Fantasmes noirs Première partie : Marie-Sophie, Boubacar, Giselle et moi
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2010 dans la catégorie Plus on est
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Fantasmes noirs Première partie : Marie-Sophie, Boubacar, Giselle et moi
Fantasmes noirs
Première partie : Marie-Sophie , Boubacar, Giselle et moi
En amour, comme dans tous les autres domaines de la vie, les préjugés sont tenaces. La fantasmagorie concernant les capacités sexuelles des mâles noirs et la chaleur torride de leurs femelles a encore la vie dure. Il s’agit de restes persistants du racisme ordinaire des siècles derniers. Le mâle noir est censé être monté comme un étalon et aussi viril qu’un taureau. Les femmes, blanches rêveraient toutes en secret d’être montées par un ou plusieurs de ces étalons et vivre des moments érotiques intenses. Les hommes – blancs, bien entendu – rêvent quant à eux de ces jeunes africaines aux croupes de pouliches et aux seins d’ébène, qu’ils voudraient monter et tirer comme des brutes.
Moi aussi, j’ai longtemps fantasmé sur le fessier relevé et bombé des jeunes africaines et sur leurs poitrines juvéniles. Je ne sais pas si dans mon cas, c’est de cela qu’il s’agit (je pense me situer bien au-delà de ce sentiment de supériorité raciale, d’autant que je fais partie d’un peuple qui a subi dans sa chair les avanies du racisme) mais j’ai réellement fantasmé sur certaines filles et femmes de couleur, que j’ai rencontrées dans ma vie. Il me semble que c’est avant tout la beauté des corps des femmes de certaines ethnies africaines et l’érotisme naturel qu’elles dégagent et assument sans faux-semblants, qui sont à l’origine de mon attrait pour la femme noire. Il s’agit peut-être là d’un vrai préjugé, sans aucune base concrète, mais j’ai toujours pensé que la femme africaine conçoit la relation sexuelle naturellement, en dehors des tabous instaurés par les religions monothéistes et la morale qu’elles ont inspirée.
Ma première rencontre amoureuse avec une peau noire et les fantasmes qui s’y attachaient, c’était il y a vingt cinq ans, alors que j’étais étudiant. J’avais comme maîtresse une enseignante en sociologie politique, une Bretonne de quarante ans, envoyée en coopération pour deux ans par une université française. C’était une superbe blonde, grande et plantureuse, complètement libérée sur le plan sexuel. C’était même une vraie libertine. Elle portait un nom à particule et disait, sans trop s’en vanter, faire partie de la vieille noblesse française, ruinée par la Révolution de 1789. Même son prénom fleurait bon l’origine aristocratique : Marie-Sophie.
Je fis sa connaissance dans son bureau à la Fac: c’était mon professeur de méthodologie; elle m’avait demandé de préparer un exposé sur je ne sais plus quel sujet et voulait que je le lui présente avant de le faire en public devant mes camarades. Je la trouvais assise derrière son bureau entrain de lire je ne sais trop quoi.
- Bonjour madame ! Je vous ai ramené le texte de mon exposé de demain !
- Montrez-moi, ça, jeune homme !
Je lui donnais la dizaine de pages manuscrites que j’avais rédigée et m’assis sur une des chaises se trouvant devant son bureau, attendant patiemment le verdict. Elle se plongea dans la lecture, en faisant de temps en temps une remarque sur mon écriture de chat. J’en profitais pour l’observer sans vergogne et admirer la belle plante qu’elle était. Le fait qu’elle avait la quarantaine et était donc une femme mûre me la rendait encore plus intéressante, à moi un blanc bec de vingt deux ans, plein de suffisance. Je la trouvais vraiment belle, avec sa blondeur, ses yeux bleus et ses rondeurs. De temps en temps, elle levait les yeux du manuscrit et me regardait avec intérêt. Il m’apparaissait qu’elle était surprise du contenu de mon exposé. D’évidence, elle ne s’attendait pas à trouver un exposé, bien écrit et bien argumenté.
C’était sa première année dans notre Fac et d’évidence, elle devait avoir quelques préjugés défavorables sur la capacité des étudiants algériens à rédiger correctement. Quand elle termina la lecture, elle me regarda longuement, comme si elle voulait savoir ce qui se cachait en moi et si je n’étais entrain de l’escroquer, en lui présentant un travail qui n’était pas de moi.
- C’est vraiment toi qui a rédigé l’exposé ? (elle était passé directement au tutoiement).
- Bien entendu !
- Et bien c’est parfait ! Si tu parles aussi bien que tu écris, je crois que l’exposé de demain sera un vrai succès. Je suis vraiment bluffée !
Elle me regardait avec insistance et un moment, je me sentis gêné. Je me demandais ce qui pouvait ainsi l’intéresser pour me regarder avec un air aussi scrutateur.
- Tu sais que tu es beau gosse !
- … ?
- Quel âge tu as ? Vingt deux, vingt trois ans, je suppose.
- Vingt deux ans !
- Lève-toi et viens près de moi pour que je te voie de plus près ! Tu me trouves belle ? Je te plais ?
- … ? (Je ne savais vraiment pas quoi répondre)
- Je t’intimide ? Approche-toi ! Montre-moi comment tu es monté !
Je m’approchai d’elle comme un automate, sans trop bien comprendre ce qui se passait. Bien sûr qu’à vingt deux ans, j’avais connu quelques filles et je trouvais même que j’avais assez de succès auprès de la gent féminine. J’avais fait l’amour avec quelques femmes mariées, en mal de jouissance. Mais je n’avais encore jamais pensé plaire à une belle blonde comme celle-là, mûre et expérimentée, d’un niveau bien supérieur au mien et…Européenne ! En arrivant à sa hauteur, derrière le bureau, elle tendit la main vers le devant de mon pantalon pour dégrafer la ceinture, défaire le bouton et ouvrir la braguette. Elle plongea la main sous le slip et se mit à tâter mon sexe qui jusque là était resté bien sage. Sous la caresse de Marie-Sophie, il se mit brusquement à frémir et à grossir jusqu’à devenir immense.
- Ouah ! Je n’aurais pas cru qu’il était aussi grand ! Il a déjà servi ?
- Bien-sûr qu’il a servi ! Et plusieurs fois, plutôt qu’une ! répondis-je, presque vexé par une telle question. Il te plait ? (Je me mis, inconsciemment à la tutoyer, comme elle le faisait avec moi depuis le début)
- Oui ! Tu vas me l’offrir tout à l’heure chez moi ! Tu veux bien venir passer la nuit chez moi ? Je suis en manque !
Et c’est aussi simplement que cela que commença mon aventure avec Marie-Sophie. Je la rejoignis cette nuit, chez elle, dans une cité réservée aux enseignants universitaires et dans un bâtiment dédié aux enseignants étrangers. Je la trouvais, en tenue d’intérieur – une robe de chambre en satin, très moulante – entrain de cuisiner un léger repas. Avec mon arrivée, elle arrêta le travail qu’elle faisait, éteignit le fourneau et me tendit la main pour m’amener directement dans sa chambre.
- Nous dînerons après ! fit-elle. Montre-moi d’abord ce que tu sais faire avec le monstre que tu as entre les jambes !
J’étais vraiment intimidé (surtout par sa façon directe – presque masculine – de s’y prendre) mais je ne le montrais pas. Je fis celui qui était plein d’assurance et rendis coup pour coup. Je crois que j’avais été à la hauteur et la fis jouir plusieurs fois cette nuit-là. Elle voulait être tirée en force et trouva en moi exactement ce qu’elle cherchait : un taureau qui fonce, sans trop réfléchir, devant un chiffon rouge. Et des chiffons rouges, la belle en avait beaucoup : une forte poitrine avec deux gros seins blancs, maintenus par un soutien gorge d’où s’échappaient deux magnifiques tétons violacés. Une taille qui avait été autrefois très fine, mais qui, avec l’âge, prenait un peu d’embonpoint; et cela ajoutait à l’intensité de sa sensualité. Des hanches rondes, larges et fortes d’une femme qui avait dû avoir au moins deux grossesses. Un fessier rond et proéminent qui n’inspirait rien d’autre qu’un assaut à la hussarde. Et…tout son paradis intime: un mont de vénus, bombé, brillant et parfaitement épilé: des grandes lèvres longues, dodues et sombres ; des petites lèvres cramoisies, toujours brillantes de mouille et palpitantes; et un trou à balles, sombre, rond, ouvert et palpitant. Et je ne parle pas de son énorme bouche, entourée de deux lèvres rouges, épaisses et fermes.
Je lui fis l’amour dans toutes les positions qu’elle exigeait (elle adorait poser ses chevilles sur mes épaules pour que je lui relève les jambes très haut, pendant que je la tire et jubilait quand elle voyait entrer et sortir mon dard de sa chatte) et dans tous ses trous, y compris son anus et sa bouche. Je n’avais pas fait l’amour depuis presque un mois et j’étais aussi affamé qu’elle. Je crois que cette nuit là, nous n’avions pas dormi plus de deux heures. Et au réveil, nous en voulions encore.
Nous sommes devenus presque inséparables pendant toute la durée de sa mission en Algérie (chaque année, elle venait passer six mois, pour dispenser son enseignement et repartait en France pour le reste de l’année). C’est avec Marie-Sophie que je sus ce qu’était une femme libertine (en dehors de ce m’avait appris auparavant mes lectures du Marquis de Sade et de quelques autres auteurs des dix huitième et dix neuvième siècles). Même si elle avait avec moi des orgasmes d’une très forte intensité, c’était une femme qui sautait sur toutes les occasions qui se présentaient à elle. Elle aimait faire des expériences. Et l’une de ces expériences, elle l’eut avec un malien répondant au prénom de Boubacar, qui venait d’arriver en Algérie pour y suivre des études en sociologie politique.
La première fois qu’elle le vit, c’était pendant un de ses cours. Il était arrivé une dizaine de jours après le début de l’année. C’était certainement à cause, ou grâce, à ce retard qui l’obligea à venir s’expliquer auprès de l’enseignante, que Marie-Sophie le remarqua. C’était un véritable athlète: grand et tout en muscles. Elle le trouva très beau et, dès le départ, elle banda pour lui. A sa manière directe, elle le lui fit savoir et le fit venir chez elle pour l’essayer, comme elle aurait essayé un vélo ou une auto. Elle m’avait averti de ne pas venir cette nuit là, pour cause de nouvel amant (Elle ne m’avait jamais caché ses aventures avec d’autres hommes. Et même si ma nature jalouse se manifestait, je savais qu’il n’y avait rien à faire, pour l’empêcher de butiner ailleurs.)
Le lendemain, elle me raconta ce qui s’était passé entre eux. Comme presque toutes les femmes blanches, me dit-elle, elle fantasmait sur la taille du sexe des noirs africains. Elle pensait que tous étaient montés comme des étalons et pouvaient tirer une – ou même plusieurs – femmes pendant des heures. Elle pensait que cette nuit là elle allait jouir comme jamais elle n’avait joui, jusque là. Pas même avec moi !
- Et bien Boubacar est monté comme un âne ! Quand il bande, je crois que son piston atteint les quarante centimètres ! J’étais heureuse de me faire tirer par ce monstre. Et de fait il m’a vraiment défoncé la chatte et le cul. Même maintenant, j’ai encore mal, surtout à l’anus. J’ai adoré l’œuvre de destruction de son engin. Mais malheureusement, Boubacar, n’est pas comme toi, un coureur de fond. Lui c’est un sprinter : il démarre très vite et finit tout aussi vite ! Il jouissait au moment où moi j’atteignais seulement le stade du plaisir d’une belle pénétration. Je n’ai pas pu avoir de vrais orgasmes avec lui. Je n’ai pas déchargé une seule fois. C’est un peu frustrant ! Je ne garde de bien que sa force de pénétration et la puissance de ses coups de reins. Mais rien que pour cela, je le garde. Ma jouissance et mes orgasmes, c’est toi qui me les donneras, comme d’habitude. Tu veux me partager avec lui ?
Je ne répondis pas. Elle prit mon silence pour un acquiescement. Et effectivement, nous nous partageâmes Marie-Sophie – moi à contre cœur, parce que je n’étais pas partageur, lui plus facilement, parce qu’il était entrain de vivre un des ses fantasmes sexuel d’africain: tirer une européenne ! Nous nous rencontrions chez elle et nous lui faisions l’amour l’un après l’autre. C’était toujours lui qui commençait, à l’image d’un cheval qu’on amenait à la jument pour la chauffer, avant de la faire monter par un étalon pour l’ensemencer.
Il avait vraiment un sexe monstrueux et quand il défonçait la chatte ou le cul de Marie-Sophie, elle hurlait de douleur et de plaisir. Il y allait en force, sans état d’âme et sans se soucier de la douleur qu’il provoquait; je crois même qu’il en éprouvait encore plus de plaisir. Il était incapable de se retenir et éjaculait très vite, laissant sa maîtresse un peu frustrée. C’était moi qui étais chargé de finir le travail et de l’emmener vers les sommets de l’orgasme. Boubacar nous regardait et je le voyais parfois qui rebandait et se masturbait devant l’érotisme torride du spectacle qui s’offrait à ses yeux. Marie-Sophie le regardait, avec des yeux brillants, qui branlait en force son énorme engin, pendant que moi je pilonnais ou a chatte ou son cul. A ces moments, elle jouissait très fort, en hurlant qu’elle adorait se faire mettre comme une chienne par les gros zobs de ses deux hommes.
Elle n’était jamais rassasiée. Elle en voulait toujours plus. Et même à deux, nous arrivions difficilement à satisfaire ses besoins tyranniques. Parfois, son mari, Pierre-Edouard (un autre nom à particule !) venait passer quelques jours avec sa femme et se mêlait à nos jeux. Il était évidemment au courant des jeux érotiques de son épouse et les acceptait de bon cœur. Comparé à Boubacar et à moi, il avait un sexe de taille moyenne, qui nageait littéralement dans le vagin trop large de Marie-Sophie. Il en tirait tout de même du plaisir, surtout quand il passait après nous deux et que sa femme était apaisée (pour un moment) et avait relâché tous ses muscles. Il se mettait entre ses cuisses et introduisait son manche dans la chatte béante et complètement inondée de sa femme. Il faisait une série d’allers-retours, qui réveillait le désir chez Marie-Sophie et éjaculait rapidement en elle.
Après cela, elle me demandait à moi de venir la terminer pour qu’elle ait un nouvel orgasme. Je m’exécutais et, le plus souvent, je lui faisais lever ses jambes très haut pour pouvoir l’enculer. Je pilonnais son cul en force, pendant qu’elle se masturbait avec quatre doigts, qu’elle introduisait profondément dans sa chatte. Sa jouissance, sous cette double pénétration, était toujours très forte. Pendant ce temps, Pierre-Edouard suçait le sexe de Boubacar pour le réveiller et se faire sodomiser par le monstre. Je m’aperçus bien vite que Boubacar prenait plus de plaisir dans le cul du bonhomme, que dans celui de sa femme. Marie-Sophie aussi s’en était aperçu, mais ne s’en offusqua pas. Elle savait que son mari était bisexuel et qu’il adorait les hommes bien montés. Ils avaient une fois pour toutes décidés de vivre leurs passions sans restriction.
Quand tous les trois, Marie-Sophie, Boubacar et moi, étions complètement lessivés, nous nous reposions sur le grand lit et parlions de tout et n’importe quoi. Souvent elle abordait le sujet des africains (hommes et femmes) et de l’amour. Elle était curieuse de savoir si tous les hommes noirs étaient montés à son image. Sa réponse était bien entendu nuancée : certains l’était, d’autres non. Moi je m’intéressais plus aux filles noires, en disant que j’aimerais bien avoir une expérience avec l’une d’entre elle ; jeune et belle de préférence. Et puis un jour, Boubacar me proposa de m’en présenter une. Une Nigérienne de vingt trois ans, qui vivait en cité universitaire. Bien entendu, je sautai sur l’occasion, après avoir jeté un œil interrogateur à Marie-Sophie, pour avoir son autorisation.
Deux jours plus tard, vers dix-huit heures, il arriva accompagné d’une jeune femme africaine, d’environ vingt deux ans, de taille moyenne et toute en rondeurs. Elle avait une coupe rasta, encore très à la mode en ce temps là (pour exprimer une vraie fierté d’être africaine) et portait un tee-shirt en coton noir très serré, qui mettait en valeur une superbe poitrine avec une paire de seins pointant avec arrogance, un jean en toile délavée, très serré sur des hanches larges et un postérieur proéminent, si caractéristique des femmes africaines. Elle avait aussi le visage rond et pointant en avant des africaines. Mais ce qui frappait au premier abord chez elle, c’était ses immenses yeux brillants, dont les pupilles noires semblaient bizarrement virer, de temps en temps, au rouge. Ils donnaient l’impression de changer de couleur au gré des émotions qu’elle éprouvait. Son nez épaté, sa grande bouche et ses grosses lèvres complétaient le tableau d’une jeune africaine, vraiment attirante.
Sa peau d’ébène, sur ce que je pouvais en voir en ce moment – son long cou et ses bras – semblait lisse, douce et ferme. Elle ne semblait ni intimidée, ni gênée par la situation. Au contraire, elle paraissait contente d’être là et avait un sourire radieux sur les lèvres, qui laissait apparaître deux rangées de petites dents blanches et pointues : des dents de félin, pensai-je.
- Je vous présente Giselle, fit Boubacar qui, s’adressant à moi, poursuivit : je lui ai parlé de toi et de ton envie de faire la connaissance d’une africaine. En voilà une qui n’est pas pimbêche et qui cherche aussi à connaître autre chose que ce qu’elle a vécu jusqu’ici. Elle est là, depuis maintenant deux ans, pour poursuivre des études supérieures, en attendant de trouver l’occasion d’émigrer en Europe. Elle pense rejoindre la France où elle croit pouvoir faire sa vie.
J’étais un peu étonné par le prénom de la jeune femme. Je pensais naïvement que les africaines des pays du Sahel (Mali, Niger, Tchad, …) avaient toutes des prénoms à consonance musulmane (Aminata, Aïchata, Fatimata, …) Je venais de m’apercevoir qu’il existait aussi des africaines chrétiennes !
Nous nous retrouvâmes tous les quatre dans le salon. Marie-Sophie, nous servit un apéritif - un vin cuit sucré - que nous bûmes en discutant de choses et d’autres. Giselle nous apprit ainsi qu’elle venait de Niamey, tout de suite après avoir décroché son baccalauréat. Elle était douée et après son bac, elle voulait poursuivre des études supérieures; elle put ainsi décrocher une bourse de longue durée pour poursuivre des études dans une université en Algérie, pays avec lequel le Niger entretenait de bonnes relations.
Mais, disait-elle, son espoir était d’arriver à trouver le moyen d’aller s’installer en Europe. Ni son pays, ni bien entendu le mien, n’avaient assez d’attrait pour elle, pour qu’elle puisse y vivre et s’épanouir. Faute de mieux pour le moment, elle entreprenait des études supérieures en sciences commerciales dans un institut qui avait une bonne renommée à l’international et comptait, le diplôme en poche, décrocher une inscription dans une université française pour une poste graduation.
- Je ne sais pas comment vous allez prendre ce que je vais vous avouer, dit-elle à Marie-Sophie, de sa voix chaude et avec son accent qui avalait les « r », mais je compte sur vous pour m’aider plus tard à m’inscrire pour un magistère en France. Vous devez bien connaître le circuit de l’enseignement supérieur !
- Nous verrons cela, dans deux ans, une fois que tu auras décroché ton diplôme de graduation, répondit Marie-Sophie, sans trop s’engager.
Et sans plus attendre, elle attrapa la main de Boubacar et le força à la suivre dans sa chambre. Giselle et moi restâmes seuls; nous étions un peu gênés.
- Ils vont faire l’amour ? questionna-t-elle. Boubacar m’a dit qu’elle était sa maîtresse ! C’est vrai ?
- Oui, c’est vrai ! Enfin, à demi-vrai ! Parce qu’avec Marie-Sophie, les choses ne sont jamais très simples ! Tu auras tout le temps pour t’en rendre compte ! Boubacar t’a-t-il aussi dit que j’ai envie de connaître une black ? Que je fantasme souvent sur le corps des femmes africaines ?
- Comme ces salauds de racistes ! Ceux qui veulent se payer une négresse ! Trop peu pour moi !
- Non absolument pas ! Il ne s’agit pas de cela. J’ai toujours trouvé que le noir était une belle couleur; une couleur très sensuelle. Il n’y a absolument aucune trace de racisme là dedans. Tu as bien vu que Boubacar et moi sommes amis. J’ai toujours trouvé le corps de jeunes africaines superbes. J’ai souvent rêvé d’en prendre un entre mes bras, mais jusque là je n’en ai pas eu l’opportunité. Chaque fois que je vois une belle africaine, je sens quelque chose en moi qui s’émeut.
- Tu veux dire que tu bandes pour elle? dit-elle avec un sourire moqueur. Si c’est parce que c’est une belle femme que tu bandes, il n’y a pas de problèmes; mais si c’est parce qu’elle est noire, la réponse est non : je ne veux pas m’offrir à toi !
- Je bande pour une belle femme et qui plus est, est africaine ! Tu me plais parce que tu es belle et aussi parce que tu es sensuelle. Tu es sensuelle aussi, parce que tu es noire, avec un beau corps de noire; qui est différent d’un beau corps de blanche ou de rousse ou même de brune. La femme africaine a quelque chose de différent des autres femmes, y compris des blacks des autres contrées du monde. Ce ne sont peut-être que des préjugés, mais ils sont ancrés en moi. Je bande pour toi, une black, comme j’aurai bandé pour une blonde, une brune ou une rouquine si j’avais été attiré par ces caractéristiques là. Boubacar bande pour Marie-Sophie parce qu’elle est blonde; il n’est pas raciste pour autant !
- Alors montre-moi à quel point je te plais !
Elle se tourna vers moi et approcha son visage du mien, bouche tendue vers la mienne pour un baiser. Un instant surpris que les choses aillent aussi vite, je saisi sa tête entre mes main et collai ma bouche sur ses grosses lèvres et entrepris de lui appliquer un baiser d’amant assoiffé. Non seulement elle se laissa faire, mais elle me le rendit au quintuple. Elle savait vraiment embrasser, en jouant de ses lèvres et de sa langue et en produisant des tonnes de salive. Elle avait une bouche chaude et douce; sa salive, qu’elle produisait en quantité, était elle-même chaude avec un très léger et très agréable goût sucré, très différent de ce que je connaissais. J’avalais le liquide avec tant de délectation, que Giselle en fut étonnée. Elle arrêta le baiser un instant pour me regarder et me demander :
- Tu aimes vraiment le goût de ma salive ? Je n’ai pas encore eu d’amant qui se soit comporté comme cela. Tous ceux qui m’ont embrassée, ont bien sûr bu un peu de salive, mais ça a toujours été accidentel ; ils n’allaient jamais, au contraire de toi, volontairement la chercher au fond de ma bouche !
Elle recommença à me tendre ses immenses lèvres et nous reprîmes notre baiser à l’endroit même où nous l’avions laissé. Je commençais à bander sérieusement. La rencontre de ma langue avec la sienne - longue, ferme et aussi agile qu’une anguille - créait à chaque fois une espèce de décharge électrique qui irradiait directement vers mon bas ventre et augmentait considérablement le volume de mon manche. Je sentais le corps de Giselle qui se collait au mien et qui lui transmettait sa chaleur. Sa poitrine, qui était nue sous son tee-shirt, avec des seins en forme d’obus de canon, venait se frotter à la mienne et mettre tout mon corps en émoi. J’avais envie de la tirer la, tout de suite, sans attendre qu’elle soit dans le même état de chaleur que moi.
J’arrêtai le baiser et m’éloignai un peu d’elle pour pouvoir lui ôter son tee-shirt. Elle leva les bras pour me faciliter la tâche et se retrouva le torse complètement dénudé (effectivement elle ne portait pas de soutien-gorge). Même assise, elle était vraiment magnifique : sa taille fine, son ventre plat malgré la station assise, sa poitrine ferme avec ses seins tendus et gonflés avec des tétons d’un noir plus foncé que le reste, les épaules larges et rondes, le cou long, brillant et souple, donnaient l’impression que j’avais devant moi une de ces magnifiques statues en bois d’ébène, œuvres d’artisans inspirés par la nature ou par les Dieux, que l’on trouve dans les marchés des grandes villes africaines. Et cette peau ! Noire, lisse et brillante, d’une douceur infinie !
Je tendis les bras pour l’attirer contre moi et l’embrasser sur le creux d’une épaule, tout en lui caressant le dos. Elle se blottit complètement entre mes bras, en gémissant sous l’effet de mes baisers sur ses épaules et sur le cou. Sa peau avait une odeur très particulière, que je n’avais encore jamais senti sur une autre femme : une odeur de musc très agréable, qu’aucun parfum ne venait altérer. On m’avait souvent parlé de l’odeur forte des femmes africaines; une odeur qui serait, paraît-il, sécrétée par les glandes sudoripares en même temps que la sueur. L’odeur de la peau de Giselle n’avait rien à voir avec cela : elle était entêtante et aphrodisiaque. Elle ajoutait une forte dose d’intensité à mon désir.
Je multipliais les caresses et les baisers brûlant sur tout le haut de son corps ; en insistant particulièrement sur son cou, à la naissance de ses épaules (endroit qu’elle avait très sensible) et sur ses seins d’ébène. Ils étaient effectivement aussi noirs, brillants et fermes que ce bois précieux. Et si sensibles ! Sophie aimait que je lui caresse les seins, en douceur en insistant sur ses tétons. Jusque là, elle était restée silencieuse et presque immobile. Mais sous mes caresses insistantes sur sa poitrine, elle commença à gigoter et à pousser de tous petits gémissements, presque inaudibles. Et quand je me mis à l’embrasser sur les seins, à la téter et à lui mordiller les tétons, elle se mit à se tortiller plus fort et à transformer ses gémissements en cris de plaisirs.
J’étais au comble de l’excitation. J’avais l’impression que mon sexe allait exploser. Je fis lever Giselle pour lui faire enlever son jean. Elle se mit debout devant moi et n’attendit pas que je lui enlève son pantalon ; elle le fit elle-même, avec des gestes rapides et élégants. Elle tortilla ses hanches pour faire glisser le pantalon sur ses hanches, ses cuisses, ses genoux, ses jambes et sur ses chevilles. Elle leva un pied pour faire sortir une jambe du pantalon, puis l’autre pour la deuxième. Pendant tout ce temps je regardais avec des yeux exorbités, toute la beauté qui s’offrait, par parties, à mon regard. Elle était vraiment superbe; le bas du corps était à l’image du haut : noir, rond, brillant et ferme. Je ne voyais pas encore son entrecuisse, cachée sous le tissu d’une petite culotte blanche immaculée. Le contraste des deux couleurs – peau et culotte – était saisissant et surtout d’un érotisme torride : le tissu du cache sexe, n’était pas totalement hermétique; il laissait transparaître ce qui était caché en dessous: un superbe mont de vénus bombé et des grades lèvres longues et dodues.
Je n’y tenais plus ! J’envoyai ma main droite pour aller explorer l’intérieur de ses genoux et remonter insensiblement vers le triangle magique. La pression de ma main à l’intérieur de ses cuisses devenait de plus en plus forte, pour l’obliger à les ouvrir au maximum et lui permettre d’atteindre le bas de la culotte et aller caresser la chatte sous le tissu. Giselle se laissait faire, mais ne disait toujours rien. Je la sentais très attentive et tendue vers le moment où ma main entrerait en contact avec le fond de sa culotte. Quand enfin il arriva, je la sentis se cabrer et tendre ses hanches vers l’avant comme pour me demander d’intensifier mes caresses. Ce que je fis presque avec violence : je frottai un moment en force et me rendis compte que le tissu de la culotte commençait à devenir humide. Giselle mouillait !
J’enlevai ma main d’entre ses cuisses et en passant deux doigts sous l’élastique de la culotte, je la lui enlevai brutalement. Je découvris avec bonheur un mont de vénus superbement bombé, épilé, noir et brillant. Et en en dessous, une chatte de couleur encore plus sombre, avec deux grandes lèvres longues, dodues et brillantes de mouille. Je plongeai deux doigts entres les grandes lèvres pour les écarter et pénétrer à l’intérieur. J’ai souvent, malgré ma relative jeunesse, eu à tâter, palper et caresser des chattes de filles et de femmes; j’ai toujours adoré la sensation de douceur, de chaleur et d’humidité que je ressentais à chaque fois; mais jamais encore, mes doigts fourrageant entre les grandes lèvres d’une chatte, n’avait rencontré tant d’élasticité et tant de fermeté et ne m’avait autant excité, qu’avec Giselle.
Sa chatte était certainement la plus ferme et la plus douce de toutes celles que j’avais eu à caresser. Mes doigts pénétrèrent entre les grandes lèvres et découvrirent les petites lèvres dont la couleur, rouge vif, contrastait avec la couleur noire dominante: elles donnaient au spectacle que j’avais sous les yeux un caractère érotique vraiment insoutenable pour mes nerfs. Je continuais à bander comme un âne et mon envie de la tirer à la hussarde était irrépressible. Je la poussai à s’assoir sur le divan et à écarter ses jambes pour avoir accès à sa belle chatte. Je plongeai ma tête entre ses cuisses pour aller embrasser ses grandes lèvres, les écarter et introduire ma langue à la recherche de ses superbes petites lèvres, de l’entrée du vagin et du clitoris.
Elle se laissa faire en continuant à pousser ses petits cris de plaisir et en me tenant la tête pour qu’elle reste dans l’endroit. L’odeur de musc, qui m’avait tant plu en embrassant ses seins et sa poitrine, devenait encore plus forte entre ses cuisses et sur ca chatte. Elle était plus insistante et plus enivrante et, certainement, plus aphrodisiaque. Je n’arrêtais pas pour autant mes baisers, mes coups de langue et mes suçons sur sa chatte. J’introduisais ma langue à l’intérieur de son vagin et léchai les parois pour récolter, et boire, toute la cyprine qu’elle produisait. Elle semblait adorer l’effet de ma langue et de mes lèvres sur sa chatte. Elle bougeait de plus en plus fortement et rapidement ses hanches, et serrait de plus en plus fort ma nuque, pour m’obliger à accentuer l’allure de ma tête sur sa chatte et de ma langue à l’intérieur de son vagin.
Je me dis en moi-même que ce serait merveilleux si j’arrivais à la faire jouir rien qu’avec ma bouche. Ce serait un bon point pour moi et pour mon ego de mâle. J’accélérai donc les mouvements de va-et-vient de ma tête entre ses cuisses, que maintenant elle ouvrait sans retenue ; j’embrassais, suçais, léchais et buvais tout le jus qu’elle sécrétait, tout en essayant d’introduire ma langue au plus profond de son vagin. Elle ne lâchait pas ma tête et appliquait sur elle de fortes pressions comme si elle voulait la faire pénétrer à l’intérieur de sa chatte. D’un autre côté elle refermait ses cuisses pour y emprisonner mon crâne. Je sentais que je commençais à manquer d’air. Mais en même temps je sentais Giselle se cabrer et rester un long moment les hanches relevées au maximum, comme si elle voyait venir l’orgasme et qu’elle l’attendait avec impatience.
Et effectivement l’orgasme arriva, accompagné d’un long râle de plaisir et de spasmes. Elle déchargea une grosse quantité de jus qui avait un goût acide et salé et la même odeur entêtante de musc. J’avalais tout ce que je pouvais, mais je laissais s’en échapper beaucoup, qui venait s’étaler sur la raie de ses fesses et sur le tissu du sofa. A bout de force, elle s’affaissa et relâcha tous ses muscles et essaya de reprendre lentement son souffle. Elle ne relâcha ma tête qu’au bout d’un long moment, comme si elle voulait faire durer cette sensation de plaisir intense qu’elle lui avait procurée. Je relevai la tête pour regarder son visage et essayer de lire dans ses yeux et sur son sourire si elle avait vraiment aimé le cunnilingus que je venais de lui appliquer.
- Tu es vraiment un amant différent. Mamadou, le secrétaire d’ambassade de mon pays qui est mon petit ami officiel (mon fiancé quoi !) depuis mon arrivée ici, m’a souvent embrassé la chatte, mais n’a jamais essayé de me faire jouir avec sa bouche. C’était très bon !
- Rien que cela ? Très bon !
- Oui c’était délicieux ! J’en redemande ! Viens maintenant voir comme Giselle sait faire l’amour ! Comment c’est un super coup ! Viens, montre-moi ta trique. J’espère qu’elle est aussi grosse qu’elle parait sous ton pantalon ! Ouah ! Elle est énorme ! Elle est aussi grosse que celle de Mamadou ! En plus belle ! Celle de mon ami est pleine de veines ; il y a des moments où elle me fait peur. La tienne, j’ai envie de la prendre dans ma main et de la caresser. J’ai même envie de l’embrasser ! Tu veux que je te montre comment moi aussi je sais sucer les belles bites ?
- Non, ce sera pour plus tard ! Pour l’instant je veux encore te faire grimper aux rideaux ! Comme cela tu sauras que je ne cherche pas seulement à assouvir mes envies. Ouvre-toi et laisse-moi entrer entre tes cuisses !
Elle écarta ses cuisses et me laissa me positionner entre elles. J’avais vraiment envie de la tirer en force : les grandes lèvres écartées qui laissaient apparaître les petites lèvres rouge vif encore pleines de mouille et l’entrée palpitante du vagin avaient encore accru mon excitation. Mon sexe vibrait et palpitait d’impatience. Il voulait faire son nid dans cette chatte qui l’appelait et qui semblait, elle aussi avoir hâte d’être remplie par la belle bête qui attendait la permission d’enter. Il voulait lui montrer sa force.
Mais ce fut avec douceur que je décidai de la pénétrer. Inconsciemment, je ne voulais pas que Giselle me prenne pour une brute; un de ces blancs qui veut seulement se faire une négresse. Je voulais qu’elle sente qu’il y avait en moi autre chose que du désir animal; de la tendresse ! Je la pénétrai en douceur, poussant lentement mon sexe jusqu’au fond de son vagin. Même si j’étais un peu frustré de ne pas y aller à la hussarde, comme j’avais vraiment envie de le faire, je ressentais la douceur, la chaleur, la moiteur et l’élasticité du vagin de ma belle et un énorme bien être m’envahissait. Je ressortais totalement du vagin, laissait un moment mon sexe à l’entrée du tunnel et ne repartait vers le fond que quand je voyais les bras de Giselle tirer fortement sur ma taille pour m’obliger à repartir au fond.
Je regardais ses yeux, ses magnifiques yeux noirs, qui viraient au rouge; le sourire qu’elle avait sur les lèvres était un sourire de bonheur ! Je recommençais un nombre incalculable de fois à faire des allers-retours lents et doux entre l’entrée et le fond du vagin. Je voulais qu’elle ressente du plaisir, mais pas qu’elle jouisse; pas encore. Je voulais retarder au maximum, la jouissance, afin qu’elle atteigne son summum d’intensité, au moment où je forcerai l’allure. J’accompagnais mes va-et-vient de baisers chauds et humides sur sa bouche, son cou et ses magnifiques seins dressés vers le ciel. Je la voyais entrer en elle-même pour mieux apprécier les moments de plaisir intense qu’elle prenait. Elle avait fermé les yeux et ouvert la bouche pour mieux respirer. Ses grosses narines palpitaient et de sa bouche sortait des flots de salive, que de temps en temps elle essayait de remettre à l’intérieur, sans totalement y parvenir.
J’adorais ces instants où ma belle était totalement dans son plaisir; où plus rien n’avait d’importance que cette sensation de plaisir intense qui accompagnait la pénétration dans ses entrailles par ce sexe doux et fort. Elle accompagnait mes coups de reins par des mouvements identiques de ses hanches qui montaient et descendaient au même rythme que mes coups de boutoirs. A un moment, je sentis qu’elle voulait que j’accélère le mouvement et que j’y aille plus franchement. Elle ouvrit les yeux, me regarda et me fit un magnifique sourire :
- Plus fort ! Prend-moi plus fort ! Fait-moi jouir maintenant ! Je n’en peux plus d’attendre ! Baise-moi fort ! Plus vite ! Plus vite ! Plus viiite !
Je ne me fis pas prier pour accélérer le rythme de mes coups de boutoir et accroître progressivement leur intensité. Je la voyais repartir en elle-même, fermer les yeux, sourire aux anges et commencer à crier de plaisir. Jusque là elle était silencieuse; c’était à peine si elle gémissait tout doucement à chacune de mes pénétrations. Maintenant, elle criait de plus en plus fort son plaisir. Elle ne pouvait plus retenir sa salive qui dégoulinait de ses lèvres ouvertes, ni le mouvement saccadé de sa tête qui partait dans tous les sens. Et puis, tout s’arrêta ; elle tendit tous ses muscles, souleva très haut ses hanches, resta ainsi quelques secondes et lança un énorme cri de jouissance. Elle déchargea longtemps, en continuant de tirer sur ma taille pour que je n’arrête pas de pilonner sa chatte.
Il n’était pas question pour moi d’arrêter de la pilonner. Bien au contraire, je sentais la jouissance arriver du fond de mes entrailles et s’ouvrir le chemin pour éclater dans celles de ma mie. J’éjaculai une longue giclée de sperme brûlant dans le fond du vagin tout en continuant les furieux allers-retours de mon sexe entre l’intérieur et l’extérieur de la chatte. La deuxième giclée et les autres je voulus qu’elles se déversent sur le ventre et la poitrine de ma mie. Je voulais qu’elle soit remplie de mon sperme et qu’elle l’étale avec ses doigts sur tout son corps. Sans le lui demander, j’espérais qu’elle allait lécher ses doigts et avaler au moins un peu de mon foutre. Cela aurait été pour moi la preuve qu’elle aimait faire l’amour avec moi et que rien ne pouvait l’inhiber me concernant. Et elle le fit ! En me regardant avec un sourire coquin, elle ramassa avec sa main le sperme qui était sur son ventre et porta ses doigts à sa bouche pour les lécher et avaler goulument le foutre.
- J’aime son goût ! La prochaine fois tu me rempliras directement la bouche ! Tu es un merveilleux amant ! Si tu me veux me partager avec mon petit ami Mamadou, moi j’en serais heureuse.
- Tu ne peux pas quitter ton Mamadou pour rester avec moi ?
- Non c’est impossible pour au moins deux raisons : la première est que je veux vraiment aller vivre en Europe et Mamadou, de par sa fonction peut m’y aider (ou me bloquer, s’il est mécontent de moi). La deuxième, c’est Marie-Sophie : tu es son amant attitré. C’est déjà suffisant comme raisons ! Restons amants et prenons du plaisir ensemble; jusqu’à ce que la vie nous sépare. Nous n’aurons rien à regretter.
Et effectivement mon histoire avec Giselle dura encore deux ans, parallèlement à celle que je vivais avec Marie-Sophie et celle que cette dernière vivait avec Boubacar. Avec Giselle nos instants d’amour étaient torrides et nous transportaient dans le monde merveilleux de l’érotisme et du plaisir. Elle était ouverte à toutes les expériences, même si, au premier abord, elles lui paraissaient immorales. Elle avait même fini par faire l’amour avec Marie-Sophie et apprécier la chose. Tous les quatre, nous étions véritablement heureux, parce que nous vivions nos passions sans aucune contrainte.
Ce fut Boubacar qui, le premier quitta le groupe pour aller poursuivre des études en France. Pierre Edouard, l’époux de Marie-Sophie, qui était tombé amoureux de son immense gourdin, l’aida à s’inscrire dans l’université dans laquelle il enseignait et l’accueillit même chez lui. Marie-Sofie les rejoignait au moment où elle retournait chez elle, à l’issue de sa période annuelle en Algérie.
Giselle se maria avec son petit ami Mamadou et resta encore un temps en Algérie avant qu’elle n’aille en Espagne, suivre son mari, qui entre temps avait bénéficié d’une promotion en tant que premier secrétaire à l’ambassade du Niger à Madrid. Moi je poursuivis mes études pendant encore deux ans, avant de passer mon service national. Pendant ces deux années sans Giselle et sans Boubacar, j’avais gardé des relations intimes avec Marie-Sophie. Relations toujours pimentées par des expériences extrêmes que tentait ma partenaire et qui m’y entraînait.
Ce n’est que plus de vingt ans après, à l’âge de quarante-cinq ans que je revécus une aventure amoureuse toute aussi passionnante avec une autre black, algérienne celle-là, qui se poursuit encore aujourd’hui. Mais c’est là une autre histoire que je vous conterai une prochaine fois.
Première partie : Marie-Sophie , Boubacar, Giselle et moi
En amour, comme dans tous les autres domaines de la vie, les préjugés sont tenaces. La fantasmagorie concernant les capacités sexuelles des mâles noirs et la chaleur torride de leurs femelles a encore la vie dure. Il s’agit de restes persistants du racisme ordinaire des siècles derniers. Le mâle noir est censé être monté comme un étalon et aussi viril qu’un taureau. Les femmes, blanches rêveraient toutes en secret d’être montées par un ou plusieurs de ces étalons et vivre des moments érotiques intenses. Les hommes – blancs, bien entendu – rêvent quant à eux de ces jeunes africaines aux croupes de pouliches et aux seins d’ébène, qu’ils voudraient monter et tirer comme des brutes.
Moi aussi, j’ai longtemps fantasmé sur le fessier relevé et bombé des jeunes africaines et sur leurs poitrines juvéniles. Je ne sais pas si dans mon cas, c’est de cela qu’il s’agit (je pense me situer bien au-delà de ce sentiment de supériorité raciale, d’autant que je fais partie d’un peuple qui a subi dans sa chair les avanies du racisme) mais j’ai réellement fantasmé sur certaines filles et femmes de couleur, que j’ai rencontrées dans ma vie. Il me semble que c’est avant tout la beauté des corps des femmes de certaines ethnies africaines et l’érotisme naturel qu’elles dégagent et assument sans faux-semblants, qui sont à l’origine de mon attrait pour la femme noire. Il s’agit peut-être là d’un vrai préjugé, sans aucune base concrète, mais j’ai toujours pensé que la femme africaine conçoit la relation sexuelle naturellement, en dehors des tabous instaurés par les religions monothéistes et la morale qu’elles ont inspirée.
Ma première rencontre amoureuse avec une peau noire et les fantasmes qui s’y attachaient, c’était il y a vingt cinq ans, alors que j’étais étudiant. J’avais comme maîtresse une enseignante en sociologie politique, une Bretonne de quarante ans, envoyée en coopération pour deux ans par une université française. C’était une superbe blonde, grande et plantureuse, complètement libérée sur le plan sexuel. C’était même une vraie libertine. Elle portait un nom à particule et disait, sans trop s’en vanter, faire partie de la vieille noblesse française, ruinée par la Révolution de 1789. Même son prénom fleurait bon l’origine aristocratique : Marie-Sophie.
Je fis sa connaissance dans son bureau à la Fac: c’était mon professeur de méthodologie; elle m’avait demandé de préparer un exposé sur je ne sais plus quel sujet et voulait que je le lui présente avant de le faire en public devant mes camarades. Je la trouvais assise derrière son bureau entrain de lire je ne sais trop quoi.
- Bonjour madame ! Je vous ai ramené le texte de mon exposé de demain !
- Montrez-moi, ça, jeune homme !
Je lui donnais la dizaine de pages manuscrites que j’avais rédigée et m’assis sur une des chaises se trouvant devant son bureau, attendant patiemment le verdict. Elle se plongea dans la lecture, en faisant de temps en temps une remarque sur mon écriture de chat. J’en profitais pour l’observer sans vergogne et admirer la belle plante qu’elle était. Le fait qu’elle avait la quarantaine et était donc une femme mûre me la rendait encore plus intéressante, à moi un blanc bec de vingt deux ans, plein de suffisance. Je la trouvais vraiment belle, avec sa blondeur, ses yeux bleus et ses rondeurs. De temps en temps, elle levait les yeux du manuscrit et me regardait avec intérêt. Il m’apparaissait qu’elle était surprise du contenu de mon exposé. D’évidence, elle ne s’attendait pas à trouver un exposé, bien écrit et bien argumenté.
C’était sa première année dans notre Fac et d’évidence, elle devait avoir quelques préjugés défavorables sur la capacité des étudiants algériens à rédiger correctement. Quand elle termina la lecture, elle me regarda longuement, comme si elle voulait savoir ce qui se cachait en moi et si je n’étais entrain de l’escroquer, en lui présentant un travail qui n’était pas de moi.
- C’est vraiment toi qui a rédigé l’exposé ? (elle était passé directement au tutoiement).
- Bien entendu !
- Et bien c’est parfait ! Si tu parles aussi bien que tu écris, je crois que l’exposé de demain sera un vrai succès. Je suis vraiment bluffée !
Elle me regardait avec insistance et un moment, je me sentis gêné. Je me demandais ce qui pouvait ainsi l’intéresser pour me regarder avec un air aussi scrutateur.
- Tu sais que tu es beau gosse !
- … ?
- Quel âge tu as ? Vingt deux, vingt trois ans, je suppose.
- Vingt deux ans !
- Lève-toi et viens près de moi pour que je te voie de plus près ! Tu me trouves belle ? Je te plais ?
- … ? (Je ne savais vraiment pas quoi répondre)
- Je t’intimide ? Approche-toi ! Montre-moi comment tu es monté !
Je m’approchai d’elle comme un automate, sans trop bien comprendre ce qui se passait. Bien sûr qu’à vingt deux ans, j’avais connu quelques filles et je trouvais même que j’avais assez de succès auprès de la gent féminine. J’avais fait l’amour avec quelques femmes mariées, en mal de jouissance. Mais je n’avais encore jamais pensé plaire à une belle blonde comme celle-là, mûre et expérimentée, d’un niveau bien supérieur au mien et…Européenne ! En arrivant à sa hauteur, derrière le bureau, elle tendit la main vers le devant de mon pantalon pour dégrafer la ceinture, défaire le bouton et ouvrir la braguette. Elle plongea la main sous le slip et se mit à tâter mon sexe qui jusque là était resté bien sage. Sous la caresse de Marie-Sophie, il se mit brusquement à frémir et à grossir jusqu’à devenir immense.
- Ouah ! Je n’aurais pas cru qu’il était aussi grand ! Il a déjà servi ?
- Bien-sûr qu’il a servi ! Et plusieurs fois, plutôt qu’une ! répondis-je, presque vexé par une telle question. Il te plait ? (Je me mis, inconsciemment à la tutoyer, comme elle le faisait avec moi depuis le début)
- Oui ! Tu vas me l’offrir tout à l’heure chez moi ! Tu veux bien venir passer la nuit chez moi ? Je suis en manque !
Et c’est aussi simplement que cela que commença mon aventure avec Marie-Sophie. Je la rejoignis cette nuit, chez elle, dans une cité réservée aux enseignants universitaires et dans un bâtiment dédié aux enseignants étrangers. Je la trouvais, en tenue d’intérieur – une robe de chambre en satin, très moulante – entrain de cuisiner un léger repas. Avec mon arrivée, elle arrêta le travail qu’elle faisait, éteignit le fourneau et me tendit la main pour m’amener directement dans sa chambre.
- Nous dînerons après ! fit-elle. Montre-moi d’abord ce que tu sais faire avec le monstre que tu as entre les jambes !
J’étais vraiment intimidé (surtout par sa façon directe – presque masculine – de s’y prendre) mais je ne le montrais pas. Je fis celui qui était plein d’assurance et rendis coup pour coup. Je crois que j’avais été à la hauteur et la fis jouir plusieurs fois cette nuit-là. Elle voulait être tirée en force et trouva en moi exactement ce qu’elle cherchait : un taureau qui fonce, sans trop réfléchir, devant un chiffon rouge. Et des chiffons rouges, la belle en avait beaucoup : une forte poitrine avec deux gros seins blancs, maintenus par un soutien gorge d’où s’échappaient deux magnifiques tétons violacés. Une taille qui avait été autrefois très fine, mais qui, avec l’âge, prenait un peu d’embonpoint; et cela ajoutait à l’intensité de sa sensualité. Des hanches rondes, larges et fortes d’une femme qui avait dû avoir au moins deux grossesses. Un fessier rond et proéminent qui n’inspirait rien d’autre qu’un assaut à la hussarde. Et…tout son paradis intime: un mont de vénus, bombé, brillant et parfaitement épilé: des grandes lèvres longues, dodues et sombres ; des petites lèvres cramoisies, toujours brillantes de mouille et palpitantes; et un trou à balles, sombre, rond, ouvert et palpitant. Et je ne parle pas de son énorme bouche, entourée de deux lèvres rouges, épaisses et fermes.
Je lui fis l’amour dans toutes les positions qu’elle exigeait (elle adorait poser ses chevilles sur mes épaules pour que je lui relève les jambes très haut, pendant que je la tire et jubilait quand elle voyait entrer et sortir mon dard de sa chatte) et dans tous ses trous, y compris son anus et sa bouche. Je n’avais pas fait l’amour depuis presque un mois et j’étais aussi affamé qu’elle. Je crois que cette nuit là, nous n’avions pas dormi plus de deux heures. Et au réveil, nous en voulions encore.
Nous sommes devenus presque inséparables pendant toute la durée de sa mission en Algérie (chaque année, elle venait passer six mois, pour dispenser son enseignement et repartait en France pour le reste de l’année). C’est avec Marie-Sophie que je sus ce qu’était une femme libertine (en dehors de ce m’avait appris auparavant mes lectures du Marquis de Sade et de quelques autres auteurs des dix huitième et dix neuvième siècles). Même si elle avait avec moi des orgasmes d’une très forte intensité, c’était une femme qui sautait sur toutes les occasions qui se présentaient à elle. Elle aimait faire des expériences. Et l’une de ces expériences, elle l’eut avec un malien répondant au prénom de Boubacar, qui venait d’arriver en Algérie pour y suivre des études en sociologie politique.
La première fois qu’elle le vit, c’était pendant un de ses cours. Il était arrivé une dizaine de jours après le début de l’année. C’était certainement à cause, ou grâce, à ce retard qui l’obligea à venir s’expliquer auprès de l’enseignante, que Marie-Sophie le remarqua. C’était un véritable athlète: grand et tout en muscles. Elle le trouva très beau et, dès le départ, elle banda pour lui. A sa manière directe, elle le lui fit savoir et le fit venir chez elle pour l’essayer, comme elle aurait essayé un vélo ou une auto. Elle m’avait averti de ne pas venir cette nuit là, pour cause de nouvel amant (Elle ne m’avait jamais caché ses aventures avec d’autres hommes. Et même si ma nature jalouse se manifestait, je savais qu’il n’y avait rien à faire, pour l’empêcher de butiner ailleurs.)
Le lendemain, elle me raconta ce qui s’était passé entre eux. Comme presque toutes les femmes blanches, me dit-elle, elle fantasmait sur la taille du sexe des noirs africains. Elle pensait que tous étaient montés comme des étalons et pouvaient tirer une – ou même plusieurs – femmes pendant des heures. Elle pensait que cette nuit là elle allait jouir comme jamais elle n’avait joui, jusque là. Pas même avec moi !
- Et bien Boubacar est monté comme un âne ! Quand il bande, je crois que son piston atteint les quarante centimètres ! J’étais heureuse de me faire tirer par ce monstre. Et de fait il m’a vraiment défoncé la chatte et le cul. Même maintenant, j’ai encore mal, surtout à l’anus. J’ai adoré l’œuvre de destruction de son engin. Mais malheureusement, Boubacar, n’est pas comme toi, un coureur de fond. Lui c’est un sprinter : il démarre très vite et finit tout aussi vite ! Il jouissait au moment où moi j’atteignais seulement le stade du plaisir d’une belle pénétration. Je n’ai pas pu avoir de vrais orgasmes avec lui. Je n’ai pas déchargé une seule fois. C’est un peu frustrant ! Je ne garde de bien que sa force de pénétration et la puissance de ses coups de reins. Mais rien que pour cela, je le garde. Ma jouissance et mes orgasmes, c’est toi qui me les donneras, comme d’habitude. Tu veux me partager avec lui ?
Je ne répondis pas. Elle prit mon silence pour un acquiescement. Et effectivement, nous nous partageâmes Marie-Sophie – moi à contre cœur, parce que je n’étais pas partageur, lui plus facilement, parce qu’il était entrain de vivre un des ses fantasmes sexuel d’africain: tirer une européenne ! Nous nous rencontrions chez elle et nous lui faisions l’amour l’un après l’autre. C’était toujours lui qui commençait, à l’image d’un cheval qu’on amenait à la jument pour la chauffer, avant de la faire monter par un étalon pour l’ensemencer.
Il avait vraiment un sexe monstrueux et quand il défonçait la chatte ou le cul de Marie-Sophie, elle hurlait de douleur et de plaisir. Il y allait en force, sans état d’âme et sans se soucier de la douleur qu’il provoquait; je crois même qu’il en éprouvait encore plus de plaisir. Il était incapable de se retenir et éjaculait très vite, laissant sa maîtresse un peu frustrée. C’était moi qui étais chargé de finir le travail et de l’emmener vers les sommets de l’orgasme. Boubacar nous regardait et je le voyais parfois qui rebandait et se masturbait devant l’érotisme torride du spectacle qui s’offrait à ses yeux. Marie-Sophie le regardait, avec des yeux brillants, qui branlait en force son énorme engin, pendant que moi je pilonnais ou a chatte ou son cul. A ces moments, elle jouissait très fort, en hurlant qu’elle adorait se faire mettre comme une chienne par les gros zobs de ses deux hommes.
Elle n’était jamais rassasiée. Elle en voulait toujours plus. Et même à deux, nous arrivions difficilement à satisfaire ses besoins tyranniques. Parfois, son mari, Pierre-Edouard (un autre nom à particule !) venait passer quelques jours avec sa femme et se mêlait à nos jeux. Il était évidemment au courant des jeux érotiques de son épouse et les acceptait de bon cœur. Comparé à Boubacar et à moi, il avait un sexe de taille moyenne, qui nageait littéralement dans le vagin trop large de Marie-Sophie. Il en tirait tout de même du plaisir, surtout quand il passait après nous deux et que sa femme était apaisée (pour un moment) et avait relâché tous ses muscles. Il se mettait entre ses cuisses et introduisait son manche dans la chatte béante et complètement inondée de sa femme. Il faisait une série d’allers-retours, qui réveillait le désir chez Marie-Sophie et éjaculait rapidement en elle.
Après cela, elle me demandait à moi de venir la terminer pour qu’elle ait un nouvel orgasme. Je m’exécutais et, le plus souvent, je lui faisais lever ses jambes très haut pour pouvoir l’enculer. Je pilonnais son cul en force, pendant qu’elle se masturbait avec quatre doigts, qu’elle introduisait profondément dans sa chatte. Sa jouissance, sous cette double pénétration, était toujours très forte. Pendant ce temps, Pierre-Edouard suçait le sexe de Boubacar pour le réveiller et se faire sodomiser par le monstre. Je m’aperçus bien vite que Boubacar prenait plus de plaisir dans le cul du bonhomme, que dans celui de sa femme. Marie-Sophie aussi s’en était aperçu, mais ne s’en offusqua pas. Elle savait que son mari était bisexuel et qu’il adorait les hommes bien montés. Ils avaient une fois pour toutes décidés de vivre leurs passions sans restriction.
Quand tous les trois, Marie-Sophie, Boubacar et moi, étions complètement lessivés, nous nous reposions sur le grand lit et parlions de tout et n’importe quoi. Souvent elle abordait le sujet des africains (hommes et femmes) et de l’amour. Elle était curieuse de savoir si tous les hommes noirs étaient montés à son image. Sa réponse était bien entendu nuancée : certains l’était, d’autres non. Moi je m’intéressais plus aux filles noires, en disant que j’aimerais bien avoir une expérience avec l’une d’entre elle ; jeune et belle de préférence. Et puis un jour, Boubacar me proposa de m’en présenter une. Une Nigérienne de vingt trois ans, qui vivait en cité universitaire. Bien entendu, je sautai sur l’occasion, après avoir jeté un œil interrogateur à Marie-Sophie, pour avoir son autorisation.
Deux jours plus tard, vers dix-huit heures, il arriva accompagné d’une jeune femme africaine, d’environ vingt deux ans, de taille moyenne et toute en rondeurs. Elle avait une coupe rasta, encore très à la mode en ce temps là (pour exprimer une vraie fierté d’être africaine) et portait un tee-shirt en coton noir très serré, qui mettait en valeur une superbe poitrine avec une paire de seins pointant avec arrogance, un jean en toile délavée, très serré sur des hanches larges et un postérieur proéminent, si caractéristique des femmes africaines. Elle avait aussi le visage rond et pointant en avant des africaines. Mais ce qui frappait au premier abord chez elle, c’était ses immenses yeux brillants, dont les pupilles noires semblaient bizarrement virer, de temps en temps, au rouge. Ils donnaient l’impression de changer de couleur au gré des émotions qu’elle éprouvait. Son nez épaté, sa grande bouche et ses grosses lèvres complétaient le tableau d’une jeune africaine, vraiment attirante.
Sa peau d’ébène, sur ce que je pouvais en voir en ce moment – son long cou et ses bras – semblait lisse, douce et ferme. Elle ne semblait ni intimidée, ni gênée par la situation. Au contraire, elle paraissait contente d’être là et avait un sourire radieux sur les lèvres, qui laissait apparaître deux rangées de petites dents blanches et pointues : des dents de félin, pensai-je.
- Je vous présente Giselle, fit Boubacar qui, s’adressant à moi, poursuivit : je lui ai parlé de toi et de ton envie de faire la connaissance d’une africaine. En voilà une qui n’est pas pimbêche et qui cherche aussi à connaître autre chose que ce qu’elle a vécu jusqu’ici. Elle est là, depuis maintenant deux ans, pour poursuivre des études supérieures, en attendant de trouver l’occasion d’émigrer en Europe. Elle pense rejoindre la France où elle croit pouvoir faire sa vie.
J’étais un peu étonné par le prénom de la jeune femme. Je pensais naïvement que les africaines des pays du Sahel (Mali, Niger, Tchad, …) avaient toutes des prénoms à consonance musulmane (Aminata, Aïchata, Fatimata, …) Je venais de m’apercevoir qu’il existait aussi des africaines chrétiennes !
Nous nous retrouvâmes tous les quatre dans le salon. Marie-Sophie, nous servit un apéritif - un vin cuit sucré - que nous bûmes en discutant de choses et d’autres. Giselle nous apprit ainsi qu’elle venait de Niamey, tout de suite après avoir décroché son baccalauréat. Elle était douée et après son bac, elle voulait poursuivre des études supérieures; elle put ainsi décrocher une bourse de longue durée pour poursuivre des études dans une université en Algérie, pays avec lequel le Niger entretenait de bonnes relations.
Mais, disait-elle, son espoir était d’arriver à trouver le moyen d’aller s’installer en Europe. Ni son pays, ni bien entendu le mien, n’avaient assez d’attrait pour elle, pour qu’elle puisse y vivre et s’épanouir. Faute de mieux pour le moment, elle entreprenait des études supérieures en sciences commerciales dans un institut qui avait une bonne renommée à l’international et comptait, le diplôme en poche, décrocher une inscription dans une université française pour une poste graduation.
- Je ne sais pas comment vous allez prendre ce que je vais vous avouer, dit-elle à Marie-Sophie, de sa voix chaude et avec son accent qui avalait les « r », mais je compte sur vous pour m’aider plus tard à m’inscrire pour un magistère en France. Vous devez bien connaître le circuit de l’enseignement supérieur !
- Nous verrons cela, dans deux ans, une fois que tu auras décroché ton diplôme de graduation, répondit Marie-Sophie, sans trop s’engager.
Et sans plus attendre, elle attrapa la main de Boubacar et le força à la suivre dans sa chambre. Giselle et moi restâmes seuls; nous étions un peu gênés.
- Ils vont faire l’amour ? questionna-t-elle. Boubacar m’a dit qu’elle était sa maîtresse ! C’est vrai ?
- Oui, c’est vrai ! Enfin, à demi-vrai ! Parce qu’avec Marie-Sophie, les choses ne sont jamais très simples ! Tu auras tout le temps pour t’en rendre compte ! Boubacar t’a-t-il aussi dit que j’ai envie de connaître une black ? Que je fantasme souvent sur le corps des femmes africaines ?
- Comme ces salauds de racistes ! Ceux qui veulent se payer une négresse ! Trop peu pour moi !
- Non absolument pas ! Il ne s’agit pas de cela. J’ai toujours trouvé que le noir était une belle couleur; une couleur très sensuelle. Il n’y a absolument aucune trace de racisme là dedans. Tu as bien vu que Boubacar et moi sommes amis. J’ai toujours trouvé le corps de jeunes africaines superbes. J’ai souvent rêvé d’en prendre un entre mes bras, mais jusque là je n’en ai pas eu l’opportunité. Chaque fois que je vois une belle africaine, je sens quelque chose en moi qui s’émeut.
- Tu veux dire que tu bandes pour elle? dit-elle avec un sourire moqueur. Si c’est parce que c’est une belle femme que tu bandes, il n’y a pas de problèmes; mais si c’est parce qu’elle est noire, la réponse est non : je ne veux pas m’offrir à toi !
- Je bande pour une belle femme et qui plus est, est africaine ! Tu me plais parce que tu es belle et aussi parce que tu es sensuelle. Tu es sensuelle aussi, parce que tu es noire, avec un beau corps de noire; qui est différent d’un beau corps de blanche ou de rousse ou même de brune. La femme africaine a quelque chose de différent des autres femmes, y compris des blacks des autres contrées du monde. Ce ne sont peut-être que des préjugés, mais ils sont ancrés en moi. Je bande pour toi, une black, comme j’aurai bandé pour une blonde, une brune ou une rouquine si j’avais été attiré par ces caractéristiques là. Boubacar bande pour Marie-Sophie parce qu’elle est blonde; il n’est pas raciste pour autant !
- Alors montre-moi à quel point je te plais !
Elle se tourna vers moi et approcha son visage du mien, bouche tendue vers la mienne pour un baiser. Un instant surpris que les choses aillent aussi vite, je saisi sa tête entre mes main et collai ma bouche sur ses grosses lèvres et entrepris de lui appliquer un baiser d’amant assoiffé. Non seulement elle se laissa faire, mais elle me le rendit au quintuple. Elle savait vraiment embrasser, en jouant de ses lèvres et de sa langue et en produisant des tonnes de salive. Elle avait une bouche chaude et douce; sa salive, qu’elle produisait en quantité, était elle-même chaude avec un très léger et très agréable goût sucré, très différent de ce que je connaissais. J’avalais le liquide avec tant de délectation, que Giselle en fut étonnée. Elle arrêta le baiser un instant pour me regarder et me demander :
- Tu aimes vraiment le goût de ma salive ? Je n’ai pas encore eu d’amant qui se soit comporté comme cela. Tous ceux qui m’ont embrassée, ont bien sûr bu un peu de salive, mais ça a toujours été accidentel ; ils n’allaient jamais, au contraire de toi, volontairement la chercher au fond de ma bouche !
Elle recommença à me tendre ses immenses lèvres et nous reprîmes notre baiser à l’endroit même où nous l’avions laissé. Je commençais à bander sérieusement. La rencontre de ma langue avec la sienne - longue, ferme et aussi agile qu’une anguille - créait à chaque fois une espèce de décharge électrique qui irradiait directement vers mon bas ventre et augmentait considérablement le volume de mon manche. Je sentais le corps de Giselle qui se collait au mien et qui lui transmettait sa chaleur. Sa poitrine, qui était nue sous son tee-shirt, avec des seins en forme d’obus de canon, venait se frotter à la mienne et mettre tout mon corps en émoi. J’avais envie de la tirer la, tout de suite, sans attendre qu’elle soit dans le même état de chaleur que moi.
J’arrêtai le baiser et m’éloignai un peu d’elle pour pouvoir lui ôter son tee-shirt. Elle leva les bras pour me faciliter la tâche et se retrouva le torse complètement dénudé (effectivement elle ne portait pas de soutien-gorge). Même assise, elle était vraiment magnifique : sa taille fine, son ventre plat malgré la station assise, sa poitrine ferme avec ses seins tendus et gonflés avec des tétons d’un noir plus foncé que le reste, les épaules larges et rondes, le cou long, brillant et souple, donnaient l’impression que j’avais devant moi une de ces magnifiques statues en bois d’ébène, œuvres d’artisans inspirés par la nature ou par les Dieux, que l’on trouve dans les marchés des grandes villes africaines. Et cette peau ! Noire, lisse et brillante, d’une douceur infinie !
Je tendis les bras pour l’attirer contre moi et l’embrasser sur le creux d’une épaule, tout en lui caressant le dos. Elle se blottit complètement entre mes bras, en gémissant sous l’effet de mes baisers sur ses épaules et sur le cou. Sa peau avait une odeur très particulière, que je n’avais encore jamais senti sur une autre femme : une odeur de musc très agréable, qu’aucun parfum ne venait altérer. On m’avait souvent parlé de l’odeur forte des femmes africaines; une odeur qui serait, paraît-il, sécrétée par les glandes sudoripares en même temps que la sueur. L’odeur de la peau de Giselle n’avait rien à voir avec cela : elle était entêtante et aphrodisiaque. Elle ajoutait une forte dose d’intensité à mon désir.
Je multipliais les caresses et les baisers brûlant sur tout le haut de son corps ; en insistant particulièrement sur son cou, à la naissance de ses épaules (endroit qu’elle avait très sensible) et sur ses seins d’ébène. Ils étaient effectivement aussi noirs, brillants et fermes que ce bois précieux. Et si sensibles ! Sophie aimait que je lui caresse les seins, en douceur en insistant sur ses tétons. Jusque là, elle était restée silencieuse et presque immobile. Mais sous mes caresses insistantes sur sa poitrine, elle commença à gigoter et à pousser de tous petits gémissements, presque inaudibles. Et quand je me mis à l’embrasser sur les seins, à la téter et à lui mordiller les tétons, elle se mit à se tortiller plus fort et à transformer ses gémissements en cris de plaisirs.
J’étais au comble de l’excitation. J’avais l’impression que mon sexe allait exploser. Je fis lever Giselle pour lui faire enlever son jean. Elle se mit debout devant moi et n’attendit pas que je lui enlève son pantalon ; elle le fit elle-même, avec des gestes rapides et élégants. Elle tortilla ses hanches pour faire glisser le pantalon sur ses hanches, ses cuisses, ses genoux, ses jambes et sur ses chevilles. Elle leva un pied pour faire sortir une jambe du pantalon, puis l’autre pour la deuxième. Pendant tout ce temps je regardais avec des yeux exorbités, toute la beauté qui s’offrait, par parties, à mon regard. Elle était vraiment superbe; le bas du corps était à l’image du haut : noir, rond, brillant et ferme. Je ne voyais pas encore son entrecuisse, cachée sous le tissu d’une petite culotte blanche immaculée. Le contraste des deux couleurs – peau et culotte – était saisissant et surtout d’un érotisme torride : le tissu du cache sexe, n’était pas totalement hermétique; il laissait transparaître ce qui était caché en dessous: un superbe mont de vénus bombé et des grades lèvres longues et dodues.
Je n’y tenais plus ! J’envoyai ma main droite pour aller explorer l’intérieur de ses genoux et remonter insensiblement vers le triangle magique. La pression de ma main à l’intérieur de ses cuisses devenait de plus en plus forte, pour l’obliger à les ouvrir au maximum et lui permettre d’atteindre le bas de la culotte et aller caresser la chatte sous le tissu. Giselle se laissait faire, mais ne disait toujours rien. Je la sentais très attentive et tendue vers le moment où ma main entrerait en contact avec le fond de sa culotte. Quand enfin il arriva, je la sentis se cabrer et tendre ses hanches vers l’avant comme pour me demander d’intensifier mes caresses. Ce que je fis presque avec violence : je frottai un moment en force et me rendis compte que le tissu de la culotte commençait à devenir humide. Giselle mouillait !
J’enlevai ma main d’entre ses cuisses et en passant deux doigts sous l’élastique de la culotte, je la lui enlevai brutalement. Je découvris avec bonheur un mont de vénus superbement bombé, épilé, noir et brillant. Et en en dessous, une chatte de couleur encore plus sombre, avec deux grandes lèvres longues, dodues et brillantes de mouille. Je plongeai deux doigts entres les grandes lèvres pour les écarter et pénétrer à l’intérieur. J’ai souvent, malgré ma relative jeunesse, eu à tâter, palper et caresser des chattes de filles et de femmes; j’ai toujours adoré la sensation de douceur, de chaleur et d’humidité que je ressentais à chaque fois; mais jamais encore, mes doigts fourrageant entre les grandes lèvres d’une chatte, n’avait rencontré tant d’élasticité et tant de fermeté et ne m’avait autant excité, qu’avec Giselle.
Sa chatte était certainement la plus ferme et la plus douce de toutes celles que j’avais eu à caresser. Mes doigts pénétrèrent entre les grandes lèvres et découvrirent les petites lèvres dont la couleur, rouge vif, contrastait avec la couleur noire dominante: elles donnaient au spectacle que j’avais sous les yeux un caractère érotique vraiment insoutenable pour mes nerfs. Je continuais à bander comme un âne et mon envie de la tirer à la hussarde était irrépressible. Je la poussai à s’assoir sur le divan et à écarter ses jambes pour avoir accès à sa belle chatte. Je plongeai ma tête entre ses cuisses pour aller embrasser ses grandes lèvres, les écarter et introduire ma langue à la recherche de ses superbes petites lèvres, de l’entrée du vagin et du clitoris.
Elle se laissa faire en continuant à pousser ses petits cris de plaisir et en me tenant la tête pour qu’elle reste dans l’endroit. L’odeur de musc, qui m’avait tant plu en embrassant ses seins et sa poitrine, devenait encore plus forte entre ses cuisses et sur ca chatte. Elle était plus insistante et plus enivrante et, certainement, plus aphrodisiaque. Je n’arrêtais pas pour autant mes baisers, mes coups de langue et mes suçons sur sa chatte. J’introduisais ma langue à l’intérieur de son vagin et léchai les parois pour récolter, et boire, toute la cyprine qu’elle produisait. Elle semblait adorer l’effet de ma langue et de mes lèvres sur sa chatte. Elle bougeait de plus en plus fortement et rapidement ses hanches, et serrait de plus en plus fort ma nuque, pour m’obliger à accentuer l’allure de ma tête sur sa chatte et de ma langue à l’intérieur de son vagin.
Je me dis en moi-même que ce serait merveilleux si j’arrivais à la faire jouir rien qu’avec ma bouche. Ce serait un bon point pour moi et pour mon ego de mâle. J’accélérai donc les mouvements de va-et-vient de ma tête entre ses cuisses, que maintenant elle ouvrait sans retenue ; j’embrassais, suçais, léchais et buvais tout le jus qu’elle sécrétait, tout en essayant d’introduire ma langue au plus profond de son vagin. Elle ne lâchait pas ma tête et appliquait sur elle de fortes pressions comme si elle voulait la faire pénétrer à l’intérieur de sa chatte. D’un autre côté elle refermait ses cuisses pour y emprisonner mon crâne. Je sentais que je commençais à manquer d’air. Mais en même temps je sentais Giselle se cabrer et rester un long moment les hanches relevées au maximum, comme si elle voyait venir l’orgasme et qu’elle l’attendait avec impatience.
Et effectivement l’orgasme arriva, accompagné d’un long râle de plaisir et de spasmes. Elle déchargea une grosse quantité de jus qui avait un goût acide et salé et la même odeur entêtante de musc. J’avalais tout ce que je pouvais, mais je laissais s’en échapper beaucoup, qui venait s’étaler sur la raie de ses fesses et sur le tissu du sofa. A bout de force, elle s’affaissa et relâcha tous ses muscles et essaya de reprendre lentement son souffle. Elle ne relâcha ma tête qu’au bout d’un long moment, comme si elle voulait faire durer cette sensation de plaisir intense qu’elle lui avait procurée. Je relevai la tête pour regarder son visage et essayer de lire dans ses yeux et sur son sourire si elle avait vraiment aimé le cunnilingus que je venais de lui appliquer.
- Tu es vraiment un amant différent. Mamadou, le secrétaire d’ambassade de mon pays qui est mon petit ami officiel (mon fiancé quoi !) depuis mon arrivée ici, m’a souvent embrassé la chatte, mais n’a jamais essayé de me faire jouir avec sa bouche. C’était très bon !
- Rien que cela ? Très bon !
- Oui c’était délicieux ! J’en redemande ! Viens maintenant voir comme Giselle sait faire l’amour ! Comment c’est un super coup ! Viens, montre-moi ta trique. J’espère qu’elle est aussi grosse qu’elle parait sous ton pantalon ! Ouah ! Elle est énorme ! Elle est aussi grosse que celle de Mamadou ! En plus belle ! Celle de mon ami est pleine de veines ; il y a des moments où elle me fait peur. La tienne, j’ai envie de la prendre dans ma main et de la caresser. J’ai même envie de l’embrasser ! Tu veux que je te montre comment moi aussi je sais sucer les belles bites ?
- Non, ce sera pour plus tard ! Pour l’instant je veux encore te faire grimper aux rideaux ! Comme cela tu sauras que je ne cherche pas seulement à assouvir mes envies. Ouvre-toi et laisse-moi entrer entre tes cuisses !
Elle écarta ses cuisses et me laissa me positionner entre elles. J’avais vraiment envie de la tirer en force : les grandes lèvres écartées qui laissaient apparaître les petites lèvres rouge vif encore pleines de mouille et l’entrée palpitante du vagin avaient encore accru mon excitation. Mon sexe vibrait et palpitait d’impatience. Il voulait faire son nid dans cette chatte qui l’appelait et qui semblait, elle aussi avoir hâte d’être remplie par la belle bête qui attendait la permission d’enter. Il voulait lui montrer sa force.
Mais ce fut avec douceur que je décidai de la pénétrer. Inconsciemment, je ne voulais pas que Giselle me prenne pour une brute; un de ces blancs qui veut seulement se faire une négresse. Je voulais qu’elle sente qu’il y avait en moi autre chose que du désir animal; de la tendresse ! Je la pénétrai en douceur, poussant lentement mon sexe jusqu’au fond de son vagin. Même si j’étais un peu frustré de ne pas y aller à la hussarde, comme j’avais vraiment envie de le faire, je ressentais la douceur, la chaleur, la moiteur et l’élasticité du vagin de ma belle et un énorme bien être m’envahissait. Je ressortais totalement du vagin, laissait un moment mon sexe à l’entrée du tunnel et ne repartait vers le fond que quand je voyais les bras de Giselle tirer fortement sur ma taille pour m’obliger à repartir au fond.
Je regardais ses yeux, ses magnifiques yeux noirs, qui viraient au rouge; le sourire qu’elle avait sur les lèvres était un sourire de bonheur ! Je recommençais un nombre incalculable de fois à faire des allers-retours lents et doux entre l’entrée et le fond du vagin. Je voulais qu’elle ressente du plaisir, mais pas qu’elle jouisse; pas encore. Je voulais retarder au maximum, la jouissance, afin qu’elle atteigne son summum d’intensité, au moment où je forcerai l’allure. J’accompagnais mes va-et-vient de baisers chauds et humides sur sa bouche, son cou et ses magnifiques seins dressés vers le ciel. Je la voyais entrer en elle-même pour mieux apprécier les moments de plaisir intense qu’elle prenait. Elle avait fermé les yeux et ouvert la bouche pour mieux respirer. Ses grosses narines palpitaient et de sa bouche sortait des flots de salive, que de temps en temps elle essayait de remettre à l’intérieur, sans totalement y parvenir.
J’adorais ces instants où ma belle était totalement dans son plaisir; où plus rien n’avait d’importance que cette sensation de plaisir intense qui accompagnait la pénétration dans ses entrailles par ce sexe doux et fort. Elle accompagnait mes coups de reins par des mouvements identiques de ses hanches qui montaient et descendaient au même rythme que mes coups de boutoirs. A un moment, je sentis qu’elle voulait que j’accélère le mouvement et que j’y aille plus franchement. Elle ouvrit les yeux, me regarda et me fit un magnifique sourire :
- Plus fort ! Prend-moi plus fort ! Fait-moi jouir maintenant ! Je n’en peux plus d’attendre ! Baise-moi fort ! Plus vite ! Plus vite ! Plus viiite !
Je ne me fis pas prier pour accélérer le rythme de mes coups de boutoir et accroître progressivement leur intensité. Je la voyais repartir en elle-même, fermer les yeux, sourire aux anges et commencer à crier de plaisir. Jusque là elle était silencieuse; c’était à peine si elle gémissait tout doucement à chacune de mes pénétrations. Maintenant, elle criait de plus en plus fort son plaisir. Elle ne pouvait plus retenir sa salive qui dégoulinait de ses lèvres ouvertes, ni le mouvement saccadé de sa tête qui partait dans tous les sens. Et puis, tout s’arrêta ; elle tendit tous ses muscles, souleva très haut ses hanches, resta ainsi quelques secondes et lança un énorme cri de jouissance. Elle déchargea longtemps, en continuant de tirer sur ma taille pour que je n’arrête pas de pilonner sa chatte.
Il n’était pas question pour moi d’arrêter de la pilonner. Bien au contraire, je sentais la jouissance arriver du fond de mes entrailles et s’ouvrir le chemin pour éclater dans celles de ma mie. J’éjaculai une longue giclée de sperme brûlant dans le fond du vagin tout en continuant les furieux allers-retours de mon sexe entre l’intérieur et l’extérieur de la chatte. La deuxième giclée et les autres je voulus qu’elles se déversent sur le ventre et la poitrine de ma mie. Je voulais qu’elle soit remplie de mon sperme et qu’elle l’étale avec ses doigts sur tout son corps. Sans le lui demander, j’espérais qu’elle allait lécher ses doigts et avaler au moins un peu de mon foutre. Cela aurait été pour moi la preuve qu’elle aimait faire l’amour avec moi et que rien ne pouvait l’inhiber me concernant. Et elle le fit ! En me regardant avec un sourire coquin, elle ramassa avec sa main le sperme qui était sur son ventre et porta ses doigts à sa bouche pour les lécher et avaler goulument le foutre.
- J’aime son goût ! La prochaine fois tu me rempliras directement la bouche ! Tu es un merveilleux amant ! Si tu me veux me partager avec mon petit ami Mamadou, moi j’en serais heureuse.
- Tu ne peux pas quitter ton Mamadou pour rester avec moi ?
- Non c’est impossible pour au moins deux raisons : la première est que je veux vraiment aller vivre en Europe et Mamadou, de par sa fonction peut m’y aider (ou me bloquer, s’il est mécontent de moi). La deuxième, c’est Marie-Sophie : tu es son amant attitré. C’est déjà suffisant comme raisons ! Restons amants et prenons du plaisir ensemble; jusqu’à ce que la vie nous sépare. Nous n’aurons rien à regretter.
Et effectivement mon histoire avec Giselle dura encore deux ans, parallèlement à celle que je vivais avec Marie-Sophie et celle que cette dernière vivait avec Boubacar. Avec Giselle nos instants d’amour étaient torrides et nous transportaient dans le monde merveilleux de l’érotisme et du plaisir. Elle était ouverte à toutes les expériences, même si, au premier abord, elles lui paraissaient immorales. Elle avait même fini par faire l’amour avec Marie-Sophie et apprécier la chose. Tous les quatre, nous étions véritablement heureux, parce que nous vivions nos passions sans aucune contrainte.
Ce fut Boubacar qui, le premier quitta le groupe pour aller poursuivre des études en France. Pierre Edouard, l’époux de Marie-Sophie, qui était tombé amoureux de son immense gourdin, l’aida à s’inscrire dans l’université dans laquelle il enseignait et l’accueillit même chez lui. Marie-Sofie les rejoignait au moment où elle retournait chez elle, à l’issue de sa période annuelle en Algérie.
Giselle se maria avec son petit ami Mamadou et resta encore un temps en Algérie avant qu’elle n’aille en Espagne, suivre son mari, qui entre temps avait bénéficié d’une promotion en tant que premier secrétaire à l’ambassade du Niger à Madrid. Moi je poursuivis mes études pendant encore deux ans, avant de passer mon service national. Pendant ces deux années sans Giselle et sans Boubacar, j’avais gardé des relations intimes avec Marie-Sophie. Relations toujours pimentées par des expériences extrêmes que tentait ma partenaire et qui m’y entraînait.
Ce n’est que plus de vingt ans après, à l’âge de quarante-cinq ans que je revécus une aventure amoureuse toute aussi passionnante avec une autre black, algérienne celle-là, qui se poursuit encore aujourd’hui. Mais c’est là une autre histoire que je vous conterai une prochaine fois.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai lu avec intérêt votre récit érotique et charnel d'une jeune femme bien en chair
d'une quarantaine d'années, mais dans votre récit vous maltraitez les rapport intime
avec cette femme qui est belle, quel dommage que vous ayez ce vocabulaire trivial pour
décrire vous positions. georges
d'une quarantaine d'années, mais dans votre récit vous maltraitez les rapport intime
avec cette femme qui est belle, quel dommage que vous ayez ce vocabulaire trivial pour
décrire vous positions. georges
belle histoire de désir et d'amour charnel entre un homme blanc et une femme noir