Exhibition torride

- Par l'auteur HDS TrèsChaud -
Récit érotique écrit par TrèsChaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Exhibition torride Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2010 dans la catégorie Plus on est
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Exhibition torride
Je voudrais vous raconter ici une autre aventure que nous avons vécue ensemble, ma collègue Chrsitine et moi, il y a maintenant
douze ans.
Comme je l’ai dit dans « Chaude partouze », Christine était une collègue de travail, mariée comme moi, très salope : elle m’a
avoué plus tard avoir toujours trompé son mari, surtout avec ses employeurs. Je crois qu’elle avait besoin d’un amant attitré
qu’elle gardait le plus longtemps possible, ce qui ne l’empêchait sans doute pas, de temps à autre, d’aller voir à droite et à
gauche, en plus. Elle venait au travail avec des tenues très excitantes, surtout dès qu’il faisait chaud (à Toulouse, à partir de mai-
juin, la température peut être très chaude). Dans ces cas-là, elle portait des jupes amples et transparentes (parfois des jupes
courtes) et des chemisiers très échancrés, sans quasiment jamais de soutien-gorge. Evidemment, ça se voyait et je dois dire
qu’elle faisait tout pour ça. Elle aimait m’exciter particulièrement et comme nos deux bureaux étaient l’un face à l’autre, ce
n’était pas très difficile, si vous voyez ce que je veux dire. Un beau jour, dans un local qui jouxtait nos bureaux, elle m’embrassa
à l’improviste. J’ai clairment compris ce qu’elle voulait bien sûr et après nous être brièvement mis d’accord sur la nature de notre
relation (amicale et sexuelle), nous avons commencé une vie érotique particulièrement intense. Tous les matins, nous arrivions
avant tout le monde et nous baisions pendant une bonne demi-heure. Tous les matins pendant trois ans ! Elle s’ingéniait à
mettre toujours de nouveaux sous-vêtements. Elle suçait à merveille, adorait également se faire sucer (comme c’était une vraie
blonde, elle avait une chatte quasiment imberbe, avec un tout petit duvet blond presque invisible), me passait ses longs ongles
dans le dos pendant qu’elle avalait ma queue, se faisait baiser dans toutes les positions et aimait bien de temps à autre que je
l’encule. Surtout, elle était très docile. Elle ne disait jamais non (ni jamais oui d’ailleurs). Je pouvais en faire un peu ce que je
voulais. Nous nous sommes souvent déplacés tous les deux pour le travail et là, nous avons baisé un peu partout, très excités par
les caresses que je lui prodiguais et par le fait qu’elle relevait entièrement sa jupe : dans la campagne, sur des sentiers (parfois à
proximité de la route où continuaient à passer les voitures), deux fois dans des toilettes d’autoroute (je suis sûr que ça s’est
entendu dans les toilettes d’à côté). Une fois, je l’ai même baisée chez elle, sur son lit (je pensais alors à son mari – que je
connaissais – et mon plaisir n’en était que décuplé) ; une autre fois, ma femme s’est absentée pour des raisons professionnelles
durant trois jours : elle n’était pas partie depuis une demi-heure que je baisais Chrsitine sur le canapé de la salle à manger (je me
souviens ; elle était en bottes jusqu’aux genoux, jupe droite et courte, sans culotte. Je l’avais baisée sauvagement et même
donné des tapes assez fortes sur sa chatte et son clitoris).
Avec elle, je me disais que je pourrais vivre des fantasmes que je n’étais pas vraiment arrivé à vivre avec ma femme, même si
j’avais fait avec elle quelques expériences de triolisme et d’exhibition.
A Toulouse, comme partout je pense, il y a des endroits de rencontres, dédiés aussi au voyeurisme et à l’exhibition. L’un de ces
endroits est les côteaux de Pech-David où je m’étais arrêté plusieurs fois tard, après le travail, et avais vu des scènes bien
excitantes, notamment un couple qui venait assez souvent et dont l’homme faisait branler sa femme par une multitude
d’hommes qui, eux-mêmes se faisaient branler par elle. Je m’étais dit que j’y emmènerais Christine un soir. Je lui en ai parlé et
je vis qu’elle n’était pas contre. Nous avons donc planifié cela un soir que nous terminions le travail très tard. C’était au mois de
juin. Le temps était beau et chaud.
Nous avons pris nos deux voitures pour nous rapprocher du lieu de l’exhibition. Là, Christine s’est garée, non sans s’être
changée pour la circonstance. Elle mit une jolie robe légère rouge à pois blancs, entièrement boutonnée sur le devant, qui lui
arrivait à mi-cuisses. Evidemment pas de soutien gorge (comme toujours) et une petite culotte de dentelle, dont je vérifiais l’état
humide dès qu’elle monta dans ma voiture. Quelques centaines de mètres plus loin, nous arrivâmes au lieu de notre exhibition,
une petite aire goudronée qui faisait office de parking, entourée d’arbres. Plusieurs voitures étaient déjà garées et des hommes
discutaient entre eux tranquillement par petits groupes, en attendant.
Je me garai exprès un peu à l’écart et demandai à Chrsitine de me sucer. Elle se pencha et commença une pipe dont elle avait le
secret. Je relevai sa robe et la branlai à travers la culotte. Naturellement, au bout de quelques instants, un homme vint se coller à
la fenêtre, du côté de Christine et, très rapidement, sortit son sexe et commença à se branler. Christine s’était relevée et admirait
cette belle bite tout en me branlant et en se branlant. Je la regardai brièvement et sans rien dire, j’ouvris la portière. L’homme
commença alors à caresser Christine et elle s’empara de sa bite avec sa main, tout en me suçant. Au bout de quelques minutes à
ce train, je dis à l’homme : « Tu peux la baiser si tu veux ». Ce à quoi Christine immédiatement répondit : « Pas sans préservatif ».
Mince alors ! J’avais complètement oublié. Je n’en avais pas, ni elle, ni l’homme en question. Alors il n’a fait que se branler et au
bout de quelques minutes, il a copieusement déchargé sur sa belle cuisse blanche. Entre-temps, tout un attroupement s’était
formé autour de la voiture et dès qu’il se retira de la scène, il fut remplacé par d’autres, qui étaient terribement excités et qui se
jetèrent littéralement sur Chrsitine (qui m’avoua plus tard avoir eu un peu peur). Mais comme toujours dans ces cas-là, tout
resta très respectueux. Pendant une bonne demi-heure, elle fut malaxée, triturée de partout, des doigts s’enfonçant dans tous
ses trous, des langues venant remplacer les doigts… Un jeune homme demanda dans un râle qui avait un préservatif… Mais
personne ne put le dépanner malheureusement. J’aurais aimé la voir se faire baiser par tous ces hommes. Elle ne les suça même
pas mais accepta tout le reste sans rien dire, offerte et soumise. Moi, du côté de ma vitre, il y avait quelques belles queues qui
s’agitaient et j’avoue que j’en aurais bien pris deux ou trois dans la bouche si j’avais osé (mais je n’avais pas encore avoué à
Chrsitine ma bisexualité). Après une bonne demi-heure à ce rythme, elle reçut plusieurs décharges de sperme, copieuses et
violentes giclées, qui d’ailleurs ratèrent leur cible et vinrent parfois s’écraser sur la banquette, ce que j’eus beaucoup de mal à
faire partir ensuite…
C’est alors que Christine me demanda de partir. Elle en avait assez et voulait que l’on se trouve un endroit tranquille pour
terminer tous les deux. C’est donc ce que je fis. Deux ou trois kilomètres plus loin, je m’arrêtai dans un endroit que je croyais
être désert. Et nous recommençâmes, tout d’abord à se sucer. C’est alors que je vis deux hommes, sortis je ne savais d’où,
s’approcher de la voiture, sortir leur sexe et commencer à sa branler frénétiquement. Résignée, Chrsitine continua à me sucer.
Puis elle s’assit sur moi, tout en regardant ces queues. J’ouvris alors la fenêtre de son côté et elle se décida à sucer ces deux
bites alternativement. Magnifique spectacle que celui de cette belle salope totalement offerte, sublime vide-couilles. Je
déchargeai longuement en elle, et les deux hommes en firent autout dans sa bouche (il faut dire que Christine adorait avaler : un
jour, sur le réseau téléphonique, j’ai donné son téléphone à un homme qui cherchait une femme mariée. Elle m’en a un peu voulu
mais elle a reçu cet homme chez elle et m’a raconté l’avoir sucé jusqu’au bout et entièrement bu). A la suite de tout cela, je l’ai
ramenée à sa voiture. Mais avant de descendre, elle m’a refait une pipe divine (nous n’étions plus que tous les deux cette fois-ci).
Pipe qui s’est achevée dans des râles et dans une dernière violente décharge. Elle m’embrassa (baiser au goût de sperme) et nous
rentrâmes chacun chez nous. Je ne sais pas si elle a osé embrasser son mari en rentrant chez elle, mais elle sentait sacrément le
foutre !
Quelle adorable salope !
Depuis, j’ai quitté Toulouse et je l’ai perdue de vue. Et je suis à peu près sûr qu’elle m’a remplacé immédiatement. Heureux
homme que son amant actuel ! Qu’il ose lui demander toujours plus et vivre avec elle ces moments extraordinaires que l’on
garde gravés dans sa mémoire à jamais et auxquels on repense volontiers en se branlant à nouveau. En tout cas, si un jour
Christine lit ces lignes, qu’elle sache que ma bite est toujours à sa disposition. Et si des femmes, hommes ou couples ont envie
d’y goûter, qu’ils ne se privent surtout pas !

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
nous somme un couple du35 mon maris adore m'exiber seins et chatte a l'air dans les
lieus ou les hommes sont pervers
ils profitene de ma bouche et du reste
c'est tres chaud
bisous annie

Histoire Libertine
très trés excitant! ma culotte est toute mouillée

Histoire Libertine
bandant: je me suis branllée

Histoire Libertine
très bonne histoire très excitante je me suis branlée en la lisant, j'espère qu'il y en aura d'autres. j'aimerai bien en faire autant, mais je n'ose pas.



Texte coquin : Exhibition torride
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