Fin des travaux 2
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fin des travaux 2
Le plus rapide à arriver dans mes bras fut Sébastien, complètement nu, la bite bien raide, il m'enlace par le cou, se serre contre moi, frottant sa queue sur la mienne.
-Fabrice, j'ai envie d'être tout seul avec toi dans un lit! me chuchote t-il.
Je le regarde étonné.
-ben! qu'est ce qui t'arrive ? t'en as marre de tous les autres ? dis je en riant.
On regarde justement les autres pour voir le tableau s'installer.
Yvon, Manuel et Hugo se sont mis côte à côte, à genoux leurs petits culs bien remontés et tendus dans l'attente d'une bite.
Karim, Max et Ian commençaient à se positionner derrière les culs affamés pendant que Stéphane, le bel architecte, promenait sa queue devant les bouches des trois mecs à genoux.
-tu vois dit Sébastien ils vont être bien occupés, ils ne s'occupent même pas de nous et j'aimerais te parler aussi.
-me parler ? mais mon petit chéri je sais déjà tout de toi, tu me l'as raconté lorsque tu étais à la maison. Tu te souviens pas quand tu venais faire un câlin sur mes genoux en me racontant des horreurs à l'oreille et qu'il fallait que je te calme.
-oui je sais Fabrice, mais c'est autre chose que je veux te dire.
Il avait pris son air mélancolique mais de salope quand même, car c'est une belle salope Sébastien, qu'il revendique d'ailleurs.
-et Max ? il va en penser quoi de nous voir partir tous les deux ?
-je lui ai dit que j'avais à te dire des choses et que je ne voulais être que tout seul avec toi, et puis, regarde, il est déchaîné mon chéri, je ne l'ai jamais vu comme ça. Remarque c'est la première partouze qu'on fait car normalement il est pudique dit Sébastien en riant.
-allez viens mon petit chéri, viens faire la sieste avec tonton Fabrice.
On s'est allongé sur le lit, il est venu à moitié sur moi, une jambe entre les miennes, la tête au dessus de la mienne, me caressant la joue en me fixant tout sourire. Ses yeux étaient rêveurs. A quoi il pensait mon beau Sébastien.
J'ai repensé qu'effectivement on avait jamais été tous les deux, seuls dans un lit.
Ses lèvres se sont rapprochées des miennes et il m'a embrassé tendrement, sa main me caressait toujours la joue et sa langue est venue jouer avec la mienne, doucement, laissant sa salive. Il n'y avait rien de violent, ni de passionné, juste un échange.
-je voulais être seul avec toi, comme ça, pouvoir te regarder, te sourire, te voir te demander ce que je veux. Je vois dans tes yeux que tu te demandes, mais mon amour, car tu es et tu resteras mon amour, l'homme qui m'a sauvé la vie avant que je sombre vraiment sous les coups de mon ex... Tu as su me bousculer et m'amener chez toi le jour même où je t'ai rencontré, tu ne m'as pas laissé le temps de réfléchir et maintenant cela fait plusieurs mois Fabrice, plusieurs mois que je t'aime… oh pas comme Max qui me le rend bien, je pense que je suis toujours aussi salope, j'aime toujours les extrêmes mais on les fait d'une autre manière où tout le monde prend son pied.
-tu m'as déjà dit tout ça Sébastien! et je t'ai dit dès le premier jour que tu faisais parti de la famille alors je n'ai pas envie de changer mes paroles, en plus Hugo est ravi d'avoir un petit frère adoptif, aussi vicieux et salope que lui. Tu veux que je te rappelle toutes les fois où nous avons été tous les trois ensemble pour mon plus grand bonheur!
-pas la peine Fabrice, je me souviens de toutes les fois. Non ce que je voulais c'était te le dire encore une fois, mais en tête à tête, c'est la première fois qu'on est seul sur un lit.
-et tu ne fais que parler ? tu ne veux pas t'occuper de moi ? ou que je m'occupe de toi ?
Je sens son corps, ses bras se raidir contre le mien, il se serre, se pelotonne contre moi.
-je suis bien comme ça Fabrice, dans tes bras, te sentir, entendre ton cœur battre dans ta poitrine, te regarder comme tu es beau, savoir qu'on s'aime et que je vais m'offrir à toi encore une fois en espérant que ce n'est pas la dernière fois.
-arrête de dire des bêtises Sébastien pourquoi veux tu que se soit la dernière fois ?
-parce que Max veut déménager, il veut m'emmener à l'autre bout de la France, remarque c'est dans le sud, au soleil en bordure de mer.
-et tu ne veux pas ?
-si bien sûr, mais je ne te verrais plus!
-oh faudra prendre une maison avec une chambre d'amis et on viendra avec Hugo en vacances, comme vous pourrez venir ici de la même façon.
-oui dit il
-tu l'aimes Max ?
-oui y'a aucun problème là dessus. Je l'aime et il m'aime!
-alors! ne fais pas ton bougon, tu sais qu'il existe un appareil qui s'appelle le portable ? et qu'on peut se parler… se voir même ! je t'en achèterais un si tu en manque.
-t'es bête quand tu t'y mets mon amour de sauveur.
Je le fais rouler sur le lit pour me mettre sur lui, l'écraser de mon corps, sa queue comme la mienne, est bien raide. Je me frotte à lui, en lui faisant plein de bisous sur le visage, passant partout, à chaque fois qu'il commence à parler je lui clos les lèvres d'un baiser. Il rigole de me voir faire.
Ses jambes s'écartent et viennent autour de mon corps, remontant pour l'enserrer.
-y veut quoi mon petit chéri ?
-que tu me baises, que tu m'encules sans me préparer mon petit cul, de toute façon je viens de prendre la queue de Manuel tout à l'heure et je veux être ta pute que tu baises sans ménagement.
-tes désirs sont des ordres jeune salope!
Je l'ai fixé sans rire, faisant mon méchant, sans savoir vraiment trop le faire.
Je me suis mis à genoux en retirant ses jambes autour de moi.
-à quatre pattes jeune salope, je ne regarde pas les salopes que je baise.
Il s'est vite retourné, ouvrant lui même ses belles petites fesses, son anus palpitait et était déjà ouvert.
J'ai vite posé mon gland bien décalotté sur l'entrée. Je l'ai pris aux hanches et, d'un seul coup de reins je suis entré en lui le faisant hurler en se redressant, nos couilles se frottaient. J'appuyais sur son dos pour qu'il reste dans cette position et je l'ai baisé sans faire attention à son plaisir, uniquement au mien, de grands coups de reins, ma grosse queue coulissait à merveille dans ce petit cul bien graissé et ouvert. Il n'arrêtait pas de gueuler, la tête sur les draps, je voyais les larmes couler de ses yeux, il serrait les draps de ses poings mais j'ai continué à le baiser sans ménagement comme la salope qu'il est et comme il l'avait demandé.
J'avais, enfin compris, que c'était ce souvenir là qu'il voulait emmener avec lui et que leur départ devait être proche.
Quand ce fût devenu une évidence dans ma petite tête, j'ai ralenti la cadence, le baisant toujours à fond, mais plus tendrement, comme j'aime le faire à Hugo qui devait s'en prendre plein le cul en ce moment.
J'ai redressé Sébastien contre moi, ma queue s'est encore enfoncée en lui, il geignait le sourire aux lèvres, il m'a regardé, ses yeux étaient humides.
-comment va mon petit amour de Sébastien ?
-t'en fais pas Fabrice, c'est comme ça que j'aimerais être baisé tout le temps, me faire défoncer, me faire mal, pleurer de joie quand on m'encule avec sa grosse queue, tout comme tu viens de le faire parce qu'en plus toi tu m'aimes !
Il m'a offert ses lèvres, sa langue, ma main a pris sa belle queue qui bandait bien dure et coulait en continue.
-tu vas te retourner, sans sortir ma queue de ton petit cul de salope.
J'avais envie de rire, de le voir se contorsionner pour se mettre sur le dos, les jambes bien ouvertes et ma queue était toujours bien ancrée en lui. J'ai rabattu ses jambes sur son torse en les écartant et je me suis penché pour que mon ventre se pose sur sa queue raide.
Ma tête descendait vers la sienne, nos yeux se fixaient. Il savait que j'allais jouir comme ça en le regardant, qu'il allait sentir tout mon bon jus chaud se répandre en lui. Il souriait.
Quand j'ai commencé mes longs va-et-vient dans son petit cul, mon ventre massait sa queue et elle coulait encore plus.
J'ai vu dans ses yeux qu'il appréciait. J'ai accéléré, je sentais le plaisir arriver et le voir sourire, sa langue passer sur ses belles lèvres m'a excité encore plus et, quand j'ai lâché la première giclée j'ai senti son jus chaud entre nos ventres. Il a joui autant de giclées que moi, sa tête est venue vers la mienne, s'emparer de mes lèvres, aspirer ma langue pour boire ma salive et nos gémissements se mélangeaient dans nos bouches.
Quand je me suis affalé sur lui, faut voir avec quelle force il m'a serré dans ses bras et ses jambes, ma queue toujours en lui.
On a repris nos respirations.
-t'es vraiment un amour Fabrice, je me souviendrais toujours de ce moment là. T'as vu on a joui ensemble, en même temps, t'as vu hein ? quand j'ai senti ta première giclée j'ai cru qu'elle ressortait par ma queue coincée entre nous c'est la première fois que cela m'arrivait tu sais.
-tu parles autant avec Max ? j'ai demandé en riant.
-oui il dit souvent que je suis un moulin à paroles, mais j'aime bien dire ce que je ressens.
-alors ? tu pars quand avec Max mon beau voyou ?
Ses yeux sont devenus tristes.
-la semaine prochaine.
Il se met à pleurer.
-alors si tu veux bien, on recommence tout de suite pour voir si tu peux jouir une seconde fois de la même façon..
Oubliées les larmes, le sourire était revenu. Son petit cul s'est mis à se contracter sur ma queue qui a repris sa dureté. On s'est embrassé, caressé et je lui ai fait l'amour encore une fois, tendrement pour l'entendre encore me dire des choses gentilles. On a réussi à jouir encore une fois tous les deux ensemble, de la même façon.
J'ai cru que mon cœur allait sortir de ma poitrine, ses bras et jambes m'ont libéré. Il m'a fait me mettre sur le dos, toujours en m'embrassant, ses lèvres ont quitté les miennes pour aller me lécher la queue, j'ai été obligé de claquer ses fesses.
-et moi tu me donnes rien à déguster..?
Il a ri en se tournant pour que j'ai sa belle queue toute gluante, en semi molle que je me suis fait un plaisir de sucer.
Mais il ne voulait pas me lâcher et me suçait de plus en plus vite, alors je lui en fais autant, cela a duré un long moment, on entendait un gémissement de temps en temps mais surtout des bruits de langues et de bouches et quand la jouissance est arrivée, j'ai été inondé de son bon jus chaud qui ne désaltérait pas! Il a avalé le mien en grognant pour revenir dans mes bras et faire jouer nos langues ensemble.
-je suis heureux Fabrice, j'en avais tellement envie de faire ça tout seul avec toi!
Je l'ai embrassé pour le faire taire.
On est resté un long moment comme ça, sa tête sur ma poitrine comme s'il écoutait battre mon cœur, sans qu'il ne dise rien, ni ne bouge, sa main caressait mon ventre négligemment et moi ses cheveux tendrement..
C'était quand même un sacré phénomène que ce Sébastien, je crois bien qu'il était encore plus salope qu'Hugo..!
-dis donc mon bébé d'amour si on allait voir ce que font les autres.
-bah ils baisent! tu crois pas qu'ils jouent aux petits chevaux! dit il en riant.
-mais t'as pas faim ?
-pourquoi ? on est invité pour le soir aussi ?
-bien sûr c'est prévu!
-alors j'ai faim! dit il péremptoire, mais j'ai encore un truc à te demander Fabrice.
-je t'écoute.
-est ce que Max et moi on peut rester dormir cette nuit ?
-moi je suis d'accord, mais faut que tu demandes à Hugo.
-c'est déjà fait… dit il en rigolant, il m'a juste dit de te le demander.
Il éclate de rire en se jetant sur moi..
-vivement que tu t'en ailles! tu deviens de plus en plus voyou! mais je t'aime quand même Sébastien.
-oh moi aussi je t'aime!
-allez debout avant que ça dégénère, et au fait, vous restez dormir, d'accord mais dans la chambre d'amis, je veux dormir tranquille avec Hugo cette nuit.
-mais c'était comme ça que je l'avais compris chef! dit il en se foutant de moi.
Lorsqu'on est arrivé sur la terrasse c'était bien le Bazard quand même. Ils étaient enchevêtrés les uns dans les autres, personne n'avait vu que l'on était revenu, il a fallu que je tape dans mes mains pour leur demander s'ils avaient faim.
Tout le monde s'est relevé. Ils étaient tous beaux mes potes, tous une belle queue et tous avaient le sourire.
-bon vous mettez un short pour manger, je vais remettre en route le barbecue, tiens Max tu viens m'aider ?
Il avait le sourire le beau Max et je l'ai attaqué bille en tête.
-alors petit cachotier, on nous quitte bientôt ?
-ah ça y est Sébastien te l'a dit, oui je suis désolé, mais j'ai trouvé un boulot beaucoup plus intéressant dans le midi. J'en ai discuté avec Sébastien et il m'a dit que lui ne peinerait pas à retrouver du travail comme électricien alors on s'est décidé mais il avait peur de te le dire, enfin peur de vous faire de la peine à tous les deux, mais il m'a demandé de le laisser faire.
-oui j'ai vu ça dis je en riant.
-il t'aime beaucoup tu sais, Hugo aussi, mais c'est toi son préféré, y'a pas une journée où il ne parle pas de toi.
-faut pas être jaloux Max moi aussi je l'aime beaucoup mais mon préféré c'est Hugo, mais, car il y a un mais à votre départ et je l'ai demandé à Sébastien.
-c'est quoi ? demande Max d'un air inquiet.
-que la maison ou l'appartement que vous allez prendre comporte au moins une chambre d'amis car j'ai bien l'intention avec Hugo de venir vous voir.
-ah s'il n'y a que ça, dit un Max paraissant soulagé, en tout cas c'était prévu.
-alors viens dans mes bras Max! et soyez heureux, ah! aussi une autre chose ne t'avise pas de faire du mal à Sébastien, de le rendre malheureux je le saurais!
Max me serre dans ses bras, sa tête dans mon cou et j'aperçois Sébastien qui nous regarde, tout sourire.
-tu sais mon intention est qu'on soit heureux, je sais par ce qu'il a bien voulu me raconter, ce qui lui est arrivé avant moi.
Hugo venait nous rejoindre.
-tu tombes bien mon chéri, tu connais la nouvelle pour Max et Sébastien ?
-oui dit Hugo ils me l'ont déjà dit et j'ai donné ma bénédiction bien sûr avec sûrement les mêmes recommandations que celles que tu viens de faire en soulant Max.
Je vois Max rigoler.
-tout ce que je peux dire, c'est que vous vous connaissez bien tous les deux, vous avez eu tous les deux les mêmes recommandations alors maintenant je suis vraiment obligé de m'y tenir.
On a pris Max dans nos bras en l'embrassant chacun sur une joue.
-je croyais que c'était moi le préféré ? dit la voix de Sébastien.
-viens là espèce de moulin à paroles et à bisous dit Hugo en le prenant par le cou.
C'était bien dommage qu'ils partent nos petits amoureux, ils allaient nous manquer c'est sûr!
-hé dit Hugo en me secouant le bras, tu fais cuire la viande ? la soirée n'est pas finie dit il en rigolant.
Je crois bien que je n'avais jamais eu la situation en mains.
-Fabrice, j'ai envie d'être tout seul avec toi dans un lit! me chuchote t-il.
Je le regarde étonné.
-ben! qu'est ce qui t'arrive ? t'en as marre de tous les autres ? dis je en riant.
On regarde justement les autres pour voir le tableau s'installer.
Yvon, Manuel et Hugo se sont mis côte à côte, à genoux leurs petits culs bien remontés et tendus dans l'attente d'une bite.
Karim, Max et Ian commençaient à se positionner derrière les culs affamés pendant que Stéphane, le bel architecte, promenait sa queue devant les bouches des trois mecs à genoux.
-tu vois dit Sébastien ils vont être bien occupés, ils ne s'occupent même pas de nous et j'aimerais te parler aussi.
-me parler ? mais mon petit chéri je sais déjà tout de toi, tu me l'as raconté lorsque tu étais à la maison. Tu te souviens pas quand tu venais faire un câlin sur mes genoux en me racontant des horreurs à l'oreille et qu'il fallait que je te calme.
-oui je sais Fabrice, mais c'est autre chose que je veux te dire.
Il avait pris son air mélancolique mais de salope quand même, car c'est une belle salope Sébastien, qu'il revendique d'ailleurs.
-et Max ? il va en penser quoi de nous voir partir tous les deux ?
-je lui ai dit que j'avais à te dire des choses et que je ne voulais être que tout seul avec toi, et puis, regarde, il est déchaîné mon chéri, je ne l'ai jamais vu comme ça. Remarque c'est la première partouze qu'on fait car normalement il est pudique dit Sébastien en riant.
-allez viens mon petit chéri, viens faire la sieste avec tonton Fabrice.
On s'est allongé sur le lit, il est venu à moitié sur moi, une jambe entre les miennes, la tête au dessus de la mienne, me caressant la joue en me fixant tout sourire. Ses yeux étaient rêveurs. A quoi il pensait mon beau Sébastien.
J'ai repensé qu'effectivement on avait jamais été tous les deux, seuls dans un lit.
Ses lèvres se sont rapprochées des miennes et il m'a embrassé tendrement, sa main me caressait toujours la joue et sa langue est venue jouer avec la mienne, doucement, laissant sa salive. Il n'y avait rien de violent, ni de passionné, juste un échange.
-je voulais être seul avec toi, comme ça, pouvoir te regarder, te sourire, te voir te demander ce que je veux. Je vois dans tes yeux que tu te demandes, mais mon amour, car tu es et tu resteras mon amour, l'homme qui m'a sauvé la vie avant que je sombre vraiment sous les coups de mon ex... Tu as su me bousculer et m'amener chez toi le jour même où je t'ai rencontré, tu ne m'as pas laissé le temps de réfléchir et maintenant cela fait plusieurs mois Fabrice, plusieurs mois que je t'aime… oh pas comme Max qui me le rend bien, je pense que je suis toujours aussi salope, j'aime toujours les extrêmes mais on les fait d'une autre manière où tout le monde prend son pied.
-tu m'as déjà dit tout ça Sébastien! et je t'ai dit dès le premier jour que tu faisais parti de la famille alors je n'ai pas envie de changer mes paroles, en plus Hugo est ravi d'avoir un petit frère adoptif, aussi vicieux et salope que lui. Tu veux que je te rappelle toutes les fois où nous avons été tous les trois ensemble pour mon plus grand bonheur!
-pas la peine Fabrice, je me souviens de toutes les fois. Non ce que je voulais c'était te le dire encore une fois, mais en tête à tête, c'est la première fois qu'on est seul sur un lit.
-et tu ne fais que parler ? tu ne veux pas t'occuper de moi ? ou que je m'occupe de toi ?
Je sens son corps, ses bras se raidir contre le mien, il se serre, se pelotonne contre moi.
-je suis bien comme ça Fabrice, dans tes bras, te sentir, entendre ton cœur battre dans ta poitrine, te regarder comme tu es beau, savoir qu'on s'aime et que je vais m'offrir à toi encore une fois en espérant que ce n'est pas la dernière fois.
-arrête de dire des bêtises Sébastien pourquoi veux tu que se soit la dernière fois ?
-parce que Max veut déménager, il veut m'emmener à l'autre bout de la France, remarque c'est dans le sud, au soleil en bordure de mer.
-et tu ne veux pas ?
-si bien sûr, mais je ne te verrais plus!
-oh faudra prendre une maison avec une chambre d'amis et on viendra avec Hugo en vacances, comme vous pourrez venir ici de la même façon.
-oui dit il
-tu l'aimes Max ?
-oui y'a aucun problème là dessus. Je l'aime et il m'aime!
-alors! ne fais pas ton bougon, tu sais qu'il existe un appareil qui s'appelle le portable ? et qu'on peut se parler… se voir même ! je t'en achèterais un si tu en manque.
-t'es bête quand tu t'y mets mon amour de sauveur.
Je le fais rouler sur le lit pour me mettre sur lui, l'écraser de mon corps, sa queue comme la mienne, est bien raide. Je me frotte à lui, en lui faisant plein de bisous sur le visage, passant partout, à chaque fois qu'il commence à parler je lui clos les lèvres d'un baiser. Il rigole de me voir faire.
Ses jambes s'écartent et viennent autour de mon corps, remontant pour l'enserrer.
-y veut quoi mon petit chéri ?
-que tu me baises, que tu m'encules sans me préparer mon petit cul, de toute façon je viens de prendre la queue de Manuel tout à l'heure et je veux être ta pute que tu baises sans ménagement.
-tes désirs sont des ordres jeune salope!
Je l'ai fixé sans rire, faisant mon méchant, sans savoir vraiment trop le faire.
Je me suis mis à genoux en retirant ses jambes autour de moi.
-à quatre pattes jeune salope, je ne regarde pas les salopes que je baise.
Il s'est vite retourné, ouvrant lui même ses belles petites fesses, son anus palpitait et était déjà ouvert.
J'ai vite posé mon gland bien décalotté sur l'entrée. Je l'ai pris aux hanches et, d'un seul coup de reins je suis entré en lui le faisant hurler en se redressant, nos couilles se frottaient. J'appuyais sur son dos pour qu'il reste dans cette position et je l'ai baisé sans faire attention à son plaisir, uniquement au mien, de grands coups de reins, ma grosse queue coulissait à merveille dans ce petit cul bien graissé et ouvert. Il n'arrêtait pas de gueuler, la tête sur les draps, je voyais les larmes couler de ses yeux, il serrait les draps de ses poings mais j'ai continué à le baiser sans ménagement comme la salope qu'il est et comme il l'avait demandé.
J'avais, enfin compris, que c'était ce souvenir là qu'il voulait emmener avec lui et que leur départ devait être proche.
Quand ce fût devenu une évidence dans ma petite tête, j'ai ralenti la cadence, le baisant toujours à fond, mais plus tendrement, comme j'aime le faire à Hugo qui devait s'en prendre plein le cul en ce moment.
J'ai redressé Sébastien contre moi, ma queue s'est encore enfoncée en lui, il geignait le sourire aux lèvres, il m'a regardé, ses yeux étaient humides.
-comment va mon petit amour de Sébastien ?
-t'en fais pas Fabrice, c'est comme ça que j'aimerais être baisé tout le temps, me faire défoncer, me faire mal, pleurer de joie quand on m'encule avec sa grosse queue, tout comme tu viens de le faire parce qu'en plus toi tu m'aimes !
Il m'a offert ses lèvres, sa langue, ma main a pris sa belle queue qui bandait bien dure et coulait en continue.
-tu vas te retourner, sans sortir ma queue de ton petit cul de salope.
J'avais envie de rire, de le voir se contorsionner pour se mettre sur le dos, les jambes bien ouvertes et ma queue était toujours bien ancrée en lui. J'ai rabattu ses jambes sur son torse en les écartant et je me suis penché pour que mon ventre se pose sur sa queue raide.
Ma tête descendait vers la sienne, nos yeux se fixaient. Il savait que j'allais jouir comme ça en le regardant, qu'il allait sentir tout mon bon jus chaud se répandre en lui. Il souriait.
Quand j'ai commencé mes longs va-et-vient dans son petit cul, mon ventre massait sa queue et elle coulait encore plus.
J'ai vu dans ses yeux qu'il appréciait. J'ai accéléré, je sentais le plaisir arriver et le voir sourire, sa langue passer sur ses belles lèvres m'a excité encore plus et, quand j'ai lâché la première giclée j'ai senti son jus chaud entre nos ventres. Il a joui autant de giclées que moi, sa tête est venue vers la mienne, s'emparer de mes lèvres, aspirer ma langue pour boire ma salive et nos gémissements se mélangeaient dans nos bouches.
Quand je me suis affalé sur lui, faut voir avec quelle force il m'a serré dans ses bras et ses jambes, ma queue toujours en lui.
On a repris nos respirations.
-t'es vraiment un amour Fabrice, je me souviendrais toujours de ce moment là. T'as vu on a joui ensemble, en même temps, t'as vu hein ? quand j'ai senti ta première giclée j'ai cru qu'elle ressortait par ma queue coincée entre nous c'est la première fois que cela m'arrivait tu sais.
-tu parles autant avec Max ? j'ai demandé en riant.
-oui il dit souvent que je suis un moulin à paroles, mais j'aime bien dire ce que je ressens.
-alors ? tu pars quand avec Max mon beau voyou ?
Ses yeux sont devenus tristes.
-la semaine prochaine.
Il se met à pleurer.
-alors si tu veux bien, on recommence tout de suite pour voir si tu peux jouir une seconde fois de la même façon..
Oubliées les larmes, le sourire était revenu. Son petit cul s'est mis à se contracter sur ma queue qui a repris sa dureté. On s'est embrassé, caressé et je lui ai fait l'amour encore une fois, tendrement pour l'entendre encore me dire des choses gentilles. On a réussi à jouir encore une fois tous les deux ensemble, de la même façon.
J'ai cru que mon cœur allait sortir de ma poitrine, ses bras et jambes m'ont libéré. Il m'a fait me mettre sur le dos, toujours en m'embrassant, ses lèvres ont quitté les miennes pour aller me lécher la queue, j'ai été obligé de claquer ses fesses.
-et moi tu me donnes rien à déguster..?
Il a ri en se tournant pour que j'ai sa belle queue toute gluante, en semi molle que je me suis fait un plaisir de sucer.
Mais il ne voulait pas me lâcher et me suçait de plus en plus vite, alors je lui en fais autant, cela a duré un long moment, on entendait un gémissement de temps en temps mais surtout des bruits de langues et de bouches et quand la jouissance est arrivée, j'ai été inondé de son bon jus chaud qui ne désaltérait pas! Il a avalé le mien en grognant pour revenir dans mes bras et faire jouer nos langues ensemble.
-je suis heureux Fabrice, j'en avais tellement envie de faire ça tout seul avec toi!
Je l'ai embrassé pour le faire taire.
On est resté un long moment comme ça, sa tête sur ma poitrine comme s'il écoutait battre mon cœur, sans qu'il ne dise rien, ni ne bouge, sa main caressait mon ventre négligemment et moi ses cheveux tendrement..
C'était quand même un sacré phénomène que ce Sébastien, je crois bien qu'il était encore plus salope qu'Hugo..!
-dis donc mon bébé d'amour si on allait voir ce que font les autres.
-bah ils baisent! tu crois pas qu'ils jouent aux petits chevaux! dit il en riant.
-mais t'as pas faim ?
-pourquoi ? on est invité pour le soir aussi ?
-bien sûr c'est prévu!
-alors j'ai faim! dit il péremptoire, mais j'ai encore un truc à te demander Fabrice.
-je t'écoute.
-est ce que Max et moi on peut rester dormir cette nuit ?
-moi je suis d'accord, mais faut que tu demandes à Hugo.
-c'est déjà fait… dit il en rigolant, il m'a juste dit de te le demander.
Il éclate de rire en se jetant sur moi..
-vivement que tu t'en ailles! tu deviens de plus en plus voyou! mais je t'aime quand même Sébastien.
-oh moi aussi je t'aime!
-allez debout avant que ça dégénère, et au fait, vous restez dormir, d'accord mais dans la chambre d'amis, je veux dormir tranquille avec Hugo cette nuit.
-mais c'était comme ça que je l'avais compris chef! dit il en se foutant de moi.
Lorsqu'on est arrivé sur la terrasse c'était bien le Bazard quand même. Ils étaient enchevêtrés les uns dans les autres, personne n'avait vu que l'on était revenu, il a fallu que je tape dans mes mains pour leur demander s'ils avaient faim.
Tout le monde s'est relevé. Ils étaient tous beaux mes potes, tous une belle queue et tous avaient le sourire.
-bon vous mettez un short pour manger, je vais remettre en route le barbecue, tiens Max tu viens m'aider ?
Il avait le sourire le beau Max et je l'ai attaqué bille en tête.
-alors petit cachotier, on nous quitte bientôt ?
-ah ça y est Sébastien te l'a dit, oui je suis désolé, mais j'ai trouvé un boulot beaucoup plus intéressant dans le midi. J'en ai discuté avec Sébastien et il m'a dit que lui ne peinerait pas à retrouver du travail comme électricien alors on s'est décidé mais il avait peur de te le dire, enfin peur de vous faire de la peine à tous les deux, mais il m'a demandé de le laisser faire.
-oui j'ai vu ça dis je en riant.
-il t'aime beaucoup tu sais, Hugo aussi, mais c'est toi son préféré, y'a pas une journée où il ne parle pas de toi.
-faut pas être jaloux Max moi aussi je l'aime beaucoup mais mon préféré c'est Hugo, mais, car il y a un mais à votre départ et je l'ai demandé à Sébastien.
-c'est quoi ? demande Max d'un air inquiet.
-que la maison ou l'appartement que vous allez prendre comporte au moins une chambre d'amis car j'ai bien l'intention avec Hugo de venir vous voir.
-ah s'il n'y a que ça, dit un Max paraissant soulagé, en tout cas c'était prévu.
-alors viens dans mes bras Max! et soyez heureux, ah! aussi une autre chose ne t'avise pas de faire du mal à Sébastien, de le rendre malheureux je le saurais!
Max me serre dans ses bras, sa tête dans mon cou et j'aperçois Sébastien qui nous regarde, tout sourire.
-tu sais mon intention est qu'on soit heureux, je sais par ce qu'il a bien voulu me raconter, ce qui lui est arrivé avant moi.
Hugo venait nous rejoindre.
-tu tombes bien mon chéri, tu connais la nouvelle pour Max et Sébastien ?
-oui dit Hugo ils me l'ont déjà dit et j'ai donné ma bénédiction bien sûr avec sûrement les mêmes recommandations que celles que tu viens de faire en soulant Max.
Je vois Max rigoler.
-tout ce que je peux dire, c'est que vous vous connaissez bien tous les deux, vous avez eu tous les deux les mêmes recommandations alors maintenant je suis vraiment obligé de m'y tenir.
On a pris Max dans nos bras en l'embrassant chacun sur une joue.
-je croyais que c'était moi le préféré ? dit la voix de Sébastien.
-viens là espèce de moulin à paroles et à bisous dit Hugo en le prenant par le cou.
C'était bien dommage qu'ils partent nos petits amoureux, ils allaient nous manquer c'est sûr!
-hé dit Hugo en me secouant le bras, tu fais cuire la viande ? la soirée n'est pas finie dit il en rigolant.
Je crois bien que je n'avais jamais eu la situation en mains.
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