Fayçal, le marocain amoureux 3/4
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fayçal, le marocain amoureux 3/4
J'ai léché, inondé ce beau petit trou qui peinait à s'ouvrir et à rester ouvert surtout.
Quand j'ai mis mon doigt sur le petit trou, il s'est contracté. J'ai gratouillé, déposant de la salive. J'ai vu le trou s'ouvrir, le doigt entrer doucement et il a recommencé à gémir.
Je l'ai doigté en souplesse, tendrement, faisant tout le temps des bisous sur les belles petites fesses. Il gémissait en continue.
Quand j'ai voulu mettre deux doigts ce fût un peu plus dur. Il a crié en serrant son cul. Je n'ai rien dit, j'ai attendu et il s'est tendu vers moi, avec la salive les deux doigts sont entrés.
Il poussait des petits cris, des "aie", des "oh".
Et je me suis souvenu que j'avais du gel!!!
-C'est froid dit il quand j'ai fait couler le gel sur son petit cul et j'en ai mis si je voulais le visiter.
Bien sûr qu'il s'est ouvert ce petit cul récalcitrant. Mes deux doigts le vrillaient bien profond maintenant, je tournais et quand je les sortais, le trou restait ouvert. Je l'ai dompté encore quelques instants rien que pour l'entendre gémir et le voir tendre son cul.
J'ai tartiné ma queue de gel et je n'ai pas lésiné!
Quand il a senti mon gland remplacer les doigts il s'est crispé. Je l'ai saisi aux hanches et j'ai forcé lentement, avec le gel mon gland avançait ouvrant encore plus son cul. Le gland n'était pas encore entré qu'il gueulait. Je me suis arrêté et j'ai vu son cul reculer sur ma queue.
Ah il la voulait! alors il allait l'avoir.
J'ai forcé encore et le gland a glissé d'un coup le faisant pratiquement se redresser avant de s'écraser sur les draps et tendre bien son cul. Il gueulait encore plus fort, geignait, pleurait mais ne se refusait pas.
Je lui ai laissé le temps de s'habituer à l'intruse et j'ai poursuivi ma progression. Le gel aidant ma queue est entrée comme chez elle avant que nos couilles se caressent.
Je l'ai fait se redresser contre moi, et s'enfoncer encore plus sur ma queue. Il a tourné la tête, les larmes coulaient sur ses joues, mais il souriait.
-ça va Fayçal ?
-je comprends maintenant pourquoi les mecs gueulent si fort quand je les nique sans mettre de gel. J'ai un peu mal tu sais alors nique moi doucement s'il te plait.
Je l'ai embrassé tendrement, caressant son torse, descendant pour attraper sa queue qui avait débandé et qui reprenait des forces. Je l'ai branlé, il est redevenu dur. J'ai fait bouger ma queue en lui, sa queue tressautait dans ma main.
-tu vois elles sont toutes les deux contentes, j'ai dit à son oreille.
J'étais heureux d'être le premier à mettre ma queue dans ce petit cul de marocain et, quand j'ai commencé à le niquer comme ils disent, j'ai fait ça lentement, profondément. Il poussait maintenant de petits cris et ma queue voyageait bien en lui.
J'étais excité comme un puceau a son premier coup.
Je n'ai pas eu le temps de donner de grands coups de reins que je sentais le plaisir arriver et de gueuler en le serrant aux hanches comme un malade, le faisant hurler également et les giclées chaudes se sont succédées. J'ai rempli ce petit cul, ce petit corps de marocain avec un plaisir extrême, non dissimulé.
Je l'ai fait se redresser contre moi, restant en lui, lui mordant la nuque je l'ai branlé avec force, sentant ses petites fesses se serrer sur ma queue bandante encore en lui, il a joui rapidement en hurlant… y'en avait partout!
Et nos corps se sont détendus. Je mordillais encore sa nuque, quand il m'a dit:
-embrasse moi encore s'il te plait.
J'aimais sa façon de dire "s'il te plait".
Je suis sorti délicatement de son petit trou, regardant l'anus se refermer.
On s'est allongé l'un à côté de l'autre puis il est venu dans mes bras, se serrant contre moi, j'ai senti sa queue qui bandait encore.
Il m'a fait un bisou, son sourire illuminait son visage.
-maintenant on dort si tu veux bien Fabrice.
J'ai caressé son visage en lui faisant un bisou.
-bonne nuit mon Fayçal adoré.
-bonne nuit Fabrice.
Il a fermé les yeux et je crois qu'il dormait dans la seconde… en souriant!
J'aime me réveiller le premier quand je suis avec un nouveau mec, le regarder, l'observer et penser à lui, penser à ce qu'on avait fait. Le plaisir qu'il m'avait donné et là j'avais une magnifique crevette marocaine qui ronronnait la bouche légèrement entrouverte. Je n'avais pas remarqué qu'il avait de longs cils fins et surtout, qu'il avait encore le sourire aux lèvres.
J'ai repensé à ce qu'il m'avait dit hier, ce qu'il faisait à Casablanca. J'en revenais pas que ce petit mec au super gros zob mate des darons marocains qui venaient se faire baiser par lui. Je l'ai cru dans ce qu'il racontait, il n'avait pas l'air vicieux. Il faisait ça parce qu'on lui demandait et, comme il bandait… ben ils en prenaient plein le cul les mecs! j'aurais bien aimé voir les tableaux!
Mais là j'avais ce petit mec contre moi, ses bras repliés entre nous, une jambe entre les miennes et je sentais sa grosse queue bandante collée à ma peau. Il n'avait pas débandé de la nuit et ce matin j'étais au même niveau que lui.
J'étais épaté qu'il m'ait offert son cul comme ça et j'avais encore envie de lui, envie de lui bouffer son petit cul car je l'avais trouvé très bon. Mais je voulais aussi qu'il goûte au mien avec sa langue bien chaude et agile cela devrait être très bon… me faire niquer… euh ça me paraissait vraiment trop gros pour mon petit cul.
J'en étais la de mes réflexions, quand il a bougé. Ses mains m'ont touché et rapidement il a ouvert les yeux, les refermant, clignant et, quand il m'a fixé, j'ai d'abord vu de l'étonnement puis aussitôt le sourire est revenu.
-mon touriste marocain a bien dormi dans un lit français ?
-très bien et j'ai pas eu froid dit il en riant.
J'ai caressé son visage, sa joue, lui faisant un bisou sur le nez.
-bonjour Fayçal, tu es très beau quand tu dors j'ai eu plaisir à t'admirer.
-oh tu vas pas me faire rougir dès le réveil bonjour Fabrice, mon beau français qui m'a fait connaitre plein de choses.
Il me fait un bisou sur les lèvres.
-on fait quoi aujourd'hui ? demande Fayçal.
-je ne travaille pas alors on a tout le temps, enfin presque parce que je connais Mehdi il devrait se pointer vers midi.
-oh dommage dit Fayçal, j'aurais bien aimé rester comme ça toute la journée avec toi, dans tes bras.
-mais tu deviens voyou Fayçal dis je en riant.
-et ce soir ? je pourrais rester encore avec toi ?
En disant cela il avait donné un coup de reins pour que son zob bouge sur mon flanc, sa main me caressait la poitrine et descend sur ma queue, la prend en main, la serre.
-on peut pas rester comme ça dit il l'air malheureux.
Je le serre contre moi.
-t'as envie de quoi mon beau marocain ?
-tu sais que c'est la première fois que je dors toute une nuit avec un garçon.
-eh bien dit donc, depuis hier ça en fait des premières fois!
-et je suis content que ça soit avec toi Fabrice. Tu sais je pensais pas qu'un jour je me ferais niquer, j'avoue que j'ai eu un peu mal même beaucoup dit il en riant. Mais t'as été gentil, doux et quelle sensation quand tu as juté dans mon cul je crois que j'ai juté encore plus après quand tu m'as branlé.
-si on se suçait tous les deux ensemble ?
-avant je t'embrasse.
Et sa langue est venue jouer avec la mienne et il a recommencé ses gémissements.
Sa tête est partie vers ma queue, tournant son corps et j'ai vu arriver le gros zob, la grosse ogive toute raide, toute droite qui pointait vers moi.
Quand j'ai senti qu'il avalait ma queue, j'ai pris la sienne et l'on s'est mis à téter comme des bébés un biberon.
Je lui caressais les couilles pendant qu'il faisait la même chose aux miennes, je sentais sa langue sur mon gland et j'appréciais la dureté, la chaleur du sien.
On râlait tous les deux, on gémissait et on a joui tous les deux ensemble. Les giclées sont sorties en même temps emplissant les bouches et coulant dans les gorges. Cette fois il n'a rien perdu et moi non plus. On s'est léché jusqu'à la dernière goutte et il est revenu dans mes bras me donner sa langue et sucer la mienne.
-J'adore faire comme ça! dit il en m'embrassant, t'as vu j'ai tout avaler ce matin.
-c'est bien mon bébé dis je en le serrant contre moi.
On est resté encore quelques temps comme ça, à se faire des bisous, des caresses. Il n'arrêtait pas de répéter qu'il était bien avec moi.
Puis il a fallu se lever pour d'abord aller pisser. Il a pris une douche pendant que je faisais le café.
On a pris notre petit déjeuner, à poil tous les deux, face à face, tout sourire dehors!
Il était presque midi quand je suis allé prendre ma douche lui disant :
-habille toi, Mehdi va arriver! et peut être qu'il va nous amener son ami.
-tu le connais pas son ami ?
-je l'ai aperçu mais tu sais Mehdi c'est un cachotier. Il veut tout savoir mais ne raconte pas grand chose.
Il était midi et demi que Mehdi arrivait avec Pascal, ramenant la gamelle de couscous qui leur restait. Mélangé à nos restes on avait encore à manger pour nous quatre.
Pascal est un beau mec, comme Mehdi les aime, blond bien sûr, c'est son péché mignon au bon Mehdi et le blond avait l'air de l'aimer son Mehdi.
Il n'y avait que Fayçal qui ne semblait pas à son aise, ça devait tourner dans sa tête et en plus, Mehdi qui n'arrêtait pas de le charrier.
-t'as bien dormi dans les bras de Fabrice ? parce qu'on y dort bien ça je le sais.
Fayçal me regardait, et je suis venu à sa rescousse.
-Mehdi arrête d'embêter ton cousin sinon je peux raconter des choses moi aussi.
-quoi! toi mon pote! mon ami, mon frère caché comme dit ma mère, tu oses me menacer!
Même en faisant le méchant il a fait rire tout le monde.
On a passé l'après midi à rigoler. Pascal dans les bras de Mehdi, n'arrêtant pas de lui faire des bisous.
Voyant cela, Fayçal est venu se coller à moi et je l'ai pris dans mes bras, lui faisant un bisou et lui disant.
-laisse les dire, c'est toi le plus beau.
-je croyais que c'était moi dit Mehdi, en tout cas c'est toujours ce que tu m'as dit
-oui mais je n'avais pas vu ton cousin et honnêtement il te surpasse largement! et je n'en dirais pas plus!
Tout le monde rigolait et le soir venu.
-bon faudrait peut être que l'on rentre cousin les mères vont finir par se demander.
-dit Mehdi j'aimerais bien rester ici cette nuit mais il faut que je dise quoi ?
-eh bien une nuit ça t'a pas suffit! bon qu'est ce que je vais raconter aux mères.
-dit donc Mehdi tu disais quoi à ta mère quand tu restais avec moi la nuit ?
-qu'on regardait des films à la télé.
-ben voilà… t'as trouvé!
On s'est retrouvé tous les deux. Il souriait Fayçal en venant se jeter dans mes bras.
-si tu savais comme je suis content Fabrice.
-mais tu es resté pour une autre leçon ou pour réviser celle de cette nuit ?
-autant en apprendre une nouvelle non ?
-à moins que toi tu aies quelque chose à m'apprendre, un truc marocain que je ne connais pas.
-Mehdi t'a rien appris de marocain.
-Mehdi! mais c'est un marocain né en France, il connait pas les trucs marocains.
-j'aimerais autant que toi tu m'apprennes autre chose.
Il avait un air coquin en se serrant contre moi.
-moi j'ai envie que tu me fasses quelque chose dis je en le fixant.
-te niquer ?
-euh pas vraiment pour l'instant.
-t'as raison mon gros zob fait trop mal quand il rentre dans un cul et je sais pas faire doucement… mais alors tu veux quoi ?
-on va d'abord aller prendre une douche, si tu veux je vais te laver comme ça je vais caresser encore ton corps et ensuite toi tu me laveras aussi partout sur le corps, dans tous les recoins.
-mais je vais être dur complètement dit il en riant, et après ?
-après je t'explique la suite quand on sera couché.
-je peux te dire quelque chose ? mais tu te fâcheras pas hein ?
-pourquoi tu veux que je me fâche.
-je t'aime Fabrice, je t'aime de tout mon cœur. Je n'ai jamais dit ça à personne tu sais.
-eh bien tu vois, ça fait encore une première fois!
Et je l'ai embrassé tendrement en le serrant contre moi pour prendre sa tête entre mes mains.
-je crois que moi aussi mon cœur bat plus vite quand je te serre contre moi et te dire que je suis heureux que aies décidé de rester ce soir, me fait un immense plaisir. Te dire déjà que je t'aime je ne sais pas vraiment, mais ce que je peux te dire Fayçal c'est que je t'apprécie énormément et que je suis ravi d'être avec toi et de te mettre dans mon lit pour faire ton professeur de sexe!
C'est lui qui m'a entraîné dans la salle de bains.
Quand j'ai mis mon doigt sur le petit trou, il s'est contracté. J'ai gratouillé, déposant de la salive. J'ai vu le trou s'ouvrir, le doigt entrer doucement et il a recommencé à gémir.
Je l'ai doigté en souplesse, tendrement, faisant tout le temps des bisous sur les belles petites fesses. Il gémissait en continue.
Quand j'ai voulu mettre deux doigts ce fût un peu plus dur. Il a crié en serrant son cul. Je n'ai rien dit, j'ai attendu et il s'est tendu vers moi, avec la salive les deux doigts sont entrés.
Il poussait des petits cris, des "aie", des "oh".
Et je me suis souvenu que j'avais du gel!!!
-C'est froid dit il quand j'ai fait couler le gel sur son petit cul et j'en ai mis si je voulais le visiter.
Bien sûr qu'il s'est ouvert ce petit cul récalcitrant. Mes deux doigts le vrillaient bien profond maintenant, je tournais et quand je les sortais, le trou restait ouvert. Je l'ai dompté encore quelques instants rien que pour l'entendre gémir et le voir tendre son cul.
J'ai tartiné ma queue de gel et je n'ai pas lésiné!
Quand il a senti mon gland remplacer les doigts il s'est crispé. Je l'ai saisi aux hanches et j'ai forcé lentement, avec le gel mon gland avançait ouvrant encore plus son cul. Le gland n'était pas encore entré qu'il gueulait. Je me suis arrêté et j'ai vu son cul reculer sur ma queue.
Ah il la voulait! alors il allait l'avoir.
J'ai forcé encore et le gland a glissé d'un coup le faisant pratiquement se redresser avant de s'écraser sur les draps et tendre bien son cul. Il gueulait encore plus fort, geignait, pleurait mais ne se refusait pas.
Je lui ai laissé le temps de s'habituer à l'intruse et j'ai poursuivi ma progression. Le gel aidant ma queue est entrée comme chez elle avant que nos couilles se caressent.
Je l'ai fait se redresser contre moi, et s'enfoncer encore plus sur ma queue. Il a tourné la tête, les larmes coulaient sur ses joues, mais il souriait.
-ça va Fayçal ?
-je comprends maintenant pourquoi les mecs gueulent si fort quand je les nique sans mettre de gel. J'ai un peu mal tu sais alors nique moi doucement s'il te plait.
Je l'ai embrassé tendrement, caressant son torse, descendant pour attraper sa queue qui avait débandé et qui reprenait des forces. Je l'ai branlé, il est redevenu dur. J'ai fait bouger ma queue en lui, sa queue tressautait dans ma main.
-tu vois elles sont toutes les deux contentes, j'ai dit à son oreille.
J'étais heureux d'être le premier à mettre ma queue dans ce petit cul de marocain et, quand j'ai commencé à le niquer comme ils disent, j'ai fait ça lentement, profondément. Il poussait maintenant de petits cris et ma queue voyageait bien en lui.
J'étais excité comme un puceau a son premier coup.
Je n'ai pas eu le temps de donner de grands coups de reins que je sentais le plaisir arriver et de gueuler en le serrant aux hanches comme un malade, le faisant hurler également et les giclées chaudes se sont succédées. J'ai rempli ce petit cul, ce petit corps de marocain avec un plaisir extrême, non dissimulé.
Je l'ai fait se redresser contre moi, restant en lui, lui mordant la nuque je l'ai branlé avec force, sentant ses petites fesses se serrer sur ma queue bandante encore en lui, il a joui rapidement en hurlant… y'en avait partout!
Et nos corps se sont détendus. Je mordillais encore sa nuque, quand il m'a dit:
-embrasse moi encore s'il te plait.
J'aimais sa façon de dire "s'il te plait".
Je suis sorti délicatement de son petit trou, regardant l'anus se refermer.
On s'est allongé l'un à côté de l'autre puis il est venu dans mes bras, se serrant contre moi, j'ai senti sa queue qui bandait encore.
Il m'a fait un bisou, son sourire illuminait son visage.
-maintenant on dort si tu veux bien Fabrice.
J'ai caressé son visage en lui faisant un bisou.
-bonne nuit mon Fayçal adoré.
-bonne nuit Fabrice.
Il a fermé les yeux et je crois qu'il dormait dans la seconde… en souriant!
J'aime me réveiller le premier quand je suis avec un nouveau mec, le regarder, l'observer et penser à lui, penser à ce qu'on avait fait. Le plaisir qu'il m'avait donné et là j'avais une magnifique crevette marocaine qui ronronnait la bouche légèrement entrouverte. Je n'avais pas remarqué qu'il avait de longs cils fins et surtout, qu'il avait encore le sourire aux lèvres.
J'ai repensé à ce qu'il m'avait dit hier, ce qu'il faisait à Casablanca. J'en revenais pas que ce petit mec au super gros zob mate des darons marocains qui venaient se faire baiser par lui. Je l'ai cru dans ce qu'il racontait, il n'avait pas l'air vicieux. Il faisait ça parce qu'on lui demandait et, comme il bandait… ben ils en prenaient plein le cul les mecs! j'aurais bien aimé voir les tableaux!
Mais là j'avais ce petit mec contre moi, ses bras repliés entre nous, une jambe entre les miennes et je sentais sa grosse queue bandante collée à ma peau. Il n'avait pas débandé de la nuit et ce matin j'étais au même niveau que lui.
J'étais épaté qu'il m'ait offert son cul comme ça et j'avais encore envie de lui, envie de lui bouffer son petit cul car je l'avais trouvé très bon. Mais je voulais aussi qu'il goûte au mien avec sa langue bien chaude et agile cela devrait être très bon… me faire niquer… euh ça me paraissait vraiment trop gros pour mon petit cul.
J'en étais la de mes réflexions, quand il a bougé. Ses mains m'ont touché et rapidement il a ouvert les yeux, les refermant, clignant et, quand il m'a fixé, j'ai d'abord vu de l'étonnement puis aussitôt le sourire est revenu.
-mon touriste marocain a bien dormi dans un lit français ?
-très bien et j'ai pas eu froid dit il en riant.
J'ai caressé son visage, sa joue, lui faisant un bisou sur le nez.
-bonjour Fayçal, tu es très beau quand tu dors j'ai eu plaisir à t'admirer.
-oh tu vas pas me faire rougir dès le réveil bonjour Fabrice, mon beau français qui m'a fait connaitre plein de choses.
Il me fait un bisou sur les lèvres.
-on fait quoi aujourd'hui ? demande Fayçal.
-je ne travaille pas alors on a tout le temps, enfin presque parce que je connais Mehdi il devrait se pointer vers midi.
-oh dommage dit Fayçal, j'aurais bien aimé rester comme ça toute la journée avec toi, dans tes bras.
-mais tu deviens voyou Fayçal dis je en riant.
-et ce soir ? je pourrais rester encore avec toi ?
En disant cela il avait donné un coup de reins pour que son zob bouge sur mon flanc, sa main me caressait la poitrine et descend sur ma queue, la prend en main, la serre.
-on peut pas rester comme ça dit il l'air malheureux.
Je le serre contre moi.
-t'as envie de quoi mon beau marocain ?
-tu sais que c'est la première fois que je dors toute une nuit avec un garçon.
-eh bien dit donc, depuis hier ça en fait des premières fois!
-et je suis content que ça soit avec toi Fabrice. Tu sais je pensais pas qu'un jour je me ferais niquer, j'avoue que j'ai eu un peu mal même beaucoup dit il en riant. Mais t'as été gentil, doux et quelle sensation quand tu as juté dans mon cul je crois que j'ai juté encore plus après quand tu m'as branlé.
-si on se suçait tous les deux ensemble ?
-avant je t'embrasse.
Et sa langue est venue jouer avec la mienne et il a recommencé ses gémissements.
Sa tête est partie vers ma queue, tournant son corps et j'ai vu arriver le gros zob, la grosse ogive toute raide, toute droite qui pointait vers moi.
Quand j'ai senti qu'il avalait ma queue, j'ai pris la sienne et l'on s'est mis à téter comme des bébés un biberon.
Je lui caressais les couilles pendant qu'il faisait la même chose aux miennes, je sentais sa langue sur mon gland et j'appréciais la dureté, la chaleur du sien.
On râlait tous les deux, on gémissait et on a joui tous les deux ensemble. Les giclées sont sorties en même temps emplissant les bouches et coulant dans les gorges. Cette fois il n'a rien perdu et moi non plus. On s'est léché jusqu'à la dernière goutte et il est revenu dans mes bras me donner sa langue et sucer la mienne.
-J'adore faire comme ça! dit il en m'embrassant, t'as vu j'ai tout avaler ce matin.
-c'est bien mon bébé dis je en le serrant contre moi.
On est resté encore quelques temps comme ça, à se faire des bisous, des caresses. Il n'arrêtait pas de répéter qu'il était bien avec moi.
Puis il a fallu se lever pour d'abord aller pisser. Il a pris une douche pendant que je faisais le café.
On a pris notre petit déjeuner, à poil tous les deux, face à face, tout sourire dehors!
Il était presque midi quand je suis allé prendre ma douche lui disant :
-habille toi, Mehdi va arriver! et peut être qu'il va nous amener son ami.
-tu le connais pas son ami ?
-je l'ai aperçu mais tu sais Mehdi c'est un cachotier. Il veut tout savoir mais ne raconte pas grand chose.
Il était midi et demi que Mehdi arrivait avec Pascal, ramenant la gamelle de couscous qui leur restait. Mélangé à nos restes on avait encore à manger pour nous quatre.
Pascal est un beau mec, comme Mehdi les aime, blond bien sûr, c'est son péché mignon au bon Mehdi et le blond avait l'air de l'aimer son Mehdi.
Il n'y avait que Fayçal qui ne semblait pas à son aise, ça devait tourner dans sa tête et en plus, Mehdi qui n'arrêtait pas de le charrier.
-t'as bien dormi dans les bras de Fabrice ? parce qu'on y dort bien ça je le sais.
Fayçal me regardait, et je suis venu à sa rescousse.
-Mehdi arrête d'embêter ton cousin sinon je peux raconter des choses moi aussi.
-quoi! toi mon pote! mon ami, mon frère caché comme dit ma mère, tu oses me menacer!
Même en faisant le méchant il a fait rire tout le monde.
On a passé l'après midi à rigoler. Pascal dans les bras de Mehdi, n'arrêtant pas de lui faire des bisous.
Voyant cela, Fayçal est venu se coller à moi et je l'ai pris dans mes bras, lui faisant un bisou et lui disant.
-laisse les dire, c'est toi le plus beau.
-je croyais que c'était moi dit Mehdi, en tout cas c'est toujours ce que tu m'as dit
-oui mais je n'avais pas vu ton cousin et honnêtement il te surpasse largement! et je n'en dirais pas plus!
Tout le monde rigolait et le soir venu.
-bon faudrait peut être que l'on rentre cousin les mères vont finir par se demander.
-dit Mehdi j'aimerais bien rester ici cette nuit mais il faut que je dise quoi ?
-eh bien une nuit ça t'a pas suffit! bon qu'est ce que je vais raconter aux mères.
-dit donc Mehdi tu disais quoi à ta mère quand tu restais avec moi la nuit ?
-qu'on regardait des films à la télé.
-ben voilà… t'as trouvé!
On s'est retrouvé tous les deux. Il souriait Fayçal en venant se jeter dans mes bras.
-si tu savais comme je suis content Fabrice.
-mais tu es resté pour une autre leçon ou pour réviser celle de cette nuit ?
-autant en apprendre une nouvelle non ?
-à moins que toi tu aies quelque chose à m'apprendre, un truc marocain que je ne connais pas.
-Mehdi t'a rien appris de marocain.
-Mehdi! mais c'est un marocain né en France, il connait pas les trucs marocains.
-j'aimerais autant que toi tu m'apprennes autre chose.
Il avait un air coquin en se serrant contre moi.
-moi j'ai envie que tu me fasses quelque chose dis je en le fixant.
-te niquer ?
-euh pas vraiment pour l'instant.
-t'as raison mon gros zob fait trop mal quand il rentre dans un cul et je sais pas faire doucement… mais alors tu veux quoi ?
-on va d'abord aller prendre une douche, si tu veux je vais te laver comme ça je vais caresser encore ton corps et ensuite toi tu me laveras aussi partout sur le corps, dans tous les recoins.
-mais je vais être dur complètement dit il en riant, et après ?
-après je t'explique la suite quand on sera couché.
-je peux te dire quelque chose ? mais tu te fâcheras pas hein ?
-pourquoi tu veux que je me fâche.
-je t'aime Fabrice, je t'aime de tout mon cœur. Je n'ai jamais dit ça à personne tu sais.
-eh bien tu vois, ça fait encore une première fois!
Et je l'ai embrassé tendrement en le serrant contre moi pour prendre sa tête entre mes mains.
-je crois que moi aussi mon cœur bat plus vite quand je te serre contre moi et te dire que je suis heureux que aies décidé de rester ce soir, me fait un immense plaisir. Te dire déjà que je t'aime je ne sais pas vraiment, mais ce que je peux te dire Fayçal c'est que je t'apprécie énormément et que je suis ravi d'être avec toi et de te mettre dans mon lit pour faire ton professeur de sexe!
C'est lui qui m'a entraîné dans la salle de bains.
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