exceptionnellement fessé - histoire érotique

Mon petit ami possède une villa avec piscine bien protégée des regards extérieurs, de
ce fait nous sommes souvent nus pour se baigner, pour bronzer ou pour promener dans le
jardin. Nous avons reçu le mois dernier un couple d’amis, homosexuels aussi, pour le
déjeuner puis sommes allés autour de la piscine en se mettant nus tous les quatre
pour prendre le bain puis s’allonger au soleil. Je n’avais vu qu’une seule fois ces
amis d’Arthur. Mon homme et Charles, l’un de nos convives partent au garage pour
réparer un outil en panne. Pendant ce temps, Max et moi allongés au soleil parlions et
parlions notamment de nos compagnons. Max très curieux me posa beaucoup de questions
indiscrètes de notre vie sexuelle.
- Entre vous, qui est actif et passif, ou êtes-vous actif-passif ?
- J’imagine quand tu me poses cette question, que tu indiques comme actif, celui
qui préfère se faire sucer ou celui qui sodomise ? dans ce cas, c’est Arthur ; moi je
suis actif mais pour sucer ou le satisfaire. Arthur me suce beaucoup moins que moi,
mais moi je ne le pénètre jamais. Et vous, quelles sont vos relations ?
- C’est un peu pareil, je suis actif pour m’occuper de lui mais c’est un vrai
mâle, et je suis souvent sa petite femelle.
Cette conversation sur notre intimité, plus la vue de son pénis bien fin et bien long
me déclencha une érection que je ne pouvais cacher dans cette tenue, Max remarquant la
chose se mit aussi à bander et osait me le faire remarquer.
C’est à ce moment là que nos hommes revinrent de leur bricolage. Je serrais les jambes
afin de ne pas montrer mon érection mais trop tard, Arthur l’avait vu !
- Et que faites-vous toutes les deux quand on n’est pas là ? Je n’aime pas ça !
Va dans la chambre chercher le martinet, tu mérites une bonne correction !
J’étais rouge et tremblant de honte. Je n’arrivais pas à débander et je crois même que
l’autorité dont Arthur faisait preuve et qui me paraissait juste m’excitait encore
plus. En tous cas, je m’exécutais et rapportais le martinet à mon homme. Arthur ne
s’était servi qu’une seule fois du martinet avec moi au début de nos relations. Il me
demandait de me mettre en bord de piscine droit. Empli de honte, je me prie 5 coups de
martinet devant nos hôtes. Mes fesses cuisaient. Cette humiliation publique me faisait
toujours bander et me donnais envie de pratiquer une bonne fellation à mon homme mais
je n’osais pas. C’est Arthur qui me le susurre en demandant à nos hôtes si cela ne les
gênait pas. Bien évidemment, ils nous répondirent tous deux « Je vous en prie, faites
comme chez vous ». Je m’approchais alors de mon homme allongé sur le dos sur sa
serviette en position de bronzage et me mis à sucer une belle tige rapidement raide.
J’ai pu en levant la tête une fois ou deux, observer que nos invités appréciaient le
spectacle. Je m’étais senti humilié et totalement soumis après avoir pris cette fessée
pourtant méritée pour avoir commis la faute d’avoir bandé sans la présence de mon
homme ; que je trouvais normal de le sucer à pleine bouche maintenant pour me faire
pardonner. Au bout de plusieurs minutes, il me guidait la tête avec de plus en plus de
précisions pour que ma succion corresponde à ses légers va et vient. Quand le plaisir
ait monté en lui et sentant ma soumission de ce jour, il me tient bien la tête et me
dit « Continue, je jouis, avale et ne t’arrête pas, je profite pleinement ! ». Je
n’avais guère le choix et ne pouvais pas ne pas m’exécuter devant nos hôtes. Je me
pris donc une bonne quantité de son jus dans la bouche. Il me tirait alors les cheveux
avec douceur pour me remonter la tête. Je bandais comme un lion. Charles invitait
Arthur à me soulager en voyant mon état. Arthur lui répond alors « Je suis vidé et
épuisé, rends moi service, prends ma petite femelle pour la faire jouir ». J’étais
stupéfait. Mon homme ne m’avait jamais prêté à quiconque. Je n’avais pas eu d’autres
relations anales qu’avec Arthur. La situation mesurprenait, m’excitait et m’apeurait.
De plus, c’est vrai que dans mon état tout ce qui pouvait me faire jouir serait le
bienvenu. De toute façon, je n’avais pas le choix, je devais obéir. Charles me guidait
délicatement en position de la levrette. Il me posa ses mains sur les hanches après
avoir guidé l’entrée de sa bite. Il entrait en moi délicatement en me guidant le
bassin. Quelques va et vient ont suffi à me faire jouir et peu de temps après Charles
se vidait en moi. J’avais encore la bouche pleine et je sentais mon cul rempli aussi.
Max était debout au dessus de moi, en train de se branler et sa crème enduit ma
poitrine quand je me retournais. Arthur me tenait la main et m’a indiqué de rester à
coté de lui au soleil. J’aurais voulu me rincer car j’avais du foutre partout dans la
bouche, sur la poitrine et qui coulait du plus profond de mon corps. Mais je devais
obéir et rester là. Le sperme coulait au fond de ma gorge et coulait de mon cul sur la
serviette posée au sol.
Après un bon moment de soleil, nous avons repris un bain (j’étais heureux de me
rincer) et nos invités sont repartis. Arthur me dit « tu es une belle saloppe, il t’en
a fallu peu pour jouir avec un autre que moi, vas te laver le cul ». Je m’exécutais et
en revenant au bord de la piscine, j’ai eu droit à 5 nouveaux coups de martinet et
après cela mon homme m’a fait installé sur le dos, sur la table de jardin et m’a
sodomisé en me branlant. Je n’ai jamais joui si fort. Arthur ne m’a plus jamais prêtée
à ses amis depuis.