Fâcheuse rencontre qui fût une révélation !
Récit érotique écrit par Anacreon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fâcheuse rencontre qui fût une révélation !
Bonjour à tous,
Je m'appelle Roland, j'ai maintenant 55 ans et voici une aventure qui m'est arrivé alors que je devais avoir 18/19 ans.
À cette époque, il m'arrivait d'aller dans des bals de campagne avec un ami qui avait le permis de conduire. Lors d'un de ces bals,
j'ai fait la connaissance d'une charmante jeune fille, Geneviève qui avait à peu près mon âge.
Nous étions ensemble depuis quelques semaines, mais pas facile de se voir sans permis. Ce n'était possible que le jeudi ou après
3/4 d'heure d'autocar je venais la rejoindre à l'entrée de son village.
Difficile aussi de trouver un abri pour nous câliner, mais nous avions trouvé une grange à 2 kilomètres à pied du village.
Là nous avons connu nos premiers frissons amoureux, caresses, pénétrations et découvertes de toutes sortes.
Geneviève était une jolie fille brune, toute menue, avec de petits seins d'adolescente. De mon côté, je devais mesurer 1,75 m
pour 55 kilos. J'étais tout frêle aussi.
Un jour que nous nous ébattions, tendrement enlacés, presque nus tous les deux, la porte de la grange s'ouvre brusquement.
Un grand gaillard d'une cinquantaine d'année, en tenue de paysan entre. D'où nous étions, il ne pouvait nous apercevoir de suite,
mais en pénétrant plus avant, il nous aperçut.
- Ben mes gaillards, vous v’la dans de beaux draps ! Vous venez faire l’amour dans ma grange !
Tout en s’exprimant il continuait d’avancer et d’un seul coup, il reconnut Geneviève.
- Ah c’est toi petite salope qui vient se faire mettre dans mon foin ? Fernand, ton père est au courant que sa fille est une traînée ?
Moi j’ai bien envie de tout lui dire au Fernand.
- Oh, non s’il vous plait monsieur, lui dites rien, sinon il va me tuer !
- Il aurait bien raison de te foutre une rouste, car t’es bien une petite salope à te laisser toucher le pipi par un petit branleur
comme lui là !
- Si tu veux pas qu’j’y dise à ton père, va falloir être gentille avec moi et venir me sucer la bite qu’est déjà toute tendue à te voir
comme ça à moitié à poil.
Je ne pouvais pas rester sans rien faire, et je me levais en lui disant :
- S’il vous plait monsieur, soyez sympa et laissez nous aller.
- Toi le petit PD retourne dans ton coin, me dit-il en m’assénant une énorme gifle qui m’envoya valdinguer 2 mètres plus loin.
-Allez la petite ramène ta petite bouche de pute, et viens enfourner ma bite. Tout en disant cela, il avait dégrafé son pantalon qui
était maintenant avec son slip à hauteur des genoux. Il avait une bite qui me semblait énorme par rapport à la mienne. Il la
secouait dans sa main calleuse.
- Fais pas ta mijaurée, viens passer ta langue là-dessus, tu vas voir ce que c’est qu’une vraie grosse queue.
Tétanisée, Geneviève avançait vers lui. Elle fit les deux ou trois mètres qui les séparait à quatre pattes. Arrivée à sa hauteur, il
l’attrapa par les cheveux et frotta son visage sur sa bite qui semblait dure comme du bois.
Geneviève tentait de tourner la tête, mais il lui donna une gifle et lui dit :
- Maintenant tu suces ou ce soir je vais tout dire à ton père !
Désespérée, elle ouvrit la bouche et commença à sucer son tortionnaire. Elle avait des larmes qui coulaient. Désespoir, ou
simplement la difficulté à sucer cette queue qui lui déformait la bouche ?
Je me posais la question.
De mon côté, remis de sa claque, je décidais à nouveau d’intervenir en le menaçant d’aller raconter tout à la police.
-Vas y connard, vous rentrez chez moi, vous faites de l’exhib, et cette petite pute ne dit rien à ses parents... vas y essaie.
- Viens plutôt ici et vite, bouffe lui le cul à cette traînée le temps qu’elle s’occupe de mon gland.
Je cédais à la menace et venais me placer derrière Geneviève, et j’entreprenais de lui lécher la chatte après avoir pris soin de
relever sa jupe qu’elle avait encore autour de la taille.
Ce petit manège dura un long moment, quand il me dit de venir le sucer avec elle.
Nous voila donc, joue contre joue à sucer et lécher ce membre noueux. Les yeux dans les yeux, malgré notre peur, nos langues
se touchaient et cela semblait nous plaire. Avec un sourire aux lèvres, nous continuâmes notre besogne, chacun notre tour
enfournant cette bite dans la bouche de l’autre.
- Ça à l’air de vous amuser ? et bien on va changer. Toi la pute, va bouffer le cul de ton petit le temps qu’il me suce.
Nos rapports amoureux de nous avaient pas encore mené là. Notre jeunesse et notre timidité ne nous avaient pas permis d’aller
plus loin que certaines caresses et pénétrations très “basiques”.
Les mains et la langue de Geneviève sur mes fesses et mon anus me firent l’effet d’un électrochoc. Je frémis, de surprise et de
plaisir. Elle s’appliquait visiblement, et je sentais sa langue tourner autour et sur mon anus, parfois le bout passait la corolle,
comme une petite pénétration. Très réceptif à ses caresses bucales, j’en avais cessé ma fellation.
- Tu vois qu’tes un petit PD ! t’aimes qu’on t’touche le cul.
J’ondulais de plus en plus sous les caresses de ma bien-aimée.
De mon côté, je ne me sentais plus sous la menace, et je prenais goût à la situation. Je découvrais des situations, des sensations
que j’étais loin d’imaginer. Qu’en était-il de Geneviève ??
- Maintenant on change, nous dit le rustre. Toi la salope, à quatre pattes, je vais te prendre ta petite chatte de pute, j’imagine
qu’elle doit être bien serrée.
- Non dit Geneviève, je ne veux pas que vous me baisiez !
- La réponse fut immédiate, une énorme claque arriva sur ses fesses qui se mirent instantanément à rougir. Deux grosses larmes
s’échappaient des yeux de mon amie, qui vaincue se mit en position.
Le paysan s’approcha, la queue à la main, de l’autre il caressa la fente de Geneviève.
- Mais t’es toute mouillée salope ! On dirait que ça te plait d’être une pute. Allez, mets ta tête dans le foin et tends- moi bien ton
cul.
Sans ménagement aucun, sans obstacle apparent, il rentra son sexe dans celui de mon amie, que j’ai vu se contracter.
Il entama alors un lent ramonage, grognant de satisfaction.
Geneviève avait tourné légèrement la tête, et je la voyais, les yeux fermés, son visage laissait apparaître une étrange plénitude.
Avait-elle du plaisir ?
- Toi le PD, vient me bouffer le cul pendant que je la baise. Surtout n’oublie pas les couilles!
Comme je ne bougeais pas, il entama une série de fessée sur ma pauvre
Geneviève qui minaudait sous les coups et frétillait du fessier.
J’approchais alors et me mis à lui lécher les couilles et l’anus.
-Vas y petit, rentre bien ta langue, c’est bon. Je n’éprouvais aucun plaisir à faire cela, mais je dois dire que la situation me
troublait un peu.
J’entendis Geneviève gémir, sa respiration de plus en plus forte.
- T’aime ça salope te faire fourrer la moule. Il accélérait le rythme tout en sortant des insanités de plus en plus ignobles;
Je me donnais à mon suçage d’anus qu’en j’entendis Geneviève crier :
- Oh oui, c’est bon, je coule, je jouiiiiiis ! L’orgasme paraissait impressionnant, qu’elle s’écroula sur la paille, épuisée.
- Le vieux, se retrouvait la bite en l’air, un peu con de ne plus être dans sa chatte. Il se retourna, et il me cria : suces, finis moi !
J’ouvris la bouche et entrepris de le sucer du mieux que je pus. Geneviève qui semblait avoir récupérer un peu, me regarda en
souriant, et en silence, s’approcha pour se joindre à moi. Nous alternions d’une bouche à l’autre, mais c’est dans la sienne qu’il
jouit, la tenant de ses deux mains pour ne pas qu’elle se retire. Nous étions à l’unisson, et avions du plaisir à être côte à côte à
sucer cette queue.
Quand il daignât enfin la lâcher, ma belle me prit les lèvres et nous nous embrassâmes comme jamais, avec le sperme de notre
“tortionnaire” dans la bouche.
Nous déglutîmes notre dose en nous regardant, l’amour dans les yeux. Nous venions de découvrir une sexualité inédite à nos
yeux, nous avions pris contre toute attente du plaisir, et cela allait marquer à jamais nos fantasmes et notre façon de faire
l’amour...
Sans doute vous conterai-je un jour la suite de notre histoire qui durant encore 5 années.
Si mon récit (véridique) vous a plu, si vous fantasmez à ce sujet... merci de m’en faire part, surtout si vous êtes une femme qui
rêve à pareille aventure... bises à tous. Roland
Je m'appelle Roland, j'ai maintenant 55 ans et voici une aventure qui m'est arrivé alors que je devais avoir 18/19 ans.
À cette époque, il m'arrivait d'aller dans des bals de campagne avec un ami qui avait le permis de conduire. Lors d'un de ces bals,
j'ai fait la connaissance d'une charmante jeune fille, Geneviève qui avait à peu près mon âge.
Nous étions ensemble depuis quelques semaines, mais pas facile de se voir sans permis. Ce n'était possible que le jeudi ou après
3/4 d'heure d'autocar je venais la rejoindre à l'entrée de son village.
Difficile aussi de trouver un abri pour nous câliner, mais nous avions trouvé une grange à 2 kilomètres à pied du village.
Là nous avons connu nos premiers frissons amoureux, caresses, pénétrations et découvertes de toutes sortes.
Geneviève était une jolie fille brune, toute menue, avec de petits seins d'adolescente. De mon côté, je devais mesurer 1,75 m
pour 55 kilos. J'étais tout frêle aussi.
Un jour que nous nous ébattions, tendrement enlacés, presque nus tous les deux, la porte de la grange s'ouvre brusquement.
Un grand gaillard d'une cinquantaine d'année, en tenue de paysan entre. D'où nous étions, il ne pouvait nous apercevoir de suite,
mais en pénétrant plus avant, il nous aperçut.
- Ben mes gaillards, vous v’la dans de beaux draps ! Vous venez faire l’amour dans ma grange !
Tout en s’exprimant il continuait d’avancer et d’un seul coup, il reconnut Geneviève.
- Ah c’est toi petite salope qui vient se faire mettre dans mon foin ? Fernand, ton père est au courant que sa fille est une traînée ?
Moi j’ai bien envie de tout lui dire au Fernand.
- Oh, non s’il vous plait monsieur, lui dites rien, sinon il va me tuer !
- Il aurait bien raison de te foutre une rouste, car t’es bien une petite salope à te laisser toucher le pipi par un petit branleur
comme lui là !
- Si tu veux pas qu’j’y dise à ton père, va falloir être gentille avec moi et venir me sucer la bite qu’est déjà toute tendue à te voir
comme ça à moitié à poil.
Je ne pouvais pas rester sans rien faire, et je me levais en lui disant :
- S’il vous plait monsieur, soyez sympa et laissez nous aller.
- Toi le petit PD retourne dans ton coin, me dit-il en m’assénant une énorme gifle qui m’envoya valdinguer 2 mètres plus loin.
-Allez la petite ramène ta petite bouche de pute, et viens enfourner ma bite. Tout en disant cela, il avait dégrafé son pantalon qui
était maintenant avec son slip à hauteur des genoux. Il avait une bite qui me semblait énorme par rapport à la mienne. Il la
secouait dans sa main calleuse.
- Fais pas ta mijaurée, viens passer ta langue là-dessus, tu vas voir ce que c’est qu’une vraie grosse queue.
Tétanisée, Geneviève avançait vers lui. Elle fit les deux ou trois mètres qui les séparait à quatre pattes. Arrivée à sa hauteur, il
l’attrapa par les cheveux et frotta son visage sur sa bite qui semblait dure comme du bois.
Geneviève tentait de tourner la tête, mais il lui donna une gifle et lui dit :
- Maintenant tu suces ou ce soir je vais tout dire à ton père !
Désespérée, elle ouvrit la bouche et commença à sucer son tortionnaire. Elle avait des larmes qui coulaient. Désespoir, ou
simplement la difficulté à sucer cette queue qui lui déformait la bouche ?
Je me posais la question.
De mon côté, remis de sa claque, je décidais à nouveau d’intervenir en le menaçant d’aller raconter tout à la police.
-Vas y connard, vous rentrez chez moi, vous faites de l’exhib, et cette petite pute ne dit rien à ses parents... vas y essaie.
- Viens plutôt ici et vite, bouffe lui le cul à cette traînée le temps qu’elle s’occupe de mon gland.
Je cédais à la menace et venais me placer derrière Geneviève, et j’entreprenais de lui lécher la chatte après avoir pris soin de
relever sa jupe qu’elle avait encore autour de la taille.
Ce petit manège dura un long moment, quand il me dit de venir le sucer avec elle.
Nous voila donc, joue contre joue à sucer et lécher ce membre noueux. Les yeux dans les yeux, malgré notre peur, nos langues
se touchaient et cela semblait nous plaire. Avec un sourire aux lèvres, nous continuâmes notre besogne, chacun notre tour
enfournant cette bite dans la bouche de l’autre.
- Ça à l’air de vous amuser ? et bien on va changer. Toi la pute, va bouffer le cul de ton petit le temps qu’il me suce.
Nos rapports amoureux de nous avaient pas encore mené là. Notre jeunesse et notre timidité ne nous avaient pas permis d’aller
plus loin que certaines caresses et pénétrations très “basiques”.
Les mains et la langue de Geneviève sur mes fesses et mon anus me firent l’effet d’un électrochoc. Je frémis, de surprise et de
plaisir. Elle s’appliquait visiblement, et je sentais sa langue tourner autour et sur mon anus, parfois le bout passait la corolle,
comme une petite pénétration. Très réceptif à ses caresses bucales, j’en avais cessé ma fellation.
- Tu vois qu’tes un petit PD ! t’aimes qu’on t’touche le cul.
J’ondulais de plus en plus sous les caresses de ma bien-aimée.
De mon côté, je ne me sentais plus sous la menace, et je prenais goût à la situation. Je découvrais des situations, des sensations
que j’étais loin d’imaginer. Qu’en était-il de Geneviève ??
- Maintenant on change, nous dit le rustre. Toi la salope, à quatre pattes, je vais te prendre ta petite chatte de pute, j’imagine
qu’elle doit être bien serrée.
- Non dit Geneviève, je ne veux pas que vous me baisiez !
- La réponse fut immédiate, une énorme claque arriva sur ses fesses qui se mirent instantanément à rougir. Deux grosses larmes
s’échappaient des yeux de mon amie, qui vaincue se mit en position.
Le paysan s’approcha, la queue à la main, de l’autre il caressa la fente de Geneviève.
- Mais t’es toute mouillée salope ! On dirait que ça te plait d’être une pute. Allez, mets ta tête dans le foin et tends- moi bien ton
cul.
Sans ménagement aucun, sans obstacle apparent, il rentra son sexe dans celui de mon amie, que j’ai vu se contracter.
Il entama alors un lent ramonage, grognant de satisfaction.
Geneviève avait tourné légèrement la tête, et je la voyais, les yeux fermés, son visage laissait apparaître une étrange plénitude.
Avait-elle du plaisir ?
- Toi le PD, vient me bouffer le cul pendant que je la baise. Surtout n’oublie pas les couilles!
Comme je ne bougeais pas, il entama une série de fessée sur ma pauvre
Geneviève qui minaudait sous les coups et frétillait du fessier.
J’approchais alors et me mis à lui lécher les couilles et l’anus.
-Vas y petit, rentre bien ta langue, c’est bon. Je n’éprouvais aucun plaisir à faire cela, mais je dois dire que la situation me
troublait un peu.
J’entendis Geneviève gémir, sa respiration de plus en plus forte.
- T’aime ça salope te faire fourrer la moule. Il accélérait le rythme tout en sortant des insanités de plus en plus ignobles;
Je me donnais à mon suçage d’anus qu’en j’entendis Geneviève crier :
- Oh oui, c’est bon, je coule, je jouiiiiiis ! L’orgasme paraissait impressionnant, qu’elle s’écroula sur la paille, épuisée.
- Le vieux, se retrouvait la bite en l’air, un peu con de ne plus être dans sa chatte. Il se retourna, et il me cria : suces, finis moi !
J’ouvris la bouche et entrepris de le sucer du mieux que je pus. Geneviève qui semblait avoir récupérer un peu, me regarda en
souriant, et en silence, s’approcha pour se joindre à moi. Nous alternions d’une bouche à l’autre, mais c’est dans la sienne qu’il
jouit, la tenant de ses deux mains pour ne pas qu’elle se retire. Nous étions à l’unisson, et avions du plaisir à être côte à côte à
sucer cette queue.
Quand il daignât enfin la lâcher, ma belle me prit les lèvres et nous nous embrassâmes comme jamais, avec le sperme de notre
“tortionnaire” dans la bouche.
Nous déglutîmes notre dose en nous regardant, l’amour dans les yeux. Nous venions de découvrir une sexualité inédite à nos
yeux, nous avions pris contre toute attente du plaisir, et cela allait marquer à jamais nos fantasmes et notre façon de faire
l’amour...
Sans doute vous conterai-je un jour la suite de notre histoire qui durant encore 5 années.
Si mon récit (véridique) vous a plu, si vous fantasmez à ce sujet... merci de m’en faire part, surtout si vous êtes une femme qui
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai tellement aimer votre histoire... j'en suis toute mouillée
Je ne suis pas une femme mais un bi dominant et j'ai aimé ton récit...
tres tres bien mmmmmmh vivement la suite
recit tres sympa des que j ai commencer a le lire ma bite s'est levée bravo
bonjour roland bravo pour ta superbe histoire qui m'a vraiment fait bander et exciter. Encore .....
jai aimé
Très belle histoire continue
Excellent
La suite vite
La suite vite
Oui, j'ai beaucoup aimé cette histoire, étant bi, qu'il est agréable de partager une belle queue avec sa bien-aimée.... continuez...