Forcé d'être soumis à un homme (1ère partie) - histoire érotique

N et moi sommes amant depuis plus de 3 ans. Notre sexualité est épanouie, débridée. Il y a une connivence, une complicité, une liberté ; rares, entre nous…
N ne me prévient pas de ce qu’elle a imaginé pour moi, pour nous. Nous devons nous retrouver chez elle, « nous improviserons » dit-elle. Sur la route surpris mais ravi ! Un SMS: « ALANN? ». C’est le prénom de soumis qu’elle m’a choisi… C’est rare qu’elle prenne l’initiative, j’en suis heureux, mon rythme cardiaque s’accélère, je suis amoureux… Je m’empresse de répondre : « oui Maîtresse ». Puis plus rien, le but était juste de me prévenir. Un quart d’heure plus tard je suis devant sa porte, je frappe. Habituellement N m’ouvre presque instantanément, je suis étonné mais patient, de longues minutes s’écoulent… Je décide de refrapper, un peu plus fort cette fois. La porte s’ouvre, ce n’est pas N. C’est un homme qui m’ouvre la porte, je suis surpris, gêné, décontenancé, mal à l’aise. « Salut » dit-il. Moi : « bonsoir ». Il enchaine : « vas-y, rentre, ta Maîtresse t’attend ». Nous traversons le couloir pour arriver dans la cuisine, une bouteille de Clairet trône sur le comptoir, N est assise sur un tabouret de bar, elle me sourit, je m’approche et dépose un baiser sur ses lèvres. Elle porte une petite robe très sexy, noire, et je me demande si elle a quelque chose dessous, des chaussures ouvertes à talons hauts, je la trouve belle et son statut du soir décuple sa beauté, son attirance, à mes yeux…
N me présente son « ami », Christian, il parait plus jeune que moi, plutôt bel homme, grand, d’allure sportive, brun, viril, une voix grave. « ALANN occupe-toi de nous servir à boire s’il te plait ». N augmente le son du PC, prend la main de Christian et l’entraine dans une KIZONBA endiablée. « Regarde comme Christian danse bien, nous nous sommes connus à la KIZONBA, regarde bien ». N colle son bassin contre celui de son ami qui ne se prive pas d’une telle étreinte et leurs déhanchements se font sensuels pour ne pas dire sexuels…
Je sers 3 verres, N et Christian continuent leur danse, N me regarde, me fait signe de m’approcher, m’incite à me déhancher moi aussi, près d’eux. N lâche alors son partenaire et m’enlace. Christian récupère un verre, boit en nous regardant puis très vite nous rejoint et se place derrière moi, saisit N par les hanches et se colle à moi. N me regarde dans les yeux, un peu comme un défi, appuie d’avantage son bassin contre mon bas ventre ce qui a pour effet de presser encore plus mes fesses contre le sexe de Christian.
« tu vas être notre salope ce soir ! » dit N. « notre salope a tous les 2, j’ai promis d’offrir ton PTI cul à Christian ! » Pour confirmer les propos de N, Christian pose alors ses 2 mains sur mes hanches et appuie un peu plus son bas ventre contre mes fesses, il imprime alors des mouvements circulaires pour bien me faire sentir sa queue malgré les tissus qui séparent nos CHAIRS. N se détache de moi, saisit mes mains et me guide vers le plan de travail. « Appuie toi, reste comme ça, cambre tes fesses » dit-elle. Christian ne lâche pas son étreinte, bien au contraire, il serre d’avantage mes hanches de ses mains puissantes et appuie encore plus son sexe. « tu la sens bien ma queue ! Hein ? Salope ! T’aime ça ! ça t’excite ! ». Je ne réponds pas, entre temps N a bu une gorgée de Clairet, elle pose son verre et m’ordonne d’un ton ferme : « répond salope ! Répond à Christian ! C’est ton Maître ce soir ! tu dois être poli avec lui et lui obéir! ». Je m’empresse alors de répondre : « oui Monsieur, je sens votre grosse queue, ça m’excite, j’aime ça… »
N : « oui… t’aime ça… t’es une vraie pute ! On sait que t’aime la bite ! » . « Baisse ton pantalon salope ! On veut voir ton cul ! Allez ! Obéis ! ». Je quitte alors ma position penchée pour me redresser et défaire ma ceinture puis dégrafer mon pantalon et le baisser. Christian s’étonne que je porte un caleçon. Il s’adresse à N. « tu m’avais pas dit qu’il devait être cul nu ? Qu’il aimait ça être fesses nues sous son JEAN’S ??? ». « Si si » répond N, « tu vas être obligé de le punir pour lui apprendre à se présenter correctement devant son Maître et sa Maîtresse ! ». N hausse alors le ton : « ALANN ! FOUS-TOI A POIL ! PENCHE-TOI ! PRENDS APPUI DES 2 MAINS ET PRESENTE TON CUL DE PUTE A CHRISTIAN ! ALLEZ ! ET FAIS VITE ! ». J’obéis instantanément à ma Maîtresse, je me débarrasse de mon caleçon, de mon polo, et me mets dans la position imposée. Je me retrouve donc totalement nu dans cette cuisine en présence de N et d’un inconnu… Christian commence par palper mes fesses. « C’est vrai qu’il a un beau PTI cul ton soumis… » Et des 2 mains il poursuit sa palpation et écarte même mes fesses pour m’humilier un peu plus. « Regarde N comme j’écarte bien ses fesses, on voit bien son petit trou là… regarde comme je l’ouvre ta salope ». N : « oh oui… continue… écarte ses fesses… plus… j’adore ça le voir comme ça… totalement soumis ! » C : « oui ! C’est une pute soumise ! Une chienne ! Ton mec… ». C s’adresse alors à moi : « hein ALANN ! T’es une chienne ! Une pute ! Dis-le ! Je veux l’entendre ! »
A ce moment-là C me lance une claque magistrale sur la fesse droite, d’un coup, sans prévenir, je sursaute, de surprise et de douleur, je lâche un petit cri. Très vite une 2ème claque sur l’autre fesse, toute aussi forte ! C me fesse le cul comme cela ne m’est jamais arrivé, ses grosses mains claquent mon cul, les claquements résonnent dans la petite pièce. C prend plaisir à m’humilier ainsi devant ma Maîtresse, tout en me fessant il insiste pour que j’avoue être une chienne. Mes fesses commencent à chauffer et je les devine déjà très rouges, je dis : « oui Monsieur je suis une chienne ». C : « et une pute ! Une pute ! Dis le sale pute ! ». Moi : « oui Monsieur je suis une pute… ». C se tourne alors vers N qui admire le spectacle et a même commencé à se caresser tant cette situation l’excite. C : « N, dis à ta pute de m’appeler Maître, je veux qu’il m’appelle Maître ! ». N : « ALANN !? Tu as entendu !!! Tu dois obéir à Christian comme à moi ce soir, c’est ton maître ! Tu le nomme comme tel ! ». Moi : « oui Maîtresse ». Christian poursuit la fessée, je serre les dents de douleur mais être humilié et puni ainsi m’excite au plus haut point, N le sait bien, elle s’approche de moi, se penche près de mon visage et me dit : « tu aimes ça salope… tu aimes ça te faire claquer le cul… hein ? Dis-le à ton Maître, dis-lui comme c’est bon… ». Moi : « oui Maître, c’est bon, j’aime ça, j’aime me faire claquer le cul ». Christian répond alors : « oui, je sais que t’aime ça petite pute, je le fais bien rougir ton cul là… ». N décide alors de stopper la punition, C arrête et prend un peu de recul pour admirer son œuvre, « ton cul est rouge écarlate salope ! ». « Tu vas te foutre à 4 pattes maintenant ! Au milieu de la cuisine ! Tu vas exposer ton cul de pute ! Et on va le prendre en photo ! ». Moi : « oui Maître » et je change de position pour me retrouver donc à 4 pattes, fesses cambrées, cul rougi offert à ma Maîtresse et mon Maître.
N : « ne bouge pas ALANN, je vais chercher mon tél, on va faire une belle séance photos ». Pendant ce temps Christian reprend son verre et s’assoit. N ne tarde pas à revenir. « Oh oui ! T’es beau comme ça… allez, relève un peu tes fesses, cambre mieux ton cul de chienne… ». « Oui ! Comme ça ! T’es vraiment une pute… ». Et N s’applique à prendre mon cul en photo, sous tous les angles et C de commenter : «MMMMMMMMMMMM je me suis bien occupé de son cul, je l’ai bien dressé cette salope ! »