fantasme dans un magasin
Récit érotique écrit par Barrycool [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 1 récit publié.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Barrycool ont reçu un total de 222 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 222 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
fantasme dans un magasin
Manon
Je suis dans un magasin et je profite de regarder un DVD en exposition qui tourne sur un écran vidéo. J'ai le temps d'observer aussi tout le monde qui passe. Aussi la vendeuse de la boutique je l'ai repéré déjà plusieurs fois. Elle est assez canon, blonde toujours bien habillée et bien décolleté. On a envie de plonger son regard sur ses nichons et de deviner ce qui se cache dans la prolongation de ce qui dépasse. Seins bien fermes, hanches fermes extrêmement bien proportionnées. Le visage est un peu trop sérieux. Elle sourit rarement. Beau cul bien musclé et des cuisses comme on les aime. Bref l'observer se mouvoir pour ses petits activités dans le magasin a un air bien gracieux. J'ai envie de l'aborder, mais je n'en ai aucune idée comment le faire. Surtout que je n'ai pas d'envie sentimentale, mais juste envie de lui faire fondre la glace. Elle a un air inabordable et très sur d'elle. Alors je me prépare une stratégie pour relever mon défi de taille. J'ai envie de la faire jouir dans son magasin, sous les yeux et à l'insu de tous. Comment faire? Je crois bien qu'elle n'a pas envie de consentir juste parce que je le lui demande.
"Bonjour, vous êtes plus que jolie, je ne suis pas amoureux de vous. On ne se connaît pas, je n'ai envie de rien acheter, mais envie de vous proposer de vous laisser pousser dans une aventure et jeux de séduction. Car je m'imagine que vous êtes quasi inabordable, que vous ne vous laissez jamais aller et que vous résistez à tout." – Pause elle me regarde bouche ouverte. Je vois dans ces yeux qu'une réponse rapide s'est préparée, mais elle a retenu ce qu'elle a voulu dire en premier. (Preuve de maîtrise de soi) Elle me regarde dans mes yeux et je sais qu'elle est en train de se demander ce qui lui arrive. Une fraction de seconde ses yeux se sont dilatés. Pour moi la suggestion de ma part était assez forte et un fantasme a du passer dans ces pensées. Son visage a très, très légèrement rougi durant ce laps de temps, mais si vite que sans observation exercée un autre n'aurait rien vu de tout cela. Elle me dit froidement :" je n'ai pas cet article dans mon magasin". Pour elle la discussion était close pour continuer à travailler et s'occuper d'autres clients. Tout cela s'est passé en moins d'une minute sans histoire, sans la moindre chance apparemment de continuer sur cette voie. Je reste près d'elle car je n'avais pas fini.
Je passais à l'action et je devenais directement impertinent. Je lui demande carrément si elle était d'accord de construire ensemble un exercice pour qu'elle puisse jouir dans son magasin sous les yeux des clients et de nous tous sans qu'on puisse se rendre à l'évidence que l'impossible a lieu dans un tel environnement. Mais que cela prenait une bonne préparation préalable et qu'elle était la seule à pouvoir en profiter et en décider. Que je pensais qu'elle était capable à relever ce défi et surtout que les envies de ses fantasmes les plus secrètes devaient pas être si éloignés d'une telle situation. (Et voilà la même brillance qu'avant dans ces yeux, le petit rougissement qui passait comme une petite vague dans son visage sans en payer mine). Je suis très encouragé par ce détail! Que cela pouvait être une chance unique qu'elle pouvait réaliser une sorte de petite folie dont elle n'a même pas rêvé que cela pouvait devenir une réalité. Je ne savais pas encore comment réaliser cela, mais j'avais envie qu'elle saute dans le wagon de ma petite folie défiante.
Après cela elle a interrompu son travail, elle me regarde longuement. Je vois les questions qui doivent surgir dans son esprit.
Elle:
Quoi faire dans cette situation? Envie, pas envie jusqu'où aller avec cet inconnu avec son sourire bien posé, invitant, des yeux brillants…. Il a touché oui, pourquoi sortir maintenant de mon terrain battu ? Mes fantasmes, j'y pense à nouveau. Une réalisation, ouh, là une petite excitation vient de ce manifester, sans que je la contrôle vraiment. Mais il n'est pas possible qu'il ai vu quelque chose.
Lui:
- Super une petite vaguelette qui passe dans son visage comme avant.-
Elle:
Rien que d'y penser d'entrer en matière fait un drôle d'effet sur moi. Ouille, une vague de chaleur me traverse, mon entrejambe chauffe et je mouille et bon, mes bouts des seins se dressent. Il faut que j'arrête de faire marcher mon imagination, je suis en train de fondre comme de la glace au soleil.
Lui:
- Super une deuxième petite vaguelette qui passe dans son visage comme avant. Dans l'espace de moins de 10 secondes. Je me régale, aurais-je fait mouche?
Elle:
Je lui dis qu'il est fou !
Lui:
J'apprécie sa réponse elle ne dit pas non. Je vois que quelque chose s'est réveillée en elle. Une sorte de désir dans ces yeux de pouvoir avoir ce qu'elle convoite dans ses rêves les plus torrides et secrets et c'est devant ces yeux et surtout je pense déjà active dans ces zones érogènes. Les bouts des seins pointent un max.
Elle:
Il ne me dit rien, il me regarde avec un air de dire on relève le défi ? Je craque, mais là je pointe fort. Il l'a vu. Son regard a bien balayé mes seins. Cela me fait mouiller davantage. Il me dit qu'il adore les folies et qu'il pense d'avoir trouvé du répondant. Il a raison, mais je n'ai pas envie de le lui montrer. Je me rattrape et réponds de la manière la plus indifférente - Aie je suis déjà en train de jouer le jeu qu'il ma proposé: m'exciter sans faire remarquer quoique ce soit – Je lui dis: "Je ne pense pas qu'il y a beaucoup de moyens d'aller plus loin dans cette démarche." Et oui j'en crevais tout d'un coup d'envie. Je commence vraiment à être excitée, mon petit bouton d'amour a bien pris du volume et je continue à mouiller.
Lui:
"Je peux vous poser une question? Si cette situation ne vous laisse pas indifférente, vous me le montriez?
Elle: Aie, il enfonce le clou, le jeu s'emballe. Je réponds de la manière la plus innocente et étonnée: "Evidemment NON!"
Lui:
"Je m'imagine combien c'est dur de cacher que trois boutons regorgent d'envie d'être pelotés, léchés, mordillés, sucés, frictionnés, caressés pour partir en voyage de rêve. De réaliser ce rêve même en présence de tout le monde seulement avec de l'imagination et un étranger qui devine plus que vous pensez."
Elle:
Et maintenant je sais qu'il sait que je suis rentré dans le jeu. Ca y est, nous sommes partis et je crois que nous ne lâcherons plus prise jusqu'à l'envol dans les nuages. Cela devient même amusant, comment va-t-il diriger la suite de notre conversation rien que pour me faire mousser. J'observe bien son pantalon et son entrejambe peut être il a y aussi quelques miettes pour mes yeux. Le fait de mouiller dans cette situation ne me dérange déjà plus et j'attends même plus. Il me semble bien, que je dois être trempe entre temps.
Lui:
Je n'ai aucune idée de l'effet exacte de ma parole, car elle cache bien son jeu et j'essaie d'en savoir plus. Evidemment ce qui l'amuse à fond à voir son visage. Elle continue à faire son boulot sans faire trop attention à moi, mais en acceptant ma conversation. Mes sens sont très aiguisés à ce moment. Il me semble qu'un soupçon de second, puisque elle a passé tout près de moi, j'aurais mis main au feu qu'il y avait une odeur de cyprine. Soit c'est mon imagination qui est au triple galop ou elle est plus que je pense dans notre jeu et elle est une vraie gouine de fontaine. Sans une quantité minimum de ce nectar, il serait impossible de pouvoir sentir quelque chose. Je m'arrête, l'odeur qui ma effleuré n'est pas resté sans effet sur moi. Je bande comme un bouc en chaleur. La bosse dans mon pantalon ne se fait pas seulement sentir, mais aussi voir si on est bien placé.
Elle:
Evidemment je me rends bien compte qu'il ne sait pas encore l'effet provoqué sur moi et qu'il cherche à savoir. Cela m'amuse vraiment maintenant notre jeu. Je continue à l'ignorer et je réponds de temps en temps par monosyllabes, mais je me positionne bien pour l'observer du coin de l'œil pendant mes petites bricoles du travail. Un moment j'ai du passer tout près de lui et droit après je m'aperçois très bien qu'elle fougue habite dans son slip. Il bande à fond et je m'aperçois que cela doit être l'effet de ma petite odeur douçâtre qui s'est installé depuis un moment dans mon entrejambe. Evidemment la prise de conscience de sa réaction et de mon état n'améliore pas les choses ni mon excitation sexuelle qu’est vraiment plus que réelle. Je dégouline dans mon string, mon clito bande et danse et mes pointes de seins me font mal. Je sais qu'il sait et moi je flippe. Aie un autre client veux quelque chose. Je lui réponds poliment avec toute ma maîtrise. Maintenant c'est à mon initiateur du fantasme de s'amuser dans cette situation assez précaire en face de ce client. Heureusement j'ai un pantalon foncé noir sinon adieu avec ma chatte en jus et en chaleur. Le nectar continue à couler en flot, et bientôt aussi mon pantalon sera trempe. Il faut que je trouve une solution avant. En fait je pense qu'il ne me reste plus que l'orgasme pour couper court à ma torture, car je ne peux quitter ma place et laisser la caisse. Rien que d'y penser et de savoir que mon initiateur doit deviner mon dilemme, me fait monter les tours et un petit cri de râle de bonheur m'échappe.
Lui:
Elle doit être à point. Elle sait que je sais, cela excite au maximum, les clients sont là et elle mouille à fonds. Je crois bien que son pantalon ne va pas tenir le stress de son entrejambe et de sa chatte en feu. Je me demande comment je peux l'aider à déclencher son envol dans les nuages. Je ne veux pas compromettre notre connivence secrète et notre jeu. C'est trop excitant. Je sais que pour empêcher son flot, elle a besoin de s'éclater, elle a besoin d'un petit déclencheur. On se regarde profondément dans les yeux et je lis sa demande si je n'avais pas un petit truc discret pour la délivrer. Je sens que moi aussi je suis prêt à exploser, tant pis pour le slip. J'irai aux toilettes. Et voilà, j'aperçois son outil de délivrance. De l'autre coté de son comptoir, il y a une étagère de tiroir avec des jolie poignés bien ronde en boule de 5 cm dont une certainement à la bonne hauteur du lieu si chaud et humide.
Elle:
Il me demande s'il n'y avait pas éventuellement de l'autre coté de mon comptoir dans les tiroirs de l'étagère un billet caché pour gagner le gros lot du défi de départ. Aie, je regarde dans la direction du meuble. Là, je crois j'ai du soupirer, voyant une solution à ma délivrance et aussi m'imaginant la joie d'un moment merveilleux à venir: M'éclater en plein fouet d'un orgasme que je ne sais pas encore mesurer et en même temps avec le soucis de devoir tout cacher devant tout le monde. Rien que d'y penser que cela devenait dans mon état actuel une vraie performance, mon excitation monte au maximum, car le défie se réalisera. A part moi plus rien ne peut l'empêcher sauf que j'accepterais une belle tâche mouillé dans mon entrejambe au su et vu de tout le monde. Je tremble pour y aller. Il me regarde avec un sourire jusqu'aux oreilles.
Lui:
Voilà. Elle s'y trouve et elle prend un cahier un crayon et se plonge dans son cahier d'une manière très concentrée. Elle a déjà enjambé sa boule bien placée, elle ondule du derrière doucement, très doucement. Le mouvement n'est presque pas visible. Par contre moi je sais dans quel état de jouissance elle se trouve. Je me frotte contre le comptoir, je me synchronise avec le tremblement de terre, qui se déroule devant mes yeux entre les jambes de ma vendeuse préférée. Et je sens arriver une onde, une vague chez elle et aussi chez moi de haut en bas, de bas en haut et retour deux fois, trois fois. De loin on aurait dit qu'elle dansait. Elle tournait à la fin la tête vers moi, presque les larmes aux yeux. Une maîtrise parfaite de la situation, avec un orgasme ultra puissant dans le ventre, elle me sourit. Et je vois son envol dans les nuages.
Elle:
Je suis parti comme jamais. Oups, oups, oups j'arrive transformer tout cela dans un mouvement de petite danse, je me pince mes lèvres pour ne pas hurler, la vague de chaleur m'a traversée et me frappe au moins trois fois, mes yeux deviennent humides de soulagement, d'envol. Je le regarde, je lui souris de satisfaction, nous avons relevé le défi de départ. Il me propose que je me fasse relever à la caisse pour aller aux toilettes. Il ma dit qu'il m a réservé une récompense et un dessert. Mais ceci est une autre histoire…
Je suis dans un magasin et je profite de regarder un DVD en exposition qui tourne sur un écran vidéo. J'ai le temps d'observer aussi tout le monde qui passe. Aussi la vendeuse de la boutique je l'ai repéré déjà plusieurs fois. Elle est assez canon, blonde toujours bien habillée et bien décolleté. On a envie de plonger son regard sur ses nichons et de deviner ce qui se cache dans la prolongation de ce qui dépasse. Seins bien fermes, hanches fermes extrêmement bien proportionnées. Le visage est un peu trop sérieux. Elle sourit rarement. Beau cul bien musclé et des cuisses comme on les aime. Bref l'observer se mouvoir pour ses petits activités dans le magasin a un air bien gracieux. J'ai envie de l'aborder, mais je n'en ai aucune idée comment le faire. Surtout que je n'ai pas d'envie sentimentale, mais juste envie de lui faire fondre la glace. Elle a un air inabordable et très sur d'elle. Alors je me prépare une stratégie pour relever mon défi de taille. J'ai envie de la faire jouir dans son magasin, sous les yeux et à l'insu de tous. Comment faire? Je crois bien qu'elle n'a pas envie de consentir juste parce que je le lui demande.
"Bonjour, vous êtes plus que jolie, je ne suis pas amoureux de vous. On ne se connaît pas, je n'ai envie de rien acheter, mais envie de vous proposer de vous laisser pousser dans une aventure et jeux de séduction. Car je m'imagine que vous êtes quasi inabordable, que vous ne vous laissez jamais aller et que vous résistez à tout." – Pause elle me regarde bouche ouverte. Je vois dans ces yeux qu'une réponse rapide s'est préparée, mais elle a retenu ce qu'elle a voulu dire en premier. (Preuve de maîtrise de soi) Elle me regarde dans mes yeux et je sais qu'elle est en train de se demander ce qui lui arrive. Une fraction de seconde ses yeux se sont dilatés. Pour moi la suggestion de ma part était assez forte et un fantasme a du passer dans ces pensées. Son visage a très, très légèrement rougi durant ce laps de temps, mais si vite que sans observation exercée un autre n'aurait rien vu de tout cela. Elle me dit froidement :" je n'ai pas cet article dans mon magasin". Pour elle la discussion était close pour continuer à travailler et s'occuper d'autres clients. Tout cela s'est passé en moins d'une minute sans histoire, sans la moindre chance apparemment de continuer sur cette voie. Je reste près d'elle car je n'avais pas fini.
Je passais à l'action et je devenais directement impertinent. Je lui demande carrément si elle était d'accord de construire ensemble un exercice pour qu'elle puisse jouir dans son magasin sous les yeux des clients et de nous tous sans qu'on puisse se rendre à l'évidence que l'impossible a lieu dans un tel environnement. Mais que cela prenait une bonne préparation préalable et qu'elle était la seule à pouvoir en profiter et en décider. Que je pensais qu'elle était capable à relever ce défi et surtout que les envies de ses fantasmes les plus secrètes devaient pas être si éloignés d'une telle situation. (Et voilà la même brillance qu'avant dans ces yeux, le petit rougissement qui passait comme une petite vague dans son visage sans en payer mine). Je suis très encouragé par ce détail! Que cela pouvait être une chance unique qu'elle pouvait réaliser une sorte de petite folie dont elle n'a même pas rêvé que cela pouvait devenir une réalité. Je ne savais pas encore comment réaliser cela, mais j'avais envie qu'elle saute dans le wagon de ma petite folie défiante.
Après cela elle a interrompu son travail, elle me regarde longuement. Je vois les questions qui doivent surgir dans son esprit.
Elle:
Quoi faire dans cette situation? Envie, pas envie jusqu'où aller avec cet inconnu avec son sourire bien posé, invitant, des yeux brillants…. Il a touché oui, pourquoi sortir maintenant de mon terrain battu ? Mes fantasmes, j'y pense à nouveau. Une réalisation, ouh, là une petite excitation vient de ce manifester, sans que je la contrôle vraiment. Mais il n'est pas possible qu'il ai vu quelque chose.
Lui:
- Super une petite vaguelette qui passe dans son visage comme avant.-
Elle:
Rien que d'y penser d'entrer en matière fait un drôle d'effet sur moi. Ouille, une vague de chaleur me traverse, mon entrejambe chauffe et je mouille et bon, mes bouts des seins se dressent. Il faut que j'arrête de faire marcher mon imagination, je suis en train de fondre comme de la glace au soleil.
Lui:
- Super une deuxième petite vaguelette qui passe dans son visage comme avant. Dans l'espace de moins de 10 secondes. Je me régale, aurais-je fait mouche?
Elle:
Je lui dis qu'il est fou !
Lui:
J'apprécie sa réponse elle ne dit pas non. Je vois que quelque chose s'est réveillée en elle. Une sorte de désir dans ces yeux de pouvoir avoir ce qu'elle convoite dans ses rêves les plus torrides et secrets et c'est devant ces yeux et surtout je pense déjà active dans ces zones érogènes. Les bouts des seins pointent un max.
Elle:
Il ne me dit rien, il me regarde avec un air de dire on relève le défi ? Je craque, mais là je pointe fort. Il l'a vu. Son regard a bien balayé mes seins. Cela me fait mouiller davantage. Il me dit qu'il adore les folies et qu'il pense d'avoir trouvé du répondant. Il a raison, mais je n'ai pas envie de le lui montrer. Je me rattrape et réponds de la manière la plus indifférente - Aie je suis déjà en train de jouer le jeu qu'il ma proposé: m'exciter sans faire remarquer quoique ce soit – Je lui dis: "Je ne pense pas qu'il y a beaucoup de moyens d'aller plus loin dans cette démarche." Et oui j'en crevais tout d'un coup d'envie. Je commence vraiment à être excitée, mon petit bouton d'amour a bien pris du volume et je continue à mouiller.
Lui:
"Je peux vous poser une question? Si cette situation ne vous laisse pas indifférente, vous me le montriez?
Elle: Aie, il enfonce le clou, le jeu s'emballe. Je réponds de la manière la plus innocente et étonnée: "Evidemment NON!"
Lui:
"Je m'imagine combien c'est dur de cacher que trois boutons regorgent d'envie d'être pelotés, léchés, mordillés, sucés, frictionnés, caressés pour partir en voyage de rêve. De réaliser ce rêve même en présence de tout le monde seulement avec de l'imagination et un étranger qui devine plus que vous pensez."
Elle:
Et maintenant je sais qu'il sait que je suis rentré dans le jeu. Ca y est, nous sommes partis et je crois que nous ne lâcherons plus prise jusqu'à l'envol dans les nuages. Cela devient même amusant, comment va-t-il diriger la suite de notre conversation rien que pour me faire mousser. J'observe bien son pantalon et son entrejambe peut être il a y aussi quelques miettes pour mes yeux. Le fait de mouiller dans cette situation ne me dérange déjà plus et j'attends même plus. Il me semble bien, que je dois être trempe entre temps.
Lui:
Je n'ai aucune idée de l'effet exacte de ma parole, car elle cache bien son jeu et j'essaie d'en savoir plus. Evidemment ce qui l'amuse à fond à voir son visage. Elle continue à faire son boulot sans faire trop attention à moi, mais en acceptant ma conversation. Mes sens sont très aiguisés à ce moment. Il me semble qu'un soupçon de second, puisque elle a passé tout près de moi, j'aurais mis main au feu qu'il y avait une odeur de cyprine. Soit c'est mon imagination qui est au triple galop ou elle est plus que je pense dans notre jeu et elle est une vraie gouine de fontaine. Sans une quantité minimum de ce nectar, il serait impossible de pouvoir sentir quelque chose. Je m'arrête, l'odeur qui ma effleuré n'est pas resté sans effet sur moi. Je bande comme un bouc en chaleur. La bosse dans mon pantalon ne se fait pas seulement sentir, mais aussi voir si on est bien placé.
Elle:
Evidemment je me rends bien compte qu'il ne sait pas encore l'effet provoqué sur moi et qu'il cherche à savoir. Cela m'amuse vraiment maintenant notre jeu. Je continue à l'ignorer et je réponds de temps en temps par monosyllabes, mais je me positionne bien pour l'observer du coin de l'œil pendant mes petites bricoles du travail. Un moment j'ai du passer tout près de lui et droit après je m'aperçois très bien qu'elle fougue habite dans son slip. Il bande à fond et je m'aperçois que cela doit être l'effet de ma petite odeur douçâtre qui s'est installé depuis un moment dans mon entrejambe. Evidemment la prise de conscience de sa réaction et de mon état n'améliore pas les choses ni mon excitation sexuelle qu’est vraiment plus que réelle. Je dégouline dans mon string, mon clito bande et danse et mes pointes de seins me font mal. Je sais qu'il sait et moi je flippe. Aie un autre client veux quelque chose. Je lui réponds poliment avec toute ma maîtrise. Maintenant c'est à mon initiateur du fantasme de s'amuser dans cette situation assez précaire en face de ce client. Heureusement j'ai un pantalon foncé noir sinon adieu avec ma chatte en jus et en chaleur. Le nectar continue à couler en flot, et bientôt aussi mon pantalon sera trempe. Il faut que je trouve une solution avant. En fait je pense qu'il ne me reste plus que l'orgasme pour couper court à ma torture, car je ne peux quitter ma place et laisser la caisse. Rien que d'y penser et de savoir que mon initiateur doit deviner mon dilemme, me fait monter les tours et un petit cri de râle de bonheur m'échappe.
Lui:
Elle doit être à point. Elle sait que je sais, cela excite au maximum, les clients sont là et elle mouille à fonds. Je crois bien que son pantalon ne va pas tenir le stress de son entrejambe et de sa chatte en feu. Je me demande comment je peux l'aider à déclencher son envol dans les nuages. Je ne veux pas compromettre notre connivence secrète et notre jeu. C'est trop excitant. Je sais que pour empêcher son flot, elle a besoin de s'éclater, elle a besoin d'un petit déclencheur. On se regarde profondément dans les yeux et je lis sa demande si je n'avais pas un petit truc discret pour la délivrer. Je sens que moi aussi je suis prêt à exploser, tant pis pour le slip. J'irai aux toilettes. Et voilà, j'aperçois son outil de délivrance. De l'autre coté de son comptoir, il y a une étagère de tiroir avec des jolie poignés bien ronde en boule de 5 cm dont une certainement à la bonne hauteur du lieu si chaud et humide.
Elle:
Il me demande s'il n'y avait pas éventuellement de l'autre coté de mon comptoir dans les tiroirs de l'étagère un billet caché pour gagner le gros lot du défi de départ. Aie, je regarde dans la direction du meuble. Là, je crois j'ai du soupirer, voyant une solution à ma délivrance et aussi m'imaginant la joie d'un moment merveilleux à venir: M'éclater en plein fouet d'un orgasme que je ne sais pas encore mesurer et en même temps avec le soucis de devoir tout cacher devant tout le monde. Rien que d'y penser que cela devenait dans mon état actuel une vraie performance, mon excitation monte au maximum, car le défie se réalisera. A part moi plus rien ne peut l'empêcher sauf que j'accepterais une belle tâche mouillé dans mon entrejambe au su et vu de tout le monde. Je tremble pour y aller. Il me regarde avec un sourire jusqu'aux oreilles.
Lui:
Voilà. Elle s'y trouve et elle prend un cahier un crayon et se plonge dans son cahier d'une manière très concentrée. Elle a déjà enjambé sa boule bien placée, elle ondule du derrière doucement, très doucement. Le mouvement n'est presque pas visible. Par contre moi je sais dans quel état de jouissance elle se trouve. Je me frotte contre le comptoir, je me synchronise avec le tremblement de terre, qui se déroule devant mes yeux entre les jambes de ma vendeuse préférée. Et je sens arriver une onde, une vague chez elle et aussi chez moi de haut en bas, de bas en haut et retour deux fois, trois fois. De loin on aurait dit qu'elle dansait. Elle tournait à la fin la tête vers moi, presque les larmes aux yeux. Une maîtrise parfaite de la situation, avec un orgasme ultra puissant dans le ventre, elle me sourit. Et je vois son envol dans les nuages.
Elle:
Je suis parti comme jamais. Oups, oups, oups j'arrive transformer tout cela dans un mouvement de petite danse, je me pince mes lèvres pour ne pas hurler, la vague de chaleur m'a traversée et me frappe au moins trois fois, mes yeux deviennent humides de soulagement, d'envol. Je le regarde, je lui souris de satisfaction, nous avons relevé le défi de départ. Il me propose que je me fasse relever à la caisse pour aller aux toilettes. Il ma dit qu'il m a réservé une récompense et un dessert. Mais ceci est une autre histoire…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Barrycool
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...