Examen profond de ton petit cul vierge
Récit érotique écrit par Cococharlotte5 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Examen profond de ton petit cul vierge
Il est 13h30 ce vendredi midi et je suis libre dans une heure et demi. Un beau week end s’annonce pour moi.
Nous sommes en juillet et il fait très chaud. Ce midi 33 degrés. La climatisation n’est pas de rigueur et nous créons des courants d’air comme nous pouvons afin de nous rafraîchir tant bien que mal.
Mes petits cheveux blonds sont collés sur mon front et tout autour des petites mèches s échappent de ma couette, qui se termine par une longue tresse blonde plus claire avec des reflets or, qui tombe jusqu’ en bas de mon dos.
Je suis grande et plutôt mince. J’ai des formes. Une poitrine généreuse et des fesses musclées. Souvent on me dit que je fais très jeune.
J’ai mis un t shirt en coton rose sous ma blouse, je n’ai pas mis de soutien gorge, il fait bien trop chaud et mes petites pêches bien fermes tiennent bien toutes seules. Je porte mes baskets roses claires, des petites chaussettes ainsi qu’une culotte tanga taille haute.
_ Je ne me sens pas très bien , j’ai mal au ventre. Je vais dans la dernière chambre du personnel, où il y a le lit. Tous les soins sont fait, je ne vais pas y rester longtemps, dis je à ma collègue.
J’entre dans la chambre. Je pose mon sac et mon téléphone sur la chaise. La pièce est de taille moyenne, il y a un bureau, un lit médicalisé et une chaise. Du matériel pour des soins et des médicaments sont rangés dans une armoire.
Il fait assez sombre, le soleil brille dehors les volets sont très légèrement ouverts.
La porte fenêtre est entrebâillée, on entend les cigales dehors.
Il fait surtout très chaud et je retire ma blouse et me retrouve en t shirt et culotte. J’ai chaud mais je n’aime pas rester la poitrine nue, on ne sait jamais qui pourrait arriver.
Je me couche dans le lit et me tourne face au mur. Je me recroqueville et essaie de me détendre et pense à autre chose .
J’imagine le week end, je vais aller à la plage, l’eau est à une température idéale en ce moment. Ça rafraichit pas mal.
Le soir avec ma voisine, nous allons à la plage en marchant, nous partons avec notre string de bain, une robe transparente de plage et une serviette. Une fois arrivées, nous retirons nos robes afin de nous baigner en string, l’eau fraîche est bonne sur notre peau, elle nous fait du bien. Mes tétons durcicent rapidement au contact de l’eau, et j aime les sentir sans bout de tissu pour les protéger. Nous restons au bord de l’eau, allongées à la lisière des vagues, côtes à côtes, à nous raconter des histoires coquines.
_ Charlotte, ça va ?
La voix du docteur P me fait sursauter. Perdue dans mes pensées pour oublier mon mal de ventre, je ne l’ai pas entendu rentrer. Heureusement que je me suis glissée sous le drap. Je tourne ma tête de l’autre côté et le regarde.
_ Oui ça va, mais ne t’inquiétes pas. C’est Dua qui t’a dit que j étais là ?
_ Oui elle est inquiète, dis moi ce que tu ressens.
Je ressens surtout de la gêne d’être allongée devant lui. Je n’ai pas envie d’être dérangée, même par lui.
_ Ne t’inquiète pas, va manger, ça va passer.
_ Non non j’insiste, dis moi ce que tu as, on travaille ensemble tous les jours et il est normal que je m’inquiète pour toi.
Il est là planté devant moi.
Je craque un peu pour lui, j’avoue. Je fantasme parfois sur lui lorsqu’il parle.
En réunion, je le regarde dans les yeux et m’imagine en train de lui tailler une pipe, bien profondément dans ma gorge, puis m’arrête rapidement car je me dis souvent que s’il avait le pouvoir de lire dans les pensées, je serai trop gênée.
Il est assez grand, la cinquantaine, pas le physique parfait, mais avec son charme. Il a l’air assez musclé.
La première fois que je l’ai vu, je me suis dit qu’il était très banal et pas top, mais en le côtoyant tous les jours, finalement je le trouve craquant par sa gentillesse, sa simplicité et son charme. Je me suis quand même dit qu’il ne devait pas être méchant au lit, pas du tout le profil du prédateur.
Ce matin je l’ai vu arriver en voiture derrière le bâtiment, je l’ai regardé descendre de sa voiture. Je l’ai trouvé quelconque et attirant à la fois.
_ Bon puisque tu insistes, j ai mal au ventre.
_ Tu sais pourquoi ?
_ Non je ne sais pas d’où ça pourrait venir.
_ Es tu stressée en ce moment ?
_ Oui un peu, mais je ne pense pas que ça puisse venir de ce côté là.
_ Tu sais le côté mental est très important et il ne faut pas le négliger. Tu travailles beaucoup, tu arrives à prendre du temps pour toi, pour te reposer ?
_ Non, pas souvent et encore moins ces derniers temps, mais je ne pense pas que ça vienne de la, j’ai juste besoin de m’allonger, et ça ira mieux je pense.
_ Si tu veux mon avis de médecin, je pense que tu devrais vraiment essayer de te détendre et je peux te proposer quelques soins ainsi qu’une séance de relaxation afin de voir si ton mal de ventre s’atténue. J’ai un peu de temps.
Avec un petit examen tu es fixée.
Je rie et me retourne face au mur. Je suis affolée dans ma tête, il me propose de s’occuper de moi. Je ne vais jamais pouvoir me détendre, ça serait le fantasme.
Et de quels soins parle t il ? Je ne sais comment réagir.
Je suis flattée et je ressens l’envie de me laisser aller un peu, il va certainement me masser les épaules et la nuque je ne risque rien après tout.
Mais je suis tellement timide que je n’ose plus bouger et je constate que lui non plus ne bouge pas. Je sens son regard posé sur moi.
_ Que préfères tu Charlotte ? Que je t’aide à te décontracter ou que je m’en aille ?
Je vois tes petites joues rosir.
Si tu veux , tu peux me dire de partir et je prendrais de tes nouvelles plus tard ou bien si tu ne réponds pas je prendrai cela pour un oui. Son ton change, il est bienveillant et directif à la fois.
Je comprends que le moment est important, et je panique. Je suis en folie.
Est ce que je me laisse aller ou bien je lui demande de partir ?
Je sais que chaque seconde qui passe sans un son émis de ma bouche me rapproche un peu plus de faire plus ample connaissance avec lui.
Je sens sa main se poser sur ma nuque et une autre caresser mes cheveux.
Ça me fait à nouveau sursauter légèrement.
_ Prends ton temps pour me répondre, tu peux me demander de partir à n’importe quel moment ne l’oublie pas.
Je vais monter le lit pour que tu sois à ma hauteur. Car tant que tu ne me demandes pas d’arrêter, tu deviens ma patiente et tu dois te soumettre aux examens et aux traitements que j’aurai jugé nécessaire.
Ces paroles m’électrisent et je sens mon corps contracter.
Le lit se stoppe et je suis à la portée de ses mains, il est debout derrière moi. Il serre doucement la base de ma couette et me susurre à l’oreille: _ Tu vas bien m’écouter et faire ce que je te dis et je t’assure que ton mal de ventre va disparaître.
Je te vois depuis un moment, tu es fatiguée, tu n’as plus de mec depuis un bail, ta manière de me regarder, de me parler et de tortiller des fesses innocemment quand tu sais que je te regarde.
Tu me cherches me semble t-il. Sache que lorsqu’on me cherche, on me trouve et généralement on s’en souvient.
J’ai maté les photos de ton insta CocoCharlotte5. J’ai eu mal à l’entrejambe un petit moment après.
En me disant cela il serre de plus en plus mes cheveux et sa seconde main descends et caresse mes fesses sous le drap sur ma culotte.
_ Je rêve de m’occuper de toi depuis un petit moment, tu es magnifique. J’adore ton petit côté espiègle et il est temps pour toi de payer tes petites blagues et clashs que tu nous fait au quotidien.
Tu me fais rire tous les jours, mais là j’ai envie de te montrer mon côté plus énervé.
Je ne sais plus quoi penser et j’ai envie de me tourner pour me dégager de sa main posée sur ma tête. Il m’appuie la tête contre l’oreiller en me serrant toujours les cheveux et m’attrape un bras que je bougeais.
_ J aime que mes patientes soient dociles et courageuses. Je n’aime que les cris de petite chatte.
Je sais comment te soulager. Je vais éteindre ce petit feu qui commence à naître en toi, plus particulièrement entre tes cuisses et tu te sentiras beaucoup mieux après.
Mes joues virent au rouge, je ne sais plus quoi penser ni où me mettre.
Bizarrement je ne lutte pas comme je l’aurai pensé et me laisse faire en fondant progressivement de désir de découvrir la suite.
Je me retrouve sur le ventre, un gros coussin est sous mon bassin, mes fesses sont relevées sous ses yeux. Le drap est au pieds du lit. Je porte toujours mon t shirt rose et ma culotte blanche.
Je meurs de honte de savoir qu’il est en train de me regarder. Je ne peux pas bouger. Le massage de la nuque et des épaules est loin de ce que je me suis imaginée.
_ Tu es magnifique dans cette position. Tu as l’air si fragile et tu es si belle. J’ai déjà maté ton cul, mais sous la blouse ça ne rend pas la même chose. Je vais te faire du bien tu vas voir. Ça devrait te soulager.
Je remue mes fesses car je n’ai pas envie qu’il me fasse quoi que ce soit, j’ai peur d’avoir mal.
_ Ne bouge pas, tu es entre mes mains désormais, je vais bien m’occuper de toi.
Je sens ses mains se poser sur le bas de mon dos, puis descendent sur les bords de ma culotte. Il effectue ses gestes lentement.
_ Hum j ai tellement hâte de découvrir ce qu’il se cache sous cette petite culotte, et plus particulièrement entre ces magnifiques petites pêches.
J’essayais de me débattre car je ne voulais pas qu’il me voit les fesses nues.
Il me sert encore plus les poignets dans mon dos avec sa main et appuit ses jambes sur les miennes.
_ Plus tu bouges, plus tu auras mal. Je te conseille de te détendre plutôt.
Je gesticule encore plus et il continue à me regarder.
_ Pas de problème pour moi, tu me fais bander rien qu’en regardant ton cul remuer en petite culotte, alors te voir essayer d’échapper à ton traitement, m’excite encore plus. Si tu préfères le passage en force, pas de soucis pour cette méthode, je n’en serai que plus dur.
Ses paroles me procurent des sensations uniques. La peur et l’envie.
Je ne pouvais de toutes manières pas beaucoup bouger. Je me dit que si je me contracte bien fort, il n’insistera pas .
Je sens ses mains empoigner les bords de ma culotte, puis je sens le tissu glisser progressivement. J’enfoui bien loin ma tête dans l’oreiller, je ne peux pas croire ce qu’il se passe. Il va exposer mon intimité à son regard.
Je suis encore plus meurtrie par la honte, il me coince, je ne peux pas bouger et il va pouvoir m’observer à sa guise.
Il s’arrête au commencement de la raie de mes fesses, puis fais remonter ses mains à plat, du bas de mon dos, en remontant sous mon t shirt vers ma nuque.
_ Tu as chaud ma belle, j’aime sentir ta peau moite, surtout quand je m’apprête à baisser entièrement ta culotte jusqu’en bas de tes fesses. Ta Respiration s’accélère. Tu vas avoir encore plus chaud je te préviens mais c est pour ton bien. Détends toi un peu et pense à bien respirer, si tu m’écoutes, tout va se dérouler à merveille.
Il se penche complètement sur moi, il avait laché mes poignets, et ses mains glissaient sur ma peau. Il me chuchota à l oreille: _ J’ai toujours adoré une chose chez toi, tes petites pêches, je peux les observer lorsque nous faisons des réunions.
L’été lorsque tu mets un débardeur et que ta blouse est large, en te penchant je peux observer ton décolleté. Je les imagine magnifique et j aurai l’occasion de les observer tout à l heure.
Ses mains se rapprochent de ma poitrine et il saisit mes seins entre ses mains.
_ Ils sont doux et tendus. Par contre ce que je ne connais pas encore ce sont ces petits tétons qui se cachent bien.
Je lui attrape les poignets, mais ma force est beaucoup trop insuffisante, je réussis seulement à lui serrer légèrement pour lui.
Il est en position de force, je ne peux pas bouger.
Il rapproche le bout de ses doigts vers mes petites pointes qui commençent à me faire mal.
_ Hum ils sont en train de se durcir, j’aime ça, je vais les aider.
Je vais mettre ma cuisse entre tes jambes pour te maintenir. Si tu en as envie tu peux commencer à te frotter dessus.
En même temps qu’il me parle il me tripote les tétons, me les caresse, joue avec, en me les pinçe un peu.
Il respire dans mon cou et me force à rester plaquée contre le lit.
Je ne bouge pas le bassin mais je sens dans ce qu’il me restait de culotte à demi baissée que ça commençe à être un peu mouillée. Je ne veux surtout pas qu’il s’en aperçoive.
Au bout de quelques minutes ou je me forçe littéralement à ne pas faire aller mon bassin et commencer à me frotter sur sa peau et sur le coussin, je sens des spasmes dans mon vagin qui me font de plus en plus mal, j’aimerai tant avoir quelque chose en moi pour me soulager, je ne tiens plus. J’ai envie qu’il arrête, c’est comme un supplice. Mes tétons commencent à me brûler.
_ Tu résistes, c est bien. J’aime cette transition qui va arriver. Tout à l’heure c’est toi qui me demandera de te faire ce que j’ai prévu pour ton petit cul. Cette transformation de la fille timide et gentille à la petite chatte qui se frottera en gémissant.
Il lache mes tétons qui libèrent une petite douleur vive au début, puis se relève et se replace derrière moi en attrapant mes poignets fermement d’une main. Il les attache l’une à l’autre à l’aide d’une petite corde.
Ses deux mains empoignent à nouveau ma culotte et terminent de faire descendre le tissu d’une lenteur incroyable, ce qui commence à créer chez moi de nouvelles sensations. Un mélange de honte et de petite envie qui commence à arriver.
Je m’aperçois que je commence à bouger très légèrement mon bassin sur le coussin.
Le docteur P s’arrête aussitôt, il était juste au dessus de mon intimité. Il me regarde.
_ Et bien, je vois que tu commences à remuer tes petites fesses. C est bien, tu te détends. Il est temps.
Il fait à nouveau descendre le tissu et cette fois plus rapidement, jusqu’en bas des genoux.
Cela me surprend et je n’ai pas le temps de réaliser que ça y est il me vois entièrement, et qu’il a une vue plongeante sur le fond de ma petite culotte.
Il n’en perd pas une miette et m’observe en silence.
_ Tu es magnifique, et je vois que tu as mouillée le fond de ta culotte. Ce n’est pas digne d’une fille sage.
Je vais devoir t’apprendre à être excitée en consultation médicale.
Il écarte légèrement mes fesses à l’aide de ses mains. Je frissonne et la chair de poule m’envahît. Mon vagin me fait encore d’avantage mal, je me frotte de plus en plus.
Le traitement infligé à mes seins a fait son effet et je commence à avoir la tête qui tourne, mes pensées s’entremêlent à mes sentiments. De désir et de honte. Pourquoi je me retrouve ici, à me frotter sur un coussin, culotte baissée devant lui ?
Je m’interroge et je passe d’un sentiment à un autre.
Je pensais qu’il était trop gentil, mais je m’aperçois que pas tant que ça.
Et cet aspect de sa personnalité m’attire et me donne envie d’en découvrir un peu plus. Le fait de le voir passer du gars gentil et simple au médecin directif et coquin m’excite j ai l’impression.
J ai du mal à supporter le fait qu’il m’observe et me touche sans parler. J’ai honte mais je me frotte un peu plus. Je ne comprends plus rien et ne me reconnais pas.
_ Je vais t’administrer le premier traitement, je te le répète tu dois te détendre et tout se passera bien. Si tu bouges, j’irai un peu plus vite à chaque fois, donc c’est toi qui decide.
Il m’écarte les fesses à l’aide des doigts d’une main et me passe du gel lubrifiant sur l’anus. Le contact de son doigt touchant mon intimité et le froid fait que je me contracte encore plus.
_ Tu peux te serrer comme tu veux ma petite chérie, tu vas devoir accepter ce qui t’attend. Respire. Je me tend encore plus.
Je sens une petite pointe à l entrée de mon anus, qui glisse tout doucement à l’intérieur. Il est en train de me mettre un suppositoire.
Il entre délicatement et entièrement. Cela m’occasionne seulement une légère gêne.
Puis il marque un temps d’arrêt lorsque le bout de son doigt touche mon anus.
_ Est ce que quelqu’un a déjà exploré cet orifice de ton corps ?
Je me débats. Il rit et serre encore un peu plus ses mains sur mes poignets.
_ C’est bien ce que je pensais. Je vais être doux pour cette première fois. Respire.
Il se pencha sur moi et d’une main attrapa mon cou et commença à serrer ma gorge , ce qui me provoqua un léger étourdissement dans ma tête.
A cet instant, il insért le bout de son doigt doucement et progressivement. Je tente de remuer mais je suis prisonnière.
_ Ne cherche pas à lutter ma belle, le suppositoire va servir à te décontracter pour après, mais il faut que je te l’enfonce bien au fond de tes petites fesses, laisse toi aller, tu vas aimer.
Et son doigt continue d’avancer, je sens mon anus s’ouvrir progressivement. Je n’aime pas qu’il regarde mon visage durant cette pénétration, je n’ai pas le choix, il me tient à la gorge.
Je suis comme dans un nuage de coton à cause de l’étourdissement, je sens son souffle sur ma peau, je sens le mélange d’envie et de honte . J’ai envie de découvrir pour la première fois ce que cela procure comme sensations de recevoir quelque chose entre ses fesses. Je n’ai pas le choix, j’ai peur et surtout je ressens une douleur qui monte progressivement en parallèle de mon envie.
Je ne sais pas ce que je vais découvrir mais j’en ai terriblement envie et je culpabilise de ressentir ces sentiments.
_ Je vais passer ma phalange, tu vas pouvoir commencer à bien me sentir, et je vais ensuite aller jusqu’au fond de ton cul.
J’essaye d’avancer mon bassin le plus loin de lui afin d’essayer d’échapper à cet examen douloureux mais je suis bloquée par le coussin. Je retiens mon souffle. Il me serre plus fort la gorge, attend quelques instants que ma tête me tourne et je sens la deuxième partie de son doigt commencer à forcer mon anus.
#i Cococharlotte5
Nous sommes en juillet et il fait très chaud. Ce midi 33 degrés. La climatisation n’est pas de rigueur et nous créons des courants d’air comme nous pouvons afin de nous rafraîchir tant bien que mal.
Mes petits cheveux blonds sont collés sur mon front et tout autour des petites mèches s échappent de ma couette, qui se termine par une longue tresse blonde plus claire avec des reflets or, qui tombe jusqu’ en bas de mon dos.
Je suis grande et plutôt mince. J’ai des formes. Une poitrine généreuse et des fesses musclées. Souvent on me dit que je fais très jeune.
J’ai mis un t shirt en coton rose sous ma blouse, je n’ai pas mis de soutien gorge, il fait bien trop chaud et mes petites pêches bien fermes tiennent bien toutes seules. Je porte mes baskets roses claires, des petites chaussettes ainsi qu’une culotte tanga taille haute.
_ Je ne me sens pas très bien , j’ai mal au ventre. Je vais dans la dernière chambre du personnel, où il y a le lit. Tous les soins sont fait, je ne vais pas y rester longtemps, dis je à ma collègue.
J’entre dans la chambre. Je pose mon sac et mon téléphone sur la chaise. La pièce est de taille moyenne, il y a un bureau, un lit médicalisé et une chaise. Du matériel pour des soins et des médicaments sont rangés dans une armoire.
Il fait assez sombre, le soleil brille dehors les volets sont très légèrement ouverts.
La porte fenêtre est entrebâillée, on entend les cigales dehors.
Il fait surtout très chaud et je retire ma blouse et me retrouve en t shirt et culotte. J’ai chaud mais je n’aime pas rester la poitrine nue, on ne sait jamais qui pourrait arriver.
Je me couche dans le lit et me tourne face au mur. Je me recroqueville et essaie de me détendre et pense à autre chose .
J’imagine le week end, je vais aller à la plage, l’eau est à une température idéale en ce moment. Ça rafraichit pas mal.
Le soir avec ma voisine, nous allons à la plage en marchant, nous partons avec notre string de bain, une robe transparente de plage et une serviette. Une fois arrivées, nous retirons nos robes afin de nous baigner en string, l’eau fraîche est bonne sur notre peau, elle nous fait du bien. Mes tétons durcicent rapidement au contact de l’eau, et j aime les sentir sans bout de tissu pour les protéger. Nous restons au bord de l’eau, allongées à la lisière des vagues, côtes à côtes, à nous raconter des histoires coquines.
_ Charlotte, ça va ?
La voix du docteur P me fait sursauter. Perdue dans mes pensées pour oublier mon mal de ventre, je ne l’ai pas entendu rentrer. Heureusement que je me suis glissée sous le drap. Je tourne ma tête de l’autre côté et le regarde.
_ Oui ça va, mais ne t’inquiétes pas. C’est Dua qui t’a dit que j étais là ?
_ Oui elle est inquiète, dis moi ce que tu ressens.
Je ressens surtout de la gêne d’être allongée devant lui. Je n’ai pas envie d’être dérangée, même par lui.
_ Ne t’inquiète pas, va manger, ça va passer.
_ Non non j’insiste, dis moi ce que tu as, on travaille ensemble tous les jours et il est normal que je m’inquiète pour toi.
Il est là planté devant moi.
Je craque un peu pour lui, j’avoue. Je fantasme parfois sur lui lorsqu’il parle.
En réunion, je le regarde dans les yeux et m’imagine en train de lui tailler une pipe, bien profondément dans ma gorge, puis m’arrête rapidement car je me dis souvent que s’il avait le pouvoir de lire dans les pensées, je serai trop gênée.
Il est assez grand, la cinquantaine, pas le physique parfait, mais avec son charme. Il a l’air assez musclé.
La première fois que je l’ai vu, je me suis dit qu’il était très banal et pas top, mais en le côtoyant tous les jours, finalement je le trouve craquant par sa gentillesse, sa simplicité et son charme. Je me suis quand même dit qu’il ne devait pas être méchant au lit, pas du tout le profil du prédateur.
Ce matin je l’ai vu arriver en voiture derrière le bâtiment, je l’ai regardé descendre de sa voiture. Je l’ai trouvé quelconque et attirant à la fois.
_ Bon puisque tu insistes, j ai mal au ventre.
_ Tu sais pourquoi ?
_ Non je ne sais pas d’où ça pourrait venir.
_ Es tu stressée en ce moment ?
_ Oui un peu, mais je ne pense pas que ça puisse venir de ce côté là.
_ Tu sais le côté mental est très important et il ne faut pas le négliger. Tu travailles beaucoup, tu arrives à prendre du temps pour toi, pour te reposer ?
_ Non, pas souvent et encore moins ces derniers temps, mais je ne pense pas que ça vienne de la, j’ai juste besoin de m’allonger, et ça ira mieux je pense.
_ Si tu veux mon avis de médecin, je pense que tu devrais vraiment essayer de te détendre et je peux te proposer quelques soins ainsi qu’une séance de relaxation afin de voir si ton mal de ventre s’atténue. J’ai un peu de temps.
Avec un petit examen tu es fixée.
Je rie et me retourne face au mur. Je suis affolée dans ma tête, il me propose de s’occuper de moi. Je ne vais jamais pouvoir me détendre, ça serait le fantasme.
Et de quels soins parle t il ? Je ne sais comment réagir.
Je suis flattée et je ressens l’envie de me laisser aller un peu, il va certainement me masser les épaules et la nuque je ne risque rien après tout.
Mais je suis tellement timide que je n’ose plus bouger et je constate que lui non plus ne bouge pas. Je sens son regard posé sur moi.
_ Que préfères tu Charlotte ? Que je t’aide à te décontracter ou que je m’en aille ?
Je vois tes petites joues rosir.
Si tu veux , tu peux me dire de partir et je prendrais de tes nouvelles plus tard ou bien si tu ne réponds pas je prendrai cela pour un oui. Son ton change, il est bienveillant et directif à la fois.
Je comprends que le moment est important, et je panique. Je suis en folie.
Est ce que je me laisse aller ou bien je lui demande de partir ?
Je sais que chaque seconde qui passe sans un son émis de ma bouche me rapproche un peu plus de faire plus ample connaissance avec lui.
Je sens sa main se poser sur ma nuque et une autre caresser mes cheveux.
Ça me fait à nouveau sursauter légèrement.
_ Prends ton temps pour me répondre, tu peux me demander de partir à n’importe quel moment ne l’oublie pas.
Je vais monter le lit pour que tu sois à ma hauteur. Car tant que tu ne me demandes pas d’arrêter, tu deviens ma patiente et tu dois te soumettre aux examens et aux traitements que j’aurai jugé nécessaire.
Ces paroles m’électrisent et je sens mon corps contracter.
Le lit se stoppe et je suis à la portée de ses mains, il est debout derrière moi. Il serre doucement la base de ma couette et me susurre à l’oreille: _ Tu vas bien m’écouter et faire ce que je te dis et je t’assure que ton mal de ventre va disparaître.
Je te vois depuis un moment, tu es fatiguée, tu n’as plus de mec depuis un bail, ta manière de me regarder, de me parler et de tortiller des fesses innocemment quand tu sais que je te regarde.
Tu me cherches me semble t-il. Sache que lorsqu’on me cherche, on me trouve et généralement on s’en souvient.
J’ai maté les photos de ton insta CocoCharlotte5. J’ai eu mal à l’entrejambe un petit moment après.
En me disant cela il serre de plus en plus mes cheveux et sa seconde main descends et caresse mes fesses sous le drap sur ma culotte.
_ Je rêve de m’occuper de toi depuis un petit moment, tu es magnifique. J’adore ton petit côté espiègle et il est temps pour toi de payer tes petites blagues et clashs que tu nous fait au quotidien.
Tu me fais rire tous les jours, mais là j’ai envie de te montrer mon côté plus énervé.
Je ne sais plus quoi penser et j’ai envie de me tourner pour me dégager de sa main posée sur ma tête. Il m’appuie la tête contre l’oreiller en me serrant toujours les cheveux et m’attrape un bras que je bougeais.
_ J aime que mes patientes soient dociles et courageuses. Je n’aime que les cris de petite chatte.
Je sais comment te soulager. Je vais éteindre ce petit feu qui commence à naître en toi, plus particulièrement entre tes cuisses et tu te sentiras beaucoup mieux après.
Mes joues virent au rouge, je ne sais plus quoi penser ni où me mettre.
Bizarrement je ne lutte pas comme je l’aurai pensé et me laisse faire en fondant progressivement de désir de découvrir la suite.
Je me retrouve sur le ventre, un gros coussin est sous mon bassin, mes fesses sont relevées sous ses yeux. Le drap est au pieds du lit. Je porte toujours mon t shirt rose et ma culotte blanche.
Je meurs de honte de savoir qu’il est en train de me regarder. Je ne peux pas bouger. Le massage de la nuque et des épaules est loin de ce que je me suis imaginée.
_ Tu es magnifique dans cette position. Tu as l’air si fragile et tu es si belle. J’ai déjà maté ton cul, mais sous la blouse ça ne rend pas la même chose. Je vais te faire du bien tu vas voir. Ça devrait te soulager.
Je remue mes fesses car je n’ai pas envie qu’il me fasse quoi que ce soit, j’ai peur d’avoir mal.
_ Ne bouge pas, tu es entre mes mains désormais, je vais bien m’occuper de toi.
Je sens ses mains se poser sur le bas de mon dos, puis descendent sur les bords de ma culotte. Il effectue ses gestes lentement.
_ Hum j ai tellement hâte de découvrir ce qu’il se cache sous cette petite culotte, et plus particulièrement entre ces magnifiques petites pêches.
J’essayais de me débattre car je ne voulais pas qu’il me voit les fesses nues.
Il me sert encore plus les poignets dans mon dos avec sa main et appuit ses jambes sur les miennes.
_ Plus tu bouges, plus tu auras mal. Je te conseille de te détendre plutôt.
Je gesticule encore plus et il continue à me regarder.
_ Pas de problème pour moi, tu me fais bander rien qu’en regardant ton cul remuer en petite culotte, alors te voir essayer d’échapper à ton traitement, m’excite encore plus. Si tu préfères le passage en force, pas de soucis pour cette méthode, je n’en serai que plus dur.
Ses paroles me procurent des sensations uniques. La peur et l’envie.
Je ne pouvais de toutes manières pas beaucoup bouger. Je me dit que si je me contracte bien fort, il n’insistera pas .
Je sens ses mains empoigner les bords de ma culotte, puis je sens le tissu glisser progressivement. J’enfoui bien loin ma tête dans l’oreiller, je ne peux pas croire ce qu’il se passe. Il va exposer mon intimité à son regard.
Je suis encore plus meurtrie par la honte, il me coince, je ne peux pas bouger et il va pouvoir m’observer à sa guise.
Il s’arrête au commencement de la raie de mes fesses, puis fais remonter ses mains à plat, du bas de mon dos, en remontant sous mon t shirt vers ma nuque.
_ Tu as chaud ma belle, j’aime sentir ta peau moite, surtout quand je m’apprête à baisser entièrement ta culotte jusqu’en bas de tes fesses. Ta Respiration s’accélère. Tu vas avoir encore plus chaud je te préviens mais c est pour ton bien. Détends toi un peu et pense à bien respirer, si tu m’écoutes, tout va se dérouler à merveille.
Il se penche complètement sur moi, il avait laché mes poignets, et ses mains glissaient sur ma peau. Il me chuchota à l oreille: _ J’ai toujours adoré une chose chez toi, tes petites pêches, je peux les observer lorsque nous faisons des réunions.
L’été lorsque tu mets un débardeur et que ta blouse est large, en te penchant je peux observer ton décolleté. Je les imagine magnifique et j aurai l’occasion de les observer tout à l heure.
Ses mains se rapprochent de ma poitrine et il saisit mes seins entre ses mains.
_ Ils sont doux et tendus. Par contre ce que je ne connais pas encore ce sont ces petits tétons qui se cachent bien.
Je lui attrape les poignets, mais ma force est beaucoup trop insuffisante, je réussis seulement à lui serrer légèrement pour lui.
Il est en position de force, je ne peux pas bouger.
Il rapproche le bout de ses doigts vers mes petites pointes qui commençent à me faire mal.
_ Hum ils sont en train de se durcir, j’aime ça, je vais les aider.
Je vais mettre ma cuisse entre tes jambes pour te maintenir. Si tu en as envie tu peux commencer à te frotter dessus.
En même temps qu’il me parle il me tripote les tétons, me les caresse, joue avec, en me les pinçe un peu.
Il respire dans mon cou et me force à rester plaquée contre le lit.
Je ne bouge pas le bassin mais je sens dans ce qu’il me restait de culotte à demi baissée que ça commençe à être un peu mouillée. Je ne veux surtout pas qu’il s’en aperçoive.
Au bout de quelques minutes ou je me forçe littéralement à ne pas faire aller mon bassin et commencer à me frotter sur sa peau et sur le coussin, je sens des spasmes dans mon vagin qui me font de plus en plus mal, j’aimerai tant avoir quelque chose en moi pour me soulager, je ne tiens plus. J’ai envie qu’il arrête, c’est comme un supplice. Mes tétons commencent à me brûler.
_ Tu résistes, c est bien. J’aime cette transition qui va arriver. Tout à l’heure c’est toi qui me demandera de te faire ce que j’ai prévu pour ton petit cul. Cette transformation de la fille timide et gentille à la petite chatte qui se frottera en gémissant.
Il lache mes tétons qui libèrent une petite douleur vive au début, puis se relève et se replace derrière moi en attrapant mes poignets fermement d’une main. Il les attache l’une à l’autre à l’aide d’une petite corde.
Ses deux mains empoignent à nouveau ma culotte et terminent de faire descendre le tissu d’une lenteur incroyable, ce qui commence à créer chez moi de nouvelles sensations. Un mélange de honte et de petite envie qui commence à arriver.
Je m’aperçois que je commence à bouger très légèrement mon bassin sur le coussin.
Le docteur P s’arrête aussitôt, il était juste au dessus de mon intimité. Il me regarde.
_ Et bien, je vois que tu commences à remuer tes petites fesses. C est bien, tu te détends. Il est temps.
Il fait à nouveau descendre le tissu et cette fois plus rapidement, jusqu’en bas des genoux.
Cela me surprend et je n’ai pas le temps de réaliser que ça y est il me vois entièrement, et qu’il a une vue plongeante sur le fond de ma petite culotte.
Il n’en perd pas une miette et m’observe en silence.
_ Tu es magnifique, et je vois que tu as mouillée le fond de ta culotte. Ce n’est pas digne d’une fille sage.
Je vais devoir t’apprendre à être excitée en consultation médicale.
Il écarte légèrement mes fesses à l’aide de ses mains. Je frissonne et la chair de poule m’envahît. Mon vagin me fait encore d’avantage mal, je me frotte de plus en plus.
Le traitement infligé à mes seins a fait son effet et je commence à avoir la tête qui tourne, mes pensées s’entremêlent à mes sentiments. De désir et de honte. Pourquoi je me retrouve ici, à me frotter sur un coussin, culotte baissée devant lui ?
Je m’interroge et je passe d’un sentiment à un autre.
Je pensais qu’il était trop gentil, mais je m’aperçois que pas tant que ça.
Et cet aspect de sa personnalité m’attire et me donne envie d’en découvrir un peu plus. Le fait de le voir passer du gars gentil et simple au médecin directif et coquin m’excite j ai l’impression.
J ai du mal à supporter le fait qu’il m’observe et me touche sans parler. J’ai honte mais je me frotte un peu plus. Je ne comprends plus rien et ne me reconnais pas.
_ Je vais t’administrer le premier traitement, je te le répète tu dois te détendre et tout se passera bien. Si tu bouges, j’irai un peu plus vite à chaque fois, donc c’est toi qui decide.
Il m’écarte les fesses à l’aide des doigts d’une main et me passe du gel lubrifiant sur l’anus. Le contact de son doigt touchant mon intimité et le froid fait que je me contracte encore plus.
_ Tu peux te serrer comme tu veux ma petite chérie, tu vas devoir accepter ce qui t’attend. Respire. Je me tend encore plus.
Je sens une petite pointe à l entrée de mon anus, qui glisse tout doucement à l’intérieur. Il est en train de me mettre un suppositoire.
Il entre délicatement et entièrement. Cela m’occasionne seulement une légère gêne.
Puis il marque un temps d’arrêt lorsque le bout de son doigt touche mon anus.
_ Est ce que quelqu’un a déjà exploré cet orifice de ton corps ?
Je me débats. Il rit et serre encore un peu plus ses mains sur mes poignets.
_ C’est bien ce que je pensais. Je vais être doux pour cette première fois. Respire.
Il se pencha sur moi et d’une main attrapa mon cou et commença à serrer ma gorge , ce qui me provoqua un léger étourdissement dans ma tête.
A cet instant, il insért le bout de son doigt doucement et progressivement. Je tente de remuer mais je suis prisonnière.
_ Ne cherche pas à lutter ma belle, le suppositoire va servir à te décontracter pour après, mais il faut que je te l’enfonce bien au fond de tes petites fesses, laisse toi aller, tu vas aimer.
Et son doigt continue d’avancer, je sens mon anus s’ouvrir progressivement. Je n’aime pas qu’il regarde mon visage durant cette pénétration, je n’ai pas le choix, il me tient à la gorge.
Je suis comme dans un nuage de coton à cause de l’étourdissement, je sens son souffle sur ma peau, je sens le mélange d’envie et de honte . J’ai envie de découvrir pour la première fois ce que cela procure comme sensations de recevoir quelque chose entre ses fesses. Je n’ai pas le choix, j’ai peur et surtout je ressens une douleur qui monte progressivement en parallèle de mon envie.
Je ne sais pas ce que je vais découvrir mais j’en ai terriblement envie et je culpabilise de ressentir ces sentiments.
_ Je vais passer ma phalange, tu vas pouvoir commencer à bien me sentir, et je vais ensuite aller jusqu’au fond de ton cul.
J’essaye d’avancer mon bassin le plus loin de lui afin d’essayer d’échapper à cet examen douloureux mais je suis bloquée par le coussin. Je retiens mon souffle. Il me serre plus fort la gorge, attend quelques instants que ma tête me tourne et je sens la deuxième partie de son doigt commencer à forcer mon anus.
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