Face aux montagnes !

Récit érotique écrit par Raph75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Face aux montagnes !
Nous échangions comme si nous nous connaissions depuis toujours, sans filtre ni tabou. J’ai profité d’un silence après plusieurs heures de discussions pour la fixer dans les yeux avec insistance, petit sourire forcé au moment où elle se mit à me regarder également. C’était l’instant idéal pour amorcer le rapprochement finale et elle l’avais compris aussi.
Je décida de l’embrasser fougueusement, saisissant l’arrière de sa tête avec ma main gauche, laissant la droite effleurer ses hanches de bas en haut.
L’excitation était clairement partagée, je ne pouvais m’empêcher de me remémorer ce que je savais déjà d’elle et de ses pratiques, grâce aux histoires que j’avais pu apprendre de sa bouche et de celle de son ex petit copain. Ce n’était pas une fille facile bien au contraire, mais quand elle l’avait décidé, elle savait aller très loin pour prendre un maximum de plaisir et satisfaire au mieux son partenaire. Je savais qu’elle allait me faire confiance et ne pas douter, entre nous il y avait énormément de respect.
J’avais de plus en plus chaud, trop d’idées en tête il fallait commencer à en mettre en pratique quelques unes.
Je déboutonna son jean pour y glisser mes doigts bien ferme, à la rencontre de son string déjà bien humide. En exerçant quelques pressions je pouvais identifier les contours de son sexe, et sentir son clitoris bien gonflé. Je continua quelques secondes pour être certain de la mettre dans les meilleurs conditions d’excitation et de désir.
Pendant que je m’occupais d’elle j’ai bien senti qu’elle voulait me rendre l’appareil mais ce temps là n’était pas encore venu. J’introduis un doigt, puis rapidement le deuxième en elle. Cela peut sembler cliché, mais ils sont entrés comme dans du beurre. J’aimais beaucoup la sensation que procurais sa mouille généreuse sur ma peau, j’accéléra alors les allers-retours pour la ressentir davantage. Je serra mes deux doigts tout en recourbant l’extrémité pour la faire frissonner au plus haut point.
Elle m’aida a retirer son jean, mais pas que… son string fût ôté par la même occasion. Sans me faire prier je commença a lui administrer un cunnilingus. Mes lèvres, ma langue face à sa vulve en ébullition, quel plaisir. Je ne cessa pas d’y introduire mes doigts, mais j’étais concentré sur les mouvements de ma langue. Sa chatte sentait la noix de coco, elle était lice sans aucun poil apparent, son clitoris gonflé, ses parois bouillantes.
Je pouvais l’entendre pousser de légers gémissements, sa respiration était plus intense. Je sentais ses mains dans mes cheveux, par séquences même ses ongles m’agripper. Cela donnait forcement l’envie de s’appliquer. J’ai aperçu des mouvements de son buste et de son bas du dos, comme si elle cherchait à s’étirer ou à mieux profiter de ce qui était en train de lui être offert. Sans hésiter j’entra un troisième doigt, j’ai même penser y entrer la main pour la fister, mais cela sera pour une prochaine fois. Elle n’était plus très loin de jouir, ses joues étaient rouges vifs, elle qui a d’habitude un teint très pâle… mais c’était trop tôt pour cela. Je stoppa net le cunnilingus pour retourner l’embrasser généreusement.
Elle avait très envie de me branler, et de me sucer car ses deux mains étaient en action près de mon sexe. J’avais peur de ne pas pouvoir bander à fond car il fallait que je m’allége la vessie. En me dirigeant vers les toilettes, j’ai vu qu’elle ne me quittait pas, elle qu’elle emboîtait mon pas. Je ne sais pas si elle avait très bien compris ce que j’avais envie de faire avant de pouvoir lui mettre mon engin à disposition… peut-être voulait-elle simplement changer de pièce pour poursuivre ce qu’on avait entamé ? Elle m’empêcha d’ouvrir la bonne porte, et me poussa dans la salle de douche. C’est là qu’elle me demanda quelque chose de très inattendu, et d’imprévisible, d’uriner sur elle. Elle enleva son haut, déboutonna son soutien-gorge en se mettant à genoux dans la douche. J’étais un peu gêné, bloqué. Elle venu gober mes bourses, remontant lentement sa langue le long de mon sexe, sans jamais atteindre mon gland. Elle me dit : « Dépêche toi avant de bander trop fort, pisse sur mes seins que cela puisse couler jusqu’à ma chatte ». Je m’exécuta, vidant toute ma vessie sur sa poitrine, en la fixant dans les yeux sans discontinuer. J’avais comme une sensation de jouissance, c’était très inhabituel, de son côté elle prenait soin de diriger le jet vers son orifice… une expérience aussi unique que plaisante. Elle prit le temps de se rincer et me dit « Attend-moi dans la chambre, j’en ai pour une minute » !
Je m’allongea sur le lit bien confortablement en fermant les yeux. J’entendis le long du couloir ses pas venir à moi, puis senti le matelas bouger. Sans plus attendre, elle prit mon sexe à deux mains pour entamer une vigoureuse branlette. Son pouce titillait mon gland, ses doigts exerçait une pression relativement forte le long de mon sexe, elle s’attardait par moment plus bas pour me caresser les bourses… elle me dit alors « Je vais te soulager, elles ont l’air lourdes à porter » ! Une fois ces mots prononcés, elle me prit en bouche, et commença à me sucer goulument. Ce n’était pas une fellation de jeune première innocente, c’était d’une précision et d’une force à donner des sensations extrêmement puissantes. Une vraie experte en la matière, elle aimait cela c’était évident. Elle ne manquait pas de laisser couler sa salive le long de mon sexe en érection pour ensuite venir tout aspirer en me fixant dans les yeux. Un entraînement pour aspirer tout mon foutre dans quelques instants ? Je lui dis alors : « Qu’est-ce que c’est bon, tu pourrais me faire jouir à me gober comme ça ». Une phrase qu’il l’a excité davantage. Elle se mit à cracher plusieurs fois sur mon gland puis entreprit une gorge profonde. Je vis mon sexe littéralement disparaitre au fond de sa gorge. Elle semblait s’étouffer, devait écarlate mais ne lâchait rien. Mon engin se retira, elle laissa échapper plusieurs longues glaires de salives, certaines encore collées à ses lèvres. Elle voulait y retourner ça se voyait… j’avais moi même très envie que cela se produise. Le temps de reprendre ses esprits, son souffle et c’était partie remise. Cette fois j’ai fermement maintenu sa tête pour que la sensation soit plus intense, j’avais l’impression qu’elle allait s’étouffer en me bouffant la queue.
J’avais franchement du mal à me retenir, je sentais que mon sperme n’était pas loin de gicler… elle en avait aussi la sensation. Je voulais venir dans sa bouche c’était un fantasme. Sa langue tournait rapidement autour de mon gland, je commençais a avoir des frissons dans tout le corps…
- Tu vas me faire venir, je tremble de partout
- Parfait, je n’attends que ça… c’est quand tu veux !
- Dans ta bouche ?
- Oui tout dans ma bouche, je ne veux pas en perdre une goutte
- Je vais me branler jusqu’a gicler dedans…
- Oui, approche toi au plus près de mes lèvres, je pourrai te donner quelques petits coups de langue
- Oh oui… c’est trop bon ! Ça arrive, je jouis ! Avale tout, et nettoie moi intégralement la queue.
Elle s’exécuta sans broncher, quand je retira ma queue de sa bouche, il n’y avait plus une goutte de sperme, tout était déjà très loin. C’était une vraie suceuse comme on en croise pas si souvent, pour elle prendre en bouche et un plaisir, plus qu’un devoir. Avaler et un aboutissement, et non une corvée. Je réalise qu’en l’espace d’une demi heure, j’avais réussi à vider ma vessie et mes bourses sur elle… je l’avais recouverte de mes fluides, elle avait pu les ressentir, les goûter, les avaler. J’avais besoin d’un petit temps de pause pour que mon sexe puisse redevenir actif, il était grand temps de lui bouffer à nouveau la chatte, après tout elle aussi à le droit de jouir non ?
Le cunnilingus est un de mes péchés mignons, et c’était déjà le deuxième en très peu de temps. Il était nécessaire pour que je reprenne mes esprits et qu’on fasse redescendre nos rythmes cardiaques à tous les deux. L’excitation est toujours présente malgré tout, sa chatte mouille à nouveau, et j’en profite pour lui demander de venir me rendre l’appareil. Nous débutons une position 69, elle vient se mettre à quatre pattes devant moi, m’offrant une vue imprenables sur ses deux orifices… elle prit le temps d’attacher ses cheveux avant de venir me reprendre en bouche. C’est très plaisant de partager ce plaisir mutuel, ne me satisfaisant pas de lui manger la chatte, je décide de la doigter vigoureusement pour préparer la pénétration prochaine. Cependant je pense qu’elle a grandement envie de jouir avant de débuter les choses vraiment sérieuses, au bout du troisième doigts en simultanée je ressens qu’elle n’en peut plus. Je l’entends gémir, elle n’arrive même plus réellement à me sucer. Je mets alors le coup de grâce, en y allant le plus fort possible. Elle hurle de plaisir et me gratifie de plusieurs généreuses coulées de mouilles… J’adore savoir qu’elle a enfin prit du plaisir, nous échangerons un regard complice qui signifie que c’est le moment de passer aux choses plus sérieuses… elle veut que je la prenne, elle veut mon sexe en elle, elle veut être pénétré sans plus attendre.
Je lui dis de ne pas bouger, et de rester à quatre pattes, je me place derrière elle, frotte mon engin pour l’humilier avant de débuter la pénétration.
Sa chatte est bien serré ce qui peut paraître étonnant car je suis très loin d’être son premier étalon, mais c’est pourtant bien le cas. Je n’ai pas forcement eu à forcer pour entrer les doigts mais là ce ne va pas être la même chanson. Je pris mon temps pour ne pas lui faire mal, petit à petit je progressais au sein de son orifice en chaleur. Des allers et viens lents avant d’y aller plus franchement ?
- Ta chatte est toute serrée j’adore !
- Tu vas voir elle va se dilater…
- J’y vais doucement t’inquiète pas.
- Non, là c’est bon tu peux envoyer… baise moi bien fort.
Je ne me suis pas fais prier. J’ai enchainé les coups de reins pour donner puissance et régularité, je voulais qu’elle sente que j’étais bien là en elle, bien membré et qu’elle allait peut-être regretter de m’avoir dis « Baise moi bien fort » ! C’est littéralement comme une dévergondée que je l’ai baisée, fessant fortement son postérieur au point d’y distinguer mes doigts sur sa peau, et en lui glissant tout bas quelques mots crus…
- Tu es une vraie chienne, je vais te défoncer la chatte jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter
- Ce n’est pas prêt d’arriver que je te supplie… j’encaisse plutôt bien tu sais…
- Je ne sais pas mais je m’en rends compte effectivement, tu es une bonne putin, j’adore !
- Oui et aujourd’hui je suis ta putin à toi, profites.
Elle toucha mes bourses avec sa main droite, ne se servant que de sa main gauche pour l’équilibrer, de mon côte j’avais ma main, gauche sur son clitoris, et ma main alternait entre fessées et tirages de cheveux.
- Oh oui, oh oui putin baise moi fort… baise moi j’aime ça, j’aime ta queue !
Je ne voulais pas non plus que les voisins l’entendent…
- Soit tu manges l’oreiller, soit je te bâillonnes !
- Ah oui même pas cap ?
Elle ne savait pas a qui elle avait à faire je pense, j’ai attrapé son string qui était sur la table de nuit, et je lui ai enfilé entier en bouche…
- Et maintenant tu vas pouvoir crier tout ce que tu veux grosse chienne.
- Mmmmmmmmmmhhh mmmmmmmmhmhhhhhhh
Elle prenait un plaisir très important, mais plus silencieux, c’était excitant pour moi… je ne voyais pas son visage mais l’imaginais bien, la bouche remplie par son string, encaissant les puissants coups de queues sans discontinuer.
Toutes les bonnes choses ont une fin. J’ai préféré me retirer pour varier les plaisirs. J’avais pas mal bossé, c’était a elle d’être imaginative. Elle ne se fît pas prier très longtemps. Immédiatement elle me demande de m’allonger sur le dos, et me prit en bouche. Elle crache sur mon sexe et commença une brève fellation. Elle voulait redonner de la lubrification avant de venir s’assoir sur mon pénis en érection. Elle géra les mouvements, dansa avec ses hanches, en avançant, puis en reculant. A aucun moment je n’ai fais d’efforts, elle était libre comme l’air de faire ce quelle voulait et c’était très bien pour préparer la suite des opérations. Elle avait de petits seins, mais très mignons, j’en ai profité pour attrapé ses tétons bien dures et pour les pincer légèrement.
- Viens te serrer contre moi, je veux sentir ton corps contre le mien
- Laisse moi encore un peu te faire du bien !
- Je veux t’embrasser maintenant, viens...
C’était une tactique pour la faire se rapprocher de moi et faire en sortes de passer mes mains derrière son dos. Je la bloque contre mon corps tout en l’embrassant et d’un coup un seul me remet à faire des allers-retours vigoureux et rapides. Je tape bien dans le fond pour lui montrer que j’ai un bon outil, et je me mets à faire ce que j’appelle le « marteau piqueur ». Jusqu’à ne plus en pouvoir j’accélère progressivement mes vas et vient en maintenant mes bras bien autour de son dos. Débarrassé du string qui occupé préalablement sa bouche, je l’entendis à nouveau gémir de plus belle, mais ce n’était pas grave, cela me donnait de la motivation pour continuer encore et encore. Sincèrement j’ai stoppé juste avant de jouir, et de son côté elle m’a encore lâché une très belle production de mouille, mon chiffre était trempé, tout comme les draps.
Je l’embrassa quelques secondes, avant ce lui mordiller l’oreille et de lui glisser quelques mots :
- On fait une cuillère ? J’ai envie de te sentir encore collée à moi…
- D’accord, mais doucement alors, je veux que tu me fasse des bisous dans le cou, avec tendresse
- Bien sûre, pas de soucis.
J’ai passé dix bonnes minutes en cuillère, sans réellement va bouger mon sexe, juste en la pénétrant et en lui procurant de la tendresse, des bisous, des petits souffles dans le cou, des caresses sur sa poitrine, mes mains dans ses cheveux. De cette position, nous avons basculé tout naturellement vers un missionnaire, très classique, trop peut être ? C’est pour cela que j’ai pris l’initiative de lui lever la jambe gauche, pour accentuer l’angle de pénétration et lui donner des sensations supplémentaires. Cette fois-ci, je l’ai senti proche de la rupture, mais je n’ai pas voulu l’épargner, j’ai voulu la terminer, la faire jouir une seconde fois. Mon membre bien dure en elle, j’envoyais tout ce que je pouvais pour qu’elle me sente bien la traverser, sans oublier de mettre un doigt dans sa bouche de temps en temps, de bien la fixer dans les yeux, et de lui rappeler avec des mots crus que j’aimais énormément ce qui était en train de se passer.
- Tu es une belle salope tu sais… j’en ai connu mais toi tu es la reine !
- Continue encore, encore plus fort, baise moi, je vais jouir, vasy encore plus fort….
Je continua bien entendu jusqu’à ce qu’elle jouisse. Et tout d’un coup je l’ai senti presque s’endormir tellement cela avait été bon.
Je m’allongea a côté d’elle avec une idée en tête, lui prendre le cul. Je savais qu’elle était pas très a l’aise avec cette pratique, a cause de mauvaises expériences dans le passé. Cette fois je voulais faire ça bien, pour lui redonner envie de pratiquer la sodomie à l’avenir.
- On refait une 69, j’ai une surprise pour toi !
- Oh c’est quoi ?
- Tu vas voir si je te le dis ce n’est plus une surprise…
Nous débutons en douceur, mais cette fois-au lieu de m’intéresser à son vagin, je me concentre quasi exclusivement sur son anus. J’utilise de la mouille pour lubrifier l’orifice, puis commence à y rentrer un doigt, puis deux. J’ai un peu de mal à me concentrer tant elle me suce une fois encore comme une reine. J’étale désormais avec insistance ma langue de bas en haut de son petit trou noir. Je crois que ça la chatouille, car elle frisonne quelques peu. Après un bon quart d’heure de préparation, je lui fais une proposition alléchante, qui j’espère ne sera pas refusée !
- Je peux t’enculer ? J’ai très envie… promis j’y vais tout doucement !
- D’accord mais tu m’écoutes bien, tu suis mon rythme… je vais peut-être avoir du mal à l’encaisser ton sexe… Il fait combien d’ailleurs ?
- Un bon 18 bien épais, juste ce qu’il faut pour te mettre bien.
Nous nous installons en levrette pour réaliser cette sodomie, je débute avec beaucoup de précautions, j’entre le gland, puis centimètre par centimètre mon sexe, en prenant soin qu’il soit correctement humidifier avant pour lui faire aucun mal. Pour ne rien perturber, nous ne changeons pas de position, bien décidé à en finir ainsi. J’accélère les coups de reins, pour que mon sexe pénètre plus intensément et plus profondément son cul. Il est bien ouvert, plus de doute sur le fait qu’elle encaisse sans rechigner. Je l’entends émettre des sons tamisé par l’oreiller qu’elle est entrain de mordre, je glisse mes doigts sous elle, entre son clitoris et son vagin pour une stimulation encore plus intense. Je sens qu’elle est au bord de la rupture et qu’elle peut jouir à tout moment. C’est mon cas aussi, je décide de ne rien retenir, ça viendra comme ça viendra et quand ça viendra. Ses cris sont désormais assez intenses, de mon côté j’ai du mal à retenir les miens….
- Je vais tout lâcher au fond de ton cul !
- Oui quand tu veux, je crois que je vais jouir aussi... encule moi encore !
- Je te donne tout ce qu’il me reste… jusqu’à littéralement humilier ton cul de foutre chaud...
- Ohhhh oui !
Ses mots crus l’ont fait venir, je senti sa respiration changer, plusieurs cris aigu sortir de sa bouche, puis un petit jet de mouille couler le long de ses jambes. Je lui rendis l’appareil en giclant généreusement au fond de son anus. Je ne sorti pas directement, j’enchaîna encore quelques allers-retours plus lents pour être certain d’entièrement me vider en elle.
- J’ai tout lâché, reste comme ça… pour que ça s’évacue tranquillement !
- D’accord, j’ai hâte… tu m’as vraiment bien baisé de partout, c’était super agréable.
Je me retira, pris quelques centimètres de recul et regarda le spectacle de son orifice qui continuaient ses contractions de manière naturelles. Le sperme commença à quitter son anus, quelques petites bulles, des bruits d’éjections, les draps inondés de mon foutre. C’était le point final de cette belle partie de sexe. Difficile de trouver les mots après un acte aussi intense, nous avons pris une douche bien chaude avant d’aller se coucher, cette fois plus sagement… enfin ça c’est pas sûre encore.
Je décida de l’embrasser fougueusement, saisissant l’arrière de sa tête avec ma main gauche, laissant la droite effleurer ses hanches de bas en haut.
L’excitation était clairement partagée, je ne pouvais m’empêcher de me remémorer ce que je savais déjà d’elle et de ses pratiques, grâce aux histoires que j’avais pu apprendre de sa bouche et de celle de son ex petit copain. Ce n’était pas une fille facile bien au contraire, mais quand elle l’avait décidé, elle savait aller très loin pour prendre un maximum de plaisir et satisfaire au mieux son partenaire. Je savais qu’elle allait me faire confiance et ne pas douter, entre nous il y avait énormément de respect.
J’avais de plus en plus chaud, trop d’idées en tête il fallait commencer à en mettre en pratique quelques unes.
Je déboutonna son jean pour y glisser mes doigts bien ferme, à la rencontre de son string déjà bien humide. En exerçant quelques pressions je pouvais identifier les contours de son sexe, et sentir son clitoris bien gonflé. Je continua quelques secondes pour être certain de la mettre dans les meilleurs conditions d’excitation et de désir.
Pendant que je m’occupais d’elle j’ai bien senti qu’elle voulait me rendre l’appareil mais ce temps là n’était pas encore venu. J’introduis un doigt, puis rapidement le deuxième en elle. Cela peut sembler cliché, mais ils sont entrés comme dans du beurre. J’aimais beaucoup la sensation que procurais sa mouille généreuse sur ma peau, j’accéléra alors les allers-retours pour la ressentir davantage. Je serra mes deux doigts tout en recourbant l’extrémité pour la faire frissonner au plus haut point.
Elle m’aida a retirer son jean, mais pas que… son string fût ôté par la même occasion. Sans me faire prier je commença a lui administrer un cunnilingus. Mes lèvres, ma langue face à sa vulve en ébullition, quel plaisir. Je ne cessa pas d’y introduire mes doigts, mais j’étais concentré sur les mouvements de ma langue. Sa chatte sentait la noix de coco, elle était lice sans aucun poil apparent, son clitoris gonflé, ses parois bouillantes.
Je pouvais l’entendre pousser de légers gémissements, sa respiration était plus intense. Je sentais ses mains dans mes cheveux, par séquences même ses ongles m’agripper. Cela donnait forcement l’envie de s’appliquer. J’ai aperçu des mouvements de son buste et de son bas du dos, comme si elle cherchait à s’étirer ou à mieux profiter de ce qui était en train de lui être offert. Sans hésiter j’entra un troisième doigt, j’ai même penser y entrer la main pour la fister, mais cela sera pour une prochaine fois. Elle n’était plus très loin de jouir, ses joues étaient rouges vifs, elle qui a d’habitude un teint très pâle… mais c’était trop tôt pour cela. Je stoppa net le cunnilingus pour retourner l’embrasser généreusement.
Elle avait très envie de me branler, et de me sucer car ses deux mains étaient en action près de mon sexe. J’avais peur de ne pas pouvoir bander à fond car il fallait que je m’allége la vessie. En me dirigeant vers les toilettes, j’ai vu qu’elle ne me quittait pas, elle qu’elle emboîtait mon pas. Je ne sais pas si elle avait très bien compris ce que j’avais envie de faire avant de pouvoir lui mettre mon engin à disposition… peut-être voulait-elle simplement changer de pièce pour poursuivre ce qu’on avait entamé ? Elle m’empêcha d’ouvrir la bonne porte, et me poussa dans la salle de douche. C’est là qu’elle me demanda quelque chose de très inattendu, et d’imprévisible, d’uriner sur elle. Elle enleva son haut, déboutonna son soutien-gorge en se mettant à genoux dans la douche. J’étais un peu gêné, bloqué. Elle venu gober mes bourses, remontant lentement sa langue le long de mon sexe, sans jamais atteindre mon gland. Elle me dit : « Dépêche toi avant de bander trop fort, pisse sur mes seins que cela puisse couler jusqu’à ma chatte ». Je m’exécuta, vidant toute ma vessie sur sa poitrine, en la fixant dans les yeux sans discontinuer. J’avais comme une sensation de jouissance, c’était très inhabituel, de son côté elle prenait soin de diriger le jet vers son orifice… une expérience aussi unique que plaisante. Elle prit le temps de se rincer et me dit « Attend-moi dans la chambre, j’en ai pour une minute » !
Je m’allongea sur le lit bien confortablement en fermant les yeux. J’entendis le long du couloir ses pas venir à moi, puis senti le matelas bouger. Sans plus attendre, elle prit mon sexe à deux mains pour entamer une vigoureuse branlette. Son pouce titillait mon gland, ses doigts exerçait une pression relativement forte le long de mon sexe, elle s’attardait par moment plus bas pour me caresser les bourses… elle me dit alors « Je vais te soulager, elles ont l’air lourdes à porter » ! Une fois ces mots prononcés, elle me prit en bouche, et commença à me sucer goulument. Ce n’était pas une fellation de jeune première innocente, c’était d’une précision et d’une force à donner des sensations extrêmement puissantes. Une vraie experte en la matière, elle aimait cela c’était évident. Elle ne manquait pas de laisser couler sa salive le long de mon sexe en érection pour ensuite venir tout aspirer en me fixant dans les yeux. Un entraînement pour aspirer tout mon foutre dans quelques instants ? Je lui dis alors : « Qu’est-ce que c’est bon, tu pourrais me faire jouir à me gober comme ça ». Une phrase qu’il l’a excité davantage. Elle se mit à cracher plusieurs fois sur mon gland puis entreprit une gorge profonde. Je vis mon sexe littéralement disparaitre au fond de sa gorge. Elle semblait s’étouffer, devait écarlate mais ne lâchait rien. Mon engin se retira, elle laissa échapper plusieurs longues glaires de salives, certaines encore collées à ses lèvres. Elle voulait y retourner ça se voyait… j’avais moi même très envie que cela se produise. Le temps de reprendre ses esprits, son souffle et c’était partie remise. Cette fois j’ai fermement maintenu sa tête pour que la sensation soit plus intense, j’avais l’impression qu’elle allait s’étouffer en me bouffant la queue.
J’avais franchement du mal à me retenir, je sentais que mon sperme n’était pas loin de gicler… elle en avait aussi la sensation. Je voulais venir dans sa bouche c’était un fantasme. Sa langue tournait rapidement autour de mon gland, je commençais a avoir des frissons dans tout le corps…
- Tu vas me faire venir, je tremble de partout
- Parfait, je n’attends que ça… c’est quand tu veux !
- Dans ta bouche ?
- Oui tout dans ma bouche, je ne veux pas en perdre une goutte
- Je vais me branler jusqu’a gicler dedans…
- Oui, approche toi au plus près de mes lèvres, je pourrai te donner quelques petits coups de langue
- Oh oui… c’est trop bon ! Ça arrive, je jouis ! Avale tout, et nettoie moi intégralement la queue.
Elle s’exécuta sans broncher, quand je retira ma queue de sa bouche, il n’y avait plus une goutte de sperme, tout était déjà très loin. C’était une vraie suceuse comme on en croise pas si souvent, pour elle prendre en bouche et un plaisir, plus qu’un devoir. Avaler et un aboutissement, et non une corvée. Je réalise qu’en l’espace d’une demi heure, j’avais réussi à vider ma vessie et mes bourses sur elle… je l’avais recouverte de mes fluides, elle avait pu les ressentir, les goûter, les avaler. J’avais besoin d’un petit temps de pause pour que mon sexe puisse redevenir actif, il était grand temps de lui bouffer à nouveau la chatte, après tout elle aussi à le droit de jouir non ?
Le cunnilingus est un de mes péchés mignons, et c’était déjà le deuxième en très peu de temps. Il était nécessaire pour que je reprenne mes esprits et qu’on fasse redescendre nos rythmes cardiaques à tous les deux. L’excitation est toujours présente malgré tout, sa chatte mouille à nouveau, et j’en profite pour lui demander de venir me rendre l’appareil. Nous débutons une position 69, elle vient se mettre à quatre pattes devant moi, m’offrant une vue imprenables sur ses deux orifices… elle prit le temps d’attacher ses cheveux avant de venir me reprendre en bouche. C’est très plaisant de partager ce plaisir mutuel, ne me satisfaisant pas de lui manger la chatte, je décide de la doigter vigoureusement pour préparer la pénétration prochaine. Cependant je pense qu’elle a grandement envie de jouir avant de débuter les choses vraiment sérieuses, au bout du troisième doigts en simultanée je ressens qu’elle n’en peut plus. Je l’entends gémir, elle n’arrive même plus réellement à me sucer. Je mets alors le coup de grâce, en y allant le plus fort possible. Elle hurle de plaisir et me gratifie de plusieurs généreuses coulées de mouilles… J’adore savoir qu’elle a enfin prit du plaisir, nous échangerons un regard complice qui signifie que c’est le moment de passer aux choses plus sérieuses… elle veut que je la prenne, elle veut mon sexe en elle, elle veut être pénétré sans plus attendre.
Je lui dis de ne pas bouger, et de rester à quatre pattes, je me place derrière elle, frotte mon engin pour l’humilier avant de débuter la pénétration.
Sa chatte est bien serré ce qui peut paraître étonnant car je suis très loin d’être son premier étalon, mais c’est pourtant bien le cas. Je n’ai pas forcement eu à forcer pour entrer les doigts mais là ce ne va pas être la même chanson. Je pris mon temps pour ne pas lui faire mal, petit à petit je progressais au sein de son orifice en chaleur. Des allers et viens lents avant d’y aller plus franchement ?
- Ta chatte est toute serrée j’adore !
- Tu vas voir elle va se dilater…
- J’y vais doucement t’inquiète pas.
- Non, là c’est bon tu peux envoyer… baise moi bien fort.
Je ne me suis pas fais prier. J’ai enchainé les coups de reins pour donner puissance et régularité, je voulais qu’elle sente que j’étais bien là en elle, bien membré et qu’elle allait peut-être regretter de m’avoir dis « Baise moi bien fort » ! C’est littéralement comme une dévergondée que je l’ai baisée, fessant fortement son postérieur au point d’y distinguer mes doigts sur sa peau, et en lui glissant tout bas quelques mots crus…
- Tu es une vraie chienne, je vais te défoncer la chatte jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter
- Ce n’est pas prêt d’arriver que je te supplie… j’encaisse plutôt bien tu sais…
- Je ne sais pas mais je m’en rends compte effectivement, tu es une bonne putin, j’adore !
- Oui et aujourd’hui je suis ta putin à toi, profites.
Elle toucha mes bourses avec sa main droite, ne se servant que de sa main gauche pour l’équilibrer, de mon côte j’avais ma main, gauche sur son clitoris, et ma main alternait entre fessées et tirages de cheveux.
- Oh oui, oh oui putin baise moi fort… baise moi j’aime ça, j’aime ta queue !
Je ne voulais pas non plus que les voisins l’entendent…
- Soit tu manges l’oreiller, soit je te bâillonnes !
- Ah oui même pas cap ?
Elle ne savait pas a qui elle avait à faire je pense, j’ai attrapé son string qui était sur la table de nuit, et je lui ai enfilé entier en bouche…
- Et maintenant tu vas pouvoir crier tout ce que tu veux grosse chienne.
- Mmmmmmmmmmhhh mmmmmmmmhmhhhhhhh
Elle prenait un plaisir très important, mais plus silencieux, c’était excitant pour moi… je ne voyais pas son visage mais l’imaginais bien, la bouche remplie par son string, encaissant les puissants coups de queues sans discontinuer.
Toutes les bonnes choses ont une fin. J’ai préféré me retirer pour varier les plaisirs. J’avais pas mal bossé, c’était a elle d’être imaginative. Elle ne se fît pas prier très longtemps. Immédiatement elle me demande de m’allonger sur le dos, et me prit en bouche. Elle crache sur mon sexe et commença une brève fellation. Elle voulait redonner de la lubrification avant de venir s’assoir sur mon pénis en érection. Elle géra les mouvements, dansa avec ses hanches, en avançant, puis en reculant. A aucun moment je n’ai fais d’efforts, elle était libre comme l’air de faire ce quelle voulait et c’était très bien pour préparer la suite des opérations. Elle avait de petits seins, mais très mignons, j’en ai profité pour attrapé ses tétons bien dures et pour les pincer légèrement.
- Viens te serrer contre moi, je veux sentir ton corps contre le mien
- Laisse moi encore un peu te faire du bien !
- Je veux t’embrasser maintenant, viens...
C’était une tactique pour la faire se rapprocher de moi et faire en sortes de passer mes mains derrière son dos. Je la bloque contre mon corps tout en l’embrassant et d’un coup un seul me remet à faire des allers-retours vigoureux et rapides. Je tape bien dans le fond pour lui montrer que j’ai un bon outil, et je me mets à faire ce que j’appelle le « marteau piqueur ». Jusqu’à ne plus en pouvoir j’accélère progressivement mes vas et vient en maintenant mes bras bien autour de son dos. Débarrassé du string qui occupé préalablement sa bouche, je l’entendis à nouveau gémir de plus belle, mais ce n’était pas grave, cela me donnait de la motivation pour continuer encore et encore. Sincèrement j’ai stoppé juste avant de jouir, et de son côté elle m’a encore lâché une très belle production de mouille, mon chiffre était trempé, tout comme les draps.
Je l’embrassa quelques secondes, avant ce lui mordiller l’oreille et de lui glisser quelques mots :
- On fait une cuillère ? J’ai envie de te sentir encore collée à moi…
- D’accord, mais doucement alors, je veux que tu me fasse des bisous dans le cou, avec tendresse
- Bien sûre, pas de soucis.
J’ai passé dix bonnes minutes en cuillère, sans réellement va bouger mon sexe, juste en la pénétrant et en lui procurant de la tendresse, des bisous, des petits souffles dans le cou, des caresses sur sa poitrine, mes mains dans ses cheveux. De cette position, nous avons basculé tout naturellement vers un missionnaire, très classique, trop peut être ? C’est pour cela que j’ai pris l’initiative de lui lever la jambe gauche, pour accentuer l’angle de pénétration et lui donner des sensations supplémentaires. Cette fois-ci, je l’ai senti proche de la rupture, mais je n’ai pas voulu l’épargner, j’ai voulu la terminer, la faire jouir une seconde fois. Mon membre bien dure en elle, j’envoyais tout ce que je pouvais pour qu’elle me sente bien la traverser, sans oublier de mettre un doigt dans sa bouche de temps en temps, de bien la fixer dans les yeux, et de lui rappeler avec des mots crus que j’aimais énormément ce qui était en train de se passer.
- Tu es une belle salope tu sais… j’en ai connu mais toi tu es la reine !
- Continue encore, encore plus fort, baise moi, je vais jouir, vasy encore plus fort….
Je continua bien entendu jusqu’à ce qu’elle jouisse. Et tout d’un coup je l’ai senti presque s’endormir tellement cela avait été bon.
Je m’allongea a côté d’elle avec une idée en tête, lui prendre le cul. Je savais qu’elle était pas très a l’aise avec cette pratique, a cause de mauvaises expériences dans le passé. Cette fois je voulais faire ça bien, pour lui redonner envie de pratiquer la sodomie à l’avenir.
- On refait une 69, j’ai une surprise pour toi !
- Oh c’est quoi ?
- Tu vas voir si je te le dis ce n’est plus une surprise…
Nous débutons en douceur, mais cette fois-au lieu de m’intéresser à son vagin, je me concentre quasi exclusivement sur son anus. J’utilise de la mouille pour lubrifier l’orifice, puis commence à y rentrer un doigt, puis deux. J’ai un peu de mal à me concentrer tant elle me suce une fois encore comme une reine. J’étale désormais avec insistance ma langue de bas en haut de son petit trou noir. Je crois que ça la chatouille, car elle frisonne quelques peu. Après un bon quart d’heure de préparation, je lui fais une proposition alléchante, qui j’espère ne sera pas refusée !
- Je peux t’enculer ? J’ai très envie… promis j’y vais tout doucement !
- D’accord mais tu m’écoutes bien, tu suis mon rythme… je vais peut-être avoir du mal à l’encaisser ton sexe… Il fait combien d’ailleurs ?
- Un bon 18 bien épais, juste ce qu’il faut pour te mettre bien.
Nous nous installons en levrette pour réaliser cette sodomie, je débute avec beaucoup de précautions, j’entre le gland, puis centimètre par centimètre mon sexe, en prenant soin qu’il soit correctement humidifier avant pour lui faire aucun mal. Pour ne rien perturber, nous ne changeons pas de position, bien décidé à en finir ainsi. J’accélère les coups de reins, pour que mon sexe pénètre plus intensément et plus profondément son cul. Il est bien ouvert, plus de doute sur le fait qu’elle encaisse sans rechigner. Je l’entends émettre des sons tamisé par l’oreiller qu’elle est entrain de mordre, je glisse mes doigts sous elle, entre son clitoris et son vagin pour une stimulation encore plus intense. Je sens qu’elle est au bord de la rupture et qu’elle peut jouir à tout moment. C’est mon cas aussi, je décide de ne rien retenir, ça viendra comme ça viendra et quand ça viendra. Ses cris sont désormais assez intenses, de mon côté j’ai du mal à retenir les miens….
- Je vais tout lâcher au fond de ton cul !
- Oui quand tu veux, je crois que je vais jouir aussi... encule moi encore !
- Je te donne tout ce qu’il me reste… jusqu’à littéralement humilier ton cul de foutre chaud...
- Ohhhh oui !
Ses mots crus l’ont fait venir, je senti sa respiration changer, plusieurs cris aigu sortir de sa bouche, puis un petit jet de mouille couler le long de ses jambes. Je lui rendis l’appareil en giclant généreusement au fond de son anus. Je ne sorti pas directement, j’enchaîna encore quelques allers-retours plus lents pour être certain d’entièrement me vider en elle.
- J’ai tout lâché, reste comme ça… pour que ça s’évacue tranquillement !
- D’accord, j’ai hâte… tu m’as vraiment bien baisé de partout, c’était super agréable.
Je me retira, pris quelques centimètres de recul et regarda le spectacle de son orifice qui continuaient ses contractions de manière naturelles. Le sperme commença à quitter son anus, quelques petites bulles, des bruits d’éjections, les draps inondés de mon foutre. C’était le point final de cette belle partie de sexe. Difficile de trouver les mots après un acte aussi intense, nous avons pris une douche bien chaude avant d’aller se coucher, cette fois plus sagement… enfin ça c’est pas sûre encore.
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