Gédéon

- Par l'auteur HDS Mathieuflob -
Auteur homme.
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Récit libertin : Gédéon Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(7.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Gédéon
Il fait beau et chaud sur la plage de l’Anse à la Gourde. La mer caraïbe est bleue, l'endroit est idyllique. Il est généralement fréquenté par des nudistes et c'est le coeur battant que Josette et moi nous nous sommes engagés sur le petit chemin, qui au travers de la végétation dense, mène à la petite crique à l'abri des regards indiscrets. Qu'allons-nous y découvrir. Nous avons profité de cette journée de semaine pour venir ici sans nos enfants. Nous avons envie de nous mettre nus et de voir l'effet que cela va nous faire de se montrer à d'autres.
Manque de chance pour nous l'endroit est désert, mais il peut encore arriver d'autres baigneurs.
Fébriles cependant d'excitation, nous nous sommes dévêtus et avons laissé de côté nos maillots de bain. Une heure passe, nous sommes seuls au monde, déçus. Jo est belle de ses trente-cinq ans et j’ai envie de lui faire l’amour. Allongés l'un à côté de l'autre nous ne tardons pas à nous embrasser. Cet endroit même désert nous échauffe, agit sur notre libido, je bande et ma petite femme m'ouvre ses cuisses. L'invite est sans équivoque.
-Viens, prends moi, fais le moi!
-t'es folle et si on vient-Il n'y a personne, pine moi mon chéri j'ai trop envie!
-Coquine l'endroit t'excite?
-Oui, il doit y avoir plein de gens qui avant nous l'ont fait ici.
C'est trop tentant. Allongé sur ma petite femme je m’enfonce dans son conin humide. Elle est ouverte la coquine, elle est aussi excitée que moi. Je la baise lentement. Jo sous moi ferme les yeux. Moi aussi cela m'excite de faire ça ici.
Tout en limant, je regarde autour de nous. Merde, là! A quelques dizaine de mètres, à demi caché dans les rochers, un homme, un pêcheur antillais nous observe. Il a vu que je l'ai aperçu et ne bouge pas. Le cochon se rince l'œil. Voyant que je ne réagis pas à sa présence il en profite.
Sous moi, Jo geint doucement à mes poussées qui enfoncent mon dard. Mon gland frappe le fond de sa grotte d'amour. Elle bouge sous moi, remue son petit cul et l'autre se régale du spectacle que nous lui offrons. La situation m'excite. Le cochon doit bander, sans doute se branle t'il.
-Ma puce!
-Quoi?
-un type, un indien est là-bas dans les rochers et nous regarde.
-Il nous voie?
-Oui!
-On fait quoi?
-Rien ma puce, il mâte et alors. Cela m'excite, pas toi, qu’il nous regarde baiser?
-Cochon !
-Ça ne t'excite pas?
-Euh....si tu sais bien, j’aime bien qu’un autre soit là!!
-Petite cochonne, tu aimes ça hein, qu’il te regarde te faire baiser?
-Oui….. Mais tu crois qu'il me voit toute nue sous toi, qu’il voit ma chatte?
-Oui, ma chérie, tu es belle ma petite femme, il en profite et je crois qu'il se branle.
-T'es sûr. Il se caresse la bite en me regardant.
-Oui. Tu l’excites, il se branle en s’imaginant dans ta petite chatte, couché sur toi à ma place.
Sous moi ma petite femme s'anime de plus en plus. Puis elle parle, je vois l'excitation intense dans ses yeux.
-Dis, il doit avoir une grosse queue noire.
-Oui ma chérie, il bande et s'imagine dans toi en se caressant la bite. Il te baise en rêve le cochon.
-Il s'imagine qu'il me baise! Tu crois?
-Oui, oui ma puce. Il bande pour toi, il a envie de te baiser, de te mettre sa grosse queue dans ta petite chatte. Il la voit, il voit ma bite qui entre dans toi. Tu aimes qu'il te regarde, qu'il voit ton beau cul, ta petite chatte, tes seins!
-Oh Oui; Oh oui! Sa bite, sa grosse bite noire, j’ai envie de l’avoir dans ma chatte!!!!!
-Tu as envie de sa queue, qu'il te la mette et te baise devant moi, j'ai envie de le voir te monter, te baiser !
-T'es fou mon chéri, tu vas être jaloux s’il me baise !!
-Non ma puce, il te ferait jouir. Tu n'as pas envie d'une grosse queue?
-Je ne sais pas. Et toi tu veux. Tu ne vas pas être jaloux s'il vient me le faire?
-Oui, un peu mais c'est tellement excitant. Tu de souviens avec Jean-Pierre quand nous étions gamins.
-Oui il voulait me baiser devant toi. Il en avait une bien plus grosse que la tienne, mais il ne savait pas comment me la mettre. Il n'a pas pu l'entrer dans ma petite foufounette et a joui sur mon ventre le cochon.
-On ne savait pas qu’il fallait que tu écartes les cuisses, pour qu’il te la rentre. On était des gamins !
-Oui, mais pas lui, il avait 15 ans et moi 12.
-Lui il sait y faire, il va pouvoir te la mettre ma chérie, tu me dis toujours que tu as envie qu'un autre baise avec nous.
-OUI, je sais, je dis ça. Dis, il nous regarde encore? Je ne le vois pas.
-Il est toujours là. Je crois qu'il a compris qu'on veut bien. Je lui fais signe de venir ma puce?
-T'es fou!
-C'est l'occasion ma puce, on se connaît pas, après on le reverra plus. J'ai envie de te voir baiser avec un autre.
-Oui, oui vas-y mon amour, après tout tu as raison, personne ne nous connaît ici. Rien qu'une fois pour voir comment c'est. Je veux bien mon chéri puisse que tu en as envie.
-Toi aussi?
-Quoi?
-Tu as envie toi aussi, qu'il te baise, qu’il te fasse l’amour?
-Oui....j’ai envie de sa bite, d’être baisée par un autre que toi. Mais tu ne seras pas jaloux après?
-Non, promis ma chérie...promis, ça va être si bon de le voir sur toi et te mettre sa bite dans la chatte. De te voir jouir sous lui.
- Bon, dis-lui de venir!.....
De la tête tout en besognant ma petite femme, je fais signe au pêcheur. Il est sans doute aussi excité que nous et après une courte hésitation sort de derrière ses rochers. C'est un homme de moyenne corpulence, assez petit, un indien. Jo le voit maintenant. Elle tremble un peu sous moi, ne participe plus trop.
-Chéri c'est fou de faire ça! J'ai peur, il ne va pas être brutal au moins!
-Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention.
L'homme est vite tout près et nous regarde d'un air interrogatif. Tourné vers lui, je lui souris, Jo aussi mais timidement. Je suis encore sur elle, mais mon membre n'est plus dans sa petite chatte.
-Bonjour.
Nous lui avons répondu. Il y a un silence, un moment de gêne. Si nous ne disons rien, il va repartir. Alors je me lance.
-Elle te plaît?
-Oui!
-Tu nous regardais coquer?
-Euh...Oui! J'ai vu que tu voulais bien que je vous regarde, tu ne m'as pas fait signe de partir.
-Elle est belle hein, elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans?
Je vois la bosse de son sexe encore bandé sous la toile de son short. Jo aussi le voit et a les yeux fixés dessus. Cela encourage notre nouvel ami.
-Oui! Oh oui elle est belle. C'est ta femme?
-Oui. Elle a envie de ...., enfin tu comprends... avec toi si tu as envie de la coquer.
-coquer avec moi?
-Oui! Tu veux c’est bon dans sa chatte tu sais, elle a envie que tu la coque?
-Oui, elle est belle! Je ne l'ai jamais fait avec une blanche!
-Viens! Monte sur elle, prend la, elle en a envie de ta grosse queue!
Je me suis relevé lui laissant la place. Jo consentante a gardé les cuisses ouvertes et lui expose sa chatte brune avec impudence. Elle tend une main vers lui, l’invite à venir sur elle.
-Oui, j'ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c'est Josette et toi mon chéri?
-moi c’est Gédéon, t'es blanche, t’es belle, tu as une belle coucoune toute rose dedans!
-Ton cocoro est gros, mets le moi doucement, viens sur moi mon chéri, comble moi! Prend moi j’ai envie que tu me baise longtemps !
Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s'apprête à faire l'amour avec un autre, un Indien à la peau noire avec un gros « cocoro » comme on dit aux Antilles. Elle a les yeux mi-clos et je devine ce qu'elle regarde pendant que notre nouvel ami s'agenouille entre ses cuisses. La bosse qui déforme le devant de son vieux short aux couleurs délavées est si évidente sur l’envie qu’il a d’elle. L’homme les yeux rivés sur le ventre dénudé de ma femme baisse son short. Il ne porte rien dessous. Comme je le pensais, il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi, car il a bien cinquante ans notre gaillard. Ma petite femme va la sentir passer. Elle qui a envie d'une grosse bite, elle va être bien servie. J'espère qu'elle va bien jouir. Car avec moi, c'est si rare.
-Oh! Elle est belle, bien grosse, viens sur moi et entre la doucement mon chéri, ma petite chatte est pas habituée à une si belle queue.
JO me regarde alors que l'homme se couche sur elle. Pour l’accueillir Jo ouvre largement ses jambes. D'une main passée entre leurs deux ventres, je la vois qui le guide vers entrée rose de son vagin. Ses lèvres intimes gorgées de sang sont largement ouvertes et témoignent de son excitation.
-–Viens, mets la bien mon chéri, prends moi, mets moi là bien au fond ; baise moi fort !
Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce. Elle m'a tendu l’autre main et je la lui prends dans la mienne comme pour la rassurer. Je bande, c’est si excitant ce que nous faisons tous les trois.
Jo me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente aux lèvres charnues et gonflées par le désir de l’autre. Il se place devant l'entrée de son petit conin d’amour, sa petite chatte qui n’a connu que ma verge depuis notre mariage. Je vois soudain les yeux de ma douce s'écarquiller, sa menotte serre fort la mienne. D'une brève poussée l'homme vient de la pénétrer. D'abord le gland épais qui distend ses chairs intimes. Puis le mâle pousse encore ses fesses en avant et la tige noueuse s'enfonce. Jo pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore qui s’achève en râle de plaisir. D'une dernière poussée, l'homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge.
Trop excité sans doute de prendre une femme blanche, sans lui laisser le temps de s'habituer aux dimensions imposantes de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins. Sous lui, ma petite femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros membre qui la baise, s'anime. Elle a lâché ma main, s'accroche au cou de l'homme qui la chevauche. Elle le serre entre ses cuisses et joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l'avoir en elle. Elle va à sa rencontre, décolle ses fesses du sable pour se l’enfoncer en plus dans sa grotte d’amour.
Ils baisent. Sont l'un à l'autre moi je ne compte plus. Moi je regarde et je bande. Je bande comme jamais cela ne m'est arrivé.
Les nerveuses fesses cuivrées, ceintes des cuisses blanches de ma douce s'élèvent, puis s'abaissent en cadence. Jo geint à chacune des poussées de l'homme. Gémissements plaintifs au début car pas habituée à un sexe de ce calibre elle avait mal, puis de ravissement maintenant.
La tête nichée dans le creux de l'épaule de l'Indien, elle s'abandonne complètement, se livre toute entière à l'assaut fougueux de son amant improvisé.
Nous sommes seuls sur la plage tous les trois. A part le bruit des vagues frappant le récif, je m'entends que le bruit des deux corps qui se frottent, leurs ventres qui se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l'homme qui la besogne maintenant depuis plus de dix minutes. Il lui a empoignés les seins, les malaxe, en suce les tétons dressés. Jo geint de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle aime ce qu’il lui fait.
Je vois le gros sexe brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte brune de ma petite chérie. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l'effet que son amant lui procure.
Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l'homme, le prendre par les fesses comme pour l'enfoncer encore plus loin. Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts de plus en plus rapprochés L'homme accélère ses pénétrations. Ils vont jouir.
Un long cri de femme comblée, le corps de JO s'arque, soulève son amant pour l'avoir encore plus profond dans son minou. Aux crispations des fesses de l'homme, accompagnées de ses râles de délivrance, je devine les giclées de sperme qui s'épanchent, abondantes, dans le ventre de ma femme, dans son vagin serré autour de la hampe qui se vide en elle. Elle l’étreint de son étroit fourreau, la masse pour en tirer tout le jus.
Sans me toucher, j'ai joui dans le sable chaud tellement mon excitation était alors arrivée à son paroxysme.

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Texte coquin : Gédéon
Histoire sexe : Une rose rouge
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