Fantasme à l'aéroport
Récit érotique écrit par Lauteurgay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fantasme à l'aéroport
Le terminal de l’aéroport de Madrid était très fréquenté ce jour d’août. C’était la fin de l’été, mais à Madrid, le soleil brillait encore, le ciel était toujours bleu, et la chaleur était pesante.
La capitale espagnole est une ville dynamique où l’on croise beaucoup de jeunes couples. Evidemment, je suis plus intéressé par les jeunes hommes que par leurs copines ou leurs femmes. C’est juste une question de goût. Ce jour-là, j’étais arrivé très tôt à l’aéroport, peur de rater mon avion, et pour joindre l’utile à l’agréable, j’en ai profité pour regarder défiler les beaux gosses musclés, bronzés, espagnols ou internationaux qu’importe… J’avais dû en mater des dizaines. Alors dans l’après-midi, j’étais surexcité. Et je pensais de plus en plus à un éventuel plan cul et / ou suce. En sachant que, dans de telles circonstances, ça serait difficile : primo, je ne parle pas la langue de Cervantès, donc pour aborder un partenaire, ça serait plus que délicat, secundo, je ne connaissais personne, et en plus à l’aéroport – où faire mes affaires avec un mec ? N’empêche que l’envie de sucer une bite me prenait de plus en plus, au point de devenir obsédante – les yeux en permanence rivés sur les braguettes masculines que je voyais. J’aurais dû les compter- il manque ici une information capitale : combien de bites j’aurais pu sucer et combien de vidanges j’aurais pu donc effectuer ! A combien d’hommes aurais-je pu rendre service ? C’est vrai, je considère la fellation comme une bonne action: bien pomper un homme, c’est le rendre heureux ! C’est pour cette généreuse raison que je suce autant !!
Les Espagnols, comme les Méditerranéens, prennent leur temps. Ils ont bien raison. Et le temps défilait lentement. Assis dans un café, j’avais dû boire des litres d’ « Americano », et conséquence naturelle, j’avais envie d’aller aux toilettes… J’imaginais y aller pour faire pipi et aussi me branler un bon coup, accessoirement. Mater des paquets toute la journée, ça remplit les couilles, et c’est mieux de les avoir vidées. Dans l’idéal, avec l’aide d’un partenaire.
Je me dirige donc vers des toilettes près du café. Elles sont relativement peu fréquentées. C’est super, si jamais mon souffle devenait haletant quand je m’astiquerai le manche. Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’aime bien me branler dans les urinoirs, c’est mon côté un peu exhib du genre : « Après tout, j’ai pas besoin de me cacher ». Je me positionne donc devant l’urinoir à gauche, et arrive un agent d’Ibéria – compagnie nationale espagnole – qui vient pisser à deux urinoirs à ma droite. Je pisse - tant pis pour la branlette, je referai un tour aux chiottes plus tard - et quand je termine, en me retirant, je jette un œil à droite et je vois ce mec qui tient sa bite. Le peu que j’en ai vu m’a laissé deviner une tige bien large. Mais bon, c’est trop tard, je dois quitter cet endroit, encore plus excité qu’avant. Je me lave les mains, l’hygiène, c’est important, et je vois dans le miroir cet agent qui se lave les mains aussi. Et nos regards se croisent : il doit avoir dans les 37 – 40 ans, brun, assez beau gosse, musclé, viril, et la coiffure impeccable. Mais surtout, ses yeux laissent échapper quelque chose de coquin, voire torride – j’aimerais prendre ça pour une invitation à une bonne partie de cul, mais je me dis que ça doit juste être le sang espagnol.
Du coup, je quitte les chiottes, la queue entre les jambes, et je retourne m’asseoir pas très loin. Et j’attends. J’attends quelques minutes pour revoir ce type à la grosse queue, a priori, mais il ne sort pas. Bizarre. Très bizarre même parce que je me suis installé à un endroit où je le verrai sortir : il ne peut pas quitter les toilettes sans passer devant moi ! Et puis, une idée me traverse l’esprit. Je me dis : « Si dans deux minutes, il n’est pas sorti des chiottes, alors ça veut dire qu’il attend un plan cul, et dans ce cas-là JE FONCE ET JE LE POMPE !!! »
Et ce qui devait arriver est arrivé. Quand je me redirige vers les toilettes, sort ce bel homme et on se croise. Il y avait une fontaine vers la porte, et l’air de rien je m’y arrête, je bois un coup. Pas parce que j’avais soif, mais parce que je voulais gagner du temps et savoir ce que mon Apollon espagnol ferait. S’il me suit, ou s’il rentre dans les chiottes, c’est bon, je vais avoir une queue en bouche !! Je salivais déjà. La suite est facile à deviner : le bel Espagnol fait demi-tour, rentre à nouveau dans les toilettes, va aux urinoirs. Je le suis d’un pas décidé et m’installe juste à côté de lui, et il me montre sa grosse bite. Il commence même à la branler sous mes yeux, juste en deux trois mouvements, juste pour me montrer son prépuce et son gland humide.
Il était si chaud qu’il avait déjà sorti ses grosses burnes aussi. Alors que faire ? Après tout, je n’allais quand même pas le laisser en plan le pauvre, et une grosse queue comme ça, ça ne se refuse pas. Je me suis donc baissé et j’ai pris son zob dans la bouche et je l’ai à peine suc é pour y goûter, et pour lui faire comprendre que « Oui, ton chibre a bon goût, et je veux pomper ton jus, mec !! »
On est allé s’isoler dans des toilettes, et sans même fermer la porte, je me suis accroupi, et j’ai pris son gros sexe dans ma bouche. Je l’ai sucé goulument, avec plaisir. Je me suis redressé pour l’embrasser mais il a tourné la tête en disant « No ». Ca, et la bague au doigt : il était marié, sûrement à une Maman magnifique mais qui ne le suce plus !
Sa femme ne sait pas ce qu’elle perd : moi je l’ai pompé, j’ai massé son gland avec ma langue, je lui ai léché les couilles, et je remontais jusqu’à son prépuce. Je sentais qu’il aimait ça car il gémissait discrètement. Moi aussi, je gémissais, je remuais un peu le cul, je me sentais comme affamé. J’aurais pu le pomper pendant des heures ce gros calibre, mais il fallait faire vite : il devait certainement retourner au boulot et moi prendre l’avion. Je l’ai sucé, en accélérant la cadence, en le masturbant aussi. Je caressais ses cuisses fermes et son cul bien rebondi ce qui m’excitait encore plus. Il avait gardé sn uniforme, mais qu’il ait juste sorti sa grosse teub et ses couilles super pleines de son pantalon me donnait encore plus faim de son sexe !
Je ne pouvais plus m’en empêcher, je voulais du sperme, je voulais goûter et avaler son jus de mâle viril. Et donc, sans retirer sa queue, j’ai aspiré jusqu’à ce que je sente son liquide dans ma bouche, de bonnes giclées de sperme chaud sont venues me remplir. Il a sorti son gros sexe et j’ai vu une dernière goutte blanche sur son gland que je me suis empressé de lécher avant qu’il ne l’essuie : je n’aime pas le gaspillage ! De la bonne crème comme ça en plus, directement à la source, on ne la gaspille pas !
Il est parti après s’être essuyé la bite avec du papier toilettes, il est parti se laver les mains. Moi, j’ai attendu un peu, le temps de me remettre de tout ce plaisir qu’il m’avait donné. Et puis, j’ai quitté les chiottes, et je n’ai plus arrêté de penser à cette bonne bite bien juteuse que j’ai eu le bonheur de pomper. L’imprévu, ça a du bon ! Et surtout, mon bel Espagnol m’a permis de réaliser un fantasme.
Je dois lui dire : « Muchas gracias ! »
La capitale espagnole est une ville dynamique où l’on croise beaucoup de jeunes couples. Evidemment, je suis plus intéressé par les jeunes hommes que par leurs copines ou leurs femmes. C’est juste une question de goût. Ce jour-là, j’étais arrivé très tôt à l’aéroport, peur de rater mon avion, et pour joindre l’utile à l’agréable, j’en ai profité pour regarder défiler les beaux gosses musclés, bronzés, espagnols ou internationaux qu’importe… J’avais dû en mater des dizaines. Alors dans l’après-midi, j’étais surexcité. Et je pensais de plus en plus à un éventuel plan cul et / ou suce. En sachant que, dans de telles circonstances, ça serait difficile : primo, je ne parle pas la langue de Cervantès, donc pour aborder un partenaire, ça serait plus que délicat, secundo, je ne connaissais personne, et en plus à l’aéroport – où faire mes affaires avec un mec ? N’empêche que l’envie de sucer une bite me prenait de plus en plus, au point de devenir obsédante – les yeux en permanence rivés sur les braguettes masculines que je voyais. J’aurais dû les compter- il manque ici une information capitale : combien de bites j’aurais pu sucer et combien de vidanges j’aurais pu donc effectuer ! A combien d’hommes aurais-je pu rendre service ? C’est vrai, je considère la fellation comme une bonne action: bien pomper un homme, c’est le rendre heureux ! C’est pour cette généreuse raison que je suce autant !!
Les Espagnols, comme les Méditerranéens, prennent leur temps. Ils ont bien raison. Et le temps défilait lentement. Assis dans un café, j’avais dû boire des litres d’ « Americano », et conséquence naturelle, j’avais envie d’aller aux toilettes… J’imaginais y aller pour faire pipi et aussi me branler un bon coup, accessoirement. Mater des paquets toute la journée, ça remplit les couilles, et c’est mieux de les avoir vidées. Dans l’idéal, avec l’aide d’un partenaire.
Je me dirige donc vers des toilettes près du café. Elles sont relativement peu fréquentées. C’est super, si jamais mon souffle devenait haletant quand je m’astiquerai le manche. Je ne sais pas pour vous, mais moi, j’aime bien me branler dans les urinoirs, c’est mon côté un peu exhib du genre : « Après tout, j’ai pas besoin de me cacher ». Je me positionne donc devant l’urinoir à gauche, et arrive un agent d’Ibéria – compagnie nationale espagnole – qui vient pisser à deux urinoirs à ma droite. Je pisse - tant pis pour la branlette, je referai un tour aux chiottes plus tard - et quand je termine, en me retirant, je jette un œil à droite et je vois ce mec qui tient sa bite. Le peu que j’en ai vu m’a laissé deviner une tige bien large. Mais bon, c’est trop tard, je dois quitter cet endroit, encore plus excité qu’avant. Je me lave les mains, l’hygiène, c’est important, et je vois dans le miroir cet agent qui se lave les mains aussi. Et nos regards se croisent : il doit avoir dans les 37 – 40 ans, brun, assez beau gosse, musclé, viril, et la coiffure impeccable. Mais surtout, ses yeux laissent échapper quelque chose de coquin, voire torride – j’aimerais prendre ça pour une invitation à une bonne partie de cul, mais je me dis que ça doit juste être le sang espagnol.
Du coup, je quitte les chiottes, la queue entre les jambes, et je retourne m’asseoir pas très loin. Et j’attends. J’attends quelques minutes pour revoir ce type à la grosse queue, a priori, mais il ne sort pas. Bizarre. Très bizarre même parce que je me suis installé à un endroit où je le verrai sortir : il ne peut pas quitter les toilettes sans passer devant moi ! Et puis, une idée me traverse l’esprit. Je me dis : « Si dans deux minutes, il n’est pas sorti des chiottes, alors ça veut dire qu’il attend un plan cul, et dans ce cas-là JE FONCE ET JE LE POMPE !!! »
Et ce qui devait arriver est arrivé. Quand je me redirige vers les toilettes, sort ce bel homme et on se croise. Il y avait une fontaine vers la porte, et l’air de rien je m’y arrête, je bois un coup. Pas parce que j’avais soif, mais parce que je voulais gagner du temps et savoir ce que mon Apollon espagnol ferait. S’il me suit, ou s’il rentre dans les chiottes, c’est bon, je vais avoir une queue en bouche !! Je salivais déjà. La suite est facile à deviner : le bel Espagnol fait demi-tour, rentre à nouveau dans les toilettes, va aux urinoirs. Je le suis d’un pas décidé et m’installe juste à côté de lui, et il me montre sa grosse bite. Il commence même à la branler sous mes yeux, juste en deux trois mouvements, juste pour me montrer son prépuce et son gland humide.
Il était si chaud qu’il avait déjà sorti ses grosses burnes aussi. Alors que faire ? Après tout, je n’allais quand même pas le laisser en plan le pauvre, et une grosse queue comme ça, ça ne se refuse pas. Je me suis donc baissé et j’ai pris son zob dans la bouche et je l’ai à peine suc é pour y goûter, et pour lui faire comprendre que « Oui, ton chibre a bon goût, et je veux pomper ton jus, mec !! »
On est allé s’isoler dans des toilettes, et sans même fermer la porte, je me suis accroupi, et j’ai pris son gros sexe dans ma bouche. Je l’ai sucé goulument, avec plaisir. Je me suis redressé pour l’embrasser mais il a tourné la tête en disant « No ». Ca, et la bague au doigt : il était marié, sûrement à une Maman magnifique mais qui ne le suce plus !
Sa femme ne sait pas ce qu’elle perd : moi je l’ai pompé, j’ai massé son gland avec ma langue, je lui ai léché les couilles, et je remontais jusqu’à son prépuce. Je sentais qu’il aimait ça car il gémissait discrètement. Moi aussi, je gémissais, je remuais un peu le cul, je me sentais comme affamé. J’aurais pu le pomper pendant des heures ce gros calibre, mais il fallait faire vite : il devait certainement retourner au boulot et moi prendre l’avion. Je l’ai sucé, en accélérant la cadence, en le masturbant aussi. Je caressais ses cuisses fermes et son cul bien rebondi ce qui m’excitait encore plus. Il avait gardé sn uniforme, mais qu’il ait juste sorti sa grosse teub et ses couilles super pleines de son pantalon me donnait encore plus faim de son sexe !
Je ne pouvais plus m’en empêcher, je voulais du sperme, je voulais goûter et avaler son jus de mâle viril. Et donc, sans retirer sa queue, j’ai aspiré jusqu’à ce que je sente son liquide dans ma bouche, de bonnes giclées de sperme chaud sont venues me remplir. Il a sorti son gros sexe et j’ai vu une dernière goutte blanche sur son gland que je me suis empressé de lécher avant qu’il ne l’essuie : je n’aime pas le gaspillage ! De la bonne crème comme ça en plus, directement à la source, on ne la gaspille pas !
Il est parti après s’être essuyé la bite avec du papier toilettes, il est parti se laver les mains. Moi, j’ai attendu un peu, le temps de me remettre de tout ce plaisir qu’il m’avait donné. Et puis, j’ai quitté les chiottes, et je n’ai plus arrêté de penser à cette bonne bite bien juteuse que j’ai eu le bonheur de pomper. L’imprévu, ça a du bon ! Et surtout, mon bel Espagnol m’a permis de réaliser un fantasme.
Je dois lui dire : « Muchas gracias ! »
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