Examen médical très coquin
Récit érotique écrit par Pascal le réveur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2012 dans la catégorie A dormir debout
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Examen médical très coquin
Nous avons, ma femme Sylvie, et moi, le même médecin.
Une Femme superbe, la soixantaine, blonde, toujours en chignon, souvent en jupe, bas et talons, et toujours très élégante. Nos visites se déroulent tout le temps de la même façon.
Nous attendons en salle d'attente, seuls, car nous prenons systématiquement le dernier RDV de la journée. J'en profite pour faire des photos coquines de Sylvie, toujours vêtue de la même façon. Bas, escarpins à talon aiguille, et, parfois, pas de culotte.
Lorsque Claire, notre Médecin vient nous chercher, nous passons, tous les deux, dans son bureau.
Mon épouse se dévêt la première et s'allonge, nue, mais en gardant ses bas et ses chaussures, sur la table de gynécologie. Pendant ce temps, Claire et moi même discutons de chose et d 'autre. Dés que mon épouse est allongée, ses jolies jambes ouvertes, son sexe parfaitement épilé offert, Claire la rejoint dans la partie examen.
Je la suis naturellement, tout en continuant à discuter. J'assiste à l'examen, prenant toujours autant de plaisir à voir la jolie chatte de ma femme dilatée par un spéculum transparent et Claire, les jambes écartées pour être au plus prêt d'elle, blouse ouverte et la jupe souvent remontée au delà de ses bas. Pour conclure l’examen, Sylvie se lève, enlève ses escarpins et se pèse, toujours nue, hormis ses bas. Elle annonce son poids puis se rhabille.
En général, je prends des photos durant l'examen à l'aide de mon portable, discrètement. Je pense que Claire n'est pas dupe, mais jusqu'ici, elle n'a jamais fais de remarque.
Vient mon tour. Je me dévêt sauf mon slip, et me pèse. Claire entre alors tandis que Sylvie sort. Elle n'a jamais voulu assister à l'examen, je ne sais pourquoi. Dans un sens, cela me convient car je ne sais si Claire agirait ainsi devant Sylvie. Après les examen de routine, Claire de demande de poser mon slip puis me fait allonger, les jambes largement ouvertes dans les étriers. Elle se met à ma droite, me tournant légèrement le dos, met une jambe sur un petit tabouret le long de la table et pose son stéthoscope sur ma poitrine de la main gauche. Sa blouse, jamais boutonnée, s'ouvre et j'ai souvent une jolie vue sur sa jupe, remontée à la limite de ses bas, et un escarpin, souvent à talon haut et semelle plateau. Comme par hasard, sa main droite repose toujours sur ma verge sur laquelle elle exerce de légères pressions, ce qui, immanquablement, me fait bander. Dés que l'érection commence, sa main descend très doucement, entraînant le prépuce. Elle s'arrête quand ma verge est tendue comme un arc, le gland découvert au maximum. Du bout des doigts elle masse alors mes testicules, tout en continuant ses pressions. Durant ce moment, j'ai remarqué que la pointe de ses seins se tend sous ses chemisiers de soie ou ses pulls de cachemire.
Cela dure toujours plusieurs minutes, durant lesquelles Claire continue à parler de la pluie et du beau temps. Assise à moins de trois mètres dans la pièce à coté, Sylvie, à qui je raconte toujours tout, sait parfaitement ce qui se passe. En général, j'éjacule sans bruit, tandis que Claire continue à me branler. Dès qu'elle m'a fait gicler, Claire passe entre mes jambes et m'examine longuement la prostate. Elle ne fait jamais mal et parvient souvent à me faire rebander. Je crois même qu'elle y prends un malin plaisir. Puis elle me sourie, déclare que j'ai une prostate de « gamin » et des érections d'ado, m'essuie et passe dans son bureau de l'autre coté de la cloison comme si de rien n'était. Il ne me reste qu'à me rhabiller après m'être essuyé.
Mon fantasme est, qu'un jour, Claire me fasse une fellation. J'imagine ma verge dans sa jolie bouche, ma semence la remplissant. Je voudrais passer ma main sous sa jupe pour découvrir, peut être, qu'elle ne porte pas de culotte et, qu'elle aussi, est entièrement épilée. J'aimerai prendre à pleines mains ses seins généreux dont je vois la pointe « percer » ses pulls de cachemire quand elle me masturbe. En général, Sylvie et moi baisons dés notre retour à la maison, située à quelques dizaines de mètres seulement. Bizarrement, Sylvie est toujours « trempée » et ça n'est pas le gel.
Plusieurs fois, elle m'a proposé d'inviter notre jolie Médecin, veuve, à prendre l'apéritif. J'ai toujours dis non. Et pourtant, je rêverai de faire l'amour à ces deux jolies femmes en même temps. Mais je préfère rester dans mes fantasmes...
Une Femme superbe, la soixantaine, blonde, toujours en chignon, souvent en jupe, bas et talons, et toujours très élégante. Nos visites se déroulent tout le temps de la même façon.
Nous attendons en salle d'attente, seuls, car nous prenons systématiquement le dernier RDV de la journée. J'en profite pour faire des photos coquines de Sylvie, toujours vêtue de la même façon. Bas, escarpins à talon aiguille, et, parfois, pas de culotte.
Lorsque Claire, notre Médecin vient nous chercher, nous passons, tous les deux, dans son bureau.
Mon épouse se dévêt la première et s'allonge, nue, mais en gardant ses bas et ses chaussures, sur la table de gynécologie. Pendant ce temps, Claire et moi même discutons de chose et d 'autre. Dés que mon épouse est allongée, ses jolies jambes ouvertes, son sexe parfaitement épilé offert, Claire la rejoint dans la partie examen.
Je la suis naturellement, tout en continuant à discuter. J'assiste à l'examen, prenant toujours autant de plaisir à voir la jolie chatte de ma femme dilatée par un spéculum transparent et Claire, les jambes écartées pour être au plus prêt d'elle, blouse ouverte et la jupe souvent remontée au delà de ses bas. Pour conclure l’examen, Sylvie se lève, enlève ses escarpins et se pèse, toujours nue, hormis ses bas. Elle annonce son poids puis se rhabille.
En général, je prends des photos durant l'examen à l'aide de mon portable, discrètement. Je pense que Claire n'est pas dupe, mais jusqu'ici, elle n'a jamais fais de remarque.
Vient mon tour. Je me dévêt sauf mon slip, et me pèse. Claire entre alors tandis que Sylvie sort. Elle n'a jamais voulu assister à l'examen, je ne sais pourquoi. Dans un sens, cela me convient car je ne sais si Claire agirait ainsi devant Sylvie. Après les examen de routine, Claire de demande de poser mon slip puis me fait allonger, les jambes largement ouvertes dans les étriers. Elle se met à ma droite, me tournant légèrement le dos, met une jambe sur un petit tabouret le long de la table et pose son stéthoscope sur ma poitrine de la main gauche. Sa blouse, jamais boutonnée, s'ouvre et j'ai souvent une jolie vue sur sa jupe, remontée à la limite de ses bas, et un escarpin, souvent à talon haut et semelle plateau. Comme par hasard, sa main droite repose toujours sur ma verge sur laquelle elle exerce de légères pressions, ce qui, immanquablement, me fait bander. Dés que l'érection commence, sa main descend très doucement, entraînant le prépuce. Elle s'arrête quand ma verge est tendue comme un arc, le gland découvert au maximum. Du bout des doigts elle masse alors mes testicules, tout en continuant ses pressions. Durant ce moment, j'ai remarqué que la pointe de ses seins se tend sous ses chemisiers de soie ou ses pulls de cachemire.
Cela dure toujours plusieurs minutes, durant lesquelles Claire continue à parler de la pluie et du beau temps. Assise à moins de trois mètres dans la pièce à coté, Sylvie, à qui je raconte toujours tout, sait parfaitement ce qui se passe. En général, j'éjacule sans bruit, tandis que Claire continue à me branler. Dès qu'elle m'a fait gicler, Claire passe entre mes jambes et m'examine longuement la prostate. Elle ne fait jamais mal et parvient souvent à me faire rebander. Je crois même qu'elle y prends un malin plaisir. Puis elle me sourie, déclare que j'ai une prostate de « gamin » et des érections d'ado, m'essuie et passe dans son bureau de l'autre coté de la cloison comme si de rien n'était. Il ne me reste qu'à me rhabiller après m'être essuyé.
Mon fantasme est, qu'un jour, Claire me fasse une fellation. J'imagine ma verge dans sa jolie bouche, ma semence la remplissant. Je voudrais passer ma main sous sa jupe pour découvrir, peut être, qu'elle ne porte pas de culotte et, qu'elle aussi, est entièrement épilée. J'aimerai prendre à pleines mains ses seins généreux dont je vois la pointe « percer » ses pulls de cachemire quand elle me masturbe. En général, Sylvie et moi baisons dés notre retour à la maison, située à quelques dizaines de mètres seulement. Bizarrement, Sylvie est toujours « trempée » et ça n'est pas le gel.
Plusieurs fois, elle m'a proposé d'inviter notre jolie Médecin, veuve, à prendre l'apéritif. J'ai toujours dis non. Et pourtant, je rêverai de faire l'amour à ces deux jolies femmes en même temps. Mais je préfère rester dans mes fantasmes...
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