Fantasme
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2010 dans la catégorie En solitaire
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Couleur du fond :
Fantasme
Ce récit n'est qu'un fantasme, mais ça aurait pu m'arriver. Pendant des années, nous avons loué des maisons pour y
passer nos vacances. Il y en avait de toutes sortes, des anciennes et des neuves, des qui ne servaient qu'à la location
et d'autres qui étaient habitées le reste de l'année. Je me souviens que c'était en l'an 2000. Nos enfants passaient
encore leurs vacances avec nous et nous avions loué cette maison près du Lavandou. La propriétaire nous avait écrit
qu'elle serait absente pendant notre présence. Nous sommes passés à l'agence et une employée est venue avec nous
pour l'inventaire et nous donner les clés.
C'était une belle maison neuve. Un escalier montait à une terrasse et nous sommes entrés. A droite, la cuisine, après
le salon puis deux chambres le long d'un couloir. "A gauche, c'est la chambre de la propriétaire et son bureau. C'est
fermé à clé et vous n'y avez pas accès, a précisé l'employée de l'agence !" Après, nous sommes allés au bout du
couloir et ça donnait encore sur une terrasse et il y avait une piscine.
C'était vraiment bien et la meilleure location que nous avions eues depuis toutes ces années. Les enfants étaient
ravis. Et comme d'habitude, mon mari a dit que c'était cher pour ce que c'était, mais enfin... Et comme chaque
premier soir, nous sommes allés au restaurant et nous sommes rentrés pour dormir.
Il faisait beau et c'était parfait. Nous étions tous trop fainéants pour aller à la plage et passions toutes nos journées
au bord de la piscine, mais enfin, un après-midi, les enfants ont quand même voulu aller à la plage et mon mari les
y a accompagnés. J'avais prétexté que j'avais de la lessive et du ménage à faire et personne ne s'était étonné.
J'ai commencé à faire du ménage et j'ai lavé quelques vêtements puis en attendant que ça sèche, j'ai regardé un peu
partout. Ça m'intriguait cette chambre et ce bureau interdits. Oh, je sais que je n'aurais pas dû, mais cette clé cachée
au fond d'un vase devait bien servir à quelque chose. J'ai essayé et j'ai ouvert la porte du bureau et ce qui m'est tout
de suite apparu, c'est cette photo où une femme était penchée sur un muret avec un homme debout derrière elle et
ils copulaient.
Il n'y avait pas de doute. En ouvrant un album, j'ai pu voir qu'il s'agissait bien de la propriétaire, car elle était sur
beaucoup de photos mais du type aucune trace. J'ai aussi ouvert des placards. Il y avait aussi des lettres sur le
bureau et j'en ai lu une qui disait : "Ma chérie, ton corps me manque et ta bouche aussi. J'aime tant que tu me suce.
J'aime aussi t'enculer et j'aime quand tu te masturbes devant moi et quand tu me fais jouir sur tes seins..." La suite
était de la même eau et je ne me sentais pas bien ou plutôt, je me sentais très excitée, mais j'ai replié et rangé la
lettre.
Il y avait aussi une boîte remplie de photos, pour la plupart de la propriétaire et aussi d'autres hommes et femmes et
je me suis demandé où ça avait pu être pris car ça semblait être dans la campagne. Et puis il y avait cette porte qui
menait à la chambre. Il y avait une serrure et je n'avais pas trouvé de clé mais je n'ai eu qu'à tourner la poignée parce
qu'elle n'était pas verrouillée.
C'était une jolie chambre avec un lit à baldaquin et il y avait encore des cordes nouées aux quatre poteaux. J'étais
encore plus excitée. Je me suis assise dans le fauteuil. De l'autre côté du lit, il y avait une table et un ordinateur et à
côté une télé et dans le tiroir de la table quelques DVD anonymes. Je ne m'y connais pas trop, mais j'avais compris
que sur ces DVD il devait bien y avoir quelque chose. J'ai allumé la télé et j'ai glissé l'un des DVD et j'ai attendu en
m'asseyant sur le bord du lit.
"Souvenir de l'île d'Aaland" est soudain apparu sur l'écran. Il y avait la mer et ça ressemblait bien à une île. Des gens
arrivaient et descendaient d'un bateau à voile. Il faisait beau. "Enfin, a dit une femme !" La caméra s'est fixée sur elle
et la femme s'est déshabillée complètement et quand la caméra est revenue sur les autres passagers, ils étaient tous
nus eux aussi. La caméra les a suivis jusqu'à une grande maison et une femme d'âge mûr est apparue, nue elle
aussi, grassouillette et elle a embrassé tous ses visiteurs.
"Enfin, disait-elle ! Vous m'avez beaucoup manqué ! Ah, Jean, tu as amené ta petite femme ! Ah ! Edith, tu es encore
plus belle que l'an dernier, etc." Ils ont tous disparu dans la maison et la caméra s'est abandonnée sur le paysage et
la mer. Depuis, je me suis renseignée et je sais que les îles d'Aaland sont un groupe d'îles en Finlande, mais tous
semblaient être français. Sur les vues d'après, ils étaient tous attablés sur une terrasse au moment du déjeuner et la
caméra a fait le tour de la table et s'attardait sur les convives. La caméra s'est fixée sur l'hôtesse qui frottait ses
mains sur sa poitrine puis s'est mise à rouler ses mamelons avec le bout de ses doigts. Elle se tournait sur une jeune
femme brune assise à sa droite : "Alors, faisait la femme, tu as changé d'amant ?" "Oui, a répondu la jeune femme !
J'en avais assez de me faire baiser par lui !" "C'est qui, alors, aujourd'hui, lui a demandé la femme ?" "Joël ! Il est assis
à l'autre bout de la table, le second en partant de la gauche !"
L'hôtesse a ri puis a ajouté : "Ah, comme je te comprends ! Il a une plus belle queue que l'autre, mais j'espère que tu
n'es pas jalouse parce qu'il fait du gringue à la petite rousse !" "Joanna, a fait la jeune femme ? Pas de danger, elle
préfère les femmes !" "Ah, bon, a fait l'hôtesse ? Tu y as goûté ?" "Oh, oui, a répondu la jeune femme ! Elle est très...
amoureuse !" L'hôtesse a conclu en disant qu'elle espérait qu'elle y goûterait et toutes les deux se sont mises à rire.
La caméra s'est déplacée mais c'était moins intéressant. Des couples parlaient entre eux de choses et d'autres, deux
des femmes comparaient leur bronzage et leurs seins puis la caméra s'est fixée sur la jolie rousse. Elle riait elle aussi
et on ne saura jamais de quoi puis elle a dit à sa voisine qu'elle préférait se masturber que de se faire monter par un
homme.
"Tout ce qu'ils veulent, c'est se vider les couilles, continuait la jolie rousse et je ne veux pas leur servir d'exutoire ! Et
quitte à satisfaire mes besoins, je préfère une femme ! Tu me plais bien, ajouta-t-elle en regardant sa voisine !"
"Mais je suis mariée et j'aime mon mari, a protesté la voisine !" "Crois-tu qu'il le saura, lui a répondu la rousse, que
tu as fait l'amour avec une gouine ? Tu veux que je lui téléphone ?" "La voisine fut soudain affolée d'autant plus que
la rousse revenait à l'assaut, lui disant que si elle ne voulait pas, elle téléphonerait à son mari qui n'aimerait pas ça.
"Je ne comprends toujours pas comment tu as pu épouser ce type coincé ! Fiançailles, mariage, maison, enfants et
ensuite grands-enfants, c'est ça que tu veux vraiment ? Je suis sûre que tu lui a dit que tu étais vierge !" "Oui, a
répondu la voisine de la rousse !" "Tu aurais pu lui parler de ce que nous avions fait auparavant, a ajouté cette
dernière !" "Oh, tu ne le feras pas, a demandé la voisine !"
Il n'y a pas eu de réponse. La caméra est revenue sur les autres convives puis a filmé la mer. A la fin, l'écran est
devenu tout noir et des mots sont apparus : "Filmés par..." Puis j'ai reconnu la propriétaire de la maison qui est
apparue toute nue elle aussi, vue de côté, comme un cheval cabré avec une queue de cheval là où les chevaux ont
leur queue et elle a dit : "Sonia !"
J'ai regardé le courrier de réservation et la lettre que nous avait envoyée la propriétaire et il n'y avait que son nom et
pas de prénom. J'étais en sueur. J'ai regardé ma montre. Il était sept heures du soir et mon mari et les enfants
allaient sans doute rentrer de la plage. J'ai rangé le DVD et éteint la télé et je suis sorti du bureau. J'avais chaud.
Dix minutes plus tard, mon mari est arrivé avec les enfants. J'étais en train de préparer le dîner dans la cuisine.
- Tu as dû t'ennuyer, m'a dit mon mari ! Tu aurais dû venir ! L'eau était parfaite !
J'ai répondu en lui demandant qui aurait préparé le dîner et toute la soirée je me suis dit que ce serait bien ce genre
de trip qu'on pourrait faire une fois que nos enfants seront partis de la maison parentale. Ce soir-là, mon mari s'est
étonné que je sois si excitée et je lui ai tout fait : je me suis étouffée en avalant son pénis et je suis monté sur lui
pour lui faire l'amour et je lui ai écrasé mes seins sur le visage et il a fini en me prenant en levrette et il bandait si
fort qu'il me faisait mal.
Quand je me suis relevée du lit, j'ai eu beau plaquer ma main sur ma coupe, la semence coulait abondamment de
mon vagin et j'en avais plein les cuisses, mais le lendemain, mon mari n'a rien dit de nos exploits de la veille.
J'avais hâte d'être seule à nouveau. Heureusement, deux jours plus tard c'était mon anniversaire et j'ai encouragé
mon équipe à trouver un bon restaurant pour fêter ça et j'ai pu être seule toute la matinée. Je suis retournée dans le
bureau puis dans la chambre. J'ai ouvert l'armoire. Il y avait du beau linge, de la soie et des dentelles et de jolies
robes et en bas, il y avait une machine avec un pénis dessus. Je n'avais jamais vu ça et je crois même que je ne
savais même pas ce que c'était. C'était une boîte noire arrondie sur le dessus comme peut l'être une selle, avec un fil
et une prise et un interrupteur et le pénis semblait vraiment un vrai pénis bien que beaucoup plus gros.
J'ai branché la prise et j'ai actionné l'interrupteur et le pénis a gigoté dans tous les sens, de haut en bas et en toutes
directions et j'ai tout de suite su comment la propriétaire pouvait s'en servir. Faute de lubrifiant, je me suis caressée
jusqu'à ce que je mouille puis je me suis enfoncée le pénis dans le vagin. Ça m'a d'abord étonnée que je puisse
m'enfoncer un pénis aussi gros mais j'ai pensé à la suite et j'ai actionné l'interrupteur et j'ai été désarçonnée. Ne me
restait plus qu'à trouver une meilleure position et je me suis remis sur la selle en m'appuyant sur les pieds et j'ai
saisi le bord de la machine avec mes mains avant d'actionner l'interrupteur avec mon genoux et le taraudage a
commencé car c'était vraiment un taraudage. Je connaissais ce terme parce que j'avais vu faire un ouvrier venu
réparer un meuble de ma cuisine. Il avait fait un trou puis enfoncé et tourné un outil dedans et j'avais trouvé son
geste très sensuel et quand nos regards se sont croisés, j'ai su qu'il avait compris ce que j'avais compris mais il n'y a
rien eu.
Je tenais le bord de la machine et me disais que ça aurait été bien s'il y avait eu des poignées. Le pénis m'ouvrait le
ventre et j'ai vite pensé qu'il allait me ressortir par la bouche puis j'ai eu un premier orgasme. Ce fut soudain,
imprévisible et épuisant parce que la machine continuait et ne me laissait pas de répit et j'ai eu un second orgasme
puis un troisième. Quand j'ai enfin réussi à me libérer, je suis sortie du bureau et ai fermé la porte à clé et je suis
allée me jeter dans la piscine où j'ai failli me noyer tant j'étais épuisée.
Mais enfin, j'ai retrouvé mes esprits et je me suis mise à nager très lentement. "Maman, m'a dit ma fille aînée, tu te
baignes nue ou tu as perdu ton maillot ?" "Ton père, lui ai-je fait..." "Papa, a dit ma fille ? On a acheté des trucs et ils
sont en train de les sortir de la voiture !" Je lui ai dit d'aller me chercher un maillot. Un à elle parce sa chambre était
plus près et elle est revenue une minute plus tard avec un des siens que j'ai enfilé dans l'eau et c'est comme ça que
j'ai vu que ma fille aînée avait les seins plus gros que les miens.
Ces brefs instants avec ma fille nous ont rapprochées un moment et le soir, alors que nous musardions au bord de la
piscine à discuter de choses et d'autres, je lui ai demandé ce qu'elle voudrait faire comme métier et ma fille m'a
répondu qu'elle voudrait être putain ! "Putain, lui ai-je répondu, ce n'est pas un métier !" J'étais mi amusée mi
furieuse qu'elle m'ait dit ça. Il nous arrivait de traverser le bois de Boulogne certains soirs et il y avait toujours des
filles qui faisaient le tapin. "Je ne suis pas assez belle, a ajouté ma fille !" "Pourquoi, il faut être belle pour faire ça,
ai-je protesté, tout en regardant si personne ne nous entendait discuter ?" "Bah, oui, elles sont belles ces filles, a
continué ma fille ! Tu crois vraiment qu'on les force à faire ça ? C'est qu'elles le veulent bien !"
Je ne voulais pas discuter plus loin. Moi aussi, quand j'avais son âge, je m'étais posée la question entre travailler ou
faire l'amour et faire quelque chose qui me plaît vraiment. J'avais échappé à la première obligation et avec mon mari
j'avais l'amour et le plaisir. Je me souvenais encore du jour pas si lointain où ma fille aînée m'avait révélé qu'elle
avait fait l'amour avec son ami. Elle avait ajouté qu'elle avait ses règles mais qu'ils avaient quand même fait l'amour
et elle m'avait encore demandé parce qu'elle n'en était pas très sûre : "Est-ce que je risque d'avoir un enfant s'il me
fait l'amour dans le derrière ?" "Dans l'anus, lui avaije demandé ?" "Oui, c'est ça, je crois, avait continué ma fille ! Ça
m'a bien plu !"
Je lui ai répondu qu'elle était majeure et qu'elle faisait ce qu'elle voulait puis elle a voulu savoir si je faisais ça avec
son père mais je ne lui ai pas répondu. J'ai dû attendre une semaine avant d'être à nouveau seule dans la maison et
j'ai à nouveau essayé la machine que j'ai réussi à maîtriser puis je me suis contenté de regarder les autres DVD et j'ai
fini par comprendre que trop c'est trop, et qu'à voir la jolie rousse faire l'amour avec sa voisine pendant une heure
puis une des autres se faire prendre par plusieurs partenaires...
J'en avais assez. J'ai tout rangé comme c'était avant mon intrusion puis j'ai remis la clé au fond du pot d'où elle
n'aurait jamais dû partir. J'avais ce qu'il fallait pour satisfaire mon mari et chaque nuit, jusqu'à la fin de nos vacances,
je l'ai satisfait.
Hélène
passer nos vacances. Il y en avait de toutes sortes, des anciennes et des neuves, des qui ne servaient qu'à la location
et d'autres qui étaient habitées le reste de l'année. Je me souviens que c'était en l'an 2000. Nos enfants passaient
encore leurs vacances avec nous et nous avions loué cette maison près du Lavandou. La propriétaire nous avait écrit
qu'elle serait absente pendant notre présence. Nous sommes passés à l'agence et une employée est venue avec nous
pour l'inventaire et nous donner les clés.
C'était une belle maison neuve. Un escalier montait à une terrasse et nous sommes entrés. A droite, la cuisine, après
le salon puis deux chambres le long d'un couloir. "A gauche, c'est la chambre de la propriétaire et son bureau. C'est
fermé à clé et vous n'y avez pas accès, a précisé l'employée de l'agence !" Après, nous sommes allés au bout du
couloir et ça donnait encore sur une terrasse et il y avait une piscine.
C'était vraiment bien et la meilleure location que nous avions eues depuis toutes ces années. Les enfants étaient
ravis. Et comme d'habitude, mon mari a dit que c'était cher pour ce que c'était, mais enfin... Et comme chaque
premier soir, nous sommes allés au restaurant et nous sommes rentrés pour dormir.
Il faisait beau et c'était parfait. Nous étions tous trop fainéants pour aller à la plage et passions toutes nos journées
au bord de la piscine, mais enfin, un après-midi, les enfants ont quand même voulu aller à la plage et mon mari les
y a accompagnés. J'avais prétexté que j'avais de la lessive et du ménage à faire et personne ne s'était étonné.
J'ai commencé à faire du ménage et j'ai lavé quelques vêtements puis en attendant que ça sèche, j'ai regardé un peu
partout. Ça m'intriguait cette chambre et ce bureau interdits. Oh, je sais que je n'aurais pas dû, mais cette clé cachée
au fond d'un vase devait bien servir à quelque chose. J'ai essayé et j'ai ouvert la porte du bureau et ce qui m'est tout
de suite apparu, c'est cette photo où une femme était penchée sur un muret avec un homme debout derrière elle et
ils copulaient.
Il n'y avait pas de doute. En ouvrant un album, j'ai pu voir qu'il s'agissait bien de la propriétaire, car elle était sur
beaucoup de photos mais du type aucune trace. J'ai aussi ouvert des placards. Il y avait aussi des lettres sur le
bureau et j'en ai lu une qui disait : "Ma chérie, ton corps me manque et ta bouche aussi. J'aime tant que tu me suce.
J'aime aussi t'enculer et j'aime quand tu te masturbes devant moi et quand tu me fais jouir sur tes seins..." La suite
était de la même eau et je ne me sentais pas bien ou plutôt, je me sentais très excitée, mais j'ai replié et rangé la
lettre.
Il y avait aussi une boîte remplie de photos, pour la plupart de la propriétaire et aussi d'autres hommes et femmes et
je me suis demandé où ça avait pu être pris car ça semblait être dans la campagne. Et puis il y avait cette porte qui
menait à la chambre. Il y avait une serrure et je n'avais pas trouvé de clé mais je n'ai eu qu'à tourner la poignée parce
qu'elle n'était pas verrouillée.
C'était une jolie chambre avec un lit à baldaquin et il y avait encore des cordes nouées aux quatre poteaux. J'étais
encore plus excitée. Je me suis assise dans le fauteuil. De l'autre côté du lit, il y avait une table et un ordinateur et à
côté une télé et dans le tiroir de la table quelques DVD anonymes. Je ne m'y connais pas trop, mais j'avais compris
que sur ces DVD il devait bien y avoir quelque chose. J'ai allumé la télé et j'ai glissé l'un des DVD et j'ai attendu en
m'asseyant sur le bord du lit.
"Souvenir de l'île d'Aaland" est soudain apparu sur l'écran. Il y avait la mer et ça ressemblait bien à une île. Des gens
arrivaient et descendaient d'un bateau à voile. Il faisait beau. "Enfin, a dit une femme !" La caméra s'est fixée sur elle
et la femme s'est déshabillée complètement et quand la caméra est revenue sur les autres passagers, ils étaient tous
nus eux aussi. La caméra les a suivis jusqu'à une grande maison et une femme d'âge mûr est apparue, nue elle
aussi, grassouillette et elle a embrassé tous ses visiteurs.
"Enfin, disait-elle ! Vous m'avez beaucoup manqué ! Ah, Jean, tu as amené ta petite femme ! Ah ! Edith, tu es encore
plus belle que l'an dernier, etc." Ils ont tous disparu dans la maison et la caméra s'est abandonnée sur le paysage et
la mer. Depuis, je me suis renseignée et je sais que les îles d'Aaland sont un groupe d'îles en Finlande, mais tous
semblaient être français. Sur les vues d'après, ils étaient tous attablés sur une terrasse au moment du déjeuner et la
caméra a fait le tour de la table et s'attardait sur les convives. La caméra s'est fixée sur l'hôtesse qui frottait ses
mains sur sa poitrine puis s'est mise à rouler ses mamelons avec le bout de ses doigts. Elle se tournait sur une jeune
femme brune assise à sa droite : "Alors, faisait la femme, tu as changé d'amant ?" "Oui, a répondu la jeune femme !
J'en avais assez de me faire baiser par lui !" "C'est qui, alors, aujourd'hui, lui a demandé la femme ?" "Joël ! Il est assis
à l'autre bout de la table, le second en partant de la gauche !"
L'hôtesse a ri puis a ajouté : "Ah, comme je te comprends ! Il a une plus belle queue que l'autre, mais j'espère que tu
n'es pas jalouse parce qu'il fait du gringue à la petite rousse !" "Joanna, a fait la jeune femme ? Pas de danger, elle
préfère les femmes !" "Ah, bon, a fait l'hôtesse ? Tu y as goûté ?" "Oh, oui, a répondu la jeune femme ! Elle est très...
amoureuse !" L'hôtesse a conclu en disant qu'elle espérait qu'elle y goûterait et toutes les deux se sont mises à rire.
La caméra s'est déplacée mais c'était moins intéressant. Des couples parlaient entre eux de choses et d'autres, deux
des femmes comparaient leur bronzage et leurs seins puis la caméra s'est fixée sur la jolie rousse. Elle riait elle aussi
et on ne saura jamais de quoi puis elle a dit à sa voisine qu'elle préférait se masturber que de se faire monter par un
homme.
"Tout ce qu'ils veulent, c'est se vider les couilles, continuait la jolie rousse et je ne veux pas leur servir d'exutoire ! Et
quitte à satisfaire mes besoins, je préfère une femme ! Tu me plais bien, ajouta-t-elle en regardant sa voisine !"
"Mais je suis mariée et j'aime mon mari, a protesté la voisine !" "Crois-tu qu'il le saura, lui a répondu la rousse, que
tu as fait l'amour avec une gouine ? Tu veux que je lui téléphone ?" "La voisine fut soudain affolée d'autant plus que
la rousse revenait à l'assaut, lui disant que si elle ne voulait pas, elle téléphonerait à son mari qui n'aimerait pas ça.
"Je ne comprends toujours pas comment tu as pu épouser ce type coincé ! Fiançailles, mariage, maison, enfants et
ensuite grands-enfants, c'est ça que tu veux vraiment ? Je suis sûre que tu lui a dit que tu étais vierge !" "Oui, a
répondu la voisine de la rousse !" "Tu aurais pu lui parler de ce que nous avions fait auparavant, a ajouté cette
dernière !" "Oh, tu ne le feras pas, a demandé la voisine !"
Il n'y a pas eu de réponse. La caméra est revenue sur les autres convives puis a filmé la mer. A la fin, l'écran est
devenu tout noir et des mots sont apparus : "Filmés par..." Puis j'ai reconnu la propriétaire de la maison qui est
apparue toute nue elle aussi, vue de côté, comme un cheval cabré avec une queue de cheval là où les chevaux ont
leur queue et elle a dit : "Sonia !"
J'ai regardé le courrier de réservation et la lettre que nous avait envoyée la propriétaire et il n'y avait que son nom et
pas de prénom. J'étais en sueur. J'ai regardé ma montre. Il était sept heures du soir et mon mari et les enfants
allaient sans doute rentrer de la plage. J'ai rangé le DVD et éteint la télé et je suis sorti du bureau. J'avais chaud.
Dix minutes plus tard, mon mari est arrivé avec les enfants. J'étais en train de préparer le dîner dans la cuisine.
- Tu as dû t'ennuyer, m'a dit mon mari ! Tu aurais dû venir ! L'eau était parfaite !
J'ai répondu en lui demandant qui aurait préparé le dîner et toute la soirée je me suis dit que ce serait bien ce genre
de trip qu'on pourrait faire une fois que nos enfants seront partis de la maison parentale. Ce soir-là, mon mari s'est
étonné que je sois si excitée et je lui ai tout fait : je me suis étouffée en avalant son pénis et je suis monté sur lui
pour lui faire l'amour et je lui ai écrasé mes seins sur le visage et il a fini en me prenant en levrette et il bandait si
fort qu'il me faisait mal.
Quand je me suis relevée du lit, j'ai eu beau plaquer ma main sur ma coupe, la semence coulait abondamment de
mon vagin et j'en avais plein les cuisses, mais le lendemain, mon mari n'a rien dit de nos exploits de la veille.
J'avais hâte d'être seule à nouveau. Heureusement, deux jours plus tard c'était mon anniversaire et j'ai encouragé
mon équipe à trouver un bon restaurant pour fêter ça et j'ai pu être seule toute la matinée. Je suis retournée dans le
bureau puis dans la chambre. J'ai ouvert l'armoire. Il y avait du beau linge, de la soie et des dentelles et de jolies
robes et en bas, il y avait une machine avec un pénis dessus. Je n'avais jamais vu ça et je crois même que je ne
savais même pas ce que c'était. C'était une boîte noire arrondie sur le dessus comme peut l'être une selle, avec un fil
et une prise et un interrupteur et le pénis semblait vraiment un vrai pénis bien que beaucoup plus gros.
J'ai branché la prise et j'ai actionné l'interrupteur et le pénis a gigoté dans tous les sens, de haut en bas et en toutes
directions et j'ai tout de suite su comment la propriétaire pouvait s'en servir. Faute de lubrifiant, je me suis caressée
jusqu'à ce que je mouille puis je me suis enfoncée le pénis dans le vagin. Ça m'a d'abord étonnée que je puisse
m'enfoncer un pénis aussi gros mais j'ai pensé à la suite et j'ai actionné l'interrupteur et j'ai été désarçonnée. Ne me
restait plus qu'à trouver une meilleure position et je me suis remis sur la selle en m'appuyant sur les pieds et j'ai
saisi le bord de la machine avec mes mains avant d'actionner l'interrupteur avec mon genoux et le taraudage a
commencé car c'était vraiment un taraudage. Je connaissais ce terme parce que j'avais vu faire un ouvrier venu
réparer un meuble de ma cuisine. Il avait fait un trou puis enfoncé et tourné un outil dedans et j'avais trouvé son
geste très sensuel et quand nos regards se sont croisés, j'ai su qu'il avait compris ce que j'avais compris mais il n'y a
rien eu.
Je tenais le bord de la machine et me disais que ça aurait été bien s'il y avait eu des poignées. Le pénis m'ouvrait le
ventre et j'ai vite pensé qu'il allait me ressortir par la bouche puis j'ai eu un premier orgasme. Ce fut soudain,
imprévisible et épuisant parce que la machine continuait et ne me laissait pas de répit et j'ai eu un second orgasme
puis un troisième. Quand j'ai enfin réussi à me libérer, je suis sortie du bureau et ai fermé la porte à clé et je suis
allée me jeter dans la piscine où j'ai failli me noyer tant j'étais épuisée.
Mais enfin, j'ai retrouvé mes esprits et je me suis mise à nager très lentement. "Maman, m'a dit ma fille aînée, tu te
baignes nue ou tu as perdu ton maillot ?" "Ton père, lui ai-je fait..." "Papa, a dit ma fille ? On a acheté des trucs et ils
sont en train de les sortir de la voiture !" Je lui ai dit d'aller me chercher un maillot. Un à elle parce sa chambre était
plus près et elle est revenue une minute plus tard avec un des siens que j'ai enfilé dans l'eau et c'est comme ça que
j'ai vu que ma fille aînée avait les seins plus gros que les miens.
Ces brefs instants avec ma fille nous ont rapprochées un moment et le soir, alors que nous musardions au bord de la
piscine à discuter de choses et d'autres, je lui ai demandé ce qu'elle voudrait faire comme métier et ma fille m'a
répondu qu'elle voudrait être putain ! "Putain, lui ai-je répondu, ce n'est pas un métier !" J'étais mi amusée mi
furieuse qu'elle m'ait dit ça. Il nous arrivait de traverser le bois de Boulogne certains soirs et il y avait toujours des
filles qui faisaient le tapin. "Je ne suis pas assez belle, a ajouté ma fille !" "Pourquoi, il faut être belle pour faire ça,
ai-je protesté, tout en regardant si personne ne nous entendait discuter ?" "Bah, oui, elles sont belles ces filles, a
continué ma fille ! Tu crois vraiment qu'on les force à faire ça ? C'est qu'elles le veulent bien !"
Je ne voulais pas discuter plus loin. Moi aussi, quand j'avais son âge, je m'étais posée la question entre travailler ou
faire l'amour et faire quelque chose qui me plaît vraiment. J'avais échappé à la première obligation et avec mon mari
j'avais l'amour et le plaisir. Je me souvenais encore du jour pas si lointain où ma fille aînée m'avait révélé qu'elle
avait fait l'amour avec son ami. Elle avait ajouté qu'elle avait ses règles mais qu'ils avaient quand même fait l'amour
et elle m'avait encore demandé parce qu'elle n'en était pas très sûre : "Est-ce que je risque d'avoir un enfant s'il me
fait l'amour dans le derrière ?" "Dans l'anus, lui avaije demandé ?" "Oui, c'est ça, je crois, avait continué ma fille ! Ça
m'a bien plu !"
Je lui ai répondu qu'elle était majeure et qu'elle faisait ce qu'elle voulait puis elle a voulu savoir si je faisais ça avec
son père mais je ne lui ai pas répondu. J'ai dû attendre une semaine avant d'être à nouveau seule dans la maison et
j'ai à nouveau essayé la machine que j'ai réussi à maîtriser puis je me suis contenté de regarder les autres DVD et j'ai
fini par comprendre que trop c'est trop, et qu'à voir la jolie rousse faire l'amour avec sa voisine pendant une heure
puis une des autres se faire prendre par plusieurs partenaires...
J'en avais assez. J'ai tout rangé comme c'était avant mon intrusion puis j'ai remis la clé au fond du pot d'où elle
n'aurait jamais dû partir. J'avais ce qu'il fallait pour satisfaire mon mari et chaque nuit, jusqu'à la fin de nos vacances,
je l'ai satisfait.
Hélène
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Charmant récit même si cela ne reste qu'un fantasme...