Fanny me déstabilise
Récit érotique écrit par Phillus [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 8 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Phillus ont reçu un total de 52 786 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 12 900 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Fanny me déstabilise
Au réveil, je découvrais la place de Fanny vide et j’avais un grand sentiment d’apaisement et finalement de surprise, car je ne m’attendais pas à ce que mon épouse soit aussi entreprenante et sexuellement désinhibée, je me rendais compte combien je l’avais laissée seule avec ses désirs, enfin seule n’était pas le bon sentiment, car Clothilde et J.F. avaient profité de l’occasion pour se livrer avec elle à des cabrioles au combien osées.
Quelques instants plus tard, la porte de la chambre s’ouvrit, mais comme tout était plongé dans le noir, je ne percevais que les contours d’un corps qui s’engouffra dans le lit, pour mieux se blottir contre moi.
Je sentais cette peau tout contre la mienne, et j’avais le sentiment de découvrir une autre personne.
Le parfum me troublait, mais je me laissais faire lorsqu’elle se pencha sur moi, et passa sa langue, sur le bord de mes lèvres pour m’inviter à entrouvrir la bouche et accueillir un baiser fougueux. Je fus ensuite surpris de constater combien cette langue était entreprenante et parcourait toutes les zones de mon corps dans le but de susciter du plaisir.
Ce fut d’abord la base du cou juste en dessous des lobes d’oreilles, puis le contour de mes tétons qui furent sollicités, et ensuite en passant par le nombril, elle se trouva nez à nez avec une érection qu’elle s’empressa de prendre en bouche.
Je passais ma main dans ses cheveux et ces boucles légères continuaient à alimenter mon trouble.
Quelques instants plus tard j’avais au-dessus de moi, une chatte et je fus très surpris de constater que ce sexe était tout rasé et que le parfum qu’il dégageait, un mélange de lait d’amande et de vanille m’était plus ou moins inconnu.
Je m’empressais toutefois de solliciter la zone du clitoris, et celui-ci s’avéra rapidement être un véritable petit dard dressé, et là plus de doute, je n’étais pas en terrain de connaissance.
J’allumais le chevet et c’est avec une certaine surprise que découvris Clothilde, l’amie découverte la veille avec Fanny dans ce même lit.
Elle s’afférait sans faiblir sur mon vit et finalement je pris le parti de goûter avec curiosité ce sexe offert d’où s’écoulait une certaine liqueur pas si désagréable.
Fanny fit son entrée une vingtaine de secondes plus tard, elle apportait quelques accessoires que j’avais en partie découverts la veille et son sourire en disait long sur ses intentions.
Alors que nous continuions nos caresses mutuelles avec Clothilde, Fanny s’approcha des fesses de ma partenaire du moment, elle introduisit sans difficultés trois doigts dans cette chatte toute lubrifiée et se mit à masser l’anus de Clothilde avec son pouce par intermittences, puis elle ouvrit un tube de lubrifiant pour en déposer une noisette autour de cette corolle offerte.
Elle inséra ensuite un plug anal de taille moyenne, sans aucune résistance, puis elle remplaça l’exploration de ses doigts par un godemiché d’au moins 20 de longueur, d’un diamètre respectable, il se mit à coulisser avec aisance dans cette chatte en feu, et Clothilde abandonna la fellation sous l’effet de toutes ces attentions.
Je continuais à lécher son gros clitoris, Fanny faisait aller et venir l’engin et Clothilde sentait le plug anal, à chaque fois qu’elle se contractait au fur et à mesure des vagues de plaisirs. Elle évacua un orgasme violent et se mit à souffler pendant que nous respections cette jouissance.
Elle roula sur le côté et Fanny se rappela que j’étais resté en plan et que mon érection n’était pas bien loin.
Et de fait, de façon quasi instantanée, je retrouvais toute ma vigueur et Fanny enfourcha ma bite sans se faire prier.
Elle s’était placée de dos et s’empalait sans répit sur mon sexe, je voyais son petit trou du cul s’entre-ouvrir par moment et j’en rêvais à nouveau.
Cependant, je pense que Fanny voulait absolument se délecter d’un orgasme vaginal, elle avait posé ses mains sur mes cuisses et semblait animée d’une énergie sans borne.
Je sentais du liquide s’écouler le long de ma bite et les bruits de succions résonnaient dans ma tête. Elle se contracta en serrant les dents et elle lâcha un « Que c’est bon » que je n’avais plus eu l’occasion d’entendre depuis nos années de découvertes et nos parties de jambes en l’air post-estudiantine.
Je laissais Fanny se délecter de son orgasme, car je savais qu’elle aimait par-dessus tout ne plus avoir de contact, lorsqu’elle venait de jouir et profiter du moment.
Bizarrement, j’avais tenu le choc, et que ce soit pour punir Clothilde d’avoir perverti Fanny en mon absence ou pour la récompenser de l’avoir à nouveau révélée, je lui fis signe de se tourner et me présenter son cul.
Le plug anal était toujours en place, et je le retirai doucement, puis après avoir enduit le bout de mon sexe d’un peu de lubrifiant, je m’introduisis jusqu’à la garde dans ce trou légèrement serré, mais tout de même déjà initié aux visites.
Je repoussais les fesses de Clothilde vers l’extérieur avec mes deux mains, comme si je voulais la transpercer, ma bite était dure comme jamais et mon gland qui apparaissait épisodiquement sur le bord de sa corolle anale, était tout violacé, gorgé de sang et tendu vers l’objectif.
Je la défonçais, mais sans violence, et tout plein d’images traversaient mon esprit.
Moi qui n’avais jamais eu l’occasion de sodomiser personne jusqu’à hier, je voyais aujourd’hui l’un de mes plus grands fantasmes se réaliser avec des femmes que je connaissais parfaitement qui plus est………..pourquoi chercher l’aventure ailleurs alors qu’elle était à portée de main et que je n’avais pas su la découvrir…
Je laissais finalement échapper un long jet de sperme et j’eu l’impression de remplir littéralement tout le conduit anal de Clothilde. J’avais les tempes qui battaient la chamade, j’avais le plaisir qui durait….c’était un pied phénoménal !!!
Fanny se pencha sur moi et me gratifia d’un baiser goulu qui dura de longues secondes, elle m’embrassait et frottait son entrejambe sur ma cuisse et je finis par placer l’une de mes mains sur la motte de mon épouse et je me mis à masser délicatement son clitoris, qui était beaucoup plus discret que celui de Clothilde.
Elle finit sous mes caresses par se laisser aller dans un orgasme délicieux, sa langue n’avait quasiment pas lâché la mienne et elle se mit même à mordre légèrement le haut de ma lèvre lorsqu’elle partit tout en douceur et fidèle à son habitude, elle resta blottie sur mon épaule pour apprécier complètement le plaisir que je venais de lui apporter tout en douceur.
Quelques instants plus tard, la porte de la chambre s’ouvrit, mais comme tout était plongé dans le noir, je ne percevais que les contours d’un corps qui s’engouffra dans le lit, pour mieux se blottir contre moi.
Je sentais cette peau tout contre la mienne, et j’avais le sentiment de découvrir une autre personne.
Le parfum me troublait, mais je me laissais faire lorsqu’elle se pencha sur moi, et passa sa langue, sur le bord de mes lèvres pour m’inviter à entrouvrir la bouche et accueillir un baiser fougueux. Je fus ensuite surpris de constater combien cette langue était entreprenante et parcourait toutes les zones de mon corps dans le but de susciter du plaisir.
Ce fut d’abord la base du cou juste en dessous des lobes d’oreilles, puis le contour de mes tétons qui furent sollicités, et ensuite en passant par le nombril, elle se trouva nez à nez avec une érection qu’elle s’empressa de prendre en bouche.
Je passais ma main dans ses cheveux et ces boucles légères continuaient à alimenter mon trouble.
Quelques instants plus tard j’avais au-dessus de moi, une chatte et je fus très surpris de constater que ce sexe était tout rasé et que le parfum qu’il dégageait, un mélange de lait d’amande et de vanille m’était plus ou moins inconnu.
Je m’empressais toutefois de solliciter la zone du clitoris, et celui-ci s’avéra rapidement être un véritable petit dard dressé, et là plus de doute, je n’étais pas en terrain de connaissance.
J’allumais le chevet et c’est avec une certaine surprise que découvris Clothilde, l’amie découverte la veille avec Fanny dans ce même lit.
Elle s’afférait sans faiblir sur mon vit et finalement je pris le parti de goûter avec curiosité ce sexe offert d’où s’écoulait une certaine liqueur pas si désagréable.
Fanny fit son entrée une vingtaine de secondes plus tard, elle apportait quelques accessoires que j’avais en partie découverts la veille et son sourire en disait long sur ses intentions.
Alors que nous continuions nos caresses mutuelles avec Clothilde, Fanny s’approcha des fesses de ma partenaire du moment, elle introduisit sans difficultés trois doigts dans cette chatte toute lubrifiée et se mit à masser l’anus de Clothilde avec son pouce par intermittences, puis elle ouvrit un tube de lubrifiant pour en déposer une noisette autour de cette corolle offerte.
Elle inséra ensuite un plug anal de taille moyenne, sans aucune résistance, puis elle remplaça l’exploration de ses doigts par un godemiché d’au moins 20 de longueur, d’un diamètre respectable, il se mit à coulisser avec aisance dans cette chatte en feu, et Clothilde abandonna la fellation sous l’effet de toutes ces attentions.
Je continuais à lécher son gros clitoris, Fanny faisait aller et venir l’engin et Clothilde sentait le plug anal, à chaque fois qu’elle se contractait au fur et à mesure des vagues de plaisirs. Elle évacua un orgasme violent et se mit à souffler pendant que nous respections cette jouissance.
Elle roula sur le côté et Fanny se rappela que j’étais resté en plan et que mon érection n’était pas bien loin.
Et de fait, de façon quasi instantanée, je retrouvais toute ma vigueur et Fanny enfourcha ma bite sans se faire prier.
Elle s’était placée de dos et s’empalait sans répit sur mon sexe, je voyais son petit trou du cul s’entre-ouvrir par moment et j’en rêvais à nouveau.
Cependant, je pense que Fanny voulait absolument se délecter d’un orgasme vaginal, elle avait posé ses mains sur mes cuisses et semblait animée d’une énergie sans borne.
Je sentais du liquide s’écouler le long de ma bite et les bruits de succions résonnaient dans ma tête. Elle se contracta en serrant les dents et elle lâcha un « Que c’est bon » que je n’avais plus eu l’occasion d’entendre depuis nos années de découvertes et nos parties de jambes en l’air post-estudiantine.
Je laissais Fanny se délecter de son orgasme, car je savais qu’elle aimait par-dessus tout ne plus avoir de contact, lorsqu’elle venait de jouir et profiter du moment.
Bizarrement, j’avais tenu le choc, et que ce soit pour punir Clothilde d’avoir perverti Fanny en mon absence ou pour la récompenser de l’avoir à nouveau révélée, je lui fis signe de se tourner et me présenter son cul.
Le plug anal était toujours en place, et je le retirai doucement, puis après avoir enduit le bout de mon sexe d’un peu de lubrifiant, je m’introduisis jusqu’à la garde dans ce trou légèrement serré, mais tout de même déjà initié aux visites.
Je repoussais les fesses de Clothilde vers l’extérieur avec mes deux mains, comme si je voulais la transpercer, ma bite était dure comme jamais et mon gland qui apparaissait épisodiquement sur le bord de sa corolle anale, était tout violacé, gorgé de sang et tendu vers l’objectif.
Je la défonçais, mais sans violence, et tout plein d’images traversaient mon esprit.
Moi qui n’avais jamais eu l’occasion de sodomiser personne jusqu’à hier, je voyais aujourd’hui l’un de mes plus grands fantasmes se réaliser avec des femmes que je connaissais parfaitement qui plus est………..pourquoi chercher l’aventure ailleurs alors qu’elle était à portée de main et que je n’avais pas su la découvrir…
Je laissais finalement échapper un long jet de sperme et j’eu l’impression de remplir littéralement tout le conduit anal de Clothilde. J’avais les tempes qui battaient la chamade, j’avais le plaisir qui durait….c’était un pied phénoménal !!!
Fanny se pencha sur moi et me gratifia d’un baiser goulu qui dura de longues secondes, elle m’embrassait et frottait son entrejambe sur ma cuisse et je finis par placer l’une de mes mains sur la motte de mon épouse et je me mis à masser délicatement son clitoris, qui était beaucoup plus discret que celui de Clothilde.
Elle finit sous mes caresses par se laisser aller dans un orgasme délicieux, sa langue n’avait quasiment pas lâché la mienne et elle se mit même à mordre légèrement le haut de ma lèvre lorsqu’elle partit tout en douceur et fidèle à son habitude, elle resta blottie sur mon épaule pour apprécier complètement le plaisir que je venais de lui apporter tout en douceur.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Phillus
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire , qui mérite d'être lue