Fayçal, le marocain amoureux 1/4
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fayçal, le marocain amoureux 1/4
Fayçal… je l'ai connu il y a une dizaine d'années chez son cousin Mehdi.
Mehdi est mon ami de toujours, je suis reçu dans sa famille comme il est reçu dans la mienne. On a été amoureux, amants mais on s'est trouvé maintenant chacun un amoureux et l'on reste amis, de très bons amis.
La mère de Mehdi est une sainte femme, un mari et 3 enfants, trois garçons. Elle a toujours eu du boulot mais c'est elle la chef! je me fais autant engueuler par elle que par ma mère, faut filer droit!
Quand elle fait le couscous, je suis invité. Elle connait ma gourmandise, comme Mehdi est invité chez mes parents quand ma mère fait le poulet frites!
On passe de bons moments d'un côté comme de l'autre.
Il y a une dizaine d'années la sœur de la maman de Mehdi, accompagnée de son mari et de ses deux fils sont venus passer un mois de vacances. Elle avait deux garçons elle aussi, dont Fayçal qui était du même âge que Mehdi et moi.
La première fois que je l'ai vu, il était déjà installé à table. La maman de Mehdi a fait les présentations disant que j'étais son fils caché.
J'ai trouvé Fayçal insignifiant, on aurait dit une crevette de rebeu, mince presque maigre, il mesurait bien 10 centimètres de moins que moi. J'ai trouvé qu'il n'avait pas l'air aimable avec son visage allongé, des oreilles décollées, une barbe qui commençait à pousser et pas partout, ses moustaches fines mais il avait des yeux coquins et de belles lèvres. Il m'a fixé et a détourné le regard comme pour dire… tu m'intéresses pas!
J'étais assis à table entre Mehdi et son jeune frère Malik, un pitre de première si bien que nous avons passé un très bon moment. Souvent mon regard croisait celui de Fayçal, mais il le détournait. Il ne parlait pas beaucoup, sauf avec sa mère, ou son petit frère.
Lorsqu'on a été près d'éclater on a cessé de manger en se léchant les doigts d'avoir ingurgité toutes les bonnes pâtisseries.
-allez donc faire un tour en forêt a dit la maman de Mehdi, emmenez Fayçal ça le fera digérer lui aussi.
Nous voilà donc parti Mehdi, Fayçal et moi dans ma voiture quand le bon Mehdi.
-laisse moi chez mon pote, j'ai a lui parler, tu repasses me prendre au retour. T'as pas besoin de moi pour lui faire visiter la forêt.
Je l'ai déposé chez son ami du moment devant l'air inquiet de Fayçal et nous sommes allés en forêt que je connais pratiquement par cœur.
C'est en marchant dans l'allée que j'ai vu que Fayçal était vraiment une crevette. Il faisait vraiment minuscule, il ne parlait pas beaucoup, fallait lui arracher les mots, poser des questions.
Il faisait beau, un temps de printemps. Je savais où il y avait un gros tronc d'arbre où l'on pouvait s'asseoir.
On a bien marché pendant une heure avant de retrouver le tronc d'arbre. J'avais bien vu qu'il commençait à en avoir marre de la forêt et qu'il était content de s'asseoir sur ce tronc.
Lui s'est assis, les jambes du même côté, moi j'ai enjambé le tronc, si bien que je le voyais de profile et que je pouvais l'observer. Et il s'est mis à parler quand je lui ai demandé ce qu'il faisait au Maroc. Il m'a raconté sa vie, qu'il faisait de petits boulots, qu'il sortait avec ses potes mais qu'il s'emmerdait.
Il ne me regardait pas fixait la forêt devant lui.
Quand soudain j'ai entendu du bruit, un bruit de branches cassées. Il l'a entendu aussi, il m'a regardé, j'ai fait "chut" avec mon doigt sur ma bouche et j'ai commencé à regarder dans la forêt pour voir au loin un beau cerf qui arrivait dans notre direction. Le vent était dans le bon sens. Je lui ai montré de la tête la direction, il a tourné la tête et je l'ai vu se figer.
Il a enjambé doucement le tronc, si bien qu'il était dos à moi.
Le cerf tranquille bouffait les jeunes pousses des arbres en avançant tranquillement.
Si vous n'avez jamais assisté à ça c'est magnifique. Un cerf avec d'énormes bois sur le crâne avançait majestueusement en mangeant.
Fayçal a tourné la tête, il avait les yeux écarquillés.
Le cerf avançait toujours dans notre direction il est arrivé à 10 mètres quand il nous a vu. Il a redressé la tête, la tournant doucement pour nous observer et on est resté un long moment comme ça.
J'avais mes mains sur mes cuisses, comme Fayçal quand sa main a cherché la mienne, me la prenant et la serrant très fort.
J'ai aimé cette main chaude et douce. Son corps s'est penché en arrière et son dos est venu se caler sur mon torse. J'avais ma tête sur son épaule, près de la sienne. Il respirait par la bouche, les yeux fixés sur le cerf. Il se serrait de plus en plus contre moi.
Le cerf, tout en nous surveillant d'un œil a continué de manger.
Je respirais l'odeur de ce jeune marocain et je trouvais qu'elle ressemblait de plus en plus à celle de Mehdi si bien que je me suis mis à bander. Il tenait toujours ma main sur ma cuisse, son autre main est venue chercher la deuxième pour la tenir sur sa cuisse. Je sentais la chaleur de son corps, de sa cuisse ferme.
De près, ses poils de barbe étaient vraiment clairsemés. Il voulait faire viril la crevette! en tout cas j'avais son odeur dans le nez et j'étais ravi.
Le cerf d'un seul coup a tourné les talons et est parti en trottinant, s'enfonçant dans la forêt en même temps que la tension du torse de Fayçal disparaissait.
Il n'a pas lâché mes mains, tournant juste un peu la tête vers moi, si bien que nos joues se touchaient.
-c'est magnifique, je n'en avais jamais vu en vrai des cerfs comme ça, y'en a beaucoup en forêt?
-oui pas mal, mais tu sais qu'on a de la chance d'en voir un comme ça si longtemps. C'est pour ça qu'il ne faut absolument pas bouger, ne rien dire et juste le regarder.
Il serrait toujours mes mains, mais sa respiration s'était calmée, son dos s'appuyait sur mon torse et il m'a posé plein de questions et nous avons parlé des animaux de la forêt, du brame des cerfs, de la peur qu'on pouvait avoir.
Il n'avait plus rien à voir avec le Fayçal du repas de midi.
Il s'était calé sur moi, nos joues se touchaient de plus en plus souvent, je voyais ses yeux briller quand il s'est mis à me parler des animaux de son pays, je voyais sa langue sortir entre ses belles lèvres. Je me suis mis à faire bouger mes doigts dans sa main, il n'a rien dit, serrant toujours sa main.
Puis d'un seul coup, il m'a souri. Un beau sourire qui a illuminé son visage banal, l'éclairant, le changeant complètement.
-on est bien comme ça ici dit il dans un souffle. C'est tranquille tu viens souvent à cet endroit?
-où à d'autres, tu sais j'aime bien aller aux champignons quand c'est la saison.
On s'est mis à parler champignons.
-et Mehdi, mon cousin il vient avec toi ?
-bien sûr on connait la forêt tous les deux.
-vous avez l'air de bien vous entendre tous les deux.
-tu sais on se connait depuis la maternelle et on a fait les mêmes études pas toujours dans la même classe mais on s'est jamais quitté.
Le silence s'est fait, il s'est frotté contre moi, ramenant ses mains avec les miennes contre lui.
On est resté un long moment sans rien dire. Ses yeux se tournaient de temps en temps vers moi comme si il avait envie de poser une question et qu'il n'osait pas.
En le serrant contre moi, frottant ma joue à la sienne.
-tu peux me demander tout ce que tu veux Fayçal, on est que tous les deux ici.
Il m'a regardé en coin, ses yeux étaient inquiets. J'avais envie de le caresser mais mes mains étaient toujours prisonnières des siennes.
-t'aimes les garçons ? demande t-il en regardant devant lui.
-oui dis je à son oreille, et toi ?
Je le sens hésiter, il ouvre la bouche pour parler, la referme, dégluti, recommence.
-t'es pas obligé de me répondre Fayçal.
-tu sais Fabrice je suis un salaud à Casablanca.
Je le serre contre moi ses mains me serrent encore plus.
-je fais croire que j'aime les filles et je nique des mecs en les soumettant à tous mes vices. J'aime dominer des mecs, leur faire mal, les piétiner, les niquer avec force, les remplir de mon jus, leur faire avaler mon zob , leur pisser dessus et toutes ces salopes reviennent car ils veulent que je leur fasse ça. Si bien que j'ai cessé de draguer les meufs et je ne baise que des mecs et pas que des jeunes, des darons mariés qui ont des enfants de mon âge, que je connais. Je nique leur père et ils le savent pas! et je les fais raquer, ils paient ces salopes pour que je leur fasse ça.
J'ai été scotché car je le voyais les yeux fixés dans la forêt, et les larmes coulaient sur ses joues.
Je me suis séparé d'une de ses mains pour prendre son menton et le tourner vers moi, appuyant sur sa tête pour qu'il la glisse dans mon cou.
Il s'est mis à sangloter pendant que je lui caressais les cheveux doucement.
-je suis un salaud répète Fayçal en me regardant.
Je caresse son visage en souriant.
-je ne sais pas si t'es un salaud, là je vois un p'tit mec, tout maigrichon, quatre poils sur les joues, une petite moustache pour le vieillir qui n'a pas l'air si méchant que ça.
Il sourit quand même à travers ses larmes..
-et ce que tu fais avec les mecs qui viennent te voir… c'est eux qui le demandent ?
Il fait oui de la tête.
-donc t'es plutôt un bienfaiteur pour eux alors.
-mais Fabrice, je les maltraite, je les frappe, je leur pisse dessus, jamais je voudrais qu'un mec me fasse ça moi!
-toi en fait t'es un mec doux, tendre qui a envie d'être dans les bras d'un mec.
Il sourit.
-oui peut être mais jamais cela m'est arrivé.
-tu viens de passer une demie heure dans mes bras en me serrant les mains d'ailleurs t'en tiens encore une dis je en riant.
-oh désolé dit il en me lâchant.
-mais j'ai rien dit… et dis moi, tu t'es déjà retrouvé dans un lit avec un garçon ou une fille pour s'aimer, se caresser, s'embrasser et se faire jouir.
-non dit il en me fixant, jamais dans un lit, mais dans une cave, dans la nature, rien d'amical.
J'ai pris son visage entre mes mains.
-alors on va commencer par la première leçon Fayçal. Je vais goûter à tes lèvres et tu vas goûter aux miennes et nos langues vont faire connaissance. T'es d'accord pour me laisser faire ?
Il a juste cligner des yeux et les a gardé fermés.
J'ai caressé ses joues, en approchant mes lèvres à toucher les siennes. Sentir son souffle qui sortait pour se mélanger au mien. Je crois que j'entendais son cœur battre quand mes lèvres ont effleurer les siennes, il a poussé un petit gémissement. Ses mains se sont posées sur mes bras et mes lèvres ont épousées les siennes. Elles étaient douces, chaudes et humides quand j'ai voulu m'enlever, il me suivait. J'ai léché ses lèvres, enfonçant ma langue dans sa bouche. J'ai gémi avec lui, sa langue est venue se frotter à la mienne que je l'ai attiré dans ma bouche, la suçant, l'aspirant, l'asséchant de sa salive que j'avalais. Je sentais ses mains serrer mes bras. On s'est bouffé les lèvres, les langues avant de se frotter les joues l'un contre l'autre en soupirant.
Qu'il était beau ce rebeu crevette quand il souriait!!
-j'avais jamais embrassé quelqu'un comme ça dit Fayçal, j'adore tes lèvres et ta langue tu sais.
Il me serrait dans ses bras collé à moi.
-y'a encore plein de choses que je peux faire avec ma langue tu sais Fayçal.
-tu veux être mon professeur ?
-tiens! professeur de sexe… ça me va bien!
On rigole et je le vois se toucher l'entre jambe.
-t'as mal quelque part? dis je en souriant.
-je crois, dit il tout bas en baissant les yeux , que mon zob n'a jamais été si dur.
-faut faire quelque chose alors! dis je en rigolant.
Il me prend la main et la pose sur la grosse bosse. Je tâte avec deux doigts et je trouve qu'il doit y avoir un sacré morceau!
-tu me fais confiance ?
-oui dit il les yeux brillants.
-alors tourne toi comme tout à l'heure quand le cerf était là.
Là il sourit le garçon! se tourne, se colle à mon dos, ses lèvres me font un bisou sur la joue.
-tu vas faire quoi ?
-déjà on va sortir la bête de sa cachette pour voir quel remède appliquer.
Mes mains défont le jean, l'ouvre. Il se tend en arrière et ma main part à l'aventure pas bien loin car tout de suite elle tombe sur une grosseur. Je passe ma main dans le boxer, longe la queue pour aller chercher les couilles et sortir tout le paquet. Je me penche sur son épaule pour voir l'engin.
Et là! heureusement que j'étais assis.
Mehdi et moi ont pouvait aller se rhabiller. Un beau zob de marocain prenait l'air de la forêt de Sologne, bien raide, bien droit, circoncis comme il se doit. Sa queue avait deux couleurs, plus foncée vers les couilles et ça s'éclaircissait en arrivant au gland en obus et à vue d'œil et de main il y avait plus de 20 centimètres.
J'ai pensé "putain une si grosse queue pour un si petit mec!"
J'avais à peine toucher sa queue qu'il gémissait déjà, sa tête bloquée sous mon menton, il s'était un peu allongé et j'ai pris sa queue dans ma main, la caressant doucement, c'était très chaud, très dur pour arriver à un gland en obus. La mouille coulait en abondance.
J'ai fait un bisou sur sa tête, dans ses cheveux et j'ai commencé de le branler. Il a relevé sa tête en disant.
-embrasse moi en même temps s'il te plait Fabrice.
J'ai pris ses lèvres, aspirant sa langue qu'il m'offrait et je l'ai branlé en cadence, serrant de plus en plus son beau zob marocain qui durcissait encore et encore, j'avais même l'impression qu'il s'allongeait. Mais il n'a pas tenu très longtemps, lâchant mes lèvres pour hurler et j'ai vu le bon jus marocain s'élever dans les airs et retomber sur nous. Les giclées et ses cris se suivaient. Il avait fermé les yeux, se léchait les lèvres en criant. Il avait son beau sourire, là je l'ai encore trouvé beau.
Il a ouvert les yeux, sourire aux lèvres, m'a regardé.
-même quand je me branle, que je nique les salopes jamais j'ai joui autant avec autant de plaisir. Tu m'as tué Fabrice… je suis mort!
Il ferme les yeux, tire la langue et fait le mort.
-et moi ? j'aimerais bien aussi mourir de ta main Fayçal.
-tu sais, dit il en rougissant, que j'ai jamais touché un autre zob que le mien.
-mais là, c'est pas un zob Fayçal, c'est ma bite! et une bite française monsieur.
Il rigole en se retournant, se jette sur moi m'embrasse à pleine bouche.
-tu veux que je te branle alors ?
Pour réponse j'ai défait mon jean et libéré mon monstre à moi.
C'était naturellement la première fois qu'il voyait une bite non circoncise et j'ai attiré toute son attention. J'ai aimé sa main hésitante pour la toucher. Je n'ai rien dit, rien demandé, rien réclamé… je l'ai laissé faire.
Il était assis sur le tronc et moi j'étais debout devant lui. J'avais envie qu'il me suce mais fallait pas trop rêver encore.
J'ai failli jouir quand sa main m'a enveloppé les couilles. De l'autre main il décalottait le gland, regardant la mouille couler, le recouvrait et recommençait et, j'ai été surpris. Il a fait des bisous à ma queue, pas sur le gland, mais sur la hampe et m'a regardé en riant.
-tu aimes ?
-oui Fayçal.
Il a recommencé et s'est mis à me branler mais c'était pas pratique face à moi. Alors il est venu à côté, a collé sa tête sur mon ventre et il m'a branlé. Il était au première loge pour observer un gland qui se décalotte.
En grognant j'ai lâché mes giclées qui se sont perdues dans les feuilles mortes de la forêt.
J'ai aimé sa main chaude et douce sur ma queue et son bisou dessus quand il a eu fini de la secouer pour enlever les traces, se relever, se frotter à moi.
Je l'ai pris par la taille, le collant devant moi pour que nos queues se touchent, je l'ai pris par les fesses, le tenant fermement et il me léchait la langue, l'aspirant en gémissant.
Je sentais son gros zob qui avait repris des forces se frotter contre ma queue quand il m'a regardé avec son beau sourire, j'ai compris qu'il aimait la situation.
Mes mains ont exploré son corps. C'est vrai qu'il était très mince, mais pas maigre comme je le pensais. Un vrai paquet de nerfs, pas vraiment de muscles mais tout était dur chez lui et il semblait apprécier mes caresses, vu les petits cris et gémissements qu'il poussait.
-faut qu'on rentre Fayçal dis je en le bécotant.
-déjà ?
-tu veux dormir avec moi cette nuit ?
-oui dit il les yeux émerveillés, mais… que va dire Mehdi s'il sait ça..
-t'en fait pas pour Mehdi, il va être trop content de rester avec son pote.
-t'as fait la même chose avec Mehdi ?
-pourquoi tu veux savoir ça Fayçal ?
-je sais pas, comme ça… et puis oui t'as raison je m'en fout dit il en rigolant.
Quand on a retrouvé Mehdi et que je lui ai dit mon plan pour cette nuit.
-toi tu veux niquer le cousin! dit il en riant.
Il a fallu prévenir sa mère qui se fichait que l'on dorme chez moi mais qui s'inquiétait car on avait pas à manger!
On est revenu chez Mehdi chercher des restes de couscous et repartir avec les recommandations maternelles.
Mehdi est allé rejoindre son pote avec du couscous.
Et moi j'avais un couscous et un Fayçal tout sourire qui avait envie de pleins de choses et qui avait un air de plus en plus coquin… comme j'aime!
Mehdi est mon ami de toujours, je suis reçu dans sa famille comme il est reçu dans la mienne. On a été amoureux, amants mais on s'est trouvé maintenant chacun un amoureux et l'on reste amis, de très bons amis.
La mère de Mehdi est une sainte femme, un mari et 3 enfants, trois garçons. Elle a toujours eu du boulot mais c'est elle la chef! je me fais autant engueuler par elle que par ma mère, faut filer droit!
Quand elle fait le couscous, je suis invité. Elle connait ma gourmandise, comme Mehdi est invité chez mes parents quand ma mère fait le poulet frites!
On passe de bons moments d'un côté comme de l'autre.
Il y a une dizaine d'années la sœur de la maman de Mehdi, accompagnée de son mari et de ses deux fils sont venus passer un mois de vacances. Elle avait deux garçons elle aussi, dont Fayçal qui était du même âge que Mehdi et moi.
La première fois que je l'ai vu, il était déjà installé à table. La maman de Mehdi a fait les présentations disant que j'étais son fils caché.
J'ai trouvé Fayçal insignifiant, on aurait dit une crevette de rebeu, mince presque maigre, il mesurait bien 10 centimètres de moins que moi. J'ai trouvé qu'il n'avait pas l'air aimable avec son visage allongé, des oreilles décollées, une barbe qui commençait à pousser et pas partout, ses moustaches fines mais il avait des yeux coquins et de belles lèvres. Il m'a fixé et a détourné le regard comme pour dire… tu m'intéresses pas!
J'étais assis à table entre Mehdi et son jeune frère Malik, un pitre de première si bien que nous avons passé un très bon moment. Souvent mon regard croisait celui de Fayçal, mais il le détournait. Il ne parlait pas beaucoup, sauf avec sa mère, ou son petit frère.
Lorsqu'on a été près d'éclater on a cessé de manger en se léchant les doigts d'avoir ingurgité toutes les bonnes pâtisseries.
-allez donc faire un tour en forêt a dit la maman de Mehdi, emmenez Fayçal ça le fera digérer lui aussi.
Nous voilà donc parti Mehdi, Fayçal et moi dans ma voiture quand le bon Mehdi.
-laisse moi chez mon pote, j'ai a lui parler, tu repasses me prendre au retour. T'as pas besoin de moi pour lui faire visiter la forêt.
Je l'ai déposé chez son ami du moment devant l'air inquiet de Fayçal et nous sommes allés en forêt que je connais pratiquement par cœur.
C'est en marchant dans l'allée que j'ai vu que Fayçal était vraiment une crevette. Il faisait vraiment minuscule, il ne parlait pas beaucoup, fallait lui arracher les mots, poser des questions.
Il faisait beau, un temps de printemps. Je savais où il y avait un gros tronc d'arbre où l'on pouvait s'asseoir.
On a bien marché pendant une heure avant de retrouver le tronc d'arbre. J'avais bien vu qu'il commençait à en avoir marre de la forêt et qu'il était content de s'asseoir sur ce tronc.
Lui s'est assis, les jambes du même côté, moi j'ai enjambé le tronc, si bien que je le voyais de profile et que je pouvais l'observer. Et il s'est mis à parler quand je lui ai demandé ce qu'il faisait au Maroc. Il m'a raconté sa vie, qu'il faisait de petits boulots, qu'il sortait avec ses potes mais qu'il s'emmerdait.
Il ne me regardait pas fixait la forêt devant lui.
Quand soudain j'ai entendu du bruit, un bruit de branches cassées. Il l'a entendu aussi, il m'a regardé, j'ai fait "chut" avec mon doigt sur ma bouche et j'ai commencé à regarder dans la forêt pour voir au loin un beau cerf qui arrivait dans notre direction. Le vent était dans le bon sens. Je lui ai montré de la tête la direction, il a tourné la tête et je l'ai vu se figer.
Il a enjambé doucement le tronc, si bien qu'il était dos à moi.
Le cerf tranquille bouffait les jeunes pousses des arbres en avançant tranquillement.
Si vous n'avez jamais assisté à ça c'est magnifique. Un cerf avec d'énormes bois sur le crâne avançait majestueusement en mangeant.
Fayçal a tourné la tête, il avait les yeux écarquillés.
Le cerf avançait toujours dans notre direction il est arrivé à 10 mètres quand il nous a vu. Il a redressé la tête, la tournant doucement pour nous observer et on est resté un long moment comme ça.
J'avais mes mains sur mes cuisses, comme Fayçal quand sa main a cherché la mienne, me la prenant et la serrant très fort.
J'ai aimé cette main chaude et douce. Son corps s'est penché en arrière et son dos est venu se caler sur mon torse. J'avais ma tête sur son épaule, près de la sienne. Il respirait par la bouche, les yeux fixés sur le cerf. Il se serrait de plus en plus contre moi.
Le cerf, tout en nous surveillant d'un œil a continué de manger.
Je respirais l'odeur de ce jeune marocain et je trouvais qu'elle ressemblait de plus en plus à celle de Mehdi si bien que je me suis mis à bander. Il tenait toujours ma main sur ma cuisse, son autre main est venue chercher la deuxième pour la tenir sur sa cuisse. Je sentais la chaleur de son corps, de sa cuisse ferme.
De près, ses poils de barbe étaient vraiment clairsemés. Il voulait faire viril la crevette! en tout cas j'avais son odeur dans le nez et j'étais ravi.
Le cerf d'un seul coup a tourné les talons et est parti en trottinant, s'enfonçant dans la forêt en même temps que la tension du torse de Fayçal disparaissait.
Il n'a pas lâché mes mains, tournant juste un peu la tête vers moi, si bien que nos joues se touchaient.
-c'est magnifique, je n'en avais jamais vu en vrai des cerfs comme ça, y'en a beaucoup en forêt?
-oui pas mal, mais tu sais qu'on a de la chance d'en voir un comme ça si longtemps. C'est pour ça qu'il ne faut absolument pas bouger, ne rien dire et juste le regarder.
Il serrait toujours mes mains, mais sa respiration s'était calmée, son dos s'appuyait sur mon torse et il m'a posé plein de questions et nous avons parlé des animaux de la forêt, du brame des cerfs, de la peur qu'on pouvait avoir.
Il n'avait plus rien à voir avec le Fayçal du repas de midi.
Il s'était calé sur moi, nos joues se touchaient de plus en plus souvent, je voyais ses yeux briller quand il s'est mis à me parler des animaux de son pays, je voyais sa langue sortir entre ses belles lèvres. Je me suis mis à faire bouger mes doigts dans sa main, il n'a rien dit, serrant toujours sa main.
Puis d'un seul coup, il m'a souri. Un beau sourire qui a illuminé son visage banal, l'éclairant, le changeant complètement.
-on est bien comme ça ici dit il dans un souffle. C'est tranquille tu viens souvent à cet endroit?
-où à d'autres, tu sais j'aime bien aller aux champignons quand c'est la saison.
On s'est mis à parler champignons.
-et Mehdi, mon cousin il vient avec toi ?
-bien sûr on connait la forêt tous les deux.
-vous avez l'air de bien vous entendre tous les deux.
-tu sais on se connait depuis la maternelle et on a fait les mêmes études pas toujours dans la même classe mais on s'est jamais quitté.
Le silence s'est fait, il s'est frotté contre moi, ramenant ses mains avec les miennes contre lui.
On est resté un long moment sans rien dire. Ses yeux se tournaient de temps en temps vers moi comme si il avait envie de poser une question et qu'il n'osait pas.
En le serrant contre moi, frottant ma joue à la sienne.
-tu peux me demander tout ce que tu veux Fayçal, on est que tous les deux ici.
Il m'a regardé en coin, ses yeux étaient inquiets. J'avais envie de le caresser mais mes mains étaient toujours prisonnières des siennes.
-t'aimes les garçons ? demande t-il en regardant devant lui.
-oui dis je à son oreille, et toi ?
Je le sens hésiter, il ouvre la bouche pour parler, la referme, dégluti, recommence.
-t'es pas obligé de me répondre Fayçal.
-tu sais Fabrice je suis un salaud à Casablanca.
Je le serre contre moi ses mains me serrent encore plus.
-je fais croire que j'aime les filles et je nique des mecs en les soumettant à tous mes vices. J'aime dominer des mecs, leur faire mal, les piétiner, les niquer avec force, les remplir de mon jus, leur faire avaler mon zob , leur pisser dessus et toutes ces salopes reviennent car ils veulent que je leur fasse ça. Si bien que j'ai cessé de draguer les meufs et je ne baise que des mecs et pas que des jeunes, des darons mariés qui ont des enfants de mon âge, que je connais. Je nique leur père et ils le savent pas! et je les fais raquer, ils paient ces salopes pour que je leur fasse ça.
J'ai été scotché car je le voyais les yeux fixés dans la forêt, et les larmes coulaient sur ses joues.
Je me suis séparé d'une de ses mains pour prendre son menton et le tourner vers moi, appuyant sur sa tête pour qu'il la glisse dans mon cou.
Il s'est mis à sangloter pendant que je lui caressais les cheveux doucement.
-je suis un salaud répète Fayçal en me regardant.
Je caresse son visage en souriant.
-je ne sais pas si t'es un salaud, là je vois un p'tit mec, tout maigrichon, quatre poils sur les joues, une petite moustache pour le vieillir qui n'a pas l'air si méchant que ça.
Il sourit quand même à travers ses larmes..
-et ce que tu fais avec les mecs qui viennent te voir… c'est eux qui le demandent ?
Il fait oui de la tête.
-donc t'es plutôt un bienfaiteur pour eux alors.
-mais Fabrice, je les maltraite, je les frappe, je leur pisse dessus, jamais je voudrais qu'un mec me fasse ça moi!
-toi en fait t'es un mec doux, tendre qui a envie d'être dans les bras d'un mec.
Il sourit.
-oui peut être mais jamais cela m'est arrivé.
-tu viens de passer une demie heure dans mes bras en me serrant les mains d'ailleurs t'en tiens encore une dis je en riant.
-oh désolé dit il en me lâchant.
-mais j'ai rien dit… et dis moi, tu t'es déjà retrouvé dans un lit avec un garçon ou une fille pour s'aimer, se caresser, s'embrasser et se faire jouir.
-non dit il en me fixant, jamais dans un lit, mais dans une cave, dans la nature, rien d'amical.
J'ai pris son visage entre mes mains.
-alors on va commencer par la première leçon Fayçal. Je vais goûter à tes lèvres et tu vas goûter aux miennes et nos langues vont faire connaissance. T'es d'accord pour me laisser faire ?
Il a juste cligner des yeux et les a gardé fermés.
J'ai caressé ses joues, en approchant mes lèvres à toucher les siennes. Sentir son souffle qui sortait pour se mélanger au mien. Je crois que j'entendais son cœur battre quand mes lèvres ont effleurer les siennes, il a poussé un petit gémissement. Ses mains se sont posées sur mes bras et mes lèvres ont épousées les siennes. Elles étaient douces, chaudes et humides quand j'ai voulu m'enlever, il me suivait. J'ai léché ses lèvres, enfonçant ma langue dans sa bouche. J'ai gémi avec lui, sa langue est venue se frotter à la mienne que je l'ai attiré dans ma bouche, la suçant, l'aspirant, l'asséchant de sa salive que j'avalais. Je sentais ses mains serrer mes bras. On s'est bouffé les lèvres, les langues avant de se frotter les joues l'un contre l'autre en soupirant.
Qu'il était beau ce rebeu crevette quand il souriait!!
-j'avais jamais embrassé quelqu'un comme ça dit Fayçal, j'adore tes lèvres et ta langue tu sais.
Il me serrait dans ses bras collé à moi.
-y'a encore plein de choses que je peux faire avec ma langue tu sais Fayçal.
-tu veux être mon professeur ?
-tiens! professeur de sexe… ça me va bien!
On rigole et je le vois se toucher l'entre jambe.
-t'as mal quelque part? dis je en souriant.
-je crois, dit il tout bas en baissant les yeux , que mon zob n'a jamais été si dur.
-faut faire quelque chose alors! dis je en rigolant.
Il me prend la main et la pose sur la grosse bosse. Je tâte avec deux doigts et je trouve qu'il doit y avoir un sacré morceau!
-tu me fais confiance ?
-oui dit il les yeux brillants.
-alors tourne toi comme tout à l'heure quand le cerf était là.
Là il sourit le garçon! se tourne, se colle à mon dos, ses lèvres me font un bisou sur la joue.
-tu vas faire quoi ?
-déjà on va sortir la bête de sa cachette pour voir quel remède appliquer.
Mes mains défont le jean, l'ouvre. Il se tend en arrière et ma main part à l'aventure pas bien loin car tout de suite elle tombe sur une grosseur. Je passe ma main dans le boxer, longe la queue pour aller chercher les couilles et sortir tout le paquet. Je me penche sur son épaule pour voir l'engin.
Et là! heureusement que j'étais assis.
Mehdi et moi ont pouvait aller se rhabiller. Un beau zob de marocain prenait l'air de la forêt de Sologne, bien raide, bien droit, circoncis comme il se doit. Sa queue avait deux couleurs, plus foncée vers les couilles et ça s'éclaircissait en arrivant au gland en obus et à vue d'œil et de main il y avait plus de 20 centimètres.
J'ai pensé "putain une si grosse queue pour un si petit mec!"
J'avais à peine toucher sa queue qu'il gémissait déjà, sa tête bloquée sous mon menton, il s'était un peu allongé et j'ai pris sa queue dans ma main, la caressant doucement, c'était très chaud, très dur pour arriver à un gland en obus. La mouille coulait en abondance.
J'ai fait un bisou sur sa tête, dans ses cheveux et j'ai commencé de le branler. Il a relevé sa tête en disant.
-embrasse moi en même temps s'il te plait Fabrice.
J'ai pris ses lèvres, aspirant sa langue qu'il m'offrait et je l'ai branlé en cadence, serrant de plus en plus son beau zob marocain qui durcissait encore et encore, j'avais même l'impression qu'il s'allongeait. Mais il n'a pas tenu très longtemps, lâchant mes lèvres pour hurler et j'ai vu le bon jus marocain s'élever dans les airs et retomber sur nous. Les giclées et ses cris se suivaient. Il avait fermé les yeux, se léchait les lèvres en criant. Il avait son beau sourire, là je l'ai encore trouvé beau.
Il a ouvert les yeux, sourire aux lèvres, m'a regardé.
-même quand je me branle, que je nique les salopes jamais j'ai joui autant avec autant de plaisir. Tu m'as tué Fabrice… je suis mort!
Il ferme les yeux, tire la langue et fait le mort.
-et moi ? j'aimerais bien aussi mourir de ta main Fayçal.
-tu sais, dit il en rougissant, que j'ai jamais touché un autre zob que le mien.
-mais là, c'est pas un zob Fayçal, c'est ma bite! et une bite française monsieur.
Il rigole en se retournant, se jette sur moi m'embrasse à pleine bouche.
-tu veux que je te branle alors ?
Pour réponse j'ai défait mon jean et libéré mon monstre à moi.
C'était naturellement la première fois qu'il voyait une bite non circoncise et j'ai attiré toute son attention. J'ai aimé sa main hésitante pour la toucher. Je n'ai rien dit, rien demandé, rien réclamé… je l'ai laissé faire.
Il était assis sur le tronc et moi j'étais debout devant lui. J'avais envie qu'il me suce mais fallait pas trop rêver encore.
J'ai failli jouir quand sa main m'a enveloppé les couilles. De l'autre main il décalottait le gland, regardant la mouille couler, le recouvrait et recommençait et, j'ai été surpris. Il a fait des bisous à ma queue, pas sur le gland, mais sur la hampe et m'a regardé en riant.
-tu aimes ?
-oui Fayçal.
Il a recommencé et s'est mis à me branler mais c'était pas pratique face à moi. Alors il est venu à côté, a collé sa tête sur mon ventre et il m'a branlé. Il était au première loge pour observer un gland qui se décalotte.
En grognant j'ai lâché mes giclées qui se sont perdues dans les feuilles mortes de la forêt.
J'ai aimé sa main chaude et douce sur ma queue et son bisou dessus quand il a eu fini de la secouer pour enlever les traces, se relever, se frotter à moi.
Je l'ai pris par la taille, le collant devant moi pour que nos queues se touchent, je l'ai pris par les fesses, le tenant fermement et il me léchait la langue, l'aspirant en gémissant.
Je sentais son gros zob qui avait repris des forces se frotter contre ma queue quand il m'a regardé avec son beau sourire, j'ai compris qu'il aimait la situation.
Mes mains ont exploré son corps. C'est vrai qu'il était très mince, mais pas maigre comme je le pensais. Un vrai paquet de nerfs, pas vraiment de muscles mais tout était dur chez lui et il semblait apprécier mes caresses, vu les petits cris et gémissements qu'il poussait.
-faut qu'on rentre Fayçal dis je en le bécotant.
-déjà ?
-tu veux dormir avec moi cette nuit ?
-oui dit il les yeux émerveillés, mais… que va dire Mehdi s'il sait ça..
-t'en fait pas pour Mehdi, il va être trop content de rester avec son pote.
-t'as fait la même chose avec Mehdi ?
-pourquoi tu veux savoir ça Fayçal ?
-je sais pas, comme ça… et puis oui t'as raison je m'en fout dit il en rigolant.
Quand on a retrouvé Mehdi et que je lui ai dit mon plan pour cette nuit.
-toi tu veux niquer le cousin! dit il en riant.
Il a fallu prévenir sa mère qui se fichait que l'on dorme chez moi mais qui s'inquiétait car on avait pas à manger!
On est revenu chez Mehdi chercher des restes de couscous et repartir avec les recommandations maternelles.
Mehdi est allé rejoindre son pote avec du couscous.
Et moi j'avais un couscous et un Fayçal tout sourire qui avait envie de pleins de choses et qui avait un air de plus en plus coquin… comme j'aime!
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