Exhibition au parc - 1ère partie : l'idée
Récit érotique écrit par Mathildou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Exhibition au parc - 1ère partie : l'idée
Je papillonnais depuis quelques mois suite à une séparation. J’avais envie de retrouver ma liberté et d’expérimenter toutes les envies que j’avais mis de côté durant cette longue année de concubinage.
Parmi mes conquêtes, il y a eu toi que j'ai rencontré au détour d’un site de rencontre où tu y cherchais une deuxième fille pour un plan à 3 avec ta copine (cela fera peut être l’objet d’une autre histoire). Nous nous étions rencontrés une fois et je t’avais envoyé pas mal de vidéos et de photos suite à tes sollicitations. Toute occasion était bonne à m’humilier, j’aimais ça autant que je le détestais.
Ce sentiment ambivalent me poussa à te demander de la nouveauté, qu’on expérimente quelque chose de nouveau pour moi. En effet, du sexe classique dominant-dominée, ne me suffisait pas à ce que je veuille te revoir.
Tu me parles alors de la saison estivale et des petites robes qu’on y porte… Je n’ai pas compris de suite mais quand tu me dis que je pourrais ne pas mettre de sous-vêtements en dessous et écartée les jambes au milieu d’un parc bondé, j’y vois plus clair. Immédiatement, mon entrejambe s'humidifie et la seule pensée qui me traverse l’esprit est que j’avais tout à fait la robe qui fallait : une petite robe à fleurs, du genre petite fille modèle mais un haut décolleté et légèrement transparent et assez courte. Nous décidons alors d’une date.
En attendant le jour convenu, je ne peux m’empêcher d’y penser. Je me touche toutes les nuits en pensant aux potentiels événements qui pourraient se dérouler. Je n'oublie pas de t’envoyer des photos dans ces moments.
Le jour venu, je m’habille de la manière convenue avec cette robe et sans sous-vêtements. J’étais plutôt mal à l’aise. Je ne l’avais jamais mis sans soutien-gorge et c’est vrai qu’on voyait les courbes de ma généreuse poitrine et mon téton en transparence. Ne pas avoir de tanga ne m'était pas désagréable, par contre. Je me maquille de manière prononcée, je sais que tu aimes qu’on ressemble à des putes pour toi. Je finis ma tenue avec une paire de talons.
Tu me dis alors que tu arrives chez moi. Il s’agit alors de sortir de ma chambre sans attirer le regard de mes colocataires, presque exclusivement masculins, évidemment. Ils étaient en train de parler dans le salon. J’attendis un peu, espérant qu’ils retournent dans leurs chambres. Voyant que ça n’en finissait pas, je pris mon courage à deux mains, baissant la tête, je passa en flèche devant eux et leur dit « Je suis pressée ! Bonne journée ! ».
Le temps de descendre te rejoindre, tu t'impatientes déjà. Je me suis confuse en excuse sur ton attente mais tu ne voulais rien savoir.
« - Au moins, je ne vais avoir besoin que de remonter ta robe pour te fesser cul nu.
- Pour mon retard ?
- Exactement. Retournes toi et penches toi en avant !
- Ici ? Mais n’importe qui peut nous voir. Je t’en supplie pas ici, pas en bas de chez moi.
- Ok. Ouvre la porte mais tu auras le droit au double.
- Merci! »Je m’empresse alors d’ouvrir la porte de la cage d’escaliers et m’élance dans ces derniers. Arrivée au dernier étage, avant de pouvoir pivoter dans le couloir, une main puissante me plaque contre le mur. Ta main. Tu me demandes alors de coller ma poitrine au mur et de tendre mes fesses. Encore sous le choc, je ne peux que t'obéir. Tu relâches la pression, tu me soulèves la robe et les coups commencent à s’abattre. Tu sais que je ne supporte pas trop de douleurs s’il n’y a pas un minimum de plaisir. Alors tu alternes les coups violents et moins violents ainsi que les caresses sur mes fesses. Les larmes me montent rapidement aux yeux mais j’encaisse sans rien dire, j’aime que l’on sois fière de moi. Quand tu juges que mon cul de salope assez rouge, tu me demandes d’écarter mes fesses et de me détendre. Tu m’enfonces alors un plug. Il doit être de taille moyenne. Il me fait un peu mal mais s’enfonce tout seul. En même temps, mon cul à l’habitude. Quand tu as fini tu me remets alors un fort coup sur chaque fesse. Je sens bouger le plug à ce moment là. Tu me dis que je suis prête et que nous pouvons y aller.
Parmi mes conquêtes, il y a eu toi que j'ai rencontré au détour d’un site de rencontre où tu y cherchais une deuxième fille pour un plan à 3 avec ta copine (cela fera peut être l’objet d’une autre histoire). Nous nous étions rencontrés une fois et je t’avais envoyé pas mal de vidéos et de photos suite à tes sollicitations. Toute occasion était bonne à m’humilier, j’aimais ça autant que je le détestais.
Ce sentiment ambivalent me poussa à te demander de la nouveauté, qu’on expérimente quelque chose de nouveau pour moi. En effet, du sexe classique dominant-dominée, ne me suffisait pas à ce que je veuille te revoir.
Tu me parles alors de la saison estivale et des petites robes qu’on y porte… Je n’ai pas compris de suite mais quand tu me dis que je pourrais ne pas mettre de sous-vêtements en dessous et écartée les jambes au milieu d’un parc bondé, j’y vois plus clair. Immédiatement, mon entrejambe s'humidifie et la seule pensée qui me traverse l’esprit est que j’avais tout à fait la robe qui fallait : une petite robe à fleurs, du genre petite fille modèle mais un haut décolleté et légèrement transparent et assez courte. Nous décidons alors d’une date.
En attendant le jour convenu, je ne peux m’empêcher d’y penser. Je me touche toutes les nuits en pensant aux potentiels événements qui pourraient se dérouler. Je n'oublie pas de t’envoyer des photos dans ces moments.
Le jour venu, je m’habille de la manière convenue avec cette robe et sans sous-vêtements. J’étais plutôt mal à l’aise. Je ne l’avais jamais mis sans soutien-gorge et c’est vrai qu’on voyait les courbes de ma généreuse poitrine et mon téton en transparence. Ne pas avoir de tanga ne m'était pas désagréable, par contre. Je me maquille de manière prononcée, je sais que tu aimes qu’on ressemble à des putes pour toi. Je finis ma tenue avec une paire de talons.
Tu me dis alors que tu arrives chez moi. Il s’agit alors de sortir de ma chambre sans attirer le regard de mes colocataires, presque exclusivement masculins, évidemment. Ils étaient en train de parler dans le salon. J’attendis un peu, espérant qu’ils retournent dans leurs chambres. Voyant que ça n’en finissait pas, je pris mon courage à deux mains, baissant la tête, je passa en flèche devant eux et leur dit « Je suis pressée ! Bonne journée ! ».
Le temps de descendre te rejoindre, tu t'impatientes déjà. Je me suis confuse en excuse sur ton attente mais tu ne voulais rien savoir.
« - Au moins, je ne vais avoir besoin que de remonter ta robe pour te fesser cul nu.
- Pour mon retard ?
- Exactement. Retournes toi et penches toi en avant !
- Ici ? Mais n’importe qui peut nous voir. Je t’en supplie pas ici, pas en bas de chez moi.
- Ok. Ouvre la porte mais tu auras le droit au double.
- Merci! »Je m’empresse alors d’ouvrir la porte de la cage d’escaliers et m’élance dans ces derniers. Arrivée au dernier étage, avant de pouvoir pivoter dans le couloir, une main puissante me plaque contre le mur. Ta main. Tu me demandes alors de coller ma poitrine au mur et de tendre mes fesses. Encore sous le choc, je ne peux que t'obéir. Tu relâches la pression, tu me soulèves la robe et les coups commencent à s’abattre. Tu sais que je ne supporte pas trop de douleurs s’il n’y a pas un minimum de plaisir. Alors tu alternes les coups violents et moins violents ainsi que les caresses sur mes fesses. Les larmes me montent rapidement aux yeux mais j’encaisse sans rien dire, j’aime que l’on sois fière de moi. Quand tu juges que mon cul de salope assez rouge, tu me demandes d’écarter mes fesses et de me détendre. Tu m’enfonces alors un plug. Il doit être de taille moyenne. Il me fait un peu mal mais s’enfonce tout seul. En même temps, mon cul à l’habitude. Quand tu as fini tu me remets alors un fort coup sur chaque fesse. Je sens bouger le plug à ce moment là. Tu me dis que je suis prête et que nous pouvons y aller.
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