Fiction d'amour. A plat ventre
Récit érotique écrit par Bruno [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fiction d'amour. A plat ventre
Objet : Fiction d’amour
Donc, ce matin, nous prîmes toi et moi, chère et jolie Martine, le « thé » ensemble.
D’espièglerie en espièglerie nous nous laissâmes, dans la plus grande inconscience, glisser jusqu’au « temps T », point de rupture où tout peut basculer.
Cela se passa au moment où, facétieuse comme à ton habitude, tu me demandas de te dire, ou de te faire, quelque chose qui t’amène à penser (comme dans les conseils de Gide à Nathanaël :
« Ceci, nul ne me l’avait jamais dit .» ou « Ceci, nul ne me l’avait jamais fait. ».
Et que si je trouvais, je gagnais un gage , « omnipotent » précisas-tu.
Nous étions sur la banquette. Près de la cheminée.
Je proposai donc au passé simple que tu te déshabillasses à l’imparfait du subjonctif.
(...‘Sais pas pourquoi mais j’aime bien cette trouvaille).
Je te proposai de te déshabiller, mais de tout.
Totalement.
Intérieurement, extérieurement.
Sans retour.
De nous venir nue en ton être.
Que ce bonheur de nudité absolue t’excitât déjà.
Nue en ta natureté, tu t’installas donc à plat ventre, les hanches sur mes genoux, tes fesses surélevées, ouvertes à mes yeux.
Nous continuâmes nos petits bavardages.
Je trempai mon doigt dans ma tasse de thé chaud et le promenai sur ton dos. Le long de ta colonne. Mon autre main caressait tes cheveux.
Pendant qu’une main câlinait ta joue, mon doigt, chaud de son thé, s’habitua à voguer sur tes reins, sur tes houles, sur les deux petites fossettes en bas de ton dos, sur le haut de tes doux épanouissements. Autour.
Longtemps.
Prudemment.
Il ne gîta pas, ne dessala pas, prit confiance. Pendant que tu te troublais.
Dans sa trajectoire incertaine, semblable à celle des petits Optimists avec leur voile trapézoïdale zigzagant sur le lac du Bourget, il s’aventurait maintenant, sur les pentes de tes larges vallées, dans tes forêts très clairsemées comme dans les plus profondes, sur tes rivières, tes gouffres, tes clairières, tes grottes, tes puits, tes lacs, ton volcan interdit, ton cratère, ton toboggan, tes sources, ton capuchon de moine, ton tout petit monolithe, tes plus infimes secrètes sauvages interdites amazonies.
Toutes.
Il se faisait plus lourd, plus pesant, au passage de tes talwegs.
S’y enlisait parfois.
Retournait s’approvisionner à la chaleur de la tasse pour venir s’y attarder de nouveau.
Nous rajoutâmes un coussin sous ton bassin afin de t’ouvrir un peu plus à mon regard.
Tu te réinstallas avec jubilation en me disant Bruno tu exagères.
Le jeu, c’était inévitable, évolua :
Mon doigt transportait une grosse goutte de thé en haut de ton somptueux sillon. A peine j’effleurais ta peau que la tremblante charge se détachait pour dévaler ta pente cul par-dessus tête, se stabiliser une seconde dans le premier cratère rencontré, le remplir comme un petit lac, y faire naître de multiples reflets.
Tu le sais, rien ne peut freiner l’eau dans son addictive attirance pour l’exploration de toute contrée en aval.
Le liquide continuait sa route. Se perdait dans tes forêts. Serpentait entre tes reptiliennes pensées. Se mélangeait à tes brillances réveillées.
Bref, plus le thé se refroidissait, plus ton âme se réchauffait.
Au-dessus des flammes de la cheminée, une tranche de pain se carbonisait.
A un moment, ta conscience tenta de reprendre le dessus : « Ca sent bon le pain cramé. » pensas-tu. « D’où ça vient ? Comment un thé si tiède ici, peut-il brûler autant ailleurs ? Je cours à l’oxymoron ? Et cette odeur, est-ce moi qui me torréfie ?
Tes pensées tournaient sur elles-mêmes, aspirant tout sur leur passage.
Tu imaginais mon regard sur tes « yeux fous » (J Joyce).
Tu l’imaginais sur ta vérité nue.
Tu aurais aimé pouvoir fabriquer un masque à ta féminité la plus brute afin de tricher un peu avec cette part animale de toi, cette part instinctive, poilue, cromagnone, incontrôlable.
Tu aurais aimé pouvoir en dissimuler la véritable nature, les élans, les tourments, les émotions.
Tu aurais aimé pouvoir faire avec ton sexe ton périnée et ton anus entouré de teintes plus sombres ce que chacun fait avec son visage : composer.
Composer comme on compose avec notre visage auquel on peut faire exprimer à peu près ce que l’on veut.
Le plus hypocritement du monde.
Tu imaginais mes yeux posés sur ton innocence.
Tu ne savais plus s’il convenait de faire semblant de te rendormir, de clamer haut et fort ta pudeur, outrée, ...ou de gémir.
Du plus profond de toi.
Comme en une longue plainte contenant les trois mille mondes.
Tu ondulais un peu à chaque goutte chaude.
Tu te sentais accueillie.
Tu te sentais nue comme jamais.
Vulnérable et heureuse de l’être.
Vulnérable et désireuse de tout subir.
J’aurais aimé disposer d’une paille. Pour aspirer du thé et le faire tomber de haut, goutte après goutte aux places et moments de mon choix.
Je tapotai d’abord le pourtour de tes intimités. Du bout du doigt. Toc toc toc toc. Longtemps.
Je tapotais sur tes grandes ailes.
Je les ouvrais.
Je les écartais.
Délicatement.
Comme on aiderait une fleur du coquelicot à défroisser ses pétales.
Tes nymphes, petites, découvertes, sollicitaient mon regard. Ton point secret s’était frayé un passage.
Il trônait. Splendide, fragile, translucide comme une arille.
Je tapotais sur la vallée luisante qui remonte vers ton cratère.
Je tapotais les petites rides du pourtour de ce dernier.
Je le regardai de près. Penché sur toi.
Pour le bruit, pour les petits clapotis, je tapotais du bout du doigt dans la petite flaque qui se lovait à l’entrée du volcan.
Qui se contractait tout seul.
Que tu relâchais aussitôt.
Comme pour dire « encore ».
Comme pour me rappeler que nos esprits étaient reliés en cet instant.
Comme pour t’approcher au plus près de cette chose impossible : nos deux intelligences s’embrassant.
Comme pour me demander d’appuyer plus avec mon doigt. Pour en sentir la chaleur à l’intérieur de toi.
Pour me sentir plus près de ton cœur.
Mon doigt canadair retournait faire son plein d’humanité dans la tasse fumante. Et revenait en toi encore et encore. Y allumait l’incendie. Chaque fois plus avant.
Tu t’ouvrais.
Tu t’épanouissais.
Tu semblais me dire « Regarde-moi », « Aime mon extrême nudité. Médite en me contemplant. Perds-toi dans ma féminité. Rencontre-s’y l’infini. Accueille toutes les pensées qui te traversent. Ne les juge pas. Laisse-les traverser comme des petits nuages dans ton ciel. Aime-les comme je les aime, elles que je ne connais pas. Entre en moi de ton regard. Entre jusqu’à mon cœur. Entre par toutes mes entrées. Toutes celles que tu vois. Toutes celles que tu devines ».
Tu me disais « Je suis à toi ».
Je te répondais « Je t’en prie, sois à toi ».
Tu disais « Je suis à moi ».
Tu t’écartais encore.
Je tapotais ta baie de myrte. Doucement. Longtemps.
Tu me disais « Bruno...tu vas me faire crier. »
Tu me disais « Bruno, je viens vers toi ».
Tu me disais « Merci ».
Je te répondais « Ne retiens rien adorable Martine, sens-toi aimée, là, maintenant ».
Tu criais.
PS : Tu oublias de me dire « Cela, nul ne me l’avait jamais fait » . Quand, plus tard, je te le fis remarquer, tu répondis avec ton aplomb habituel :
« Ah ? ....
Ah, ben il faudra peut-être qu’on recommence. Et que je fasse plus attention ».
Je demandais « Quand ? » pour le « peut-être »
Tu disais « Quand tu me mériteras » puis mangeais les jolies tartines de miel que je te préparais.
Grillées , sans beurre.
Chère lointaine Martine, je t’entends me dire :
« Bruno tu exagères , tu vas finir par me décoiffer , mon dieu, je ne vais plus être regardable ! ».
Bien sûr que j’exagère !
Et pourquoi n’exagèrerai-je pas, chère charmante femme ?
Bien sûr que j’aimerais pouvoir faire gémir ta pudeur.
Faire chuchoter ton impudeur.
Si je pouvais !
Bien sûr que j’aimerais faire gémir ton âme, bien tranquille sur son rocher de cristal, qui se plaint de n’avoir que peu l’occasion d’en descendre, mais qui, en fait, a certainement la trouille d’en dévaler les 138 marches.
Bien sûr que j’aimerais pouvoir faire gémir les plus secrètes arcanes de ton esprit.
Martine, sois raisonnable, voyons !
Comment voudrais-tu que j’aie autre chose en tête que cette chose à tout jamais inatteignable ? : te faire gémir toute, totalement, définitivement.
N’aime pas un homme qui n’aurait pas envie de te l’écrire.
N’aime pas un homme qui n’aimerait pas se perdre en toi, avec toi.
(Ce sera la méditation du jour.)
Bise totale.
D’emblée.
Au thé chaud.
Et cornet glacé.
Pour le prix d’une normale*².
Passe une très bonne journée.
12 01 2006, Bruno
*²Offre exceptionnelle, réservée à la première qui passera commande.
Avec, en prime, d’autres succulentes histoires érotisées.
Donc, ce matin, nous prîmes toi et moi, chère et jolie Martine, le « thé » ensemble.
D’espièglerie en espièglerie nous nous laissâmes, dans la plus grande inconscience, glisser jusqu’au « temps T », point de rupture où tout peut basculer.
Cela se passa au moment où, facétieuse comme à ton habitude, tu me demandas de te dire, ou de te faire, quelque chose qui t’amène à penser (comme dans les conseils de Gide à Nathanaël :
« Ceci, nul ne me l’avait jamais dit .» ou « Ceci, nul ne me l’avait jamais fait. ».
Et que si je trouvais, je gagnais un gage , « omnipotent » précisas-tu.
Nous étions sur la banquette. Près de la cheminée.
Je proposai donc au passé simple que tu te déshabillasses à l’imparfait du subjonctif.
(...‘Sais pas pourquoi mais j’aime bien cette trouvaille).
Je te proposai de te déshabiller, mais de tout.
Totalement.
Intérieurement, extérieurement.
Sans retour.
De nous venir nue en ton être.
Que ce bonheur de nudité absolue t’excitât déjà.
Nue en ta natureté, tu t’installas donc à plat ventre, les hanches sur mes genoux, tes fesses surélevées, ouvertes à mes yeux.
Nous continuâmes nos petits bavardages.
Je trempai mon doigt dans ma tasse de thé chaud et le promenai sur ton dos. Le long de ta colonne. Mon autre main caressait tes cheveux.
Pendant qu’une main câlinait ta joue, mon doigt, chaud de son thé, s’habitua à voguer sur tes reins, sur tes houles, sur les deux petites fossettes en bas de ton dos, sur le haut de tes doux épanouissements. Autour.
Longtemps.
Prudemment.
Il ne gîta pas, ne dessala pas, prit confiance. Pendant que tu te troublais.
Dans sa trajectoire incertaine, semblable à celle des petits Optimists avec leur voile trapézoïdale zigzagant sur le lac du Bourget, il s’aventurait maintenant, sur les pentes de tes larges vallées, dans tes forêts très clairsemées comme dans les plus profondes, sur tes rivières, tes gouffres, tes clairières, tes grottes, tes puits, tes lacs, ton volcan interdit, ton cratère, ton toboggan, tes sources, ton capuchon de moine, ton tout petit monolithe, tes plus infimes secrètes sauvages interdites amazonies.
Toutes.
Il se faisait plus lourd, plus pesant, au passage de tes talwegs.
S’y enlisait parfois.
Retournait s’approvisionner à la chaleur de la tasse pour venir s’y attarder de nouveau.
Nous rajoutâmes un coussin sous ton bassin afin de t’ouvrir un peu plus à mon regard.
Tu te réinstallas avec jubilation en me disant Bruno tu exagères.
Le jeu, c’était inévitable, évolua :
Mon doigt transportait une grosse goutte de thé en haut de ton somptueux sillon. A peine j’effleurais ta peau que la tremblante charge se détachait pour dévaler ta pente cul par-dessus tête, se stabiliser une seconde dans le premier cratère rencontré, le remplir comme un petit lac, y faire naître de multiples reflets.
Tu le sais, rien ne peut freiner l’eau dans son addictive attirance pour l’exploration de toute contrée en aval.
Le liquide continuait sa route. Se perdait dans tes forêts. Serpentait entre tes reptiliennes pensées. Se mélangeait à tes brillances réveillées.
Bref, plus le thé se refroidissait, plus ton âme se réchauffait.
Au-dessus des flammes de la cheminée, une tranche de pain se carbonisait.
A un moment, ta conscience tenta de reprendre le dessus : « Ca sent bon le pain cramé. » pensas-tu. « D’où ça vient ? Comment un thé si tiède ici, peut-il brûler autant ailleurs ? Je cours à l’oxymoron ? Et cette odeur, est-ce moi qui me torréfie ?
Tes pensées tournaient sur elles-mêmes, aspirant tout sur leur passage.
Tu imaginais mon regard sur tes « yeux fous » (J Joyce).
Tu l’imaginais sur ta vérité nue.
Tu aurais aimé pouvoir fabriquer un masque à ta féminité la plus brute afin de tricher un peu avec cette part animale de toi, cette part instinctive, poilue, cromagnone, incontrôlable.
Tu aurais aimé pouvoir en dissimuler la véritable nature, les élans, les tourments, les émotions.
Tu aurais aimé pouvoir faire avec ton sexe ton périnée et ton anus entouré de teintes plus sombres ce que chacun fait avec son visage : composer.
Composer comme on compose avec notre visage auquel on peut faire exprimer à peu près ce que l’on veut.
Le plus hypocritement du monde.
Tu imaginais mes yeux posés sur ton innocence.
Tu ne savais plus s’il convenait de faire semblant de te rendormir, de clamer haut et fort ta pudeur, outrée, ...ou de gémir.
Du plus profond de toi.
Comme en une longue plainte contenant les trois mille mondes.
Tu ondulais un peu à chaque goutte chaude.
Tu te sentais accueillie.
Tu te sentais nue comme jamais.
Vulnérable et heureuse de l’être.
Vulnérable et désireuse de tout subir.
J’aurais aimé disposer d’une paille. Pour aspirer du thé et le faire tomber de haut, goutte après goutte aux places et moments de mon choix.
Je tapotai d’abord le pourtour de tes intimités. Du bout du doigt. Toc toc toc toc. Longtemps.
Je tapotais sur tes grandes ailes.
Je les ouvrais.
Je les écartais.
Délicatement.
Comme on aiderait une fleur du coquelicot à défroisser ses pétales.
Tes nymphes, petites, découvertes, sollicitaient mon regard. Ton point secret s’était frayé un passage.
Il trônait. Splendide, fragile, translucide comme une arille.
Je tapotais sur la vallée luisante qui remonte vers ton cratère.
Je tapotais les petites rides du pourtour de ce dernier.
Je le regardai de près. Penché sur toi.
Pour le bruit, pour les petits clapotis, je tapotais du bout du doigt dans la petite flaque qui se lovait à l’entrée du volcan.
Qui se contractait tout seul.
Que tu relâchais aussitôt.
Comme pour dire « encore ».
Comme pour me rappeler que nos esprits étaient reliés en cet instant.
Comme pour t’approcher au plus près de cette chose impossible : nos deux intelligences s’embrassant.
Comme pour me demander d’appuyer plus avec mon doigt. Pour en sentir la chaleur à l’intérieur de toi.
Pour me sentir plus près de ton cœur.
Mon doigt canadair retournait faire son plein d’humanité dans la tasse fumante. Et revenait en toi encore et encore. Y allumait l’incendie. Chaque fois plus avant.
Tu t’ouvrais.
Tu t’épanouissais.
Tu semblais me dire « Regarde-moi », « Aime mon extrême nudité. Médite en me contemplant. Perds-toi dans ma féminité. Rencontre-s’y l’infini. Accueille toutes les pensées qui te traversent. Ne les juge pas. Laisse-les traverser comme des petits nuages dans ton ciel. Aime-les comme je les aime, elles que je ne connais pas. Entre en moi de ton regard. Entre jusqu’à mon cœur. Entre par toutes mes entrées. Toutes celles que tu vois. Toutes celles que tu devines ».
Tu me disais « Je suis à toi ».
Je te répondais « Je t’en prie, sois à toi ».
Tu disais « Je suis à moi ».
Tu t’écartais encore.
Je tapotais ta baie de myrte. Doucement. Longtemps.
Tu me disais « Bruno...tu vas me faire crier. »
Tu me disais « Bruno, je viens vers toi ».
Tu me disais « Merci ».
Je te répondais « Ne retiens rien adorable Martine, sens-toi aimée, là, maintenant ».
Tu criais.
PS : Tu oublias de me dire « Cela, nul ne me l’avait jamais fait » . Quand, plus tard, je te le fis remarquer, tu répondis avec ton aplomb habituel :
« Ah ? ....
Ah, ben il faudra peut-être qu’on recommence. Et que je fasse plus attention ».
Je demandais « Quand ? » pour le « peut-être »
Tu disais « Quand tu me mériteras » puis mangeais les jolies tartines de miel que je te préparais.
Grillées , sans beurre.
Chère lointaine Martine, je t’entends me dire :
« Bruno tu exagères , tu vas finir par me décoiffer , mon dieu, je ne vais plus être regardable ! ».
Bien sûr que j’exagère !
Et pourquoi n’exagèrerai-je pas, chère charmante femme ?
Bien sûr que j’aimerais pouvoir faire gémir ta pudeur.
Faire chuchoter ton impudeur.
Si je pouvais !
Bien sûr que j’aimerais faire gémir ton âme, bien tranquille sur son rocher de cristal, qui se plaint de n’avoir que peu l’occasion d’en descendre, mais qui, en fait, a certainement la trouille d’en dévaler les 138 marches.
Bien sûr que j’aimerais pouvoir faire gémir les plus secrètes arcanes de ton esprit.
Martine, sois raisonnable, voyons !
Comment voudrais-tu que j’aie autre chose en tête que cette chose à tout jamais inatteignable ? : te faire gémir toute, totalement, définitivement.
N’aime pas un homme qui n’aurait pas envie de te l’écrire.
N’aime pas un homme qui n’aimerait pas se perdre en toi, avec toi.
(Ce sera la méditation du jour.)
Bise totale.
D’emblée.
Au thé chaud.
Et cornet glacé.
Pour le prix d’une normale*².
Passe une très bonne journée.
12 01 2006, Bruno
*²Offre exceptionnelle, réservée à la première qui passera commande.
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