Film d'horreur
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Film d'horreur
Le film est prenant, effrayant. C’est le lot des films d’horreur. Ma voisine, comme moi se repli sur elle-même quand le suspense est fort. La musique finale met fin à notre angoisse. Nous sortons ensemble de la salle presque vide. Nous bavardons sur le spectacle : nous sommes d’accord sur la qualité. Une chose en entrainant un autre, nous sommes dans un petit bar à boire un remontant. Elle se découvre un peu quand elle me dit qu’elle a rompu avec son amant, qu’il l’embêtait pour des riens, jaloux, envieux.
Je suis un peu comme elle, sauf que j’ai perdu mon amante, perdu pour un homme en plus, moi qui la couvais, qui lui faisait tout ce qu’elle voulait. J’en suis choquée.
Ma nouvelle amie s’étonne au début que je sois une sympathisante de Lesbos. Elle comprend mieux quand je lui explique pourquoi je préfère les filles.
Je me demande si, par hasard, je ne pourrais pas lui faire des avances. Je ne risque rien si elle me rembarre. A la rigueur une gifle.
Elle est belle, presque trop, agréable à écouter, sans doute sensuelle.
Je risque en la touchant sur les joues. Je caresse légèrement juste en bas des yeux. Elle me laisse faire en souriant. Elle a compris ce que je voudrais. Cette fois je passe la main sous le menton, je m’approche d’elle. Mes lèvres sont presque sur les siennes. Je craignais qu’elle se retire, au contraire elle s’approche à peine de moi. Nos lèvres se rencontrent pour un fameux baiser : le premier.
Je crois la partie définitivement gagnée. Elle se lève pour partir. Je lui prends le bras quand elle sort. Elle se retourne dans un geste de défense. Je l’embrasse à nouveau. Cette fois nos langues prennent contact agréablement. Elle me tient une main sur une épaule, l’autre sur la taille. Nous nous promenons pour aller chez moi. Dans l’ascenseur je l’embrasse à nouveau. Je continue une fois au salon.
Je suis la première surprise quand elle tend encore ses lèvres - Embrasses moi encore.
J’obéi toujours à ce genre de demande. Elle ouvre sa bouche juste quand ma bouche est sur le sienne. C’est ma langue qui entre la première. Notre baiser dure, dure.
- Caresses moi.
Je ne sais trop comment commencer nos effusions. Alors je caresse sa poitrine par-dessus son t-shirt. Elle ne doit pas porter beaucoup d’autres vêtements sur elle : je sens ses pointes durcir. Je me décide à aller plus bas. Ma main survole son ventre. Elle se doute bien de ce que je vais lui faire.
En attendant je suis en nage. Ma chatte dégouline entre mes jambes. Je voudrais qu’elle me caresse là. J’arrive à poser ma main sur le bas ventre. Je la sens bien écarter ses jambes dès que j’arrive. Je défais son jean qui tombe, je fais suivre le petit slip tout mignon.
- Oui, caresses là, branles moi.
- Assoies toi pour être à l’aise quand je te caresserais.
Elle est sur le divan, les jambes ouvertes. Je vois sa chatte pleine de secrétions qui doivent avoir bon goût. Egoïstement elle ne s’occupe pas de moi. Avant de me mettre à ses cotés, je me mets à l’aise nue. Mes seins aussi sont durs, j’ai la moule comme si elle venait de sortir de l’eau. Je caresse un peu une de ses cuisses, j’y fais monter une main. D’elle même elle me laisse passer. J’arrive sur sa perle. Là je m’attarde longtemps en caressant le petit rocher, après l’avoir découvert de son étui. Elle a un sursaut de plaisir quand je la masturbe juste à cet endroit.
Je ne lui demande pas encore de me caresser : elle le fait d’elle même. Pourtant elle a la tête en arrière, dégustant ma branlette. Elle pose sa main sur la fourche, passe juste sur le pubis entre sa main dans ma foune. Puis, en suivant son rythme elle passe dans ma fente. Là, elle me fait du bien enfin quand elle commence.
Nous nous branlons ensemble. Je la fais jouir juste avant qu’elle m’en fasse autant.
- Si nous allions dans ta chambre.
Elle s’est totalement livrée à moi, elle veut aller jusqu’au bout de notre dérive, de la sienne surtout. Nous sommes bien allongées contre l’autre. C’est moi qui garde le contrôle de la situation. Je dirige toujours ce genre de distraction.
- Baises moi.
C’est ce que je commence à faire. Ma main droite est sur son entrée magique. J’y entre deux doigts directement, je les fais aller et venir, elle gémit ; Je poursuis jusqu’à ce que je sente son vagin avoir les spasmes de la jouissance. Je me fais moi aussi jouir au moins une fois de mes œuvres. Enfin elle pense à mon sexe, elle me caresse bien, comme elle se fait, je suppose. Je me crispe aussi. Un orgasme n’est pas suffisant, ni pour elle ni pour moi, sinon pourquoi s’aimer entre filles.
Sa chatte me fait envie, je me tourne en 69. Je passe ma tête dans ses jambes Son odeur est délicieusement agréable. Je lèche le clito, je passe dans le con. Je continue sur le périnée. Je vais même sur son petit trou. Je ne fais que l’effleurer avant de revenir aspirer le meilleur de sa chatte. J’ai tout son clitoris dans mes lèvres, j’aspire, je lèche quand il est dedans. Elle geint, se tord sous le plaisir. Je sens qu’elle part une autre fois.
Je change de position, j’ai posé mon berlingot vers sa figure : elle comprend mon besoin en léchant doucement. A croire qu’elle n’a jamais fait que ça de sa vie. Elle rajoute un petit grain de poivre en mettant un doigt, un seul sur l’anus. Elle masse divinement bien. Elle fait durer ce moment intense longuement. Je sens bien la pulpe de son doigt quand elle force à peine pour entrer. Il me semble qu’elle fait aller et venir deux phalanges seulement. Sa langue continue sans travail de sape, elle ajoute un doigt dans le vagin. Je « subit » une double pénétration.
Sans cesser ce que nous faisons, je peux prendre les godes sous l’oreiller. Je les garde sans qu’elle le sache. J’en passe un dans la fente. Je cherche son con pour la baiser. Elle en est surprise, acceptant déjà ce genre de nique. Je vais plus loin en entrant l’autre sans précautions dans son anus. A son tour d’être doublement prise. Son abdomen fait les mouvements de baise comme si c’étaient de vraies bites. Après cet orgasme, elle prend les godes, les lèche un instant avant de me baiser, de m’enculer.
Nous passons presque la nuit à baiser. Le lendemain est un dimanche, nous restons couchées. Nous n’arrêtons pas de nous aimer, de toutes les façons possibles entre filles. Le summum étant quand nous sommes presque assises nos clitoris réunis dans la même double caresse.
Pourtant le dimanche soir elle me demande d’entrer ma main en entier dans son con. J’ai peur de lui faire mal. Elle insiste. Je lui mets les uns après les autres les doigts, en poussant j’entre le poignet, puis une bonne partie de l’avant bras.
- Continue, n’arrête surtout pas, je jouis, oui, oui, encore.
- Et moi.
- Après que tu me fasses jouir, continue. Fais-moi pareil au cul.
- Pas les deux à la fois.
- Oui, les deux ensembles. Fais-moi mal, j’aime ça.
J’au des difficultés à lui mettre ma main dans le cul. Quand j’y arrive c’est un spectacle extraordinaire de la voir remuer, de se mordre les lèvres, de se torturer les seins à ce point là. Je voudrais moi aussi avoir ma part. Je ne peux même pas me branler. Je n’a rien perdu, une heure après être dégagée de mes mains libre de faire ce qu’elle veut, elle saute sur ma chatte, la mordille, me fait sauter au plafond en jouissant violemment.
Les soirs suivant nous nous retrouvons, chez elle ou chez moi. Elle a acheté un double gode, nous l’inaugurons en étant en levrette, fesses contre fesses, le gode dans le con à remuer le cul.
Je suis un peu comme elle, sauf que j’ai perdu mon amante, perdu pour un homme en plus, moi qui la couvais, qui lui faisait tout ce qu’elle voulait. J’en suis choquée.
Ma nouvelle amie s’étonne au début que je sois une sympathisante de Lesbos. Elle comprend mieux quand je lui explique pourquoi je préfère les filles.
Je me demande si, par hasard, je ne pourrais pas lui faire des avances. Je ne risque rien si elle me rembarre. A la rigueur une gifle.
Elle est belle, presque trop, agréable à écouter, sans doute sensuelle.
Je risque en la touchant sur les joues. Je caresse légèrement juste en bas des yeux. Elle me laisse faire en souriant. Elle a compris ce que je voudrais. Cette fois je passe la main sous le menton, je m’approche d’elle. Mes lèvres sont presque sur les siennes. Je craignais qu’elle se retire, au contraire elle s’approche à peine de moi. Nos lèvres se rencontrent pour un fameux baiser : le premier.
Je crois la partie définitivement gagnée. Elle se lève pour partir. Je lui prends le bras quand elle sort. Elle se retourne dans un geste de défense. Je l’embrasse à nouveau. Cette fois nos langues prennent contact agréablement. Elle me tient une main sur une épaule, l’autre sur la taille. Nous nous promenons pour aller chez moi. Dans l’ascenseur je l’embrasse à nouveau. Je continue une fois au salon.
Je suis la première surprise quand elle tend encore ses lèvres - Embrasses moi encore.
J’obéi toujours à ce genre de demande. Elle ouvre sa bouche juste quand ma bouche est sur le sienne. C’est ma langue qui entre la première. Notre baiser dure, dure.
- Caresses moi.
Je ne sais trop comment commencer nos effusions. Alors je caresse sa poitrine par-dessus son t-shirt. Elle ne doit pas porter beaucoup d’autres vêtements sur elle : je sens ses pointes durcir. Je me décide à aller plus bas. Ma main survole son ventre. Elle se doute bien de ce que je vais lui faire.
En attendant je suis en nage. Ma chatte dégouline entre mes jambes. Je voudrais qu’elle me caresse là. J’arrive à poser ma main sur le bas ventre. Je la sens bien écarter ses jambes dès que j’arrive. Je défais son jean qui tombe, je fais suivre le petit slip tout mignon.
- Oui, caresses là, branles moi.
- Assoies toi pour être à l’aise quand je te caresserais.
Elle est sur le divan, les jambes ouvertes. Je vois sa chatte pleine de secrétions qui doivent avoir bon goût. Egoïstement elle ne s’occupe pas de moi. Avant de me mettre à ses cotés, je me mets à l’aise nue. Mes seins aussi sont durs, j’ai la moule comme si elle venait de sortir de l’eau. Je caresse un peu une de ses cuisses, j’y fais monter une main. D’elle même elle me laisse passer. J’arrive sur sa perle. Là je m’attarde longtemps en caressant le petit rocher, après l’avoir découvert de son étui. Elle a un sursaut de plaisir quand je la masturbe juste à cet endroit.
Je ne lui demande pas encore de me caresser : elle le fait d’elle même. Pourtant elle a la tête en arrière, dégustant ma branlette. Elle pose sa main sur la fourche, passe juste sur le pubis entre sa main dans ma foune. Puis, en suivant son rythme elle passe dans ma fente. Là, elle me fait du bien enfin quand elle commence.
Nous nous branlons ensemble. Je la fais jouir juste avant qu’elle m’en fasse autant.
- Si nous allions dans ta chambre.
Elle s’est totalement livrée à moi, elle veut aller jusqu’au bout de notre dérive, de la sienne surtout. Nous sommes bien allongées contre l’autre. C’est moi qui garde le contrôle de la situation. Je dirige toujours ce genre de distraction.
- Baises moi.
C’est ce que je commence à faire. Ma main droite est sur son entrée magique. J’y entre deux doigts directement, je les fais aller et venir, elle gémit ; Je poursuis jusqu’à ce que je sente son vagin avoir les spasmes de la jouissance. Je me fais moi aussi jouir au moins une fois de mes œuvres. Enfin elle pense à mon sexe, elle me caresse bien, comme elle se fait, je suppose. Je me crispe aussi. Un orgasme n’est pas suffisant, ni pour elle ni pour moi, sinon pourquoi s’aimer entre filles.
Sa chatte me fait envie, je me tourne en 69. Je passe ma tête dans ses jambes Son odeur est délicieusement agréable. Je lèche le clito, je passe dans le con. Je continue sur le périnée. Je vais même sur son petit trou. Je ne fais que l’effleurer avant de revenir aspirer le meilleur de sa chatte. J’ai tout son clitoris dans mes lèvres, j’aspire, je lèche quand il est dedans. Elle geint, se tord sous le plaisir. Je sens qu’elle part une autre fois.
Je change de position, j’ai posé mon berlingot vers sa figure : elle comprend mon besoin en léchant doucement. A croire qu’elle n’a jamais fait que ça de sa vie. Elle rajoute un petit grain de poivre en mettant un doigt, un seul sur l’anus. Elle masse divinement bien. Elle fait durer ce moment intense longuement. Je sens bien la pulpe de son doigt quand elle force à peine pour entrer. Il me semble qu’elle fait aller et venir deux phalanges seulement. Sa langue continue sans travail de sape, elle ajoute un doigt dans le vagin. Je « subit » une double pénétration.
Sans cesser ce que nous faisons, je peux prendre les godes sous l’oreiller. Je les garde sans qu’elle le sache. J’en passe un dans la fente. Je cherche son con pour la baiser. Elle en est surprise, acceptant déjà ce genre de nique. Je vais plus loin en entrant l’autre sans précautions dans son anus. A son tour d’être doublement prise. Son abdomen fait les mouvements de baise comme si c’étaient de vraies bites. Après cet orgasme, elle prend les godes, les lèche un instant avant de me baiser, de m’enculer.
Nous passons presque la nuit à baiser. Le lendemain est un dimanche, nous restons couchées. Nous n’arrêtons pas de nous aimer, de toutes les façons possibles entre filles. Le summum étant quand nous sommes presque assises nos clitoris réunis dans la même double caresse.
Pourtant le dimanche soir elle me demande d’entrer ma main en entier dans son con. J’ai peur de lui faire mal. Elle insiste. Je lui mets les uns après les autres les doigts, en poussant j’entre le poignet, puis une bonne partie de l’avant bras.
- Continue, n’arrête surtout pas, je jouis, oui, oui, encore.
- Et moi.
- Après que tu me fasses jouir, continue. Fais-moi pareil au cul.
- Pas les deux à la fois.
- Oui, les deux ensembles. Fais-moi mal, j’aime ça.
J’au des difficultés à lui mettre ma main dans le cul. Quand j’y arrive c’est un spectacle extraordinaire de la voir remuer, de se mordre les lèvres, de se torturer les seins à ce point là. Je voudrais moi aussi avoir ma part. Je ne peux même pas me branler. Je n’a rien perdu, une heure après être dégagée de mes mains libre de faire ce qu’elle veut, elle saute sur ma chatte, la mordille, me fait sauter au plafond en jouissant violemment.
Les soirs suivant nous nous retrouvons, chez elle ou chez moi. Elle a acheté un double gode, nous l’inaugurons en étant en levrette, fesses contre fesses, le gode dans le con à remuer le cul.
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