Fantasmes assouvis.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fantasmes assouvis.
Je suis Dimitri, 20 ans, blond comme les blés, cheveux mi-longs, yeux bleus verts cela dépend des jours. J'ai un corps de rêve, pour certains, imberbe, corps lisse et chaud bouillant, bien entretenu par la salle de sport, musclé de partout. Eh oui même de la queue! j'adore exhiber ma belle queue, montrer mon petit cul recouvert d'une légère toison blonde, un duvet doux que j'aime être léché et si on devient curieux, si on ouvre le cadeau, à l'intérieur vous attend… J'aime que l'on s'occupe de mon petit cul et qu'on me perfore avec force.
Vous l'avez compris je suis une belle salope.
J'aime tout le monde, toutes sortes de mecs, du moment qu'ils aient une belle queue, bien dure, bien grosse et, surtout qu'ils savent s'en servir! pas des bandes mous…
Il y a peu j'avais été cartonné dans une ruelle sombre de la capitale par un beau black! enfin ce que j'en avais vu. Son corps chaud et souple avait caressé le mien lorsqu'il m'avait déshabillé, son torse sur mon dos, son énorme sexe frappait à l'entrée de mon petit cul et, sans autre forme de procès il m'avait embroché d'une seule traite, me faisant hurler dans la ruelle. Il avait été obligé de me bâillonner avec sa grande main. Les hurlements avaient été remplacé par de longs gémissements quand j'ai senti son gros bangala me ramoner le conduit. Il m'a baisé comme jamais j'avais été baisé et quand il a joui, c'est comme s'il éteignait un incendie qui avait pris dans mon cul.
Quel soulagement, quel bonheur d'avoir tout son jus en moi. Je l'avais entendu râler, grogner quand il se déversait en moi. Cela m'avait fait juter comme jamais, mais il s'était retiré d'un seul coup , remonté son survêt et s'était cassé comme un voleur. J'étais déçu, frustré de n'avoir pas eu le temps de caresser son sexe, de le sucer. J'aurais bien aimé m'amuser avec.
Je suis rentré chez moi, le cul plein de foutre d'un beau black qui reste dans mes pensées et qui m'aide beaucoup dans mes branlettes journalières.
Mais le black était devenu un fantasme et tous ceux que je voyais ne me faisaient pas penser à MON black de la ruelle.
Tous les jours je passe devant un immeuble, et il y a peu j'ai vu apparaitre un panneau, vous savez comme pour un médecin intitulé "Les secrets d'ébène - uniquement sur rendez vous -" mais il n'y avait aucun numéro de téléphone.
Les jours se sont succédés et moi toujours passant devant ce panneau, j'ai fini par me poser des questions sur ce que cela pouvait être. Un rendez vous avec des blacks ? mon cul mouillait rien que d'y penser.
Bien sûr ils vont afficher ça à l'entrée… je riais de mes bêtises.
Et, quand vous avez quelque chose qui vous traine dans la tête, vous turlupine (oui je l'ai fait exprès). Un soir en rentrant chez moi j'ai décidé d'entrer dans l'immeuble cherchant la suite du panneau que j'ai trouvé sur une porte, au fond de la 2ème cour.
"Les secrets d'ébène - si vous entrez c'est à vos risques et périls-"
Alors là, j'étais intrigué, j'ai lu et relu la phrase plusieurs fois, me faisant tout espèce de cinéma dans la tête.
J'ai pris mon courage à deux mains et j'ai poussé la porte, petit couloir, au fond un bureau.
Je m'approche lentement, un black sort de derrière d'une tenture, me regarde, souriant.
-bonjour monsieur.
-bonjour.
-vous ne faites pas parti du Club ?
-euh non mais j'ai vu vos panneaux et comme je suis curieux.
-oui c'est bien dit le black mais vous ne faites pas parti du Club.
-et que faut-il faire pour faire parti de ce club ?
-oh c'est simple, s'inscrire dit le beau noir dans un grand sourire, et remplir un petit questionnaire.
-on doit payer quelque chose ?
-oui la cotisation comme dans tous clubs.
-c'est cher ?
-on parlera du prix après… vous êtes intéressé ?
-je ne sais pas, j'aimerais bien en savoir plus…
Le black me tend une feuille.
-voilà le questionnaire qu'il faut absolument remplir si l'on veut être accepté, asseyez vous là pour le remplir.
Je me suis installé, j'ai pris la feuille et j'ai parcouru les questions.
Prénom, âge, département de résidence, pseudo désiré et
-êtes vous bien exclusivement gay passif ?
-avez vous l'habitude de prendre de gros calibres ?
-les blacks sont ils votre préférence ?
J'ai lu et relu les questions, je n'en croyais pas mes yeux. Mon cul frétillait déjà mais je m'emballe.
J'ai pris le stylo et j'ai répondu "oui" à toutes les questions. J'ai tendu la feuille au beau jeune black qui a jeté un œil en souriant.
-bien a-t-il dit alors maintenant je peux vous dire que la cotisation est de 10 euros.
-10 euros? mais ça comprend quoi ?
-la possibilité de venir au Club une fois par semaine SEULEMENT… en général il faut ça pour que les petits culs s'en remettent dit le black en éclatant de rire? car ici les rencontres que vous allez faire ne sont qu'avec des blacks au sexe énorme, voir surdimensionné et ce n'est pas vous qui choisissez c'est le black qui décide. Ici vous êtes dans le domaine des blacks, ils seront vos maîtres durant toute la séance que vous pourrez interrompre quand vous le désirez mais quand vous sortez d'ici vous ne pourrez revenir quand dans une semaine. Vous ne devez jamais parler de ce lieu à quiconque ni en faire la publicité, voilà c'est tout!
J'ai sorti un billet de 10 euros et je l'ai tendu au black.
-vous voulez commencer quand ? vous avez besoin de réfléchir ?
-puisque je suis là, autant faire une première rencontre, dis je.
-je n'ai pas dit que vous ferez qu'une rencontre, plusieurs blacks peuvent vous approprier et s'amuser avec vous. Vous n'êtes là que pour subir et faire plaisir à vos maîtres du soir, alors? toujours tenté ?
Il ne souriait plus mais je le trouvais beau, aussi beau que mon black de la ruelle.
-faut que je fasse quoi alors ?
-oh rien de particulier, je vais vous donner une loge où vous pourrez vous mettre nu, nu complètement car vous allez servir des pieds à la tête et vous sortez vous promener dans le dédale de couloirs sombres où vos maîtres vous attendent. Vous acceptez tout ça ?
-ben oui dis je sans hésiter mais avec quand même un peu d'appréhension.
Le black m'a conduit jusqu'à "ma loge" où je me suis mis nu pour constater dans la glace que je bandais comme un malade, ma queue suintait, j'étais déjà en surchauffe! qu'allait il se passer? je me trouvais beau mec dans cette glace, ma chevelure blonde, mon corps fin et musclé, mon petit cul haut, bien dur appelait la queue et ma brave queue ne demandait qu'à être branlée et sucée pour déverser tout son bon jus.
Je suis sorti à poil de ma loge. Une flèche indiquait une direction, une rangée de couloirs sombres, des lumières tamisées dans tous les coins. J'avançais lentement en regardant de chaque côté, pas facile de voir un black dans cette pénombre, personne!
Je continuais d'avancer et au détour d'un couloir, j'entends une voix râler, crier. J'avance en direction de cette voix pour voir dans une pièce un mec se faire enculer avec force par un grand black, le blanc suçait en même temps un autre black. Je ne voyais pas bien les sexes. J'ai voulu m'avancer, mais une main s'est emparée de mon cul, un doigt glissait directement dans ma raie cherchant mon anus qu'il trouve facilement. Je ne bouge plus, je laisse le doigt entrer facilement en moi et s'enfoncer très profond.
Je ne peux m'empêcher de gémir tellement cela me fait du bien. Un corps vient se coller contre le mien, je tourne la tête, un black d'une trentaine d'années, me dépassant d'une tête, souriant mais ses yeux sont durs. Son doigt continue à me fouiller. Il le ressort et m'enfonce deux doigts sans aucun ménagement. Je sens son sexe se coller sur mon avant bras, un gros truc chaud, dur qu'il frotte contre moi.
Je le prends en main en le regardant, mes doigts n'en font pas le tour. Putain quel engin et je repense ce qu'à dit le black de l'entrée "sexe surdimensionné". L'entourant comme je peux avec mes doigts, je caresse ce sexe monstrueux. Autant il est épais et large qu'il est également long, très long et quand ma main arrive sur le gland circoncis c'est pour constater que ce gland est encore plus large que la queue, ma paume de la main sent la mouille qui coule en continue de ce mastodonte.
J'étais sûr d'une chose, je n'avais jamais pris une telle queue à cet instant!
-Elle te plait ma queue ? dit le black à mon oreille.
-oui c'est une belle queue dis je en le regardant, mais j'en ai jamais pris une si grosse.
-il y a un début à tout dit le black en riant aux éclats. Tu vois ce que j'aime petit blanc, ce sont les blonds comme toi, aux beaux corps et aux culs profonds comme le tien.
Je sens ses doigts me fouiller encore plus, il doit avoir mis au moins trois doigts! il peut en mettre un quatrième pour m'ouvrir car quand sa queue va vouloir entrer.
Je continue de le branler, de le caresser, lui fore mon cul, caressant l'intérieur de ses longs doigts. Je ne me souviens pas d'avoir eu les doigts d'un mec si profond en moi. De l'autre main, il relève ma tête vers lui, m'observe, ses yeux me détaillent. Je sens son souffle sur mon visage et, en même temps pour la première fois je sens l'odeur du black, la sueur du mâle excité, la bonne odeur du mâle en rut.
Je respire en fermant les yeux, humant cette odeur que j'aime. Je passe ma langue sur mes lèvres et quand j'ouvre les yeux c'est pour voir qu'il s'est encore approché. Ses doigts presque entrés en moi, les quatre doigts au moins, je me sens écartelé, ouvert, mon boyau est fouillé, caressé, j'ai chaud, je brûle… et j'ai envie qu'il remplace ses doigts par sa queue. J'ai envie de ce gros bangala en moi, de le sentir m'ouvrir, me défoncer.
Oui je pense à tout ça quand ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue vient toucher la mienne qui s'offre. Sa langue la bouscule, la met de côté et s'enfonce dans ma bouche, dire qu'il a une longue langue, c'est peu… putain j'ai cru qu'il allait me caresser les amygdales. Je ne pouvais plus respirer il m'étouffait littéralement. Mon bras, mécaniquement est venu prendre sa tête, l'appuyant encore plus sur la mienne, sa main s'enfonçait encore et encore dans mon cul.
J'appréciais cette belle langue et j'ai pensé que j'adorerais me faire lécher le cul par ce mec mais cela n'avait pas l'air d'être son intention.
Lorsqu'il m'a tourné face à lui, que mon gland s'est enfoncé dans ses grosses couilles, je me frottais contre lui, je sentais sa grosse queue entre nos ventres.
Il a retiré sa langue m'a regardé.
-suce moi bien à fond!
Bien à fond! ça j'allais faire ce que je pouvais…
Il m'entraine dans une pièce faiblement éclairée, une table, un fauteuil. Il s'appuie sur la table, prend ma tête et la dirige vers sa queue. Je vois enfin ce monstre. Mes deux mains l'une sur l'autre, le gland dépasse encore. Je lèche ce beau gland humide de mouille qui coule du méat. C'est bon! j'entoure avec une certaine difficulté le gland de mes lèvres. C'est dur, c'est chaud, ça palpite. Sa main appuie sur ma tête, le gland glisse sur ma langue, s'enfonce lentement dans ma bouche, touche la luette, je tousse, je crache, je veux me retirer mais la main me maintient fermement.
Mes yeux pleurent, je sens de grosses larmes couler sur mes joues.. j'ai l'impression d'être écartelé des mâchoires. Il s'est arrêté, me laisse respirer un peu et appuie encore fermement sur ma tête. Je ne peux même plus tousser, je crache, la salive coule de partout. J'ai l'impression que je vais me noyer et tout n'est pas rentré. Je n'en peux plus.
Il retire ma tête de son bangala plein de salive, des filets de bave s'étirent. Il me fait mettre sur le dos, sur la table, la tête pendant dans le vide. Je comprends ce qui m'attend.
Sans un mot, il vient poser son gland sur mes lèvres. J'ouvre la bouche et l'engin entre en moi glissant facilement maintenant sur ma langue. Le gland touche la luette, la bouscule. Mes yeux pleurent encore, la salive coule tous les côtés, je râle, et le gland force la gorge.
Ses mains se posent sur mes épaules m'écrasant sur la table. A travers mes larmes je vois les couilles, les grosses couilles blacks approcher. Je respire comme je peux par le nez, ma gorge est complètement obstruée par le monstre et continue de s'enfoncer. Je n'ai qu'à subir et il a l'air d'aimer ça le black. Quand ses couilles me touchent les yeux, je l'entends soupirer, ses mains s'appuient encore plus sur mes épaules et il se met à me baiser tranquillement la bouche.
Un gros boudin noir que j'adore qui coulisse bien dans la salive. Sa queue devient de plus en plus dure. J'ai envie qu'il jouisse mais je préférerais dans mon petit cul, quand la queue se retire complètement de ma bouche je respire enfin, je le vois faire le tour de la table, me soulever les jambes, les replier sur mon torse, m'ouvrant bien les fesses. Je sens ma queue bandée couler de partout et mon grand noir disparait.
Ses mains caressent mes belles fesses douces. Je sens sa langue passer dans la raie, s'amuser de la pointe sur l'anus entrouvert… je rêve. J'ai sa belle queue sur mon cul. Je pousse pour bien l'ouvrir, sa langue lèche le petit trou et je sens la salive couler, sa langue entrer dans mon petit cul. Je pousse un long gémissement… putain quel bonheur! quel plaisir que cette longue langue chaude, agile et pénétrante.
Il semble aussi aimer ça car il s'applique, joue avec sa langue et un ou deux doigts et je m'ouvre, je m'épanouie, j'ai l'impression d'être comme une fleur, éclore sous ses caresses. Maintenant j'ai hâte de sentir son bangala, je sais que ça va être dur mais j'en ai envie. Je veux qu'il me baise, me fore, me transperce. Tout me passe dans la tête et j'ai l'impression de la sentir déjà en moi.
Mais ce n'était bien qu'une impression, car quand j'ai vu réapparaitre la tête de mon beau black, penché sur moi, bloquant mes jambes ouvertes dans ses bras, mon cul toujours ouvert a vu arriver le monstre plein de mouille. Heureusement, le gland s'est posé sur l'anus, entrant doucement, les lèvres de mon anus l'ont entouré en s'écartant de plus en plus.
Une douleur atroce m'est passée par le cul et j'ai hurlé, j'avais mal, très mal. Mon cri devait s'entendre loin. Les larmes étaient revenues sur mon visage, je peinais à respirer pourtant il avait cessé sa pénétration et le gland n'était pas entré complètement. Alors j'ai poussé, forçant mon anus à s'ouvrir encore plus, s'offrir. La douleur était encore là mais moindre. Il a donné un coup de reins sec et le gland est entré d'un seul coup, j'ai gueulé encore plus fort mais mon sphincter se refermait sur la queue.
Il m'a laissé souffler un moment. J'avais fermé les yeux quand j'ai senti l'odeur d'une queue passer sur mon nez et venir sur mes lèvres. J'ai ouvert les yeux, un gros bangala était posé sur mon visage. Le gland cherchait à entrer dans ma bouche. Je savais que je devais me laisser faire alors j'ai ouvert la bouche. Le bangala est entré rapidement s'enfonçant dans ma gorge.
Les couilles du nouveau black étaient posées sur mes yeux. Je n'avais plus que l'odeur! les mains se sont appuyées sur mes épaules et le mec m'a baisé la bouche me faisant presque oublié la queue monstrueuse qui se trouvait dans mon petit cul.
Oh je ne l'ai pas oublié longtemps car il a continué sa progression le bougre pendant que je me faisais ramoner la gorge bien profond le boa africain s'enfonçait inexorablement dans mon cul. Je devais faire une belle brochette! j'étais bien rempli de partout!!
Mais je n'étais pas au bout de mes peines car quand il s'est mis à me baiser le cul, que j'ai senti son gros engin coulisser en moi, là je savais que j'étais foré, transpercé par ce magnifique bangala. Ils se sont accordés dans leurs coups de reins. J'ai bien cru que les bangala allaient se toucher en moi tellement leur coups de reins étaient profonds.
Et cela a duré. Ils semblaient infatigables. Je ne sentais plus mes mâchoires. La queue du mec était moins grosse que celle de mon baiseur, plus facile à avaler mais ce que je prenais dans le cul m'ouvrait complètement, je me sentais dilater complètement et j'avais mal à la queue, j'avais envie de me branler, mais je me cramponnais à la table sous leurs assauts.
C'est ma bouche qui a reçu sa récompense en premier. Les giclées se sont succédées, fortes giclées et abondantes. Le bon jus black coulait directement dans ma gorge et il en avait le mec! inondé de chez inondé! la queue s'est retirée d'un seul coup et le mec a disparu. J'ai vu son beau petit cul s'éloigner mais mon baiseur continuait ses coups de reins.
Un métronome à vitesse de croisière et il a joué avec mon cul, des fois de longues pénétrations douces, enfin pas si douces, des fois des coups secs et, quand il a rugit se penchant sur moi, bien au fond de mon cul, j'ai senti son gros gland sursauté, lâchant un jet chaud et dans l'instant suivi d'autres giclées comme une mitraillette. Les giclées me chauffaient l'intérieur en me remplissant. Il y en avait beaucoup, je voyais son visage d'où coulait la sueur. Les dernières giclées ont été fourni dans un coup de reins sec qui m'a fait crier. Il est resté en moi, s'est penché, m'a soulevé la tête entre ses mains et sa langue m'a envahi la bouche. Il donnait encore de petits coups de reins et je sentais sa grosse queue nager dans son sperme.
Il n'a rien dit a reposé ma tête dans le vide. Ses grosses lèvres sont descendues sur mon torse m'écartant les jambes, j'ai senti son bangala sortir doucement de moi en même temps que ses lèvres s'emparaient de ma queue collée sur mon ventre, d'une main il la soulève, ses lèvres m'entourent le gland, descendent sur ma queue, sa langue l'entoure et il me pipe. Oh je n'ai pas tenu longtemps dans cette bouche chaude et humide avec sa langue agile, il m'a serré les couilles et tout est arrivé en même temps.
J'ai joui dans sa bouche plusieurs longues giclées, en même temps que que son bangala s'échappait de mon cul laissant couler le sperme du black, ça bouillonnait de tous les côtés.. Il a bien léché ma queue, m'a caressé les flancs et sans un mot est parti.
Je suis resté un moment à récupérer sentant le sperme s'écouler encore de mon cul. Je me suis touché, j'avais le cul béant complètement, humide de partout. J'ai repensé à la règle du club ne venir qu'une fois par semaine, il avait raison le beau black de l'entrée!
J'ai peiné à retrouver mon chemin, retrouver ma loge, me rhabiller et sortir.
-alors content de votre passage ? m'a demandé le beau black de l'entrée.
-oui dis je dans un souffle.
-alors à la semaine prochaine monsieur dit il de son air coquin.
Maintenant vous avez compris ce que je fais une fois par semaine, faut respecter le règlement, déjà que je l'enfreins à vous en parler… mais c'est juste pour vous faire baver d'envie… alors chercher, je vais vous donner un indice… c'est à Paris!
Vous l'avez compris je suis une belle salope.
J'aime tout le monde, toutes sortes de mecs, du moment qu'ils aient une belle queue, bien dure, bien grosse et, surtout qu'ils savent s'en servir! pas des bandes mous…
Il y a peu j'avais été cartonné dans une ruelle sombre de la capitale par un beau black! enfin ce que j'en avais vu. Son corps chaud et souple avait caressé le mien lorsqu'il m'avait déshabillé, son torse sur mon dos, son énorme sexe frappait à l'entrée de mon petit cul et, sans autre forme de procès il m'avait embroché d'une seule traite, me faisant hurler dans la ruelle. Il avait été obligé de me bâillonner avec sa grande main. Les hurlements avaient été remplacé par de longs gémissements quand j'ai senti son gros bangala me ramoner le conduit. Il m'a baisé comme jamais j'avais été baisé et quand il a joui, c'est comme s'il éteignait un incendie qui avait pris dans mon cul.
Quel soulagement, quel bonheur d'avoir tout son jus en moi. Je l'avais entendu râler, grogner quand il se déversait en moi. Cela m'avait fait juter comme jamais, mais il s'était retiré d'un seul coup , remonté son survêt et s'était cassé comme un voleur. J'étais déçu, frustré de n'avoir pas eu le temps de caresser son sexe, de le sucer. J'aurais bien aimé m'amuser avec.
Je suis rentré chez moi, le cul plein de foutre d'un beau black qui reste dans mes pensées et qui m'aide beaucoup dans mes branlettes journalières.
Mais le black était devenu un fantasme et tous ceux que je voyais ne me faisaient pas penser à MON black de la ruelle.
Tous les jours je passe devant un immeuble, et il y a peu j'ai vu apparaitre un panneau, vous savez comme pour un médecin intitulé "Les secrets d'ébène - uniquement sur rendez vous -" mais il n'y avait aucun numéro de téléphone.
Les jours se sont succédés et moi toujours passant devant ce panneau, j'ai fini par me poser des questions sur ce que cela pouvait être. Un rendez vous avec des blacks ? mon cul mouillait rien que d'y penser.
Bien sûr ils vont afficher ça à l'entrée… je riais de mes bêtises.
Et, quand vous avez quelque chose qui vous traine dans la tête, vous turlupine (oui je l'ai fait exprès). Un soir en rentrant chez moi j'ai décidé d'entrer dans l'immeuble cherchant la suite du panneau que j'ai trouvé sur une porte, au fond de la 2ème cour.
"Les secrets d'ébène - si vous entrez c'est à vos risques et périls-"
Alors là, j'étais intrigué, j'ai lu et relu la phrase plusieurs fois, me faisant tout espèce de cinéma dans la tête.
J'ai pris mon courage à deux mains et j'ai poussé la porte, petit couloir, au fond un bureau.
Je m'approche lentement, un black sort de derrière d'une tenture, me regarde, souriant.
-bonjour monsieur.
-bonjour.
-vous ne faites pas parti du Club ?
-euh non mais j'ai vu vos panneaux et comme je suis curieux.
-oui c'est bien dit le black mais vous ne faites pas parti du Club.
-et que faut-il faire pour faire parti de ce club ?
-oh c'est simple, s'inscrire dit le beau noir dans un grand sourire, et remplir un petit questionnaire.
-on doit payer quelque chose ?
-oui la cotisation comme dans tous clubs.
-c'est cher ?
-on parlera du prix après… vous êtes intéressé ?
-je ne sais pas, j'aimerais bien en savoir plus…
Le black me tend une feuille.
-voilà le questionnaire qu'il faut absolument remplir si l'on veut être accepté, asseyez vous là pour le remplir.
Je me suis installé, j'ai pris la feuille et j'ai parcouru les questions.
Prénom, âge, département de résidence, pseudo désiré et
-êtes vous bien exclusivement gay passif ?
-avez vous l'habitude de prendre de gros calibres ?
-les blacks sont ils votre préférence ?
J'ai lu et relu les questions, je n'en croyais pas mes yeux. Mon cul frétillait déjà mais je m'emballe.
J'ai pris le stylo et j'ai répondu "oui" à toutes les questions. J'ai tendu la feuille au beau jeune black qui a jeté un œil en souriant.
-bien a-t-il dit alors maintenant je peux vous dire que la cotisation est de 10 euros.
-10 euros? mais ça comprend quoi ?
-la possibilité de venir au Club une fois par semaine SEULEMENT… en général il faut ça pour que les petits culs s'en remettent dit le black en éclatant de rire? car ici les rencontres que vous allez faire ne sont qu'avec des blacks au sexe énorme, voir surdimensionné et ce n'est pas vous qui choisissez c'est le black qui décide. Ici vous êtes dans le domaine des blacks, ils seront vos maîtres durant toute la séance que vous pourrez interrompre quand vous le désirez mais quand vous sortez d'ici vous ne pourrez revenir quand dans une semaine. Vous ne devez jamais parler de ce lieu à quiconque ni en faire la publicité, voilà c'est tout!
J'ai sorti un billet de 10 euros et je l'ai tendu au black.
-vous voulez commencer quand ? vous avez besoin de réfléchir ?
-puisque je suis là, autant faire une première rencontre, dis je.
-je n'ai pas dit que vous ferez qu'une rencontre, plusieurs blacks peuvent vous approprier et s'amuser avec vous. Vous n'êtes là que pour subir et faire plaisir à vos maîtres du soir, alors? toujours tenté ?
Il ne souriait plus mais je le trouvais beau, aussi beau que mon black de la ruelle.
-faut que je fasse quoi alors ?
-oh rien de particulier, je vais vous donner une loge où vous pourrez vous mettre nu, nu complètement car vous allez servir des pieds à la tête et vous sortez vous promener dans le dédale de couloirs sombres où vos maîtres vous attendent. Vous acceptez tout ça ?
-ben oui dis je sans hésiter mais avec quand même un peu d'appréhension.
Le black m'a conduit jusqu'à "ma loge" où je me suis mis nu pour constater dans la glace que je bandais comme un malade, ma queue suintait, j'étais déjà en surchauffe! qu'allait il se passer? je me trouvais beau mec dans cette glace, ma chevelure blonde, mon corps fin et musclé, mon petit cul haut, bien dur appelait la queue et ma brave queue ne demandait qu'à être branlée et sucée pour déverser tout son bon jus.
Je suis sorti à poil de ma loge. Une flèche indiquait une direction, une rangée de couloirs sombres, des lumières tamisées dans tous les coins. J'avançais lentement en regardant de chaque côté, pas facile de voir un black dans cette pénombre, personne!
Je continuais d'avancer et au détour d'un couloir, j'entends une voix râler, crier. J'avance en direction de cette voix pour voir dans une pièce un mec se faire enculer avec force par un grand black, le blanc suçait en même temps un autre black. Je ne voyais pas bien les sexes. J'ai voulu m'avancer, mais une main s'est emparée de mon cul, un doigt glissait directement dans ma raie cherchant mon anus qu'il trouve facilement. Je ne bouge plus, je laisse le doigt entrer facilement en moi et s'enfoncer très profond.
Je ne peux m'empêcher de gémir tellement cela me fait du bien. Un corps vient se coller contre le mien, je tourne la tête, un black d'une trentaine d'années, me dépassant d'une tête, souriant mais ses yeux sont durs. Son doigt continue à me fouiller. Il le ressort et m'enfonce deux doigts sans aucun ménagement. Je sens son sexe se coller sur mon avant bras, un gros truc chaud, dur qu'il frotte contre moi.
Je le prends en main en le regardant, mes doigts n'en font pas le tour. Putain quel engin et je repense ce qu'à dit le black de l'entrée "sexe surdimensionné". L'entourant comme je peux avec mes doigts, je caresse ce sexe monstrueux. Autant il est épais et large qu'il est également long, très long et quand ma main arrive sur le gland circoncis c'est pour constater que ce gland est encore plus large que la queue, ma paume de la main sent la mouille qui coule en continue de ce mastodonte.
J'étais sûr d'une chose, je n'avais jamais pris une telle queue à cet instant!
-Elle te plait ma queue ? dit le black à mon oreille.
-oui c'est une belle queue dis je en le regardant, mais j'en ai jamais pris une si grosse.
-il y a un début à tout dit le black en riant aux éclats. Tu vois ce que j'aime petit blanc, ce sont les blonds comme toi, aux beaux corps et aux culs profonds comme le tien.
Je sens ses doigts me fouiller encore plus, il doit avoir mis au moins trois doigts! il peut en mettre un quatrième pour m'ouvrir car quand sa queue va vouloir entrer.
Je continue de le branler, de le caresser, lui fore mon cul, caressant l'intérieur de ses longs doigts. Je ne me souviens pas d'avoir eu les doigts d'un mec si profond en moi. De l'autre main, il relève ma tête vers lui, m'observe, ses yeux me détaillent. Je sens son souffle sur mon visage et, en même temps pour la première fois je sens l'odeur du black, la sueur du mâle excité, la bonne odeur du mâle en rut.
Je respire en fermant les yeux, humant cette odeur que j'aime. Je passe ma langue sur mes lèvres et quand j'ouvre les yeux c'est pour voir qu'il s'est encore approché. Ses doigts presque entrés en moi, les quatre doigts au moins, je me sens écartelé, ouvert, mon boyau est fouillé, caressé, j'ai chaud, je brûle… et j'ai envie qu'il remplace ses doigts par sa queue. J'ai envie de ce gros bangala en moi, de le sentir m'ouvrir, me défoncer.
Oui je pense à tout ça quand ses lèvres se posent sur les miennes, sa langue vient toucher la mienne qui s'offre. Sa langue la bouscule, la met de côté et s'enfonce dans ma bouche, dire qu'il a une longue langue, c'est peu… putain j'ai cru qu'il allait me caresser les amygdales. Je ne pouvais plus respirer il m'étouffait littéralement. Mon bras, mécaniquement est venu prendre sa tête, l'appuyant encore plus sur la mienne, sa main s'enfonçait encore et encore dans mon cul.
J'appréciais cette belle langue et j'ai pensé que j'adorerais me faire lécher le cul par ce mec mais cela n'avait pas l'air d'être son intention.
Lorsqu'il m'a tourné face à lui, que mon gland s'est enfoncé dans ses grosses couilles, je me frottais contre lui, je sentais sa grosse queue entre nos ventres.
Il a retiré sa langue m'a regardé.
-suce moi bien à fond!
Bien à fond! ça j'allais faire ce que je pouvais…
Il m'entraine dans une pièce faiblement éclairée, une table, un fauteuil. Il s'appuie sur la table, prend ma tête et la dirige vers sa queue. Je vois enfin ce monstre. Mes deux mains l'une sur l'autre, le gland dépasse encore. Je lèche ce beau gland humide de mouille qui coule du méat. C'est bon! j'entoure avec une certaine difficulté le gland de mes lèvres. C'est dur, c'est chaud, ça palpite. Sa main appuie sur ma tête, le gland glisse sur ma langue, s'enfonce lentement dans ma bouche, touche la luette, je tousse, je crache, je veux me retirer mais la main me maintient fermement.
Mes yeux pleurent, je sens de grosses larmes couler sur mes joues.. j'ai l'impression d'être écartelé des mâchoires. Il s'est arrêté, me laisse respirer un peu et appuie encore fermement sur ma tête. Je ne peux même plus tousser, je crache, la salive coule de partout. J'ai l'impression que je vais me noyer et tout n'est pas rentré. Je n'en peux plus.
Il retire ma tête de son bangala plein de salive, des filets de bave s'étirent. Il me fait mettre sur le dos, sur la table, la tête pendant dans le vide. Je comprends ce qui m'attend.
Sans un mot, il vient poser son gland sur mes lèvres. J'ouvre la bouche et l'engin entre en moi glissant facilement maintenant sur ma langue. Le gland touche la luette, la bouscule. Mes yeux pleurent encore, la salive coule tous les côtés, je râle, et le gland force la gorge.
Ses mains se posent sur mes épaules m'écrasant sur la table. A travers mes larmes je vois les couilles, les grosses couilles blacks approcher. Je respire comme je peux par le nez, ma gorge est complètement obstruée par le monstre et continue de s'enfoncer. Je n'ai qu'à subir et il a l'air d'aimer ça le black. Quand ses couilles me touchent les yeux, je l'entends soupirer, ses mains s'appuient encore plus sur mes épaules et il se met à me baiser tranquillement la bouche.
Un gros boudin noir que j'adore qui coulisse bien dans la salive. Sa queue devient de plus en plus dure. J'ai envie qu'il jouisse mais je préférerais dans mon petit cul, quand la queue se retire complètement de ma bouche je respire enfin, je le vois faire le tour de la table, me soulever les jambes, les replier sur mon torse, m'ouvrant bien les fesses. Je sens ma queue bandée couler de partout et mon grand noir disparait.
Ses mains caressent mes belles fesses douces. Je sens sa langue passer dans la raie, s'amuser de la pointe sur l'anus entrouvert… je rêve. J'ai sa belle queue sur mon cul. Je pousse pour bien l'ouvrir, sa langue lèche le petit trou et je sens la salive couler, sa langue entrer dans mon petit cul. Je pousse un long gémissement… putain quel bonheur! quel plaisir que cette longue langue chaude, agile et pénétrante.
Il semble aussi aimer ça car il s'applique, joue avec sa langue et un ou deux doigts et je m'ouvre, je m'épanouie, j'ai l'impression d'être comme une fleur, éclore sous ses caresses. Maintenant j'ai hâte de sentir son bangala, je sais que ça va être dur mais j'en ai envie. Je veux qu'il me baise, me fore, me transperce. Tout me passe dans la tête et j'ai l'impression de la sentir déjà en moi.
Mais ce n'était bien qu'une impression, car quand j'ai vu réapparaitre la tête de mon beau black, penché sur moi, bloquant mes jambes ouvertes dans ses bras, mon cul toujours ouvert a vu arriver le monstre plein de mouille. Heureusement, le gland s'est posé sur l'anus, entrant doucement, les lèvres de mon anus l'ont entouré en s'écartant de plus en plus.
Une douleur atroce m'est passée par le cul et j'ai hurlé, j'avais mal, très mal. Mon cri devait s'entendre loin. Les larmes étaient revenues sur mon visage, je peinais à respirer pourtant il avait cessé sa pénétration et le gland n'était pas entré complètement. Alors j'ai poussé, forçant mon anus à s'ouvrir encore plus, s'offrir. La douleur était encore là mais moindre. Il a donné un coup de reins sec et le gland est entré d'un seul coup, j'ai gueulé encore plus fort mais mon sphincter se refermait sur la queue.
Il m'a laissé souffler un moment. J'avais fermé les yeux quand j'ai senti l'odeur d'une queue passer sur mon nez et venir sur mes lèvres. J'ai ouvert les yeux, un gros bangala était posé sur mon visage. Le gland cherchait à entrer dans ma bouche. Je savais que je devais me laisser faire alors j'ai ouvert la bouche. Le bangala est entré rapidement s'enfonçant dans ma gorge.
Les couilles du nouveau black étaient posées sur mes yeux. Je n'avais plus que l'odeur! les mains se sont appuyées sur mes épaules et le mec m'a baisé la bouche me faisant presque oublié la queue monstrueuse qui se trouvait dans mon petit cul.
Oh je ne l'ai pas oublié longtemps car il a continué sa progression le bougre pendant que je me faisais ramoner la gorge bien profond le boa africain s'enfonçait inexorablement dans mon cul. Je devais faire une belle brochette! j'étais bien rempli de partout!!
Mais je n'étais pas au bout de mes peines car quand il s'est mis à me baiser le cul, que j'ai senti son gros engin coulisser en moi, là je savais que j'étais foré, transpercé par ce magnifique bangala. Ils se sont accordés dans leurs coups de reins. J'ai bien cru que les bangala allaient se toucher en moi tellement leur coups de reins étaient profonds.
Et cela a duré. Ils semblaient infatigables. Je ne sentais plus mes mâchoires. La queue du mec était moins grosse que celle de mon baiseur, plus facile à avaler mais ce que je prenais dans le cul m'ouvrait complètement, je me sentais dilater complètement et j'avais mal à la queue, j'avais envie de me branler, mais je me cramponnais à la table sous leurs assauts.
C'est ma bouche qui a reçu sa récompense en premier. Les giclées se sont succédées, fortes giclées et abondantes. Le bon jus black coulait directement dans ma gorge et il en avait le mec! inondé de chez inondé! la queue s'est retirée d'un seul coup et le mec a disparu. J'ai vu son beau petit cul s'éloigner mais mon baiseur continuait ses coups de reins.
Un métronome à vitesse de croisière et il a joué avec mon cul, des fois de longues pénétrations douces, enfin pas si douces, des fois des coups secs et, quand il a rugit se penchant sur moi, bien au fond de mon cul, j'ai senti son gros gland sursauté, lâchant un jet chaud et dans l'instant suivi d'autres giclées comme une mitraillette. Les giclées me chauffaient l'intérieur en me remplissant. Il y en avait beaucoup, je voyais son visage d'où coulait la sueur. Les dernières giclées ont été fourni dans un coup de reins sec qui m'a fait crier. Il est resté en moi, s'est penché, m'a soulevé la tête entre ses mains et sa langue m'a envahi la bouche. Il donnait encore de petits coups de reins et je sentais sa grosse queue nager dans son sperme.
Il n'a rien dit a reposé ma tête dans le vide. Ses grosses lèvres sont descendues sur mon torse m'écartant les jambes, j'ai senti son bangala sortir doucement de moi en même temps que ses lèvres s'emparaient de ma queue collée sur mon ventre, d'une main il la soulève, ses lèvres m'entourent le gland, descendent sur ma queue, sa langue l'entoure et il me pipe. Oh je n'ai pas tenu longtemps dans cette bouche chaude et humide avec sa langue agile, il m'a serré les couilles et tout est arrivé en même temps.
J'ai joui dans sa bouche plusieurs longues giclées, en même temps que que son bangala s'échappait de mon cul laissant couler le sperme du black, ça bouillonnait de tous les côtés.. Il a bien léché ma queue, m'a caressé les flancs et sans un mot est parti.
Je suis resté un moment à récupérer sentant le sperme s'écouler encore de mon cul. Je me suis touché, j'avais le cul béant complètement, humide de partout. J'ai repensé à la règle du club ne venir qu'une fois par semaine, il avait raison le beau black de l'entrée!
J'ai peiné à retrouver mon chemin, retrouver ma loge, me rhabiller et sortir.
-alors content de votre passage ? m'a demandé le beau black de l'entrée.
-oui dis je dans un souffle.
-alors à la semaine prochaine monsieur dit il de son air coquin.
Maintenant vous avez compris ce que je fais une fois par semaine, faut respecter le règlement, déjà que je l'enfreins à vous en parler… mais c'est juste pour vous faire baver d'envie… alors chercher, je vais vous donner un indice… c'est à Paris!
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