Formule complète - histoire érotique

Quand on perd sa place à presque 40 ans, c’est dur, très dur. Je reste prostrée quelques semaines avant d’avoir l’idée. J’ai de l’argent de coté. Je vais m'en servir pour ouvrir ma propre boite. Je loue un local bien placé en centre ville, j’achète le matériel nécessaire. Je fait faire une belle déco. Tout est prêt.
J’ai pas mal de connaissance en la matière, j’ouvre ma boite sans me faire de soucis pour la suite. La première semaine est totalement creuse. La deuxième commence bien, le mardi après midi une jeune femme me demande la totale. Mes tarifs affichés à la porte commencent par simple, partielle pour finir par totale.
Elle ne demande pas d’autres détails. Ou elle sait lire dans les pensées, ou elle se doute de la suite.
Je la fais entrer dans la pièce où je vais exercer mes talents. Je lui demande de se mettre totalement nue avant de se glisser dessous un drap. Je sors en mettant un fond sonore : le bruit des vagues sur la plage. Je me change pour être à l’aise avant de revenir. Ma cliente attend avec patience. Je lui demande de se mettre sur le dos pour commencer. Elle se tourne, ce qui me permet de voir des fesses admirables. Je commence par répandre de l’huile de massage sur le dos. Cette huile est chauffante, laisse sur la peau un besoin de « encore une fois ».
Je masse son dos, comme prévu. Comme prévu elle a envie que je continue. Je descend mes mains sur ses fesses, je masse encore un peu quand d’elle-même elle me demande d’aller plus fort. Je ne suis plus caressante, mes deux mains sont sur elle. J’écarte bien les fesses au point de voir son anus qui s’ouvre.
Quel spectacle, mes aïeux. Il y a pas mal de temps que je n’ai vu un anus s’ouvrir ainsi. Je vois également sous l’anus, le début de son sexe. Je ne peux plus me retenir, je passe vers l’intérieur de la raie, entre ses fesses. Elle commence à gémir. Presque malgré moi je fais pénétrer un peu mon pouce dans son cul.
Je ne m’attendais pas à ce qu’elle me demande, sans dire un mot, de lui enfiler un doigt à cet endroit. Pourquoi ne pas lui donner ce plaisir. Je l’enfonce presque tout dans son ventre. Ses fesses accompagnent les mouvements qu’elle fait, en avant en arrière.
Elle ne se doute pas qu’elle me fait mouiller, j’ai envie d’elle.
Je la fais mettre sur le dos, elle écarte les jambes :
- Encore sur mon cul, c’était bon.
- Tu veux que je te fasse jouir comme pendant une sodomie ?
- Oui.
- Tu aimes te faire mettre par là ?
- J’adore, encule moi.
Je n’ai pas attendu sa demande, même si j’ai mis de l’huile sur sa poitrine, son ventre et ses cuisses, surtout à l’intérieur. J’attends pour lui remettre mon pouce dans l’anus qu’elle soit bien placée. Cette fois je peux facilement accéder à son anus : j’y remets le doigt, le fait aller et venir.
Mon autre main est sur sa poitrine, je ne masse plus, je caresse simplement selon ses réactions. Je sens sa poitrine qui durcit sans arrêt, surtout ses mamelons. Elle prend ma main dans les siennes, comme si je devais lui servir de soutien gorge. Je suis obligé de la faire lâcher.
A cet instant je sens les spasmes autour de mon doigt : elle jouit.
Et moi !!! J’enlève la blouse blanche pour apparaitre comme elle, nue. Je viens sur elle, presque à cheval. J’écarte bien les jambes pour lui montrer ma chatte. Elle la regarde en tirant la langue.
Je réponds à cet appel, ou ce que je crois être un appel. J’avance vers sa bouche. Je baisse la tête pour bien voir ce qu’elle va faire. Je mouille encore plus quand je vois que mon appel a été entendu.
Je sens quand elle me lèche le clitoris, quand elle descend à peine pour s’incruster dans mon vagin. Je retiens un moment l’orgasme, finalement je n’en peux plus, je pars dans une jouissance qui m’emmène au paradis. Je sens monter en moi cet orgasme rare de mon sexe à ma tête, mon dos, partout dans le corps.
Je ne peux raisonnablement pas la laisser avec un seul orgasme. Je me tourne en restant sur elle. Je vais attaquer le massage des Jambes.
Je commence par les mollets, il manque de l’huile, j’en rajoute, je peux ainsi monter entre ses cuisses qu’elle ouvre en grand. Je ne masse plus, je caresse intimement. Je suis presque à toucher ses lèvres intimes. Tant pis je les caresses aussi. Je sais que le produit que j’emploie ne lui fera pas mal. Je ne sais ce qu’elle fait, elle me caresse le dos en montant. Je sens ses mains au bord de ma poitrine. Elle cherche mes seins, elle les trouvera après.
Après que j’ai trouvé dans sa chatte son bouton. Je le prend délicatement entre deux doigt : il est sacrément mouillé. Je la masturbe, pas très longtemps, je sens qu’elle a encore un orgasme. Je vais lui en donner un autre : j’entre deux doigts dans le vagin, dans ce conduit qui donne tant de plaisir. Si j’avais un gode, je la baiserai avec. Je la baise avec ce que j’ai : mes doigts. Elle jouit encore.
- Viens que je te fasse jouir, j’ai envie de te baiser.
- Qu’est-ce que tu veux me faire ?
- Ma langue dans ton cul.
- Tu veux que je te suce aussi en même temps ?
- En 69 ?
- Oui.
Je me mets en positions sur elle. Je suis la première à atteindre sa chatte avec ma langue. Je trouve que sa cyprine a un gout extraordinaire, entre sucré et salé. Je lèche ce que je trouve, particulièrement son clitoris.
Je sens qu’elle aussi fouille avec sa langue. Elle commence par le clitoris, puis le vagin qu’elle effleure avant d’aller lécher l’anus. Avant qu’elle fasse quoi que ce soit d’autre, elle m'a faite jouir. Pendant mon orgasme, elle entre sa langue directement dans le cul. Je jouis sans arrêt. Je n’en peux plus, elle aussi. Tant mieux.
Une autre cliente entre. Je dois aller voir ce qu’elle veut. Pendant ce temps la première s’habille et vient me payer. Elle s’en va, sans que nous ayons échangé un simple baiser. J’ai agit comme une putain qui n’embrasse pas son client ! Elle reviendra c’est sur. Il faudra que je me surpasse la prochaine fois.
Heureusement pour moi la suivante vient pour prendre rendez vous pour le lendemain. Je n’aurais pas pu lui donner autant de plaisir et elle ne m’en aurai pas donné. J’ai le temps de me remettre. J’ai le temps d’acheter une série de godes, surtout en verre, plus facile à désinfecter.
Pour moi, les affaires marchent très bien, merci. J’ai du agrandir mon affaire avec deux autre femmes dans mon cas. Les rares fois où nous n’avons pas de clientes, nous nous amusons entre nous. Nous mettons au point d’autre façons pour faire jouir les clientes et ça marche du feu de Dieu.