Fantasmes lubriques dans la nature
Récit érotique écrit par Marcoman91150 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fantasmes lubriques dans la nature
Suite de "Ma masseuse et moi"
Je fis encore avec Maryse plusieurs séances de massage ,
ou elle poussa effectivement plus loin mes sensations.
Je ne les décrirai pas ici par le détail. Peut-être plus tard.
Elle m’avait aidé à découvrir et à développer la part féminine qui était en moi, et à
l’assumer.
Grâce à elle, j’avais découvert des sensations incroyables, des possibilités de
jouissance infinies…
Mais l’histoire ne se termine pas là.
Nous avons fini par devenir amis, mais même si elle m’appréciait beaucoup, semble-t-
il,
elle ne voulait pas devenir mon amante, elle ne voulait pas d’une relation plus
poussée,
qui aurait peut-être gâché la qualité de nos « séances ».
Elle ne voulait plus non plus s’investir avec un homme, et tout ce qui va avec.
Je la comprenais, je n’en fus pas déçu, car moi-même je ne voulais pas m’investir dans
une vie de couple.
Quoique…
Un jour, Maryse me téléphona.
Elle me demandait si je voulais bien passer une après-midi avec elle à la plage, au
bord d’un lac près de chez elle.
Je lui répondis que oui, ce serait sympa. Elle me précisa alors qu’elle serait
accompagnée d’une amie à elle,
et me demanda si ça me dérangeait. Je lui répondis que non, mais dans le ton de sa
voix,
je crus comprendre qu’il y avait un but à cette proposition.
Je lui demandai si elle avait quelque chose en tête…
Elle me répondit en riant que j’étais tellement féminin que j’avais même acquis
l’intuition féminine.
Je ris aussi de bon cœur, mais je répondis aussi que même sans intuition féminine,
je savais que les femmes n’étaient pas toujours innocentes, même si c’était agréable
pour les hommes.
Comme elle me savait très ouvert, et comme j’avais dédramatisé la situation,
elle m’expliqua alors la chose suivante:
Elle dit qu’elle avait eu une cliente, qui n’était plus une cliente, mais était
devenue une amie.
Cette femme, me dit-elle, avait un penchant pour un certain type d’homme,
et je correspondais précisément à ce type. Elle me dit qu’au cours de nos séances,
elle avait pu apprécier et se rendre compte de mes orientations sexuelles,
elle les avait même développées.
Donc, elle s’était autorisée à parler de moi à cette femme,
car celle-ci était un peu désespérée de ne trouver aucun homme qui correspondait à ses
attentes.
Elle me dit : « Tu comprends, c’est peut-être une histoire formidable pour toi, et
pour elle aussi,
bien sûr. Je ne veux que ton bien, je t’apprécie beaucoup, tu le sais,
je pense que tu pourrais vraiment trouver ton bonheur avec cette femme sur tous les
plans.
Elle te comblera. Ca me ferait plaisir, et bien sûr nous resterons toujours amis,
tu pourras toujours venir me voir. C’est une belle occasion de bonheur qui s’offre à
toi. »
Je lui dis alors que je la remerciais de penser ainsi à moi,
et que ma curiosité était la plus forte, que j’acceptais bien sûr,
mais j’étais un peu intimidé par cette situation préétablie.
D’autre-part, il n’était pas sûr que je lui plaise.
Je lui demandai quand même quelques renseignements sur cette femme mystérieuse.
Elle me dit alors qu’elle avait à peu près mon âge, qu’elle était assez belle,
même si un peu ronde, qu’elle pouvait paraître dure au premier abord, mais qu’en fait,
elle était très gentille, qu’elle me plairait sûrement.
Elle m’avoua aussi qu’ayant parlé de moi à cette femme,
celle-ci était très impatiente de me rencontrer.
Bref, j’étais d’accord, et nous mîmes au clair le lieu du rdv, l’heure etc…
Le jour-dit, je me préparai longuement le matin.
Je m’épilai très soigneusement tout le corps, spécialement les aisselles, le pubis,
les testicules,
et le pourtour de l’anus. Pour parfaire le tout, je me fis aussi un lavement anal.
Je pris une longue douche très parfumée, insistant longuement sur les zones sensibles.
Je me parfumai ensuite soigneusement avec un parfum féminin,
me passai de la crème relaxante sur mon pubis et sexe, et me lubrifiai l’anus, sait-
on jamais.
Je mis aussi le plus longtemps possible des gonfleurs de tétons, pour les durcir.
J’étais tellement sensible de là, que maintenant, le pouvais les dresser longtemps,
et d’ailleurs je commençais à être excité. Il faut dire que ce rdv piquait ma
curiosité,
et me donnait des frissons. Il est vrai que depuis mes séances avec Maryse,
mes sens étaient maintenant très développés, que je réagissais très vite à la moindre
caresse,
même à certains propos. Quand j’étais avec elle,
je laissais ma part féminine m’envahir de plus en plus.
Même si après je retrouvais un état normal.
Mais précisément, ce rdv, et ce que m’avait dit Maryse à propos de cette femme avaient
réveillé en moi mes hormones féminines. Rien qu’en y pensant, mes tétons se gonflaient
et se dressaient, mon bas-ventre me picotait, mon anus se dilatait, je commençais à
être en transe. Maryse, qui me connaissait bien maintenant, savait dans quel état je
me trouvais, elle savait qu’elle avait déclenché perfidement mais gentiment en moi les
sensations féminines qui m’envahissaient.
Je préparai aussi un sac avec serviette, affaires de rechange,
je mis sur moi un caleçon de bain qui moulait mes fesses, un pantalon en toile,
un tee-shirt moulant, laissant ainsi mes tétons transparaître.
Je partis donc en voiture au lieu de rdv, ça me prit 1 demi-heure. Je garai ma
voiture,
et marchai à pied pour rejoindre mes 2 compagnes au lieu que Maryse m’avait indiqué.
Je les retrouvai au bord de l’eau dans un endroit un peu retiré,
que seuls les connaisseurs pouvaient trouver.
Maryse me fit un signe et se leva pour m’embrasser, puis elle me présenta à son amie
qui se leva,
et me sourit. Elle me fit une bise très appuyée.
Je lui demandai alors son nom, et elle me répondit dans un grand sourire qu’elle
s’appelait Patricia,
un nom que j’appréciais beaucoup, je ne sais pas pourquoi.
C‘était une brune aux cheveux mi- longs, bouclés, aux joues un peu fortes.
Des yeux bruns je crois. Des lèvres assez pulpeuses. Elle devait faire à peu près
1,65m.
Elle portait un bikini. Des seins bien dessinés, bien enveloppés dans son soutien-
gorge.
Je remarquai que ses tétons assez larges étaient dressés à travers le tissu.
Je ne pus m’empêcher de prolonger mon regard sur ses seins, elle le remarqua peut-
être,
car elle fixa mon torse, et me souris. Visiblement, elle souhaitait me mettre en
confiance.
En fait, j’étais très excité par la situation. Je remarquai aussi que son caleçon
était très serré,
presque trop court, et il mettait en valeur ses rondeurs,
et on distinguait la forme de ses lèvres à travers le tissu.
Ses cuisses étaient un peu courtes mais bien dessinées.
Elle s’était aussi maquillée, mais pas trop. Elle semblait vouloir plaire,
et elle y réussissait pas mal. Elle avait du charme, et elle me plaisait.
Je lui souris aussi, ne sachant trop quoi dire. Maryse me dit que je pouvais me mettre
en tenue,
et je retirai mon tee-shirt. Mes tétons étaient encore dressés,
et je remarquai discrètement que Patricia jeta un regard furtif.
Ensuite, j’enlevai lentement mon pantalon, en leur tournant le dos,
et en cambrant un peu mes fesses. De la même manière,
je remarquai le regard furtif de Patricia. Maryse m’invita à m’installer entre elles.
Je m’allongeai donc sur ma serviette sur le dos. J’étendis mes bras sous ma tête,
ce qui faisait apparaître mes aisselles rasées et tendit mes tétons,
et par ailleurs ça diffusait mon parfum. Patricia était allongée sur le ventre,
et je vis qu’elle me regardait, et qu’elle humait l’air environnant.
Je sentis aussi son parfum envoûtant, un peu piquant. Je lui souris encore,
me demandant quoi dire. Ce fut elle qui me parla, elle me demanda des renseignements
très banals,
et finalement, on discuta comme ça de manière détendue.
Maryse intervenait parfois, elles se mirent aussi à discuter ensemble.
Un moment, je leur demandai si elles s’étaient déjà baignées, elles me répondirent que
non,
alors je leur proposai d’aller se baigner, et elles acceptèrent.
Nous allâmes donc ensemble dans l’eau, nous nous amusions, nous nagions.
Je remarquai que Patricia se tenait souvent près de moi, elle me giclait, elle
essayait de me couler,
elle riait pas mal, et semblait s’amuser. Je remarquai qu’au cours de nos jeux,
elle en profitait parfois pour passer une main furtive sur mon torse, ou sur mes
fesses.
Je lui souriais, et essayais de lui rendre la pareille mais elle se sauvait pour aller
vers Maryse,
qui, elle, se tenait volontairement, semble-t-il, en retrait. Ensuite,
Maryse nous proposa de nager vers une île boisée, qui était à peu près à 100 m.
On nagea donc lentement, Maryse était visiblement sportive, et elle nous distança.
Patricia avait un peu de mal, aussi je l’aidai en la tirant par la main.
Elle me proposa de s’accrocher à moi, et entoura ses bras autour de mon torse ;
Je l’emmenai ainsi, et une de ses mains se posa sur mes tétons,
tandis que de l’autre elle m’agrippa la hanche,
puis en glissant un peu la posa sur une de mes fesses. Comme l’eau était fraiche,
mes tétons étaient plus durs, et encore dressés. Je senti une excitation,
et ma respiration s’accéléra, ainsi que mon rythme de nage. De plus, en nageant,
j’ondulais mes fesses, et sa main glissait dessus. Patricia dut le sentir,
car elle appuya encore sur mes tétons, et les pinça ce qui augmenta encore mon rythme,
et mes halètements. De l’autre main, elle s’agrippa plus fort, et la passa devant,
en la posant sur mon pubis. Nous arrivâmes ainsi à la berge,
ou elle me lâcha doucement en faisant lentement glisser sa main sur mes tétons.
Je me remis debout et l’aida à se relever en lui donnant la main, elle me remercia,
et je lui répondis que c’est moi qui la remerciait pour cette agréable traversée.
Elle me fit un grand sourire et m’embrassa sur la joue.
Maryse, nous attendait, et elle nous dit : « Eh bien, je vois que ça marche bien entre
vous.
On va visiter cette île ? » Et on se mit à marcher sur cette petite île,
qui était en fait une petite colline boisée. Patricia se mit juste derrière moi,
et je sentais son regard sur moi, sur mes fesses, de temps en temps, je me retournais.
On grimpa en haut, ou il y avait une espèce de petit bosquet, très abrité et entouré
de buissons.
Le sol était très doux, avec de la mousse en dessous. On le testa en s’asseyant
dessus.
Je m’allongeai en me disant que c’était un coin agréable pour une sieste.
Patricia s’allongea à côté de moi sur le ventre, son bras touchait le mien,
elle dit qu’effectivement c’était très agréable, et ce contact me donna des frissons,
une chaleur m’envahit le bas-ventre, je tendis mon torse, mes tétons dressés.
Patricia me regarda alors et me souris, puis elle posa son bras sur le mien,
sa main me caressant le bras avec ses ongles. Je tournai alors la tête vers elle,
les yeux mi-clos, respirant plus rapidement.
Maryse dit alors que c’était un parfait nid d’amour très discret et agréable,
et elle nous regarda. Patricia et moi croisèrent nos regards, et on se sourit.
Maryse nous dit alors qu’il fallait peut-être retourner près de nos affaires.
Je dis qu’avant j’aimerais bien aller de l’autre côté de l’île, que ce n’était pas
très long.
On arriva au bout, et on s’aperçut qu’en fait, c’était une presqu’île,
un petit bras de terre de 50m la rattachait à l’autre rive du lac.
Je dis qu’on pourrait peut-être passer par là.
Maryse dit que serait trop long de refaire tour du lac à pied,
qu’elle préférait repartir à la nage. Je vis que Patricia hésitait,
qu’elle craignait de refaire le parcours à la nage.
Je lui demandai alors si elle préférait à pied, elle me dit oui.
Je dis alors à Maryse qu’elle reparte à la nage,
pendant que nous ferions le tour à pied avec Patricia.
Elle acquiesça, et nous dit à tout à l’heure. Patricia me regarda alors et me
remercia,
en passant une main derrière ma nuque. Nous nous sourîmes,
car nous savions que nous allions nous retrouver tous seuls pendant quelque temps.
Nous traversâmes donc avec Patricia la petite bande de terre,
puis on commença à marcher le long de la rive opposée du lac.
Patricia me prit la main, en se serrant contre moi,
je remarquai qu’elle marchait lentement et me ralentissait.
Un moment, je m’arrêtai, et on se fit face. Lentement, elle se rapprocha de moi,
et entoura ses bras autour de moi, posa son visage sur mon torse.
Elle sentait mon torse et m’embrassa dessus.
Elle me dit : « Huum, tu sens bon, ton parfum m’enivre, et ta peau est tellement douce
».
Ses seins appuyés contre mon torse, je sentais ses tétons dressés contre moi.
Je senti ses mains descendre dans mon dos, le caresser, et elles se posèrent sur mes
fesses.
Elle commença à les caresser doucement.
Puis, elle essaya de passer une main sous le tissu de mon caleçon,
et elle réussit doucement, petit à petit. Elle éprouva la douceur de mes fesses.
Il faut dire que comme je l’avais dit j’avais généreusement étalé de la crème sur mes
fesses,
or elle était très résistante et le passage dans l’eau ne l’avait pas entamée.
Elle dut sentir cette douceur inhabituelle, car elle releva la tête et me sourit.
Elle me dit : « J’ai l’impression que tu prends soin de ton corps ».
Je répondis que oui, c’était plus agréable pour moi et pour les femmes qui me
caressaient.
Elle me resserra alors plus fort, et me pétrit les fesses. Comme je commençais à
haleter,
à me cambrer, et à tendre les fesses, elle essaya de descendre mon caleçon.
Mais, à ce moment-là, un bruit nous indiqua que quelqu’un arrivait. Effectivement,
un groupe de promeneurs arrivaient. Nous nous remîmes à marcher, elle me tenant
toujours la main.
Après les avoir croisés, elle me dit : « Ne soit pas trop déçu, ce n’est que partie
remise. »
Je lui dit qu’effectivement, il ne fallait pas s’arrêter à ça.
Mais j’étais encore excité, mes tétons étaient bien dressés.
De plus, une bosse sur mon caleçon indiquait que j’étais en érection,
et une petite tâche de liquide séminal avait traversé mon caleçon.
Elle le remarqua, me souris,
et me dis avec des yeux brillants : « Est-ce moi qui te fait cet effet ? Allons, viens
on va rejoindre Maryse,
et on verra ce qu’on peut faire ».
Je lui dis qu’en fait, quand elle m’avait caressé les fesses,
j’avais éprouvé un quasi-orgasme, elle me regarda avec envie et fascination,
passant une main sur mon torse, elle me dit : « mon dieu, comme tu as l’air sensible
et sensuel ».
Et elle m’entraina par la main, elle avait pris la direction des opérations,
elle avait pris l’ascendant sur moi, un ascendant sexuel.
Nous rejoignîmes finalement Maryse assez vite,
et comme nous avions croisés des promeneurs tout le long nous n’avions plus eu
l’occasion de nous câliner.
Maryse nous dit alors qu’elle avait reçu un coup de fil d’une cliente, que le samedi,
c’était inhabituel, mais comme c’était une bonne cliente, elle ne pouvait pas la
décevoir.
Donc, elle était désolée, mais elle allait devoir partir.
Elle demanda à Patricia si elle restait encore à la plage,
ou si elle désirait repartir avec elle. Patricia dit qu’elle voulait bien rester,
sauf si moi je voulais repartir. Je dis que non, je pouvais rester encore,
et que je pouvais la ramener après. Elle me remercia, et Maryse nous dit au revoir,
et prit congé de nous.
Restés seuls, nous nous allongeâmes à l’endroit où nous étions.
Moi sur le dos, Patricia à côté de moi, très près de moi allongée sur le ventre.
En regardant Maryse s’éloigner, j’ai dit que je me demandais si ce n’étais pas un
prétexte pour nous laisser seuls.
Patricia acquiesça, mais elle me dit en me souriant tendrement qu’elle n’était pas
mécontente de la situation,
je lui rendis son sourire.
Ensuite, elle me demanda si Maryse m’avait parlé d’elle.
Je lui répondis que oui, mais sans entrer dans les détails.
Elle dit alors qu’elle tenait avant toute chose, à me parler franchement,
avant de savoir si nous pouvions aller plus loin. Je lui dis qu’elle pouvait me parler
à cœur ouvert,
que j’étais assez ouvert, et que si elle désirait en savoir plus sur moi,
elle pouvait me poser toutes les questions qu’elle souhaitait.
Elle me remercia, mais elle souhaitait surtout me parler d’elle pour que je ne sois
pas décontenancé.
Elle m’expliqua alors que plus jeune, elle avait été mariée à un homme qu’elle aimait
beaucoup,
mais elle s’aperçut assez vite qu’il était homosexuel. Il le lui avoua sans
difficulté,
mais il tenait quand même à elle. Elle était alors un peu vexée, mais elle aimait son
mari,
et finalement, son comportement sexuel lui plut. Elle s’aperçut alors qu’elle aimait
le dominer,
le traiter en femme. Le côté efféminé de son mari lui plaisait,
et elle invitait parfois des hommes à venir lui faire l’amour,
elle-même participant à ces jeux et se plaisant à guider les hommes à se faire
l’amour,
les caressant, les faisant jouir. Elle me demanda si je n’étais pas choqué par son
récit,
je lui répondis que non. Elle continua, et me dit qu’alors elle avait une vie
conjugale heureuse,
et une vie sexuelle pleine de piment. Malheureusement, un jour, son mari la quitta
brusquement,
car il avait trouvé un homme qui le comblait, et qu’il préférait décidément les
hommes.
Elle fut alors très déçue, et traversa une période difficile de sa vie.
Elle dut se débrouiller toute seule, et gagner sa vie, ce qui n’était pas facile.
Pour la vie sentimentale, elle rencontra bien d’autres hommes,
mais ça ne marcha pas car c’étaient des machos qui voulaient la contrôler,
et elle ne le supportait pas. De plus, sexuellement,
elle se rendit compte qu’elle n’était attirée que par des hommes tendres, quasiment
efféminés.
Or il n’y avait, pensait-elle, que des homosexuels qui étaient ainsi,
et les homosexuels préféraient les hommes, ça ne pouvait pas marcher longtemps.
Or, un jour, il n’y a pas très longtemps, son amie Maryse lui avait parlé de moi,
lui dit que je pouvais être l’homme qu’elle recherchait, sans être homosexuel.
Elle me demanda si je n’étais pas vexé qu’elle me trouve effectivement efféminé,
qu’elle l’avait senti dès qu’elle m’avait vu. Mais elle voulait en être sûre.
Je lui dis que non, je n’étais pas vexé et que je recherchais moi-même ce genre de
femme qui accepte la part féminine de l’homme,
et même qui l’encourage, et que je pensais que c’était impossible à trouver,
car les femmes préfèrent les machos.
Elle me répondit en me caressant les cheveux, que non justement,
certaines femmes étaient très sensibles à la féminité de certains hommes,
comme elle justement. Je lui dis que c’était inespéré pour moi de trouver une femme
comme elle,
mais je voulais savoir avant d’aller plus loin, si je lui plaisais.
Elle me dit : « Tu as dû remarquer que je suis très attirée par toi.
J’aime ta façon de marcher, ta réaction à mes caresses. Je dois t’avouer qu’en te
regardant,
j’ai très envie de toi. Et toi ? »
En même temps, elle posa sa main sur mon bras et le caressa doucement en me regardant.
Je lui répondis en faisant une grande expiration, en la regardant puis en fermant les
yeux.
Puis elle posa la main sur mon ventre, le caressa doucement,
enfonça son doigt dans mon nombril comme pour le forcer,
l’autre main descendis vers mon pubis et elle le caressa à travers le tissu fin.
L’autre main,
en même temps remonta sur mon torse, passa sur mes tétons en ralentissant,
prolongeant mon plaisir. Je commençais à respirer plus fort et à tendre mon torse,
et à onduler du bassin.
Je rouvris les yeux, et lui dit alors : « Tu sens comme tes caresses me procurent des
frissons,
je sens une chaleur monter dans mon bas-ventre, le long de mon corps,
mes seins se dressent sous tes mains si sensuelles. »
Elle me dit : « Oh oui, je te sens si sensible à mes caresses que ça m’excite
follement.
J’ai tellement envie de toi, de ton corps si doux, si sensible »
Cependant, à l’endroit où nous étions, nous n’étions pas vraiment seuls, même s’il y
avait peu de gens, et qu’ils étaient assez dispersés.
Alors que je commençais à m’abandonner, elle me dit que nous pourrions retourner au
bosquet fermé de la petite île, que nous serions plus tranquilles, et dans un endroit
plus confortable. L’idée me plut, et nous ramassâmes nos affaires et nous mîmes en
route. Le long du chemin, nous ne rencontrâmes personne, aussi elle en profita pour
passer son bras dans mon dos et poser sa main sur mes fesses, qu’elle commença à
pétrir. Voyant que je marchais plus mal, que je me cambrai, que je respirais plus
difficilement, elle s’arrêta, et on s’allongea près du lac.
Puis elle reposa la main sur mon ventre, le caressa doucement, elle descendit ensuite
vers mon pubis et elle le caressa à travers le tissu fin, faisant gonfler mon sexe de
désir. L’autre main, en même temps remonta sur mon torse, passa sur mes tétons en
ralentissant, prolongeant mon plaisir. Je commençais à respirer plus fort et à tendre
mon torse, et à onduler du bassin.
Je commençais à m’abandonner.
Elle continua, appuya sur mes tétons puis elle les pinça, les pétrit.
Je commençais à haleter, je passai mes bras derrière ma tête, découvrant mes
aisselles,
et tendant encore plus mon torse, dressant mes tétons. J’étais dans une attitude
lascive,
offerte et cela semblait lui plaire, elle se rapprocha encore de moi. M’enserrant de
ses cuisses,
elle rapprocha ses lèvres des miennes, et commença à m’embrasser langoureusement,
doucement,
je sentais sa langue qui fouillait ma bouche, cela dura assez longtemps, je commençais
à gémir,
car en même temps sa main me caressait toujours les tétons. Je commençais à écarter
les cuisses,
et elle le sentait car elle m’enserrait une de mes cuisses avec les siennes.
Je sentais son pubis qui commençait à onduler en frottant le haut de ma cuisse.
Puis elle me mordilla le lobe des oreilles, me lécha le long du cou,
puis elle descendit la bouche sur ma poitrine, m’embrassa, me lécha partout,
et commença à me lécher un téton puis l’autre, après quoi elle me les suça , les goba,
les aspira, les étira. Elle sentait qu’ils durcissaient et gonflaient dans sa bouche,
et ça commençait à l’exciter, je le sentais, car elle respirait plus fort,
elle ondulait de plus en plus de son pubis sur moi, de plus en plus fort,
et à un moment je sentis quelque chose de mouillé sur ma cuisse. Elle s’arrêta un
instant,
me regarda avec des yeux brillants, et m’avoua qu’elle venait de jouir.
Je lui dit alors qu’elle m’avait procuré un orgasme très agréable.
Ensuite, on se releva et on marcha lentement jusqu’au bosquet.
Arrivés sans encombre, nous commençâmes à installer les serviettes au sol et nos sacs
etc.
J’allais m’allonger quand elle m’arrêta, se mit en face de moi, et m’enserra dans ses
bras.
Elle posa sa bouche sur un de mes tétons et le suça très doucement d’abord, puis plus
vite.
En même temps, elle fit descendre ses mains sur mes fesses, et me les pétrit
doucement,
puis elle tira sur mon caleçon de sorte qu’elle enserra un mince bandeau entre mes
fesses.
Je me cambrai, et commençai à haleter et gémir. Puis elle pétrit mes fesses
découvertes,
encore douces de crème relaxante, au début assez doucement, puis de plus en fort et
rapidement,
si bien que je sentais le tissu frotter mon anus qui commençait à se contracter et
s’ouvrir.
Je commençais à émettre des râles de plaisir, et elle en fut toute excitée.
Elle se mit alors derrière moi, ses mains montant et descendant le long de mon torse
et venant finir sur mon pubis, elle passa une main dans mon caleçon, et commença
à caresser mon sexe. Elle explora mon sexe et passa ensuite aux testicules, au
scrotum,
un doigt s’insinua vers mon anus, mais elle ne pouvait pas l’atteindre comme ça.
De l’autre main elle continuait à dresser mes tétons. J’ondulais du bassin,
je me cambrais à cause de ses caresses, et je sentais mes fesses découvertes frotter
son ventre.
Elle-même poussait son ventre contre mes fesses, et nous ondulions ensemble.
Elle dégrafa son soutien-gorge, ondula ses seins derrière moi,
et je sentis ses tétons durcis et dressés me labourer le dos.
Je la sentais qui respirait plus fort, ses mains me caressaient plus fort le sexe et
les testicules
ainsi que mes tétons. J’aboutis à un orgasme, une onde de choc qui ne provoqua pas
d’éjaculation,
mais qui me fis longtemps gémir. Elle sentit mon orgasme, et se mis à jouir me dit-
elle,
je la sentis onduler plus fort, et je l’entendis crier sa bouche collée dans ma nuque.
Pendant sa jouissance, elle me torturait presque les tétons et le sexe.
Ensuite, elle se calma un peu, et frotta ses tétons contre mon dos, sur mes fesses,
et long de mes cuisses. En même temps, je sentais sa bouche qui m’embrassa aux mêmes
endroits,
et elle s’attarda surtout sur mes fesses. Je sentais aussi qu’elle respirait mon
parfum,
qu’elle s’enivrait de mes odeurs
Elle me dit : « Tu sens bon. Même ton cul semble frais.
Je sens que tu es bien épilé, mais vraiment partout ? J’aimerais vérifier. »
Je lui souris, l’invitant à me déshabiller. Elle descendit lentement mon caleçon,
écartant délicatement mes fesses pour sortir la partie enfoncée dans ma raie,
puis le descendis le long de mes jambes et l’enleva.
Puis elle passa une main entre mes cuisses, capturant mes testicules,
et me poussa le dos en avant de son autre main. Je me mis à genoux buste en avant,
ainsi elle pouvait profiter de la vue de mon cul. Elle me fit écarter les jambes.
Mon anus était ainsi offert à sa vue, elle écarta mes fesses, et s’attarda à regarder
mon anus.
Elle me dit alors : « Oh, Je vois que tu es bien épilé même derrière.
Huum, Ton cul doit être si doux. J’aimerais te le détendre ».
A cette réflexion, je me cambrai encore plus et ondulai du bassin au rythme de ses
caresses
sur mes testicules, et elle écarta encore plus mes jambes.
J’étais ainsi le torse aplati contre le sol, le cul bien cambré et relevé,
et les jambes très écartées.
Je sentis alors le pouce de sa main qui me caressait les testicules remonter vers mon
anus,
le caresser. Sentant mes contractions, son pouce accompagnait les saccades de mon
anus.
Elle dit : « Oh oui, tu réagis si bien je sens bien ton anus réagir sous mes
caresses.
Tu me sens bien ? » Je lui répondis : « Oh oui, je te sens si bien, j
e commence à avoir un orgasme anal. » Elle me dit presque en criant :
« oh mon dieu, arrête de m’exciter. »
Son pouce commença à forcer mon anus et s’enfonça facilement dans mon cul.
Elle fit alors de rapides va et viens avec son pouce.
Forçant de plus en plus et appuyant sur ma prostate,
elle déclencha bientôt mes spasmes et son pouce se retrouva coincé dans mon anus,
au moment où j’évacuai un flot de sperme sur la serviette au sol, pendant que je
criai.
Elle aussi se mit à crier, elle ressortit brusquement son pouce de mon cul,
et vint poser son sexe mouillé sur mon cul. Je sentis un liquide couler entre mes
fesses.
Je sentis aussi les spasmes de son sexe contre mon anus, alors que moi-même,
je continuais à avoir mes propre spasmes. Ainsi nos deux jouissances se joignaient
à l’endroit de tous nos désirs.
Puis elle prit un mouchoir papier dans son sac
et m’essuya soigneusement le sexe qu’elle finit par lécher et embrasser.
Elle me nettoya aussi soigneusement le cul, car elle dit qu’elle me l’avait souillé.
Je lui dit que non c’était merveilleux,
elle m’avait honoré de sa jouissance dans mon propre puit de jouissance.
Nous nous détendîmes peu à peu. Elle m’avoua après qu’elle se sentait heureuse,
comblée dans ses désirs les plus fous, et me couvrit de baisers un peu partout.
Je commençais à être un peu fatigué,
aussi je m’allongeais sur le ventre comme pour faire une sieste. Une de mes jambes
était relevée,
si bien que mon cul était dirigé vers elle. Elle me couvrit, ses seins contre mon dos,
passant une main sous ma hanche elle commença à flatter doucement mon sexe reposé,
elle la remonta ensuite, et s’attarda sur mes tétons qu’elle se remit à durcir.
Sentant que mes tétons durcissaient, elle commença à m’embrasser dans le cou, le dos.
Son autre main parcourait mon dos,
puis elle ne tarda pas à revenir vers mes fesses qu’elle caressa et flatta.
Sentant mon cul frémir et se cabrer, elle me demanda si j’étais encore excité,
après la folle jouissance que nous avions connue. Je lui répondis que oui,
j’étais comme en transe, ses caresses me donnaient des frissons de plaisir,
que je sentais une vague de chaleur envahir mon anus, que j’avais à nouveau des
contractions anales.
Très excitée, elle voulut vérifier, releva mon cul et observa fascinée les
contractions de mon anus.
Elle se mit à cheval sur moi, releva encore mon cul, écarta mes fesses
et plongea sa bouche sur mon cul. Elle sentit ainsi les contractions avec ses lèvres,
et je sentis qu’elle remuait du cul au-dessus de ma tête.
Puis je sentis sa langue qui s’insinua dans mon anus,
elle me forçait et sa langue allait et venait dans mon cul,
ce qui accentua encore mes contractions.
Cela dura assez longtemps, jusqu’à ce que je crie et que jouisse,
lachant encore du sperme sur la serviette en dessous. Elle continua ainsi à me lécher
l’anus,
à me brouter le cul comme si elle goutait sa glace préférée.
Elle me dit ensuite que mon cul avait bon gout, qu’elle le lécherait bien ainsi toute
la nuit.
Je lui dit qu’elle aurait sans doute encore l’occasion de le gouter.
Elle m’embrassa alors goulument, en me flattant la croupe,
je sentis ainsi le gout de mon cul dans bouche.
Ensuite, nous nous détendîmes pour de bon.
Nous nous caressâmes encore un peu, doucement, et comme la nuit venait,
nous quittâmes les lieux.
Je la déposai devant chez elle, mais elle me fis un long baiser en me caressant les
tétons,
avant de me quitter.
Je passai ensuite une très bonne nuit. Et le lendemain, je me relaxais tranquillement.
Je reçu un texto vers midi.
« Bonjour mon très cher tendre amour, merci pour la journée inoubliable d’hier.
Je dois t’avouer que je pense beaucoup à toi. J’ai pensé à ton corps si tendre, si
doux,
si sensible que j’adore câliner, et qui frémit si bien sous mes caresses.
C’est peut-être choquant de te dire ça mais tant pis, je dois le faire.
Oui, mon bel amant, je dois t’avouer aussi que je pense très fort à ton cul,
à ton anus si doux et si réceptif, j’en ai joui ce matin encore en y pensant.
J’aimerai beaucoup te revoir et m’occuper à nouveau de ton cul. Bises partout.
Patricia » Curieusement ce sms déclencha une série bien connue de réactions chez moi.
Je commençai à me masturber, et je répondis au sms en même temps.
Elle me répondit « non, ne le fais pas tout seul, rejoins-moi »
Je fis encore avec Maryse plusieurs séances de massage ,
ou elle poussa effectivement plus loin mes sensations.
Je ne les décrirai pas ici par le détail. Peut-être plus tard.
Elle m’avait aidé à découvrir et à développer la part féminine qui était en moi, et à
l’assumer.
Grâce à elle, j’avais découvert des sensations incroyables, des possibilités de
jouissance infinies…
Mais l’histoire ne se termine pas là.
Nous avons fini par devenir amis, mais même si elle m’appréciait beaucoup, semble-t-
il,
elle ne voulait pas devenir mon amante, elle ne voulait pas d’une relation plus
poussée,
qui aurait peut-être gâché la qualité de nos « séances ».
Elle ne voulait plus non plus s’investir avec un homme, et tout ce qui va avec.
Je la comprenais, je n’en fus pas déçu, car moi-même je ne voulais pas m’investir dans
une vie de couple.
Quoique…
Un jour, Maryse me téléphona.
Elle me demandait si je voulais bien passer une après-midi avec elle à la plage, au
bord d’un lac près de chez elle.
Je lui répondis que oui, ce serait sympa. Elle me précisa alors qu’elle serait
accompagnée d’une amie à elle,
et me demanda si ça me dérangeait. Je lui répondis que non, mais dans le ton de sa
voix,
je crus comprendre qu’il y avait un but à cette proposition.
Je lui demandai si elle avait quelque chose en tête…
Elle me répondit en riant que j’étais tellement féminin que j’avais même acquis
l’intuition féminine.
Je ris aussi de bon cœur, mais je répondis aussi que même sans intuition féminine,
je savais que les femmes n’étaient pas toujours innocentes, même si c’était agréable
pour les hommes.
Comme elle me savait très ouvert, et comme j’avais dédramatisé la situation,
elle m’expliqua alors la chose suivante:
Elle dit qu’elle avait eu une cliente, qui n’était plus une cliente, mais était
devenue une amie.
Cette femme, me dit-elle, avait un penchant pour un certain type d’homme,
et je correspondais précisément à ce type. Elle me dit qu’au cours de nos séances,
elle avait pu apprécier et se rendre compte de mes orientations sexuelles,
elle les avait même développées.
Donc, elle s’était autorisée à parler de moi à cette femme,
car celle-ci était un peu désespérée de ne trouver aucun homme qui correspondait à ses
attentes.
Elle me dit : « Tu comprends, c’est peut-être une histoire formidable pour toi, et
pour elle aussi,
bien sûr. Je ne veux que ton bien, je t’apprécie beaucoup, tu le sais,
je pense que tu pourrais vraiment trouver ton bonheur avec cette femme sur tous les
plans.
Elle te comblera. Ca me ferait plaisir, et bien sûr nous resterons toujours amis,
tu pourras toujours venir me voir. C’est une belle occasion de bonheur qui s’offre à
toi. »
Je lui dis alors que je la remerciais de penser ainsi à moi,
et que ma curiosité était la plus forte, que j’acceptais bien sûr,
mais j’étais un peu intimidé par cette situation préétablie.
D’autre-part, il n’était pas sûr que je lui plaise.
Je lui demandai quand même quelques renseignements sur cette femme mystérieuse.
Elle me dit alors qu’elle avait à peu près mon âge, qu’elle était assez belle,
même si un peu ronde, qu’elle pouvait paraître dure au premier abord, mais qu’en fait,
elle était très gentille, qu’elle me plairait sûrement.
Elle m’avoua aussi qu’ayant parlé de moi à cette femme,
celle-ci était très impatiente de me rencontrer.
Bref, j’étais d’accord, et nous mîmes au clair le lieu du rdv, l’heure etc…
Le jour-dit, je me préparai longuement le matin.
Je m’épilai très soigneusement tout le corps, spécialement les aisselles, le pubis,
les testicules,
et le pourtour de l’anus. Pour parfaire le tout, je me fis aussi un lavement anal.
Je pris une longue douche très parfumée, insistant longuement sur les zones sensibles.
Je me parfumai ensuite soigneusement avec un parfum féminin,
me passai de la crème relaxante sur mon pubis et sexe, et me lubrifiai l’anus, sait-
on jamais.
Je mis aussi le plus longtemps possible des gonfleurs de tétons, pour les durcir.
J’étais tellement sensible de là, que maintenant, le pouvais les dresser longtemps,
et d’ailleurs je commençais à être excité. Il faut dire que ce rdv piquait ma
curiosité,
et me donnait des frissons. Il est vrai que depuis mes séances avec Maryse,
mes sens étaient maintenant très développés, que je réagissais très vite à la moindre
caresse,
même à certains propos. Quand j’étais avec elle,
je laissais ma part féminine m’envahir de plus en plus.
Même si après je retrouvais un état normal.
Mais précisément, ce rdv, et ce que m’avait dit Maryse à propos de cette femme avaient
réveillé en moi mes hormones féminines. Rien qu’en y pensant, mes tétons se gonflaient
et se dressaient, mon bas-ventre me picotait, mon anus se dilatait, je commençais à
être en transe. Maryse, qui me connaissait bien maintenant, savait dans quel état je
me trouvais, elle savait qu’elle avait déclenché perfidement mais gentiment en moi les
sensations féminines qui m’envahissaient.
Je préparai aussi un sac avec serviette, affaires de rechange,
je mis sur moi un caleçon de bain qui moulait mes fesses, un pantalon en toile,
un tee-shirt moulant, laissant ainsi mes tétons transparaître.
Je partis donc en voiture au lieu de rdv, ça me prit 1 demi-heure. Je garai ma
voiture,
et marchai à pied pour rejoindre mes 2 compagnes au lieu que Maryse m’avait indiqué.
Je les retrouvai au bord de l’eau dans un endroit un peu retiré,
que seuls les connaisseurs pouvaient trouver.
Maryse me fit un signe et se leva pour m’embrasser, puis elle me présenta à son amie
qui se leva,
et me sourit. Elle me fit une bise très appuyée.
Je lui demandai alors son nom, et elle me répondit dans un grand sourire qu’elle
s’appelait Patricia,
un nom que j’appréciais beaucoup, je ne sais pas pourquoi.
C‘était une brune aux cheveux mi- longs, bouclés, aux joues un peu fortes.
Des yeux bruns je crois. Des lèvres assez pulpeuses. Elle devait faire à peu près
1,65m.
Elle portait un bikini. Des seins bien dessinés, bien enveloppés dans son soutien-
gorge.
Je remarquai que ses tétons assez larges étaient dressés à travers le tissu.
Je ne pus m’empêcher de prolonger mon regard sur ses seins, elle le remarqua peut-
être,
car elle fixa mon torse, et me souris. Visiblement, elle souhaitait me mettre en
confiance.
En fait, j’étais très excité par la situation. Je remarquai aussi que son caleçon
était très serré,
presque trop court, et il mettait en valeur ses rondeurs,
et on distinguait la forme de ses lèvres à travers le tissu.
Ses cuisses étaient un peu courtes mais bien dessinées.
Elle s’était aussi maquillée, mais pas trop. Elle semblait vouloir plaire,
et elle y réussissait pas mal. Elle avait du charme, et elle me plaisait.
Je lui souris aussi, ne sachant trop quoi dire. Maryse me dit que je pouvais me mettre
en tenue,
et je retirai mon tee-shirt. Mes tétons étaient encore dressés,
et je remarquai discrètement que Patricia jeta un regard furtif.
Ensuite, j’enlevai lentement mon pantalon, en leur tournant le dos,
et en cambrant un peu mes fesses. De la même manière,
je remarquai le regard furtif de Patricia. Maryse m’invita à m’installer entre elles.
Je m’allongeai donc sur ma serviette sur le dos. J’étendis mes bras sous ma tête,
ce qui faisait apparaître mes aisselles rasées et tendit mes tétons,
et par ailleurs ça diffusait mon parfum. Patricia était allongée sur le ventre,
et je vis qu’elle me regardait, et qu’elle humait l’air environnant.
Je sentis aussi son parfum envoûtant, un peu piquant. Je lui souris encore,
me demandant quoi dire. Ce fut elle qui me parla, elle me demanda des renseignements
très banals,
et finalement, on discuta comme ça de manière détendue.
Maryse intervenait parfois, elles se mirent aussi à discuter ensemble.
Un moment, je leur demandai si elles s’étaient déjà baignées, elles me répondirent que
non,
alors je leur proposai d’aller se baigner, et elles acceptèrent.
Nous allâmes donc ensemble dans l’eau, nous nous amusions, nous nagions.
Je remarquai que Patricia se tenait souvent près de moi, elle me giclait, elle
essayait de me couler,
elle riait pas mal, et semblait s’amuser. Je remarquai qu’au cours de nos jeux,
elle en profitait parfois pour passer une main furtive sur mon torse, ou sur mes
fesses.
Je lui souriais, et essayais de lui rendre la pareille mais elle se sauvait pour aller
vers Maryse,
qui, elle, se tenait volontairement, semble-t-il, en retrait. Ensuite,
Maryse nous proposa de nager vers une île boisée, qui était à peu près à 100 m.
On nagea donc lentement, Maryse était visiblement sportive, et elle nous distança.
Patricia avait un peu de mal, aussi je l’aidai en la tirant par la main.
Elle me proposa de s’accrocher à moi, et entoura ses bras autour de mon torse ;
Je l’emmenai ainsi, et une de ses mains se posa sur mes tétons,
tandis que de l’autre elle m’agrippa la hanche,
puis en glissant un peu la posa sur une de mes fesses. Comme l’eau était fraiche,
mes tétons étaient plus durs, et encore dressés. Je senti une excitation,
et ma respiration s’accéléra, ainsi que mon rythme de nage. De plus, en nageant,
j’ondulais mes fesses, et sa main glissait dessus. Patricia dut le sentir,
car elle appuya encore sur mes tétons, et les pinça ce qui augmenta encore mon rythme,
et mes halètements. De l’autre main, elle s’agrippa plus fort, et la passa devant,
en la posant sur mon pubis. Nous arrivâmes ainsi à la berge,
ou elle me lâcha doucement en faisant lentement glisser sa main sur mes tétons.
Je me remis debout et l’aida à se relever en lui donnant la main, elle me remercia,
et je lui répondis que c’est moi qui la remerciait pour cette agréable traversée.
Elle me fit un grand sourire et m’embrassa sur la joue.
Maryse, nous attendait, et elle nous dit : « Eh bien, je vois que ça marche bien entre
vous.
On va visiter cette île ? » Et on se mit à marcher sur cette petite île,
qui était en fait une petite colline boisée. Patricia se mit juste derrière moi,
et je sentais son regard sur moi, sur mes fesses, de temps en temps, je me retournais.
On grimpa en haut, ou il y avait une espèce de petit bosquet, très abrité et entouré
de buissons.
Le sol était très doux, avec de la mousse en dessous. On le testa en s’asseyant
dessus.
Je m’allongeai en me disant que c’était un coin agréable pour une sieste.
Patricia s’allongea à côté de moi sur le ventre, son bras touchait le mien,
elle dit qu’effectivement c’était très agréable, et ce contact me donna des frissons,
une chaleur m’envahit le bas-ventre, je tendis mon torse, mes tétons dressés.
Patricia me regarda alors et me souris, puis elle posa son bras sur le mien,
sa main me caressant le bras avec ses ongles. Je tournai alors la tête vers elle,
les yeux mi-clos, respirant plus rapidement.
Maryse dit alors que c’était un parfait nid d’amour très discret et agréable,
et elle nous regarda. Patricia et moi croisèrent nos regards, et on se sourit.
Maryse nous dit alors qu’il fallait peut-être retourner près de nos affaires.
Je dis qu’avant j’aimerais bien aller de l’autre côté de l’île, que ce n’était pas
très long.
On arriva au bout, et on s’aperçut qu’en fait, c’était une presqu’île,
un petit bras de terre de 50m la rattachait à l’autre rive du lac.
Je dis qu’on pourrait peut-être passer par là.
Maryse dit que serait trop long de refaire tour du lac à pied,
qu’elle préférait repartir à la nage. Je vis que Patricia hésitait,
qu’elle craignait de refaire le parcours à la nage.
Je lui demandai alors si elle préférait à pied, elle me dit oui.
Je dis alors à Maryse qu’elle reparte à la nage,
pendant que nous ferions le tour à pied avec Patricia.
Elle acquiesça, et nous dit à tout à l’heure. Patricia me regarda alors et me
remercia,
en passant une main derrière ma nuque. Nous nous sourîmes,
car nous savions que nous allions nous retrouver tous seuls pendant quelque temps.
Nous traversâmes donc avec Patricia la petite bande de terre,
puis on commença à marcher le long de la rive opposée du lac.
Patricia me prit la main, en se serrant contre moi,
je remarquai qu’elle marchait lentement et me ralentissait.
Un moment, je m’arrêtai, et on se fit face. Lentement, elle se rapprocha de moi,
et entoura ses bras autour de moi, posa son visage sur mon torse.
Elle sentait mon torse et m’embrassa dessus.
Elle me dit : « Huum, tu sens bon, ton parfum m’enivre, et ta peau est tellement douce
».
Ses seins appuyés contre mon torse, je sentais ses tétons dressés contre moi.
Je senti ses mains descendre dans mon dos, le caresser, et elles se posèrent sur mes
fesses.
Elle commença à les caresser doucement.
Puis, elle essaya de passer une main sous le tissu de mon caleçon,
et elle réussit doucement, petit à petit. Elle éprouva la douceur de mes fesses.
Il faut dire que comme je l’avais dit j’avais généreusement étalé de la crème sur mes
fesses,
or elle était très résistante et le passage dans l’eau ne l’avait pas entamée.
Elle dut sentir cette douceur inhabituelle, car elle releva la tête et me sourit.
Elle me dit : « J’ai l’impression que tu prends soin de ton corps ».
Je répondis que oui, c’était plus agréable pour moi et pour les femmes qui me
caressaient.
Elle me resserra alors plus fort, et me pétrit les fesses. Comme je commençais à
haleter,
à me cambrer, et à tendre les fesses, elle essaya de descendre mon caleçon.
Mais, à ce moment-là, un bruit nous indiqua que quelqu’un arrivait. Effectivement,
un groupe de promeneurs arrivaient. Nous nous remîmes à marcher, elle me tenant
toujours la main.
Après les avoir croisés, elle me dit : « Ne soit pas trop déçu, ce n’est que partie
remise. »
Je lui dit qu’effectivement, il ne fallait pas s’arrêter à ça.
Mais j’étais encore excité, mes tétons étaient bien dressés.
De plus, une bosse sur mon caleçon indiquait que j’étais en érection,
et une petite tâche de liquide séminal avait traversé mon caleçon.
Elle le remarqua, me souris,
et me dis avec des yeux brillants : « Est-ce moi qui te fait cet effet ? Allons, viens
on va rejoindre Maryse,
et on verra ce qu’on peut faire ».
Je lui dis qu’en fait, quand elle m’avait caressé les fesses,
j’avais éprouvé un quasi-orgasme, elle me regarda avec envie et fascination,
passant une main sur mon torse, elle me dit : « mon dieu, comme tu as l’air sensible
et sensuel ».
Et elle m’entraina par la main, elle avait pris la direction des opérations,
elle avait pris l’ascendant sur moi, un ascendant sexuel.
Nous rejoignîmes finalement Maryse assez vite,
et comme nous avions croisés des promeneurs tout le long nous n’avions plus eu
l’occasion de nous câliner.
Maryse nous dit alors qu’elle avait reçu un coup de fil d’une cliente, que le samedi,
c’était inhabituel, mais comme c’était une bonne cliente, elle ne pouvait pas la
décevoir.
Donc, elle était désolée, mais elle allait devoir partir.
Elle demanda à Patricia si elle restait encore à la plage,
ou si elle désirait repartir avec elle. Patricia dit qu’elle voulait bien rester,
sauf si moi je voulais repartir. Je dis que non, je pouvais rester encore,
et que je pouvais la ramener après. Elle me remercia, et Maryse nous dit au revoir,
et prit congé de nous.
Restés seuls, nous nous allongeâmes à l’endroit où nous étions.
Moi sur le dos, Patricia à côté de moi, très près de moi allongée sur le ventre.
En regardant Maryse s’éloigner, j’ai dit que je me demandais si ce n’étais pas un
prétexte pour nous laisser seuls.
Patricia acquiesça, mais elle me dit en me souriant tendrement qu’elle n’était pas
mécontente de la situation,
je lui rendis son sourire.
Ensuite, elle me demanda si Maryse m’avait parlé d’elle.
Je lui répondis que oui, mais sans entrer dans les détails.
Elle dit alors qu’elle tenait avant toute chose, à me parler franchement,
avant de savoir si nous pouvions aller plus loin. Je lui dis qu’elle pouvait me parler
à cœur ouvert,
que j’étais assez ouvert, et que si elle désirait en savoir plus sur moi,
elle pouvait me poser toutes les questions qu’elle souhaitait.
Elle me remercia, mais elle souhaitait surtout me parler d’elle pour que je ne sois
pas décontenancé.
Elle m’expliqua alors que plus jeune, elle avait été mariée à un homme qu’elle aimait
beaucoup,
mais elle s’aperçut assez vite qu’il était homosexuel. Il le lui avoua sans
difficulté,
mais il tenait quand même à elle. Elle était alors un peu vexée, mais elle aimait son
mari,
et finalement, son comportement sexuel lui plut. Elle s’aperçut alors qu’elle aimait
le dominer,
le traiter en femme. Le côté efféminé de son mari lui plaisait,
et elle invitait parfois des hommes à venir lui faire l’amour,
elle-même participant à ces jeux et se plaisant à guider les hommes à se faire
l’amour,
les caressant, les faisant jouir. Elle me demanda si je n’étais pas choqué par son
récit,
je lui répondis que non. Elle continua, et me dit qu’alors elle avait une vie
conjugale heureuse,
et une vie sexuelle pleine de piment. Malheureusement, un jour, son mari la quitta
brusquement,
car il avait trouvé un homme qui le comblait, et qu’il préférait décidément les
hommes.
Elle fut alors très déçue, et traversa une période difficile de sa vie.
Elle dut se débrouiller toute seule, et gagner sa vie, ce qui n’était pas facile.
Pour la vie sentimentale, elle rencontra bien d’autres hommes,
mais ça ne marcha pas car c’étaient des machos qui voulaient la contrôler,
et elle ne le supportait pas. De plus, sexuellement,
elle se rendit compte qu’elle n’était attirée que par des hommes tendres, quasiment
efféminés.
Or il n’y avait, pensait-elle, que des homosexuels qui étaient ainsi,
et les homosexuels préféraient les hommes, ça ne pouvait pas marcher longtemps.
Or, un jour, il n’y a pas très longtemps, son amie Maryse lui avait parlé de moi,
lui dit que je pouvais être l’homme qu’elle recherchait, sans être homosexuel.
Elle me demanda si je n’étais pas vexé qu’elle me trouve effectivement efféminé,
qu’elle l’avait senti dès qu’elle m’avait vu. Mais elle voulait en être sûre.
Je lui dis que non, je n’étais pas vexé et que je recherchais moi-même ce genre de
femme qui accepte la part féminine de l’homme,
et même qui l’encourage, et que je pensais que c’était impossible à trouver,
car les femmes préfèrent les machos.
Elle me répondit en me caressant les cheveux, que non justement,
certaines femmes étaient très sensibles à la féminité de certains hommes,
comme elle justement. Je lui dis que c’était inespéré pour moi de trouver une femme
comme elle,
mais je voulais savoir avant d’aller plus loin, si je lui plaisais.
Elle me dit : « Tu as dû remarquer que je suis très attirée par toi.
J’aime ta façon de marcher, ta réaction à mes caresses. Je dois t’avouer qu’en te
regardant,
j’ai très envie de toi. Et toi ? »
En même temps, elle posa sa main sur mon bras et le caressa doucement en me regardant.
Je lui répondis en faisant une grande expiration, en la regardant puis en fermant les
yeux.
Puis elle posa la main sur mon ventre, le caressa doucement,
enfonça son doigt dans mon nombril comme pour le forcer,
l’autre main descendis vers mon pubis et elle le caressa à travers le tissu fin.
L’autre main,
en même temps remonta sur mon torse, passa sur mes tétons en ralentissant,
prolongeant mon plaisir. Je commençais à respirer plus fort et à tendre mon torse,
et à onduler du bassin.
Je rouvris les yeux, et lui dit alors : « Tu sens comme tes caresses me procurent des
frissons,
je sens une chaleur monter dans mon bas-ventre, le long de mon corps,
mes seins se dressent sous tes mains si sensuelles. »
Elle me dit : « Oh oui, je te sens si sensible à mes caresses que ça m’excite
follement.
J’ai tellement envie de toi, de ton corps si doux, si sensible »
Cependant, à l’endroit où nous étions, nous n’étions pas vraiment seuls, même s’il y
avait peu de gens, et qu’ils étaient assez dispersés.
Alors que je commençais à m’abandonner, elle me dit que nous pourrions retourner au
bosquet fermé de la petite île, que nous serions plus tranquilles, et dans un endroit
plus confortable. L’idée me plut, et nous ramassâmes nos affaires et nous mîmes en
route. Le long du chemin, nous ne rencontrâmes personne, aussi elle en profita pour
passer son bras dans mon dos et poser sa main sur mes fesses, qu’elle commença à
pétrir. Voyant que je marchais plus mal, que je me cambrai, que je respirais plus
difficilement, elle s’arrêta, et on s’allongea près du lac.
Puis elle reposa la main sur mon ventre, le caressa doucement, elle descendit ensuite
vers mon pubis et elle le caressa à travers le tissu fin, faisant gonfler mon sexe de
désir. L’autre main, en même temps remonta sur mon torse, passa sur mes tétons en
ralentissant, prolongeant mon plaisir. Je commençais à respirer plus fort et à tendre
mon torse, et à onduler du bassin.
Je commençais à m’abandonner.
Elle continua, appuya sur mes tétons puis elle les pinça, les pétrit.
Je commençais à haleter, je passai mes bras derrière ma tête, découvrant mes
aisselles,
et tendant encore plus mon torse, dressant mes tétons. J’étais dans une attitude
lascive,
offerte et cela semblait lui plaire, elle se rapprocha encore de moi. M’enserrant de
ses cuisses,
elle rapprocha ses lèvres des miennes, et commença à m’embrasser langoureusement,
doucement,
je sentais sa langue qui fouillait ma bouche, cela dura assez longtemps, je commençais
à gémir,
car en même temps sa main me caressait toujours les tétons. Je commençais à écarter
les cuisses,
et elle le sentait car elle m’enserrait une de mes cuisses avec les siennes.
Je sentais son pubis qui commençait à onduler en frottant le haut de ma cuisse.
Puis elle me mordilla le lobe des oreilles, me lécha le long du cou,
puis elle descendit la bouche sur ma poitrine, m’embrassa, me lécha partout,
et commença à me lécher un téton puis l’autre, après quoi elle me les suça , les goba,
les aspira, les étira. Elle sentait qu’ils durcissaient et gonflaient dans sa bouche,
et ça commençait à l’exciter, je le sentais, car elle respirait plus fort,
elle ondulait de plus en plus de son pubis sur moi, de plus en plus fort,
et à un moment je sentis quelque chose de mouillé sur ma cuisse. Elle s’arrêta un
instant,
me regarda avec des yeux brillants, et m’avoua qu’elle venait de jouir.
Je lui dit alors qu’elle m’avait procuré un orgasme très agréable.
Ensuite, on se releva et on marcha lentement jusqu’au bosquet.
Arrivés sans encombre, nous commençâmes à installer les serviettes au sol et nos sacs
etc.
J’allais m’allonger quand elle m’arrêta, se mit en face de moi, et m’enserra dans ses
bras.
Elle posa sa bouche sur un de mes tétons et le suça très doucement d’abord, puis plus
vite.
En même temps, elle fit descendre ses mains sur mes fesses, et me les pétrit
doucement,
puis elle tira sur mon caleçon de sorte qu’elle enserra un mince bandeau entre mes
fesses.
Je me cambrai, et commençai à haleter et gémir. Puis elle pétrit mes fesses
découvertes,
encore douces de crème relaxante, au début assez doucement, puis de plus en fort et
rapidement,
si bien que je sentais le tissu frotter mon anus qui commençait à se contracter et
s’ouvrir.
Je commençais à émettre des râles de plaisir, et elle en fut toute excitée.
Elle se mit alors derrière moi, ses mains montant et descendant le long de mon torse
et venant finir sur mon pubis, elle passa une main dans mon caleçon, et commença
à caresser mon sexe. Elle explora mon sexe et passa ensuite aux testicules, au
scrotum,
un doigt s’insinua vers mon anus, mais elle ne pouvait pas l’atteindre comme ça.
De l’autre main elle continuait à dresser mes tétons. J’ondulais du bassin,
je me cambrais à cause de ses caresses, et je sentais mes fesses découvertes frotter
son ventre.
Elle-même poussait son ventre contre mes fesses, et nous ondulions ensemble.
Elle dégrafa son soutien-gorge, ondula ses seins derrière moi,
et je sentis ses tétons durcis et dressés me labourer le dos.
Je la sentais qui respirait plus fort, ses mains me caressaient plus fort le sexe et
les testicules
ainsi que mes tétons. J’aboutis à un orgasme, une onde de choc qui ne provoqua pas
d’éjaculation,
mais qui me fis longtemps gémir. Elle sentit mon orgasme, et se mis à jouir me dit-
elle,
je la sentis onduler plus fort, et je l’entendis crier sa bouche collée dans ma nuque.
Pendant sa jouissance, elle me torturait presque les tétons et le sexe.
Ensuite, elle se calma un peu, et frotta ses tétons contre mon dos, sur mes fesses,
et long de mes cuisses. En même temps, je sentais sa bouche qui m’embrassa aux mêmes
endroits,
et elle s’attarda surtout sur mes fesses. Je sentais aussi qu’elle respirait mon
parfum,
qu’elle s’enivrait de mes odeurs
Elle me dit : « Tu sens bon. Même ton cul semble frais.
Je sens que tu es bien épilé, mais vraiment partout ? J’aimerais vérifier. »
Je lui souris, l’invitant à me déshabiller. Elle descendit lentement mon caleçon,
écartant délicatement mes fesses pour sortir la partie enfoncée dans ma raie,
puis le descendis le long de mes jambes et l’enleva.
Puis elle passa une main entre mes cuisses, capturant mes testicules,
et me poussa le dos en avant de son autre main. Je me mis à genoux buste en avant,
ainsi elle pouvait profiter de la vue de mon cul. Elle me fit écarter les jambes.
Mon anus était ainsi offert à sa vue, elle écarta mes fesses, et s’attarda à regarder
mon anus.
Elle me dit alors : « Oh, Je vois que tu es bien épilé même derrière.
Huum, Ton cul doit être si doux. J’aimerais te le détendre ».
A cette réflexion, je me cambrai encore plus et ondulai du bassin au rythme de ses
caresses
sur mes testicules, et elle écarta encore plus mes jambes.
J’étais ainsi le torse aplati contre le sol, le cul bien cambré et relevé,
et les jambes très écartées.
Je sentis alors le pouce de sa main qui me caressait les testicules remonter vers mon
anus,
le caresser. Sentant mes contractions, son pouce accompagnait les saccades de mon
anus.
Elle dit : « Oh oui, tu réagis si bien je sens bien ton anus réagir sous mes
caresses.
Tu me sens bien ? » Je lui répondis : « Oh oui, je te sens si bien, j
e commence à avoir un orgasme anal. » Elle me dit presque en criant :
« oh mon dieu, arrête de m’exciter. »
Son pouce commença à forcer mon anus et s’enfonça facilement dans mon cul.
Elle fit alors de rapides va et viens avec son pouce.
Forçant de plus en plus et appuyant sur ma prostate,
elle déclencha bientôt mes spasmes et son pouce se retrouva coincé dans mon anus,
au moment où j’évacuai un flot de sperme sur la serviette au sol, pendant que je
criai.
Elle aussi se mit à crier, elle ressortit brusquement son pouce de mon cul,
et vint poser son sexe mouillé sur mon cul. Je sentis un liquide couler entre mes
fesses.
Je sentis aussi les spasmes de son sexe contre mon anus, alors que moi-même,
je continuais à avoir mes propre spasmes. Ainsi nos deux jouissances se joignaient
à l’endroit de tous nos désirs.
Puis elle prit un mouchoir papier dans son sac
et m’essuya soigneusement le sexe qu’elle finit par lécher et embrasser.
Elle me nettoya aussi soigneusement le cul, car elle dit qu’elle me l’avait souillé.
Je lui dit que non c’était merveilleux,
elle m’avait honoré de sa jouissance dans mon propre puit de jouissance.
Nous nous détendîmes peu à peu. Elle m’avoua après qu’elle se sentait heureuse,
comblée dans ses désirs les plus fous, et me couvrit de baisers un peu partout.
Je commençais à être un peu fatigué,
aussi je m’allongeais sur le ventre comme pour faire une sieste. Une de mes jambes
était relevée,
si bien que mon cul était dirigé vers elle. Elle me couvrit, ses seins contre mon dos,
passant une main sous ma hanche elle commença à flatter doucement mon sexe reposé,
elle la remonta ensuite, et s’attarda sur mes tétons qu’elle se remit à durcir.
Sentant que mes tétons durcissaient, elle commença à m’embrasser dans le cou, le dos.
Son autre main parcourait mon dos,
puis elle ne tarda pas à revenir vers mes fesses qu’elle caressa et flatta.
Sentant mon cul frémir et se cabrer, elle me demanda si j’étais encore excité,
après la folle jouissance que nous avions connue. Je lui répondis que oui,
j’étais comme en transe, ses caresses me donnaient des frissons de plaisir,
que je sentais une vague de chaleur envahir mon anus, que j’avais à nouveau des
contractions anales.
Très excitée, elle voulut vérifier, releva mon cul et observa fascinée les
contractions de mon anus.
Elle se mit à cheval sur moi, releva encore mon cul, écarta mes fesses
et plongea sa bouche sur mon cul. Elle sentit ainsi les contractions avec ses lèvres,
et je sentis qu’elle remuait du cul au-dessus de ma tête.
Puis je sentis sa langue qui s’insinua dans mon anus,
elle me forçait et sa langue allait et venait dans mon cul,
ce qui accentua encore mes contractions.
Cela dura assez longtemps, jusqu’à ce que je crie et que jouisse,
lachant encore du sperme sur la serviette en dessous. Elle continua ainsi à me lécher
l’anus,
à me brouter le cul comme si elle goutait sa glace préférée.
Elle me dit ensuite que mon cul avait bon gout, qu’elle le lécherait bien ainsi toute
la nuit.
Je lui dit qu’elle aurait sans doute encore l’occasion de le gouter.
Elle m’embrassa alors goulument, en me flattant la croupe,
je sentis ainsi le gout de mon cul dans bouche.
Ensuite, nous nous détendîmes pour de bon.
Nous nous caressâmes encore un peu, doucement, et comme la nuit venait,
nous quittâmes les lieux.
Je la déposai devant chez elle, mais elle me fis un long baiser en me caressant les
tétons,
avant de me quitter.
Je passai ensuite une très bonne nuit. Et le lendemain, je me relaxais tranquillement.
Je reçu un texto vers midi.
« Bonjour mon très cher tendre amour, merci pour la journée inoubliable d’hier.
Je dois t’avouer que je pense beaucoup à toi. J’ai pensé à ton corps si tendre, si
doux,
si sensible que j’adore câliner, et qui frémit si bien sous mes caresses.
C’est peut-être choquant de te dire ça mais tant pis, je dois le faire.
Oui, mon bel amant, je dois t’avouer aussi que je pense très fort à ton cul,
à ton anus si doux et si réceptif, j’en ai joui ce matin encore en y pensant.
J’aimerai beaucoup te revoir et m’occuper à nouveau de ton cul. Bises partout.
Patricia » Curieusement ce sms déclencha une série bien connue de réactions chez moi.
Je commençai à me masturber, et je répondis au sms en même temps.
Elle me répondit « non, ne le fais pas tout seul, rejoins-moi »
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bravo. Quelle exitation
Super exitant..
je t'aurai fisté
tres beau, exitant; j'aimerais vivre la meme aventure.....quelle sensations...
quelle jouissance....
quelle jouissance....
Sujet peu abordé, très bien raconté, très beau récit
Excellent ces histoires ;) vraie ou pas ça semble plus que crédible ! Merci.
hummm tres excitant