Fantasme: première d'une travestie au sauna. (1)

- Par l'auteur HDS Travonparis -
Auteur femme.
  • • 7 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 6.8
  • • L'ensemble des récits érotiques de Travonparis ont reçu un total de 82 596 visites.
Récit libertin : Fantasme: première d'une travestie au sauna. (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2009 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 3 440 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Fantasme: première d'une travestie au sauna. (1)
Je m'appelle Adrienne et je suis travestie occasionnelle. Occasionnelle dans le sens ou ne ressentant ni l'envie d'être totalement femme, et n'ayant pas d'attirance autre que sexuelle pour le sexe masculin, mon coté hétéro l'emporte majoritairement. Toutefois il me prend l'envie de temps à autres de rentrer dans la peau d'un tout autre personnage, celui d'une belle cochonne qui cherche à satisfaire (et à se satisfaire) avec une jolie verge. N'ayant pratiqué que les plans à deux, j'ai un grand fantasme sur les gangs bangs, sans jamais oser sauter le pas, bien j'ai connaissance de l'existence d'un sauna à Paris, à quelque pas de la gare de Lyon ou les travestis sont bien accueillies et appréciées. Cela fait un an environ que je fantasme sur ce lieu sans jamais oser y aller.

Alors en attendant, pourquoi ne pas vous raconter un fantasme sur cette première fois.

Ça y est, j'entame la rue du sauna. Bientôt la porte sera devant moi, et il ne faudra pas que je recule. Je suis mentalement préparée à y rentrer et pourtant j'ai toujours cette appréhension. La même qui réside en moi à chaque fois que j'arrive chez un mec qui m'est inconnu et qui va me baiser lors d'un plan, mais en plus développée. Je sais qu'une fois franchie la porte, non seulement je ne pourrais plus reculer, mais que je serais probablement relâchée ou en passe de l'être. Le plus dur c'est de se jeter à l'eau comme toujours. Un peu de courage et je passe enfin les portes de cet endroit qui me fait fantasmer depuis des mois. Fantasme qui m’amène à m’imaginer, habillé en jolie cochonne, dans ce baisodrome, réputé pour son affluence en travesti, à sucer plus de verges que je n’en ai jamais sucé et à faire visiter mon trou par autant de queues qu’il m’était possible de trouver durant un après midi….

J’avance enfin une jambe puis l’autre et je pousse la porte. Je ne peux plus reculer désormais, je le sais. En un rien de temps me voilà devant la caisse. La voix un peu tremblante je demande le tarif jeune. Le caissier me demande si je suis déjà venu puis m'explique les règles de tolérance du sauna. Une fois fait, il m'ouvre la seconde porte et j'entre dans l'arène. Je suis venu tôt pour pouvoir visiter les lieux tout d'abord sans être dérangé par une foule de personne. Le barman me donne une serviette et une clé et m'indique la direction des vestiaires. Un homme est présent dans les vestiaires et me jette un regard un brin détaillant. Il doit être content de voir un jeune homme, j'espère qu'il apprécie également les travesties. Déjà prêt, il me laisse seul et j'en profite pour me glisser dans la petite cabine à rideau pour femmes et travesties. Là je me déshabille et enfile ma tenue. D'abord mon string noir qui cachemon sexe à ne pas toucher, puis mes bas qui masque mes jambes et ses poils que je ne peux raser afin de préserver ma vie d'hétéro. Vient ensuite ma guêpière rouge et enfin ma perruque longue et noire. Pas de maquillage, d'abord parce que je ne sais pas le faire, ensuite parce que j'ai la chance d'avoir des traits fins qui ne nécessite pas à mon sens le besoin d'un maquillage excessif pour masquer une trop forte "virilité". Je suis prête et je sors de la cabine. Un homme me tourne le dos mais ne fait pas attention à moi. Je range vite fait mon sac mais l'homme ne me voit toujours pas et ça m'arrange, car c'est la première fois que je vais me montrer en travesti face à des gens qui ne cherchent pas forcément cela et qui poseront peut être pas un regard d'envie sur moi.

J'entame alors ma visite. Je commence par le rez de chaussée. Je marche dans ces couloirs vides qui bientôt seront un lieu de débauche et de partouze. Seule dans ce lieu je me sens maîtresse de l’endroit. Les cabines sont ouvertes et je
constate qu'à chaque coin il y des préservatifs et du gel. Dans la salle vidéo une brune offre sa bouche à deux belles pines de hardeurs. Bientôt j'espère que je serais cette belle salope et qu'il y aura bien plus de bites autour de moi. Je m’imagine déjà sur ce canapé subissant les assauts vigoureux d’un mâle derrière lequel une meute attend pour prendre sa place.

Puisqu'il n'y a personne à cet étage, que je sais soit disant pour les hétéros, j'en conclus que le premier homme que j'ai croisé doit se trouver en bas au sous sol. Je descends donc les marches et le retrouve de suite effectivement devant l'écran de télévision à regarder un porno gay en se paluchant doucement à travers sa serviette. Il doit avoir une quarantaine d'année, look hétéro classique. Il me regarde un peu avec surprise je le devine, mais non de manière désagréable vu le sourire qu'il m'adresse rapidement et que je lui rends par politesse. Je passe devant lui et je devine son regard parcourant mes fesses. Comme à l'étage, je visite les lieux.

Je sais que le glory hole est ici et j'avais prévu mon entrée en matière dans ce lieu. Je le trouve très facilement et m'y enferme sous le regard de l'homme qui prendra sûrement cela comme une invitation. En attendant les premiers actes, j'attrape un sachet de gel et me doigte d'un puis deux doigts très facilement. Mon intérieur est toujours propre ce qui est un soulagement car je déteste que mon partenaire nage "dans la mouise". Ce n'est sympathique ni pour lui ni pour moi. Alors que je continue de me doigter, j'entends s'affairer derrière la cloison, puis une bite se présente. Est ce l'homme de tout à l'heure ? je ne sais pas, et c'est d'ailleurs pourquoi je voulais commencer par le glory hole pour ne pas débuter avec le visage d'un total inconnu avec qui je n'aurais échangé aucuns mots. Cette verge est encore molle mais je la prends en main et commence à la faire grandir en le masturbant avant de la fourrer dans bouche. Il ne lui faut pas longtemps pour que blottie ainsi elle ne grandisse. Elle est d'une assez bonne taille et me remplit bien. Tout en l'aspirant, je le masturbe mais très vite il souhaite prendre le contrôle des choses en faisant des vas et viens... il veut me baiser la bouche, qu'à cela ne tienne je ne bouge plus et le laisse faire. Probablement ravi il s'active de plus en plus jusqu'à ce qu‘il annonce sa jouissance. Je me retire et le fait jouir sur mon torse puis il s'en va. Il ne me faut pas attendre plus de 30 secondes pour qu'une queue très vite suivie d'une deuxième se présente. Je m'applique à les masturber, puis à les sucer. C'est la première fois que je suce deux sexes en même temps et quel plaisir. Je ne suis pas déçue !! L'une est de grosseur normale mais plutôt longue, tandis que l'autre c'est tout l'inverse. Sentir deux verges totalement différentes est agréable. Je m'applique du mieux que je peux pour les faire jouir. L’un jouit sans prévenir dans ma bouche et je recrache le tout aussi
vite, son sperme étant d’une acidité peu agréable, et l’autre jouit dans ma main. Je pourrais rester là à sucer tout l'après midi mais j'en veux plus et je me sens capable de passer à l'étape supérieure. Je sors de la cabine et constate qu'il y a maintenant un peu plus de monde. Il y a 6 hommes dans cet étage gay dans lequel je me balade à nouveau histoire de me montrer. Quelques mains ne tardent pas à me toucher les fesses. Je suis rassurée ainsi sur le fait qu'il y a des amateurs de travesti. Mais on est déjà à l’étroit à cet étage et je décide de monter refaire un tour chez « les hétéros ». Bien sûr sans surprise il n’y aucune femme, ni de couple mais il y a déjà du passage à l’étage. Certains hommes qui étaient en bas m’ont également suivi et font comme si de rien n’était, attendant le feu vert.

Je rentre dans la salle vidéo, m’assied sur le canapé et regarde le film. Quelques hommes passent et repassent en jetant quelque coup d’œil mais sans faire grand-chose encore. Le lieu semble accueillir doucement de nouveaux arrivants. Je décide de passer mon temps d’attente en me doigtant histoire de préparer mon petit trou aux nombreuses visites que j’espère et exciter par la même les passants. La fille à l’écran suce deux belles verges et je m’excite m’imaginant bientôt à sa place et avec bien plus de pines à disposition. Après quelques minutes, un homme d’une quarantaine d’année vient prendre place dans la salle pour mater lui aussi le film. Il se paluche tout d’abord sous sa serviette puis rapidement l’enlève. Sa queue est de bonne envergure, ni trop grosse, ni trop petite. Je la trouve appétissante, mais je ne sais comment l’aborder. Son regard passe du film à moi… je continue de me doigter en regardant sa queue avec envie. Il lui faut peu de temps pour se décider à se lever et sans un mot, s’approchant de moi, à présenter sa bite devant ma bouche.
Je lui tends un préservatif puis l’engouffre dans ma bouche. Je m’applique de mon mieux pour lui faire prendre son pied.
Deux autres hommes sont rentrés dans la salle et nous mate tous en se touchant le sexe à travers leurs serviettes. C’est la première fois que l’on me regarde en pleine action, et à les voir se masturber en me regardant pomper ce dard, cela me fait plaisir. Toutefois mon sucé semble gêné par cette irruption et me demande:

- ça te dit d’aller en cabine avec moi ?

Même si je suis venu pour me faire gang banger, une petite entrée en matière n’est pas pour me déplaire, j’ai toute l’après midi pour me faire baiser comme une dépravée donc autant prendre son temps. Je lui réponds donc que oui et nous voilà dans une cabine que nous avons fermée à clé. A peine entrée, je me remets à genou pour le sucer à nouveau. Mais très vite, il me fait comprendre qu’il veut mes fesses. Il me met en levrette puis m’encule doucement à ma demande. Nous faisons tout en silence. Je suis encore légèrement intimidé par le contexte et n’ose dire grand-chose, moi qui adore qu’on me parle et me traite de salope pendant qu’on me baise. Ce n’est pas grave, j’ai encore beaucoup de temps pour me lâcher, et une bonne bite dans le cul y contribuait. Ce n’est pas un grand baiseur qui me lime les fesses, mais j’aime quand même sentir mon anus s’élargir. Soudain il va un peu plus vite puis se raidit. Il ne lui avait pas fallu plus de 5 minutes pour jouir, mais il faut dire que mes fellations ont le don de faire monter facilement la sève. Il me remercie, me fait un sourire puis s’en va dans le couloir. Je n’ai pas pris mon pied c’est sûr mais je me suis déjà mis dans l‘ambiance en suçant et en me faisant baiser par un parfait inconnu il y a 20 minutes de cela. Je me sens prête à me lâcher. Un mec à la trentaine jette un coup d’œil dans la cabine, me voit et me fait un petit sourire avant de repartir. J’imagine qu’il est content de voir qu’il y a un travesti à sauter.

Je repars dans les couloirs qui sont plus occupés désormais. Je décide de déambuler à nouveau un peu partout afin de me montrer. Je sens bien que je ne laisse pas indifférent. Les corps se frôlent, parfois même des mains caressent mes fesses à mon passage. Un homme se masturbe seul dans un coin. Il me regarde et je prends son regard comme une invitation. Je m’approche de lui, prend sa queue. Il enlève sa main, et je comprends que c’est à moi d’agir. Je me baisse, l’encapuchonne et embouche sa bite. Très vite, je sens qu’on tapote ma joue. Un autre type est en train de frapper sa queue sur mon visage, réclamant le même traitement. C’est une belle verge bien longue et surtout épaisse. La capote est déjà posée et elle est Si belle que je la prends sans hésiter et surtout sans même regarder son propriétaire…je commence à me sentir de plus en plus chienne, prête à accepter toute les queues qui se présente. Le premier mec ne tient pas longtemps et fini par jouir. Le second lui en veut plus et m’emmène dans la salle vidéo, sur le canapé. Il me demande de me retourner les fesses tendues vers le ciel. Il doit y avoir 5 autres mecs dans la salle, et savoir que je vais me faire prendre devant eux m’excite beaucoup. Une fois un peu de gel mis sur mon petit trou, le mec me monte et enfonce doucement sa queue qui rentre facilement… je l’apprécie beaucoup plus que la précédente, surtout qu’au fur et à mesure, il s’active de plus en plus vite. C’est le moment que je choisi pour me révéler à tous l’établissement comme une pute à bite.

- mmm elle est bonne ta queue… ouvre moi bien le cul avec.
- ah oui ? Tu l’aimes ma grosse bite salope ? Me répond mon baiseur, heureux de rentrer dans ce petit jeu.
- mmm oui je l’aime, j’en veux d’autres… je veux d’autres queues. Dis plus fort afin que l’on m’entende bien. Mettez des capotes et donnez-moi vos queues !!!!

Ce n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd puisque deux des mateurs s’avancent sans hésiter et me présente leur bite protégée à sucer que j’avale illico presto. Mon baiseur me défonce maintenant le cul sans retenue tant et si bien que j’ai du mal à garder une queue en bouche. Ses coups de rein se font forts et je gémis à chaque coups, ce qui a le don d’exciter les deux hommes que je suce et qui ne se gène pas pour me traiter de salope. Le type qui me baise pousse un râle de soulagement puis se retire de mes fesses. L’un des deux que je suce me demande s’il peut me prendre à son tour, et je réponds par l’affirmative d’un signe de tête. Il s’enfonce à son tour en moi tandis que je me remets à sucer le deuxième, qui après quelque minute se retire de ma bouche, enlève sa capote et gicle sur mon visage m‘offrant ma première faciale de la journée. Puis il s’en va après m’avoir remercié. Je suis maintenant sur le canapé toujours le cul en l’air en train de me faire ramoner mais il n’y a plus qu’un mec dans la salle qui nous regarde en se branlant. Ça l’air de lui plaire, et je tourne ma langue sur mes lèvres en regardant sa queue, mais il semble être plutôt du genre voyeur. Tant pis, je me fais déjà bien baisé et je n’ai pas à me plaindre. Le type est assez endurant car cela fait bien 15 minutes qu’il me baise non stop. Alors que je fermais les yeux de plaisirs, je sens soudain une présence devant mon visage, j’ouvre les yeux et j’ai à peine le temps de voir une queue astiquer par une main. La seconde d’après je sens le sperme gicler sur mon visage et en forte abondance. Le foutre particulièrement consistant coule lentement sur mon visage. Je regarde le propriétaire de la queue et découvre que ce n’est autre que celui qui nous observait en se branlant. Il ne voulait pas me baiser, mais voulait juter sur mon visage comme d’autres se soulagent la vessie contre un arbre. Alors que je réalise encore à peine que je ne suis vraiment plus qu’une pute à sperme, mon baiseur m’annonce qu’il va jouir, sortant précipitamment de me fesses pour avancer sa queue vers ma tête et m’éjaculer dessus. Je venais de prendre pas moins de trois faciales en une vingtaine de minutes. Sans dire un mot, le type s’en va, me laissant là, à genou, le visage dégoulinant de semence.

Si cette histoire vous a plu, si vous allez souvent au sauna, voire à ce sauna, n’hésitez pas à me laisser un petit message.
Travonparis@gmail.com

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Fantasme: première d'une travestie au sauna. (1)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Travonparis

Titre de l'histoire érotique : Jeune travestie au sauna (3) - Récit érotique publié le 27-05-2011
Jeune travestie au sauna (2) - Récit érotique publié le 24-05-2011
Jeune travestie au sauna. (1) - Récit érotique publié le 22-05-2011
Ma première fois au sauna en travestie... l'histoire vraie. - Récit érotique publié le 20-05-2011
Première fois en travestie - Récit érotique publié le 18-05-2011
Fantasme: première d'une travestie au sauna. (2) - Récit érotique publié le 14-06-2009
Fantasme: première d'une travestie au sauna. (1) - Récit érotique publié le 13-06-2009