Genèse
Récit érotique écrit par Marcosse [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Genèse
Génèse
Les noeuds défaits lui imposent à la fois un soulagement et une douleur, qui est toujours comme une surprise. Le sang qui afflue fait bouillir ses veines. Ultime douleur qui souvent lui arrache une grimace et des soupirs.
Marie dénoue son corps meurtri d’avoir gardé si longtemps cette position. Les liens, les cordes l’ont maintenue les pieds contre les cuisses, ouvertes, offerte. Les poignets attachés savamment à une barre au dessus de sa tête. La corde qui les tenaient avaient été passée autour de sa poitrine. Allongée , Marie exposée donc ses formes gonflées par la pression. La moindre caresse, un simple effleurement devenaient une vraie torture.
Les cordes vont laisser des traces.
Des manches longues feront l’affaire pendant quelques jours.
Il y a longtemps qu’elle n’a plus à se cacher de son mari.
Mais cela ne fut pas toujours le cas.
A force , elle était devenue experte en alibis.
Ne pas se montrer, ne pas trop se dévoiler, prétexter un coup accidentel.
Cela entrainait de la frustration dans son couple bien sûr. Mais comment expliquer que certains désirs ne poussent et ne s’épanouissent que dans un jardin souvent secret.
L’amour est rassurant , le désir est le mystère.
La seance de shibari s’est déroulée dans la nudité la plus totale.
Marie n’aura pas à rentrer chez elle en dissimulant certaines empruntes sur ses vêtements. Elle en avait parlé à son Maître, timidement. Elle avait du mérité cette faveur ... ses fesses elles, resteront rouges quelques jours donc.
Se rhabillant, la soumise, devrait un miroir qui semble encore garder le reflet des innombrables attouchements qu’elle a subi et imploré, se remémore comment tout à commencer.
Un peu comme tout à chacun ou chacune, une expérience furtive, une séduction différente et puis un abandon.
Et puis encore... parfois une relation suivie, embarrassante, des coups d’un soir ou d’un après midi, d’une puissance fulgurante, ou décevante.
Le jardin secret s’agrandit. La condition de façade aussi.
Un équilibre dangereux mais hypnotique.
Marie en remettant ses dessous ressent la sensibilité de sa peau. Ses fesses ont tout vécu aujourd’hui. Les mains caressantes ou claquantes. Des mains d’hommes , des mains de femmes, souvent les plus cinglantes. Une amie a beaucoup aimé user d’un chat à neuf queues, au manche court mais épais, sculpté comme un phallus. Le cuir d’abord caressant l’a ensuite meurtri. Les coups n’étaient pas gratuits, ils faisaient partie intégrante du dialogue.
Marie s’était retrouvé dans une sorte de confessionnel et d’acte de repentance. Avouant certains de ses plus glauques aventures, avouant des fantasmes outrageants.
Si la réponse n’était pas convenable le cuir s’abattait sur ses fesses tendues vers le haut, couchée sur le dos.
De temps à autre, le manche venait visiter son vagin. Le cuir venait aussi embrasser ses lèvres. Son amie s’amusait à l’enfoncer dans son antre torturée et à la cyprine abondante. Le manche la fourrait alors, tandis que ses seins étaient pétris souvent à deux mains tellement ils sont imposants ( taille?).
Le manche forçait ensuite sa bouche.
« Goute toi salope!!! »
« Tu aimes salope? »
Marie ne pouvait répondre que par des hoquets.
Il s’enfonçait tellement loin qu’elle en bavait dessus.
Elle s’était découvert une attirance pour les gorges profondes, le throat-fuck comme on l’identifie dans les barres de recherche de pornhub ou de Xhamster.
La bave lui coulait de la bouche, sur son menton. On lui étalait sur le visage, les seins.
Ses seins, liés, se coloraient de rouge par le sang concentré? Ses veines ressortaient. Comme pour une poitrine de femme enceinte. Tellement que du résidu d’un lait maternel parfois perlait de ses tétons.
Elle les regardent, ils sont tendus, turgescents , elle n’ose les toucher. Elle enfile ses balconnets avec délicatesse. Les pinces les auront rendus tres sensibles, douloureux.
Les claques aussi , qui les faisaient se balloter malsainement.
Une poupée, un jouet, une sex-doll.
Aujourd’hui pas de martinet sur sa peau délicate, elle pourra assumer le décolleté que lui impose cette canicule de fin d’été.
Elle est habillée, a remis sa tenue sobre mais élégante et repart.
La rue, la marche, personne ne remarque sa démarche hésitante. Son orifice anal est douloureux de tant de pénétrations et de jouissances.
Le manche bien sur du martinet, mais les doigts, une main meme, après avoir assuré de se lubrifier dans son vagin béant. Et une queue très impressionnante , qui avait labouré ses orifices, sa bouche , sa chatte, son cul et selon un ordre aléatoire et variable.
Ce sexe avait fini son attaque en déchargeant sur son visage au maquillage coulant.
Là dans la rue , plus aucune trace, le fond de teinte eye liner le rouge à lèvres ont redonné à Marie ce masque de la femme discrète qu’elle ait pour son entourage.
Le retour chez elle est rapide , le mécanisme est en place.
Elle ne manquera pas dans les discussions mondaines de s’outrager sur le porno, les regards des hommes, les connards qui sifflent la gente féminine comme des chiennes .
La chienne elle aime l’être. Mais Chut!!!!
Elle va rentrer se coucher, seule et tranquille . Plus de » j’ai mal à la tête « pour dissimuler une fatigue de corps et de chimie.
Jusqu’à la prochaine
Les noeuds défaits lui imposent à la fois un soulagement et une douleur, qui est toujours comme une surprise. Le sang qui afflue fait bouillir ses veines. Ultime douleur qui souvent lui arrache une grimace et des soupirs.
Marie dénoue son corps meurtri d’avoir gardé si longtemps cette position. Les liens, les cordes l’ont maintenue les pieds contre les cuisses, ouvertes, offerte. Les poignets attachés savamment à une barre au dessus de sa tête. La corde qui les tenaient avaient été passée autour de sa poitrine. Allongée , Marie exposée donc ses formes gonflées par la pression. La moindre caresse, un simple effleurement devenaient une vraie torture.
Les cordes vont laisser des traces.
Des manches longues feront l’affaire pendant quelques jours.
Il y a longtemps qu’elle n’a plus à se cacher de son mari.
Mais cela ne fut pas toujours le cas.
A force , elle était devenue experte en alibis.
Ne pas se montrer, ne pas trop se dévoiler, prétexter un coup accidentel.
Cela entrainait de la frustration dans son couple bien sûr. Mais comment expliquer que certains désirs ne poussent et ne s’épanouissent que dans un jardin souvent secret.
L’amour est rassurant , le désir est le mystère.
La seance de shibari s’est déroulée dans la nudité la plus totale.
Marie n’aura pas à rentrer chez elle en dissimulant certaines empruntes sur ses vêtements. Elle en avait parlé à son Maître, timidement. Elle avait du mérité cette faveur ... ses fesses elles, resteront rouges quelques jours donc.
Se rhabillant, la soumise, devrait un miroir qui semble encore garder le reflet des innombrables attouchements qu’elle a subi et imploré, se remémore comment tout à commencer.
Un peu comme tout à chacun ou chacune, une expérience furtive, une séduction différente et puis un abandon.
Et puis encore... parfois une relation suivie, embarrassante, des coups d’un soir ou d’un après midi, d’une puissance fulgurante, ou décevante.
Le jardin secret s’agrandit. La condition de façade aussi.
Un équilibre dangereux mais hypnotique.
Marie en remettant ses dessous ressent la sensibilité de sa peau. Ses fesses ont tout vécu aujourd’hui. Les mains caressantes ou claquantes. Des mains d’hommes , des mains de femmes, souvent les plus cinglantes. Une amie a beaucoup aimé user d’un chat à neuf queues, au manche court mais épais, sculpté comme un phallus. Le cuir d’abord caressant l’a ensuite meurtri. Les coups n’étaient pas gratuits, ils faisaient partie intégrante du dialogue.
Marie s’était retrouvé dans une sorte de confessionnel et d’acte de repentance. Avouant certains de ses plus glauques aventures, avouant des fantasmes outrageants.
Si la réponse n’était pas convenable le cuir s’abattait sur ses fesses tendues vers le haut, couchée sur le dos.
De temps à autre, le manche venait visiter son vagin. Le cuir venait aussi embrasser ses lèvres. Son amie s’amusait à l’enfoncer dans son antre torturée et à la cyprine abondante. Le manche la fourrait alors, tandis que ses seins étaient pétris souvent à deux mains tellement ils sont imposants ( taille?).
Le manche forçait ensuite sa bouche.
« Goute toi salope!!! »
« Tu aimes salope? »
Marie ne pouvait répondre que par des hoquets.
Il s’enfonçait tellement loin qu’elle en bavait dessus.
Elle s’était découvert une attirance pour les gorges profondes, le throat-fuck comme on l’identifie dans les barres de recherche de pornhub ou de Xhamster.
La bave lui coulait de la bouche, sur son menton. On lui étalait sur le visage, les seins.
Ses seins, liés, se coloraient de rouge par le sang concentré? Ses veines ressortaient. Comme pour une poitrine de femme enceinte. Tellement que du résidu d’un lait maternel parfois perlait de ses tétons.
Elle les regardent, ils sont tendus, turgescents , elle n’ose les toucher. Elle enfile ses balconnets avec délicatesse. Les pinces les auront rendus tres sensibles, douloureux.
Les claques aussi , qui les faisaient se balloter malsainement.
Une poupée, un jouet, une sex-doll.
Aujourd’hui pas de martinet sur sa peau délicate, elle pourra assumer le décolleté que lui impose cette canicule de fin d’été.
Elle est habillée, a remis sa tenue sobre mais élégante et repart.
La rue, la marche, personne ne remarque sa démarche hésitante. Son orifice anal est douloureux de tant de pénétrations et de jouissances.
Le manche bien sur du martinet, mais les doigts, une main meme, après avoir assuré de se lubrifier dans son vagin béant. Et une queue très impressionnante , qui avait labouré ses orifices, sa bouche , sa chatte, son cul et selon un ordre aléatoire et variable.
Ce sexe avait fini son attaque en déchargeant sur son visage au maquillage coulant.
Là dans la rue , plus aucune trace, le fond de teinte eye liner le rouge à lèvres ont redonné à Marie ce masque de la femme discrète qu’elle ait pour son entourage.
Le retour chez elle est rapide , le mécanisme est en place.
Elle ne manquera pas dans les discussions mondaines de s’outrager sur le porno, les regards des hommes, les connards qui sifflent la gente féminine comme des chiennes .
La chienne elle aime l’être. Mais Chut!!!!
Elle va rentrer se coucher, seule et tranquille . Plus de » j’ai mal à la tête « pour dissimuler une fatigue de corps et de chimie.
Jusqu’à la prochaine
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
petite remarque sur mon avis précèdent, je ne suis pas un lecteur mais une lectrice......bisous
C'est de l'hypocrisie soit elle assume soit elle divorce mais elle s'abstient de prendre son mari pour 1 con.
Une histoire qui me fait revivre certains moments de ma vie. Et surtout comme il est si intense si unique cet instant ou l on n est que la volonté de l autre emportée au-delà de notre volonté, notre dignité. Juste être son objet, sa chose, sa propriété