Fièvre pour tante Lucia

- Par l'auteur HDS Jamie64 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Fièvre pour tante Lucia Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Fièvre pour tante Lucia
Fièvre pour Lucia . 1 .

Depuis la mort prématurée de mon épouse , il y avait plus d'un an , je faisais de nombreux séjours chez ses oncles et tantes qui au fil des années étaient aussi devenus les miens. Ils vivaient dans un grand appartement dans le nord de l'Italie . La douleur commençait à s'estomper , faisant place à une lancinante sensation d'absence .Même si je ne remplaçais pas la perte de leur nièce , qu'ils aimaient comme si c'était leur propre fille, j'avais quand même l'impression , au fil des jours passés à leur côté , d'être devenu une sorte de fils de la famille . Mon nom est Alexandre , pour eux j'étais devenu Sandro .
Dans la journée mon oncle Livio partait travailler dans l'entreprise familiale avec ses deux fils . Moi , je passais la plus grande partie du temps à la maison , en compagnie de ma tante Lucia .
J' avais 26 ans , elle en avait 60 . Du vivant de mon épouse je n'avais jamais éprouvé d'attirance particulière pour elle , me contentant d'être un neveu poli , respectueux et attentionné , préoccupé avant tout par le bonheur de sa nièce . J'ai toujours été en bons termes avec elle .
Lucia avait découvert quelques années auparavant que son mari – mon oncle Livio – avait une liaison durable et très sérieuse avec une femme du même immeuble , soeur d'un de ses compagnon de poker .Dès lors ma tante avait mis fin à son activité professionnelle , avait commencé à abuser de l'alcool et vivait en recluse dans le grand appartement familial .
La boisson avait un peu fané et terni sa beauté , sans pour autant avoir effacé la finesse de ses traits et la joliesse de son visage . Jeune , elle avait été très belle .
Ses formes s'étaient épaissies , elle avait pris du ventre , ses fesses s'étaient alourdies , mais elle conservait une très belle poitrine . Elle avait encore de l'allure , même si elle ne faisait plus grand chose pour vraiment se mettre en valeur .
Au fil du temps et des heures passées ensemble , une sorte de complicité , au delà du chagrin que nous partagions , s'était établie entre nous . Je l'aidais pour les tâches ménagères et l'entretien de la maison lorsqu'elle en avait besoin durant la matinée , je m'occupais des courses et le soir nous regardions souvent la télévision ensemble jusque tard dans la nuit , partageant nos avis et commentaires sur les émissions diffusées . Nous étions tous les deux d'un caractère discret et réservé ,contrairement à mon oncle et mes cousins,
et de passer ces moments ensemble , nous permit de faire face en une sorte de réconfort mutuel et de muette consolation .
Je me levais en général vers huit heures et passait la matinée en pyjama , comme je l'aurais fait chez moi , me douchant et m'habillant juste avant l'heure du déjeuner . Ma vie sexuelle se limitait à me branler de temps en temps lorsqu'une érection se manifestait . Je le faisais sans réel plaisir , vite fait , plus dans un soucis d'hygiène et pour continuer , malgré tout , à entretenir la mécanique . J'achetais des revues cochonnes pour me stimuler et maintenir ma libido en éveil .
Lucia s'occupait de la maison , passait l'aspirateur , faisait les lits , s'occupait du linge avant de préparer le repas .
Nous étions à la mi-avril lorsqu'un matin , alors qu'elle était en train de ranger le salon , ma tante me demanda de venir l'aider à changer des ampoules du lustre .
- Sandro ! Tu peux venir ? J'ai besoin d'aide !
Il fallait prendre l'escabeau et elle avait peur de tomber . Elle voulait juste que je monte sur l'escabeau pour changer les ampoules pendant qu'elle le tiendrait et me passerait les ampoules neuves . Je m'exécutait de bonne grâce et ne réalisai qu'une fois monté que j'étais encore en pyjama .Le pantalon en était plutôt ajusté et la finesse de l'étoffe laissait aisément deviner la forme de mon sexe pendant entre mes jambes avec la légère protubérance du gland .Dévissant les ampoules à changer , je ne pouvais chasser la pensée gênante que belle-maman , au pied de l'escabeau , avait le visage à hauteur de mon entre-jambes .
Le visage tourné vers moi , tenant fermement l'escabeau , elle redoublait de conseils pour que je fasse attention .
Fais attention , prends tout ton temps , je ne voudrais pas que tu tombes !
Pas de problème ! Tout va bien ...
Alors que je lui passais les ampoules grillées je m'aperçus en me baissant vers elle que son regard était justement rivé sur le léger renflement du devant de mon pantalon . Ses yeux avaient l'air assez intéressés par la forme qui se dessinait à quelques centimètres de son visage … j'espérais juste que ce n'était pas son nez qui aurait détecté une éventuelle odeur un peu trop forte ...
- Je vous passe les ampoules grillées … voilà la première...et la deuxième .
Se ressaisissant , elle attrapa les vieilles ampoules avant de me passer les nouvelles . Je restai concentré sur ma tâche pour finir le travail et visser les ampoules . Je lui demandai d'aller allumer l'interrupteur pour vérifier que tout fonctionnait correctement .
Bon maintenant on va voir si ça marche ! OK , c'est parfait !
Attends , que je t'aide à redescendre !
Comme elle revenait vers l'escabeau pour m'aider à redescendre , nos regards se croisèrent juste après qu'elle eut jeté un dernier coup d'oeil sur le devant de mon pantalon .
Il ne serait pas un peu juste pour toi ce pantalon ? Il m'a l'air un peu serré …
Ah bon ? Je ne sais pas ...moi je me sens bien avec …
et bien alors ...c'est encore ça le plus important après tout … et puis c'est vrai qu'il met bien en valeur ton petit derrière ...
Un ange passa gentiment alors qu'elle rougissait légèrement mais aucune gêne ne se fit sentir entre nous . Je descendis avec tata Lucia me tenant les hanches et allai ranger l'escabeau .
C'est à partir de ce jour et de cet épisode que j'ai commencé à la regarder de façon différente , non plus comme la tata de mon ex-épouse , non plus comme ma simple tante par alliance , comme une dame déjà âgée , mais comme une femme , une femme avec un corps , avec des formes , encore dotée d'une poitrine avantageuse , avec un fessier bien rebondi , une femme qui avait un sexe entre les jambes et qui peut-être éprouvait encore du désir malgré les épreuves de la vie , qui peut-être avait encore des envies de plaisir . Qui était vraiment cette femme dans le fond ? Pourquoi aurait-elle définitivement fait une croix sur sa sensualité ? Comment vivait-elle sa frustration ? Peut-être même se caressait-elle de temps en temps ?
J'avais l'impression d'avoir réveillé quelque chose qui sommeillait en elle , le temps de ces quelques instants de quasi intimité partagée avec son neveu .
Dès lors ces pensées ne me quittaient plus et je n'avais de cesse d'y revenir .
Elle commença à m'obséder , et en quelques jours à devenir l'objet de mes fantasmes . J'essayais de l'imaginer nue , de me représenter la toison de son sexe sous son ventre proéminent, la forme de ses seins ,l'aspect de sa vulve ou de ses grosses fesses , je commençais à m'intéresser à sa lingerie ( des culottes de dentelle blanches ou noires ,des body de dentelle noire , des collants couleur chair ), regardant furtivement dans les tiroirs de sa commode dès que j'en avais l'occasion et me masturbant en pensant à cette situation sur l'escabeau , rêvant qu'elle baisse ma culotte de pyjama pour examiner mon service trois pièces et me fasse des commentaires plus égrillards sur mon derrière, déchargeant avant d'avoir le temps d'imaginer la suite tellement l'obscénité de la situation me chamboulait l'esprit. Ma libido carburait de nouveau à fond , et comme jamais depuis bien longtemps .
De son côté elle était devenu plus chaleureuse , plus affectueuse à mon égard ,plus complice , comme si nous partagions une chose que nous étions les seuls à connaître .
Une dizaine de jours plus tard , alors que je m'étais réveillé avec une énorme érection et l'esprit en feu je décidai , contrairement à mes habitudes , de me doucher juste après avoir bu mon café . J'avisai Lucia qui s'étonna de ce petit changement dans mes habitudes .
Ah bon ? Tu as des choses à faire ce matin ?
Pas vraiment ...mais comme ça ce sera fait , non ?
Oui , bien sûr … bon , si tu as du linge à laver , laisse le devant la porte de ta chambre , je vais faire une machine .
D'accord !
La petite salle de bain était attenante à la chambre où je dormais . Après avoir laissé quelques t-shirts et slips sales devant ma porte je m'enfermai dans la salle de bain pour me doucher .Une fois enfermé à l'intérieur je retirai la clé de la serrure de façon à laisser le trou de la serrure bien dégagé de tout obstacle .
Je me brossai les dents , retirai mon pyjama et me mis sous la douche .
Une fois douché , robinet fermé , avant de tirer le rideau pour sortir du bac et me sécher , j'entrepris de me caresser , les yeux fermés , imaginant la main de ma tante à la place de la mienne . Quand je tirai le rideau de douche quelques instants plus tard , une gaule bien raide se dressait au bas de mon ventre . Je pris soin de bien me positionner face au trou de la serrure pour me sécher au cas où Lucia serait venue pour ramasser mon linge .
La simple pensée que ma chère tante était peut-être là , dans le vestibule obscur, derrière la porte , l'oeil collé au trou lumineux de la serrure , en train de me regarder , rendait mon érection presque douloureuse .
Je continuai à me branler , découvrant bien mon gland rougi et gonflé , tout doucement , pour qu'elle est bien le temps d'observer et de se rincer l'oeil , si l'envie lui prenait de mater le gros zizi bien dur de son gentil neveu en train de se palucher face à elle . Je me caressait le plus lentement possible , faisant aller et venir le prépuce sur le gland , me palpant les bourses de l'autre main , retardant au maximum le moment d'éjaculer ,imaginant ma tante accroupie derrière la porte ,une main entre les cuisses , sentant sa fente se mouiller et ses lèvres se gonfler dans le fond de sa culotte . Je me représentais , enflammé comme jamais , sa poitrine dénudée , ses tétons tout durcis , m'abandonnais à la volupté la plus cochonne , la sensation folle de sentir ses grosses fesses blanches emprisonner mon visage et que c'était sa main à elle qui était en train de me branler ,puis je déchargeais de longues giclées de foutre contre la porte , haletant , le coeur battant à tout rompre .
Maintenant que j'étais calmé je me sentais vaguement honteux - quel sale vilain cochon j'étais ! - de m'être laisser aller à une telle frénésie et j'espérais sincèrement que personne ne m' avait maté par le trou de la serrure . Je me rinçai le sexe et les mains, nettoyai la porte et m'enveloppai dans la grande serviette de toilette avant de remettre la clé et de sortir , avec une certaine appréhension . Le vestibule était désert mais le linge sale avait disparu ...
J'étais calmé , pour le moment , mais je savais que ma fièvre salace et mes idées cochonnes envers tata Lucia ne tarderaient pas à revenir au galop .
Le reste de la journée se passa normalement et la vie repris son cours habituel .
Le surlendemain de mon petit spectacle , une occasion imprévue se présenta d'assouvir mon fantasme d'exhibition . Alors que je dors à poings fermés , la sonnerie du téléphone me réveille . Je suis entièrement nu , seulement couvert d'un drap car la saison avance et il commence à faire très chaud à l'approche de l'été . Le cerveau embrumé par le sommeil , j'entends tata Lucia qui décroche au salon . Je l'entends vaguement répondre « il n'est pas levé , je crois qu'il dort encore … oui je le préviens tout de suite … oui , mais pas avant une bonne demi-heure … d'accord , à tout à l'heure . »
Aussitôt , mû par une pulsion irrépressible , je repousse le drap qui me recouvre alors que j'entends des pas qui se rapprochent de ma porte . Bientôt on frappe à petits coups pressés et répétés
Sandro ? Sandro ? , c'est ma tante derrière la porte .
Profitant de ma réputation d'avoir le sommeil très lourd et d'être difficile à réveiller le matin , je ne réponds pas et garde les yeux fermés , la tête tournée sur le côté , attendant qu'elle se décide à ouvrir la porte . Ce que fatalement elle ne tarde pas à faire . Bruit de la poignée que l'on baisse et puis , à nouveau ,
Sandro ? Sandro ? , la voix est plus claire et se rapproche du lit où je suis étendu nu comme un ver , dans un état de total abandon , la verge pas tout à fait en érection mais bien gonflée reposant sur le haut de ma cuisse , gland décalotté , bien en évidence dans la lumière filtrant par les stores .
J'entends le bruissement de ses pas , sens sa présence à côté du lit puis sa main sur mon bras pour me secouer tout doucement , presque maternellement .
Sandro ! Allez , réveille-toi ! Livio a besoin de toi pour aller à la banque !
Je la fais languir quelques instants et puis commence à marmonner , un bras devant les yeux
Hein ? Oui ...qu'est-ce qui se passe ? … Il est quelle heure ?
Il est 9 heures passées … Livio a besoin de toi pour le conduire en ville , il doit passer à la banque …
D'accord ...j'arrive … , je poursuis en un long bâillement tout en m'étirant
J'ai la voix tout empâtée et entrouvre à peine les yeux .
Je te prépare ton café , dépêche-toi …
Seulement alors , l'air de ne pas y toucher , je ramène négligemment le drap pour couvrir ma nudité , pendant qu'elle se retourne et sort de la chambre .
Je me lève , enfile mon pyjama et me dirige vers la cuisine inondée de lumière .
Tata Lucia est devant la cuisinière , attendant que le café monte .
Bonjour … désolé de ne pas avoir entendu … j'ai eu du mal à m'endormir cette nuit … , et je lui fais la bise comme chaque matin .
Ce n'est rien ...mais il faut te dépêcher , Livio t'attend au magasin ...tu sais comment il est ! Bien dormi ?
Oui …
Alors que je fais le tour de la table pour aller m'assoir je remarque qu'elle regarde sans dissimuler , l'air un peu coquin , la bosse qui déforme de façon peu discrète le devant de mon pantalon .
- Et désolée d'avoir du entrer comme ça ...je ne savais pas … je pensais que tu dormais en pyjama … Elle ne peut s'empêcher de rougir légèrement .
C'est rien ...si j'avais su ...hem … dis-je en baissant le regard .
Bon , le café est presque prêt ,tu n'auras qu'à te servir . Moi je file ranger les chambres …
D'accord , merci ...je me dépêche et j'y vais …
Alors que je me douche et me prépare à sortir je ne peux m'empêcher de repenser à mon audace insensée , me demandant ce que , elle a bien pu ressentir face au spectacle de ce jeune mâle totalement nu lascivement offert à son regard , face au corps de son neveu , le pénis impudiquement gonflé devant les yeux de sa tante . J'espérais sincèrement qu'elle n'avait pas été choquée et priais de toutes mes forces pour qu'elle ait apprécié ces instants d'abandon totalement impudiques . Je savais aussi qu'elle devait se demander si cela avait été pure candeur de ma part et non une vulgaire , agressive provocation . Mais une telle provocation ne pouvait cadrer avec son neveu si gentil , si bien élevé , si correct , réservé et toujours si pudique …
Ce dont j'étais sûr , c'est qu'elle avait vu . Elle avait vu ce gros pénis à demi endormi , à demi gorgé de sang , ce pénis en manque de contact charnel , qui se languissait de la tendresse douce et chaleureuse des moments d'intimité avec une femme .
Restait à lui faire comprendre que cet hommage ambigu , que cette queue prête à se dresser vibrante de désir bandait pour elle , et pour elle seule , ma chère tantine délaissée depuis si longtemps … lui faire comprendre que ma grosse pine de jeune homme avait besoin d'un gros câlin , de sa chaleur corporelle de femme pour réussir à pleinement cracher tout le jus qui s'accumulait dans mes couilles de jeune homme , toute cette sève qui s'accumulait , montait et débordait, ne cessait de se renouveler , encore et encore .
En début d'après-midi , après une matinée passée avec le cerveau en ébullition ,
elle m'annonce qu'elle va s'allonger comme à son habitude pour sa sieste quotidienne . Je suis assis dans le grand canapé du salon , zappant en vain pour trouver une émission intéressante à regarder à la télé , le ronronnement du lave-vaisselle qui tourne dans la cuisine en bruit de fond . J'ai absolument besoin de me vider les couilles pour arrêter de me repasser le film du réveil et soulager la tension qui tend mon slip . Je décide de franchir un cap , faire ce que je n'ai pas encore osé faire: je veux renifler son odeur , l'odeur de sa culotte sale , celle qu'elle portait hier . Aujourd'hui elle n'a pas fait de machine …
Je sais que le linge sale attend dans le tambour de la machine à laver . Je me dirige à pas de loup vers la grande salle de bain -celle avec la baignoire et la machine , celle de mes oncles – dans le long couloir moquetté . Je peux me rendre compte en passant devant la porte entrouverte de sa chambre que Lucia s'est endormie . Elle respire profondément, innocente , me tournant le dos , couchée en chien de fusil sur le grand lit matrimonial , elle a juste enlevé sa jupe . A la vue de son gros derrière recouvert de dentelle blanche mon besoin de jouir est décuplé . Mais je ne m'attarde pas , je reprends mes esprits et file vers la salle de bain . Fouillant fiévreusement parmi le linge sale entassé dans le tambour de la machine je ne tarde pas à trouver le jackpot :une grande culotte blanche , un peu défraichie , identique à celle qu'elle porte aujourd'hui . Ni une ni deux ,je m'en saisis la roule en boule et me retire vers ma chambre tremblant d'impatience . C'est la première fois que je m'enhardis ainsi sous le toit de ma belle-maman , la pensée d'un sacrilège ayant jusque-là toujours été plus forte que ma coupable envie .
Je me déshabille en vitesse et déplie la culotte pour en inspecter la partie qui m'intéresse : le fond en coton est maculé de traces brunes et jaunâtres , un long poil noir est resté collé à l'élastique de l'entrejambe . Sans plus attendre je le plaque sur mes narines en inspirant profondément . Fermant les yeux et la bouche je respire par le nez à travers les effluves intimes de ma chère tante , m'imprègne du divin parfum de son sexe , des odeurs douceâtres et piquantes de sa vulve de femme mûre pendant que je m'astique le poireau . Je m'emplis le cerveau de ces pénétrants relents d'urine et de sécrétions vaginales , de ces parfums délicieux , de l'odeur de son anus sur les traces brunes . Malgré mon désir de faire durer ce plaisir , la sensation est tellement intense que je ne peux me retenir bien longtemps et laisse gicler mon sperme brûlant , le gland et le cerveau en fusion ,j'explose . Mon sperme pour vous chère Lucia , rien que pour vous qui faites triquer votre gentil petit gendre , ma semence répandue sur vos grosses fesses blanches , sur vos cuisses grassouillettes , sur votre ventre rebondi , j'arrose la toison de votre fente , l'odeur de ta chatte me rend fou , celle de ton trou du cul aussi. Mon dieu , quel orgasme !
Reprenant mes esprits je retire la culotte de mon visage , y passe un petit coup de langue pour la goûter timidement , puis , renonçant à me nettoyer avec , je m'essuie avec mon t-shirt . J'en ai plein le torse et le ventre . Prestement je me rhabille et aussi furtivement qu'à l'aller je me dépêche de reposer la culotte dans le linge sale .
Durant les jours suivants je répétai plusieurs fois l'opération , toujours avec le même bonheur , toujours avec le même plaisir coupable . C'était plus fort que moi , l'odeur du sexe de ma tante me mettait en transe , me transformait en véritable satyre .
La situation bascula définitivement aux alentours de la mi-juin , au terme d'une journée bien tranquille .

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Texte coquin : Fièvre pour tante Lucia
Histoire sexe : Une rose rouge
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