus proche et plus amoureuse encore de toi maintenant que tu me l'as donné et que je t'ai vu faire ça !... Mon mari !... Mon époux merveilleux !... Tu es tellement beau quand tu fais l'amour avec un homme !... Ta sexualité est tellement puissante !... Vous avez un tel accord entre vous pour jouir... Quand je vois ça je n'ai plus qu'une envie, c'est d'en être aussi l'objet et de m'y soumettre totalement !... De t'ouvrir mes cuisses, mon con et mon anus pour subir ta puissance sexuelle et tes vices !... Et que tu en arroses ma matrice du jus de tes belles couilles !
André lui répondit :
- Je l'ai senti !... Tu sais... J'ai adoré que tu me demandes ça et que tu nous regardes de tout près !... J'ai si fort senti que tu m'aimes... jusque dans mon désir vicieux d'accouplement avec un homme... J'étais certain que je devrais en garder le secret toute ma vie !
- Oh mon chéri !... Vous êtes incroyables vous les hommes !... Vous nous poussez toutes à être de temps à autres des lesbiennes avérées et vous voulez tout voir ! Et pourquoi vous n'auriez pas le droit d'être parfois franchement homos ?... Au contraire !... Je veux tout connaître de toi !... Je veux que tu refasses l'amour avec un homme aussi souvent que tu en as envie... devant moi !... Puisque Pat est aussi mon amant je préfère que ce soit avec lui... J'aime vos deux bites !... Je voudrais vraiment que vous restiez toujours de vrais amants l'un pour l'autre !... Que vous vous suciez et que vous rouliez l'un sur l'autre dès qu'on est à nous quatre et que vous en avez envie !... Ce sera notre secret !... Seules vos femmes sauront combien vous faites l’amour ensemble !
- Ma Sarah !... Je t'aime follement !... Devant eux !... Ils savent tout de nous !
- Aahhh! Mon amour !... Je nous sens si simplifiés !... Si unis !... Nous sentons tous les deux combien l'autre nous aime jusque dans nos vices !... C'est si bon de sentir ça !... J'ai envie de me rouler dans le vice avec Pat et Clélia sous ton regard !... Rien que pour sentir ton amour et ton excitation mâle !... Rien que pour toi !... Pour nous !... Et j'ai envie de te regarder longtemps réaliser tous tes vices nu avec eux.
- Oh ma Sarah !... J'adore ça !... Te voir accouplée à Pat ou jouissant en gouine avec Clélia !... Et jouir avec eux deux sous mes yeux ! J’adore cette connivence, cette complicité avec toi !
Je glissai sur Sarah nue, qui se laissa faire, et montai sur Clélia, m'installant entre ses cuisses accueillantes. Puis je rentrai ma bite encore un peu molle dans son con. J'avais besoin d'elle ! Une vraie passion tendre et amoureuse. Ma bite grandissait en elle. Quand je tournai la tête je vis André, comme moi, monté sur Sarah et la pénétrant. Nous sentions qu'ils n'avaient pas encore fini de se parler. Nous voulions tous deux les écouter en nous aimant. Sarah reprit en effet :
- Ooohhh chéri ! Quelle bite ! Je voudrais l'avoir tout le temps en moi !... Mais je veux aussi qu'elle continue de jouir souvent dans le con de Clélia,... dans sa bouche, dans son anus... et dans la bouche et l'anus de Pat!... Je veux qu'il reste ton amant pour longtemps et que tu vives pleinement tous tes désirs avec lui devant moi... et plus tout seul, dans un bouquin avec ta queue en mains comme tu le faisais ! Je veux ton bonheur et celui de ta bite ! Tu auras mon con autant que tu le veux... mais aussi celui de Clélia pour changer... et aussi le cul de Pat pour tes vices que j'adore !
- Mon amour ! C'est pareil pour moi ! Tu adores être pute. Pour ça il faut au moins deux hommes pour s'offrir au second pleine du sperme du premier... puis retourner au premier... Je suis à toi, mais je te donne aussi Pat et sa belle bite pour tes plaisirs. Et comme tu aimes aussi sentir des seins nus presser les tiens et que tu aimes boire à un con juteux. Je te donne en plus Clélia !
On est si heureux à nous deux... et si bien avec eux... Regardes les comme ils s'aiment en silence !... Ils nous écoutent !... J'aime cette connivence de nos deux couples !... Comme on jouit de tout à nous quatre !
Ce fut un merveilleux moment d'amour intense et très profond. Nous étions tous deux profondément amoureux de notre femme. Elles nous avaient donné toutes sortes de plaisirs et les avaient aimés avec nous. Nous avions tous deux aussi une maîtresse dans la femme de l'autre mais il était clair pour tous que ce n'était que pour le plaisir de nous quatre. L'amour vrai ne vibrait qu'au sein de chaque couple.
Ils étaient devenus bien plus que nos amis,... nos amants... Pas plus que nous ils ne demandaient d'amour en dehors de leur couple... Mais pour le plaisir !... Là nous étions tous les quatre à le rechercher et à le vivre avec les trois autres... Nous jouissions pleinement ensemble... à quatre... sans tabous. Les caresses et les unions étaient normales, homosexuelles ou lesbiennes et nous y participions tous. Nous étions amis mais la recherche du plaisir commun scellait cette amitié. Nous étions amants !
La journée fut à nouveau folle et pleine de plaisirs.
Après le déjeuner de midi, arrosé d'un bon petit vin, nous étions tous nus au salon, Clélia était nue dans mes bras et Sarah dans ceux d'André. Nous caressions doucement les seins de nos épouses et nos doigts couraient sur leurs cons. Nous étions paisibles et heureux nus à quatre. Tout à coup Sarah dit, pensive :
- Quel couple merveilleux vous formez vous deux !
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que... Ca ne vous fait aucun problème que l'autre ait un amant ou une maîtresse... Vous regardez l'autre s'accoupler et jouir avec quelqu'un d'autre et ça vous plaît... Et le plus rare c'est que vous vous offrez même l'un à l'autre de vivre des relations et des accouplements purement homosexuels. Et tout ça nous a sauvés nous !
En caressant les seins et le clitoris de Clélia nue dans mes bras je lui répondis :
- Pourquoi pas ! Nous nous adorons et avons une totale confiance l'un en l'autre. Mais je sais combien Clélia adore se faire sauter et combien elle aime d'autres bites dans son con. Quand je couche avec elle je ne la vois pas. Alors j'adore la regarder coucher avec un autre... regarder une belle bite danser dans son con.... voir son con assis sur de belles couilles, en sachant que toute la bite est dedans.... Je sais aussi qu'elle est gouine à ses heures, qu'elle aime la tendresse et la sensualité féminine... Elle ne peut pas sucer ses propres seins ou lécher elle même son sexe. Alors elle adore malaxer et sucer les seins d'une autre femme, plonger la langue entre les grosses lèvres du con de l'autre et la boire... Et elle adore se faire dévorer le con et l'anus par une amie. Elle adore exciter une femme et jouer avec elle !... Elle est si belle quand elle fait ça avec toi !... Ce sont toutes de vraies joies ! Pourquoi je l'en priverais ?... Et jamais nous n'allons seuls vers un tiers, nous vivons tout ensemble... Comme ça on peut s'y donner complètement et on ne se trompe pas l'un l'autre... C'est bien plus heureux que de le faire chacun de son côté et qu'elle me trompe avec André... ou avec toi !
- C'est vrai !... Et elle sait que tu aimes parfois baiser avec une autre femme !... Ou jouer avec tout le cul d'un homme... l'enculer... ou avoir sa belle grosse bite jouissante dans ton cul !
- Oui !... J'adore découvrir, caresser, sucer le même sexe que le mien entre les cuisses d'un autre !
- Au fond... Quand tu couches avec André c'est toi-même que tu aimes ?
- Non ! Pas moi-même !... Je découvre et j'aime un corps, un sexe et un cul proches des miens. Je les fais jouir... je les sens jouir !... C'est vrai que je me découvres moi-même en couchant sans frein avec André !... Peut-être qu'inconsciemment c'est ma bite que j'aime dans la sienne... Je ne sais pas... Non!... Je crois que c'est LA bite... Nos bites… Et puis celle d’André mon ami si intime avec qui je partage le plaisir !
- C'est fou ! C'est comme pour moi avec Clélia !... Ce n'est pas mon con que j'aime dans le sien, c'est Le con... Nos cons !... Comme pour nos seins... nos cuisses... tout ce que vous aimez en nous quoi !... Et tout ça j'aime le découvrir... Avec elle je me découvre moi-même!... Je découvre ce que vous aimez en moi... en nous.
- C'est très important !
- Tu parles !... Je suis même convaincue qu'on ne peut pas être une vraie maîtresse ou un vrai amant si on ne couche jamais avec quelqu'un de son propre sexe... on ne se connaît pas soi-même... on ne connaît pas le corps qu'on donne... et l'autre c'est pareil... il ne connaît pas le sien !
- Tu as raison !... C'est très enrichissant pour nous tous et on ne fait de mal à personne. On se donne l'un à l'autre de vivre des moments merveilleux... des découvertes extraordinaires de son propre corps et du corps de l'autre et on les partage totalement au sein du couple ! On les vit ensemble !
Sarah hésita puis ajouta :
- Il y a encore autre chose que je voudrais te dire... mais ce n'est pas facile de trouver les mots justes !... Tu sais... c'est bon d'être votre amant et maîtresse... d'être l'objet de vos plaisirs... André et moi on adore sentir combien vous aimez tous les deux nous avoir nus... d'être tous les deux l'objet de vos désirs sexuels...
- Vous aimez être des objets pour nous ?
- Oui !... J'adore sentir qu'André et moi on est vos poupées de plaisir !... vos putes... deux objets sexuels... que vous utilisez pour tous vos vices... même homosexuels... ou lesbiens... On adore subir votre sexualité et vos vices... et tout en connaître... et passer de l'un à l'autre... On s'est même dit André et moi qu'on aimerait que vous nous téléphoniez quand vous avez envie d'un couple, que vous nous disiez de venir tout de suite... et que vous nous payiez pour être vos deux putes... vos esclaves sexuels... entièrement dévoués à vos plaisirs. On aimerait aussi vivre chez vous et jouer le rôle de vos serviteurs dévoués... que vous nous obligiez à vous servir nus... jusque dans votre lit...
- Ca ressemble fort à une perte de votre personnalité tu sais Sarah !
Sarah éclata de rire et ajouta :
- Je l'attendais celle-là !... Non ! Ne t'en fais pas !... Il n'en est pas question !... Ce serait seulement juste un temps... pour nos plaisirs... un peu comme un jeu sexuel... C'est exquis d'être parfois un peu déviés pour le plaisir !
Je ris à mon tour et lui répondit :
- Tu as raison Sarah !... Je voulais seulement être sûr !... Vous êtes trop beaux pour qu'on vous abîme !... Même nous !... Mais on le fera alors puisque vous aimeriez ça ! On vous emploiera parfois comme de vrais objets de plaisir !... On vous commandera toutes sortes de choses, éventuellement même très intimes, et vous nous obéirez pour nous faire jouir... Et nous aussi parfois on sera vos serviteurs et vos objets de plaisir... Nous aussi nous aimons servir vos vices et être parfois vos choses que vous employez sexuellement !
C'est merveilleux de s'entendre et de se comprendre aussi bien à quatre !... Ce sera bon !... D'ailleurs on l'a déjà fait tantôt quand on vous a demandé de coucher entre hommes pour qu'on vous regarde faire !...
Elle se tut un moment, semblant rentrer en elle même et personne n'intervint.
Nous avions toujours nos femmes dans nos bras et leur caressions toujours tendrement les seins et le con. Elles massaient doucement nos queues. Puis Sarah reprit à mon égard :
- Tu sais... C'est très curieux... Nous couchons tous avec tous mais... on se sent couple en face de vous... Vous nous avez remis sur nos rails et je ne sais pas comment vous faites mais vous entretenez le couple en nous... Et on sent fort qu'avec tous vos désirs bisexuels vous aimez coucher avec un couple... c'est extraordinaire de répondre en couple à cette attente... vous avez les deux sexes entre vos cuisses... Et nous aussi... et nos deux couples s'accouplent... on couche... On jouit... ensemble... on passe d'un corps à l'autre... d'un sexe à l'autre... on s'accouple et jouit avec l'homme et la femme... haahhh c'est bon !
- Tu expliques bien Sarah !... On a tant de chance d'être deux couples unis et bi !... Avoue que c'est merveilleux de s'accoupler et de jouir entre couples.
- Oh oui !... C'est extraordinaire !... Tout faire ensemble... et passer d'un sexe à l'autre... Hein mon amour ?... J'ai l'impression d'avoir toujours été bi et de l'être pour toujours ! Toi pas ?
André lui répondit:
- Oui !... Moi aussi... Il a fallu du temps pour que j'ose l'exprimer... Je dirais même pour que j’ose l’accepter en moi ! Plus de temps que pour toi qui le vivais déjà comme jeune fille avec ta prof de français... Mais maintenant que ça s'est exprimé je ne pourrai plus m'arrêter !... Je crois que c'est vrai qu'on se découvre soi-même dans l'homosexualité... et que c'est même très important de coucher parfois avec quelqu'un du même sexe... Dans les bras de Pat je suis devenu un convaincu en tout cas !... Tu sais... je rêvais souvent que je couchais avec Clélia... Mais je t'avais quand même toi... Mais avec toi je n'avais pas d'homme et son beau sexe... ni le plaisir de te voir nue avec un homme... ou une femme...
- Tu rêvais secrètement d'un homme hein Chéri ?
- Oui !... Depuis mon adolescence... Je rêvais souvent en me masturbant de caresser une autre bite et des couilles... de sucer une bite... de perforer un beau cul mâle... ou d'être à poils à quatre pattes le sujet des désirs d'un beau mâle... avec sa bite loin dans mon cul. Avec vous trois j'ai tout trouvé... l'exquise épouse, la maîtresse et l'amant... et nous partageons tout ensemble ! On a tant de chance !
- Tu vois chéri ! Tu étais bi déjà bien avant moi ! Tu l'es depuis le développement de ta sexualité.
- C'est merveilleux de pouvoir l'être avec toi !
- Pour moi aussi tu sais ! Pouvoir découvrir et aimer Clélia devant toi !... J'ai une telle chance de t'avoir pour mari !... Mon homme !
J’intervins alors :
- C'est vrai... On a tant de chance de nous être rencontrés... Deux couples très unis... Mais pour le plaisir nous sommes deux couples qui s'accouplent... Souvent les sexes se complètent, la bite d'un couple dans le vagin de l'autre couple... Mais régulièrement aussi les sexes semblables s'accouplent, un con se frotte à l'autre, une bite se frotte à l'autre, les quatre seins s’épousent. En fait nos deux couples sont comme deux amants ! Ils se retrouvent et vivent ensemble dans le plaisir.
Clélia, en poignant dans ma bite, prit subitement la parole alors qu'elle s'était tue jusque là :
- Vous savez... on a une chance folle ! Des parties carrées entre couples il y en a beaucoup qui le font. Souvent les hommes poussent leurs femmes à vivre l’amour au féminin devant eux quand ils n'en peuvent plus... et beaucoup le font... Mais c'est très rare que les hommes osent être homos entre eux, malgré leur envie... surtout devant leurs femmes... Ou alors ils le font finalement loin des femmes. Ils se retrouvent et font enfin l'amour entre hommes quand elles sont en vacances loin d'eux !... Et nous on a deux hommes merveilleux qui peuvent danser bouche à bouche à poils ensemble près de nous... quand la danse n'est pas bite à cul... et devant nous !
André rit et lui répondit :
- Mais vous nous y poussez merveilleusement ! C'est exquis tu sais pour nous d'être poussés par nos femmes à coucher entre hommes !
Clélia rit et ajouta :
- On doit vous y aider un peu ?... En fait c'est peut-être normal ! Vous avez peut-être finalement plus difficile à démarrer entre hommes que nous entre femmes !... Mais on adore ça ! Tu sais, c'est bien plus merveilleux d'avoir dans nos cons des vrais mâles libérés dont on connaît et se délecte de tous les vices. Alors on se sent vraiment vos putes en dessous de vous... de l'un comme de l'autre !
Sarah ajouta elle aussi :
- C'est vrai !... On a tant de chance !... Vous devrez toujours faire librement l'amour entre vous devant nous les hommes !... On adore ça autant que vous adorez nous voir nous gouiner à nous deux !... En fait c'est même le domaine où nos deux couples peuvent le plus s'apporter ! Dans nos couples on a l'autre... et c'est merveilleux !... Ca nous comble même tous les quatre ! Mais on est tous bi !... On a tous besoin d'avoir de temps à autre un corps du même sexe nu dans les bras... et pour ces accouplements là il faut l'autre couple !
Je lui répondis :
- C'est tout à fait vrai !... C'est merveilleux de coucher avec toi Sarah !... Surtout devant Clélia et André ou de les regarder s'accoupler et jouir ensemble... mais Clélia me comble déjà autant qu'André te comble !... Par contre toi André... La belle masse sexuelle qui pend entre tes jambes je ne la trouve pas chez Clélia... ni tes fesses mâles et ton merveilleux anus... ni ta belle grosse bite jouisseuse dans mon cul !... et nos femmes ne trouvent pas chez nous la douceur de deux beaux seins ni un con juteux entre nos cuisses!
Sarah reprit :
- Voilà qui est bien dit !... Quand les femmes auront besoin de boire le jus d'un con ou que les hommes auront besoin d'une belle bite on se le dira et on se réunira pour faire la fête !... Son but avoué entre nous sera la fête homosexuelle... et lesbienne... Bien sûr, parsemée d'unions plus normales !... Ne crois pas Pat que je n'ai plus envie de ta bite dans mon con ni que celui de Clélia ne veut plus de celle d'André!... Mais je veux dire... là où l'autre couple nous apporte le plus c'est dans l'homosexualité !... et on en a tous besoin !... Là notre union est une vraie richesse ! Nous nous y apportons tous beaucoup l'un à l'autre et sans tabous ! Nous devons tous le garder bien en tête. Le but de nos réunions doit être bi avec prédominance homo/lesbien ! Nous devons donc toujours vivre pleinement nos accouplements homos et lesbiens quand on est à nous quatre. Vous ne trouvez pas ?
Clélia éclata de rire :
- Tu es vraiment catégorique ma Sarah d'amour!... Mais je suis entièrement d'accord avec toi ! Même si un jour nos réunions n'étaient plus qu'homosexuelles, elles nous apporteraient tous encore !... Mais je ne voudrais pas les continuer longtemps si on n'y faisait plus qu'y croiser nos couples !... Et vous les hommes ? Vous êtes d'accord aussi ?
Dans un bel ensemble on approuva André et moi et j'ajoutai :
- Moi je ne serais pas aussi catégorique que toi Sarah. Je jouis profondément avec toi aussi et ce plaisir je le reçois autant de toi que de Clélia qui nous regarde. Pour moi c’est tout le bonheur que nous nous apportons tous les quatre qui compte. Maintenant si la bisexualité était interdite entre nous c’est sûr qu’on y perdrait tous beaucoup… Mais quel chemin on a déjà fait ensemble !... Et ça promet encore bien des plaisirs !
Puis André ajouta à son tour :
- Oui !... Je crois que nos quatre corps nus vont encore beaucoup se connaître, s'accoupler et jouir ensemble en toute liberté !
La petite main de Clélia courait sur ma bite raide. Je regardais la main de Sarah presser convulsivement la belle queue d'André pour en éprouver la fermeté. Elle était grosse et raide. Je fis lever Clélia de mes genoux et me relevai aussi. Puis j'entraînai ma merveilleuse petite épouse nue vers André et Sarah et les fis lever eux aussi. Je serrai les trois corps nus dans mes bras et leur dit :
- Si on mettait tout ça en pratique?... Les femmes embrassez vous en gouines dans nos bras ! Nous André on les enlace et on les caresse partout pendant ce temps !
Elles s'enlacèrent nues l'une à l'autre dans les bras de leurs maris et leurs jolies bouches se soudèrent. Elles frottaient exquisément leurs seins et leurs ventres moussu l'un à l'autre. Leur baiser dans nos bras fut long, tendre et enjoué... Passionné par moment... Leurs amours lesbiens étaient comme abrités dans les bras amoureux de leurs hommes. Puis elles se séparèrent et Clélia nous dit :
- Nos hommes maintenant !... Embrassez-vous aussi ! Nous on les caresse Sarah et on leur met à tous les deux un doigt dans le cul !
André et moi on s'enlaça nus dans les bras de nos femmes nues. Dans nos deux culs glissaient deux petits doigts très agiles et savants, un doigt de chacune. Bouche à bouche nous nous aimions entre hommes dans les bras de nos femmes amoureuses. Quelle découverte ! Comme elles nous aimaient même dans nos vices !
Quand on se sépara je leur dis :
- C'est merveilleux !... Vous n'avez pas envie maintenant d'aller mélanger nos deux couples nus dans notre lit ? On respectera bien sûr les grands principes homosexuels édictés par Sarah, mais toutes sortes de mélanges sont possibles !
André répondit :
- Oh oui alors !... Mais je dois d'abord pisser !
Clélia fit des petits bonds sur place :
- Laisses moi t'aider ! J'aime ça !
- On aime tous ça ! Ajouta Sarah
- Alors tous dans le bain !... Il va pisser sur nous !
On se précipita tous dans la salle de bains. Les deux femmes et moi on s'installa dans le bain et André en approcha la pine en mains. On attendit un moment puis tout à coup le jet sortit de sa pine et éclaboussa nos corps nus, courant sur leurs cons, leurs seins et sur moi. Quand il se tarit Clélia passa les mains sur sa poitrine puis sur celle de Sarah pour tout bien étaler.
Maintenant à toi Pat !
Je fis de même et pissai longuement sur Clélia, Sarah et André, visant les seins et les trois sexes. Puis ce furent les deux femmes. Nous regardions tous avec passion le con ouvert et le jet qui en jaillissait sur nous. On se releva tous les quatre entièrement trempés.
Je leur dis:
- Ce serait bon de rester comme ça pour s'aimer !... Vous voulez une douche les femmes ?
- Oh tu es vicieux Pat ! Non !... Pas de douche !... Hein Clélia ?... Si vous nous voulez comme nous sommes vous êtes de vrais salauds mais on adore ça toutes les deux !
Et André ajouta :
- Oh oui alors !
Tous les quatre on courut vers le lit et on s'y enlaça tous. Il était maintenant admis que la bisexualité régnerait en maîtresse avouée entre nous tous, mais nous avions tous une immense envie de jouir au ventre et des intentions bien sexuelles vis à vis des trois autres, hommes et femmes.
On se mélangea follement toute la journée nus à quatre et sans réserve. Le grand principe de l'apport homosexuel fut largement respecté, tant entre hommes qu'entre femmes mais il fut constamment agrémenté de caresses, de baisers et d'unions plus traditionnelles, Nous découvrions également fort bien nos corps en regardant l'autre s'accoupler. Et puis nous étions tous bi! Tous nous plaisaient !
CHAPITRE 13 – L’AMITIE S’EPANOUIT
Le samedi suivant André et Sarah se pointèrent vers l'heure du déjeuner. Ils s'assirent dans le salon près de Clélia et je leur offris un verre de vin. Puis je les questionnai.
- Alors notre petit couple si aimé va bien ?
Toute rayonnante Sarah répondit :
- Oh oui !... On a couché tout le temps !... On est guéris !
- Plus aucune peur d'être vicieux l'un devant l'autre ?
- Oh non alors !... On est vicieux tous les deux et on est si bien comme ça ensemble !... Même que... qu'on parle souvent de vous en couchant à nous deux !
- Nous aussi !... De vos vices... De vos sexes... C'est bon de pouvoir se dire toutes nos folies hein ?
- Oui !... Mais encore plus de les vivre !... Et à force d’en parler ensemble on s’est dit que vous nous manquiez vraiment tous les deux !
On éclata tous les quatre d’un rire clair.
- L'appel du sexe à l'état brut !
- Des sexes !...
- C'est merveilleux !... Alors aujourd’hui vous venez accoupler vos deux corps aux nôtres ?
- Oui !... Sans réserves !... On veut vos deux culs complets !... On veut encore coucher avec vous deux !
- Ca va être le grand enlacement... Parce que nous aussi on a envie de coucher avec vous !.. Nous aussi on veut vos culs et de vos corps nus !
André caressait la face interne de la cuisse nue de Clélia à côté de lui, remontant jusqu'à sa petite culotte. Je sortis un sein de Sarah et en suçai le bout. Je regardai les doigts d'André écarter la culotte de Clélia et glisser sur son con nu. Clélia soupira de bien-être. Puis André dit tout à coup à voix plus basse :
- C’est bon de t’entendre dire que tu as vraiment envie de nos culs Pat !...
- Pourquoi ?
- Je... Je craignais que tu aies moins envie du mien que de celui de Sarah !... Ce serait normal !...
- Oh non André !... Tu es si beau !... J’adore ton cul !... Tes belles couilles... et cette belle grosse bite qui se dresse sous ton ventre !... Clélia ne peut pas me donner ça tu sais !... Tu es un beau mâle !... J’adore t’approcher sexuellement et faire l’amour avec toi !... C’est merveilleux que tu sois si vicieux !... Eh puis ça m'excite de savoir que tu as gardé tes bonnes dispositions bi André !... J’aime sentir tes envies vicieuses envers moi ! Mais j’aime aussi connaître tous tes désirs secrets. Tu es mon homme !
- Hhumm !... Ils se sont même encore bien affirmées grâce à Sarah !.. En couchant avec moi elle me pousse tout le temps à l’homosexualité la salope !
- Oh Chéri !... Et toi alors !... En me prenant il m’oblige à rêver tout haut de Clélia !... Et avec plein de détails cochons !...
- T’obliger, t’obliger !... Il ne faut pas te pousser fort pour t’entendre parler de ses seins et du goût de son con !
- Parce que tu me pines avec ta belle bite ! C’est normal !... Et toi alors beau mâle !... Qu’est ce que tu peux parler des fesses de Pat, de son anus, de ses couilles et de sa bite à ce moment là !... On est à égalité !... On a tous les deux envie de vous deux !... Mâle et femelle !
- Oh vous êtes vicieux !... C'est Vrai Sarah ?
- Oui !... J'en ai besoin !... Tant du mâle que de la femelle... Vous savez ce qu'on rêve André et moi ?... De nous quatre à poils... Vous deux côte à côte sur le divan... cuisses levées et grandes ouvertes... vos deux sexes différents bien offerts... et nous, à genoux entre vos cuisses on dévore vos deux culs... en passant tous deux de l'un à l'autre !
- Hhhhumm ! Ce serait exquis !... Tu ne trouves pas mon amour ?
Clélia ne répondit pas. Rouge d’excitation elle se leva et commença à se déshabiller. D'un bond on fut tous debout et les habits volèrent. Nous étions tous taraudés d’envie de faire l’amour à quatre, librement, sans interdits homosexuels ! On se regarda tous entièrement nus et, sans nous être consultés j'embrassai Sarah nue avec passion et Clélia se pendit au cou d'André. On échangea de longs baisers, nos ventres se frottant nus l'un à l'autre. Aahhh c'était bon cette petite Sarah nue et toute folle dans mes bras... et voir ma femme vissée à la bouche d'André et frottant son joli corps nu au mâle nu.
Quand on se lâcha il y eut un moment d'hésitation, puis André glissa sa main sur ma taille. Il se lova nu contre moi et les deux femmes s'enlacèrent. Nous connaissions tous nos tendances bi et les aimions. Alors pourquoi se gêner ? Nous pouvions en profiter pleinement. C'était d'ailleurs notre projet à tous ! Nos ventres furent tout heureux de rencontrer le même sexe et nos bouches se dévorèrent. Elles étaient belles nos deux femmes s'enlaçant à poils. Seins et ventres se frottaient l'un à l'autre. Leurs lèvres mêlées étaient belles. Elles étaient si féminines ! Et deux grosses bites chaudes, complètement épanouies, se frottaient l'une à l'autre entre nos ventres mâles. Clélia passa le bout des doigts sur le clitoris de Sarah qui sursauta et se donna. André glissa une main entre nos ventres, y réunissant nos deux bites raides et les masturbant ensemble.
La fougue du baiser d'André et sa bite nue longue et chaude le long de la mienne fouettaient ma sensualité. Je poussais mon ventre en avant contre lui pour y ajouter le doux contact de mes couilles contre les siennes. Il suçait ma langue et m'embrassait comme un amant. Ce baiser d'homme m'excitait terriblement, surtout devant nos femmes. J'en profitais bien et le lui rendais follement. Après un long baiser je m'écartai de lui, un peu essoufflé, le regardai dans les yeux et lui dis :
- Tu ne m'avais jamais embrassé comme ça André !... C'est merveilleux ! Surtout à poils !... C’est la première fois qu’un homme se montre si amoureux de moi !
- Je n'osais pas !... Ca me paraissait trop vicieux... mais j'en rêvais... depuis la première fois... Et en repensant à toutes les fois qu'on a fait l’amour entre hommes devant les femmes je me trouvais con de ne pas oser... Et puis cette semaine, en couchant avec Sarah j’ai osé lui dire mon envie de t'embrasser à pleine bouche... de faire vraiment l'amour avec toi... Elle m'a répondu qu’elle me comprenait si bien... Que c’était si bon avec quelqu’un du même sexe !.. Qu'elle aussi adorait embrasser Clélia bouche à bouche... Y a qu'à les regarder maintenant d'ailleurs... Elle m'a dit que ce devait être aussi bon entre hommes que ça l’est entre femmes et que je devais le faire avec toi... que je devais t'embrasser follement... Alors j'ai osé... J'avais quand même un peu peur de ta réaction. Mais j’ai tout de suite senti que tu aimais aussi...
- Que j’adorais même !...
- Oui !... Que tu adorais !...
- Oh oui !... C’était merveilleux !... J’aime tant sentir si fort ton désir mi-mâle mi-femelle pour moi !... Quand tu m’embrasses comme ça tu me rends fou !... Je sens tellement fort à la fois ton désir de m’enculer avec ta belle bite , et celui de te mettre sur le dos et de te soumettre à la mienne ! C’est merveilleux de s'embrasser à poils !... Je veux que tu le fasses encore autant que tu le veux !... Je suis ta pute !... Mais je te le ferai aussi !... Parce que tu es la mienne !... Je suis fou de toi !
- Oh Pat ! Moi aussi !... J'adore coucher avec toi ! ... Etre ton jouet sexuel et toi le mien !... Enlacés à poils tous les deux !... Sentir ton désir... Et t’exciter !
Je l'enlaçai à nouveau tout nu et repris sa bouche. A côté de nous on entendit Clélia dire :
- Tu les entends nos hommes ?
- Oui !... Ils sont merveilleusement salauds quand ils sont nus à deux !... Et c'est bon de se gouiner près d'eux !
- Oh oui !... Se gouiner et les voir homos !
Et les baisers reprirent de plus belle. Tous quatre nous avions été privés de l'amant du même sexe durant une semaine et étions tous tout heureux de retrouver son corps, son sexe, et de combler nos désirs homosexuels ou lesbiens. Nous avions tous une main courant entre les cuisses de l'autre, caressant follement le même sexe que le nôtre.
J'entendis subitement Sarah nous demander :
- Vous voulez bien réaliser notre rêve... Celui que j'ai dit tantôt ?
Clélia lui répondit:
- Bien sûr jolie pute ! Nos deux culs sont tout à vous !.. On en a envie aussi !
Elle me prit par le bras et me sépara d'André. Ils nous poussèrent alors amoureusement vers notre chambre. Ils nous assirent côte à côte sur le lit qui avait connu tous leurs débordements sensuels et nous poussèrent nus en arrière. J'ouvris les cuisses et regardai Clélia ouvrir les siennes à ce couple à poils. Je l'embrassai sur la bouche et lui pris un sein. Je la vis relever les jambes et vis le visage de Sarah s'y installer. Je sentis les grandes mains d'André relever mes cuisses et m'offris. L'instant d'après ses mains et sa bouche couraient sur tout mon cul. C'était exquis! Il me suçait divinement et me rentrait sa langue et ses doigts dans la rosette. Je donnais tout mon cul en embrassant Clélia. Je voyais le visage de Clélia se tordre de plaisir. Un peu plus tard je regardai à nouveau entre les cuisses de Clélia et y vis le visage d'André. La langue qui pointait dans mon anus était donc maintenant celle de Sarah. Ahhh qu'elle aimait mon cul !
Ils nous échangèrent ainsi tout un temps. C'était absolument extraordinaire d'offrir nos deux culs au couple qui les dévorait goulûment. Clélia jouissait. Moi-même, sur le point de gicler, je les arrêtai et les fis changer de place avec nous.
Le visage devant le cul d'André je regardai Clélia sur le point de poser la bouche sur les grosses lèvres béantes de con de Sarah. Ce fut le signal. Je me mis à dévorer tout le sexe et le cul d'André et à y entrer mes doigts et ma langue. Puis on changea de place et Clélia se mit à déguster le cul de son amant et moi celui de ma maîtresse. On s'échangeait sans cesse. C'était merveilleux de passer du cul mâle au cul femelle. Et ces deux culs se donnaient tellement complètement à nos désirs vicieux !
Tout à coup Clélia bondit sur ses pieds et entraîna Sarah plus loin sur le lit en disant:
- Viens mon amour ! On va se sucer à deux et jouir ensemble ! ... Les hommes ! Enculez vous l'un l'autre et changez de place dès que l'un va gicler ! Vos deux culs sont tous les deux bien ouverts et prêts pour vos grosses bites et vos amours homos ! Nous on va faire les petites lesbiennes hein ma Sarah ?
André glissa plus haut sur le lit et, ouvrant grand les cuisses, s'offrit à moi. Il était si beau, à poils, et s'offrant à ma bite mâle. Je montai à genoux sur le lit, la bite dressée sous mon ventre et le pris doucement jusqu'aux couilles. Notre coït commença. On regardait les femmes s'entre-dévorer. Elles nous regardaient du coin de l'oeil nous enculer. On changea de place plusieurs fois, l'enculé devenant l'enculeur. Les femmes glissaient ensemble d'orgasme en orgasme. Les deux hommes finirent par jouir à tour de rôle de ce merveilleux plaisir qu’une bite déclare dans un anus.
Tout à coup, alors que ma bite glissait exquisément dans le cul d’André et que j’étais proche de la jouissance, une petite main douce et féminine flatta mes couilles et j'entendis Clélia me dire :
- Ne jouis pas dans le cul d'André Chéri ! Gardes ton jus pour Sarah ! Fais toi enculer encore une fois !
Je sortis doucement ma grosse bite du cul d'André et me jetai à quatre pattes près des femmes. Je sentis André s'installer derrière moi et poussai un feulement de jouissance en sentant sa grosse bite écarter à nouveau mon anus et glisser en moi. Il m'enculait avec passion, et je me donnais avec passion à cette belle bite raide dans mon cul. J'adorais sentir ce rut du mâle en moi. Il me fouillait et caressait tout mon corps nu. La petite main de Sarah glissait sous mon ventre et flattait ma bite et mes couilles. Je lui plaisais visiblement enculé par son mari. Tout à coup Clélia dit :
- André! J’ai couché avec ta femme !... Maintenant je veux ta grosse bite et tes jets de sperme sur ma matrice !... Comme ça j’aurai fait l’amour avec votre couple !... Devant mon mari !
C'était Clélia ! La pute ! Elle voulait jouir avec lui ! Je m'arrachai de cette bite jouisseuse et plongeai sur Sarah. L'instant d'après j'étais dans son con jusqu'aux couilles et je voyais près de nos visages le ventre nu de Clélia, cuisses grandes ouvertes, la moule toute gonflée, et la grosse bite d'André y glisser et y disparaître. Sarah m’entoura de ses jolies jambes et m’attira passionnément au plus profond d’elle.
On jouit tous comme des bêtes. On resta dans le con de nos putes et on recommença. Après on s'effondra chacun sur la femme de l'autre,... notre maîtresse. Elles avaient toutes les deux joui plusieurs fois. On s'endormit à quatre, chacun enlace à la femme ou au mari de l'autre.
Au réveil elles étaient toutes roses. Clélia nous proposa de déjeuner, mais tous à poils. L'idée nous emballa. Durant le repas on les poussa à nous raconter leur semaine dans le détail, mais surtout tous ses épisodes amoureux et sensuels. C'était vrai qu'en couchant ensemble ils avaient souvent parlé de leurs désirs sexuels avec nous! Puis ils exigèrent que nous fassions de même. Nous adorions voir nos deux femmes aller et venir nues de la cuisine. Quand elles revenaient nous les tripotions et les prenions sur nos genoux.
Le dessert nous trouva très excités. Les deux moules et les bites étaient grosses. Sarah proposa de danser, mais à condition que les hommes dansent ensemble quand elles danseraient entre femmes. Pour nous les hommes ce ne fut pas facile d’accepter. Ca nous paraissait bizarre de danser entre hommes.
Mais elle mit des slows. Nous dansions nus. Ce fut vite le vrai bordel. Régulièrement nous soulevions nos danseuses pendues à notre cou, et les empalions sur nos bites tout en les embrassant. Au cours d'un slow nous changions parfois plusieurs fois de partenaire. Elles passaient de l'un à l'autre avec grâce et joie et se laissaient enconner avec ravissement. Elles n'étaient plus que deux putes qui jouissaient avec leurs deux mâles. Les deux couples nus évoluaient en se frottant constamment l'un à l'autre.
Sarah me quitta subitement avec un sourire vicieux et attrapa Clélia qu'elle arracha des bras d' André et enlaça. Elle continuait à me regarder avec le même sourire vicieux. Elle voulait me voir danser nu avec son mari ! J’hésitais un peu. Je n'avais jamais dansé avec un homme ! Les femmes, en dansant ensemble, nous regardaient avec un sourire excité. Il était clair qu'elles voulaient nous voir faire. Alors j'enlaçai André et l'embrassai sur la bouche, la main glissée entre ses jambes, lui malaxant la bite et les couilles on commença à danser. C'était bon aussi de sentir son corps nu onduler contre le mien en dansant. Je réunis nos deux bites dans ma main et les masturbai en dansant. Ce fut alors une révélation. Avec André, et à poils, j'adorais danser !
Il ne fallut pas longtemps pour que les deux femmes, dansant ensemble, voient avec ravissement se réaliser ce qu'elles avaient voulu vicieusement provoquer. André dansait avec moi près d'elles, m'enlaçant de dos et jouant avec tout mon sexe,... et toute sa bite glissait dans mon cul.
En dansant nues entre elles les femmes me caressaient et glissaient leurs mains entre nos deux corps pour surveiller du bout des doigts notre accouplement. Aimant tous deux le changement, on se retrouva un peu plus tard, dansant toujours enlacés, mais cette fois toute ma bite plantée dans le cul d'André. Les femmes étaient très excitées de danser entre elles toutes nues en assistant aux vices de leurs hommes. Elles adoraient ça !
Un moment je poussai André à quatre pattes par terre pour le posséder plus entièrement. Les femmes dansaient nues, enlacées ensemble en regardant avec passion nos deux culs de leurs hommes réunis et accouplés.
Nous avions maintenant tous les quatre envie de jouir. Les femmes nous donnaient les mêmes droits sur elles. Pourquoi ne pas en profiter pleinement ? D'un bond on les entraîna au lit et on grimpa sur elles, nous les échangeant sans cesse, Nos putes étaient aux anges et se donnaient pleinement quelque soit la bite et le mâle nu sur leur ventre. Puis, a deux, on posséda l'une, et puis l'autre. L'une se donnait aux deux bites et l'autre regardait en se caressant les seins et en s'enfonçant deux doigts dans la moule.
Elles jouirent comme des folles avec deux bites dans leur cul. Puis chacun reprit sa maîtresse, la femme de l'autre, et alla gicler en elle... avant de recommencer et d'aller nous vider les couilles une fois encore dans notre propre épouse... et dans le sperme de l'ami. J'adorais prendre Clélia toute chaude et pleine de sperme quand une bite sortait d'elle ! Elle sentait l'amour et le mâle quand elle venait de coucher et sa vulve était plus chaude et gonflée que jamais. Une vraie pute !
Nous avons passé tout l'après-midi à coucher ensemble à nous quatre et à parler de sexe en nous caressant l'un l'autre. Le soir nous étions éreintés et tous cernés. André et Sarah s'habillèrent et rentrèrent chez eux. Clélia et moi on dormit puissamment nus ensemble et étroitement enlacés.
Mais le lendemain matin vers dix heures, coup de sonnette... Clélia dormait encore. Je passai un peignoir sur mon corps nu et allai ouvrir. C'était eux ! Ils étaient revenus... un peu gênés de révéler ne pas en avoir encore assez mais bien décidés à coucher encore abondamment avec nous.
Ils ouvrirent mon peignoir et m'embrassèrent tous deux en me caressant tendrement tout le corps, puis ils tombèrent à genoux devant moi et se mirent à me sucer la pine à eux deux. C'était exquis! Un couple me suçait. Ma bite passait d'une bouche à l'autre. Ils se déshabillaient en me suçant. Je ne savais pas s'ils réveilleraient Clélia, mais je savais que j'allais coucher avec eux ! Et ils avaient l'air pressés. C'était merveilleux !
Un moment Sarah s'écarta de ma bite et me demanda :
- Et Clélia ? Elle dort toujours ?
- Oui !
- Je suis sûre qu'elle est nue ! On peut aller la réveiller ?
- Oui bien sûr !... Elle sera toute heureuse de s'éveiller entre vous tout nus !
Ils filèrent vers notre chambre et je les suivis, rejetant mon peignoir. Nos quatre corps allaient se retrouver pour le plaisir.
Ils entrèrent sur la pointe des pieds et la regardèrent un moment dormir nue sur le lit. Puis André fit signe à sa femme de se taire et montant tout doucement sur le lit. Il se glissa doucement entre les cuisses de Clélia, pris sa verge en mains et la dressa devant son con. Puis il se coucha sur elle et glissa toute sa bite dans le con. Clélia gémit, lui ouvrit les cuisses et l'entoura de ses bras. Puis elle ouvrit les yeux et le regarda avec stupeur.
- André !... Je croyais que c'était Pat !
- Je rêvais de t'éveiller comme ça petite maîtresse !
On vit tout le corps de Clélia accepter l'homme. Sarah, se masturbant légèrement du bout des doigts debout près du lit, regardait le couple se donner du plaisir. Je vins derrière elle et l'enlaçai, passant mes mains sous ses bras pour caresser sa jolie poitrine. Puis je la fis se plier en avant et s'appuyer des deux mains sur le lit, et pointai ma bite vers son con tout chaud. Je glissai en elle jusqu'aux couilles et elle geignit de plaisir. Nous nous possédions tout en regardant l'autre couple nu se payer du bon temps. On gicla ensemble et nos deux putes jouirent bien.
C'était un merveilleux réveil mais il nous avait creusé l'appétit. On alla déjeuner à quatre, bien sûr tous à poils comme nous aimions l'être.
A la fin du déjeuner, alors que nous devisions ensemble en finissant notre café Sarah nous surprit tout à coup :
- Il y a une chose que j'aimerais... C'est de vous voir vous sucer la rondelle les hommes !... Nous on fait ça souvent entre femmes et c'est tellement bon ! Vous n'aimez pas faire ça entre hommes ?
En coeur on répondit que nous aimions ça aussi. Elles rirent puis Sarah ajouta :
- Mais vous ne l'avez jamais fait devant moi en tout cas ! Faites le ! Nous on regarde !
Un peu estomaqués nous ne bougions aucun des deux. Sarah reprit :
- Mais allez-y ! Ca nous excite fort de vous voir ensemble... Et après aimez vous... la bite dans le cul !... Allez Pat ! Lèves toi et appuies toi à la table les jambes bien ouvertes !...
J'obtempérai et elle poussa André à genoux derrière moi. Elles regardaient toutes les deux en se masturbant. Je sentis les mains d'André prendre ma queue et mes couilles qui pendouillaient sous mon ventre et les malaxer avec délice. Puis sentis ses mains d’homme ouvrir mes fesses et sa bouche goulue se poser sur mon anus. Sa langue tourna autour, puis se pointa dedans. C'était délicieux.
Les femmes, tout en se masturbant, faisaient des commentaires très excitants. Je sentais mon cul s'ouvrir et rester ouvert. André se retirait de temps à autre pour qu'elles le voient aussi. André caressait d'une main ma queue et de l'autre la sienne.
Tout à coup André se releva. Je me redressai et le vis debout devant moi, la verge bien dressée sur le ventre. Il recula et alla s'asseoir sur une des chaises, le vit bien dressé entre les cuisses. Il me regarda et me dit :
- Viens !... Laisses ces gouines se régaler ! Montres leur comment on s’accouple nous deux !
J'approchai de lui, follement excité par cet accouplement entre hommes devant nos femmes captivées. Je montai à cheval sur ses cuisses, pris sa belle bite et la pointai vers mon cul. Nos deux femmes nues étaient à genoux derrière moi pour voir de tout près mon cul avaler la bite. Je me laissai descendre doucement et pris toute la bite en moi. Puis je me mis à cavaler tranquillement tout en embrassant André sur la bouche et en lui caressant les tétons. Elles nous laissèrent un peu nous faire du bien puis Clélia me demanda de me retourner pour qu'elles voient nos deux sexes. Je le fis.
Je découvrais le plaisir exhibitionniste en montant et descendant sur sa bite. Elles étaient nues à genoux entre nos cuisses, se caressant mutuellement, et découvraient très visiblement des plaisirs de voyeuses.
J'emmenai ainsi André jusqu'à l'orgasme. Je sentis ses flots de sperme passer dans sa bite et gicler dans mon cul. Alors je restai immobile, sa bite fichée amoureusement en moi et les deux femmes se penchèrent et se mirent à déguster la mienne. Aaahh c'était bon! Deux bouches suceuses et une bite qui venait de jouir en moi et qui s’y trouvait encore bien profondément fichée !
Quand ma bite fut bien raide elles m'arrachèrent à André qui sortit tout mou de moi. Elles nous entraînèrent vers la chambre et nous poussèrent vers le lit. Clélia ajouta :
- A toi chéri de lui lécher le cul ! On adore vous voir coucher ensemble !
André se mit à quatre pattes sur le lit et je me glissai à genoux derrière lui. Je m'amusai longuement à lui caresser les couilles et le sexe. Quel merveilleux fruit sexuel pendait sous son cul. Il recommençait à bander.
Alors, tout en me caressant d'une main et en flattant son beau sexe mâle de l'autre, je lui léchai les fesses, puis l'anus... Longuement... Puis je lui poussai ma langue dedans. Il geignait. Les femmes nous regardaient toujours avec deux doigts dans le con de l’autre.
Quand il resta bien ouvert je me redressai, pointai ma verge dressée de désir, et la poussai en lui. Il la reçut avec un feulement de bête qui fit gémir les deux femmes d'excitation. Elles se couchèrent toutes deux sur le dos entre nos cuisses pour voir de plus près les culs de leurs mâles accouplés et glissèrent chacune des doigts dans la moule de l'autre. Je fus à nouveau submergé par le plaisir d'exhibitionnisme. Etre vicieux et adoré vicieux ! Quel bonheur ! Je sentais sous moi André vivre la même chose, la bite balançant sur le visage de nos femmes et le cul dilaté par la mienne. Sous nos culs les femmes regardaient avec passion. Elles nous dirent par la suite avoir joui juste en même temps que nous, mais sur les doigts l'une de l'autre en plein plaisir de voyeuses.
Cet intermède homosexuel, et les jouissances qu'il nous avait donné, nous laissa tous les quatre effondrés nus sur le lit. Après quelques minutes de repos Sarah nous dit :
- Quel plaisir vous nous avez donné nos hommes !.. Vous êtes tellement beaux tous les deux en plein rut l'un pour l'autre ! Je ne l'avais jamais vraiment bien vu !.. Quel bonheur vous m'avez donné !..
André lui demanda :
- On ne t'a pas dégoûtée ?
- Oh non !... Vous voir m'a fait fort jouir !... Et puis... vous l'avez fait pour nous !... Vous vous êtes vraiment livrés à nous cette fois !... J'ai l'impression de vous posséder beaucoup plus... l'un comme l'autre !... Et quelles bites dans le cul de l'autre ! Hein Clélia ?
- Oui! C'est vrai !... Leurs bites paraissent énormes dans le cul de l'autre !... C'est si beau cette puissance mâle !
Sarah reprit :
- Oh André ! Et tu voulais me cacher ton désir de l'homme !... Je me sens vraiment beaucoup plus proche et plus amoureuse encore de toi maintenant que tu me l'as donné et que je t'ai vu faire ça !... Mon mari !... Mon époux merveilleux !... Tu es tellement beau quand tu fais l'amour avec un homme !... Ta sexualité est tellement puissante !... Vous avez un tel accord entre vous pour jouir... Quand je vois ça je n'ai plus qu'une envie, c'est d'en être aussi l'objet et de m'y soumettre totalement !... De t'ouvrir mes cuisses, mon con et mon anus pour subir ta puissance sexuelle et tes vices !... Et que tu en arroses ma matrice du jus de tes belles couilles !
André lui répondit :
- Je l'ai senti !... Tu sais... J'ai adoré que tu me demandes ça et que tu nous regardes de tout près !... J'ai si fort senti que tu m'aimes... jusque dans mon désir vicieux d'accouplement avec un homme... J'étais certain que je devrais en garder le secret toute ma vie !
- Oh mon chéri !... Vous êtes incroyables vous les hommes !... Vous nous poussez toutes à être de temps à autres des lesbiennes avérées et vous voulez tout voir ! Et pourquoi vous n'auriez pas le droit d'être parfois franchement homos ?... Au contraire !... Je veux tout connaître de toi !... Je veux que tu refasses l'amour avec un homme aussi souvent que tu en as envie... devant moi !... Puisque Pat est aussi mon amant je préfère que ce soit avec lui... J'aime vos deux bites !... Je voudrais vraiment que vous restiez toujours de vrais amants l'un pour l'autre !... Que vous vous suciez et que vous rouliez l'un sur l'autre dès qu'on est à nous quatre et que vous en avez envie !... Ce sera notre secret !... Seules vos femmes sauront combien vous faites l’amour ensemble !
- Ma Sarah !... Je t'aime follement !... Devant eux !... Ils savent tout de nous !
- Aahhh! Mon amour !... Je nous sens si simplifiés !... Si unis !... Nous sentons tous les deux combien l'autre nous aime jusque dans nos vices !... C'est si bon de sentir ça !... J'ai envie de me rouler dans le vice avec Pat et Clélia sous ton regard !... Rien que pour sentir ton amour et ton excitation mâle !... Rien que pour toi !... Pour nous !... Et j'ai envie de te regarder longtemps réaliser tous tes vices nu avec eux.
- Oh ma Sarah !... J'adore ça !... Te voir accouplée à Pat ou jouissant en gouine avec Clélia !... Et jouir avec eux deux sous mes yeux ! J’adore cette connivence, cette complicité avec toi !
Je glissai sur Sarah nue, qui se laissa faire, et montai sur Clélia, m'installant entre ses cuisses accueillantes. Puis je rentrai ma bite encore un peu molle dans son con. J'avais besoin d'elle ! Une vraie passion tendre et amoureuse. Ma bite grandissait en elle. Quand je tournai la tête je vis André, comme moi, monté sur Sarah et la pénétrant. Nous sentions qu'ils n'avaient pas encore fini de se parler. Nous voulions tous deux les écouter en nous aimant. Sarah reprit en effet :
- Ooohhh chéri ! Quelle bite ! Je voudrais l'avoir tout le temps en moi !... Mais je veux aussi qu'elle continue de jouir souvent dans le con de Clélia,... dans sa bouche, dans son anus... et dans la bouche et l'anus de Pat!... Je veux qu'il reste ton amant pour longtemps et que tu vives pleinement tous tes désirs avec lui devant moi... et plus tout seul, dans un bouquin avec ta queue en mains comme tu le faisais ! Je veux ton bonheur et celui de ta bite ! Tu auras mon con autant que tu le veux... mais aussi celui de Clélia pour changer... et aussi le cul de Pat pour tes vices que j'adore !
- Mon amour ! C'est pareil pour moi ! Tu adores être pute. Pour ça il faut au moins deux hommes pour s'offrir au second pleine du sperme du premier... puis retourner au premier... Je suis à toi, mais je te donne aussi Pat et sa belle bite pour tes plaisirs. Et comme tu aimes aussi sentir des seins nus presser les tiens et que tu aimes boire à un con juteux. Je te donne en plus Clélia !
On est si heureux à nous deux... et si bien avec eux... Regardes les comme ils s'aiment en silence !... Ils nous écoutent !... J'aime cette connivence de nos deux couples !... Comme on jouit de tout à nous quatre !
Ce fut un merveilleux moment d'amour intense et très profond. Nous étions tous deux profondément amoureux de notre femme. Elles nous avaient donné toutes sortes de plaisirs et les avaient aimés avec nous. Nous avions tous deux aussi une maîtresse dans la femme de l'autre mais il était clair pour tous que ce n'était que pour le plaisir de nous quatre. L'amour vrai ne vibrait qu'au sein de chaque couple.
Ils étaient devenus bien plus que nos amis,... nos amants... Pas plus que nous ils ne demandaient d'amour en dehors de leur couple... Mais pour le plaisir !... Là nous étions tous les quatre à le rechercher et à le vivre avec les trois autres... Nous jouissions pleinement ensemble... à quatre... sans tabous. Les caresses et les unions étaient normales, homosexuelles ou lesbiennes et nous y participions tous. Nous étions amis mais la recherche du plaisir commun scellait cette amitié. Nous étions amants !
La journée fut à nouveau folle et pleine de plaisirs.
Après le déjeuner de midi, arrosé d'un bon petit vin, nous étions tous nus au salon, Clélia était nue dans mes bras et Sarah dans ceux d'André. Nous caressions doucement les seins de nos épouses et nos doigts couraient sur leurs cons. Nous étions paisibles et heureux nus à quatre. Tout à coup Sarah dit, pensive :
- Quel couple merveilleux vous formez vous deux !
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que... Ca ne vous fait aucun problème que l'autre ait un amant ou une maîtresse... Vous regardez l'autre s'accoupler et jouir avec quelqu'un d'autre et ça vous plaît... Et le plus rare c'est que vous vous offrez même l'un à l'autre de vivre des relations et des accouplements purement homosexuels. Et tout ça nous a sauvés nous !
En caressant les seins et le clitoris de Clélia nue dans mes bras je lui répondis :
- Pourquoi pas ! Nous nous adorons et avons une totale confiance l'un en l'autre. Mais je sais combien Clélia adore se faire sauter et combien elle aime d'autres bites dans son con. Quand je couche avec elle je ne la vois pas. Alors j'adore la regarder coucher avec un autre... regarder une belle bite danser dans son con.... voir son con assis sur de belles couilles, en sachant que toute la bite est dedans.... Je sais aussi qu'elle est gouine à ses heures, qu'elle aime la tendresse et la sensualité féminine... Elle ne peut pas sucer ses propres seins ou lécher elle même son sexe. Alors elle adore malaxer et sucer les seins d'une autre femme, plonger la langue entre les grosses lèvres du con de l'autre et la boire... Et elle adore se faire dévorer le con et l'anus par une amie. Elle adore exciter une femme et jouer avec elle !... Elle est si belle quand elle fait ça avec toi !... Ce sont toutes de vraies joies ! Pourquoi je l'en priverais ?... Et jamais nous n'allons seuls vers un tiers, nous vivons tout ensemble... Comme ça on peut s'y donner complètement et on ne se trompe pas l'un l'autre... C'est bien plus heureux que de le faire chacun de son côté et qu'elle me trompe avec André... ou avec toi !
- C'est vrai !... Et elle sait que tu aimes parfois baiser avec une autre femme !... Ou jouer avec tout le cul d'un homme... l'enculer... ou avoir sa belle grosse bite jouissante dans ton cul !
- Oui !... J'adore découvrir, caresser, sucer le même sexe que le mien entre les cuisses d'un autre !
- Au fond... Quand tu couches avec André c'est toi-même que tu aimes ?
- Non ! Pas moi-même !... Je découvre et j'aime un corps, un sexe et un cul proches des miens. Je les fais jouir... je les sens jouir !... C'est vrai que je me découvres moi-même en couchant sans frein avec André !... Peut-être qu'inconsciemment c'est ma bite que j'aime dans la sienne... Je ne sais pas... Non!... Je crois que c'est LA bite... Nos bites… Et puis celle d’André mon ami si intime avec qui je partage le plaisir !
- C'est fou ! C'est comme pour moi avec Clélia !... Ce n'est pas mon con que j'aime dans le sien, c'est Le con... Nos cons !... Comme pour nos seins... nos cuisses... tout ce que vous aimez en nous quoi !... Et tout ça j'aime le découvrir... Avec elle je me découvre moi-même!... Je découvre ce que vous aimez en moi... en nous.
- C'est très important !
- Tu parles !... Je suis même convaincue qu'on ne peut pas être une vraie maîtresse ou un vrai amant si on ne couche jamais avec quelqu'un de son propre sexe... on ne se connaît pas soi-même... on ne connaît pas le corps qu'on donne... et l'autre c'est pareil... il ne connaît pas le sien !
- Tu as raison !... C'est très enrichissant pour nous tous et on ne fait de mal à personne. On se donne l'un à l'autre de vivre des moments merveilleux... des découvertes extraordinaires de son propre corps et du corps de l'autre et on les partage totalement au sein du couple ! On les vit ensemble !
Sarah hésita puis ajouta :
- Il y a encore autre chose que je voudrais te dire... mais ce n'est pas facile de trouver les mots justes !... Tu sais... c'est bon d'être votre amant et maîtresse... d'être l'objet de vos plaisirs... André et moi on adore sentir combien vous aimez tous les deux nous avoir nus... d'être tous les deux l'objet de vos désirs sexuels...
- Vous aimez être des objets pour nous ?
- Oui !... J'adore sentir qu'André et moi on est vos poupées de plaisir !... vos putes... deux objets sexuels... que vous utilisez pour tous vos vices... même homosexuels... ou lesbiens... On adore subir votre sexualité et vos vices... et tout en connaître... et passer de l'un à l'autre... On s'est même dit André et moi qu'on aimerait que vous nous téléphoniez quand vous avez envie d'un couple, que vous nous disiez de venir tout de suite... et que vous nous payiez pour être vos deux putes... vos esclaves sexuels... entièrement dévoués à vos plaisirs. On aimerait aussi vivre chez vous et jouer le rôle de vos serviteurs dévoués... que vous nous obligiez à vous servir nus... jusque dans votre lit...
- Ca ressemble fort à une perte de votre personnalité tu sais Sarah !
Sarah éclata de rire et ajouta :
- Je l'attendais celle-là !... Non ! Ne t'en fais pas !... Il n'en est pas question !... Ce serait seulement juste un temps... pour nos plaisirs... un peu comme un jeu sexuel... C'est exquis d'être parfois un peu déviés pour le plaisir !
Je ris à mon tour et lui répondit :
- Tu as raison Sarah !... Je voulais seulement être sûr !... Vous êtes trop beaux pour qu'on vous abîme !... Même nous !... Mais on le fera alors puisque vous aimeriez ça ! On vous emploiera parfois comme de vrais objets de plaisir !... On vous commandera toutes sortes de choses, éventuellement même très intimes, et vous nous obéirez pour nous faire jouir... Et nous aussi parfois on sera vos serviteurs et vos objets de plaisir... Nous aussi nous aimons servir vos vices et être parfois vos choses que vous employez sexuellement !
C'est merveilleux de s'entendre et de se comprendre aussi bien à quatre !... Ce sera bon !... D'ailleurs on l'a déjà fait tantôt quand on vous a demandé de coucher entre hommes pour qu'on vous regarde faire !...
Elle se tut un moment, semblant rentrer en elle même et personne n'intervint.
Nous avions toujours nos femmes dans nos bras et leur caressions toujours tendrement les seins et le con. Elles massaient doucement nos queues. Puis Sarah reprit à mon égard :
- Tu sais... C'est très curieux... Nous couchons tous avec tous mais... on se sent couple en face de vous... Vous nous avez remis sur nos rails et je ne sais pas comment vous faites mais vous entretenez le couple en nous... Et on sent fort qu'avec tous vos désirs bisexuels vous aimez coucher avec un couple... c'est extraordinaire de répondre en couple à cette attente... vous avez les deux sexes entre vos cuisses... Et nous aussi... et nos deux couples s'accouplent... on couche... On jouit... ensemble... on passe d'un corps à l'autre... d'un sexe à l'autre... on s'accouple et jouit avec l'homme et la femme... haahhh c'est bon !
- Tu expliques bien Sarah !... On a tant de chance d'être deux couples unis et bi !... Avoue que c'est merveilleux de s'accoupler et de jouir entre couples.
- Oh oui !... C'est extraordinaire !... Tout faire ensemble... et passer d'un sexe à l'autre... Hein mon amour ?... J'ai l'impression d'avoir toujours été bi et de l'être pour toujours ! Toi pas ?
André lui répondit:
- Oui !... Moi aussi... Il a fallu du temps pour que j'ose l'exprimer... Je dirais même pour que j’ose l’accepter en moi ! Plus de temps que pour toi qui le vivais déjà comme jeune fille avec ta prof de français... Mais maintenant que ça s'est exprimé je ne pourrai plus m'arrêter !... Je crois que c'est vrai qu'on se découvre soi-même dans l'homosexualité... et que c'est même très important de coucher parfois avec quelqu'un du même sexe... Dans les bras de Pat je suis devenu un convaincu en tout cas !... Tu sais... je rêvais souvent que je couchais avec Clélia... Mais je t'avais quand même toi... Mais avec toi je n'avais pas d'homme et son beau sexe... ni le plaisir de te voir nue avec un homme... ou une femme...
- Tu rêvais secrètement d'un homme hein Chéri ?
- Oui !... Depuis mon adolescence... Je rêvais souvent en me masturbant de caresser une autre bite et des couilles... de sucer une bite... de perforer un beau cul mâle... ou d'être à poils à quatre pattes le sujet des désirs d'un beau mâle... avec sa bite loin dans mon cul. Avec vous trois j'ai tout trouvé... l'exquise épouse, la maîtresse et l'amant... et nous partageons tout ensemble ! On a tant de chance !
- Tu vois chéri ! Tu étais bi déjà bien avant moi ! Tu l'es depuis le développement de ta sexualité.
- C'est merveilleux de pouvoir l'être avec toi !
- Pour moi aussi tu sais ! Pouvoir découvrir et aimer Clélia devant toi !... J'ai une telle chance de t'avoir pour mari !... Mon homme !
J’intervins alors :
- C'est vrai... On a tant de chance de nous être rencontrés... Deux couples très unis... Mais pour le plaisir nous sommes deux couples qui s'accouplent... Souvent les sexes se complètent, la bite d'un couple dans le vagin de l'autre couple... Mais régulièrement aussi les sexes semblables s'accouplent, un con se frotte à l'autre, une bite se frotte à l'autre, les quatre seins s’épousent. En fait nos deux couples sont comme deux amants ! Ils se retrouvent et vivent ensemble dans le plaisir.
Clélia, en poignant dans ma bite, prit subitement la parole alors qu'elle s'était tue jusque là :
- Vous savez... on a une chance folle ! Des parties carrées entre couples il y en a beaucoup qui le font. Souvent les hommes poussent leurs femmes à vivre l’amour au féminin devant eux quand ils n'en peuvent plus... et beaucoup le font... Mais c'est très rare que les hommes osent être homos entre eux, malgré leur envie... surtout devant leurs femmes... Ou alors ils le font finalement loin des femmes. Ils se retrouvent et font enfin l'amour entre hommes quand elles sont en vacances loin d'eux !... Et nous on a deux hommes merveilleux qui peuvent danser bouche à bouche à poils ensemble près de nous... quand la danse n'est pas bite à cul... et devant nous !
André rit et lui répondit :
- Mais vous nous y poussez merveilleusement ! C'est exquis tu sais pour nous d'être poussés par nos femmes à coucher entre hommes !
Clélia rit et ajouta :
- On doit vous y aider un peu ?... En fait c'est peut-être normal ! Vous avez peut-être finalement plus difficile à démarrer entre hommes que nous entre femmes !... Mais on adore ça ! Tu sais, c'est bien plus merveilleux d'avoir dans nos cons des vrais mâles libérés dont on connaît et se délecte de tous les vices. Alors on se sent vraiment vos putes en dessous de vous... de l'un comme de l'autre !
Sarah ajouta elle aussi :
- C'est vrai !... On a tant de chance !... Vous devrez toujours faire librement l'amour entre vous devant nous les hommes !... On adore ça autant que vous adorez nous voir nous gouiner à nous deux !... En fait c'est même le domaine où nos deux couples peuvent le plus s'apporter ! Dans nos couples on a l'autre... et c'est merveilleux !... Ca nous comble même tous les quatre ! Mais on est tous bi !... On a tous besoin d'avoir de temps à autre un corps du même sexe nu dans les bras... et pour ces accouplements là il faut l'autre couple !
Je lui répondis :
- C'est tout à fait vrai !... C'est merveilleux de coucher avec toi Sarah !... Surtout devant Clélia et André ou de les regarder s'accoupler et jouir ensemble... mais Clélia me comble déjà autant qu'André te comble !... Par contre toi André... La belle masse sexuelle qui pend entre tes jambes je ne la trouve pas chez Clélia... ni tes fesses mâles et ton merveilleux anus... ni ta belle grosse bite jouisseuse dans mon cul !... et nos femmes ne trouvent pas chez nous la douceur de deux beaux seins ni un con juteux entre nos cuisses!
Sarah reprit :
- Voilà qui est bien dit !... Quand les femmes auront besoin de boire le jus d'un con ou que les hommes auront besoin d'une belle bite on se le dira et on se réunira pour faire la fête !... Son but avoué entre nous sera la fête homosexuelle... et lesbienne... Bien sûr, parsemée d'unions plus normales !... Ne crois pas Pat que je n'ai plus envie de ta bite dans mon con ni que celui de Clélia ne veut plus de celle d'André!... Mais je veux dire... là où l'autre couple nous apporte le plus c'est dans l'homosexualité !... et on en a tous besoin !... Là notre union est une vraie richesse ! Nous nous y apportons tous beaucoup l'un à l'autre et sans tabous ! Nous devons tous le garder bien en tête. Le but de nos réunions doit être bi avec prédominance homo/lesbien ! Nous devons donc toujours vivre pleinement nos accouplements homos et lesbiens quand on est à nous quatre. Vous ne trouvez pas ?
Clélia éclata de rire :
- Tu es vraiment catégorique ma Sarah d'amour!... Mais je suis entièrement d'accord avec toi ! Même si un jour nos réunions n'étaient plus qu'homosexuelles, elles nous apporteraient tous encore !... Mais je ne voudrais pas les continuer longtemps si on n'y faisait plus qu'y croiser nos couples !... Et vous les hommes ? Vous êtes d'accord aussi ?
Dans un bel ensemble on approuva André et moi et j'ajoutai :
- Moi je ne serais pas aussi catégorique que toi Sarah. Je jouis profondément avec toi aussi et ce plaisir je le reçois autant de toi que de Clélia qui nous regarde. Pour moi c’est tout le bonheur que nous nous apportons tous les quatre qui compte. Maintenant si la bisexualité était interdite entre nous c’est sûr qu’on y perdrait tous beaucoup… Mais quel chemin on a déjà fait ensemble !... Et ça promet encore bien des plaisirs !
Puis André ajouta à son tour :
- Oui !... Je crois que nos quatre corps nus vont encore beaucoup se connaître, s'accoupler et jouir ensemble en toute liberté !
La petite main de Clélia courait sur ma bite raide. Je regardais la main de Sarah presser convulsivement la belle queue d'André pour en éprouver la fermeté. Elle était grosse et raide. Je fis lever Clélia de mes genoux et me relevai aussi. Puis j'entraînai ma merveilleuse petite épouse nue vers André et Sarah et les fis lever eux aussi. Je serrai les trois corps nus dans mes bras et leur dit :
- Si on mettait tout ça en pratique?... Les femmes embrassez vous en gouines dans nos bras ! Nous André on les enlace et on les caresse partout pendant ce temps !
Elles s'enlacèrent nues l'une à l'autre dans les bras de leurs maris et leurs jolies bouches se soudèrent. Elles frottaient exquisément leurs seins et leurs ventres moussu l'un à l'autre. Leur baiser dans nos bras fut long, tendre et enjoué... Passionné par moment... Leurs amours lesbiens étaient comme abrités dans les bras amoureux de leurs hommes. Puis elles se séparèrent et Clélia nous dit :
- Nos hommes maintenant !... Embrassez-vous aussi ! Nous on les caresse Sarah et on leur met à tous les deux un doigt dans le cul !
André et moi on s'enlaça nus dans les bras de nos femmes nues. Dans nos deux culs glissaient deux petits doigts très agiles et savants, un doigt de chacune. Bouche à bouche nous nous aimions entre hommes dans les bras de nos femmes amoureuses. Quelle découverte ! Comme elles nous aimaient même dans nos vices !
Quand on se sépara je leur dis :
- C'est merveilleux !... Vous n'avez pas envie maintenant d'aller mélanger nos deux couples nus dans notre lit ? On respectera bien sûr les grands principes homosexuels édictés par Sarah, mais toutes sortes de mélanges sont possibles !
André répondit :
- Oh oui alors !... Mais je dois d'abord pisser !
Clélia fit des petits bonds sur place :
- Laisses moi t'aider ! J'aime ça !
- On aime tous ça ! Ajouta Sarah
- Alors tous dans le bain !... Il va pisser sur nous !
On se précipita tous dans la salle de bains. Les deux femmes et moi on s'installa dans le bain et André en approcha la pine en mains. On attendit un moment puis tout à coup le jet sortit de sa pine et éclaboussa nos corps nus, courant sur leurs cons, leurs seins et sur moi. Quand il se tarit Clélia passa les mains sur sa poitrine puis sur celle de Sarah pour tout bien étaler.
Maintenant à toi Pat !
Je fis de même et pissai longuement sur Clélia, Sarah et André, visant les seins et les trois sexes. Puis ce furent les deux femmes. Nous regardions tous avec passion le con ouvert et le jet qui en jaillissait sur nous. On se releva tous les quatre entièrement trempés.
Je leur dis:
- Ce serait bon de rester comme ça pour s'aimer !... Vous voulez une douche les femmes ?
- Oh tu es vicieux Pat ! Non !... Pas de douche !... Hein Clélia ?... Si vous nous voulez comme nous sommes vous êtes de vrais salauds mais on adore ça toutes les deux !
Et André ajouta :
- Oh oui alors !
Tous les quatre on courut vers le lit et on s'y enlaça tous. Il était maintenant admis que la bisexualité régnerait en maîtresse avouée entre nous tous, mais nous avions tous une immense envie de jouir au ventre et des intentions bien sexuelles vis à vis des trois autres, hommes et femmes.
On se mélangea follement toute la journée nus à quatre et sans réserve. Le grand principe de l'apport homosexuel fut largement respecté, tant entre hommes qu'entre femmes mais il fut constamment agrémenté de caresses, de baisers et d'unions plus traditionnelles, Nous découvrions également fort bien nos corps en regardant l'autre s'accoupler. Et puis nous étions tous bi! Tous nous plaisaient !
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