Flora, Mon Amour

- Par l'auteur HDS Mokette -
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Récit libertin : Flora, Mon Amour Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Flora, Mon Amour
Il s'agit d'une histoire vraie, mais le fantasme qui suit est d'autant plus croustillant. Le contexte :
Moi, j'ai 26 ans. Ma grande sœur, Flora (qui n'est pas son vrai nom), en a aujourd'hui 41. En vrai, ce n'est pas ma sœur… Je la considère comme telle. Une sœur de cœur, quoi…
Mais biologiquement, elle pourrait amplement être ma grande sœur, oui…
BREF ! Le problème, c'est qu'elle est mariée. Elle a une fille que je considère comme ma nièce et que j'aime tendrement (j'avoue que je suis tout autant amoureux de ma nièce que de sa mère). Cela fait maintenant quelques années que je connais la famille, et on a tissé des liens d'amitié assez forts… Enfin, Flora et moi…

Flora, je peux tout lui dire, tout lui demander, elle n'a aucun tabou. Et c'est ce que j'adore chez elle ! Elle est infirmière et n'a peur de rien ! Physiquement, elle est petite, environ 1.60 m, moi, je fais 1.90 m. Elle est assez mince, a des cheveux châtains et quelques touches de mèches blondes. Elle a un cul qui a une jolie forme, une belle paire de seins, assez fermes, encore bien portants, je trouve, pour une quadragénaire. Elle fait dix ans de moins, aussi, mais elle a bel et bien quarante-et-un ans…

Voici comment tout a commencé.

(PARTIE RÉELLE) :

Un jour, il y a deux ans, je venais d'apprendre que je perdais mon taf, pour une raison complètement débile. Et je suis quelqu'un de très sensible, donc évidemment, le moral était tombé bien bas…
Flora (qui avait alors 39 ans) était la seule qui ait ressenti mon mal-être et elle a tout fait pour me remonter le moral. On a un point commun, c'est la nature et les balades. Alors, avec sa fille, Flora et moi sommes allés voir un parc animalier très bien côté. Une visite qui nous a pris bien la journée. Durant la visite, Flora et moi parlions de mon taf que j'avais perdu, et de tout et de rien. On se comprenait très bien et surtout très vite. Tandis que sa fille roupillait un peu, on a commencé à parler de choses plus personnelles (mais pas de cul, je vous vois venir ! !)
Et c'est là, à cet instant précis, que je suis tombé raide amoureux de Flora. J'ai ressenti dans ses yeux pleins d'amour (réel), mais moi, c'est non seulement sa personnalité, mais surtout son corps de déesse auquel je n'avais jamais prêté attention. Il faut dire que quand tu vas visiter un parc, tu ne t'habilles pas en costard ou en robe ; tu t'habilles avec de vieilles fringues !

Et la robe courte que Flora portait à ce moment-là lui allait à merveille, lui moulant ses seins et le haut de ses cuisses. Mon cœur battit à tout rompre toute la journée et je résistai à l'envie de l'enlacer, de l'embrasser sur la joue de temps à autre…
D'autant qu'un couple âgé nous a abordés en fin de journée :

— Vous faites un très beau couple ! Votre fille est si sage et si mignonne…
— C'est très gentil à vous, mais en fait, c'est ma grande sœur et ma nièce…

(J'avais 24 ans à l'époque, certes, je fais un peu plus âgé, mais quand même…) Merde, j'oubliais que ma nièce avait 4 ans…
On s'est regardé, échangé un clin d'œil… On a un peu rougi, d'après ma nièce qui comprend tout…
Mais qu'est-ce que je résistais à l'envie de…
On a terminé par un parcours sur un sentier, pieds nus, où il fallait se baisser par endroits. Je vous laisse imaginer… Comme la robe de Flora était courte, il arrivait qu'elle remontât un peu dans le dos, laissant entrevoir sa culotte !

J'ai vu un bout de fesse et l'entrée de son appareil génital : poilu ! Des poils sombres dépassaient de la culotte ! Et comme j'adore les filles poilues, ça a encore plus attisé mon envie de faire quelque chose avec elle. Mais je ne peux pas : elle est mariée, putain ! Cette vision paradisiaque n'avait duré que quinze secondes, mais bon sang ! Qu'est-ce que j'avais envie de la prendre et de la niquer dans un coin.
***
Le lendemain, j'ai encore remercié Flora pour la journée. Et là, je lui ai clairement dit que je l'aimais… Comme une grande sœur, bien sûr…
Elle m'a dit que c'était réciproque. Et on s'est échangé des petits mots doux fraternels, et on le fait encore de temps en temps.

Depuis, quand on se parle, on se fait la bise, on n'hésite pas à se toucher le bras…
Et on se regarde dans les yeux ; un regard que j'ai déjà vu : quand deux amoureux parlent entre eux dans un resto, ou de manière romantique. En fait, on est tombé amoureux l'un de l'autre, Flora et moi. Et ce n'est pas l'envie qui nous a manqué ! Un jour, il n'y a pas si longtemps que ça, on a dû faire une course ensemble et on a senti vouloir se rapprocher un peu plus. On était dans la voiture et on était à ça de s'embrasser ! SUR LA BOUCHE ! Alors que j'avais mon bras sur sa nuque et elle avait son bras sur ma nuque ! Mais Flora est mariée, merde ! Et dans notre culture, on se doit de rester fidèle ! On a fait comme si de rien n'était, mais qu'est-ce qu'on avait envie de prendre du bon temps.

— Tu as envie, hein ?
— Je crève d'envie de te découvrir, Flora. Je te jure, j'ai trop envie de goûter à ça avec toi ! Mais on ne peut pas, on ne le fera jamais, et tu le sais… Mais je veux que tu saches que je t'aime très fort.
— Moi aussi, je t'aime fort !

On a poursuivi la journée sans encombre…
Depuis ce jour, je m'imagine Flora, avec moi, dans un lit, nue, en train de baiser sensuellement et d'assouvir notre passion. Et régulièrement, je réalise des « deep fakes » :
Je prends une photo de Flora, je la détoure, et je vais sur une appli « d'undressing » pour supprimer les vêtements. Je vois donc Flora, à poil, sa chatte poilue et ses seins magnifiques… Et je me branle devant ces photos.

Je sais, ce n'est pas bien, mais c'est la seule solution que j'ai trouvée jusqu'à maintenant…
(FIN DE LA PARTIE REELLE)
***
(PARTIE FANTASME)
Il y a quelques jours, je faisais une balade en forêt près de chez elle. Je l'ai appelée pour lui demander si elle voulait m'accompagner pour faire un tour. Elle ne travaillait pas, donc nous y sommes allés.

On a papoté de la pluie et du beau temps, des galères de boulot, de la forêt, bref…
C'était un endroit calme et reposant. Et bien sûr, chaque fois que je suis avec Flora, je n'ai qu'une envie : l'envie…
On s'est toujours dit « Je t'aime » sans tabou, entre nous, dans le secret, évidemment. Comme on savait le sentier pas fréquenté, on en a profité : on a commencé par se tenir la main, et à marcher doucement. On s'est mis à parler plus bas et on se serrait la main de plus en plus fort. Quelques instants plus tard, on est arrivé devant une cabane abritée, extérieure au sentier. On en a profité pour faire une pause. On s'est assis sur un banc et on a passé nos bras sur nos nuques respectives.

Flora a posé sa tête sur mon épaule, et je n'ai pas résisté à lui offrir mon plus tendre baiser sur ses cheveux.

— Je t'aime, Flora !
— Je t'aime aussi, fort !

C'en était trop : ma bite commença à se réveiller. Flora la remarqua :

— Je crois que quelque chose approche…

Faisant mine de ne pas comprendre :

— Certainement une bestiole…
— Oh non, autre chose qui me tend les doigts, m'a-t-elle répondu doucement.

Elle a enlevé son bras de ma nuque et s'est mise à enlever son gilet. Ses seins blottis dans un haut de corps de promenade… Elle s'est levée du banc et s'est agenouillée pour tripoter mon jogging. Elle l'a retiré, mon calbar ensuite, et a commencé à me masturber ! !

Il n'a pas fallu longtemps pour que l'envie de me sucer la prenne. Elle a fait ça bien ! C'était doux et chaud, très agréable ! Me suçant et me masturbant en même temps, je me laissai complètement aller. C'est quand elle s'est levée pour se foutre à poil que j'ai réalisé que ma bite avait froid…
Je vis Flora enlever son haut et déboutonner son jean de balade. Elle était exactement comme je l'imaginais : de beaux seins et un pubis velu ! Elle s'est assise sur moi, a attrapé ma bite et a fini par me la planter dans son vagin. Flora et moi, nous baisions ! Je baisai la femme qui m'a toujours fait bander, celle qui alimentait tous mes fantasmes ! Elle était très bonne à ce jeu : on s'embrassa sur la bouche, mes bras dans son dos et ses mains sur mon torse, qu'elle avait préalablement mis à nu. Elle effectua ses va-et-vient lentement, savourant les effets.

Elle lâcha des petits couinements à peine perceptibles. Je n'avais d'yeux que sur sa chatte et ses nibards flottant à l'air de la baise ! Comme on était dans une cabane de halte, il y avait des bancs et une table. Je pris Flora en levrette sur la table. Elle adora ce moment, mais on n'y allait pas trash, on y allait de manière romantique, comme si on apprenait à se connaître, à connaître le corps de l'autre…

Jetant un œil de temps en temps à sa chatte, je vis que la base de ma bite était blanche : j'avais de la cyprine sur mon gland. Ça m'excitait encore plus. Je continuai à la prendre en levrette et je plaçai mon ventre contre son dos pour pouvoir l'embrasser sur les joues et jouer avec ses seins. Flora gémit un peu plus fort, alors qu'on niquait toujours à la même vitesse : le temps de savourer !

Je me suis mis à un moment sur le dos pour la prendre en cowgirl inversé, Flora sur moi, mais dos à moi. C'était toujours elle qui dirigeait ma bite pour qu'elle aille dans sa maison. Et toujours aussi lentement, on a pris du plaisir, et on a commencé tous les deux à transpirer…

On a terminé notre affaire ainsi :
Flora s'est mise sur le dos. Je lui ai caressé son pubis poilu, tortillé ses poils, patouné ses seins, embrassé langoureusement et je l'ai prise en missionnaire, mais j'ai accéléré la cadence. On a gémi sensuellement ensemble et je lui ai demandé :

— Je vais sortir mon jus ! Tu veux que je le fasse où ?
— Sur mes seins !

Quelques secondes plus tard, je sentis que ça allait partir ! J'ai juste eu le temps de me retirer et de me lâcher sur ses seins de quadra ! Une belle quantité, quand même !

— La vache, m'a-t-elle dit, tu es un baiseur de ouf…
— Depuis le temps qu'on attendait ça ! Je voulais rendre ce moment inoubliable !
— C'est clair, et tu as réussi !

Ma sauce perlait sur la paire de nichons sensuels qu'elle prit dans ses mains pour happer quelques gouttes et les goûter.

— Délicieux !

Elle laissa tomber mon sperme chaud jusque sur sa touffe. Elle s'est ensuite rhabillée, sans se nettoyer, mais après m'avoir sucé encore un coup, quand même. Une fois prêts, on a poursuivi notre balade, main dans la main.
***
Le lendemain, elle m'a annoncé :

— Je divorce !
— Quoi ?
— Je divorce, je ne l'aime plus, l'autre con qui me servait de mari ! Je l'ai foutu dehors le soir où on a niqué ! Je garde la p'tite et la baraque ! Je divorce ! C'est toi qui prendras sa place dans mon lit ! Je t'aime trop, encore plus que l'autre, et tu me satisfais ! Ça fait six mois qu'on n'a plus rien fait !

Je n'ai pas su quoi dire, mais j'ai réalisé le plus cher de tous mes fantasmes :
Vivre et baiser quand je voulais, la plus belle femme du monde : Flora, ma grande sœur adorée !

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