Fouille à corps très...

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Fouille à corps très... Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Fouille à corps très...
Moi c'est Kader, jeune rebeu de 23 ans, pas de banlieue, pas de cité, non! un petit rebeu de Paris. Je suis pas mal de ma personne, mais j'ai un défaut selon mes congénères je suis passif. Moi ce que j'aime c'est le céfran, le beau céfran aux mains douces, aux lèvres caressantes avec un bon engin pour me niquer. J'aime ça! j'en raffole et, s'il est blond là je prends mon pied intégral, je deviens chienne, salope.
J'ai remarqué une chose, c'est que les blonds sont assez doux. On en trouve pas souvent des directifs et surtout avec un rebeu car ils pensent toujours que le rebeu est le maître, ben pas avec moi!

Il m'est arrivé une drôle d'aventure un soir que je rentrais chez moi. Il était près de minuit et j'ai décidé de couper par une ruelle peu éclairée. Je ne passe dans cette ruelle que la journée, la nuit je la trouve craignos et, là l'envie de pisser me prend. Je suis encore trop loin de chez moi, alors je me cale le long d'un poteau, à l'ombre de la nuit, je sors mon monstre pour lui faire respirer la nuit parisienne et pisser.
C'était pas du chiqué! putain d'envie, ça coule énormément et dru. J'ai l'impression que je ne vais pas m'arrêter… mais vous savez le bien que cela fait.

Soudain j'entends des voix dans la ruelle. Je finis de pisser, range le matériel et, au moment où je me retourne je me trouve nez à nez avec deux flics.
Je ne peux nier ce que je viens de faire vu le torrent qui coule pour aller dans le caniveau.
-eh bien faut pas se gêner! dit l'un des flics.
-désolé, dis je, mais j'en pouvais plus et j'étais sûr de ne pouvoir arriver chez moi.
Je les entends ricaner..
-vous avez bu ?
-non monsieur.
Je le distinguais à peine dans la nuit mais c'étaient deux jeunes flics, souriants, un calot sur le crâne, vêtus de leur uniforme et harnachés comme Robocop. Je mate celui qui avait parlé et je le trouve beau. c'est bien le moment de penser à ça! j'ai pensé!
-vous avez des papiers d'identité ?
Machinalement je tâte mes poches.
-ben non j'ai dû les oublier à la maison, mais vous savez j'habite pas loin.
-tournez vous dit le flic, posez vos mains sur le poteau et reculez les pieds en écartant les jambes.

J'étais content qu'il fasse nuit quand je me suis retrouvé dans la position demandée et que j'ai senti ses mains passer dans mon dos, certes, ce n'étaient pas des caresses, mais c'était bien appuyé quand même et, j'ai senti des frissons me parcourir.
J'ai tourné la tête pour voir l'autre flic à deux mètres, la main sur son arme.
Ses mains sont passées autour de mon cou, passant sous mes bras. J'ai senti son bassin se coller à mes fesses pour que ses bras m'entourent et viennent passer sur mon torse. J'étais en tee-shirt, on voyait bien que je n'avais rien sur moi mais putain mon corps de rebeu devait lui plaire. Il a passé ses mains sur mes abdos, ma poitrine, faisant pointer mes tétons. Même à travers le tissu, je sentais la chaleur de ses mains et, ce qui devait arriver… je me suis mis à bander et, comme un fait exprès, ce soir là au lieu d'avoir un boxer qui me serrait bien, j'avais mis un caleçon, si bien que mon beau zob se sentait en liberté de faire ce qu'il voulait.
J'ai trouvé aussi que son bassin s'appesantissait beaucoup contre mes fesses mais je n'ai pas senti s'il avait une érection.

Il s'est décollé de moi, ses mains sont revenues sur mon dos, il s'est accroupi derrière moi et m'a palpé les fesses et moi, ben je les ai tendu mes petites fesses qui aiment se faire toucher, se faire ouvrir. Ses mains s'attardaient mais sont descendues sur une jambe, l'enveloppant de ses deux mains, serrant. La chaleur, les frissons étaient revenus. Il a soulevé le bas de mon survêt pour passer son doigt dans la chaussette et faire le tour de mon mollet.
Putain que je bandais les mecs!

Il a recommencé sur l'autre jambe et j'ai eu ses deux mains qui m'entouraient la cuisse, une passant entre mes jambes, le dos de sa main touche mes couilles je tends encore plus mes fesses, et j'écarte les jambes comme une invitation.
Ses mains reviennent sur mes fesses, décidemment il les aime! et m'entourent à la ceinture, descendent sur le bassin pour arriver aux cuisses, remonter et une main passe sur mon zob raide comme la Justice. Je sens une hésitation de sa main quand il me touche. Je ne dis rien, ne bronche pas.

Alors il touche, le flic, tâte, serre. Une main passe sous le tee-shirt et me caresse le dos, prend mon survêt, tire et me fout le cul à l'air.
Je regarde l'autre flic qui n'a pas bougé, mais sa main ne tient plus son arme mais, je n'en crois pas mes yeux, il se caresse la queue et il y a l'air d'y avoir du matos là-dedans!

Maintenant j'ai le cul à l'air et la main du flic sur mon zob qui le malaxe, le pétri.
Je sens son souffle sur mes fesses. Ses lèvres qui se posent dessus il me fait des bisous le flic! je tends bien mes fesses et je fais ma salope, je gémis.
J'entends l'autre keuf approcher, sortant une grosse queue qui bande dans la nuit, m'enlève les mains du poteau en me faisant tourner vers lui.
-t'as déjà goûté la queue d'un flic mec ?
-non mais je veux bien.
Et, avant qu'il ne dise quelque chose, je me penche sur sa queue, la prend en main, putain de belle queue, bien raide, recourbée vers le haut. Je finis de décalotter le gland qui suinte, un gros gland plus gros que la hampe qui représente déjà un gros morceau.
Quand j'ai donné un coup de langue sur le gland , j'ai senti la langue de l'autre flic passer dans ma raie.
Je me suis offert les mecs.
Je me suis fait bouffer le cul par un chef! coup de langue et de doigts..!
J'ai bien sorti la queue de l'autre, pour voir les poils et ainsi voir qu'ils étaient très clairs, un blond putain, j'ai bandé encore plus et je sentais ma queue couler toute seule en bougeant.

En me bouffant le cul, il me caressait les couilles, les faisant rouler dans sa main. Il a descendu mon survêt à mes pieds et m'a léché partout. Quand j'ai senti son doigt venir caresser mon conduit, j'ai lâché la queue de l'autre pour gémir comme j'aime, les yeux fermés et la bouche ouverte, vite rebouchée par la bonne queue du flic céfran blond, tout ce que j'aime!
La main de l'autre flic est venue me caresser le zob. Je crois que je n'avais jamais tant bandé!
Deux doigts me foraient le cul en tournant, m'ouvrant comme une moule.

La queue de l'autre entrait tout au fond de ma gorge, bousculant ma luette, j'ai toussé et craché au départ mais je me suis vite habitué.
J'ai senti les lèvres du flic remonter sur mon dos, ses doigts se retirer, sa queue que je n'avais pas vue s'est collée entre mes fesses coulissant lentement, pendant que ses lèvres arrivaient à ma nuque, je sentais son souffle, il était excité le keuf! j'étais content de moi. Il m'a mordu la nuque, et j'ai senti son gland se poser sur mon ouverture béante. Le gland n'était pas encore décalotté, je l'ai senti entrer en moi, m'ouvrir encore plus, mon sphincter se refermer dessus et d'un petit coup de reins le faire entrer rapidement, me faisant pousser un cri vite étouffé par la bite de l'autre flic qui voyageait dans ma bouche.

J'ai aimé ses mains qui passaient partout sur mon corps, caressant, revenant claquer mes fesses et finir de s'enfoncer en moi avant de commencer à me baiser rapidement, tout de suite vite fait.
Heureusement qu'il était tard et que la ruelle était très peu fréquentée.
Ils se sont mis à me baiser tous les deux en cadence.
Putain être pris comme ça par deux keufs, la nuit dans une ruelle! j'en revenais pas encore une fois et, croyez moi je me suis donné. J'ai sorti tout mon savoir faire et ils ont eu l'air d'apprécier car eux aussi râlaient, on entendait le cliquetis de leur matériel de Robocop sur leur tenue et les bruits du pubis sur mes fesses, mes bruits de bouche sur la queue.

J'ai trouvé que cela durait longtemps pour mon plus grand plaisir!
Ils ont joui ensemble, en râlant, grognant de plus en plus fort.
J'ai juste eu le temps de lécher la queue que j'avais en bouche que le keuf remballait son matériel. J'aurais bien aimé qu'il visite mon cul lui aussi.
L'autre me tenait toujours dans ses bras, sa queue encore en moi. Je l'entendais respirer très fort à mon oreille.
-ça va ? m'a t-il demandé.
Il était mignon le keuf, je venais de me faire baiser par deux flics et il me demandait si j'allais bien!

Il s'est retiré lentement. J'ai apprécié de la sentir sortir, de racler mon conduit et, avant qu'il ne remballe tout, je me suis retourné, j'ai attrapé sa queue et je l'ai sucé, léché comme un malade. Sa demie molle s'est mise à raidir, s'allonger dans ma bouche. Comme il avait l'air d'avoir pris plaisir de me bouffer le cul j'ai pris plaisir à lui bouffer la queue avec tout le savoir faire que j'ai.
Ses mains me tenaient la tête et il gémissait doucement. Je sentais que j'allais avoir droit à une autre récompense.
Il ne me baisait pas la bouche mais se laissait piper et j'ai vu qu'il était blond lui aussi!!
J'ai redoublé d'effort et, quand je sentais qu'il était proche de lâcher son jus je lui caressais ses couilles, embrassant sa queue, il gémissait.
L'autre flic matait.
Il a joui en se mordant la main pour ne pas trop crier fort et j'ai eu droit à ma rasade. Je m'en suis léché les babines, je l'ai trouvé meilleur son sperme.

Il m'a aidé à me relever, la queue toujours à l'air. Moi je bandais comme un âne. J'ai senti sa main passer sur ma queue, son nez touchait le mien, ses cheveux courts étaient bien blonds, il me caressait le zob.
-alors il veut quoi le petit rebeu ?
-jouir ! j'ai dit dans un souffle.
-tu veux que je te suce ? demande t-il tout doucement.

Demande à un malade s'il veut la santé! le keuf! bien sûr que j'ai envie que tu me suces et que je te lâche ton mon bon jus rebeu dans ta petite gueule de blond…

Mais il m'a d'abord embrassé, sentir ses belles lèvres se poser sur les miennes, sa langue passer entre, sa main sur ma queue qui me caressait avec lenteur. J'allais fondre mec!
Nos langues ont fait connaissance rapidement et il s'est agenouillé à la place où j'étais il y a peu, devant son collègue il m'a taillé une pipe magnifique! ce n'était pas la première bite qu'il embouchait le keuf!
J'aurais bien aimé que cela dure plus longtemps mais ils m'avaient tellement chauffé les deux flics que la première giclée est arrivée rapidement et j'en ai eu des giclées, des lourdes, des chaudes, des puissantes remplissant bien sa bouche et ce gourmand de keuf a tout avalé, s'est léché les lèvres en me souriant.
Il s'est relevé, m'a pris dans ses bras, m'a embrassé.
-t'es un bon! jeune rebeu, j'te connaissais pas dans le quartier.

On a tapé la discute en allant vers chez moi. Celui que je n'avais fait que sucer, restait un peu en retrait, l'autre n'avait pas envie de me quitter, il trouvait toujours quelque chose à dire, à demander. Souvent il me touchait la main et je les voyais en pleine lumière, du réverbère, tous les deux blonds, tous les deux pas plus de 30 ans, mignons comme tout.
Quand on est arrivé devant chez moi, j'ai dit que j'habitais là et, que s'ils voulaient venir boire une bière.
Ils se sont regardés et ont dit non!
J'étais triste.
J'ai attrapé mon préféré par le bras, le positionnant de telle façon que l'autre ne me voit pas.
-moi c'est Kader, tiens v'là mon 06... si tu veux venir me voir on sera mieux à l'abri des regards quand même.
-moi c'est Kevin mon beau petit rebeu, je vais revenir te voir rapidement, on devrait passer de bons moments je pense.

Il m'a fait un bisou et ils sont partis.

Kevin m'a appelé ce soir… il vient à 22 heures, j'ai reçu un message.
"J'ai rêvé que je te niquais alors je bande comme un fou!"
Vous imaginez avec quelle impatience je l'attends.

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