Fête de famille

- Par l'auteur HDS Feufolette -
Récit érotique écrit par Feufolette [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Fête de famille Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Fête de famille
Salut à toi cher lecteur, si tu me suis déjà, j’espère que la suite de mes récits te plairont, dans le cas contraire, découvrons-nous...

Je suis Camille, une jeune transgenre de 19 ans. J’ai de longues jambes fines, féminines et naturellement lisses; un joli cul rebondi juste ce qu’il faut, des hanches fines me donnant une silhouette très féminine; je viens de me faire opérer pour avoir un joli 90C et les cicatrices s’estompent peu à peu. J’ai depuis peu les cheveux teint en blond, qui vont à merveille avec mes yeux bleus. Je vais régulièrement faire des UV pour rendre ma peau plus bronzée, j’adore ça! J’aime à opter pour un maquillage léger et les traits de mon visage sont de plus en plus fins et féminins. Ma transition se passe bien. J’ai un boulot dans une boutique de prêt-à-porter féminin, et je me suis fais un tatouage sur l’aine « Stay Wild ». Enfin, j’aime toujours autant mon piercing au nombril, qui sublime mon ventre plat.

Depuis ma dernière avec René, il y a un mois et demi, je n’ai eu aucune aventure et aucune envie d’en avoir d’ailleurs. Et ce week-end, je le passe chez mes parents pour fêter l’anniversaire de mon père.
Toute la famille sait que je suis en transition mais personne ne m’a revu depuis Noël. Nous sommes en Juillet; il fait chaud, et ils risquent d’avoir un petit choc...
J’hésite beaucoup de tenue, alors en femme véritable, j’emporte 3 valises de fringues, accessoires et chaussures...

Vendredi, j’opte pour tenue estivale, mais je tiens à préserver mes parents. J’éviterai les tenues aguicheuses... ce sera donc : talons compensés avec une lanière noire sur l’avant du pied laissant visibles mes doigts de pied (je vernis mes ongles en rouge) et une lanière au milieu, le talon est visible et bien rehaussé pour une tenue femme parfaite, et la lanière s’enroule autour de mes chevilles ; un pantacourt beige qui me serre aux hanches valorisant ma silhouette, et pas moulant pour garder de la fraîcheur ; et un t-shirt blanc qui laisse mes bras visibles mais cache mon décolleté, il est rentré dans le pantalon et me permet de ne pas porter de soutien-gorge... le soir, j’arrive et suis surprise par la première phrase de mon père : « comment va ma fille? ». La manière dont il acceptent mes choix me rempli de bonheur.
Au dîner, ils m’avouent qu’ils sont fiers de moi. De voir comme j’assume mes choix et parviens à construire ma vie. Bien sûr, et heureusement, ils ne savent pas tout de ma vie... mais ces mots me font du bien.
Je retrouve ensuite ma chambre, rien n’a été déplacé... je suis heureuse de retrouver cet endroit, qui me rappelle tant de souvenirs... et je défait mes valises, plaçant sous mon coussin les quelques jouets que j’ai emporter.
Ma mère entre dans la pièce. Elle vient me demander si tout va bien et comment je me sens avant de retrouver la famille. Elle ajoute aussi : « Gilles nous demande souvent de tes nouvelles, il dit que tu ne lui en donne plus, il y a un problème dont tu voudrais me parler avant demain? »
Moi : « ça va maman, j’ai tout ce dont j’ai besoin et je vous remercie papa et toi de la manière dont vous acceptez mes choix. Pour Gilles ça ira ne t’inquiète pas »
Elle sent bien qu’il y a quelque chose mais n’ose insister. Elle me fait une bise et s’en va.
Effectivement je suis stressée de retrouver Gilles. Il m’a trahi en révélant cet écart de conduite dans ses bras à mon copain de l’époque Romain. En fait, à y réfléchir, c’était de ma faute puisque j’avais fauté. Mais Romain m’avait humiliée et violée et c’est ce qui fait que je ne pardonne toujours pas. Je ne lui ai pas répondu depuis. Il va me trouver bien changée lui aussi...

Demain, il y aura aussi René, cet homme, qui pendant des mois me payait pour être sa chose. Celui qui m’a permis de faire cette opération et de me sentir enfin bien dans mon corps. L’ami de papa, qui n’avais accepté de révéler son visage qu’à la toute fin... je pensais à lui tout le temps depuis. Et souvent en me donnant du plaisir... comment va-t-on réagir demain?

Il fait chaud et je me déshabille, nue sur mon lit... je penses à René fermant les yeux et prends mon lubrifiant, je m’en verse sur l’anus et sur mon gode ventouse, puis me l’insère en relevant les jambes. Je tente de ne pas gémir pour que mes parents ne se doutent de rien... mon sex est tendu mais je me refuse à le toucher. Mmm après quelques minutes de ce traitement délicieux, j’entends mon téléphone vibrer, je jette un oeil : Gilles. Voilà qui me coupe dans mes pensées et vient gâcher mon moment. Je ne suis plus à ce que je fais alors je lis le message : « salut Camille, j’espère que tu vas bien. Voilà des mois que tu ne me réponds plus et ne m’adresse plus la parole. J’aimerais encore une fois te demander pardon pour mon attitude impardonnable, mais surtout te dire une chose que je ne t’ai encore jamais dite. Si j’ai fait cela, c’était pour te garder auprès de moi, et j’ai finalement tout perdu ! Je t’ai perdu toi ! J’aimerais que tu répondes au moins à cette question avant demain midi : acceptes-tu que je vienne à l’anniversaire de ton père? Sinon, je respecterai ton choix. Je t’embrasse. Gilles »
Waou, définitivement j’arrête de me caresser... il semble sincère. Etait-il amoureux de moi? Mon propre cousin..?! Je cogite énormément et finis par m’endormir
Au matin, j’émerge, je range le lubrifiant et le gode. Heureusement que mes parents ne sont pas venus me réveiller. Cette fois, je mets un string sex, un short blanc, qui s’arrête en haut de mes cuisses, et une chemise bleue et blanche à rayures verticales. Elle offre un joli décolleté puisque je laisse quelques boutons dégrafés. Je décide de ne pas mettre de soutien-gorge à nouveau. Il fait trop chaud ! Pour les chaussures, je remets les mêmes talons qu’hier.
Avant de retrouver mes parents pour le petit-déjeuner, je veux répondre à Gilles : « coucou, merci pour ton message. Je ne veux pas que ce que nous vécu casse quelque chose dans la famille. Viens ! Et rachète toi ;) bisous, Camille »J’essaie ainsi de détendre l’atmosphère. Je suis une nouvelle femme, et c’est jour de fête !

Mes parents me complimentent sur mon look. Ils me rassurent me disant que ce n’est pas « trop sexy ». Malgré tout, je surprend mon père à lorgner sur mon décolleté. Tous les mêmes.
Il ose : « Camille, peut-on te poser quelques questions indiscrètes? Tu as l’air à l’aise avec ton identité et jusqu’ici, on a jamais osé te poser certaines questions »
Moi : « oui bien-sûr »
Lui : « es-tu femme aux yeux de l’Etat ? »
Moi : « pas encore, la procédure est très longue... mais à part le sex, tout sur ma carte d’identité laisse à croire que je le suis... »
Lui : « et tu t’es fait opéré? »
Moi : « oui, comme tu vois » je suis un peu gêné et ma mère aussi...

Elle : « et pour... le bas..? »
Moi : « en effet vous êtes plus directs que jamais... pour mon sex, non. Et je ne le ferai jamais je penses »
Lui : « a ok on avait un peu peur, il semble qu’il y ai des risques avec cette opération. Si toutefois tu changeais d’avis, on aimerait te soutenir et être plus présents pour toi »
Je suis touchée par cette bienveillance : « merci beaucoup »
Plus tard, René est le premier a arriver, ils s’enlacent avec mon père. Mon coeur s’accélère. Il fait la bise à ma mère. Je suis figée... et s’approche de moi : « bonjour Camille, tu es ravissante! ». Au moment de se faire la bise, nos joues partent du même côté et on manque de s’embrasser sur la bouche. On corrige... petit malaise... ça commence bien...
On attaque l’apéro. On entend arriver du monde, mes parents vont les accueillir. René en profite : « désolé pour tout à l’heure, j’avais très envie de tes lèvres ». La température monte dans mon corps instantanément ! Je me lève et m’approche de lui : « je te sens joueur, je le suis aussi ». Je lui roule une pelle hyper sensuelle et retourne m’assoir avant l’arrivée des nouveaux invités.

Gilles arrive quelques 30 minutes plus tard. Il salue tout le monde et viens me faire la bise. Il me dit à l’oreille « tu es toujours à couper le souffle Camille »Je rougis. Il me plait toujours... et à nouveau, je suis perdue!

Nous passons à table. En début d’après-midi on se retrouve en tête-à-tête Gilles et moi. L’occasion de discuter. Nous sommes tous deux déjà quelque peu alcoolisés. Je le vois reluquer mes seins sans aucun complexe... il me demande comment j’ai financer cette merveille. Je réponds que j’ai eu l’aide d’un homme qui m’a permis de me retrouver. Je lui apprends ce que Romain m’a fait subir suite à son message. Il en a les larmes aux yeux. Il ne s’en doutait évidemment pas. Il s’excuse encore mille fois. Je lui dis que c’est du passé. Qu’aujourd’hui nous sommes là, à passer une belle journée. Que je suis entourée des 3 hommes qui ont changer ma vie.

Lui : « 3? »
Moi : « mon père qui m’a donné la vie, celui qui m’a fait découvrir mon goût pour les mâles : toi, et celui à qui je me suis offerte pour pouvoir me payer cette magnifique poitrine que tu rêves de caresser »
Lui : « quoi il est là? Et oui j’adorerais et pas que... »
Un silence s’installe. Ma mère nous appelle pour le gâteau. Ouf!

René semble bien alcoolisé, il parle fort : « aaa voilà la plus belle! » en me regardantJe rougis mais assume, lui décrochant un grand sourire. Je lis dans le regard de Gilles qu’il a compris. Il approche de mon oreille : « il t’a fait jouir autant que moi? »Il est joueur, je lui réponds dans l’oreille : « lui ne m’a jamais offert son cul »On se sourit, notre complicité semble reparaître...

L’après-midi, on joue à la pétanque presque tous ensemble. Et la soirée arrive déjà. Certains invités s’en vont.
Seuls restent René, les parents de Gilles et Gilles lui-même.
Gilles me demande si ça me dit de jouer à Fifa. J’accepte. On monte dans ma chambre. Il passe en premier, je ferme la porte derrière nous. Sans dire un mot, on s’embrasse langoureusement... je dégrafe les boutons de ma chemise et l’ouvre entièrement. Il regarde mes seins : « ils sont magnifiques ma chérie ». Je réponds : « dis merci à René » je me sens presque coupable, comme si je trahissais cet homme qui m’a tout donné. Il caresse mes seins les lèche. Sa langue titille mes tétons et se glisse entre les deux... il dégrafe le bouton de mon short, en retire la ceinture, et le baisse pour me le retirer complètement.
Il est à genoux devant moi, grâce à mes talons, sa bouche est au niveau parfait de mon sex, tendu... je retire ma chemise. Il fait glisser mon string sur mes chevilles... « Camille, tu es vraiment sublime! Je... je suis toujours amoureux de ma cousine ».
Je passe les mains derrière sa tête « ooo tais-toi » et lui fait prendre mon sex dans la bouche... il se laisse faire et suce ma tige avec envie. Je sens ses doigts caresser mes couilles. Je bande comme une folle... il se relève, nos langues se caressent... je lui retire son t-shirt et il baisse son short me demandant « tu as du lubrifiant ? ». « Oui bien sûr mais tu me fais déjà mouiller y’en aura pas besoin ».

Lui : « tu es la dernière et la seule à m’avoir prise, et je suis sûr que t’en as envie »
Quel cochon. Je décide de le faire grimper aux rideaux. Je me saisis de mon gode ventouse et le ventouse au sol. Je prends le lubrifiant pour en mettre dessus. Et lui ordonne : « empale toi sur cette tige mon mâle »Il semble un peu désemparé mais retire son boxer, je lui met du lubrifiant sur l’anus qu’il a pris soin de raser (il voulait vraiment m’avoir) il vient poser sa rondelle sur le bout du gode , il s’appuie en arrière sur ses bras. Je le rassure : « tu aimes te faire prendre et moi, j’ai besoin que tu m’encule maintenant, empale-toi on va prendre notre pied ! »
Il appuie son intimité contre le jouet et l’insère en lui. Ça m’excite. Je le matte tandis qu’il commence des va et vient. Il commence à gémir. Je viens me positionner au-dessus de lui, et il insère son chibre sans difficulté en moi. Mes mains sont appuyées sur le bord du lit, mon sex claque son ventre à chaque coup de rein. Je décide de ne plus bouger, il donne le rythme. Il gémit fort, je l’ai rarement vu aussi passionné... l’effet d’être pris entre deux semble lui plaire...
Lui d’ordinaire si endurant me lance rapidement « Camille je vais jouir »Je me retire, et rapproche ma bouche de son gland. Je lui dis « t’arrête pas encule toi bien je vais avaler tout ton jus! »
Je ne lui touche plus le sex pour voir s’il jouit par le cul. Il se lime à fond, une vraie salope me dis-je... il gémit « oooo Camille avales »J’ouvre la bouche et tire la langue... de gros jets de foutre viennent s’écraser dans le fond de ma gorge. Je le prend en bouche pour le calmer, le lèche et avale... il se retire du gode, sa queue débande... il m’embrasse, et me tire vers lui sur le lit. Il se met sur le dos, nos langues se lèchent, il goûte son jus dans ma bouche. Ses jambes s’écartent et m’enlacent aux hanches. Je suis toujours aussi raide et viens m’enfoncer entre ses reins... on gémit fort, il caresse mes fesses et me met le gode qu’il avait récupéré. Les rôles s’inversent... il parvient à lécher mes seins en même temps, mmm quel pied! Je le prends, comme un couple, on fait l’amour... il me lime avec le gode... il fixe mon regard « je veux que tu jouisse en moi Camille, je t’aime! »Ces mots finissent le travail, mes couilles semblent exploser et je sens jaillir tout mon jus entre ses reins. Il hurle d’un orgasme intense au moment où j’explose en lui...

On s’enlacent tendrement. Je le défi : « j’ai un plug anal, si tu m’aimes vraiment, supplie moi de te l’offrir pour garder mon jus en toi »
Lui : « Camille, tu es la femme de ma vie, même si notre amour est impossible... je rêve de t’obéir. Enfonce moi ton plug, laisse ta semence en moi »
Moi, en me retirant et lui enfonçant le plug : « garde le jusqu’à ce soir. Une fois au lit, écris-moi, je te dirai quoi en faire. Et pour l’instant, nettoie ma queue »
Il me lèche alors la queue sans hésiter goûtant mon sperme goulûment.
Puis nous nous habillons espérant avoir été discrets...

En descendant, on entend, « alors qui a gagné? »« Elle » dit-il
...à suivre...

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Camille

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