Fantasme d'un ami - histoire érotique

Rapidement, il lit le petit mot griffonné sur un papier froissé qu'elle lui a glissé discrètement au cours de cette interminable réunion, « rendez-vous, où tu sais, à 17h ».

Depuis quelques temps, il entretient une liaison avec cette femme et se félicite chaque jour de lui avoir, un soir ou il se sentait un peu seul, fait des avances.

Bien qu'elle ne soit pas dépourvue de charme, elle n'est pas vraiment belle et son air un peu timide cache une bonne part de sa personnalité.


Pourtant, très vite, il s'est rendu compte du potentiel érotique de sa nouvelle conquête, de sa sensualité à fleur de peau, de sa liberté sexuelle...et aussi, de sa grande imagination dans le domaine des plaisirs de la chair. Leur entente physique, leur complémentarité l'étonne un peu plus à chaque rencontre et c'est avec un délice sans retenue qu'il se laisse couler avec elle dans les flots d'une jouissance tumultueuse toujours renouvelée.


Il est un peu plus de 17H, lorsqu'il gare sa voiture au parking de l' « auberge de l'Ange Noir » et c'est d'un pas précipité qu'il entre dans l'établissement.

L'accueillant d'un sourire complice, la réceptionniste a à peine le temps de lui souffler : « madame est déjà là » qu'il s'engouffre dans l'escalier et grimpe 4à4 les 2 étages qui le séparent de la chambre 21.

Devant la porte, il sent battre son coeur violemment sans trop savoir qui de sa course ou de son désir est responsable d'un tel emballement. Toc toc toc....pas de réponse, il entrouvre la porte : « tu es là mon coeur? ».....il entre dans la chambre vide.

Aucun bruit, mais où est-elle donc ? Soudain la porte de la salle de bain s' entrebâille. Elle est là, dans une tenue inhabituelle qui attise toute sa curiosité et ses sens. Elle porte un bustier cintré en latex noir qui met sa taille et ses seins en valeur, un porte jarretelles, des bas résilles noirs, pas de culotte et, ce dont il rêve depuis toujours, de longues cuissardes de cuir....

Déjà il s'approche lorsqu'elle l'interrompt d'un ton sec, les mains sur les hanches, le regard sévère, si solidement et élégamment campée sur ses longues jambes : « ne bouge pas! Aujourd'hui, tu seras mon soumis ».

La perspective de ce qui l'attend, éveille immédiatement son sexe qui se gonfle et se durci, serré dans son pantalon.


Il lui avait déjà parlé plusieurs fois de ce fantasme qui trottait dans sa tête mais il savait que le rôle de dominante ne l'inspirait guère et que son plaisir décuplait plutôt dans une étreinte sauvage dont elle était le jouet. Ce qui n'était pas, non plus, pour lui déplaire.

C'est donc avec étonnement, excitation, curiosité et impatience qu'il obéit.


Deux chaise étaient positionnées côte à côte au milieu de la pièce. Elle lui ordonna d'aller s'asseoir sur l'une d'entre elle. Puis elle lui tourna le dos pour prendre un objet dans son sac qu'il ne sut apercevoir. Elle s'approcha et lui demanda de tendre les mains devant lui. Avant qu'il n'eut réalisé, il se retrouva les deux poignets solidement entravés d'une paire de menottes.

« J'ai envie que tu m'échauffes de ta langue vicieuse » lui dit-elle tout en posant son pied botté sur la seconde chaise et en approchant sa vulve rasée de son visage. « vas-y, fort, fait moi du bien, je veux que tu fasse vibrer tout mon corps». Sa langue titille, explore pendant qu'elle l'accompagne en balançant son bassin, il suce, mord doucement, revient aux petites lèvres, s'enfonce dans sa grotte d'amour, aspire le clitoris. « encore, encore,donne moi du plaisir, tu es a moi, rien qu'à moi » Déjà elle se tord, se cambre, déjà son sexe perle sur le visage de l'homme quand soudain elle quitte sa posture et dit « maintenant, joins tes mains et dresse tes index et tes majeurs ». Elle approche alors son sexe ruisselant et s'empale sur ses doigts dressés, il s'enfonce en elle encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle gémit, soupire, se laisse aller totalement à son ivresse . Son sexe est en feu, elle le sent qui bat au rythme de son coeur, de son souffle, alors, n'y tenant plus, elle s'abandonne dans un long râle accompagnant sa jouissance.


L'homme sent son sexe tendu à l'extrême par cette vision excité, il a envie de le libérer, de le caresser...ses mains s'en approche déjà.

« Laisse ta queue tranquille...ce n'est pas le moment » lui dit-elle.... « je n'en ai pas fini avec toi...couche toi sur le lit...et surtout, n'essaie pas de venir avant que je t'y autorise »


Contraint et forcé, il obtempère un peu frustré de ne pouvoir se satisfaire.

Elle s'approche de lui couché sur le dos et, enfin, lui ôte ce pantalon qui le tenait plus prisonnier que ces bracelets. Sa verge se dresse fière et hautaine, espérant les caresses d'une bouche mais ce n'est pas ce qu'elle souhaite, elle se met à califourchon et s'empale violemment tout en lui triturant les tétons. Un mélange de douleur et de plaisir l'envahit, excitant et nouveau. Encore échauffée de son orgasme précédent, elle n'est pas longue à venir...heureusement, il n'aurait pas pu tenir d'avantage.... autorisation ou pas.


« A quatre pattes maintenant » dit-elle « je t'ai réservé une petite surprise, j'ai envie de te pénétrer à mon tour, de te faire goûter une nouveauté toute particulière». Aie, ça il ne l'avait pas prévu et bien qu'il l'ai imaginé des centaines de fois... le passage à l'acte l'effraie un peu. Une fois l'homme en position, elle lui caresse doucement le dos, les cuisses, les fesses, elle prend dans sa main son sexe turgescent et le branle délicatement...Hmmm, il sent son corps se relâcher de plus en plus sous ces effleurements experts.


Alors elle remplace ses caresses par de petits baisers qui lui procurent de doux frissons. Puis elle s'approche encore pour de sa langue chaude et humide lui titiller l' anus tout en continuant les vas et vient de sa main droite.


Elle s'introduit un doigt dans sa chatte trempée, et ainsi lubrifié naturellement, le glisse lentement dans le petit trou de l'homme. La sensation nouvelle l'excite au plus haut point, il sent son bas-ventre frémir, une tension de plaisir l'envahir ... presque silencieusement, il gémit.


Elle effectue quelques vas et vient puis joint son majeur à son index et recommence ...

L'homme gémit plus fort.

Elle prend alors un gode souple qu'elle avait placé à proximité et le montre à son ami. « regarde, je vais te donner plein de plaisir avec mon beau joujou . Tu vas aimé ça ...regarde .. » De nouveau elle l'introduit en elle pour le lubrifier de sa cyprine toujours aussi abondante, fixant son ami d'un regard gourmand. Elle se sent si chaude, prise au jeu auquel elle s 'est prêtée.


L'homme toujours à quatre pattes, sent l'embout venir pousser son entrée secrète qui résiste un peu avant d'être forcée de s'ouvrir. La douleur de la dilatation le surprend et il ne peut s'empêcher de grimacer. Un instant, ils restent immobile tous deux, puis le muscle se détend et la sensation devient supportable, puissante, envahissante. Lorsqu'il sent le gode aller et venir en lui, lorsqu'il se sent ainsi soumis, que la douleur se mêle au plaisir, ainsi pénétré, et masturbé en même temps, il flirte avec l'extase plus intensément que jamais.

Ses gémissement se transforment en râles graves qui font tressaillir la femme au plus profond d'elle-même. « je vais venir » souffle t'il. Alors tout en continuant de pénétrer ses entrailles, elle se glisse sous lui et prend son sexe en bouche. Dans une explosion de tous ses sens, sa semence enfin libérée gicle à chaudes coulées dans la bouche de cette femme; Celle qui a su le comprendre et lui offrir de si belle manière, la réalisation de son fantasme. A bout de force, il se laisse glisser sur le côté.


Doucement elle ôte le gode, lui enlève les menottes , puis lui sourit ...enfin

Maintenant, dit-elle, s'il te plaît, serres moi dans tes bras

Et c'est le coeur débordant de tendresse qu'il la tint blottie contre lui....en lui murmurant : « il n'y a pas à dire, tu es super craquante dans ces bottes de cuir »