Fin de soirée - histoire érotique

Il n’est pas loin d’une heure du matin lorsque nos amis décident de rentrer chez eux. Nous avons passé une excellente soirée à la maison, quelque peu arrosée.
J’avoue que j’ai passé la soirée à allumer mon chéri, discrètement. Déjà j’avais mis une mini jupe moulante sans string et un petit haut décolleté, de quoi l’émoustiller. Puis je n’ai pas loupé une occasion de l’embrasser langoureusement et même d’effleurer son sexe à travers son pantalon. Lorsque nous nous sommes retrouvés seuls à la cuisine pour préparer le dessert et le café, Julien en a profité pour mesurer mon état d’excitation en glissant deux doigts dans ma chatte. Il n’a pas été surpris de découvrir que je ne portais pas de string et que j’étais trempée.
A peine la porte d’entrée refermée, je m’agenouille devant lui, déboutonne son jean et descend son boxer. Je commence à le sucer pour son plus grand plaisir. Son sexe mou au départ grossit rapidement entre mes lèvres. Il ne résiste pas très longtemps à l’envie de me faire avaler sa queue profondément en appuyant sur ma tête. Sa queue est si grande que je sens son gland glisser dans ma gorge me provoquant par moment des hauts le cœur. Malgré ça, Julien continue de m’étouffer avec sa queue ce qui me fait mouiller encore plus. Lorsqu’il commence à se branler, je sais qu’il n’est pas loin de jouir. Telle une salope, j’attends la bouche grande ouverte qu’il répande son sperme sur ma langue. De grands jets de sperme jaillissent de son gland pour finir dans ma bouche. J’avale tout et je me jette sur sa queue pour récupérer les dernières gouttes de sperme.
Je me relève et lui chuchote à l’oreille que j’ai très envie de le sentir s’enfoncer dans mon cul. Je lui demande quelques minutes histoire que je prépare mon cul. J’aime que mon cul soit propre et j’aime m’amuser à dilater mon anus un peu avant une sodomie. Je monte donc à la salle de bain et après quelques lavements, j’enduis un petit plug anal de lubrifiant et je m’amuse à l’enfoncer dans mon anus doucement. L’alcool et l’excitation mêlés, j’ai envie de surprendre mon chéri alors je prends un plug anal bien plus gros que je n’utilise très rarement et je l’enduis aussi de lubrifiant. Avec la plus grande précaution, je l’enfonce doucement, centimètre par centimètre, laissant mon anus s’habituer. Lorsque mon anus se referme sur la base du plug j’ai un peu mal mais c’est supportable et je sais que c’est le temps que mon anus s’habitue.
Je me rhabille car je sais que Julien a toujours eu envie de m’enculer en ayant juste à relever ma jupe.
Je descends et retrouve mon chéri nu comme un ver, étendu sur le canapé, la queue à la main. Je ne résiste pas à l’envie de le sucer encore. Je me place à quatre pattes près de lui et pendant que je l’avale, il relève un peu ma jupe pour me caresser. Il s’aperçoit que je porte le gros plug et s’amuse à le faire tourner dans mon fondement. Il tire ensuite dessus doucement jusqu’à ce que mon cul recrache le plug. Il fait couler du lubrifiant sur mon anus qui se contracte en sentant le gel froid et le masse d’un doigt. Comme il appui de plus en plus sur mon anus, son doigt finit par s’enfoncer doucement et il continue son massage. Sa queue est plus dure que jamais dans ma bouche et j’ai hâte que sa colonne de chair s’introduise dans mon cul. Je lèche ses couilles en le branlant pendant qu’il doigte mon anus avec deux doigts. Je suis tellement excitée que je le supplie de m’enculer. Je me relève et m’installe en levrette sur le canapé. Julien relève un peu ma jupe et appuie son gland contre mon anus qui s’ouvre avec la pression. Mon chéri me laisse m’habituer à sa présence et s’enfonce lentement jusqu’à être entièrement en moi. Il a l’habitude, il attend mon feu vert pour bouger. Je lui demande de bouger délicatement. Puis le plaisir commence à prendre le dessus, je lui demande d’accélérer. Julien m’attrape alors par les hanches pour me baiser plus violemment, plus profondément. S’en est trop pour moi, je gicle. Ma mouille coule le long de mes cuisses et j’incite encore Julien à défoncer mon cul. Je crie de plaisir, j’aime ce moment où je n’ai plus le contrôle de mon corps. Des vagues de plaisir inonde ma chatte. Julien décide de changer de position et de pièce. Il m’emmène dans le couloir et me plaque debout face contre les escaliers. Je me cambre et Julien vient reprendre sa place don mon cul. Je suis obligée de me tenir aux barreaux des escaliers tellement sa grosse queue défonce mon cul. Je gicle encore et encore à tel point qu’une énorme flaque de mouille se forme sur le carrelage. Julien jouit à son tour me remplissant l’anus de sperme.
Il nous faut plusieurs minutes pour reprendre nos esprits. Nous prenons une petite douche et nous nous couchons épuisés mais comblés.
Je me réveille quelques heures plus tard. Je devine qu’il fait déjà jour mais Julien dort encore. Je repense à notre séance de baise et j’ai à nouveau envie de lui. Je glisse une main sous la couette à la recherche de son sexe endormi. Je le caresse et peu à peu son sexe se réveille. Comme Julien n’a pas l’air d’émerger, je décide de remplacer ma main par ma bouche. Je m’enfouie sous la couette. Délicatement, je lèche son gland en le branlant. Sa verge durcit encore. Je le prends un peu plus loin dans ma bouche, j’arrive encore à l’avaler entièrement sans m’étouffer. En même temps que ma bouche va et vient autour de sa queue, je caresse ses couilles. Julien bouge un peu. Je devine qu’il est réveillé mais qu’il profite pleinement de cette petite fellation matinale. Je continue à le sucer, à lui faire des gorges profondes. Cette fois Julien ne tient plus. Il glisse une main sous la couette juste pour m’obliger à garder sa queue au fond de la gorge de longues secondes. Il recommence ce petit jeu plusieurs fois avant de relâcher la pression sur ma nuque et soulève la couette. Ca fait du bien, je commençais sérieusement à crever de chaud là-dessous. Lorsque Julien me demande de m’allonger sur le dos pour me baiser, je ne me fais pas prier. Julien se place entre mes cuisses qu’il relève et plonge dans ma chatte humide. Il me baise sauvagement à grands coups de reins. Je crie, je caresse mon clitoris. Julien me traite de salope, de vide couilles. Ca m’excite quand il me domine et qu’il me baise fort. Lorsqu’il sent son plaisir monter en lui, il se retire et place sa queue juste au dessus de ma bouche. Je reçois sa semence mélangée à ma mouille sur la langue. J’aime avaler son sperme.