Fanchon au Château 2
Récit érotique écrit par MaîtreChat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fanchon au Château 2
Quelques semaines plus tard, j'étais en mission dans la banlieue ouest de Paris lorsque j'ai reçu un appel de l'ami Édouard :
- Bernard ? c'est Édouard de la Motte Boutin, je vous dérange ?
- Bonjour Édouard, vous ne me dérangez pas du tout, je faisais du classement. Comment allez vous ?
- Ma foi fort bien ! La vie avec Fanchon est merveilleuse. Je ne prétend pas jouer les jeune premier mais j'ai retrouvé une joie de vivre qui me donne une pêche d'enfer si vous permettez l'expression…
- Alors c'est formidable… Vous faites partie des jeunes mariés heureux…
- Oui on peut dire ça… Je ne suis certainement pas un partenaire très intéressant mais depuis le mariage, je suis gai comme un pinson…
- Tant mieux Édouard, blague à part, vos neveux doivent faire une drôle de frimousse…
- Vous l'avez dit et c'est bien fait pour eux. Mais ce n'est pas pour parler de ces rapaces que je vous appelle. Fanchon m'a dit que vous êtes en mission à Paris et comme je l'accompagne pour qu'elle puisse s'acheter quelques babioles, j'aurais voulu vous rencontrer pour vous demander votre avis sur une affaire que j'envisage.
- Ce sera avec plaisir, nous pouvons nous voir ce soir ou demain soir…
- Où êtes vous basé ?
- J'ai trouvé un studio minable au fin fond de la banlieue ouest. C'est moche mais ça va me dépanner pour les quelques semaines que je dois passer ici.
- Je vous propose de nous rejoindre ce soir sur les Champs Élysées pour dîner. Et je vais vous retenir une chambre dans l'hôtel où nous sommes ainsi vous n'aurez pas de soucis pour rentrer.
- C'est sympa de votre part, mais je peux quand même rentrer dans ma banlieue, même tard…
- Non non, ce sera mieux ainsi. Je m'occupe de tout… A ce soir, il vous suffit de me passer un coup de fil quand vous partez de votre bureau.
- Entendu, à ce soir Édouard.
Vous étiez descendus dans un grand hôtel et nous avons passé un début de soirée très sympathique. Ton époux a beaucoup voyagé et sa culture est immense. Discuter avec lui est un vrai plaisir et une façon très agréable d'apprendre plein de choses sur les Pays et les gens qui y vivent.
Il souhaitait me voir pour valider l'idée d'une extension d'une des entreprises dans laquelle il est actionnaire majoritaire. Son projet est plutôt bien ficelé et il a une surface financière suffisante pour le lancer sans attendre.
Lorsque le repas a pris fin, nous avons gagné un petit salon privé. Il avait commandé une bouteille de champagne millésimé et après en avoir dégusté une coupe avec nous, il s'est excusé et nous a laissés pour aller se coucher. Comme tu te levais pour prendre congé toi aussi, il t'as fait rasseoir en disant :
- Non Fanchon reste ! Finissez la bouteille avec ton ami, vous vous voyez rarement et avez certainement des tas de choses à vous raconter. Vous m'avez écouté toute la soirée et je vous en remercie. À bientôt mon cher Bernard, je vous remercie pour vos conseils avisés et je reprendrai contact avec vous dès que je lancerai l'affaire, bonne nuit.
Nous nous sommes serré la main chaleureusement et il est sorti de sa démarche sautillante. Nous sommes restés silencieux un moment, puis j'ai à nouveau rempli nos coupes et je t'ai dit en souriant :
- Il est vraiment extra… je crois que tu ne pouvais pas mieux tomber…
- C'est vrai, il es très gentil et incroyablement généreux avec moi. On dirait qu'il veut dépenser tout son argent pour ne rien laisser du tout à ses "cochons de neveux" comme il dit.
- En effet, si tu as bien écouté il a conçu son projet pour que tu en sois la seule propriétaire. Le montage qu'il a envisagé avec le notaire exclut totalement sa famille, et organisé comme ça, c'est légalement imparable… il est très fort…
- J'espère qu'il va tenir le coup longtemps… je me vois mal en tant qu'héritière avec cette bande de rapaces qui me tournent autour…
- Ils te feront du charme, certains sans doute t'ouvriront même leur lit et te proposeront le mariage pour récupérer l'argent…
Tu m'as regardé avec un petit air malicieux et tu m'as dit :
- Je ne les connais pas tous, mais il y a peut être des bons coups parmi eux…
- Et pourquoi pas, si l'aventure te tente…
L'air outrée tu m'as répondu :
- Viens donc près de moi idiot !
Je me suis levé et t'ai rejoint sur la bergère où tu étais installée. Quand je me suis assis, tu m'as pris par le cou et tu m'as donné un gros baiser d'amour. Détachant ta bouche gourmande de la mienne tu m'as soufflé :
- En attendant d'essayer les neveux d'Édouard, c'est avec toi que j'ai envie de faire des galipettes…
Lovée contre moi tu m'as embrassé à nouveau et je sentais ton envie dans l'ardeur de ce baiser. Toi qui montres habituellement une certaine réserve, tu as enjambé mon genou faisant remonter très haut la jupe stricte de ton tailleur et tus as frotté ton entrejambes sur ma cuisse. Ta main gauche est descendue sur mon pantalon et après avoir prestement fait glisser la fermeture éclair tu as sorti mon membre qui commençait à grossir. En commençant à me branler lentement tu m'as dit d'une voix rauque :
- Fais moi l'amour, Édouard est adorable, mais il est un peu imité sur le sujet…
Tu as enjambé ma deuxième cuisse et faisant glisser ta culotte sur le côté tu t'es empalée sur mon membre dressé. Je me suis enfoncé en toi sans difficulté, tu était délicieusement mouillée. Je t'ai pénétrée plusieurs fois puis je me suis arrêté pour te dire :
- Viens dans ma chambre, nous serons plus tranquilles… Ici le serveur va revenir…
Tu t'es redressée et en te levant, tu as posé ta culotte en me disant :
- Tu as vu, je suis prête…
Nous avons quitté le petit salon et nous avons gagné l'ascenseur en discutant innocemment. Nos chambres étaient au même étage, mais chacune à un bout du couloir. Lorsque nous sommes sortis de l'ascenseur, nous avons continué à parler jusqu'à ce que la porte se referme afin que le groom ne puisse voir quelle direction nous prenions. D'ès qu'il a été parti, nous avons filé vers la suite qu'avait réservée Édouard. À peine la porte était elle refermée que tu m'as gratifié d'un baiser volcanique, frottant ton ventre contre le mien et te mettant sur la pointe des pieds pour sentir ma virilité tendue contre toi. En me relâchant tu m'as demandé :
- Peux tu me servir quelque chose à boire ? Mais évite l'alcool, le champagne m'a déjà bien grisée…
Je me suis dirigé vers le bar et tu es partie vers la chambre d'une démarche chaloupée en faisant remonter ta jupe pour que je puisse voir tes fesses nues. Tu as posé la veste de ton tailleur et ouvert largement ton chemisier, me faisant des effets de poitrine comme une starlette. Dans un striptease très réussi, tu as posé ton chemisier et dégrafé ton soutien gorge blanc avant de me le lancer à la figure avec un regard de défi. En ondulant du bassin comme une danseuse orientale tu as relevé ta jupe et me tournant le dos tu as pris appui de tes mains sur le lit écartant les jambes tu as mimé des pénétrations lentes offrant à mon regard ta fente déjà très mouillée.
Toi si pudique, tu ne m'avais jamais fait un numéro pareil et je bandais comme un cerf en rut. Pendant que tu continuais de faire monter mon désir en ondulant et en passant lentement ta main entre tes cuisses, je me suis complètement déshabillé puis je me suis approché de toi. J'ai coincé mon érection entre tes fesses et me penchant sur toi j'ai caressé tes seins. Mes doigts jouaient avec leurs pointes, puis mes mains glissaient sur tes flancs et de temps en temps, je te prenais par les hanches pour mimer à mon tour des pénétrations et faire glisser ma bitte dure le long de ta raie culière. Tu as pris appui sur un coude et de ton autre main tu as saisi ma verge dure pour faire glisser mon gland sur tes lèvres intimes de plus en plus mouillées. À plusieurs reprises, toujours en me guidant tu as fait pénétrer le bout de mon gland dans ta chatte brûlante sans me laisser m'enfoncer plus profondément. Je continuais à caresser ton dos et ta poitrine te laissant jouer avec nos sexes. Au bout d'un instant j'ai ramené mes mains sur l'intérieur de tes cuisses et j'ai fait glisser mes doigts le long de tes lèvres mouillées et serrant les mains, j'ai caressé ton clitoris sans jamais le toucher. Rapidement tu t'es mise à grogner à chacune de mes caresses. Ta respiration devenait plus courte et le rythme de tes caresses s'accélérait puis tu as dirigé mon membre dur vers ton vagin et le lâchant tu as posé ta main sur ma hanche et tu m'as attiré contre toi pour que je te pénètre profondément. Ta gaine était brûlante et trempée. Posant mes mains sur tes hanches je me suis mis à te besogner ardemment jusqu'à ce que ta plainte se transforme en râle… Lorsque j'ai senti ton sexe se contracter sur le mien, je n'ai pas pu me retenir et j'ai joui moi aussi t'inondant de mon sperme chaud.
J'allais me retirer mais tu m'as retenu en disant :
- Non, reste, j'ai encore envie de te sentir au fond de moi…
Je me suis plaqué contre ton dos et je me suis couché sur le côté t'entrainant collée à mon ventre. J'ai posé des petits baisers sur ta nuque tout en caressant ton ventre. De tempe en temps tu contractais tes muscles et j'avais l'impressions que ton sexe me suçait. Ma verge qui avait à peine molli après cette première étreint a redurci rapidement. J'ai saisi ta jambe et basculant légèrement mon bassin j'ai repris mes pénétrations lentement. Tu ondulais du bassin pour m'accompagner et par moment tu gémissait d'une voix rauque. Je me suis retiré et dirigeant mon sexe de ma main j'ai caressé ta fente mouillée de mon gland. À chaque fois que le bout de ma queue passait sur l'entrée de ton vagin tu te cambrais comme pour m'inviter à te pénétrer.
Quand je me suis décidé à m'enfoncer dans ton intimité tu as eu un sursaut et tu as poussé un gémissement sonore. J'ai senti que tu te contractais et j'ai ralenti mon mouvement en te pénétrant le plus profondément possible. Tu as gémi à nouveau et tu t'es complètement abandonnée.
Je me suis à nouveau retiré et j'ai à nouveau caressé toute ta fente de mon membre tendu, le frottant tantôt sur ton clitoris puis sur tes lèvres intimes puis le long de ta raie culière en appuyant sur la rosette de ton anus. Tu as roulé sur le ventre en écartant les cuisses pour me laisser continuer mon manège, puis tu as remonté tes fesses en te mettant à genoux ta poitrine toujours posée sur le drap. Je me suis enfoncé dans ta grotte d'amour mais après quelques pénétrations tu m'as arrêté et tu m'as dit :
- Je t'ai dit que je te donnerai tout, aujourd'hui je te donne tout… Prend moi par derrière…
- Tu es sûre ? ais je répondu un peu abasourdi
- Oui. Fais doucement, j'ai pas l'habitude…
Délicatement, j'ai posé mon gland sur ton anus froncé et j'ai appuyé pour te sodomiser. Ma virilité a forcé lentement l'entrée de ton joli cul, j'ai fait une courte pause quand mon gland a disparu entre tes fesses, puis j'ai repris ma poussée. J'avais l'impression que tu te décontractais au fur et à mesure que je m'enfonçais et j'ai commencé à faire des va et vient lents, pénétrant plus profondément à chaque fois.
Tu grognais à chaque fois que ma pine reprenais sa progression. Au début je pensais que je te faisais mal et que tu tentais de surmonter la douleur, mais je me suis rendu compte que c'était des grognements de plaisir. Peu à peu j'ai accéléré et tu as posé tes mains sur tes fesses pour les écarter au maximum. Quand je n'ai plus pu me retenir, j'ai éjaculé abondamment dans un feulement de fauve. Je me suis couché sur toi et tu as laissé glisser tes genoux pour t'allonger en serrant les fesse pour me garder au fond de toi.
Nous avons repris notre souffle et quand je t'ai remerciée pour ce cadeau inattendu tu m'as dit :
- J'aurais peut être des difficultés à m'asseoir demain, mais je ne regrette pas…
- Bernard ? c'est Édouard de la Motte Boutin, je vous dérange ?
- Bonjour Édouard, vous ne me dérangez pas du tout, je faisais du classement. Comment allez vous ?
- Ma foi fort bien ! La vie avec Fanchon est merveilleuse. Je ne prétend pas jouer les jeune premier mais j'ai retrouvé une joie de vivre qui me donne une pêche d'enfer si vous permettez l'expression…
- Alors c'est formidable… Vous faites partie des jeunes mariés heureux…
- Oui on peut dire ça… Je ne suis certainement pas un partenaire très intéressant mais depuis le mariage, je suis gai comme un pinson…
- Tant mieux Édouard, blague à part, vos neveux doivent faire une drôle de frimousse…
- Vous l'avez dit et c'est bien fait pour eux. Mais ce n'est pas pour parler de ces rapaces que je vous appelle. Fanchon m'a dit que vous êtes en mission à Paris et comme je l'accompagne pour qu'elle puisse s'acheter quelques babioles, j'aurais voulu vous rencontrer pour vous demander votre avis sur une affaire que j'envisage.
- Ce sera avec plaisir, nous pouvons nous voir ce soir ou demain soir…
- Où êtes vous basé ?
- J'ai trouvé un studio minable au fin fond de la banlieue ouest. C'est moche mais ça va me dépanner pour les quelques semaines que je dois passer ici.
- Je vous propose de nous rejoindre ce soir sur les Champs Élysées pour dîner. Et je vais vous retenir une chambre dans l'hôtel où nous sommes ainsi vous n'aurez pas de soucis pour rentrer.
- C'est sympa de votre part, mais je peux quand même rentrer dans ma banlieue, même tard…
- Non non, ce sera mieux ainsi. Je m'occupe de tout… A ce soir, il vous suffit de me passer un coup de fil quand vous partez de votre bureau.
- Entendu, à ce soir Édouard.
Vous étiez descendus dans un grand hôtel et nous avons passé un début de soirée très sympathique. Ton époux a beaucoup voyagé et sa culture est immense. Discuter avec lui est un vrai plaisir et une façon très agréable d'apprendre plein de choses sur les Pays et les gens qui y vivent.
Il souhaitait me voir pour valider l'idée d'une extension d'une des entreprises dans laquelle il est actionnaire majoritaire. Son projet est plutôt bien ficelé et il a une surface financière suffisante pour le lancer sans attendre.
Lorsque le repas a pris fin, nous avons gagné un petit salon privé. Il avait commandé une bouteille de champagne millésimé et après en avoir dégusté une coupe avec nous, il s'est excusé et nous a laissés pour aller se coucher. Comme tu te levais pour prendre congé toi aussi, il t'as fait rasseoir en disant :
- Non Fanchon reste ! Finissez la bouteille avec ton ami, vous vous voyez rarement et avez certainement des tas de choses à vous raconter. Vous m'avez écouté toute la soirée et je vous en remercie. À bientôt mon cher Bernard, je vous remercie pour vos conseils avisés et je reprendrai contact avec vous dès que je lancerai l'affaire, bonne nuit.
Nous nous sommes serré la main chaleureusement et il est sorti de sa démarche sautillante. Nous sommes restés silencieux un moment, puis j'ai à nouveau rempli nos coupes et je t'ai dit en souriant :
- Il est vraiment extra… je crois que tu ne pouvais pas mieux tomber…
- C'est vrai, il es très gentil et incroyablement généreux avec moi. On dirait qu'il veut dépenser tout son argent pour ne rien laisser du tout à ses "cochons de neveux" comme il dit.
- En effet, si tu as bien écouté il a conçu son projet pour que tu en sois la seule propriétaire. Le montage qu'il a envisagé avec le notaire exclut totalement sa famille, et organisé comme ça, c'est légalement imparable… il est très fort…
- J'espère qu'il va tenir le coup longtemps… je me vois mal en tant qu'héritière avec cette bande de rapaces qui me tournent autour…
- Ils te feront du charme, certains sans doute t'ouvriront même leur lit et te proposeront le mariage pour récupérer l'argent…
Tu m'as regardé avec un petit air malicieux et tu m'as dit :
- Je ne les connais pas tous, mais il y a peut être des bons coups parmi eux…
- Et pourquoi pas, si l'aventure te tente…
L'air outrée tu m'as répondu :
- Viens donc près de moi idiot !
Je me suis levé et t'ai rejoint sur la bergère où tu étais installée. Quand je me suis assis, tu m'as pris par le cou et tu m'as donné un gros baiser d'amour. Détachant ta bouche gourmande de la mienne tu m'as soufflé :
- En attendant d'essayer les neveux d'Édouard, c'est avec toi que j'ai envie de faire des galipettes…
Lovée contre moi tu m'as embrassé à nouveau et je sentais ton envie dans l'ardeur de ce baiser. Toi qui montres habituellement une certaine réserve, tu as enjambé mon genou faisant remonter très haut la jupe stricte de ton tailleur et tus as frotté ton entrejambes sur ma cuisse. Ta main gauche est descendue sur mon pantalon et après avoir prestement fait glisser la fermeture éclair tu as sorti mon membre qui commençait à grossir. En commençant à me branler lentement tu m'as dit d'une voix rauque :
- Fais moi l'amour, Édouard est adorable, mais il est un peu imité sur le sujet…
Tu as enjambé ma deuxième cuisse et faisant glisser ta culotte sur le côté tu t'es empalée sur mon membre dressé. Je me suis enfoncé en toi sans difficulté, tu était délicieusement mouillée. Je t'ai pénétrée plusieurs fois puis je me suis arrêté pour te dire :
- Viens dans ma chambre, nous serons plus tranquilles… Ici le serveur va revenir…
Tu t'es redressée et en te levant, tu as posé ta culotte en me disant :
- Tu as vu, je suis prête…
Nous avons quitté le petit salon et nous avons gagné l'ascenseur en discutant innocemment. Nos chambres étaient au même étage, mais chacune à un bout du couloir. Lorsque nous sommes sortis de l'ascenseur, nous avons continué à parler jusqu'à ce que la porte se referme afin que le groom ne puisse voir quelle direction nous prenions. D'ès qu'il a été parti, nous avons filé vers la suite qu'avait réservée Édouard. À peine la porte était elle refermée que tu m'as gratifié d'un baiser volcanique, frottant ton ventre contre le mien et te mettant sur la pointe des pieds pour sentir ma virilité tendue contre toi. En me relâchant tu m'as demandé :
- Peux tu me servir quelque chose à boire ? Mais évite l'alcool, le champagne m'a déjà bien grisée…
Je me suis dirigé vers le bar et tu es partie vers la chambre d'une démarche chaloupée en faisant remonter ta jupe pour que je puisse voir tes fesses nues. Tu as posé la veste de ton tailleur et ouvert largement ton chemisier, me faisant des effets de poitrine comme une starlette. Dans un striptease très réussi, tu as posé ton chemisier et dégrafé ton soutien gorge blanc avant de me le lancer à la figure avec un regard de défi. En ondulant du bassin comme une danseuse orientale tu as relevé ta jupe et me tournant le dos tu as pris appui de tes mains sur le lit écartant les jambes tu as mimé des pénétrations lentes offrant à mon regard ta fente déjà très mouillée.
Toi si pudique, tu ne m'avais jamais fait un numéro pareil et je bandais comme un cerf en rut. Pendant que tu continuais de faire monter mon désir en ondulant et en passant lentement ta main entre tes cuisses, je me suis complètement déshabillé puis je me suis approché de toi. J'ai coincé mon érection entre tes fesses et me penchant sur toi j'ai caressé tes seins. Mes doigts jouaient avec leurs pointes, puis mes mains glissaient sur tes flancs et de temps en temps, je te prenais par les hanches pour mimer à mon tour des pénétrations et faire glisser ma bitte dure le long de ta raie culière. Tu as pris appui sur un coude et de ton autre main tu as saisi ma verge dure pour faire glisser mon gland sur tes lèvres intimes de plus en plus mouillées. À plusieurs reprises, toujours en me guidant tu as fait pénétrer le bout de mon gland dans ta chatte brûlante sans me laisser m'enfoncer plus profondément. Je continuais à caresser ton dos et ta poitrine te laissant jouer avec nos sexes. Au bout d'un instant j'ai ramené mes mains sur l'intérieur de tes cuisses et j'ai fait glisser mes doigts le long de tes lèvres mouillées et serrant les mains, j'ai caressé ton clitoris sans jamais le toucher. Rapidement tu t'es mise à grogner à chacune de mes caresses. Ta respiration devenait plus courte et le rythme de tes caresses s'accélérait puis tu as dirigé mon membre dur vers ton vagin et le lâchant tu as posé ta main sur ma hanche et tu m'as attiré contre toi pour que je te pénètre profondément. Ta gaine était brûlante et trempée. Posant mes mains sur tes hanches je me suis mis à te besogner ardemment jusqu'à ce que ta plainte se transforme en râle… Lorsque j'ai senti ton sexe se contracter sur le mien, je n'ai pas pu me retenir et j'ai joui moi aussi t'inondant de mon sperme chaud.
J'allais me retirer mais tu m'as retenu en disant :
- Non, reste, j'ai encore envie de te sentir au fond de moi…
Je me suis plaqué contre ton dos et je me suis couché sur le côté t'entrainant collée à mon ventre. J'ai posé des petits baisers sur ta nuque tout en caressant ton ventre. De tempe en temps tu contractais tes muscles et j'avais l'impressions que ton sexe me suçait. Ma verge qui avait à peine molli après cette première étreint a redurci rapidement. J'ai saisi ta jambe et basculant légèrement mon bassin j'ai repris mes pénétrations lentement. Tu ondulais du bassin pour m'accompagner et par moment tu gémissait d'une voix rauque. Je me suis retiré et dirigeant mon sexe de ma main j'ai caressé ta fente mouillée de mon gland. À chaque fois que le bout de ma queue passait sur l'entrée de ton vagin tu te cambrais comme pour m'inviter à te pénétrer.
Quand je me suis décidé à m'enfoncer dans ton intimité tu as eu un sursaut et tu as poussé un gémissement sonore. J'ai senti que tu te contractais et j'ai ralenti mon mouvement en te pénétrant le plus profondément possible. Tu as gémi à nouveau et tu t'es complètement abandonnée.
Je me suis à nouveau retiré et j'ai à nouveau caressé toute ta fente de mon membre tendu, le frottant tantôt sur ton clitoris puis sur tes lèvres intimes puis le long de ta raie culière en appuyant sur la rosette de ton anus. Tu as roulé sur le ventre en écartant les cuisses pour me laisser continuer mon manège, puis tu as remonté tes fesses en te mettant à genoux ta poitrine toujours posée sur le drap. Je me suis enfoncé dans ta grotte d'amour mais après quelques pénétrations tu m'as arrêté et tu m'as dit :
- Je t'ai dit que je te donnerai tout, aujourd'hui je te donne tout… Prend moi par derrière…
- Tu es sûre ? ais je répondu un peu abasourdi
- Oui. Fais doucement, j'ai pas l'habitude…
Délicatement, j'ai posé mon gland sur ton anus froncé et j'ai appuyé pour te sodomiser. Ma virilité a forcé lentement l'entrée de ton joli cul, j'ai fait une courte pause quand mon gland a disparu entre tes fesses, puis j'ai repris ma poussée. J'avais l'impression que tu te décontractais au fur et à mesure que je m'enfonçais et j'ai commencé à faire des va et vient lents, pénétrant plus profondément à chaque fois.
Tu grognais à chaque fois que ma pine reprenais sa progression. Au début je pensais que je te faisais mal et que tu tentais de surmonter la douleur, mais je me suis rendu compte que c'était des grognements de plaisir. Peu à peu j'ai accéléré et tu as posé tes mains sur tes fesses pour les écarter au maximum. Quand je n'ai plus pu me retenir, j'ai éjaculé abondamment dans un feulement de fauve. Je me suis couché sur toi et tu as laissé glisser tes genoux pour t'allonger en serrant les fesse pour me garder au fond de toi.
Nous avons repris notre souffle et quand je t'ai remerciée pour ce cadeau inattendu tu m'as dit :
- J'aurais peut être des difficultés à m'asseoir demain, mais je ne regrette pas…
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