Fantasme inavouable

- Par l'auteur HDS Princesse Leîla -
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Récit libertin : Fantasme inavouable Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fantasme inavouable
A l’épicerie nous recevons depuis quelques mois la visite régulière d’un jeune rome qui nous troc sa monnaie excessive contre des billets .Ils ne parle ni français ni anglais, quand il débarque il se pose devant le comptoir, accoudé comme à la maison, complètement nonchalant il a l’œil taquin. C’est un malin, un vif, un roublard. Il blague, nous check en nous saluant, sourire volontaire lorsqu’il croise nos regards, il se serre une bouteille d’eau dans le frigo, tente de nous refourguer ses euros bien que nous lui ai ayons notifié 10 fois qu’on ne les accepte pas.

Il est grand et mince, les pommettes hautes, deux grands yeux gris vert où flambe la fourberie de la débrouille, cheveux brun marron, quelques reflets cendré sur des boucles hautes et serrées, accord parfait avec son teint hâlé olivâtre.
Pendant noël je me suis fâché car il insistait pour que je prenne ses pièces alors que le shop débordait de monde, j’étais obligé de m'imposer pour ne pas me faire mener devant mes clients, il était contrarié et m’a snobé pendant des semaines, me faisant les gros yeux, préférant s'adresser à mes collègues. Les fois suivantes je me suis adouci pour qu’il comprenne “mec rien de personnel” car bien entendu quand je lui explique il ne comprend rien.

Vous l’aurez deviné ce jeune homme m’excite, dieu qu’il m’excite. Je l’ai imaginé 100 fois m’attraper par les cheveux contre une gouttière tout autant que me caresser avec passion sur un divan de velours bordeaux. Bref le fantasme en image. Peu de doutes qu'aux vues de son âge il est peu expérimenté en matière de sexe mais je lis dans ses yeux qu’il est très très très curieux de toutes les formes que ce dernier peu prendre.

La semaine dernière à son arrivée, clin œil dans la file d’attente.
Avant de s’en aller il s’est faufilé derrière moi dans la boutique, il s’est baissé pour pincer mon mollet en singeant l’aboiement, surprise je me suis retourné sec, il s’était redressé et me faisait face le sourire radieux. Il m’a légèrement poussé de l’épaule dans une bousculade complice, j’ai posé ma main sur son bras comme on repousse un importun, mais mes doigts on serrez son avant bras à travers sa doudoune rembourré comme on dit “prend moi tout d’suite jeune fou”.

Quelques jours plus tard je marches dans la ville, retour de quelques verres en soirée avec une amie. En longeant un terrain vague, vestiges d’immeubles en démolition, j’aperçois au loin un groupe réunis autour d’un feux, ils rient haut et fort, je souris en pensant que leur ivresse semble égaler la mienne, sur ma gauche une personne arrive à vive allure, je redresse la tête en la croisant, c’est lui, il marche les yeux rivés sur le groupe de fêtard un léger sourire aux lèvres, nul doutes qu’il est ici pour les rejoindre, sans même y réfléchir, motivé par la surprise je ponctue d’un hé! alors que déjà trois pas nous sépares, il sort de ses pensés, me regarde, se fend d’un large sourire puis me parle dans une langue que je ne connais pas. Je reste un peu béhate, un peu bête, il me pause une question tout en penchant la tête vers le feu, je crois comprendre sans être sur d’en avoir envie, alors après plusieurs secondes de mono dialogue inaudible où je reste figé, il prends ma main en m’emmène avec lui à travers le désert en terre battue.

Il m’introduit dans le groupe de fêtard, je suis mal à l’aise, heureusement quelques personnes parlent francais, les fille surtout, certaines me regarde d’un œil mauvais, mais deux d’entre elles me parlent, me questionne, j’entretiens le dialogue. On m’offre une bière, il revient vers moi et demande à une fille de me traduire ses paroles. Je me détend, reprend une bière, puis deux puis trois puis j’arrête de les compter...
Alors que je ris au éclats des pitreries d’un convive autour du feu, le garçon des pièces m’attrape la main et m’entraine en courant loin du feu , il court en hurlant et je m’esclaffe entre course effrénée et agilité pour ne pas chuter.

Nous entrons dans le hall d’un immeuble désaffecté, nos cris s’éparpillent en écho dans le bâtiment vide, je le pousse dans le renfoncement du mur aux boites aux lettres. En collant ma bouche sur la sienne je trébuche sur les marches et nos lèvres se rejoignent avec force, comme il m’a soutenue par la taille pour m’empêcher de tomber ses mains passes directement sur mes fesses, il les attrapes par dessous et m’attire voracement contre lui en poussant son bassin contre le mien, je sens déjà son sexe dur à travers les couches de vêtement alors un gémissement d’excitation m’échappe. Il durci encore. Mes mains sont autour de ses mâchoires, j’aimerais y planter mes ongles tellement j’ai faim de son corps, il a du le comprendre et se dégage de mon étreinte pour m’entrainer dans l’escalier.

Au niveau supérieur il pousse une porte qui laisse place à un espace éclairé et meublé. Dans le genre studio, lit, cuisine et canapé mais comme j’ai pas le temps pour la visite je quitte mon manteau et mon bonnet en me dirigeant vers le lit.
Après avoir fermé à clef il me rejoint en se déshabillant.
Il monte à califourchon sur mes cuisses et m’oblige à m’allonger. Il soulève mon pull, mes seins sont durci par le froid et l’excitation alors il prend les petites pointe rose dans sa bouche et suce bruyamment, je souffle un oui de plaisir, ça je sais qu’il comprend. Tout en se redressant il regarde mes deux seins en se mordant les lèvre et les prends dans ses mains glacées, je pousse un cris de surprise, on se marre pendant qu’il ouvre mon pantalon. J’ai très envie de tenir sa queue entre mes doigts, je l’imite.
Son sexe en effervescence soulève l’élastique de son boxer noir dés que je fais sauter le bouton au dessus de sa braguette. Bonne pioche elle est énorme et magnifique! Plutôt fine mais bien longue avec un joli gland aux bords large qui lui donne un aspect massif. Je souris à la pensée que cette longue verge me fera certainement jouir dans une position bien choisi. Il s’amuse en voyant ma satisfaction et balbutie quelque chose en riant, je serre mes mains autour son membre, de haut en bas, de bas en haut tout en lui tendant mes lèvres, cette fois c’est lui qui gémit d’excitation pendant que ma langue caresse la sienne.

Soudain il se lève, attrape mon pantalon et le tire jusque sur mes chevilles, pendant ce temps je me retourne et, à quatre pâtes ,je fait mine de m’enfuir à l’autre bout du lit. Il a déjà retiré son pantalon et se jette sur moi en s’exclamant, j’imagine qu’il dit quelque chose comme “où tu crois aller comme ça?” Alors son bassin se colle contre mes fesses et sa queue vient se glisser le long de la fente humide de mon sexe jusqu’à mon clitoris, il frotte encore et encore, il me suffirait d’un mouvement de bassin pour le faire entrer mais je me retiens, c’est trop tôt je veux qu’il me fasse monter encore. Je me retourne vite je colle mes lèvres aux siennes, je suis déjà haletante d’excitation et je vois que ça lui plait. Je me recule, je montre le bout de ma langue avec mon doigt et colle sa main sur mon sexe mouillé. Avec ses doigts il joue un peu avec le liquide qui s’échappe déjà doucement et sans prévenir insère vivement deux doigts au fond de ma chatte. Il me fouille en remuant ses premières phalanges, je cris de plaisirs, je n’ai vraiment pas envie qu’il me ménage. En tirant mon bassin vers sa bouche il me bascule en arrière et commence à me lécher. Ca langue fini par trouver mon clitoris, j’ai du le guider en écartant mes lèvre, comme beaucoup de garçons il ne se concentre pas assez sur le bouton rose et dur et traine longtemps autour. En revanche il comprend à mes gémissements que le bout de sa langue en pointe est plus efficace et commence à jouer avec.

Maintenant je ne peux plus attendre pour le sentir me pénétrer, je repousse doucement sa tête et je tapote sur le lit pour qu’il comprenne que je le veux allonger. Je monte sur lui et sans attendre j’introduis son gland à l’intérieur, progressivement et dans des mouvements ample du bassin je le prends tout entier pour le faire immédiatement ressortir, je sens chaque passage de la corole de son gland entre mes lèvres. J’accélère un peu la cadence en serrant mon périnée pour qu’’il me sente bien lui aussi, alors sa respiration s’accélère et il accompagne mon mouvement, si bien que mes fesses tape contre ses hanches en de petits sauts frénétiques, il prend son pied sa bouche s’ouvre grand dans une délicieuse grimace mais il est hors de question qu’il jouisse avant moi alors je colle mes hanches au sienne, brutalement, sa verge gonflé, au bord de la décharge frotte l’intérieur de mon ventre si loin si profondément, je sens monter la chaleur, mes yeux se révulses, il me voit défaillir, il attrape ma taille et la presse contre lui accompagné de coup de reins bien senti qui font éclater la chaleur dans tout mon corps, mon cris se mêle à ses paroles, il vocifère entre ses dents et éjacule à son tour.

Les avis des lecteurs

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Ça me donne envie d'être offerte et sodomise comme une vrai pute par Un Rome bien monté

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Princesse Leila, chouette histoire. A quand une suite.
Voici mon mail, si vous voulez echanger.



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