Footing et exhib
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Footing et exhib
C'est toujours un long moment d'hésitation lorsque je dois, le dimanche matin, choisir ma tenue de jogging. Ce jour là, je suis d'humeur badine. Une longue frustration de tout contact masculin et la douceur de ce temps de contre saison me mettent les sens en éveil. J'opte finalement pour une tenue fuchsia moulante en tissu respirant dont j'apprécie la chaleur et la douceur du contact. Je l'enfile sur mon corps nu et chausse des chaussures de trail assorties.
Dés mes premiers pas dans la petite rue du village, je ne sens plus le frottement du vêtement et j'ai l'impression de courir totalement nue. Je ne force pas mon talent et m'engage sur le large chemin agricole très bien entretenu qui s'enfonce dans les champs de céréales à peine naissantes. Des fantasmes coquins peuplent mon esprit. J'ai envie d'une exhib.
Je roule ma ceinture de pantalon pour dégager à moitié mon pubis et mes fesses. Je sens la fraîcheur de l'air du matin sur ma peau nue et en ressens une agréable excitation. Je cours un long moment dans cet univers faiblement vallonné. Au loin une grande route et une autoroute bornent mon territoire. Je pense que les conducteurs qui y circulent peuvent percevoir l'impudeur de ma tenue et cela renforce mon trouble.
Un tracteur tourne dans un champ éloigné. Je l'imagine qu'il se rapproche de moi et que son occupant me fait monter dans la cabine pour une séances de caresses coquines.
Je vois au loin quatre hameaux. Qui sait si quelque habitant ne me lorgne avec des jumelles. Mon ventre se creuse et je roule mon pantalon jusqu'en haut de mes cuisses dégageant ainsi mon bas ventre et mes fesses. Je me sens aérienne...
Lorsque mon chemin franchit une route sur un pont, j'entends, derrière moi un bruit de moteur. Honteuse, je couvre instinctivement mes fesses et mon sexe et continue à courir sur le bord du chemin. Un lourd 4x4 me dépasse et s’arrête en douceur quelques mètres devant moi. Un paysan aisé d'age moyen en descend. Dans un réflexe de peur, je m'écarte du chemin pour le contourner.
Il me hèle de façon originale en disant: « je crois que je peux satisfaire vos envies, madame » . Je lève les yeux et vois qu'il me sourit. Un rien d'amusement grivois fait friser son regard. Sans être vraiment beau, son physique ne me rebute pas. Je me fige sur place et le laisse approcher.
Son regard bleu est vissé dans le mien et pourtant je me sens terriblement nue devant lui. Sa main s 'approche, ses doigts m'effleurent et toute ma peau est hypersensible et appelle la caresse. Il saisit délicatement la taille de mon fuseau et le baisse à mes pieds. « C'est mieux comme cela ! » dit-il, et tout mon corps, demi nu, se met à trembler d'émotion. Des sentiments contradictoires me gagnent, entre angoisse et excitation. Mon ventre se crispe comme pour se protéger et mon sexe s'humidifie. Mon interlocuteur le ressent. Il effleure maintenant mes fesses d'un geste d'une rare douceur.
Je me détends et mes cuisses s'écartent peu à peu. Je commence à ouvrir le ciseau de mes membres entravés. Il en profite pour prendre possession de mon entrejambe et commence une large caresse profonde de mon clitoris à mes fesses. Je laisse mon tronc basculer vers l'avant, en équilibre instable, et rends ainsi mes trous plus accessibles. Un bras musclé me soutient et m'attire vers sa poitrine, tandis que l'autre pénètre de ses doigts sans violence mes grandes lèvres et mon cul. Je n'en puis plus de désir ! Il roule alors mon sweat et dégage mes seins. Je me sens exposée à la vue de tous et pourtant pleine d'envie d'aller au bout de ce qui m'est promis.
Mes cuisses sont trempées de mouille.
L'homme me guide chancelante, la démarche gênée et grotesque, vers le capot de la voiture ou il dispose mes mains. Je connais la suite et sais que je dois me soustraire, mais mon corps ne m'obéit plus et s'entrouvre à l'assaut. Je libère mes chevilles et mes jambes s’éloignent l'une de l'autre en découvrant mes trous. Il appuie sur ma nuque pour que mon corps se plie, écarte largement mes cuisses de sa main. Il ouvre sa braguette, en sort un sexe court et trapu. Il titille mon œillet et l'entrée de mon sexe du bout de sa verge humide et me pénètre ainsi en levrette.
Je ne tarde pas à manifester mon plaisir tant je l'attendais avec hâte. Je jouis une première fois lorsque son sexe s'agite dans mon vagin en même temps que ses doigts martyrisent mon clitoris. J'exulte une deuxième fois lorsqu'il glisse son phallus humide dans mon cul alors que ses mains pétrissent mes seins et les labourent presque avec violence. J'ai la sensation d'être empli de lui. Il sort alors de mon cul et lâche sa semence sur mon dos nu courbé, dans un cri. La tension tombe et mon esprit imagine à nouveau que de nombreux yeux sont fixés sur mon anatomie offerte. Je regarde autour de moi et en suis persuadée.
Mon amant se rajuste et me nettoie, en me caressant, des souillures infligées. J'en oublie où je suis et ne me formalise nullement de le voir, sans crier gare, me dénuder totalement. Il ôte mes chaussures et enlève mon maillot. Me voici délicieusement et totalement nue, offerte à ceux qui veulent me regarder. Il me fait monter ainsi dans son véhicule aux larges vitres et nous voilà partis. Je me sens à la fois protégée par les vitres et exhibée comme une fille de joie.
Dés que nous gagnons la périphérie de la ville, mon anatomie y gagne en succès: des enfants les yeux écarquillés à l'arrière d'un bus, une conductrice émue à notre droite aux feux, un piéton incapable de dégager son regard plongeant. Mon émotion est à nouveau à son comble. Mes cuisses s'écartent instinctivement. Ma main ouvre mes grandes lèvres et décalotte mon clito. Je commence à me caresser, me pénètre et me cabre, indécente, pour un court instant de plaisir. Voilà que je me rends compte que j'aime être ainsi exhibée! Mon amant en est ravi et le manifeste en caressant mes cuisses, mes seins et mon sexe à la dérobée.
Le 4x4 roule un long moment pour rejoindre la campagne et s’arrête enfin dans la cour d'un petit château de pierre blanche. Mon compagnon me le fait visiter dans tout ses recoins. Je me sens encore plus nue dans cet environnement qui n'est pas le mien. Face à la maison s'étend un important vignoble qui semble appartenir à mon amant. Plusieurs ouvriers sont affairés aux travaux de la vigne. Je suis amenée à leur rencontre toujours aussi absolument nue. Leur regard méprisant est à la limite du soutenable.
Mais j'adore ce mélange d'insulte et de désir dans leurs yeux. Pour eux je suis une pute, une salope, qui ne pense qu’à se faire mettre. Et soudain ça me convient et mon corps de redresse, provocant, exposant fièrement ma poitrine et mon sexe sans voiles.
Devrais-je accepter leurs assauts ?
Cela semble ravir leur patron qui me tient de telle façon qu'ils n'ignorent rien de mon intimité. Quant à moi, mon exhibitionnisme naturel m’amène à ressentir comme émoustillant d'être ainsi livrée en spectacle. Je suis trempée de cyprine et dilatée à souhait au point qu'un seul contact suffirait à me faire jouir. Mon amant se garde bien de me libérer de cette tension, et pour cause...
De retour dans la maison, il me présente sa femme, jolie brunette d'une quarantaine d'années, très vite intéressée par ma plastique. Je tressaute lorsqu'elle effleure mes épaules, me contracte violemment lorsqu'elle touche mes seins. Puis je sens monter mon désir lorsque, simultanément, ses deux mains envahissent mon sexe et mon cul. Elle dilate mes organes au point que j'ai l'impression de me déchirer, mon périnée coincé entre ses doigts. Je suis en même temps surprise et comblée de la violence de sa caresse. Elle me fait jouir pour la troisième fois de la journée d'un mouvement souple de ses deux poignets. Sa langue envahit ma bouche qui s’écartèle sous l’assaut. Mes jambes ouvertes défaillent et mon bassin est porté par ses deux bras. Lorsque son souffle s’accélère, et qu'elle émet un doux bruit de gorge, elle me laisse, demi-inconsciente, tomber au sol.
Une heure ou deux plus tard, son mari me dépose à notre point de rencontre et me redonne un air présentable. Je suis incapable de reprendre ma course. Le tracteur est toujours là et son occupant, étonnement présent, me sourit avec des éclairs dans le regard. Une fois encore mon bas ventre se contracte mais la fatigue se fait sentir. Je rentre à la maison sûre d'avoir brûlé nombre de calories et finalement heureuse de ces plaisirs.
Plusieurs soirs, alors que j'attends dans mon lit le sommeil, le souvenir de ce dimanche va m'amener, me masturbant, à une rapide orgasme. J'ai, plus d'une fois, été courir dans ce chemin, le corps à demi dénudé, mais je n'ai rencontré personne. Enfin presque!
J'avoue qu'à force le conducteur du tracteur a fini par remarquer mon insistance. Un beau jour il m'a suivie derrière une butte engazonnée ou je souhaitais satisfaire un besoin pressant. Debout tout près de moi, il m'a longuement contemplée accroupie, demi nue et honteuse. Armé de kleenex, en un interminable geste, il a tendrement essuyé ma vulve et nettoyé la raie de mes fesses. Je me suis sentie ridicule et sale, accroupie et l’entrejambe offert à ses mains. Empêchée de me revêtir lorsque je me suis relevée, le reste de mes vêtements m'a été promptement arraché.
Ensemble nous sommes montés en haut de la butte, moi totalement nue, de plus en plus visible des usagers de l'autoroute. Là, il m'a caressée presque brutalement pour obliger mon corps à se tordre en mille posture d'une rare indécence. Ma performance a été saluée de quelques coups de klaxon et autres appels de phares. Je me suis sentie bien d'être ainsi exhibée. Lorsqu'il a senti mon plaisir, il m'a portée jusqu'au tracteur ou il m'a longuement possédée dans la cabine vitrée, au vu de tous. Mon cul, ma bouche et ma vulve sont envahies à leur tour. Mais je n'ai pu atteindre le niveau de plaisir de mon expérience précédente.
J'ai réessayé pour en être sûre. Le goujat s'est contenté de m'arracher mes vêtements et de me sodomiser à sec sans aucun souci de moi, à la vue des nombreux passants. Au village, il m'a fait la réputation d'une « salope », d'une fille facile, ce qui m'a valu quelques déboires. Depuis, je m'abstiens de paraître aux manifestations publiques où l'alcool est présent. Cela m'évite des propositions aussi grossières qu'insultantes. Mais je regrette la première expérience.
J'ai longuement guetté mon ancien amant à l'entrée du château mais sans pouvoir jamais entrer en contact avec lui. Deux ouvriers, me voyant errer là, se sont souvenus de moi et m'ont emmenée dans un fourré. Ils m'ont rudement caressée en m'insultant et m'ont prise en double. Je me rappelle encore de l'odeur acre de leur sueur alors qu'ils avaient envahi mon cul et ma vulve. Leurs sexes se frottaient l'un à l'autre à travers mon périnée. Ils se faisaient l'amour. Dommage!
Faute de mieux, il m'arrive encore de m'exhiber, seule sur la butte, aux yeux des automobilistes, mais ce n'est pas pareil. Lorsque je pars courir, je suis maintenant toujours habitée de désir et j'imagine encore faire de nouvelles rencontres. Parfois l'émotion me gagne, mais rien ne se passe.
Dés mes premiers pas dans la petite rue du village, je ne sens plus le frottement du vêtement et j'ai l'impression de courir totalement nue. Je ne force pas mon talent et m'engage sur le large chemin agricole très bien entretenu qui s'enfonce dans les champs de céréales à peine naissantes. Des fantasmes coquins peuplent mon esprit. J'ai envie d'une exhib.
Je roule ma ceinture de pantalon pour dégager à moitié mon pubis et mes fesses. Je sens la fraîcheur de l'air du matin sur ma peau nue et en ressens une agréable excitation. Je cours un long moment dans cet univers faiblement vallonné. Au loin une grande route et une autoroute bornent mon territoire. Je pense que les conducteurs qui y circulent peuvent percevoir l'impudeur de ma tenue et cela renforce mon trouble.
Un tracteur tourne dans un champ éloigné. Je l'imagine qu'il se rapproche de moi et que son occupant me fait monter dans la cabine pour une séances de caresses coquines.
Je vois au loin quatre hameaux. Qui sait si quelque habitant ne me lorgne avec des jumelles. Mon ventre se creuse et je roule mon pantalon jusqu'en haut de mes cuisses dégageant ainsi mon bas ventre et mes fesses. Je me sens aérienne...
Lorsque mon chemin franchit une route sur un pont, j'entends, derrière moi un bruit de moteur. Honteuse, je couvre instinctivement mes fesses et mon sexe et continue à courir sur le bord du chemin. Un lourd 4x4 me dépasse et s’arrête en douceur quelques mètres devant moi. Un paysan aisé d'age moyen en descend. Dans un réflexe de peur, je m'écarte du chemin pour le contourner.
Il me hèle de façon originale en disant: « je crois que je peux satisfaire vos envies, madame » . Je lève les yeux et vois qu'il me sourit. Un rien d'amusement grivois fait friser son regard. Sans être vraiment beau, son physique ne me rebute pas. Je me fige sur place et le laisse approcher.
Son regard bleu est vissé dans le mien et pourtant je me sens terriblement nue devant lui. Sa main s 'approche, ses doigts m'effleurent et toute ma peau est hypersensible et appelle la caresse. Il saisit délicatement la taille de mon fuseau et le baisse à mes pieds. « C'est mieux comme cela ! » dit-il, et tout mon corps, demi nu, se met à trembler d'émotion. Des sentiments contradictoires me gagnent, entre angoisse et excitation. Mon ventre se crispe comme pour se protéger et mon sexe s'humidifie. Mon interlocuteur le ressent. Il effleure maintenant mes fesses d'un geste d'une rare douceur.
Je me détends et mes cuisses s'écartent peu à peu. Je commence à ouvrir le ciseau de mes membres entravés. Il en profite pour prendre possession de mon entrejambe et commence une large caresse profonde de mon clitoris à mes fesses. Je laisse mon tronc basculer vers l'avant, en équilibre instable, et rends ainsi mes trous plus accessibles. Un bras musclé me soutient et m'attire vers sa poitrine, tandis que l'autre pénètre de ses doigts sans violence mes grandes lèvres et mon cul. Je n'en puis plus de désir ! Il roule alors mon sweat et dégage mes seins. Je me sens exposée à la vue de tous et pourtant pleine d'envie d'aller au bout de ce qui m'est promis.
Mes cuisses sont trempées de mouille.
L'homme me guide chancelante, la démarche gênée et grotesque, vers le capot de la voiture ou il dispose mes mains. Je connais la suite et sais que je dois me soustraire, mais mon corps ne m'obéit plus et s'entrouvre à l'assaut. Je libère mes chevilles et mes jambes s’éloignent l'une de l'autre en découvrant mes trous. Il appuie sur ma nuque pour que mon corps se plie, écarte largement mes cuisses de sa main. Il ouvre sa braguette, en sort un sexe court et trapu. Il titille mon œillet et l'entrée de mon sexe du bout de sa verge humide et me pénètre ainsi en levrette.
Je ne tarde pas à manifester mon plaisir tant je l'attendais avec hâte. Je jouis une première fois lorsque son sexe s'agite dans mon vagin en même temps que ses doigts martyrisent mon clitoris. J'exulte une deuxième fois lorsqu'il glisse son phallus humide dans mon cul alors que ses mains pétrissent mes seins et les labourent presque avec violence. J'ai la sensation d'être empli de lui. Il sort alors de mon cul et lâche sa semence sur mon dos nu courbé, dans un cri. La tension tombe et mon esprit imagine à nouveau que de nombreux yeux sont fixés sur mon anatomie offerte. Je regarde autour de moi et en suis persuadée.
Mon amant se rajuste et me nettoie, en me caressant, des souillures infligées. J'en oublie où je suis et ne me formalise nullement de le voir, sans crier gare, me dénuder totalement. Il ôte mes chaussures et enlève mon maillot. Me voici délicieusement et totalement nue, offerte à ceux qui veulent me regarder. Il me fait monter ainsi dans son véhicule aux larges vitres et nous voilà partis. Je me sens à la fois protégée par les vitres et exhibée comme une fille de joie.
Dés que nous gagnons la périphérie de la ville, mon anatomie y gagne en succès: des enfants les yeux écarquillés à l'arrière d'un bus, une conductrice émue à notre droite aux feux, un piéton incapable de dégager son regard plongeant. Mon émotion est à nouveau à son comble. Mes cuisses s'écartent instinctivement. Ma main ouvre mes grandes lèvres et décalotte mon clito. Je commence à me caresser, me pénètre et me cabre, indécente, pour un court instant de plaisir. Voilà que je me rends compte que j'aime être ainsi exhibée! Mon amant en est ravi et le manifeste en caressant mes cuisses, mes seins et mon sexe à la dérobée.
Le 4x4 roule un long moment pour rejoindre la campagne et s’arrête enfin dans la cour d'un petit château de pierre blanche. Mon compagnon me le fait visiter dans tout ses recoins. Je me sens encore plus nue dans cet environnement qui n'est pas le mien. Face à la maison s'étend un important vignoble qui semble appartenir à mon amant. Plusieurs ouvriers sont affairés aux travaux de la vigne. Je suis amenée à leur rencontre toujours aussi absolument nue. Leur regard méprisant est à la limite du soutenable.
Mais j'adore ce mélange d'insulte et de désir dans leurs yeux. Pour eux je suis une pute, une salope, qui ne pense qu’à se faire mettre. Et soudain ça me convient et mon corps de redresse, provocant, exposant fièrement ma poitrine et mon sexe sans voiles.
Devrais-je accepter leurs assauts ?
Cela semble ravir leur patron qui me tient de telle façon qu'ils n'ignorent rien de mon intimité. Quant à moi, mon exhibitionnisme naturel m’amène à ressentir comme émoustillant d'être ainsi livrée en spectacle. Je suis trempée de cyprine et dilatée à souhait au point qu'un seul contact suffirait à me faire jouir. Mon amant se garde bien de me libérer de cette tension, et pour cause...
De retour dans la maison, il me présente sa femme, jolie brunette d'une quarantaine d'années, très vite intéressée par ma plastique. Je tressaute lorsqu'elle effleure mes épaules, me contracte violemment lorsqu'elle touche mes seins. Puis je sens monter mon désir lorsque, simultanément, ses deux mains envahissent mon sexe et mon cul. Elle dilate mes organes au point que j'ai l'impression de me déchirer, mon périnée coincé entre ses doigts. Je suis en même temps surprise et comblée de la violence de sa caresse. Elle me fait jouir pour la troisième fois de la journée d'un mouvement souple de ses deux poignets. Sa langue envahit ma bouche qui s’écartèle sous l’assaut. Mes jambes ouvertes défaillent et mon bassin est porté par ses deux bras. Lorsque son souffle s’accélère, et qu'elle émet un doux bruit de gorge, elle me laisse, demi-inconsciente, tomber au sol.
Une heure ou deux plus tard, son mari me dépose à notre point de rencontre et me redonne un air présentable. Je suis incapable de reprendre ma course. Le tracteur est toujours là et son occupant, étonnement présent, me sourit avec des éclairs dans le regard. Une fois encore mon bas ventre se contracte mais la fatigue se fait sentir. Je rentre à la maison sûre d'avoir brûlé nombre de calories et finalement heureuse de ces plaisirs.
Plusieurs soirs, alors que j'attends dans mon lit le sommeil, le souvenir de ce dimanche va m'amener, me masturbant, à une rapide orgasme. J'ai, plus d'une fois, été courir dans ce chemin, le corps à demi dénudé, mais je n'ai rencontré personne. Enfin presque!
J'avoue qu'à force le conducteur du tracteur a fini par remarquer mon insistance. Un beau jour il m'a suivie derrière une butte engazonnée ou je souhaitais satisfaire un besoin pressant. Debout tout près de moi, il m'a longuement contemplée accroupie, demi nue et honteuse. Armé de kleenex, en un interminable geste, il a tendrement essuyé ma vulve et nettoyé la raie de mes fesses. Je me suis sentie ridicule et sale, accroupie et l’entrejambe offert à ses mains. Empêchée de me revêtir lorsque je me suis relevée, le reste de mes vêtements m'a été promptement arraché.
Ensemble nous sommes montés en haut de la butte, moi totalement nue, de plus en plus visible des usagers de l'autoroute. Là, il m'a caressée presque brutalement pour obliger mon corps à se tordre en mille posture d'une rare indécence. Ma performance a été saluée de quelques coups de klaxon et autres appels de phares. Je me suis sentie bien d'être ainsi exhibée. Lorsqu'il a senti mon plaisir, il m'a portée jusqu'au tracteur ou il m'a longuement possédée dans la cabine vitrée, au vu de tous. Mon cul, ma bouche et ma vulve sont envahies à leur tour. Mais je n'ai pu atteindre le niveau de plaisir de mon expérience précédente.
J'ai réessayé pour en être sûre. Le goujat s'est contenté de m'arracher mes vêtements et de me sodomiser à sec sans aucun souci de moi, à la vue des nombreux passants. Au village, il m'a fait la réputation d'une « salope », d'une fille facile, ce qui m'a valu quelques déboires. Depuis, je m'abstiens de paraître aux manifestations publiques où l'alcool est présent. Cela m'évite des propositions aussi grossières qu'insultantes. Mais je regrette la première expérience.
J'ai longuement guetté mon ancien amant à l'entrée du château mais sans pouvoir jamais entrer en contact avec lui. Deux ouvriers, me voyant errer là, se sont souvenus de moi et m'ont emmenée dans un fourré. Ils m'ont rudement caressée en m'insultant et m'ont prise en double. Je me rappelle encore de l'odeur acre de leur sueur alors qu'ils avaient envahi mon cul et ma vulve. Leurs sexes se frottaient l'un à l'autre à travers mon périnée. Ils se faisaient l'amour. Dommage!
Faute de mieux, il m'arrive encore de m'exhiber, seule sur la butte, aux yeux des automobilistes, mais ce n'est pas pareil. Lorsque je pars courir, je suis maintenant toujours habitée de désir et j'imagine encore faire de nouvelles rencontres. Parfois l'émotion me gagne, mais rien ne se passe.
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