Fin des travaux 1

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Fin des travaux 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fin des travaux 1
La fin des travaux est arrivé avec la remise des clés. On était enfin chez nous bien que tout ne fût pas terminé.
Mais au fil des mois on s'était fait de nouveaux amis si bien que pour le déménagement nous avions de nombreux bras pour venir aider. On avait conclu que l'on arroserait cela quand on serait bien installé chez nous et le jour du déménagement nous avons dîné au restaurant et tout le monde était ravi de rentrer chez lui pour se reposer.
Même nous, le soir en entrant dans notre nouvelle chambre on avait envie que d'une chose… dormir! il y avait encore à tout ranger dans notre nouvelle maison.
Je n'avais jamais vu Hugo si crevé, les traits tirés, il dormait presque debout en se déshabillant, je n'étais pas dans un meilleur état.
Cela a duré deux jours, deux jours à bosser comme des fous pour essayer de tout bien mettre en ordre dans la maison et au 3ème jour on y voyait déjà plus clair, surtout on voyait bien les meubles qui nous manquaient.
Alors ce fût la tournée des magasins, les livraisons. Ce n'est vraiment qu'au bout d'une bonne semaine qu'on a pu enfin s'aimer comme on le mérite, tous les deux, une belle nuit d'amour, d'amoureux, enfin relax! Se retrouver!

C'est Sébastien, l'électricien notre adopté , qui venait le plus souvent, passant rapidement pour nous faire la bise, donner un coup de mains et toujours nous remercier pour ce que l'on avait fait pour lui. Il m'enflammait toujours quand il se serrait contre moi en me faisant des bisous dans le cou.

Le week-end des remerciements est arrivé, on avait installé un coin barbecue derrière la maison et une grande table était mise sur la terrasse recouverte d'un store. Le temps était de la partie, un beau soleil brillait, pas trop chaud en cette fin de printemps.
C'est Sébastien et son nouveau copain Max qui sont arrivés en premier, suivi d'un Stéphane, l'architecte, tout sourire, puis Yvon le plâtrier, suivi de Ian l'électricien et du maçon Manuel, en dernier le beau plombier beur Karim.
Ils se connaissaient tous et je les soupçonnais d'avoir déjà baisé ensemble vu les regards qu'ils se faisaient en se saluant, se faisant la bise.
Tous en short et tee-shirt, on avait que de beaux mâles dans notre nouvelle maison.
Ils avaient amené tout plein de cadeaux, on a vraiment été gâté.

Je m'étais occupé du barbecue et Hugo des accompagnements. On a commencé par l'apéro, les discussions allaient bon train, les conneries ont vite commencées, ça riait à gorge déployée puis on a déjeuné dans la bonne humeur à l'ombre du store. Le rosé et le rouge coulaient à flot pour abreuver tous ces travailleurs au dur labeur.
Max, le copain de Sébastien semblait un peu perdu au début, il ne connaissait personne à part nous, mais il s'est vite habitué.
Il était près de 17 heures quand on est enfin arrivé au dessert et champagne pour arroser dignement cette nouvelle maison.

Les couples semblaient se former tranquillement. L'architecte semblait vouloir apprendre le portugais et s'était rapproché du beau Manuel.
Yvon le plâtrier voulait apprendre la plomberie et avait branché un Karim qui semblait ravi.
Mon chéri Hugo s'était fait accaparer par Sébastien et son copain Max, qui, l'alcool aidant semblait plus décontracté et se laissait embrasser par Sébastien devant tout le monde et il se retrouvait avec un mec de chaque côté, et ce n'étaient pas les plus sages.
J'avais dit à Hugo d'aller voir le couple de tourtereaux et de dérider Max, que j'avais des vues sur Ian, car il me devait quelque chose. Ce beau mec n'avait pas pointé son nez à la maison. Il repoussait tout le temps, prétextant son manque de temps, mais je n'avais pas oublié!!

Je me suis donc retrouvé avec Ian, assis côte à côte. On matait tous les mecs qui commençaient à ne plus parler beaucoup, si avec les mains et les bouches.
-alors t'avais prévu une partouze monsieur le Propriétaire ? demande Ian en riant.
-prévue pas vraiment mais espérée oui!
-alors tu m'as gardé pour toi à ce que je vois, même ton mec Hugo va débaucher un couple, c'est du propre!
-dis donc beau mec! tu ne paies jamais tes dettes ? moi oui.
Il me regarde, et je vois dans ses yeux qu'il sait très bien où je veux en venir.
-j'ai des dettes avec toi ? ah il faut me rafraîchir la mémoire Fabrice.
Il avait dit ça d'un air sérieux, que j'ai douté un quart de seconde et il a éclaté de rire.
-oui je sais très bien ce que tu veux! espèce de vicieux, tu veux me baiser, tu veux mon cul, tu veux savoir si je gueule autant que toi quand je me fais baiser hein que c'est ça que tu veux ?

Il me parlait tout bas à l'oreille, il m'excitait dans ses paroles, comme il m'avait excité le soir où il m'avait enculé de toute beauté!
-oui je vais te l'offrir mon cul, mon corps, tout ce que tu veux de moi, mais pas devant tout le monde Fabrice, je veux rester le mâle dominant avec certains. Tu peux comprendre ça, mais je veux bien être ta salope et tu verras je sais aussi faire ça.
-ça parle toujours autant un électricien ? ça je sais bien que t'es au courant de tout, c'est normal, mais maintenant c'est moi qui vais brancher ton beau petit cul. Si tu savais comme j'en ai envie, alors je t'enlève, viens on va étrenner une chambre d'amis.

Je pense que personne, hormis Hugo, n'a vu que l'on s'éclipsait, mon regard a croisé le sien, il m'a fait un bisou de ses lèvres avec un grand sourire. Lui savait ce que j'allais faire.
Quand on est rentré dans la chambre d'amis, il me tenait par la main, m'a regardé.
-mais c'est là dans cette pièce que…
-oui dis je en le prenant dans mes bras, oui c'est là qu'aura lieu ma vengeance Ian l'électricien.

Il rigole en collant son corps au mien, et sa moustache se colle à mes lèvres, sa langue rentre avec force dans ma bouche. Je dirais que c'est un baiser passionné qui nous prend, on se déshabille mutuellement, il ne sent plus le travailleur, la sueur mais un doux parfum l'enveloppe et se dégage quand il lève les bras pour enlever son tee-shirt.
En boxer, on se chauffe en se frottant, nos torses roulent l'un sur l'autre, les baisers n'en finissent pas. J'aime tenir ce mec dans mes bras, ses muscles roulent sous mes mains, un dos dur et chaud. Mes mains viennent prendre une fesse chacune et je l'appuie sur moi.
Il prend ma tête entre ses mains.
-bouffe moi les tétons mecs, mord moi fort! j'adore ça.

J'ai obéi à ce qu'il voulait et ce fût un plaisir tant pour moi que pour lui, car vu les plaintes qu'il formulait, même quand je l'ai mordu il ne criait pas, mais s'offrait en grognant. J'ai cru que j'allais devenir cannibale.
Et soudain, il m'en a fait autant mais quand il m'a mordu, moi j'ai gueulé, car il ne faisait pas semblant.
Puis il s'est mis à genoux devant moi passant ses mains partout sur mon torse, mon dos, mes fesses toujours emprisonnées. Il regardait ma grosse queue coincée qui suintait à travers le caleçon.
Il l'a baissé d'un geste sec et le monstre lui est tombé sur le visage, les couilles sur le menton et la verge à travers sa moustache, le long de son nez remontant au front.
Et sa bouche est partie à l'assaut me faire bouffer les couilles par Ian! putain que c'est bon. Il me tenait aux fesses, ses mains chaudes, calleuses les serraient, les doigts dans la raie, sans chercher l'anus.

Quand il a eu dégusté mes couilles, sa langue est remontée sous la queue jusqu'au gland qu'il a entouré de ses lèvres et j'ai senti sa langue l'envelopper. Il aspirait la mouille qui coulait, il m'a sucé, aspiré, avalé toute ma queue à se faire pleurer, tousser. Ma queue était devenue dure comme du marbre, j'étais bien dans cette bouche. Il accentuait les mouvements comme pour arriver à me faire jouir.
Je me suis posé la question. J'allais lui donner mon bon jus, l'abreuver et ensuite le mettre à quatre pattes sur le lit et m'occuper de son cul que je voulais à tout prix.

J'ai pris sa tête entre mes mains et j'ai fait voyager ma queue dans cette bouche chaude, ses moustaches se mélangeaient à mes poils pubiens, il pleurait ce pauvre électricien. Ses mains se sont contractées sur mes fesses quand il a senti que j'allais jouir dans sa bouche. Ses lèvres se sont bien refermées sur ma queue, il me fixait et les giclées ont commencé et j'en avais à lui donner à Ian. Il déglutit à chaque fois jusqu'à ce que cela cesse pour faire ressortir lentement ma queue serrée entre ses lèvres.

-t'as vraiment un jus extra bon mec! j'adore.
Je l'ai relevé pour l'embrasser, aspirer sa langue, toucher sa queue raide.
-tu veux me sucer ? me demande t-il.
-quand je t'aurais baisé mec, je boirais ton jus.
-tu veux me baiser de suite ? dit il étonné en me touchant la queue qui n'est plus qu'en demie molle.
-mais je vais d'abord bien m'occuper de ton beau petit cul, bien le préparer, le forer, l'inonder. Tu sais pour que ma grosse queue puisse bien glisser en toi et que tu ne repartes pas en boîtant.
Il rigole en m'embrassant.
-oh t'en fais pas quand même, tu ne vas pas être ma première bite mec! il en a vu arriver d'autres.
-alors montre moi ça, que je l'ausculte de plus près.
Il rigole en virant son boxer, et se met à quatre pattes sur le lit, redressant bien son petit cul, de belles fesses bien ouvertes avec la raie.

Je les ai caressé avec tendresse, amour presque. J'aime caresser un cul, l'ouvrir, voir l'anus et savoir que je vais y mettre ma queue, le forer bien profond pour entendre son propriétaire gueuler.

L'anus était là, fermé, mais Ian poussait et il palpitait doucement quand j'ai commencé mes bisous dans la raie, touchant l'anus. Ian a gémi doucement, une longue plainte s'est échappée de ses belles lèvres, plus je léchais, plus il gémissait comme j'aime entendre un mec gémir, je me suis déchaîné avec ma langue et le petit trou s'ouvrait lentement, je faisais couler de la salive et la tassais avec ma langue. Les mains de Ian étaient arrivées en secours et m'aidaient à bien ouvrir ses fesses. L'anus était souple sous ma langue qui commençait à entrer, c'était doux, chaud. J'ai déposé un max de salive et avec mon index je l'ai enfoncé.

Les gémissements se sont faits plus forts, le cul se tendait bien. J'ai caressé cette paroi douce, chaude et humide. Il s'offrait bien mon électricien, mais il fallait agrandir le petit trou.
Quand j'ai enfoncé deux doigts, ce fût une longue plainte rauque qui lui sortait du fond de la gorge. Il s'enfonçait sur mes doigts, que j'ai tourné dans son cul et l'entendre pousser de petits cris, on aurait dit une pucelle effarouchée.
Ma queue avait repris la dimension et la dureté qu'il fallait, j'allais enfin, pourvoir avoir accès à ce beau cul!

Son anus s'est resserré sur mes doigts quand il a vu que je me redressais. Il ne voyait pas que ma queue était redevenue le monstre qu'il venait d'avaler, mais il allait bien le sentir!
J'ai retiré mes doigts, posé rapidement mon gland sur l'entrée encore trop étroite et, en le saisissant aux hanches j'ai commencé de suite à forcer l'entrée. Je voyais le gland disparaître lentement, être avalé petit à petit en même temps qu'il redressait la tête et un son rauque encore une fois sortait de sa bouche… un long "Ohhhhhhh" sortait en même temps que ma queue entrait en lui.
Quand le gland est passé, il a poussé un long cri.
Il gueulait presque aussi fort que mon Hugo dans ses bons jours!

Je l'ai laissé apprécier sans bouger, serrant ses hanches fermement je me suis enfoncé en lui jusqu'à ce que nos couilles se touchent. Il avait repris ses sons rauques mais ça y était! j'avais le bel électricien au bout de ma bite! j'étais heureux !
Ce qu'il ne savait pas le pauvre Ian, c'est que venant de jouir cela allait durer dans son petit cul bien chaud.
Mes va-et-vient lents au départ, se sont accélérés petit à petit, comme un moteur diesel il fallait qu'il atteigne sa vitesse de croisière.

Son trou était bien ouvert maintenant et ma belle queue coulissait comme dans son fourreau. Il grognait, râlait, gueulait à chaque coups de reins de plus en plus secs.
Je l'ai redressé contre moi, pour lui tripoter la bite, en lui mordant le cou, l'oreille, le branlant à moitié, sa belle queue coulait en abondance. Il gémissait encore et encore.
Je l'ai fait changer de positions, ma queue ne sortait pas de lui et, quand on s'est retrouvé face à face, voir ses yeux briller, son air ravi j'ai pris son pied pour le lécher. Il faisait bouger ses orteils dans ma bouche, sa queue pleurait sur son ventre et je donnais de petits coups de reins.

J'étais de plus en plus dur. J'avais envie de jouir dans son conduit, le remplir et je voulais voir ses yeux quand j'allais me vider en lui.
J'ai replié ses jambes sur son torse m'appuyant sur ses cuisses, j'étais presque au dessus de lui et je lui donnais de grands coups de reins pour que ma queue s'enfonce au plus profond de lui. A chaque coup de reins, c'est lui qui disait "han" et j'ai senti le plaisir arriver. J'ai accéléré le mouvement, en le fixant, ses yeux se sont écarquillés, ne me perdant pas de vue et quand j'ai lâché la première salve, il a ouvert la bouche en un cri muet. Je sentais mon jus m'envelopper la queue, et les autres giclées sont arrivées, j'en avais encore plus que ce qu'il avait avalé.

Il ne m'a pas quitté des yeux jusqu'à ce que je lâche ses cuisses et tombe sur lui en gémissant tellement j'étais bien dans ce cul.
Il a pris ma tête entre ses mains et ses moustaches sont passées partout sur mon visage, avant d'accaparer mes lèvres et me serrer contre lui.
Je suis sorti lentement de lui, il m'a retourné sur le lit pour venir contre moi, me caresser la joue en souriant.
-je comprends pourquoi ton mec Hugo t'aime autant! putain t'as un sacré coup de reins mon beau! tu m'as fait kiffer tu peux pas savoir.
-maintenant j'ai soif bel électricien, t'as encore du jus à m'offrir ?
-oui mais je veux te baiser la bouche et t'étouffer beau mec!
-je suis à toi!

Il s'est assis sur mon torse et sa grosse queue est venue me remplir la bouche, directement au plus profond. Il me faisait tousser et pleurer et m'étouffait c'est sûr!
Il s'est redressé, ses mains de chaque côté de ma tête et il m'a baisé la bouche. Sa grosse queue coulait bien sur ma langue et s'enfonçait dans ma gorge à chaque fois, j'ai pas arrêté de pleurer, de tousser mais il était tellement excité que cela n'a pas duré longtemps et le tsunami est arrivé, des vagues de bon sperme d'électricien coulaient en moi, je crois que je n'avais jamais avalé tant de jus en même temps.

-putain mec! je passerais ma vie à baiser avec toi.
-nos mecs ne seraient peut être pas d'accord dis je en riant.
-on va voir ce qu'ils font ?
-attend, reste un peu comme ça, on est pas bien tout nu, l'un contre l'autre.
-tu veux quoi d'autres toi ? dit il de son air coquin.
-rien, t'avoir près de moi, sentir ton corps chaud, tes bisous piquants avec cette moustache qui te vieillit et goûter à ta belle queue.
-tu veux que je t'enc..
-non non ne rêve pas trop quand même!
-oh ne me dit pas qu'on ne recommencera jamais ?
-j'ai pas dit ça voyou d'électricien!

On est resté un long moment tous les deux, à se faire des caresses, des bisous, parler de tout et de rien et nos queues avaient repris de bonnes dimensions.
-tu crois qu'ils sont en train de baiser dehors tous ? demande Ian.
-ben on va aller voir ça, on va bien trouver des petits culs à combler non ?

On s'est levé, restant à poil, on s'est avancé vers la terrasse.
On entendait pas vraiment du bruit, mais de petits rires, des petits cris.
On s'est regardé tous les deux en, souriant.

Quand on est arrivé sur la terrasse, c'était un méli mélo de corps, par deux ou trois, se suçant, se baisant.
Ian a tapé dans ses mains, des têtes se sont levées, curieuses.
-y aurait il deux petits culs de libre pour deux bites en détresse ?

Ce fût des rires, ils se sont tous levés en venant nous entourer.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Belle partouze !



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