Fantasmes urophiles en pleine nature

- Par l'auteur HDS Etoile -
Récit érotique écrit par Etoile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Fantasmes urophiles en pleine nature Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2021 dans la catégorie Fétichisme
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Fantasmes urophiles en pleine nature
Cette année-là, j'étais en Finlande pour mes études. L'Erasmus n'était pas obligatoire dans ma fac, mais j'avais tout de même choisi de partir, j'avais envie de changer d'air et quitter un peu la France. Je ne connaissais pas du tout le pays, mais j'avais entendu dire que les gens là-bas étaient bien plus libérés qu'ici. Ca m'a plu, alors j'ai eu envie de découvrir. Je n'ai pas été déçue.
J'avais rencontré Anna, une jeune Finlandaise de mon âge, qui suivait le même cours d'anglais que moi.Nous nous sommes tout de suite bien entendues et faisions régulièrement des sorties ensemble.
Ce jour-là, une chaude journée de printemps, elle avait décidé de m'emmener faire une balade sur l'une des nombreuses îles de la capitale. Nous nous étions donné rendez-vous devant le pont de bois qui reliait l'île à la ville.
Anna m'attendait avec impatience. A peine étais-je descendue du bus, qu'elle commenca à faire de grands gestes dans ma direction. Je me dirigeai vers elle. Elle portait une combishort jaune. Je déteste ce genre de vêtement, que je trouve non-pratique au possible, mais sur elle, c'était mignon. Ca accentuait son petit côté elfique, qu'elle avait grâce à sa coupe de cheveux courte et son petit nez retroussé. En m'approchant pour la saluer, je me rendis compte qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses tétons pointaient joyeusement sous sa combi. Cela m'émoustilla et je me mis à imaginer à quoi ils pouvaient ressembler sous le vêtement. J'imaginais de petites aréoles brunes surmontées de petits mamelons bruns aussi, rendus tout durs par le frottement sur le tissu.
J'entendis vaguement qu'Anna me parlait, puis elle me tira de ma rêverie en me prenant par le bras. Nous nous mîmes en marche, passâmes le pont de bois, et nous retrouvâmes en pleine forêt. C'était un après-midi de semaine donc l'endroit était quasi désert. Je pris une grande bouffée d'air et appréciai le calme. J'avais du mal à m'imaginer qu'environ 15 minutes plus tôt, j'étais encore dans la ville, dans un bus. Se couper de l'agitation urbaine faisait énormément de bien. Anna m'expliqua que nous étions sur l'île aux écureuils, qui tire son nom de ses nombreux petits habitants à la queue en panache. Le silence de l'endroit était seulement perturbé par le crissement des aiguilles de pin sous nos pas et le froissement des branches de sapin sous le vent.
Anna tendit le bras pour me montrer des écureuils qui se poursuivaient le long d'un tronc. J'approuvais certes la vue des adorables petits mammifères en train de s'amuser, mais les tétons d'Anna retenaient encore plus mon attention. La lègère brise printanière lui donnait une petite chair de poule sur les bras, et ses tétons avaient, me semblait-il, doublé de volume sous sa combi. Je n'arrivais pas à en détacher mon regard ni mes pensées. Je m'imaginais la déshabiller, faire tomber le haut de cette combi que je trouvais moche, dévoiler lentement chaque téton, les caresser du bout du doigt, les sucer, les lécher ...
Perdue dans mes pensées, je ne me rendis pas compte qu'elle s'était éloignée. Je la rejoignis en courant, me maudissant d'avoir mis un soutien-gorge ce matin-là. Mes tétons s'étaient également durcis, mais sous l'excitation pour ma part, et il ne m'aurait pas déplu de sentir le contact de mon t-shirt frotter dessus.
Nous nous remîmes en marche, discutant de tout et de rien, appréciant le calme, la nature. Pour Anna, ce n'était rien d'exceptionnel. Elle connaissait bien l'endroit, elle y était habituée donc elle ne voyait rien d'extraordinaire au fait de se balader ici. Mais pour moi, parisienne de souche, c'était tout un autre monde.
Environ 2 heures s'était écoulées depuis que nous étions entrées sur l'île. Là où nous étions, la forêt se faisait moins dense, et nous pouvions distinctement voir la mer à quelques mètres sur notre droite, avec de petites plages cernées de rochers en contrebas.
anna me désigna une grande palissade, avec des panneaux avec des trucs écrits en finnois dessus. Pas d'inscriptions en anglais, l'endroit ne devait pas être touristique.
- Ici, derrière la palissade, c'est une plage naturiste. J'y viens souvent en été avec mes copines, c'est super agréable !
J'acquiescai à son propos ne laissant pas transparaître mon émoi. je me mis à l'imaginer, nue sur cette plage, avec d'autres jolies filles de sa trempe, nues elles aussi. Je les imaginai allongées sur la plage, sur le ventre, les jambes légèrement écartées, devoilant leur intimité. Je les imaginai, allongées au soleil, sur le dos, tétons saillants, durcis par la légère brise marine. A cette pensée, je sentis une chaleur agréable dans mon bas-ventre. J'avais envie de me masturber.
Je repris mes esprits et nous reprîmes notre balade. Nous ne marchions que depuis quelques instants qu'Anna s'arrêta net, se tourna vers moi et me dit le plus naturellement du monde :
- Je vais faire pipi.
Je ne trouvai rien de plus à dire que "Oui, d'accord".
Elle descendit prestement le talus qui menait à la plage, fit quelques pas sur le sable et se dirigea vers de gros rochers. Je l'observais depuis le sentier et fis quelques pas dans sa direction jusqu'à avoir une vue parfaite sur la scène. Anna ne pouvait pas me voir, mais je voyais tout.
Après avoir regardé les alentours, elle enleva le haut de sa combi. Je pus enfin voir ses tétons que je m'étais tant imaginé. Ses petits seins en forme de mandarines étaient surmontés de tétons roses, très proéminents. La chaleur dans mon bas-ventre s'accentua, alors que le spectacle ne faisait que commencer.
Elle baissa le bas de sa combi et je pus remarquer qu'elle ne portait pas de culott. Elle nétait pas non plus épilée. Elle s'accroupit et galéra un peu avec le vêtement. Agacée, elle finit par l'enlever complètement. Elle était absolument magnifique, entièrement nue, entre les rochers et les pins sur cette plage déserte. J'étais déjà folle d'excitation devant ce tableau, mais le plus beau restait à venir.
Alors qu'elle ne s'était pas encore soulagée, elle se releva, l'air énervé. Avait-elle vu que je l'observais ? Non, c'était juste le vent, qui jouait avec sa seule mèche rebelle et lui envoyait dans les yeux. Elle se tourna légèrement dans ma direction et put enfin, commencer à faire sa petite affaire.
Elle porta sa main à son entrejambe et hésita. Elle souriait. Elle appréciait cette communion avec la nature. C'était beau à voir. A Paris, les rares fois où j'ai pu assister à ce genre de pipi-nature, c'était généralement dans des parcs de la ville, avec des copines bourrées en fin de soirée... rien de bien glamour. Cela ne me procurait pas la moindre once d'excitation.
Je portai machinalement ma main à ma vulve moi aussi. Ma culotte était toute humide. J'écartai mes lèvres et appuyai sur mon clito, rendu extrêmement sensible. Mon doigt tourna aurtour du petit organe tandis que j'observais Anna chercher la position optimale pour vider sa vessie.
Debout, adossée au gros rocher, elle écarta les jambes, plia légèrement les genoux et écarta de ses deux mains ses lèvres. Elle regardait attentivement ce qu'elle faisait. Elle ne put s'empêcher de caresser elle aussi son clito. Allait-elle se laisser aller à une séance de masturbation en plein air ? Malheureusement non.
Quelques secondes plus tard, un énorme jet jaunâtre jaillit de sa chatte ouverte. Anna avait la tête penchée sur son entrejambe et observait, presque fascinée, ce qui sortait de son corps. J'en vins à me demander si elle n'avait pas le même fantasme urophile que moi. De mon côté, mes doigts tournaient frénétiquement autour de mon clito gonflé à bloc. J'étais hypnotisée par le merveilleux spectacle en contrebas. Un bruit me fit redescendre sur terre. Je retirai prestement ma main de ma culotte. Ce n'étaient que deux joggers qui passaient par là, et qui ne m'avaient pas remarquée. Les salauds, ils avaient cassé cet instant magique !
Je reposai mes yeux sur ma belle Anna. Elle avait fini et se secouait énergiquement pour faire tomber les dernières gouttes. Comme elle n'avait pas de mouchoir sur elle, elle passa généreusement sa main sur sa vulve mouillée puis alla tout naturellement se la rincer dans l'eau. Son affaire terminée, elle resta encore quelques instants - qui me semblèrent être une éternité - nue à contempler le paysage apaisant.
Elle finit par se rhabiller et remonta prestement le talus et me rejoignit.
- Désolée pour l'attente ! me dit-elle.
Je lui dis que ce n'était pas grave et nous reprîmes une nouvelle fois notre promenade.
Une bonne demi-heure plus tard, nous avions fait le tour de l'île et étions de retour au pont de bois. L'excitation ne m'avait pas quittée et ma culotte, toute mouillée rendait la marche plutôt désagréable, malgré la sensation de volupté qui flottait dans mon bas-ventre.
Arrivées à mon arrêt de bus, Anna me salua et partit de son côté. J'avais 10 minutes à attendre. Je m'arrêtais pas de me repasser en boucle dans ma tête le film de ce que j'avais vu sur la plage. Plus j'y repensais, plus l'excitation montait, plus je mouillais, plus j'avais envie de me masturber ... d'autres plus qu'à cause des joggers, je n'ai pas pu mener à bien mon petit plaisir solitaire. J'avais hate de rentrer à ma résidence pour me masturber comme une folle sous la douche.
Je remarquai que l'endroit était désert. Je m'assis dans l'arrêt de bus, et regardant bien autour de moi pour m'assurer qu'il n'y avait personne, je retirai ma culotte et la fourrai dans une poche. Heureusement, ce jour-là, jétais en robe. Assise sur le banc, j'écartai les jambes et la petite brise vint caresser ma vulve, déjà bien gonflée d'excitation, ce qui ne fit qu'augmenter mon supplice. Je passai un doigt sur mon clito et ressentis une décharge de plaisir. Je ne pus malheureusement pas continuer bien longtemps, puisque je vis arriver mon bus.
Je me levai et montai. Comme à mon habitude, je me dirigeai vers le fond, toujours désert. Je me calai contre une fenêtre. Il n'y avait que 5-6 autre passagers dans le bus, tous à l'avant ou au milieu du véhicule.
Le bus partit et les vibrations causées par la roue arrière, juste au dessus de laquelle j'étais assise ne m'aidaient pas.
J'en avais pour environ 25 minutes avant d'être chez moi, je ne savais pas si je pourrais tenir si longtemps ...
Je me hasardai à glisser une nouvelle fois ma main sur ma vulve, dégoulinante. Le contact avec mes doigts m'électrisa. C'était foutu, je ne pouvais plus faire marche arrière. J'entamais une lente masturbation de mon clito, du bout de mon index. Le plaisir montait en flèche. J'écartai les jambes et de mon autre main, j'écartai mes lèvres, de manière à mettre complètement à jour mon clito, prêt à exploser. J'accélérai les mouvements de mon doigt sur le petit organe gorgé de sang et finalement, j'exultai. L'orgasme était puissant et déferla en moi en quelques secondes à peine. Je fis tout mon possible pour ne pas hurler mon plaisir. Tous mes muscles se contractèrent puis mon corps se relâcha lentement. Toute molle mais heureuse sur mon siège, je faillis presque louper mon arrêt.

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